Quoi de neuf ?
Forum al-imane.com

This is a sample guest message. Register a free account today to become a member! Once signed in, you'll be able to participate on this site by adding your own topics and posts, as well as connect with other members through your own private inbox!

Sayida Fatima Ezzahra, as, Dame des deux mondes.

Salam alaykoum

n'etait il pas question qu'elle (as) ait pris la porte dans le ventre qd il ont voulu entrer chez elle ?

Par contre je trouve vos propos malsains et deplacé veuillez eviter toutes insultes envers nos Imams vu que nous n'etions pas present a cette evenement il serait judicieux d'eviter la calomnie contre les Ahlul beyt car je ne saurais vous rappellez le haut rang de ces gens (reconnu autant par les sources sunnite que chiite )
Alors quand on aspire au Paradis on respecte ce que Dieu veut que l'on respecte !

Tournez vos phrases corerectement svp et eviter de traiter l'Imam Ali de lache alors qu'il (as) est le plus grand heros de l'Islam

Merci

sélèm, première il n'y a aucune insulte , je vous prierai chère de garder vos émotions subjectives à la maison profondemment, deuxièmement vous me calomniez en disant que j'ai traiter l'imam ali as de lâche, honte à vous, j'ai dis que faisais les compagnons de ali as lors des faits? ils regardaient lâchement fatima se faire frapper dans le ventre par omar sans rien faire? répondez à mes questions simplement. je maintiens que cette histoire est fausse, demandez a sistani ce qu'il en pense , il vous le dira, c'est pour ça que ces même menteurs ont dit que ali as était parti de la maison vers médine ou il a rencontré x, car si il était sur place entrain de voir sa femme se faire frapper par omar et qu'il aurait rien fait, ali as aurait perdu tout son grade, il a fallut inventer cette histoire d'un ali as partit de la maison, c'est curieux on viens vous menacez de bruler votre maison, et vous vous partez comme un lapin laissant votre femme se défendre tout seule, vous trouvez ça normal, moi non,défendez cette histoire si vous la voulez, wa sélèm
 
sélèm alikom, cher frère il y a plusieurs tabari dans l'histoire et non un seul comme vous le supposez implicitement.wa sélèm

Salam

Ce n'est pas parce que vous ne savez pas duquel on parle que c'est notre cas. Celui qui rapporte ces faits est sunnite, sans aucun doute, comme de nombreux autres savants sunnites.

Il n'y a que les ignorants ou les hypocrites qui nient les violences faites à Fatima (as), à l'Imam 'Ali, à leurs enfants (as) et aux fidèles compagnons.
 
Salam

Ce n'est pas parce que vous ne savez pas duquel on parle que c'est notre cas. Celui qui rapporte ces faits est sunnite, sans aucun doute, comme de nombreux autres savants sunnites.

Il n'y a que les ignorants ou les hypocrites qui nient les violences faites à Fatima (as), à l'Imam 'Ali, à leurs enfants (as) et aux fidèles compagnons.

sélèm alikom ,il n'y a que les hyppocrites aussi qui inventent des histoires greffés à la réalité existante alors qu'elles n'existent pas, une honte faite à Fatima (as), à l'Imam 'Ali, à leurs enfants (as) et aux fidèles compagnons, le pire à leur insu.personne ici ne nie les violences, mais certaine nie des faits erronés ou mensongers, c'est un fait,wa sélèm
 
sélèm, première il n'y a aucune insulte , je vous prierai chère de garder vos émotions subjectives à la maison profondemment, deuxièmement vous me calomniez en disant que j'ai traiter l'imam ali as de lâche, honte à vous, j'ai dis que faisais les compagnons de ali as lors des faits? ils regardaient lâchement fatima se faire frapper dans le ventre par omar sans rien faire? répondez à mes questions simplement. je maintiens que cette histoire est fausse, demandez a sistani ce qu'il en pense , il vous le dira, c'est pour ça que ces même menteurs ont dit que ali as était parti de la maison vers médine ou il a rencontré x, car si il était sur place entrain de voir sa femme se faire frapper par omar et qu'il aurait rien fait, ali as aurait perdu tout son grade, il a fallut inventer cette histoire d'un ali as partit de la maison, c'est curieux on viens vous menacez de bruler votre maison, et vous vous partez comme un lapin laissant votre femme se défendre tout seule, vous trouvez ça normal, moi non,défendez cette histoire si vous la voulez, wa sélèm

Salam

Le départ de l'Imam 'Ali (as) est un autre événement. Il était bien présent lorsque c'est arrivé.

Ce sont deux événements successifs.

L'Imam 'Ali (as) était présent lorsque Omar attaquait sa maison, mais il obéissait aux ordres du Prophète (saw) qui savait ce qui allait se passer déjà avant sa mort et qui avait INTERDIT à l'Imam 'Ali (as) d'intervenir, quoi qu'il arrive, pour préserver l'Islam.

Le juriste Shafi'ite, Seyyed Ali Hamadani duhuitième-siècle de l'héjire, undes savants dignes de confiance de vos écoles écrit dans Mawaddatu'l-Qurba, Mawadda V: un grand nombre de compagnons ont cité le calife Omar relatant à différents endroits: " Le Prophète d'Allah avait fait d'Ali le maître, le chef de la nation. Il a annoncé dans une réunion publique qu'il (Ali) était notre maula (maître). Après avoir prié pour ses amis et a maudit ses ennemis, il a dit: 0 Allah! Vous êtes mon témoin. (c'est-à-dire, 'j'ai accompli mon devoir de prophétie'). A cette occasion, un jeune beau et parfumé se reposait près de moi. Il m'a dit: 'Certes, le Prophète d'Allah a lié un engagement qu'aucun de vous sauf un hypocrite casserait, ainsi Omar! Évite de le casser.' J'ai dit cela au Prophète d'Allah que lorsque je parlais à la foule, un jeune parfumé et beau se reposait près de moi et qu'il m'a dit telle chose. Le Prophète saint a répondu: 'Il n'était pas de la progéniture d'Adam, c'était Gabriel (qui était apparu sous cette forme). Il a voulu te soumettre une contrainte sur la Wilaya que j'avais annoncé au sujet d'Ali:"

Vous savez bien que le Prophète Ibrahim (as) était prêt à sacrifier son fils Ismaïl (as) parce que Allah (swt) le lui a ordonné, et que l'Imam Hussein (as) a sacrifié sa vie et sa famille, y compris son bébé de six mois à Karbala.

La défense de l'Islam et de la Vérité dépasse apparemment votre conception, qui se limite à l'honneur familial. Mais sachez que tous les martyres dans la Voie de Allah ne sont pas morts et qu'ils bénéficient du plus haut degré du Paradis.
 
Salam

Le départ de l'Imam 'Ali (as) est un autre événement. Il était bien présent lorsque c'est arrivé.

Ce sont deux événements successifs.

L'Imam 'Ali (as) était présent lorsque Omar attaquait sa maison, mais il obéissait aux ordres du Prophète (saw) qui savait ce qui allait se passer déjà avant sa mort et qui avait INTERDIT à l'Imam 'Ali (as) d'intervenir, quoi qu'il arrive, pour préserver l'Islam.

Le juriste Shafi'ite, Seyyed Ali Hamadani duhuitième-siècle de l'héjire, undes savants dignes de confiance de vos écoles écrit dans Mawaddatu'l-Qurba, Mawadda V: un grand nombre de compagnons ont cité le calife Omar relatant à différents endroits: " Le Prophète d'Allah avait fait d'Ali le maître, le chef de la nation. Il a annoncé dans une réunion publique qu'il (Ali) était notre maula (maître). Après avoir prié pour ses amis et a maudit ses ennemis, il a dit: 0 Allah! Vous êtes mon témoin. (c'est-à-dire, 'j'ai accompli mon devoir de prophétie'). A cette occasion, un jeune beau et parfumé se reposait près de moi. Il m'a dit: 'Certes, le Prophète d'Allah a lié un engagement qu'aucun de vous sauf un hypocrite casserait, ainsi Omar! Évite de le casser.' J'ai dit cela au Prophète d'Allah que lorsque je parlais à la foule, un jeune parfumé et beau se reposait près de moi et qu'il m'a dit telle chose. Le Prophète saint a répondu: 'Il n'était pas de la progéniture d'Adam, c'était Gabriel (qui était apparu sous cette forme). Il a voulu te soumettre une contrainte sur la Wilaya que j'avais annoncé au sujet d'Ali:"

Vous savez bien que le Prophète Ibrahim (as) était prêt à sacrifier son fils Ismaïl (as) parce que Allah (swt) le lui a ordonné, et que l'Imam Hussein (as) a sacrifié sa vie et sa famille, y compris son bébé de six mois à Karbala.

La Vérité et la défense de l'Islam dépasse apparemment votre conception, qui se limite à l'honneur familial. Mais sachez que tous les martyres dans la Voie de Allah ne sont pas morts et qu'ils bénéficient du plus haut degré du Paradis.

sélèm alikom chère soeur, je vous remercie infiniment pour ses éclaircissements précieuses, donc pour résumer le point, ali as était présent à ce moment alors que omar défonça la porte qui tomba sur fatima as et la pris violemment et lui frapper dans le ventre!!! bien sur ali as par son calme extraordinaire a "juste" regarder alors qu'on a violer sa maison sa dignité et sa femme en toute impunité! ya allah, qu'allah en sois témoin!!!!!! ali as tu entends ce qu'il dise sur toi?
 
Les ulémas sunnites qui ont rapporté ces faits sont:

Izzu'd-din Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali et Muhammad ibn Jarir Tabari, relatent qu'Umar est allé à la porte de la maison d'Ali avec Usayd ibn Khuza'i et un groupe d'hommes, Umar a alors exigé, "Sortez! Ou bien je mettrai le feu à votre maison!"

Ibn Khaziba rapporte dans son Kitab-e-Gharrar de Zaid ibn Aslam, qui a vu: "J'étais un de ceux qui sont allés avec Umar avec des torches à la porte de Fatima. Quand Ali et ses hommes ont refusé d'offrir l'allégeance, Umar hurla à Fatima, "Laissez sortir celui qui est à l'intérieur ! Autrement, je mettrai le feu à votre maison avec ceux qui sont à l'intérieur." Ali, Hasan, Husayn, Fatima, et une partie des compagnons du Prophète et les Bani Hashim étaient à l'intérieur. Fatima indiqua: "vous mettriez le feu à ma maison avec moi et mes fils?" Il a dit: "Oui, par Allah, si vous ne sortez pas et n'offrez pas l'allégeance au calife du Prophète."

Ibn Abd Rabbih, un des ulemas sunnites célèbres écrit dans son Iqdu'l-Farid, la partie III, la page 63, qu'Ali et Abbas s'asseyaient dans la maison de Fatima, Abu Bakr dit à Umar: "Ramenez-moi ces personnes. Si elles refusent de venir, combattez-les." Ainsi Umar est venu à la maison de Fatima avec des torches. Fatima est venue à la porte de sa maison: "Êtes-vous venus pour brûler notre maison?" Il a dit: "oui ... " et ainsi de suite.

Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali dans son Shahre Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 134, citant de Kitab-e-Saqifa de Jauhari, inscrit en détaill'affaire du Saqifa-e-Bani Sa'ad. "Les Bani Hashim et Ali furent rassemblés dans la maison d'Ali. Zubair était également avec eux. Ali avait l'habitude de dire, 'Zubair était toujours avec nous jusqu'à ce que ses fils aient été grands. Ils lui ont tourné le dos contre nous', Umar est allé à la maison de Fatima avec un groupe d'hommes, Usayd et Salma étaient également avec lui, Umar leurs demanda de sortir et de jurer l'allégeance. Ils ont refusé. Zubair a dessiné son épée et est sorti, Umar dit: 'Mettez la main sur ce chien. ' Ils saisirent son épée et l'a jeta contre le mur. Puis, traînèrent Ali à Abu Bakr. Les autre Bani Hashim l'ont également suivi et attendait pour voir ce qu'Ali ferait. Ali disait qu'il était le serviteur d'Allah et le frère du saint Prophète. Personne ne l'a écouté. Ils l'ont porté à Abu Bakr, qui lui a demandé de lui donner le serment de fidélité. Ali répondit: "Je suis la personne qui mérite cette position et je ne te prêterai pas allégeance. C'est vous qui devez me prêter allégeance. Vous avez pris ce droit basé sur votre rapprochement avec le saint Prophète. Je suis plus proche du Prophète que vous, je proteste contre vous. Soyez ainsi juste. Si vous craignez Allah, acceptez mon droit. Autrement, vous devriez reconnaître que vous m'avez intentionnellement opprimé.' Umar dit: 'Nous ne vous laisserons pas jusqu'à ce que vous juriez l'allégeance.' Ali dit: 'Vous avez conspiré ensemble. Aujourd'hui vous le soutenez; de sorte que demain, il puisse vous renvoyer le califat. Je jure par Allah que je ne me conformerai pas à votre demande, que je ne vous offrirai pas le serment d'allégeance (à Abu Bakr). Il devrait me jurer allégeance à moi.' Alors il a tourné son visage vers le peuple et a dit: '0 Muhajirs! Craignez Allah. N'emportez pas le droit de l'autorité de la famille de Muhammad. Mon droit a été ordonné par Allah. N'enlevez pas la personne légitime de sa place. Par Allah, Nous, les Ahle-bait avons une plus grande autorité dans cette affaire que vous. Il y a-t-il un homme parmi vous qui a la connaissance du livre d'Allah (le Coran), de la Sunna du Prophète et des lois de notre religion. Je jure par Allah que nous possédons toutes ces choses. Ainsi ne vous égarez pas de peur que vous devriez vaguer la vérité." Ali est retourné à la maison sans allégeance et y est resté jusqu'à ce que Fatima soit morte. Ensuite, il a été forcé d'offrir l'allégeance. »

Abu Muhammad Abdullah ibn Qutayba, qui fut un des ulémas sunnites et un Qazi officiel de la ville de Dinawar, écrit dans son célèbre Daulate Bani Umayya de Ta'rikhu'l­Khulafate Raghibin, connu sous le nom de AI-Imama wa's-Siyasa, le volume I, la page 13: "Quand Abu Bakr appris qu'un groupe hostile était réuni dans la maison d'Ali, il leurs envoya Umar qui en arrivant a sa demeure lui cria dessus pour sortir jurer l'allégeance à Abu Bakr, ils ont tout refusé de sortir, Umar ordonna de rassembler du bois et dit: 'je jure par Allah, qui a ma vie dans sa Main, soit vous sortez ou je mettrai le feu à la maison avec tous ceux qui sont dedans.' Les gens ont dit: '0 Abu hafsa! Fatima est également présente dans la maison. ' Il a dit: 'Laissez-là dedans, j'y mettrai le feu à sa maison. ' Tous sont sorti et ont offert l'allégeance, excepté Ali, qui a dit: 'J'ai pris un vœu que jusqu'à ce que j'ai compilé le Coran, je ne sortirai de ma maison, Umar n'accepta pas ceci, mais la lamentation plaintive de Fatima et d'autres l'ont forcé à revenir de nouveau à Abu Bakr, Umar l'invita à forcer Ali à jurer l'allégeance, Abu Bakr a envoyé à Qanfa: plusieurs fois chez Ali, mais il a été toujours déçu. Enfin Umar, avec un groupe de personnes est allé à la maison de Fatima. Elle entendit leurs voix et pleura "0 mon père, Prophète d'Allah! Quelles tortures nous sommes soumis par le fils de Khattab et le fils d'Abi Quhafa!' Lorsque le peuple entendit les lamentations de Fatima, certains sont repartis avec les cœurs brisés, mais Umar resta là avec quelques autres, ils traînèrent Ali hors de sa maison. Ils l'ont porté à Abu Bakr et lui dit de céder l'allégeance. Ali a dit: 'Si je ne jure pas l'allégeance que feriez-vous de moi?' Ils ont dit: 'Nous jurons par Allah que nous casserons ton cou.' Ali a dit: 'Vous tuerez le serviteur d'Allah et le frère de son Prophète?' Umar a indiqué: 'Tu n’es pas le frère du Prophète d'Allah.' Tandis que tout ceci continuait, Abu Bakr est resté silencieux, Umar indiqua à Abu Bakr s'il n'avait pas d'ordres suivant cette affaire, Abu Bakr répondit que tant que Fatima est vivante, je ne forcerai pas Ali à jurer l'allégeance. Ali est alors parvenu à atteindre la tombe du Prophète où pleurant il disait au saint Prophète ce qu'Aaron avait indiqué son frère, Moise, comme enregistré dans le saint Coran: 'fils de ma mère! Sûrement le peuple m'a compté faible et a voulu me tuer.' (7:150)

Fatima (AS) dit à Abou Bakr et à Oumar qu’elle les maudissait tous les deux dans chacune de ses prières jusqu’à sa mort


Après avoir relaté cette affaire en détail, Abu Muhammad Abdullah ibn Qutayba enregistre qu'Ali ne jura pas l'allégeance et retourna à sa maison, Abu Bakr et Umar est allé à la maison de Fatima pour chercher son pardon. Elle a dit: "Allah soit mon témoin que vous deux m'avez offensée. Dans chaque prière je vous maudis et continuerai de vous maudire jusqu'à ce que je voie mon père et je me plaindrais de vous."

Ahmed ibn Abdu'l-Aziz l'un de vos ulémas. Ibn Abi'l-Hadid écrit au sujet de lui dans ses injonctions suivantes: "Il était un homme d'étude, un traditionaliste, une grande figure littéraire." Il écrit dans son Kitab-e-Saqifa et Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali cite également de lui dans son Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 9, sous l'autorité d'Abi'l-Aswad, qui relata: "un groupe des compagnons et de Muhajirin en avant ont exprimé leur indignation sur le califat d'Abu Bakr, ils demandèrent pourquoi ils n'ont pas été consultés. En outre Ali et Zubair exprimèrent leur colère, refusèrent de jurer l'allégeance et se retirèrent chez Fatima. Fatima pleura à haute voix, mais avec aucun effet. Ils ont emporté les épées d'Ali et de Zubair et les ont lancées contre le mur, les cassant. Alors ils les ont traînés à la mosquée pour les forcer à jurer l'allégeance. "

Jauhari rapporte de Salma ibn Abdu'r-Rahman qu' Abu Bakr a entendu qu'Ali, Zubair et une partie des Bani Hashim ont été assemblé dans la maison de Fatima, il a envoyé Umar, il est allé à la porte de la maison de Fatima et a crié, "Sortez ! autrement, je jure que je placerai votre maison sur le feu!"

Arguments soutenant le fait qu’Imam Ali (AS) fut conduit à la mosquée à la pointe d’une épée


Ibn Abi'l-Hadid dans son Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume II, la page 19, relate sous l'autorité de Sha'bi: "Quand Abu Bakr a entendu parler du rassemblement des Bani Hashim dans la maison d'Ali, il a dit à Umar: 'vous et Khalid allez m'apporter Ali et Zubair de sorte qu'ils puissent prendre le serment de l'allégeance.' Ainsi Umar est entré dans la maison de Fatima et Khalid est resté dehors. Umar indiqua à Zubair 'ce qu'est cette épée?' Il a répondu, 'je l'ai acquis pour l'allégeance à Ali. ' Uumar I'a saisi et l'a lancée à l'intérieur de la maison et l'a cassée. Il y avait beaucoup de gens, y compris Miqdad et tout les Bani Hashim. S'adressant à Ali, il a dit: 'levez-vousl Je vous porte à Abu Bakr. Vous devez offrir l'allégeance.' Ali refusa, Umar le traîna à khalid. Lui et umar l'ont traîné, sur le long de la route, attaché au cou, les hommes étaient témoin de cette scène. Lorsque Fatima a vu le comportement d'Umar, elle, avec beaucoup de femmes des Bani Hashim (qui était venu pour la consoler), sont sorties. Elles étaient chagrinées et pleuraient des cris aigus. Fatima est allé à la mosquée où elle a dit à Abu Bakr: 'Pourquoi ayez vous humilié les descendants du Prophète d'Allah. Je jure par Allah, je ne parlerai pas avec Umar jusqu'à ce que je vois Allah.' Fatima a montré son désapprobation extrême à Abu Bakr et ne lui a pas parlé pour le reste de sa vie." (voir le Sahih Bukhari, la partie V et VII).

Abu Walid ibn Muhammad Muhibu'd-din al Hanafi (mort 815 A.h.), énumère dans son de Rauzatu'l-Manazir fi Khabaru'l-Awa'il wa'l-Awakhir, en liaison avec l'affaire de Saqifa: "Umar est venu à la maison d'Ali pour la placer sur le feu avec tous ses détenus. Umar a hurlé: 'Entre: dans ce que la communauté est entrée. »

Tabari, en son volume II, page 443, rapporte de son Ta'rikh de Ziyad ibn Kalbi que "Talha, Zubair et certains des Muhajirins étaient à la maison d'Ali, Umar ibn Khattab y est allé et exigea qu'ils sortent. S'ils ne sortent pas, dit-il, je mettrai le feu à la maison."

Ibn Shahna, dans Hashiyya-e-Kamil d'Ibn Athir, le volume XI, la page 112, écrit en liaison avec le Saqifa : "certains des compagnons du saint Prophète et les Bani Hashim, Zubair, ibn Aswad, Salman Farsi, Abu Dharr Ghifari, Ammar etc ... ont refusé de porter l'allégeance à Abu Bakr. Ils se sont réunis dans la maison d'Ali. Umar y est allé pour brûler sa maison. Fatima protesta, Umar répondit: 'Entrez là où tous les autres sont entrés." Ceux -ci sont un échantillon des nombreux faits historiques enregistrés par vos propres historiens. On a généralement connu cette affaire part des poètes.

Un de vos poètes, Hafiz Ibrahim de l'Egypte indique dans une poésie dans l'éloge d'Umar: "Aucune autre personne sauf Abu Hafsa ne pourrait avoir le courage de s'adresser au chef du clan des Adnan (Ali) et ses camarades en lui disant: 'si vous ne prêtez pas l'allégeance, je placerai votre maison sur le feu et ne laisserai personne dans cette maison vivantes, même Fatima."'

Récits de la la fausse couche de Fatima (AS)



Kitab-e-Isbatu'l-Wasiyya compilé par Husayn Mas'udi. L'auteur Abi'l-Hasan Ali de Muruju'dh-Dhahab. Ils ont transmis en détails les événements de ce jour: "Ils ont encerclé Ali puis ont brûlé la porte de sa maison. Ils l'ont traîné hors de la maison, ils ont coincé la meilleure des femmes, Fatima enceinte, entre la porte et le mur tellement fort, qu'elle fit une fausse couche."

Les chiites n'ont pas inventé ces choses. Ce qui s'est produit a été préservé dans les pages de l'histoire. La perte est un fait.

Vous pouvez également vous référer à Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume III, la page 351. Ibn Abi'l-Hadid a écrit qu’a dit son professeur, Abu Ja'far Naqib : « Hubbar ibn Aswad attaqua Zainab avec une lance, en raison de cela, Zainab perdit sa fille par une fausse couche. Le prophète permis de mettre à mort cet homme. Abu Ja'far continue: 'si le Prophète d'Allah avait été vivant, il aurait également ordonné la même punition pour celui qui avait été la cause de la fausse couche de sa Fille. »

 
Les ulémas sunnites qui ont rapporté ces faits sont:

Izzu'd-din Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali et Muhammad ibn Jarir Tabari, relatent qu'Umar est allé à la porte de la maison d'Ali avec Usayd ibn Khuza'i et un groupe d'hommes, Umar a alors exigé, "Sortez! Ou bien je mettrai le feu à votre maison!"

Ibn Khaziba rapporte dans son Kitab-e-Gharrar de Zaid ibn Aslam, qui a vu: "J'étais un de ceux qui sont allés avec Umar avec des torches à la porte de Fatima. Quand Ali et ses hommes ont refusé d'offrir l'allégeance, Umar hurla à Fatima, "Laissez sortir celui qui est à l'intérieur ! Autrement, je mettrai le feu à votre maison avec ceux qui sont à l'intérieur." Ali, Hasan, Husayn, Fatima, et une partie des compagnons du Prophète et les Bani Hashim étaient à l'intérieur. Fatima indiqua: "vous mettriez le feu à ma maison avec moi et mes fils?" Il a dit: "Oui, par Allah, si vous ne sortez pas et n'offrez pas l'allégeance au calife du Prophète."

Ibn Abd Rabbih, un des ulemas sunnites célèbres écrit dans son Iqdu'l-Farid, la partie III, la page 63, qu'Ali et Abbas s'asseyaient dans la maison de Fatima, Abu Bakr dit à Umar: "Ramenez-moi ces personnes. Si elles refusent de venir, combattez-les." Ainsi Umar est venu à la maison de Fatima avec des torches. Fatima est venue à la porte de sa maison: "Êtes-vous venus pour brûler notre maison?" Il a dit: "oui ... " et ainsi de suite.

Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali dans son Shahre Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 134, citant de Kitab-e-Saqifa de Jauhari, inscrit en détaill'affaire du Saqifa-e-Bani Sa'ad. "Les Bani Hashim et Ali furent rassemblés dans la maison d'Ali. Zubair était également avec eux. Ali avait l'habitude de dire, 'Zubair était toujours avec nous jusqu'à ce que ses fils aient été grands. Ils lui ont tourné le dos contre nous', Umar est allé à la maison de Fatima avec un groupe d'hommes, Usayd et Salma étaient également avec lui, Umar leurs demanda de sortir et de jurer l'allégeance. Ils ont refusé. Zubair a dessiné son épée et est sorti, Umar dit: 'Mettez la main sur ce chien. ' Ils saisirent son épée et l'a jeta contre le mur. Puis, traînèrent Ali à Abu Bakr. Les autre Bani Hashim l'ont également suivi et attendait pour voir ce qu'Ali ferait. Ali disait qu'il était le serviteur d'Allah et le frère du saint Prophète. Personne ne l'a écouté. Ils l'ont porté à Abu Bakr, qui lui a demandé de lui donner le serment de fidélité. Ali répondit: "Je suis la personne qui mérite cette position et je ne te prêterai pas allégeance. C'est vous qui devez me prêter allégeance. Vous avez pris ce droit basé sur votre rapprochement avec le saint Prophète. Je suis plus proche du Prophète que vous, je proteste contre vous. Soyez ainsi juste. Si vous craignez Allah, acceptez mon droit. Autrement, vous devriez reconnaître que vous m'avez intentionnellement opprimé.' Umar dit: 'Nous ne vous laisserons pas jusqu'à ce que vous juriez l'allégeance.' Ali dit: 'Vous avez conspiré ensemble. Aujourd'hui vous le soutenez; de sorte que demain, il puisse vous renvoyer le califat. Je jure par Allah que je ne me conformerai pas à votre demande, que je ne vous offrirai pas le serment d'allégeance (à Abu Bakr). Il devrait me jurer allégeance à moi.' Alors il a tourné son visage vers le peuple et a dit: '0 Muhajirs! Craignez Allah. N'emportez pas le droit de l'autorité de la famille de Muhammad. Mon droit a été ordonné par Allah. N'enlevez pas la personne légitime de sa place. Par Allah, Nous, les Ahle-bait avons une plus grande autorité dans cette affaire que vous. Il y a-t-il un homme parmi vous qui a la connaissance du livre d'Allah (le Coran), de la Sunna du Prophète et des lois de notre religion. Je jure par Allah que nous possédons toutes ces choses. Ainsi ne vous égarez pas de peur que vous devriez vaguer la vérité." Ali est retourné à la maison sans allégeance et y est resté jusqu'à ce que Fatima soit morte. Ensuite, il a été forcé d'offrir l'allégeance. »

Abu Muhammad Abdullah ibn Qutayba, qui fut un des ulémas sunnites et un Qazi officiel de la ville de Dinawar, écrit dans son célèbre Daulate Bani Umayya de Ta'rikhu'l*Khulafate Raghibin, connu sous le nom de AI-Imama wa's-Siyasa, le volume I, la page 13: "Quand Abu Bakr appris qu'un groupe hostile était réuni dans la maison d'Ali, il leurs envoya Umar qui en arrivant a sa demeure lui cria dessus pour sortir jurer l'allégeance à Abu Bakr, ils ont tout refusé de sortir, Umar ordonna de rassembler du bois et dit: 'je jure par Allah, qui a ma vie dans sa Main, soit vous sortez ou je mettrai le feu à la maison avec tous ceux qui sont dedans.' Les gens ont dit: '0 Abu hafsa! Fatima est également présente dans la maison. ' Il a dit: 'Laissez-là dedans, j'y mettrai le feu à sa maison. ' Tous sont sorti et ont offert l'allégeance, excepté Ali, qui a dit: 'J'ai pris un vœu que jusqu'à ce que j'ai compilé le Coran, je ne sortirai de ma maison, Umar n'accepta pas ceci, mais la lamentation plaintive de Fatima et d'autres l'ont forcé à revenir de nouveau à Abu Bakr, Umar l'invita à forcer Ali à jurer l'allégeance, Abu Bakr a envoyé à Qanfa: plusieurs fois chez Ali, mais il a été toujours déçu. Enfin Umar, avec un groupe de personnes est allé à la maison de Fatima. Elle entendit leurs voix et pleura "0 mon père, Prophète d'Allah! Quelles tortures nous sommes soumis par le fils de Khattab et le fils d'Abi Quhafa!' Lorsque le peuple entendit les lamentations de Fatima, certains sont repartis avec les cœurs brisés, mais Umar resta là avec quelques autres, ils traînèrent Ali hors de sa maison. Ils l'ont porté à Abu Bakr et lui dit de céder l'allégeance. Ali a dit: 'Si je ne jure pas l'allégeance que feriez-vous de moi?' Ils ont dit: 'Nous jurons par Allah que nous casserons ton cou.' Ali a dit: 'Vous tuerez le serviteur d'Allah et le frère de son Prophète?' Umar a indiqué: 'Tu n’es pas le frère du Prophète d'Allah.' Tandis que tout ceci continuait, Abu Bakr est resté silencieux, Umar indiqua à Abu Bakr s'il n'avait pas d'ordres suivant cette affaire, Abu Bakr répondit que tant que Fatima est vivante, je ne forcerai pas Ali à jurer l'allégeance. Ali est alors parvenu à atteindre la tombe du Prophète où pleurant il disait au saint Prophète ce qu'Aaron avait indiqué son frère, Moise, comme enregistré dans le saint Coran: 'fils de ma mère! Sûrement le peuple m'a compté faible et a voulu me tuer.' (7:150)

Fatima (AS) dit à Abou Bakr et à Oumar qu’elle les maudissait tous les deux dans chacune de ses prières jusqu’à sa mort


Après avoir relaté cette affaire en détail, Abu Muhammad Abdullah ibn Qutayba enregistre qu'Ali ne jura pas l'allégeance et retourna à sa maison, Abu Bakr et Umar est allé à la maison de Fatima pour chercher son pardon. Elle a dit: "Allah soit mon témoin que vous deux m'avez offensée. Dans chaque prière je vous maudis et continuerai de vous maudire jusqu'à ce que je voie mon père et je me plaindrais de vous."

Ahmed ibn Abdu'l-Aziz l'un de vos ulémas. Ibn Abi'l-Hadid écrit au sujet de lui dans ses injonctions suivantes: "Il était un homme d'étude, un traditionaliste, une grande figure littéraire." Il écrit dans son Kitab-e-Saqifa et Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali cite également de lui dans son Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 9, sous l'autorité d'Abi'l-Aswad, qui relata: "un groupe des compagnons et de Muhajirin en avant ont exprimé leur indignation sur le califat d'Abu Bakr, ils demandèrent pourquoi ils n'ont pas été consultés. En outre Ali et Zubair exprimèrent leur colère, refusèrent de jurer l'allégeance et se retirèrent chez Fatima. Fatima pleura à haute voix, mais avec aucun effet. Ils ont emporté les épées d'Ali et de Zubair et les ont lancées contre le mur, les cassant. Alors ils les ont traînés à la mosquée pour les forcer à jurer l'allégeance. "

Jauhari rapporte de Salma ibn Abdu'r-Rahman qu' Abu Bakr a entendu qu'Ali, Zubair et une partie des Bani Hashim ont été assemblé dans la maison de Fatima, il a envoyé Umar, il est allé à la porte de la maison de Fatima et a crié, "Sortez ! autrement, je jure que je placerai votre maison sur le feu!"

Arguments soutenant le fait qu’Imam Ali (AS) fut conduit à la mosquée à la pointe d’une épée


Ibn Abi'l-Hadid dans son Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume II, la page 19, relate sous l'autorité de Sha'bi: "Quand Abu Bakr a entendu parler du rassemblement des Bani Hashim dans la maison d'Ali, il a dit à Umar: 'vous et Khalid allez m'apporter Ali et Zubair de sorte qu'ils puissent prendre le serment de l'allégeance.' Ainsi Umar est entré dans la maison de Fatima et Khalid est resté dehors. Umar indiqua à Zubair 'ce qu'est cette épée?' Il a répondu, 'je l'ai acquis pour l'allégeance à Ali. ' Uumar I'a saisi et l'a lancée à l'intérieur de la maison et l'a cassée. Il y avait beaucoup de gens, y compris Miqdad et tout les Bani Hashim. S'adressant à Ali, il a dit: 'levez-vousl Je vous porte à Abu Bakr. Vous devez offrir l'allégeance.' Ali refusa, Umar le traîna à khalid. Lui et umar l'ont traîné, sur le long de la route, attaché au cou, les hommes étaient témoin de cette scène. Lorsque Fatima a vu le comportement d'Umar, elle, avec beaucoup de femmes des Bani Hashim (qui était venu pour la consoler), sont sorties. Elles étaient chagrinées et pleuraient des cris aigus. Fatima est allé à la mosquée où elle a dit à Abu Bakr: 'Pourquoi ayez vous humilié les descendants du Prophète d'Allah. Je jure par Allah, je ne parlerai pas avec Umar jusqu'à ce que je vois Allah.' Fatima a montré son désapprobation extrême à Abu Bakr et ne lui a pas parlé pour le reste de sa vie." (voir le Sahih Bukhari, la partie V et VII).

Abu Walid ibn Muhammad Muhibu'd-din al Hanafi (mort 815 A.h.), énumère dans son de Rauzatu'l-Manazir fi Khabaru'l-Awa'il wa'l-Awakhir, en liaison avec l'affaire de Saqifa: "Umar est venu à la maison d'Ali pour la placer sur le feu avec tous ses détenus. Umar a hurlé: 'Entre: dans ce que la communauté est entrée. »

Tabari, en son volume II, page 443, rapporte de son Ta'rikh de Ziyad ibn Kalbi que "Talha, Zubair et certains des Muhajirins étaient à la maison d'Ali, Umar ibn Khattab y est allé et exigea qu'ils sortent. S'ils ne sortent pas, dit-il, je mettrai le feu à la maison."

Ibn Shahna, dans Hashiyya-e-Kamil d'Ibn Athir, le volume XI, la page 112, écrit en liaison avec le Saqifa : "certains des compagnons du saint Prophète et les Bani Hashim, Zubair, ibn Aswad, Salman Farsi, Abu Dharr Ghifari, Ammar etc ... ont refusé de porter l'allégeance à Abu Bakr. Ils se sont réunis dans la maison d'Ali. Umar y est allé pour brûler sa maison. Fatima protesta, Umar répondit: 'Entrez là où tous les autres sont entrés." Ceux -ci sont un échantillon des nombreux faits historiques enregistrés par vos propres historiens. On a généralement connu cette affaire part des poètes.

Un de vos poètes, Hafiz Ibrahim de l'Egypte indique dans une poésie dans l'éloge d'Umar: "Aucune autre personne sauf Abu Hafsa ne pourrait avoir le courage de s'adresser au chef du clan des Adnan (Ali) et ses camarades en lui disant: 'si vous ne prêtez pas l'allégeance, je placerai votre maison sur le feu et ne laisserai personne dans cette maison vivantes, même Fatima."'

Récits de la la fausse couche de Fatima (AS)



Kitab-e-Isbatu'l-Wasiyya compilé par Husayn Mas'udi. L'auteur Abi'l-Hasan Ali de Muruju'dh-Dhahab. Ils ont transmis en détails les événements de ce jour: "Ils ont encerclé Ali puis ont brûlé la porte de sa maison. Ils l'ont traîné hors de la maison, ils ont coincé la meilleure des femmes, Fatima enceinte, entre la porte et le mur tellement fort, qu'elle fit une fausse couche."

Les chiites n'ont pas inventé ces choses. Ce qui s'est produit a été préservé dans les pages de l'histoire. La perte est un fait.

Vous pouvez également vous référer à Sharhe Nahju'l-Balagha, le volume III, la page 351. Ibn Abi'l-Hadid a écrit qu’a dit son professeur, Abu Ja'far Naqib : « Hubbar ibn Aswad attaqua Zainab avec une lance, en raison de cela, Zainab perdit sa fille par une fausse couche. Le prophète permis de mettre à mort cet homme. Abu Ja'far continue: 'si le Prophète d'Allah avait été vivant, il aurait également ordonné la même punition pour celui qui avait été la cause de la fausse couche de sa Fille. »


Barak Allah fiki
 
:basmallah

Salamou aleykoum,


J'ai une question, disons un peu complexe :

- Pourquoi le Messager de Dieu (sws), ne sait-il (sws) pas occupé des futurs tyrans ? Soit par la mise à mort, soit pas la prévention explicite (en citant leur nom à chaque discours), soit par un bannissement.


Merci.
 
:basmallah

Salamou aleykoum,


J'ai une question, disons un peu complexe :

- Pourquoi le Messager de Dieu (sws), ne sait-il (sws) pas occupé des futurs tyrans ? Soit par la mise à mort, soit pas la prévention explicite (en citant leur nom à chaque discours), soit par un bannissement.


Merci.



salam le role des messaeger est d'annoncer les bonne nouvelle et de les prevenir d'un chatiment imminent pour ceux qui desobeissen t .

de plus tu remarquera dans la sunna qu'il ya beaucoup de hadith appelant a l'amour pour la famille de rassoul allah saw de meme aussi a un chatiment a quiconque leur fait du mal genre :

hadith :celui qui aime hassan est hussein m'aime et celui qui les deteste me deteste .

aimer ali c'est la foi le detester c de l'hypocrisie ( je me rapelle plus hadith genre )

ce qui laisse pencer que le messager savait cequi allait se passer est a mis sufisament en garde la communauté comment il devait traiter avec sa famille quand il sera plus la . de plus la discorde est arrivé a son decés
 
Salam,


Baraka-allaoufik mon frère.

Après réflexion, je pense que ma question n'a pas lieu d'être posé. Tout est volonté divine. C'est comme si je disais pourquoi le monde existe si Allah :jjl: connait déjà le futur. Excusez donc de ma question. Une petite bévue de ma part.
 
salam pa de probleme mon frere que la paix et la benediction d'alah soubhana soit sur toi est les frere et soeur sincere de se forum
 
:basmallah

Salamou aleykoum,


J'ai une question, disons un peu complexe :

- Pourquoi le Messager de Dieu (sws), ne sait-il (sws) pas occupé des futurs tyrans ? Soit par la mise à mort, soit pas la prévention explicite (en citant leur nom à chaque discours), soit par un bannissement.


Merci.

786-92-110

Salaam très cher frère !!!


La réponse se trouve dans le saint livre de Dieu !!! après le rendez vous des 30 nuits complétées par 10 soit en "chiffres indiciaires" du nombre des "califes" après le rappel du saint prophète à son seigneur : "3" ( de 30) + 1 ( de 10) => "3"+"1" ( il s'agit là d'un "dénombrement" par arrangement intuitif, avec potentiellement des permuttations, des factorielles, des suites numériques et géométriques ... pour toutes sortes d'exemples dont "nous n'avons rien ommis de mentionner dans le coran"

20:83--98
"Pourquoi Moïse t'es-tu hâté de quitter ton peuple? " (83) Ils sont là sur mes traces, dit Moïse. Et je me suis hâté vers Toi, Seigneur, afin que Tu sois satisfait. (84) Allah dit: "Nous avons mis ton peuple à l'épreuve après ton départ. Et le Samiri les a égarés". (85)

[Moïse] dit: "Qu'est-ce qui t'a empêché, Aaron, quand tu les as vus s'égarer. (92) de me suivre? As-tu donc désobéi à mon commandement? " (93) [Aaron] dit: "ô fils de ma mère, ne me prends ni par la barbe ni par la tête. Je craignais que tu ne dises: "Tu as divisé les enfants d'Israël et tu n'as pas observé mes ordres". (94) Alors [Moïse] dit: "Quel a été ton dessein? ô Samiri? " (95) Il dit: "J'ai vu ce qu'ils n'ont pas vu: j'ai donc pris une poignée de la trace de l'Envoyé; puis, je l'ai lancée. Voilà ce que mon âme
suggéré". (96) "Va-t-en, dit [Moïse]. Dans la vie, tu auras à dire (à tout le monde): "Ne me touchez pas! " Et il y aura pour toi un m'a rendez-vous que tu ne pourras manquer. Regarde ta divinité que tu as adorée avec assiduité. Nous la brûlerons certes, et ensuite, nous disperserons [sa cendre] dans les flots. (97) En vérité, votre seul Dieu est Allah en dehors de qui il n'y a point de divinité. De Sa science Il embrasse tout. (98)
et il se souvient que même les hypocrites Salafous Wahhabis attestent que :

D'après Sa`d ibn 'Abî Waqqâs (qu'Allah soit satisfait de lui),

le Prophète a dit à `Alî: "Tu es vis-à-vis de moi dans la situation de Aaron à l'égard de Moïse, avec cette différence qu'après moi il n'y aura plus de Prophète".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 4418
http://hadith.al-islam.com/Bayan/Display.asp?Lang=frn&ID=1384

Le "Aaron" ( Ali -as-) du "Moîse" ' Mohammad ibn Abdullah -saws-) des Bani Hashim devrait-il agir autrement que comme l'avait fait son "alter-ego" Haaroun (as) des Bani Isra'il vis à vis de Samiriy (l.a) et ses soutients ( Balaam, Coré...) en l'abscence de Moise (as) ?!

Tel fut le comportement de l'imam Ali (as) suivant même les ordres d'Allah (swt) et les prescriptions du saint prophète (saws) à savoir;s'occuper de la préservation et de la sauvegarde du saint coran et de l'établissement de la religion quand la oumma ira dans tous les sens (des déviations possibles); voir aussi le sermon d'adieu de "Ghadir Qom" et Nahj ul balagha ( sermon "shiqshiqiya") pour de plus amples précisions sur les hypocrites à la lumière de la partie non révélée du secret divin de la sourate 66 ( At -Tahrim).

[QUOTE]Lorsque le Prophète confia un secret à l'une de ses épouses et qu'elle l'eut divulgué et qu'Allah l'en eut informé, celui-ci en fit connaître une partie et passa sur une partie. Puis, quand il l'en eut informée elle dit: "Qui t'en a donné nouvelle? " Il dit: "C'est l'Omniscient, le Parfaitement Connaisseur qui m'en a avisé". (3)[/QUOTE]

Les disputeurs déclarés comme ce frère Roger ( Alias janna59) qui est encore au stade primaire de la recherche dans la voie de l'école des ahl ul bayt (as) n'a pas encore fini de lire les bouquins qu'il a acquis argent comptant du côté de coureneuve. c'est déja un effort méritoire, digne et noble pour lui de s'intéresser au chiisme, mais de là à traiter les gens de tous les noms d'oiseaux ?!, ...franchement que Dieu le guide vers sa lumière. sachons seulement que c'est une âme qui cherche sa voie, et il y a toujours une excuse pour l'ignorance ... mais il devrait faire table rase de toutes les historiettes perfides de la pensée sioniste qu'on lui a inculqué des années durant comme celui d'essayer de diviser les musulmans sunnites et chiites d'une part et les chiites entre eux d'autre part; c'est un sport dans lequel il semble exceller malheureusement et l'individu non éclairé est toujours fonction de l'environnement dans lequel il évolue ...

Que Dieu nous pardonne et nous protège des malheurs de l'égarement en ce saint jour de vendredi béni.

Ma'a Salaam
 
:basmallah

Salamou aleykoum,


J'ai une question, disons un peu complexe :

- Pourquoi le Messager de Dieu (sws), ne sait-il (sws) pas occupé des futurs tyrans ? Soit par la mise à mort, soit pas la prévention explicite (en citant leur nom à chaque discours), soit par un bannissement.


Merci.

Assalamu 'alaykum wa rahmatullah

La justice veut qu'on juge le criminel après qu'il ait commis un crime, et non avant, même si on sait qu'il a l'intention de commettre ce crime.

Par ailleurs, dans les hadith, il est expliqué que si le Prophète (saw) avait banni les compagnons avant d'avoir eu des preuves tangibles des méfaits de certains compagnons, alors il aurait été accusé de vouloir favoriser sa propre famille au détriment des autres tribus, et les alliances n'auraient pu s'établir, et donc l'Islam n'aurait pu s'établir dans le monde arabe pour commencer.

Wa 'alaykum salam
 
Salam aleykum,

La raison en est que ,
Il y a un arbre béni qui est guidance pour les gens,(arbre de la prophétie et de l'imamat)
Et un arbre maudit qui est épreuve pour les gens.(arbre d'iblis et des opposants aux prophètes et aux imams (as))

S16V93: " Si Allah avait voulu, Il aurait certes fait de vous une seule communauté. Mais Il laisse s’égarer qui Il veut et guide qui Il veut. Et vous serez certes, interrogés sur ce que vous faisiez."
 
Assalamu 'alaykum

J'espère que vous arriverez à traduire ceci, ou que Google sera suffisant :

Salamu alaikum regarding why Imam Ali ibn Abi Talib
as.gif
did not go out and fight (or order his followers to fight) the usurpers and criminals like Umar ibn al-Khattab, etc. I recommend this great article and here is the explanation; from: http://www.answering...ah/en/chap7.php

Quote- Why Maula Ali
as.gif
didn't raise his Dhulfiqar against Sheikhain?

This has been a very common Nasibi argument, and is tactically used by the followers of Mu'awiya to mock the Shi'a. We should point out to these people Nasibi that Imam 'Ali
as.gif
's decision not to take physical action was not due to his practicing Taqiyya (through fear of life) and neither was it because he loved the three khalifas. His decision was based on the following reasons as we have set out:


Reply One - It was Abu Bakr's duty to return what was not his, not Imam Ali to demand it

Simple example. A man has a son and bequeaths his property to him he does openly in the presence of witnesses, (that include his uncle). If when the father dies his uncle seizes the property and claims it as his, places guard to guard the property. In such circumstances the uncle is the usurper the son is the aggrieved party. In such circumstances it is incumbent on the Uncle to RETURN the property to his nephew, not on the nephew to use force to take it back. When the uncle is in the wrong the onus is on him to put things right not the son to fight for his right.


Reply Two - Imam 'Ali did not want to cause open division and bloodshed

These Nawasib need to look at the situation at THAT particular time when Abu Bakr seized power. Allah (swt) declared clearly that Madina and its surrounding locality was FULL of munafiq (Surah Munafiqoon). Rasul (s) has stated that the sign of a munafiq is hatred of Imam 'Ali. Hence Madina was full of Imam 'Ali 's opponents who were looking for the excuse to harm him. Abu Bakr had full control of the State machinery. He was in power / had the army at his disposal etc. Had he risen at that time he along with the Shi'a would have been wiped out, on the excuse that it was right to do so to quell sedition.

Don't forget we read in Tabari that Umar was prepared to set alight the house of Sayyida Fatima because men in her home had gathered in opposition to Abu Bakr. If Umar was so ruthless to not even care for the life of Sayyida Fatima[as] then he would have had no hesitation in killing her husband and her supporters.

At that time, Imam 'Ali had to think what was best for his followers; any opposition would have caused loss of life. Any action at that time would have caused major dissension and bloodshed, and Rasul (s) said:

"Your position to me is like the position of Aaron to Moses, except that there shall be no Prophet after me"

1. Sahih al-Bukhari, Arabic-English version, Traditions 5.56 and 5.700
2. Sahih Muslim, Arabic, section of virtues of Ali, v4, pp 1870-71
3. Sunan Ibn Majah, p12
4. Musnad Ahmad Ibn Hanbal, v1, p174
5. al-Khas'is, by al-Nisa'i, pp 15-16
6. Mushkil al-Athar, by al-Tahawi, v2, p309

The analogy that Prophet
pbuh.gif
mentioned in the above tradition, became a reality after his demise. Most of companions (except few) became disloyal to Ali
as.gif
after the death of Prophet
pbuh.gif
, turned against him, and preferred some other people to him. The majority of people disobeyed Ali
as.gif
, as their forefathers disobeyed Haroon
as.gif
. They did not take lessons from the Quran and the history, and thus history repeated itself. The repetition of the history of the Children of Israel for Muslims was confirmed by Prophet (s).

Narrated Abu Sa'id al-Khudri:
The Prophet said, "You will follow the ways of those nations who were before you, span by span and cubit by cubit (i.e., inch by inch) so much so that even if they entered a hole of a mastigure (lizard), you would follow them." We said, "O Allah's Apostle! (Do you mean) the Jews and the Christians?" He said, "Whom else?"
Sahih al-Bukhari Hadith: 9.422

Think for a while... Why would the Prophet (a) compare his companions to the Jews and the Christians, knowing full well that the Jews and the Christians have mutilated and perverted the religion of Allah (swt)?

Because Allah (swt) had told him (s) that your companions will turn back, except the select few.

Now if we analyse the Quran; we read that Prophet Musa
as.gif
became extremely upset when he heard that Bani Israel started worshipping the idol of a calf. He came back from Miqaat and grabbed Haroon
as.gif
by his beard. Harun
as.gif
replied in a distressed state:

(20:94) "O son of my mother, do not seize me by my beard or my head. Truly, I feared but you should say that I caused a division among the Bani-Isra'il and did not respect my word"

In the same way that Harun did not intervene at that particular time fearing further fragmentation amongst the Ummah, Imam Ali
as.gif
also did not act as he did not want the Ummah to be at each others throats since the only beneficiaries would be the munafiqs who would exploit the situation and destroy Islam through internal deception.

Reply Three- The wider situation meant it would have been disastrous to act

On a wider scale look at the situation at the time. We had munafiqs in Madina, and worse the threat of attack from the neighbouring Christian Byzantine Empire. This was a very real danger since in 10 Hijri, Rasul (s) led the expedition of Tabuk to counter the Byzantine threat. On top of that in the Arabian Peninsula, Musalimah had risen up and declared himself a Prophet (s) and was making preparations to attack Madina. Had Imam Ali at this stage rose up, the Ummah would have been totally fragmented, Muslims would have been fighting each other and Musalimah the liar. What better time would there have been for the Byzantines to attack than when the Muslims were divided, fighting each other AND fighting Musalimah? At that time the Ummah would have been so weak on account of internal upheaval there would have been a real risk of the Byzantines invading and destroying the Muslim Ummah. In such circumstances Imam Ali had the interests of the Deen as priority, he did not want to trigger any event that might inflict harm to the Deen and its adherents. If anything this shows the greatness of the Imam that he was willing to sacrifice his right, if it meant a guarantee that the Deen and its adherents were protected from harm.

Reply Four - Imam Ali was following the Sunnah of Rasul (s), desisting from actions that might be exploited by non Muslims

We read in Sahih al Bukhari Volume 6, Book 60, Number 428: Narrated Jabir bin 'Abdullah:

We were in a Ghazwa (Sufyan once said, in an army) and a man from the emigrants kicked an Ansari man (on the buttocks with his foot). The Ansari man said, "O the Ansar! (Help!)" and the emigrant said. "O the emigrants! (Help!) Allah's Apostle heard that and said, "What is this call for, which is characteristic of the period of ignorance?" They said, "O Allah's Apostle! A man from the emigrants kicked one of the Ansar (on the buttocks with his foot)." Allah's Apostle said, "Leave it (that call) as is a detestable thing." 'Abdullah bin Ubai heard that and said, 'Have the (the emigrants) done so? By Allah, if we return Medina, surely, the more honorable will expel therefrom the meaner." When this statement reached the Prophet. 'Umar got up an, said, "O Allah's Apostle! Let me chop off the head of this hypocrite ('Abdullah bin Ubai)!" The Prophet said "Leave him, lest the people say that Muhammad kills his companions." The Ansar were then more in number than the emigrants when the latter came to Medina, but later on the emigrant increased.

The reference makes it clear that a hypocrite was sitting in the midst of the Sahaba, Umar offered to have him killed, but Rasul (s) said "Leave him, lest the people say that Muhammad kills his companions; i.e. he (s) did not want his actions to be exploited / incorrectly interpreted by non Muslims. In the same way that Rasul (s) had spared the life of a hypocrite fearing that outside elements would exploit the situation, Imam Ali acted on the Sunnah of Rasul (s) refraining from lifting his sword as he was aware that outside elements would have picked up on this and painted a damaging image of Islam.

The true Imam thinks about consequences of actions both present and future. Imam Ali did not want to act in a manner that would be exploited by future non Muslim generations in a manner that would be detrimental to the Deen. Had Imam Ali raised his sword at that time then no doubt anti Muslim elements of that time and present would have exploited the situation to the max they would have said 'Look, this is Islam, its all about power here we have the closest companions fighting not for religion but the throne of Muhammad (s)'

This portrayal would have created a very bad image of Islam, non-Muslims would have picked up on this and exploited it, and it would have repelled people away from Islam. If Rasul (s) refrained from lifting the sword against a munafiq fearing the perception of outsiders, then Imam Ali was fully within his rights when he refrained from raising his sword against Abu Bakr, to do so was the Sunnah of Rasul (s).
 
Assalamu 'alaykum

Les images parlent plus que les mots :

[video=youtube;kVBF3xvAyRE]http://www.youtube.com/watch?v=kVBF3xvAyRE&feature=related[/video]



[video=youtube;RsieVC8NhU4]http://www.youtube.com/watch?v=RsieVC8NhU4&feature=related[/video]

Attack on Fatima 's (A.S.) House !


1-Infallibly of Zahra (a.s.) in the words of Prophet (s.a.).

2-Respect to the house of her holiness in Qur'an and tradition.

3-Desecration of her house after the departure of her superior father.


It is important to know that all matters written here are taken from famous Sonni resources.
1- Infallibly of Zahra (a.s.) in the words of Prophet (s.a.).

Honorable daughter of Prophet (s.a.) has eminent rank. Words of holy prophet (s.a.) about his daughter tell her infallibly and innocence. He says about her:

"فاطمه بضعة منّي فمن أغضبها أغضبني"1



Fatima is a part of my body, anyone who made her angry, has made me angry.

It is an obvious matter that making Prophet (s.a.) angry is equal to annoying and disturbing him and the penalty of such a person has been said in holy Qur'an as follows:

والّذين يؤذون رسول الله لهم عذابٌ أليم
” (Tawba Sura, verse 61).

“And those how annoy prophet of Allah then there is a painful penalty for them”.

What proof more can be more reliable for her infallibly than this expression from Prophet (s.a.) who says in another Hadith that her satisfaction is the reason of satisfaction of Allah and her anger caused the anger of Allah.

يا فاطمة انّ الله يغضب لغضبك و يرضي لرضاك2

“Fatima! Indeed Allah will be angry with your anger and he will be satisfied with your satisfaction”.

According to such an eminence, she is the lady of all women of the world and Prophet says about him:

يا فاطمة! ألا ترضين أن تكون سيّدة نساء العالمين و سيّدة نساء هذه الأمّة و سيّدة نساء المؤمنين؟”3

“Fatima! Aren’t you satisfied of this superiority which Allah has given to you to be the lady of women of both worlds and the lady of women of this nation and the lady of believer women?”
1- Fath Albari in the explanation of Sahih of Bokhari: 84/7 and also Bokhari has mentioned this in the section of signs of prophecy, vol. 6, page 491 and the ending sections of Maghazi, vol. 8, page 110.
2- Mustadrak of Haakem: 154/3; Majma’ Al-Zawa’ed: 203/9 and Haakem mentions Ahadith in order to fulfill the conditions which Bokhari and Muslims considered necessary to prove a Hadith.
3- Mustadrak of Haakem: 156/3.


2- Respect to the house of her holiness in Qur'an and tradition.

Hadith tellers remind that when the holy verse

في بيوت أذن الله أن ترفع و يذكر فيها اسمه 1
(Noor Sura, verse 36) descended to Prophet (s.a.), he recited this verse in mosque, and at that time a person stood up and said:

Eminent Prophet! What is the purpose of “بيوت” (houses) with such a high importance?

Prophet (s.a.) answered: Houses of prophets!

At that time Abu Bakr stood up and, while he was pointing to the house of Ali and Fatima (a.s.), asked:

Is this house one of those houses?

Prophet (s.a.) answered:

Yes, it is one most eminent of them.(2)

Holy prophet (s.a.) had been going to the house of his daughter for nine months and said hello to her and her dear husband and recited this verse for them:

انّما يريد الله ليذهب عنكم الرّجس أهل البيت و يطهّركم تطهير”
. (Ahzab Sura, verse 33)(3)

The house which is the center of light of Allah and he has ordered to endearment of that has lots of respect.

Yes, the house which holds the “companions of Kasa (cloak)” in it and Allah talks about it with eminence and superiority should be respectful to all Muslims.

Now, we should see that how much the respect of this house had been observed after the departure of prophet (s.a.)? How they disrespect that house and they confessed to this truth themselves? Who were these people who desecrated this house and what was their goal?
1- (The light of Allah) is in houses that Allah has permitted their dignity to be raised and his name recites in them.

2- قرأ رسول الله هذه الآية (فى بيوت أذن الله أن ترفع و يذكر فيها اسمه» فقام إليه رجل: فقال: أي بيوت هذه يا رسول الله(صلى الله عليه وآله)؟ قال: بيوت الأنبياء، فقام إليه أبوبكر، فقال: يا رسول الله(صلى الله عليه وآله): أ هذا البيت منها، ـ مشيراً إلى بيت علي و فاطمة(عليهما السلام) ـ قال: نعم، من أفاضلها.
(Al-Dorr Al-Manthoor: 230/6; Explanation of Noor Sura, Rooh Al-Ma’aani: 174/18)
3- Dorr Al-Manthoor: 606/6.


3- Desecration of the house of her holiness!

Yes, with all these emphasized recommendations, unfortunately some people ignore the respect of that house and desecrated it, and this is not an issue which can be hid.

We quoted some text exactly the same as they are in Sonni books in order to clear the fact that desecration of house of Zahra (a.s.) is a historical incident and it is not a legend!! And while it was a custom to censor the superiorities in the age of first caliphs, but as “the truthfulness of a thing is its guardian” this historical fact has been remained safe in historical and Hadith books and we observe the sequence of times in quoting the resources from the beginning centuries to the contemporary authors.
1- Ibn Abi Shiba and the book “Musannaf”

Abu Bakr ibn Abi Shiba (159-235), author of the book “AL-Musannaf”, quotes with reliable evidence that:

انّه حين بويع لأبيبكر بعد رسول الله (صلى الله عليه وآله) كان علي و الزبير يدخلان على فاطمة بنت رسول الله، فيشاورونها و يرتجعون في أمرهم.

فلما بلغ ذلك عمر بن الخطاب خرج حتى دخل على فاطمة، فقال: يا بنت رسول الله (صلى الله عليه وآله) و الله ما أحد أحبَّ إلينا من أبيك و ما من أحد أحب إلينا بعد أبيك منك، و أيم الله ما ذاك بمانعي إن اجتمع هؤلاء النفر عندك أن امرتهم أن يحرق عليهم البيت.

قال: فلما خرج عمر جاؤوها، فقالت: تعلمون انّ عمر قدجاءَني، و قد حلف بالله لئن عدتم ليُحرقنّ عليكم البيت، و أيم الله لَيمضين لما حلف عليه.7

When people accepted Abu Baker as their caliph, Ali (a.s.) and Zubayr were discussing and consulting in the house of Fatima (a.s.), and this news had been reached Omar ibn Khattab. He came to the house of Fatima (a.s.) and said: Daughter of prophet of Allah (a.s.)! The dearest person for us is your father and after his it is you; but I swear to Allah that this affection cannot prevent from ordering to burn the house down if these people get together again in your house.

He said these words and leave there. When Ali (a.s.) and Zubayr returned home, honorable daughter of Prophet (s.a.) told them: Omar came to me and swore to Allah to burn this house on you if your congregation repeats. Swear to Allah! He will do the thing that he has sworn!(1)

We reminded that this incident has been quoted in the book “Al-Musannaf” with reliable evidence.
1- Musannaf of Ibn Abi Shiba: 572.8, the book Al-Maghazi.
2) Balazari and the book “Ansab Al-Ashraf”

Ahmad ibn Yahya Jaber Baghdadi Balazari (died 270), famous author and owner of great history, quotes this incident in the book “Ansab Al-Ashraf” as follows:

انّ أبابكر أرسل إلى علىّ يريد البيعة فلم يبايع، فجاء عمر و معه فتيلة! فتلقته فاطمة على الباب.

فقالت فاطمة: يابن الخطاب، أتراك محرقاً علىّ بابي؟ قال: نعم، و ذلك أقوى فيما جاء به أبوك ...1

Abu Bakr sent for Ali (a.s.) in order to take his pledge of allegiance and Ali (a.s.) refused. Then Omar went with a fuse and met Fatima (a.s.) at the doorway of the house; Fatima (a.s.) said: Son of Khattab! I see that you are intending to burn my house?! Omar said: Yes, this act is for helping the thing that your father has been chosen for!!
3) Ibn Qutayba and the book “Al-Imama wa Al-Siasa”

Famous historian Abdullah ibn Muslim ibn Qutayba Dinawaree (212-276) is one of the leaders of literature and hard working author in the field of Islamic history. He is the author of the books “

"تأويل مختلف الحديث"
and

"ادب الكاتب"
and … .(2) He writes in the book “Al-Imama wa Al-Siasa”:

انّ أبابكر رضي الله عنه تفقد قوماً تخلّقوا عن بيعته عند علي كرم الله وجهه فبعث إليهم عمر فجاء فناداهم و هم في دار علي، فأبوا أن يخرجوا فدعا بالحطب و قال: والّذي نفس عمر بيده لتخرجن أو لاحرقنها على من فيها، فقيل له: يا أبا حفص انّ فيها فاطمة فقال، و إن!!(3)

Abu Bakr asked about the absence of those who had refused to give him the pledge of allegiance and had congregated in the house of Ali (a.s.) and sent Omar for them. He went to the house of Ali (a.s.) and called them to exit the house and they ignored him. At that time Omar asked for firewood and said: Swear to the God who has the life of Omar in his hands, exit the house or I’ll burn it on you. A man told Omar: O Aba Hafs (his nickname)! There is Fatima (a.s.), the daughter of Prophet (s.a.) in this house. He said: So what!!

Ibn Qutayba has written the rest of this story more plaintive and painful. He says:

ثمّ قام عمر فمشى معه جماعة حتى أتوا فاطمة فدقّوا الباب فلمّا سمعت أصواتهم نادت بأعلى صوتها يا أبتاه رسول الله ماذا لقينا بعدك من ابن الخطاب، و ابن أبيقحافة فلما سمع القوم صوتها و بكائها انصرفوا. و بقي عمر و معه قوم فأخرجوا علياً فمضوا به إلى أبيبكر فقالوا له بايع، فقال: إن أنا لم أفعل فمه؟ فقالوا: إذاً و الله الّذى لا إله إلاّ هو نضرب عنقك...(4)

Omar accompanying a group came to the house of Fatima (a.s.) and knocked the door. When she heard their voiced, said in a loud voice: O prophet of Allah! What sorrows happened to us after you by son of Khattab and Abi Qahafa (nickname of Abu Bakr). When people who were with Omar heard the voice of Zahra (a.s.) and her cry, returned; but Omar remained with a group and brought out Ali (a.s.) and took him to Abu Bakr. They told him to obey and give the pledge of allegiance, Ali (a.s.) said: What happens if I do not obey? They said: We swear to Allah who there is no one except him; we will cut your head off …

Surely, this part of history is hard and not pleasant for adherents of Sheikhs and therefore they tried to doubt about the reference of this book to Ibn Qutayba, while Ibn Abi Al-Hadid, one of masters of historians, knows this book as one of his writings and continuously quotes from that. Unfortunately, this book has been falsified and some parts of it have been omitted during printing while those parts is available in explanation of Nahjul Balagha, written by Ibn Hadid, quoted from the same book.

“Zarkali” consider this book from writings of Ibn Qutayba in the book “Al-A’laam” and then adds that: some of scholars have opinion in this reference. It means that he refers the doubt to other not himself. Also Elias Sarkis(5) considers this book as one of writings of Ibn Qutayba.
1- Ansab Al-Ashraf: 586/1 printed in Dar al-Ma'arif, Egypt
2- Al-A’lam by Zarkali: 137/4.
3- Al-Imama wa Al-Siasa: 12, printed in Great Commercial Office, Egypt
4- Al-Imama wa Al-Siasa, page 13.
5- Collection of Arabic Publications: 212/1.
4) Tabari and his history book

Mohammad ibn Jarir Tabari (died 310) quotes the incident of intending to desecration of house of afflatus in his history book as follows:

أتى عمر بن الخطاب منزل علي و فيه طلحة و الزبير و رجال من المهاجرين، فقال و الله لاحرقن عليكم أو لتخرجنّ إلى البيعة، فخرج عليه الزّبير مصلتاً بالسيف فعثر فسقط السيف من يده، فوثبوا عليه فأخذوه.(1)

Omar ibn Khattab came to the house of Ali (a.s.), while a group of immigrants (Mohajirin) were congregated there. He told them: I swear to Allah that I’ll burn the house, except you come out for giving the pledge of allegiance. Zubayr came out while he had a sword in his hand. Suddenly, he slipped and sword fell from his hand to the ground. At this point others attacked him and took his sword.

This part of history tells that taking the pledge of allegiance was done with threatening and intimidation, now what value can have this kind of pledge? Reader should judge.
1- Tabari history book: 443/2, printed in Beirut
5) Ibn Abd Rabboh and the book “Al-Aghd Al-Fareed”

Shahabuddin Ahmad known as “Ibn Abd Rabboh Andalusi”, author of the book “Al-Aghd Al-Fareed” (died 463) has written an explained discussion about the history of Saqifa and writes under the title of those who refused to give the pledge of allegiance to Abu Bakr as follows:

فأمّا علي و العباس و الزبير فقعدوا في بيت فاطمة حتى بعثت إليهم أبوبكر، عمر بن الخطاب ليُخرجهم من بيت فاطمة و قال له: إن أبوا فقاتِلهم، فاقبل بقبس من نار أن يُضرم عليهم الدار، فلقيته فاطمة فقال: يا ابن الخطاب أجئت لتحرق دارنا؟! قال: نعم، أو تدخلوا فيما دخلت فيه الأُمّة!(1)

Ali (a.s.) and Abbas and Zubayr were in the house of Fatima (a.s.) when Abu Bakr sent Omar ibn Khattab in order to take them out of the house and said to him: If they refuse, fight them! And at that point Omar went with fire to the house of Fatima (a.s.) in order to burn that house and met Fatima (a.s.). Daughter of Prophet (s.a.) said: Son of Khattab! Did you come for burning our house? He answered: Yes, except that you enter to the thing that nation has entered into!

The part which has been affirmed the intention of desecration in it finished and now we go for the second part which talks about performing this evil intention!

It should not be assumed that they only wanted to threaten and intimidate Ali (a.s.) and his companions and they did not want to perform that evil intention.

In continue of this discussion you will see that they performed this great crime!
1- Aghd Al-Fareed: 93/4, printed in Maktabat Al-Helal.
Attack had performed!

At this point word of those who only pointed to the misintention of Caliph and his companions have ended, a group which didn’t want or couldn’t to clear the rest of the tragedy, while some others has been pointed to the main tragedy which was the attack to the house and … and has somewhat removed the mask of truth. Now, we refer to the evidences of attach and desecration here: (Also, in this part sequence of times of resources has been almost observed.)
6) Abu Obaid and the book “Al-Amwal”

Abu Obaid Ghasem ibn Salaam (died 224) quotes in his book “Al-Amwal” which is reliable to Faqihs of Islam that:

Abdurrahman ibn Awf says: I went to the house of Abu Bakr for visiting him when he was ill, after long discussion he told me: I wish that if I had not done three things which I have done, as I wish that if I had done three things which I have not done. Also I wish that if I asked three things from Prophet (s.a.).

But those three things which I have done and I wish that if I had not done are:

1. وددت انّي لم أكشف بيت فاطمة و تركته و ان اغلق على الحرب.(1)

If I had not opened the curtain of sanctity of the house of Fatima (a.s.) and left it alone, although it had been closed for fight.

When Abu Obaid reaches the sentence

"لم أكشف بيت فاطمة و تركتة ..."

says:

كذا و كذ
(and so on) and ads that I do not want to recite that!

But anytime that Abu Obaid had refused to recite the truth according to his religiosity or other reason, researchers of the book “Al-Amwal” write in footnotes that missing sentences are available in the book “Mizan Al-E’tedal” (as it has been quoted). Moreover, “Tabarani” in his “Mo’jam” and “Ibn Abd Rabboh” in “Al-Aghd Al-Fareed” and others have mentioned the missing sentences. (Attention!)
1- Al-Amwal: footnote 4, printed in Azhariyya publishing, Al-Amwal, 144, Beirut and also Ibn Abd Rabboh has quoted in Aghd Al-Fareed: 93/4 as it will be mentioned.
7) Tabarani and “Mo’jam Al-Kabir”

Abolghasem Suleiman ibn Ahmad Tabarani (260-360) whom Dhahabi says about him in “Mizan Al-E’tedal”: He is a reliable person(1) reminds in “AL-Mo’jam Al-Kabir”, which has been printed several times, when he talks about Abu Bakr and his sermons and his death:

Abu Bakr wished for some jobs when he was dying.

I wish that if I had not done three things.

I wish that if I had done three things.

I wish that if I had asked three things form prophet of Allah (s.a.).

He says about those three things which he had done and whished that if he had not done them:

أمّا الثلاث اللائي وددت أني لم أفعلهنّ، فوددت انّي لم (2)أكن أكشف بيت فاطمة و تركتة.

Those three things which I wish if I had not done, I wish if I had not desecrated the house of Fatima (a.s.) and left it alone.

These expressions show clearly that threatenings of Omar had been performed.
1- Mizan Al-E’tedal: 195/2.
2- Great Mo’jam of Tabari: 63/1, Hadith number 34, research by Hamdi Abdul Majid Salafi.
8) Ibn Abd Rabboh and “Al-Aghd Al-Fareed”

Ibn Abd Rabboh Andalusi, author of the book “Al-Aghd Al-Fareed” (died 463), quotes from Abdurrahman ibn Awf:

I came to visit Abu Bakr when he was ill; he said: I wish that I had not done three things and one of those three things is:

وودت انّي لم أكشف بيت فاطمة عن شي و إن كانوا اغلقوه على الحرب.(1)

If I had not opened the curtain of sanctity of the house of Fatima (a.s.) and left it alone, although they had closed the door of the house for fight.

And also the names and expressions of persons who have quoted this part of words of Caliph will be mentioned.


1- Aghd Al-Fareed: 93/4 printed in Maktabat Al-Helal.

9) Words of Nazzam in the book “Al-Wafi Bil-Wafiyyat”

Ibrahim ibn Sayyar Nazzam Mu’tazili (160-231) who is called “Nazzam” according to the beauty of his words in plain text and poems quoted the incident after presence at the house of Fatima (a.s.) in several books:

انّ عمر ضرب بطن فاطمة يوم البيعة حتى ألقت المحسن من بطنها.(1)

Omar stroke to the abdomen of Fatima (a.s.) in the day of taking pledge of allegiance for Abu Bakr; she aborted the child who she has inside and had named him Mohsen! (Attention!)


1- Al-Wafi Bil-Wafiyyat: 17/6, number 2444; Mellal wa Nahl by Shahrestani: 57/1, printed in Dar al-Ma'rifa, Beirut, and in the translation of Nazzam refer to the book “Discussions in Mellal and Nahl”: 248/3 - 255.
10) Mubarrad in the book “Kamel”

Mohammad ibn Yazid ibn Abdul Akbar Baghdadi (210-285), litterateur and famous writer and owner of valuable books, quotes the story of wishes of caliph from Abdurrahman ibn Awf in his book “Kamel” and reminds that:

1. وددت انّي لم أكشف بيت فاطمة و تركته ولو أغلق على الحرب.(1)

If I had not opened the curtain of sanctity of the house of Fatima (a.s.) and left it alone, although it is closed for fight.


1- Explanation of Nahjul Balagha: 46/2 and 47, printed in Egypt


11) Mas’oodi and “Moravej Al-Zahab”

Mas’oodi (died 325) writes in “Moravej Al-Zahab”:

The time that Abu Bakr said, when he was dying: I had done three things and I wish that if I had not done them; one of those three things:

فوددت انّي لم أكن فتشت بيت فاطمة و ذكر في ذلك كلاماً كثيراً!(1)

I wish if I had not desecrated the house of Zahra (a.s.) and he talk about it too much!!

Although Mas’oodi has good inclinations to Ahl -e- Bait, but here he abstains from quoting the words of caliph and passes only pointing a little; albeit Allah knows and maybe his servants also know!


1- Moravej Al-Zahab: 301/2, printed in Dar Andalusia, Beirut




12) Ibn Abi Daram in the book “Mizan Al-E’tedal”

“Ahmad ibn Mohammad” known as “Ibn Abi Daram”, famous Kufi Hadith teller (died 357), person whom Mohammad ibn Ahmad ibn Hamad Kufi says about him:"

كان مستقيم الأمر، عامة دهره

” (He was seeking in the way of truth all of his life), quotes according to this situation that this news had been said at his presence:

انّ عمر رفس فاطمة حتى أسقطت بمحسن.(1)

Omar kicked Fatima (a.s.) and she aborted the child called Mohsen whom she had inside! (Attention!)


1- Mizan Al-E’tedal: 459/2.
13) Abdel Fattah Abdel Maqsood and the book “Al-Imam Ali”

He has quoted the attack to the house of afflatus in two places of his book, and we suffice to mention one of them:

«و الّذي نفس عمر بيده، ليَخرجنَّ أو لأحرقنّها على من فيها...»!

قالت له طائفة خافت الله، و رعت الرسول في عقبه:

«يا أبا حفص، إنّ فيها فاطمة...»!

فصاح لايبالي: «و إن...»!

و اقترب و قرع الباب، ثمّ ضربه و اقتحمه...

و بداله علىّ...

و رنّ حينذاك صوت الزهراء عند مدخل الدار... فان هى الا طنين استغاثة ... .(1)

I swear to person who the life of Omar is in his hands, come out or I’ll burn the house over its residents.

Some people who have fear of God and observed the dignity of Prophet (s.a.) after him, said:

Aba Hafs! Fatima is in this house!”

He shouted fearlessly: “So what!!”

He got close, knocked the door, then punched and kicked in order to enter by force.

Ali (a.s.) appeared …

The sound of Zahra arose at the doorway … this was her groan of help …!

We finish this discussion with another Hadith from “Muqatil ibn Atiyya” in the book “Al-Imama wa Al-Siasa”. (Although there are lots of unsaid to be said!)

He writes in this book:

ان ابابكر بعد ما اخذ البيعة لنفسه من الناس بالارهاب و السيف و القوّة ارسل عمر، و قنفذاً و جماعة الى دار علىّ و فاطمه(عليه السلام) و جمع عمر الحطب على دار فاطمه و احرق باب الدار!...(2)

When Abu Bakr took the pledge of allegiance from people by threatening, sword and force, sent Omar, Qanfaz and a group of persons to the house of Ali and Fatima (a.s.); and Omar collected firewood and burnt the door of the house …


Where is Fairness?!

Surely, anyone who read this short and documentary discussion with clear proofs understands that after the departure of prophet of Allah (s.a.) what a tumult began, and what they had done to gain the power and reign and this is the divine last word for all far from fanaticism freethinkers, because we did not write anything from ourselves, all that we have written is from their trustful resources.


1- Abdel Fattah Abdel Maqsood, Ali ibn Abu Talib: 276/4 - 277.
2- The book Al-Imama and Al-Khilafa, page 160 and 161, written by Muqatil ibn Atiyya which is printed with a foreword by Dr. Hamed Dawood master of Ain Shams university in Cairo , in Beirut, Albalagh institute.
 
Assalamu 'alaykum

Les images parlent plus que les mots :

[video=youtube;kVBF3xvAyRE]http://www.youtube.com/watch?v=kVBF3xvAyRE&feature=related[/video]



[video=youtube;RsieVC8NhU4]http://www.youtube.com/watch?v=RsieVC8NhU4&feature=related[/video]

.

Salam alaykoum

est il possible de faire un sous titrage de la video en francais avec ce genre de logiciel(http://www.clubic.com/telecharger-fiche10967-windows-movie-maker.html) ou mieux si vous avez incha Allah

salam
 
Salam alaykoum

est il possible de faire un sous titrage de la video en francais avec ce genre de logiciel(http://www.clubic.com/telecharger-fiche10967-windows-movie-maker.html) ou mieux si vous avez incha Allah

salam

Wa Aleikum As Salam Wa Rahmatullahi Wa Barakatuhu,

Allâhumma Salli 'ala Mohammad Wa Âli Mohammad Wa 'ajjal Farajahum Ya Karîm,

Hônnetement je ne sais pas soeur, mais vous pouvez demander au frère "Al-Ali-Hussein" qui InsaAllah, saura vous répondre :)
 
<H1>Premier discours de Fatima Zahra (s)

Fâtimah al-Zahrâ' (P), la fille du Saint Prophète (pslf), s'adressant pour la dernière fois aux femmes des Muhâjirine et des Ançâr, dit :

« Je me demande quelle caractéristique de l'Imam Ali a pu déplaire aux gens pour qu'ils cessent de le soutenir ! Par Allah! Ils détestent son épée aiguisée, ses mesures fermes et sa rigueur dans l'application des Commandements Divins. Mais par Allah! Ils sont eux-mêmes les perdants. Le peuple n'a jamais souffert d'injustice sous le gouvernement d'Ali. Il les a toujours conduits vers la fontaine de la justice et du savoir et a toujours étanché leur soif».

Puis elle fit la prédiction suivante:

«Ce qu'ils ont fait, c'est comme une chamelle enceinte. Attendez jusqu'à ce qu'elle mette bas. Alors, vous tirerez d'elle un bol de sang et de poison mortel au lieu de lait. C'est comme cela que les auteurs (de ces agissements contre l'Imam Ali) subissent une perte terrible et que les générations à venir récolteront les mauvais fruits de ce que leurs prédécesseurs ont semé. Soyez certains que les agitations et les troubles auront raison de vous. Je vous avertis que vous serez confrontés au sabre, à la coercition, au chaos et à la tyrannie despotique. Vos biens seront emportés comme un butin, et vos gens seront battus comme des blés mûrs ».
 

Sidebar Liste Messages

Discussions
14 240
Messages
91 719
Membres
4 642
Dernier membre
Giovanni de retour
Retour
Haut