Assalamou 'alaykoum
Votre logique me sidère et je me demande sérieusement si non seulement vous savez lire ou si vous comprenez ce que vous lisez.
Si vous lisez la première ligne du verset, vous verrez : "
Je suis en état de djanâba et n'ai pas trouvé d'eau.". Je traduit, il n'y avait pas d'eau ! Et que dit le Coran lorsque l'on doit se purifier (les ablutions) et que l'on ne trouve pas d'eau ? «
et que vous ne trouviez pas d'eau, alors faites le tayammoum », en arabe :
فَلَمْ تَجِدُوا مَاءً فَتَيَمَّمُوا , [Sourate Al-Ma'idah, verset 6]
Mais qu'à dit Omar ? "
Ne prie pas." !!! (Sahih Moslim, Dâr ihyâ'i t-torâthi l-'arabî, v.1 p.280 h.368)
Et ce n'est pas tout ! Surpris, 'Ammâr [Ibn Yâsir] tenta de rectifier Omar en lui rappelant les enseignements du Messager d'ALLAH et dit : "
Ne te souviens-tu pas, ô Commandeur des fidèles, lorsque nous participâmes tous deux à une expédition [sans le Prophète] (sariyya) et que nous nous trouvâmes en état de djanâba et ne trouvâmes pas d'eau? Toi, tu ne prias pas, et moi je me roulai dans la poussière (Tayammoum)
et priai, et le Prophète dit (à Omar)
[par la suite], Dieu le bénisse et lui donne la Paix: "Il t'aurait suffi de frapper tes deux mains sur la terre, de souffler [dessus] et d'en frotter ton visage et tes deux mains." (Sahih Moslim, Dâr ihyâ'i t-torâthi l-'arabî, v.1 p.280 h.368)
Et quel fut la réaction d'Omar à qui le Prophète avait déjà fait remarqué son erreur ? Il persiste et il signe en ordonnant à un homme
de ne pas prier "
Ne prie pas." !!! (Sahih Moslim, Dâr ihyâ'i t-torâthi l-'arabî, v.1 p.280 h.368)
Vos tentatives d'explications désespérées sont de plus en plus ridicules.
Je ne suis pas sur qu'Omar ait trouvé cela aussi amusant que vous !
Il s'agit de vos propres sources et certainement pas mes citations. Ensuite nous les musulman, n'avons pas eu besoin d'attendre Omar pour savoir que l'Alcool était interdit, le Coran dit clairement : "
Ils t'interrogent sur le vin (alcool)
et les jeux de hasard. Dis : "Dans les deux il y a un grand péché et quelques avantages pour les gens; mais dans les deux, le péché est plus grand que l'utilité". Et ils t'interrogent : "Que doit-on dépenser (en charité) ? Dis : "L'excédent de vos bien." Ainsi, Dieu vous explique Ses versets afin que vous méditez." et "
Ô les croyants ! Le vin (alcool)
, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, oeuvre du Diable. Écartez-vous en, afin que vous réussissiez." Le Coran, s2, v19 et s5, v90.
Je vous ai cité le Hadith suivant : Ash'ath Ibn Qaïs rapporte qu'un soir : "
J'étais invité chez Omar et au plein milieu de la nuit il se leva pour frapper son épouse. Je les séparais et lorsqu'il retourna à son lit il me dit : Ash'ath souviens toi de cette parole que je te rapporte du prophète: Un homme n'a pas de comptes à rendre au sujet de son épouse qu'il frappe..." Sonan Ibn Mâjah (1:639) et Mosnad Ahmad (1:20)
Et voila qu'à présent, vous vous réincarné en véritable spécialiste de la science du Hadith en affirmant sur votre expérience et que ce Hadith est faible !!! Macha 'ALLAH ! Mais quels sont vos arguments pour établir ce jugement ?
Dites vous que les rapporteurs ne sont pas fiables ? Non ! Dites vous alors peut être que la chaine de transmission est faible ? Non plus ! Mais quel est votre argument issue de votre science en la matière ?
En résumé, Omar était incapable de commettre un péché !!! :icon_neut
Décidément, j'en apprend tous les jours avec vous. Au début vous accusez le Messager d'ALLAH d'avoir délaissé sa propre sounnah, ensuite vous prétendez que c'est finalement Omar qui l'aura ravivée et maintenant vous décrétez le caractère infaillible d'Omar en le défendant même d'avoir interdit un homme de pratiquer le Tayammoum alors qu'ALLAH l'autorise de façon clair dans un verset !
Je résume :
Pour vous, Dieu et le Messager de Dieu sont incompétent, mais heureusement Omar était là pour rectifier le tir en revivifiant les pratiques délaissées par le Prophète et en corrigeant Dieu au sujet du Tayammoum.
J'ai déjà lu beaucoup de chose de la part de mes amis salafistes et franchement, je pensais que plus rien ne pourrait jamais plus m'étonner. Mais vous, je vous assure que vous êtes un phénomène ! lol
Si nous lisons l'Histoire (la votre), Omar était prêt à incendier la maison avec tous ces occupants.
"
Ceux qui sont abstenu de prêter allégeance à Abou bakr sont : Ali , Al Abbas, Azubayr et Sa'ad Ibn 'Ubada, en ce qui concerne Ali, Al Abbas et Azubayr, ils sont restés dans la maison de Fatima jusqu'à ce que Abou Bakr leur envoi Omar Ibn Al Khattab pour les faire sortir de la maison de Fatima, et il (Abou Bakr) lui (Omar) dit : S'ils refusent combat les. Il vint alors avec un brandon (Bouquet de paille enflammé) pour brûler sur eux la maison, Fatima lui a fait face et a dit : Ô Ibn Khattab, es tu venu pour bruler notre maison? Il répondit : Oui, ou alors fîtes comme la Oummma a fait (Rentrer dans quoi la Oumma est rentré, c'est-à-dire prêter ammégeance à Abou Bakr)." Al 'iqd Al-Farid, de Ibnou Abdi Rabbih Al-Andaloussi, page 573
"
Et c'est ainsi se sont abstenu de prêter allégeance à Abou Bakr : Abou Soufyan du clan de Banou Omayya, Abou Bakr a envoyé alors Omar Ibn Khattab chez Ali et ceux qui étaient avec lui pour les faire sortir de la maison de Fatima "ra" et celle-ci a dit : Où vas tu ô Ibn Khattab? Est tu venu pour brûler notre maison? Il a dit : Oui, ou alors vous faîtes comme la Oumma a fait." Al Moukhatçar fi Akhbari al Bachar, de Abi Al_Fida, page 107
Les historiens dont, Ibn Koutayba (dans son Al-Imama Wa Siyaça),
ont rapporté que les gens sont partis –après la mort du prophète et l’épisode de Saquifa- avec du bois pour bruler la maison de Ali et Fatima, menaçant ainsi Ali et Fatima ainsi que tout ceux qu’ils considerent comme faisant partie de l’opposition, réunis chez eux. Et on dit au Chef de l’Attaque (Omar) : O, Fatima est dans la maison. Et Fatima est la personne que tous les musulmans aiment, respectent et glorifient, car elle est l’unique fille que le messager d’Allah a laissée après sa mort, et car elle est Une partie de lui (du prophète, saw) et que Ce qui la fâche et lui cause du tort, le fâche et lui cause du tort… Alors comment Tu ( Omar) viens avec le feu pour brûler la maison ?
Mais, Il ( Omar) dit sa fameuse Phrase, dont la gravité a été exprimée (illustrée) par le poète égyptien Hafid Ibrahim, en disant:
Et ses propos à Ali, Omar les dit…. (lacune de traduction..) PS: Si vous voulez le texte arabe, je vous le donne ! «Je brûle ta maison, ou se trouve la fille de Mustapha (donc Fatima), pour que tu y restes si tu ne prêtes pas allégeance (à Abu bakr). Il n’ya que le pere de Hafs (Omar) capable de dire ceci face à un brave cavalier et protecteur de Fatima. Et ces propos (cette phrase) sont (est) : « Et Meme Si ».
Voici encore quelques textes Historiques Sunnites relatant avec un peu plus de précisons cet évènement honteux et tragique :
Connaissant le tempérament de 'Omar, les hommes sortirent de la maison. Il y avait là, 'Alî, 'Abbâs et Zubayr. S'adressant aux adversaires, 'Alî dit: «
Ô vous les Muhâjirîn! Vous avez revendiqué la succession du Prophète de Dieu en mettant en avant vos avantages sur les Ançâr, soit votre antériorité dans l'islam et votre lien de parenté avec le Messager de Dieu. Maintenant je mets en évidence les mêmes avantages que j'ai sur vous. Ne suis je pas le premier d avoir cru d la Mission du Prophète, et avant qu'aucun d'entre vous n'ait embrassé sa Religion? Ne suis je pas plus proche parent du Prophète que vous tous? Craignez Dieu si vous êtes de vrais Croyants, et n'arrachez pas l'autorité du Prophète de sa maison pour la faire vôtre».
Debout derrière la porte, Fâtimah s'adressa aux assaillants ainsi: «Ô gens! Vous avez laissé dernière vous et pour nous le corps du Prophète, et vous êtes partis pour extorquer le Califat à votre profit en abolissant nos droits». Puis elle éclata en sanglots et s'écria, plaintive: «Ô père! Ô Prophète de Dieu! Les ennuis s'abattent sur nous si vite après ta disparition, par la volonté du fils de Khattâb et du fils d'Abû Quhâfah! Comment ont-ils oublié si vite tes paroles de Ghadîr Khum et ton affirmation que 'Alî était à toi ce que fut Aaron à Mûsâ!».
Entendant les gémissements de Fâtimah, la plupart des gens du groupe de 'Omar ne purent retenir leurs larmes et rebroussèrent chemin. (Relaté par l'Historien Ibn Qotaybah, grande références sunnite)
'Alî fut cependant conduit chez Abû Bakr, où on lui demanda de prêter serment d'allégeance à ce dernier.
Il demanda: « Et si je ne lui rends pas hommage?» On lui répondit: «Par Allâh nous te tuerons si tu ne fais pas ce que les autres ont fait». Sur ce, 'Alî dit: «Comment! Allez-vous tuer un homme qui est serviteur du Seigneur et le frère du Prophète du Seigneur?». Entendant ces propos, 'Omar s'exclama: «Nous n'admettons pas que tu sois un frère du Prophète du Seigneur», et s'adressant à Abû Bakr qui avait gardé le silence jusqu'alors, il lui demanda de se prononcer sur son sort (de 'Alî). Mais Abû Bakr dit que tant que Fâtimah serait vivante, il ne contraindrait d'aucune manière son mari. 'Alî put ainsi repartir et il se dirigea directement à la tombe du Prophète (Toujours selon Ibn Qotaybah)
où il s'écria: «Ô mon frère! Tes gens me traitent maintenant avec mépris et ont tendance à vouloir me tuer».
Ces évènements sont relatés par la plupart des historiens sunnites parmi les plus sérieux : Ibn Abi Shayba, Ibnou Koutayba, Abi Al_Fida, Ibnou Abdi Rabbih Al-Andaloussi, at-Tabari, Ibnoul Athir, etc. Et vous savez quoi ? La transmission de ces textes à été analysée et rendu fiable par vos propre savants !
Nous savons bien que les histoires (comptes de fée) ventant les mérites d'Omar fils de Khattab ne manquent pas. Dommage que cela ne se vérifie ni dans l'Histoire, ni dans la personnalité de cet illustre compagnon qui frappait sa femme la nuit et qui se ventait de vouloir brûler la maison de la fille du Messager de Dieu avec elle et ses enfants à l'intérieur ! (vos propres textes)
Le Messager d'ALLAH est le beau père de beaucoup de compagnon et tous ces mariages mis-à-part celui avec Khadijah, était politiques dans le but de rallier des familles à la causes islamique. En ce qui concerne sa mission, ceux la même que vous "idolâtrez", ont à plusieurs reprise déçus et mis en colère Prophète. Concernant le Paradis, vous n'êtes pas Dieu pour savoir qui s'y trouvera ou pas, même si vous en êtes encore au stade de croire sans retenue tout ce que vous lisez.
Je ne vois aucun rapport avec la discussion.
Votre commentaire ne fait que redire avec plus de mot ce que le verset dit clairement. Etrangement, il ne cite ni les circonstances ni les personnes concernées. Ce verset a été révélé au sujet d'Abou Bakr et Omar et personne d'autre, alors qu'ils avaient levé la voix au dessus de celle du Prophète.
Je suppose que vous connaissez Sirat Ibnou Hichem, l'une des plus grande références sunnite en la matière. Voici ce qu'il dit au sujet de l'irrespect envers le Prophète le jour du traité : «
'Omar Ibn al-Khattâb dit clairement qu'il n'avait jamais jusqu'à présent suspecté si fort la véracité du fait que Mohammad était le Prophète d'Allâh, et il osa même s'adresser à lui dans les termes suivants: "N'es-tu pas un vrai Prophète d'Allâh?" "Si, sans aucun doute", répondit le Prophète. 'Omar lui demanda encore: "N'avons-nous pas raison et notre ennemi n'a-t-il pas tort?" "Bien sûr! Nous avons raison et nos adversaires ont tort". 'Omar conclut: "Pourquoi devrions-nous donc mettre une tache à notre foi et supporter le choc de l'humiliation?" Le Prophète répondit: "Je ne suis que le Messager d'Allâh, et je ne peux rien faire contre Sa Volonté". Toutefois, 'Omar ne fut pas satisfait des réponses du Prophète, puisqu'il tint des propos similaires indignés devant Abû Bakr: "Quoi! Mohammad n'est-il pas le Prophète d'Allâh? Ne sommes-nous pas Musulmans? Ne sont-ils pas des infidèles?"» ("Ibn Hichâm", page 325)
Et pourtant les Historiens nous relatent que :
Le Jeudi précédant sa mort, et alors que beaucoup de ses principaux Compagnons étaient présents dans la chambre, le Prophète, étendu sur son lit, demanda qu'on lui apportât ce qu'il fallait pour écrire quelque chose : «Apportez-moi du papier et de l'encre afin que je puisse consigner pour vous un document qui vous évitera de retomber dans l'erreur». Les Istoriens Ibn Khaldûn, Al-Tabarî, Abu-Fidâ', etc.
'Omar s'interposa immédiatement ainsi: «L'homme est en délire. Le Livre de Dieu nous suffit». Hadith Sahih
Quelques-uns parmi l'assistance dirent qu'il fallait apporter le nécessaire pour écrire; d'autres se rangèrent du côté de 'Omar. La discussion s'anima et des voix s'élevèrent très haut pour contrarier le Prophète. Les dames derrière les rideaux voulurent fournir le matériel de l'écriture mais 'Omar les rabroua: «Silence! dit-il. Vous êtes comme les femmes de l'histoire de Joseph. Lorsque votre maître tombe malade, vous fondez en larmes et dès qu'il va un peu mieux, vous vous mettez à faire des taquineries».
Ayant entendu ces propos, le Prophète dit: «Ne les sermonez pas: elles valent sûrement beaucoup mieux que vous cependant». Ensuite, quelques personnes se mirent à demander au Prophète ce qu'il désirait enregistrer.
Mais le Prophète récita sur un ton de colère le verset 2 de la sourate al-Hujurât «Ô vous les croyants! N'élevez pas la voix au-dessus de celle du Prophète. Ne lui adressez pas la parole d voix haute, comme vous le faites entre vous, de crainte que vos oeuvres ne soient vaines, sans que vous vous en doutiez». Et dit: «Allez-vous en! Laissez-moi seul! Car ma condition présente est meilleure que celle à laquelle vous m'appelez».
Après avoir marqué une pause, il poursuivit: «Mais faites attention aux trois injonctions suivantes: un, chassez tout Infidèle de la Péninsule; deux, recevez avec hospitalité les délégations et offrez-leur le repas avec largesse, de la même façon que je le faisais». Quant à la troisième injonction, on dit qu'elle a été oubliée par le narrateur ou que sa mention a été omise. Ibn Athîr; Al-Bokharî; Al-Mich-kât, etc.
Ibn 'Abbâs se lamenta sur l'irréparable perte subie par les Musulmans ce Jeudi, par suite de l'empêchement du Prophète d'écrire ce qu'il voulait pour la guidance de ses adeptes. Se rappelant cet événement, il pleura jusqu'à ce que ses joues et sa barbe fussent mouillées par ses lamies.
Ceci est également rapporté par Sahih Al-Boukhari Volume I Page 37 et Volume 5 Page 138, Moumnid Ahmed Volume 1 Page 355 et Volume 5 Page 116, Tarikh Tabari Volume 3 Page 193, Tarikh ibn-athir Volume 2 page 32, etc.
Conclusion : Le messager d'ALLAH s'est encore mis en colère contre Omar peu de temps avant de mourir, au point de le faire sortir et de réciter une nouvelle foi le verset 2 de la sourate al-Hujurâ.
Aucun rapport avec le sujet.
Mais mon cher ami, nous ne discutons pas d'Ali ibnou Abi Taleb, surnommé le Bouclier vivant du Prophète et le Champion de l'Islam, mais bien d'Omar ibn Khattab, le fuyard. Si vraiment vous voulez vous enlisez dans une comparaison entre Ali et Omar, vous risquez de perdre le peu de dents qu'il vous reste.
Il vaudrait mieux éviter de citer des Hadith d'Abou Hourayra pour défendre Omar. lol Vous ne savez pas que ce dernier le destituât durant son Califat pour avoir détourné de l'argent publique ? On parle plusieurs milliers de dinars ! Dès son retour à Médine, Abou Houreyra du s'expliquer de ses détournement. Omar dit : «
Ennemi de Dieu, ennemi de son Livre ! As-tu osé voler le bien de Dieu ? Sinon, d’où as-tu les dix milles ? » Et Abou Hourayra de répondre : « Je ne suis ni l’ennemi de Dieu ni l’ennemi de son livre. Je suis plutôt l’ennemi de leurs ennemis et je ne suis pas celui qui vole le bien de Dieu ! Quant à ces dix milles, il s’agit des chevaux qui se sont reproduits et des dons qui se sont succédés du ciel !». Le problème, c'est qu'Abou Houreyra était connu pour sa pauvreté avant son émigration et sa nomination comme gouverneur à Bahreïn en l'an 20 de l'hégire. Cette explication provoqua la colère d'Omar qui réplica : «
Nous vous avons nommé gouverneurs et pas commerçants ! » avant de le contraindre par la force de rendre l'argent en le menaçant de le renvoyer vers son pays natal le Yemen ou il vivait dans la misère.
Une deuxième affaire opposa une nouvelle fois les deux hommes lorsque Abou Hourayra commença à diffuser abondamment et en public des contes, récits et autres sornettes, qu’il attribuait sans aucun scrupule au prophète Mouhammad. Omar contesta les contenus et la quantité de ces récits puisqu’il avait accompagné le prophète de très près pendant 18 ans et qu’il était donc en mesure de discerner le vrai du faux dans les récits de Abou Hourayra. Omar décida d’interdire catégoriquement à Abou Hourayra de raconter tout et n’importe quoi sur le prophète au risque même d’encourir le châtiment corporel et l’expulsion de Médine. Il dit : «
Soit tu mets un terme à tes contes soit je vais te renvoyer vers ta tribu Daous au Yémen ! » et aussi «
Mets un terme à tes contes nombreux car il se peut que tu sois mythomane !».
Il vaut donc mieux éviter de citer Abou Houreyrah, Omar lui même l'accusait de mensonge. Vous n'êtes pas convaincu ? Lisez vous même [FONT=verdana,geneva]
Al Boukhari, Vol. 4, p.434 et j'en encore bien d'autres sources à vous soumettre.[/FONT]
Ici vous n'apportez aucune preuve, aucune sources, aucune référence. S'agit-il encore un compte de fée ?
Citez vos sources s'il vous plait.
Nous l'avons également vu quand il ordonna à Omar de la brûler vive dans sa maison ! Et s'il aimait tellement la famille du Prophète, pourquoi Fatimah ne lui a jamais pardonné jusqu'à sa mort ? Hadith Sahih
Il n'y a-t-il que ces deux personnes parmi les compagnons qui soient mortes à Médine ? Pourriez-vous me dire où est enterré Othman et pourquoi il n'est pas lui aussi au coté du Prophète ? Vos arguments sont ridicules et rien n'a jamais justifier que ces deux là soit enterré au coté du Message d'ALLAH dans sa mosquée.
Vous parlez de faveur de Dieu, nous disons qu'il s'agit d'injustice des hommes et rien d'autre.