la suite...
Les gens de la sunnah sont d'accord avec les shi'ites quand aux fait que les textes des livres de hadiths sunnites comme de Bokhari & Muslim et d'autres contiennent des versions exprimant que ce Mariage temporaire était permis dans un premier temps. Cependant, ils contredisent l'arrêt des Chiites sur ces hadiths abrogés sans prendre connaissance des autres hadiths authentiques qui sont les abrogeants et qui montrent clairement que :
Le mariage dit de jouissance était autorisé dans un premier temps, ensuite son institution a été abrogée de l'autorisation à l'interdiction jusqu'au jour dernier, tel que l'alcool qui était permis au départ et puis est venue son interdiction dans le Qor'an.
Il en est de même pour l'institution dans le fait de manger la viande des ânes domestiques que la Sunna a interdit aprés que les Compagnons (Radhi Allahu 'anhum) la cuisaient et la mangeaient.
Ces trois éléments (le mariage de plaisir, l'alcool et la viande d'ânes domestiques) sont des institutions abrogées du permis à l'interdit en sachant que l'abrogeant et l'abrogé sont pris en considération et connus des Savants Chiites dont les livres stipulent la possibilité de l'abrogation du Qor'an par la Sunna.
La théorie juridique Chiite qui dit que le mariage temporaire fut interdit par 'Omar Ibn al-Khattab est annulée par le fait que 'Ali a confirmé l'interdiction pendant son Califat et n'a pas contesté les compagnons à propos de cela. Et nous le plaçon au-dessus du fait de confirmer le faux et de cacher un savoir. Allah Ta'aala a pris l'engagement avec les gens du savoir de montrer la vérité aux gens et de ne pas la cacher et le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) dit :
"Celui qui dissimule un savoir sera bridé par une bride de feu le jour dernier."
[Rapporté par Abou Dawud et Tirmidhi, Authentifié par Al-Albani]
En plus "Al-Mut'a" à laquelle les Chiites Rawafidhs font appel, diffèrent à la base de celle qui a été autorisée dans un premier temps puis interdite jusqu'au jour dernier. En voici les preuves :
Les Chiites Rawafidhs ont fait de ce mariage de jouissance un fondement parmis les fondements de la religion et ont fait de celui qui renie ce mariage temporaire un incrédule de la religion. Ainsi Ibn Babawayh al-Qummi, surnommé "Al-Saduq", et Al-Kashani ont rapporté d'aprés J'afar al-Sadiq : La mut'a est ma religion et la religion de mes ascendants. Celui qui la pratique, pratique notre religion, et celui qui la renie, renie notre religion et croit en une autre religion.
Ceux-ci l'ont classée parmis les actes méritoires et éteignant la colère d'Allah. Ils ont prétendu que le Prophète 'Aleyhi salat wa salam a dit : Celui qui pratique la mut'a ne fusse qu'une fois ne craint pas la colère du Tout-Puissant [!]
Ils ont mis en conséquence de celles-ci le pardon du Miséricordieux et prétendent que pendant l'ascension du Prophète ('Aleyhi salat wa salam) Djibril lui a dit : Ô Mohammed, Allah dit : J'ai pardonné à ceux qui pratiquent la mut'a avec les femmes parmis les gens de ta communauté... Un homme demanda à J'afar al-Sadiq : Y at-il une récompense pour celui qui pratique le mut'a ? Il dit : S'il fait cela pour l'agrément d'Allah, chaque parole qu'il lui dira, Allah la comptabilisera comme bonne action. S'il se rapproche d'elle, Allah lui pardonnera grâce à cela un péché. S'il se purifie, Allah lui pardonnera suivant la quantité d'eau ayant coulé sur ses cheveux. [!]
Ils ont fait du mariage de plaisir l'une des plus grandes causes de la rentrée au paradis, plus encore, elle leur permet de concurrencer les Prophètes d'Allah dans leurs niveaux au paradis. Ils prétendent que le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) a dit : Celui qui pratique le mut'a une seule fois ne craindra pas la colère du Tout-Puissant, et celui qui pratique la mut'a deux fois, sera ressuscité avec les bons, et celui qui pratique la mut'a trois fois me concurrencera dans le paradis. [!]
Ils mettent en garde celui qui se détourne de la mut'a contre la diminution de son mérite le jour dernier et ils disent : Celui qui quitte ce monde sans avoir pratiqué la mut'a, il viendra le jour dernier le sexe mutilé. [!]
Il n'y a pas de limite à un homme quand au nombre de femmes avec lesquelles il est permis de jouir par "ce mariage" et qu'i désire, même si elles étaient mille ou plus.
Ils permettent la mut'a avec la vierge même sans l'autorisation de son tuteur et sans témoin, allant ainsi à l'encontre de la parole du Prophète ('Aleyhi Salat wa Salam) disant :
"Point de mariage sans la présence d'un tuteur et de deux témoins"
[Rapporté par Ahmed, authentifié par Ibn Hibban, Al-byhaqui et Dar-Qutni].
Ils permettent la mut'a avec la fillette non puberte. Dans "Al-Kaffi", J'afar al-Sadiq a été questionné au sujet de la fillette, l'homme peut-il en jouir ? Il dit : Oui, sauf si c'est une petite fille naïve... L'homme demanda : Quelle est la limite d'âge à partir de laquelle elle n'est plus naïve ? L'Imâm répondit : 10 ans. [!]
Ils permettent la Sodomisation et ils attribuent à l'imâm Al-Rida ayant été questionné à propos de la sodomisation de la femme qu'il dit : Un verset du livre d'Allah l'a autorisée lorsque Lôt dit à son peuple : Voici mes filles, elles sont plus pures pour vous... ET Lôt savait qu'ils ne voulaient pas le sexe des femmes. [!!!]
Les gens de la sunnah sont d'accord avec les shi'ites quand aux fait que les textes des livres de hadiths sunnites comme de Bokhari & Muslim et d'autres contiennent des versions exprimant que ce Mariage temporaire était permis dans un premier temps. Cependant, ils contredisent l'arrêt des Chiites sur ces hadiths abrogés sans prendre connaissance des autres hadiths authentiques qui sont les abrogeants et qui montrent clairement que :
Le mariage dit de jouissance était autorisé dans un premier temps, ensuite son institution a été abrogée de l'autorisation à l'interdiction jusqu'au jour dernier, tel que l'alcool qui était permis au départ et puis est venue son interdiction dans le Qor'an.
Il en est de même pour l'institution dans le fait de manger la viande des ânes domestiques que la Sunna a interdit aprés que les Compagnons (Radhi Allahu 'anhum) la cuisaient et la mangeaient.
Ces trois éléments (le mariage de plaisir, l'alcool et la viande d'ânes domestiques) sont des institutions abrogées du permis à l'interdit en sachant que l'abrogeant et l'abrogé sont pris en considération et connus des Savants Chiites dont les livres stipulent la possibilité de l'abrogation du Qor'an par la Sunna.
La théorie juridique Chiite qui dit que le mariage temporaire fut interdit par 'Omar Ibn al-Khattab est annulée par le fait que 'Ali a confirmé l'interdiction pendant son Califat et n'a pas contesté les compagnons à propos de cela. Et nous le plaçon au-dessus du fait de confirmer le faux et de cacher un savoir. Allah Ta'aala a pris l'engagement avec les gens du savoir de montrer la vérité aux gens et de ne pas la cacher et le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) dit :
"Celui qui dissimule un savoir sera bridé par une bride de feu le jour dernier."
[Rapporté par Abou Dawud et Tirmidhi, Authentifié par Al-Albani]
En plus "Al-Mut'a" à laquelle les Chiites Rawafidhs font appel, diffèrent à la base de celle qui a été autorisée dans un premier temps puis interdite jusqu'au jour dernier. En voici les preuves :
Les Chiites Rawafidhs ont fait de ce mariage de jouissance un fondement parmis les fondements de la religion et ont fait de celui qui renie ce mariage temporaire un incrédule de la religion. Ainsi Ibn Babawayh al-Qummi, surnommé "Al-Saduq", et Al-Kashani ont rapporté d'aprés J'afar al-Sadiq : La mut'a est ma religion et la religion de mes ascendants. Celui qui la pratique, pratique notre religion, et celui qui la renie, renie notre religion et croit en une autre religion.
Ceux-ci l'ont classée parmis les actes méritoires et éteignant la colère d'Allah. Ils ont prétendu que le Prophète 'Aleyhi salat wa salam a dit : Celui qui pratique la mut'a ne fusse qu'une fois ne craint pas la colère du Tout-Puissant [!]
Ils ont mis en conséquence de celles-ci le pardon du Miséricordieux et prétendent que pendant l'ascension du Prophète ('Aleyhi salat wa salam) Djibril lui a dit : Ô Mohammed, Allah dit : J'ai pardonné à ceux qui pratiquent la mut'a avec les femmes parmis les gens de ta communauté... Un homme demanda à J'afar al-Sadiq : Y at-il une récompense pour celui qui pratique le mut'a ? Il dit : S'il fait cela pour l'agrément d'Allah, chaque parole qu'il lui dira, Allah la comptabilisera comme bonne action. S'il se rapproche d'elle, Allah lui pardonnera grâce à cela un péché. S'il se purifie, Allah lui pardonnera suivant la quantité d'eau ayant coulé sur ses cheveux. [!]
Ils ont fait du mariage de plaisir l'une des plus grandes causes de la rentrée au paradis, plus encore, elle leur permet de concurrencer les Prophètes d'Allah dans leurs niveaux au paradis. Ils prétendent que le Prophète ('Aleyhi salat wa salam) a dit : Celui qui pratique le mut'a une seule fois ne craindra pas la colère du Tout-Puissant, et celui qui pratique la mut'a deux fois, sera ressuscité avec les bons, et celui qui pratique la mut'a trois fois me concurrencera dans le paradis. [!]
Ils mettent en garde celui qui se détourne de la mut'a contre la diminution de son mérite le jour dernier et ils disent : Celui qui quitte ce monde sans avoir pratiqué la mut'a, il viendra le jour dernier le sexe mutilé. [!]
Il n'y a pas de limite à un homme quand au nombre de femmes avec lesquelles il est permis de jouir par "ce mariage" et qu'i désire, même si elles étaient mille ou plus.
Ils permettent la mut'a avec la vierge même sans l'autorisation de son tuteur et sans témoin, allant ainsi à l'encontre de la parole du Prophète ('Aleyhi Salat wa Salam) disant :
"Point de mariage sans la présence d'un tuteur et de deux témoins"
[Rapporté par Ahmed, authentifié par Ibn Hibban, Al-byhaqui et Dar-Qutni].
Ils permettent la mut'a avec la fillette non puberte. Dans "Al-Kaffi", J'afar al-Sadiq a été questionné au sujet de la fillette, l'homme peut-il en jouir ? Il dit : Oui, sauf si c'est une petite fille naïve... L'homme demanda : Quelle est la limite d'âge à partir de laquelle elle n'est plus naïve ? L'Imâm répondit : 10 ans. [!]
Ils permettent la Sodomisation et ils attribuent à l'imâm Al-Rida ayant été questionné à propos de la sodomisation de la femme qu'il dit : Un verset du livre d'Allah l'a autorisée lorsque Lôt dit à son peuple : Voici mes filles, elles sont plus pures pour vous... ET Lôt savait qu'ils ne voulaient pas le sexe des femmes. [!!!]