tidjani est omar ra
Salam, bismilah
Voile les propos de tidjani avant de commencer son raisonnement sur les compagnons :
Je promis à Dieu s'il me guide sur la bonne voie, de me débarrasser de tous préjugés émotionnels, d'être neutre et objectif, d'écouter ce que disaient les deux partis et de ne suivre ensuite que le meilleur
Je vous fais remarquer qu’il dit « les deux parties », vous ne verrez jamais durant le paragraphe consacré aux sahabas l'avis sunnite.
Dans son introduction générale, il jette déjà un indice de discrédit des compagnons :
Le problème principal fût avec les Compagnons du Prophète eux mêmes, car ils n'étaient pas d'accord avec le désir du Messager d'Allah, celui de leur écrire et assurer la bonne voie jusqu'au jour du jugement.
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Ceci afin d’être préparé pour la suite, ce fameux ecrit, dont il ne dit pas encore mot, et Quelle suite ? Quelques pages plus loin, il donnera ses conclusions sur la calamité du jeudi, après un petit briefing, son argumentation coulera d’elle-même, car elle ira selon lui dans la logique des choses, en essayant de faire passer ca pour une vérité absolue.
Ce désaccord a privé la Nation Islamique d'une vertu unique, l'a jeté dans les ténèbres et l'a divisé en plusieurs groupes tombants dans les querelles intestines, ainsi leurs forces furent dissipées.
Ici il nous donne un autre indice de sa conception des choses (ou conception chiite), sans pour autant avoir commencé une quelconque étude, il nous renseigne sur le faite, que ce désaccord des compagnons est à l’origine de l’éclatement actuelle de la oumma.
Il cite ensuite 3 catégories de compagnons, les gentils, les moyens et les hypocrites. L’accent est mis d’emblé sur les moyens, ces compagnons qui quelques fois n’ont pas écouté le messager sws, et qui sont blâmés d’après lui plusieurs fois dans les hadiths et le coran. On s’aperçoit, que la catégorie moyenne s’approche d’un fil de la catégorie hypocrite, ceci semble fait exprès, afin qu’on fasse basculer par la suite certains compagnons dedans par une simple tape dans le dos.
Cependant il existe une 4eme catégorie spéciale, les ahl bayt.
Ils sont nos Leaders et nous devons leur obéir
Pour le moment on ne voit aucune objectivité, car nous savons très bien que ceci fait partie de la aquida chiite et non sunnite, (cela ne veut pas dire qu’il a tort).
Ce que je dis, c’est que son introduction générale qui ne devrait pas contenir de penchant de l’un ou de l’autre est déjà bancale.
Je cite ceci d'après mes connaissances des Savants Sunnites et d'après ce que j'ai entendu des Savants Chi'ites concernant la classification des Compagnons
Au début du livre, il se disait lui-même savant sunnite et aux portes d’enseigner à Al Azhar, ce qui n’est pas rien quand même, mais comme je l’ai déjà dit plus haut, dans la 2eme partie du livre nous avons à faire à un homme de culture « normal » dans la religion et non si erudit qu'il le pretendait dans sa biographie.
Commencement de l’argumentaire contre Omar (ra):
le Messager de Dieu avec mille quatre cent de ses Compagnons marchaient en direction de la Mecque pour accomplir le Petit Pèlerinage
Notez bien le nombre 1400, devait bien avoir dedans Ibn Abbas ra ou Ali as ou Salman ra ou Abou Dhar ra, ou une partie des compagnons reconnus de 1ere catégorie par les chiites.
Toutefois, quelques uns des Compagnons n'ont pas accepté l'attitude du Prophète, et ont montré une forte opposition, "Omar ibn El khattab" vint même lui dire : "Est-tu vraiment le messager d'Allah ?"
Le Prophète répondit : "Oui, je le suis!"
Omar demanda :"N'avons-nous pas raison.
Nos ennemis n'ont-ils pas tort ?"
Le Prophète répondit : "Oui".
Omar dit alors: 'Pourquoi faisons-nous une disgrâce Envers notre religion ?"
Le prophète : "Je suis le Messager d'Allah, je ne lui Désobéirai jamais, Il est mon Soutien!"
Omar : "Ne nous as-tu pas dis que nous allons entrer Dans la maison de Dieu et tourner autour de la Kaaba ?
Le Prophète :"Oui, mais est-ce que j'ai dis que cela se ferait cette année? "
Omar : "Non".
Le Prophète dit : "Alors tu vas certainement y venir et tourner autour de la Kaaba".
Omar se dirigea vers Abou-bakr et demanda "N'est-il pas le Prophète de Dieu ?". II répondit : "Oui!"
Omar demanda à Abou-bakr les mêmes questions qu'il a posé au Prophète, et Abou-bakr fit les mêmes réponses. Ce dernier ajouta : "Il est vraiment le Messager d'Allah, et il ne lui désobéira pas, Dieu est son Soutien. Sois fidèle envers lui!".
Voila moi ce que je comprends de ce hadith, servant de preface à la discréditation de Omar ra.
Il y a 400 km entre Médine et la Mecque, il fallait 8 jours de marche ou un peu moins à leur époque. Ils préparèrent de nombreuses offrandes, ils avaient eux le Messager d’Allah, le soutient d’Allah, ils étaient dans le vrai.
Fort fut l’étonnement quand le Prophète sws décida de rebrousser chemin, encore 8 jours de marche dans le désert…pour rien, cela d’autant plus pénible qu’ils sont dans le vrai.
Omar ra n’a point douter de l'islam, au contraire sa confiance en Allah etait tellement forte qu'il voulait coute que coute tourner aurout de la kabaa, mais il ne comprenait point pourquoi comme ils sont dans le vrai devoir s’humilier devant les qoraich, ce qu’Abou Bakr plus sage accepta sans rechigner, comme sa conversion à l’islam sans même un argument quand il cru à Mohammed sws.
Lorsque le Prophète a signé le traité, il ordonna à ses Compagnons d'égorger les bêtes pour le sacrifice, et de se raser la tête. Mais aucun d'entre eux ne le fit, bien que le Prophète le répéta trois fois. Et vu que personne ne lui a obéit, le Prophète entra dans sa tente puis ressorti et ne parla à personne.Il égorgea sa bête et demanda à son barbier de lui raser la tête. A ce moment, ils se levèrent, égorgèrent leurs bêtes, et se rasèrent les uns les autres.
A croire que les 1400 etaient dans la categorie 2, la categorie 1 etant resté à medine????
je voudrais bien savoir qui parmi les grands compagnons ont assisté à ce traité (Ali as y etait-il ? si oui, il refusa lui aussi ?)
J'ai du m'arrêter à ce passage, car il m'était impossible de lire de telles choses sans ressentir un choc et de l'étonnement à l'égard des Compagnons
Cet homme se dit de Ezzetouna, il se dit imam, mais il ne connaît même pas la sira du Prophète sws, a croire que ce fut la première fois de sa vie qu’il lu le traité, pourtant bien connu, car c’est grace à la rupture du traité par les qoraich que les musulmans purent prendre les armes en toute justice, et concqerir la Mecque.
Il cite ce verset afin de faire le parallèle :
"Non, par le Seigneur, ils ne seront de vrais croyants qu'autant qu'ils te soumettront leurs différents, accepteront sans ranc½ur ta sentence et s'y soumettront entièrement." Les femmes 65.
Ce verset fut révélé a propos d’un canal privé dont l'eau profitait à d'autres, le prophète sws à émis un jugement favorisant les 2 parties, mais le partie le plus en droit dit c’est entièrement mon droit, tu a émis ce jugement car tu a des liens avec untel, le prophète sws vexé, changea alors le jugement, en lui donnant toute l’eau du canal.
Sur cela, le verset est descendu, car untel ne s'est pas satisafait du jugement. Donc le verset est vraiment mal placé, ou est le différent à juger? :
« Qu’autant qu'ils te soumettront leurs différents »
S'était-il soumit après les réponses convaincantes du Prophète ?
Pas du tout ! Car il a posé les mêmes questions à Abou-baker, mais ni les réponses du Prophète ni celles d'Abou-Baker ne l'ont convaincu.
Dieu Seul et Son Messager Savaient ce que Omar avait fait, bien qu'on ne trouve aucune explication au refus des autres Compagnons à se soumettre aux ordres du Prophète. Aucun d'entre eux ne l'avait écouté, malgré qu'il ait insisté trois fois.
Par Dieu ! Je n'arrive pas à croire ce que je lis !
Quel crédit accordé à sa conclusion ?
J'aurais pu rejeter cette histoire si elle avait été rapportée par les Chi’ites
Dès le début de ma recherche, je m'étais engagé à accepter tous ce qui était unanime, je me trouvais donc obligé d'accepter cette histoire.
A croire que cela suffit à lui tout seul à discréditer Omar (+1400 compagnons).
Maintenant voici le détail qui vient tout gâcher son argumentaire, ses fameuses extrapolations étranges qu'il fait tres souvent.
Dès le début de ma recherche, je m'étais engagé à accepter tous ce qui était unanime, je me trouvais donc obligé d'accepter cette histoire.
[Il n'est pas loin de croire que c'est Omar Ibn AI-Khattab, ou tout au moins son attitude à l’égard du Prophète, qui a encouragé les autres à montrer leur refus et leur hésitation vis à vis des ordres du Messager d'Allah.
On retrouvera la même plu tard à propos de la calamité du jeudi.
Surtout que ce dernier reconnaîtra plus tard avoir fait des "choses" qu'il ne voudra pas décrire, mais dans d'autres textes il dit : "Je ne cesse de jeûner, de prier et de donner l'aumône. Puisse Dieu me pardonner ce que j'ai dis (1) ". Ce qui laisse à croire que Omar lui-même savait la graviter de son attitude ce jour-là. C'est une histoire vraiment étonnante, mais véridique.
une Autre supposition... il arrivera plusieurs fois dans le livre, (pour Abou Bakr ra) que les hadiths qu'il cite soit plus benefique pour les compagnons qu'autre chose. Ici, le repentir sincère de Omar ra, pour une chose, mais on ne sait pas laquelle.
Calamité du jeudi, 2eme argument contre Omar ra:
à noter que Tijdani, parle toujours des compagnons, mais les exemples cités ne sont que sur Omar ra ? Fait exprès ou pas ?
Introduction de tidjani :
Mais les Compagnons se sont divisés, quelques uns ont désobéi à son ordre en prétendant qu'il divaguait.
Qui parle de divaguer ?
Juste en dessous il cite bien le hadith:
Ibn Abbas raconte : "C'était un jeudi, et quel jeudi !. Le Messager d'Allah était très malade, il déclara : "Approchez-vous, Je veux vous écrire un message qui vous protégera de l'égarement et de la déviation." Omar a dit : "Le Prophète est trop souffrant et il nous suffit de lire le Coran, le Livre de Dieu!".
J’ai vérifié le hadith en arabe (boukhrari tome 1
), il dit
« emporté par la souffrance »
aucun sens ne prend celui de délirer ou divaguer. (Je tiens a précisé que je ne suis pas un super arabophone, mais que je suis en fac d’arabe, donc mes connaissances sont un peu limités).
le Prophète dit : "Allez-vous en! Sortez de chez moi".
Ibn-Abbas qui rapportait cette histoire, pleurait et disait : "La plus grande calamité et le plus grand malheur se sont produits ce jour-là, car le Prophète a été empêché d'écrire ce qu'il voulait".
Ce qui est étonnant, c’est que tijdani semblent prendre ce fameux écrit comme la chose la plus importante dans le monde. Dans ce cas, les 2 grands poids sont 3, ou bien qu’il soit plus grand que le coran et les ahl bayt. Car il nous donne l’impression, qui même sera confirmé contre son gré, que le coran et les ahl bayt ne sont pas suffisants pour sauvegardé l’islam.
Je rejoindrai alors Omar ra dans ce cas…cet écrit ne peut-être plus important que le coran.
je n'arrive pas à comprendre l'attitude d'Omar Ibn Al-Khattab à l'égard des ordres prophétiques ?? Et de quel ordre s'agit -il ? Un ordre qui protège toute la communauté musulmane de l'erreur et de la déviation.
Ce message devait mentionner des prescriptions nouvelles aux musulmans pour dissiper leurs doutes
Les Sunnites qui ne peuvent démentir cette histoire disent : "Omar a eu pitié du Prophète qui souffrait de sa maladie et voulait qu'il se repose".
Cette interprétation est loin d'être juste. J'ai essayé moi même de trouver quelques excuses pour Omar, mais l'histoire ne me l'autorise pas: même en essayant de changer le terme "divaguant" par trop "souffrant", je n'arrive pas à innocenter les propos d'Omar..
Celle-ci est loin d’être juste à ses yeux, mais celle qui va nous proposer est beaucoup plus extraordinaire, il essai de toute force de comprendre le hadith par le terme délirer, bien que son sens premier est emporté par la souffrant.
Petit note, voici ce qui est dit plus haut :
Laissons de côté ce que rapportent les Chi'ites : "Le Messager d'Allah voulait confirmer son successeur en écrivant le nom de Ali, et Omar pressentant cela, l'en aurait empêché"
Ils ne peuvent nous convaincre par leur interprétation inacceptable pour le moment.
On reste dans le style de tijdani, on introduit plus haut et on confirme plus bas :
Puis-je demander, pourquoi, ont-ils accepté son ordre de quitter la maison, s'ils croyaient, que le Prophète délirait vraiment, par l'effet de sa maladie.
Mais en pensant seulement, qu'ils ont réussi leur Plan, en empêchant le Prophète d'écrire son Testament, il était donc inutile, par la suite, de rester chez lui.
On y arrive doucement mais sûrement, un complot….contre Ali as.
Mais cette accusation contre le Prophète s'est propagée parmi les Compagnons, et y a trouvé un écho favorable. Il semble même qu'ils étaient d'accord d'avance. et c'est pourquoi, ils avaient crées le désordre en élevant leur voix et en négligeant le Verset Coranique qui dit: "Croyants! Ne couvez pas de votre voix celle du Prophète, et n'élevez pas le ton en lui parlant, comme vous le faites entre vous même; vous risqueriez d'y perdre tout le bénéfice de vos oeuvres à votre insu." Al Houjourat: 2
Petit note, ce verset concerne les gens parlant avec le prophete sws, et non pas les gens parlant entre eux à coté de lui. Pour le moment, objectivité zero.
On sent bien, cette fois, ce petit fil conducteur judicieusement préparé pour nous amener à voir comme lui, de biais.
Par Sagesse, le Messager de Dieu, a renoncé à l'écriture de son Testament, puisqu'il fut l'objet de discordes de son vivant, quelle valeur aurait eu, donc ce Testament après sa mort ?!.
Le voila maintenant devinant les pensées même du Prophète sws, en lui accordant des dires quelque peu honteux, le prophète sws ne souhaitant plus notre guidé, nous ne le méritons pas, alors que c'est le seul prophète préférant sa oumma à lui-même youm el qiyama.
L'explication de cet événement avancée par les Chi'ites est plus convaincante, je n'oublierai pas la réponse de Sayed Mohamed Baker Sadr lorsque je lui dis : "Notre maître Omar était le plus intelligent de tous les Compagnons, puisque lui seul, avait compris que le Prophète voulait écrire le nom de Ali comme successeur légal, d'après votre thèse !"
Maintenant Omar ra est devenu un être intelligent et machiavélique de surplus, il devait porté une tel haine envers Ali as, qu’il a semer une discorde exprès en espérant que le Prophète sws n’écrirait rien en faveur d' Ali as, et surtout sinon ça n’a pas de sens, qu’il meurt rapidement, sinon il aurait tout le loisir de l’écrire plus tard.
alaibi avancé, Ali as était trop jeune (30ene quand meme) il ne peut pas avoir ce privilège.
Les propos de Omar rejetaient totalement ceux du Prophète.
"Suivez le Coran et la Itra". Omar répliqua : "Le prophète délire, le Coran nous suffit ; nul besoin de la Itra". I1 n'y a pas d'autres explications pour cet événement." Fin de citation de Sayed Sadr.
Je ne sais pas si c’est la faute du traducteur ou bien c’est de tidjani, mais le hadith est présent au moins 3 fois dans le livre et là c’est la première fois qu’on traduit par délirer……
Si je rejette de mon esprit tout fanatisme et passion, il vaut mieux pour moi accepter la thèse des Chi'ites. Plutôt que de me sentir rejeter Omar, qui se serait discrédité en disant : "Le Livre de Dieu nous suffit."
pour tidjani, le coran ne suffit vraiment pas, conclusion, que dire des versets donnant raisons aux chiites : je vous laisse ma famille….vous ne serez pas égaré, ni sa famille ni le coran ne semble nous suffire, mais cet écrit, par contre on lui accorde des vertus extraordinaire alors qu’il n'existe pas, et que personne ne sait ce qu’il aurait pu contenir.
Mais l’argument logique dirait: s’il Allah l’avait voulu, il aurai été écrit, voire meme dans le coran lui meme, mais nier la destiné, c’est nié la shahada, donc le 1er pilier de l’islam.
Je parviens maintenant à comprendre l'attitude des Chi'ites à l'égard du deuxième Khalife ; qu'ils considèrent comme étant le responsable de tous les malheurs survenus dans la vie des musulmans depuis "la calamité du jeudi". Ainsi, il a privé la "oumma" du salut et de la bénédiction ; cela est évident : tout homme loyal et juste qui a connu la vérité avant de connaître les hommes, acceptera la raison des Chi'ites. Mais ceux qui ne connaissent la vérité que par l'intermédiaire des hommes, ceux-là ne nous intéressent plus.
Les chiites pensent-ils vraiment comme cela ? Dans ce cas, ils se baseraient sur des conjectures (mainte verset du coran critiquent les gens se basant sur des conjectures, les appellant des ignorants).
Je doute donc que les chiites s’associe à tidjani, un psychologue aurait dit de lui que s’est un etre instable, avec les soufis il est soufi, avec les wahabites il est wahabite, avec les chiites il est chiite, là ou il decouvre une tendance religieuse, le doute s'empare de lui.
Dernière remarque : ce qu’a aimé tidjani dans le chiisme c’est qu’elle n’est pas contre l’adoration des saints, dont il a grandi dans son enfance parmi les soufis et dont il fut culpabilisé en allant à la Mecque.
et pour finir
[qote]Pourquoi ne pas reconnaître que les Compagnons du Prophète sont des hommes comme d'autres, qui ont eu des désirs et des penchants et par conséquent, pouvaient commettre des erreurs ?[/quote]
je n'ai pas lu le reste du livre pour l'instant, mais vous remarquez là qu'il jette une perche...les compagnons sont faillibles, mais ils existe une 4eme catégorie...suspens je vous laisse decouvrire là ou il veut en venir...et je vous confirmerais inchallah si ceci s'est bien verifé dans les pages qui suivent.
Je sais que mon analyse va suscité mainte réaction, me demandant mainte et mainte explication, déjà que cela m’a pris 3h à écrire délaissant mes obligations….laissez moi le temps au moins de finir le livre. je donnerais raison à narima, ce livre est un temoignage personnel, et n'a rien contraitement aux dires de tidjani quelque chose d'objectif. il faut donc le lire de cette maniere.
salammmm (ouf enfin fini)