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L'attente de L'Imam Al Mahdi (as)

salâm salâm,

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Très chère sœur Albatoul,

Je souhaiterai par votre permission,

Apporter ma maigre et misérable contribution,

Je sollicite donc fraternellement toute votre attention.

« Celui qui prétend m’avoir vu est un menteur »

Certainement, si nous le prenons textuellement tel quel, alors nous comprendront tous que Sâmirrî, lui-même serait un menteur. Puisque à son époque n’importe qui pouvait lui demander de qui sont les paroles qu’il prononce. Et inévitablement, il répondra sans aucun doute que ces paroles ont été prononcé par l’Imâm en personne lors de son dernier entretien avec lui. Alors la parole de Samirrî n’aurait plus aucune valeur et aucun sens aux yeux des croyants puisque l’avertissement même de l’Imâm condamnerait quiconque prétendant l’avoir vu :

« Celui qui prétend m’avoir vu est un menteur »

Oui, encore une fois, si nous le prenons textuellement tel quel, alors sam, lui-même serait certes un menteur s’il prétend l’avoir tout simplement vu. Et son Eminence Sayyed Mohamad Hoseyn Fadhlallâh a donné une réponse on ne peut plus juste.

Cependant, nous devons afin de mieux comprendre, cité quelques mots supplémentaires que l’Imâm, lui-même, a prononcé afin que sa mise en garde prenne un sens plus juste :

Ci-dessous, non pas tout le hadith, mais une partie manquante :

« Celui qui prétend m’avoir vu avant la fin du Temps, celui-là est certes un menteur ».

Avant la Fin du Temps ?

Tiens donc de quel Temps s’agit-il ?

Aviez-vous une idée ?

Continuons :

Nous retrouvons dans les livres d’histoires islamiques qu’un jour d’après-midi le Prophète Mohammad - Paix sur lui - entouré de ses compagnons reçus la visite d’un bel homme inconnu et habillé entièrement en blanc. Les compagnons forts surpris interrogèrent, après les dernières salutations amicales du jeune homme, le Prophète sur l’identité de ce mystérieux personnage qui traversa tout le désert de l’Arabie sans qu’il y ait une seule tâche sur ces vêtements. Le Prophète leurs répondit qu’il s’agissait en vérité de l’Ange Gabriel et que pour apparaître dans notre monde il a tout simplement pris la forme de l’espèce humaine.

Bref, dans cette histoire tous les compagnons présent ce jour-là en compagnie du messager d’Allâh l’ont tous vu de leurs propres yeux, mais bien évidement aucun parmi les compagnons n’a reconnu l’Ange Gabriel caché dans la forme d’un beau jeune homme, si ce n’est bien sûr le Prophète.

Aussi, comme moi, vous saviez tous, qu’il y a d’innombrables histoires de ce même genre avec d’autres anges à l’apparence humaine que se soit coranique ou historique. Maintenant y aurait-il quelqu’un d’autre à part le Prophète qui soit réellement capable de voir, c’est-à-dire de reconnaître, l’ange ou le démon à l’apparence humaine ?

Pour ce qui me concerne, je répondrai volontiers par l’affirmative, à la condition bien entendu que le croyant bénéficie d’un privilège divin, celui d’être aimé par Allâh, ce qui le conduit à une nouvelle naissance sensorielle :

« Quand je l’aime je deviens l’œil par lequel il voit, l’ouïe par lequel il entend, etc… »

Ce hadith peut éventuellement nous mener après une certaine réflexion à penser que le croyant et la croyante jouissent ensemble d’un nouveau regard, un regard divin. Donc ce hadith prouve-t-il clairement que tout croyant dont Dieu devient l'oeil par lequel il voit, c'est-à-dire, qu'il voit les entités maléfiques ou angéliques apparaître sous la forme humaine ainsi que les entités qui circulent tels qu'ils sont dans les mondes invisibles, le peut-il ? Si oui, alors pourquoi pas l’Imâm Mahdî..... Que notre Seigneur hâte la Joie de sa venue.

Surtout, n’oublions pas d’ajouter qu’il est nécessaire pour que Dieu devient l’œil par lequel le croyant voit, il faut impérativement « un temps ». Or ce temps est d’après le hadith prophétique, le temps ou celui-ci est aimé par son Seigneur.

Qu'en pensez-vous ?

S’agit-il de la fin du temps de notre Aveuglement ?

Où le Temps d’être aimé par Allâh ?

Le Prophète Mohammad sa Famille et ses partisans sont-ils aimés par Allâh ?

Si oui, peuvent-ils avoir la vision de leur Imâm ?

Bien poursuivons :

Ensemble cherchons autre chose et choisissons chacun à notre tour une créature comme exemple dans la création du Tout-Puissant pour illustrer le hadith de la vision.

A propos de la chenille et du papillon :


Le symbole du papillon dans la création n'a évidemment pas été choisi au hasard. Il est sans doute le mieux adapté à notre expérimentation terrestre actuelle et aux importantes mutations auxquelles nous allons tous être confrontés au cours des prochaines années. Il renferme par ailleurs la synthèse de l'ensemble des enseignements spirituels de la Famille de Mohammad adressés à notre humanité depuis l'aube des temps.

Il est écrit dans chacun des quatre principaux Évangiles :

"Si vous ne mourez pas, vous ne vivrez pas."

Et le célèbre hadith prophétique :

« Mourez avant de mourir »

Mourir pour vivre est pour certain et cela en apparence la formule la plus absurde que nous ai transmise le Christ et Prophète, mais c'est cependant le plus grand secret de la science spirituelle. Car l'idée de "mort", telle qu'elle nous fut transmise par les Imâms, ne signifie en réalité rien d'autre qu'un changement d'état de conscience, un changement de fréquence vibratoire.

Lorsque nous posons à notre Guide intérieur la question suivante : "Où trouver une créature qui accepte de se laisser mourir pour vivre ?" la réponse est toujours la même et chaque fois elle revient sous la forme d'un papillon.

Malheureusement, à l'exception de quelques rares Initiés et Maîtres spirituels, bien rares sont ceux qui ont sérieusement réfléchi à ce grand secret que la nature a inscrit en nous et à ce qu'elle a voulu nous montrer en transformant les chenilles en papillons.


Alors prenons le temps d'y réfléchir ensemble quelques instants.

La chenille est une bestiole désagréable, et même répugnante ; elle se traîne goulûment sur les feuilles dont elle se nourrit, saccage et souille tout sur son passage. Mais, elle est également "une sorte de philosophe". Un jour, elle se met à réfléchir sur elle-même: elle prend conscience de sa laideur, de ses limitations, des dégâts qu'elle occasionne sur son environnement, et elle décide de se transformer. Elle pénètre à l'intérieur d'elle-même, profondément, et elle s'enferme dans un cocon. Des forces mystérieuses commencent alors à travailler en elle, qui, peu à peu, la transforment...

Et un jour, de ce cocon où s'était enfermée la chenille, de cette chrysalide, c'est-à-dire de ce berceau christique, sort un nouvel être merveilleux, un papillon avec des ailes qui lui permettent de voler de fleur en fleur et de se nourrir de leur nectar sans jamais en ternir l'éclat ni la beauté.

La chenille transformée en papillon est le symbole de l'homme nouveau appelé à sortir de ses limitations. D'une certaine manière, les croyants et les croyantes ne désirent et ne pensent pas qu'à se transformer en papillons ; ce qu'ils veulent, c'est tout simplement sortir de leur état de chenille.

Auparavant, la chenille détruisait les feuilles pour se nourrir, et tout le monde se plaignait d'elle. Maintenant elle est devenue une charmante jeune fille plus somptueusement habillée que les princesses, et loin de se plaindre, les fleurs se réjouissent d'être visitées par cette créature ravissante et délicate à laquelle elles offrent leurs feuilles pour se reposer et leurs corolles remplies de nectar à butiner. »

Comment ?

S’agit-il de ce Temps ?

Le Temps de se transformer en papillon ?

…à suivre…
 
Une rencontre avec l'Imam de l'univers


"Nous avons tenu notre parole, c'est à toi maintenent de tenir la tienne."

...la suite du poste 19​


Une fois monté dans le car, j'ai pris le jeune homme dans mes bras et je l'ai embrassé en m'excusant de mon accueil qui etait froid , puis je l'ai interrogé sur son identité: qui es tu?
- Je vais te raconter mon histoire. Je ne connaissais ni la religion, ni la prière, je suis l'enfant unique, d'une famille, qui a tout donné de ce qu'elle possédait afin que je poursuive mes études de médecine en France. La distance séparant mon lieu de résidance et ma faculté, etait equivalente à celle séparant un petit village d'une grande ville . Le jour de mon dernier examen, sur lequel j'avais tout misé, pour réussir , j'ai pris le bus avec d'autres passagers, il faisait très froid ce jour là.

Quand on est arrivé au milieu de la route, le bus est tombé en panne ! Je ne pouvais pas attendre, le temps qu'on répare le bus, ou qu'on l'emmene chez le mécanicien, car cela allait prendre beaucoup de temps, et j'allais de ce fait rater mes examen. J'étais pendant ces minutes comme un homme perdu, je ne savais pas si je devais prendre la route qui se trouvait à gauche celle d'à droite! j'etais dans un tel état de deséspoir que j'aurai préféré que ma mère ne ne m'avait pas mis au monde ,

j'etais très angoissé, ce fut le moment le plus difficil de ma vie, car tous mes efforts allait s'évaporer pour rien!
à chaque fois que mon regard tombait sur ma montre, j'avais un pincement au coeur, j'ai failli tomber par terre, quand tout à coup j'ai pensé à ma grand mère en Iran qui à chaque fois qu'elle était éprouvé par un problème ou un malheur, elle disait de tout son être: " Ô Maître du Temps" !


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A cet instent, et sans aucune connaissance ( réelle) de cette phrase, sans connaître sa véritable signification, surtout que je n'etais pas du tout pratiquant,j'ai dit, de tout mon coeur :

" Ô Maître du temps de ma grand-mère!"


j'ai dit celà car je ne savais pas qui etait " le Maître du Temps" . Puis j'ai dit " Si, tu m'aide à m'en sortir , je te promets d'apprendre la prière et de l'accomplire à l'heure"
Pendant ce temps, un homme à l'allure très noble et lumineuse, est passé par là, il s'est adressé au chauffeur, en langue française: " Faites marcher le moteur", et effectivement au premier essai , le moteur a fonctionné .


Puis il s'est adressé à moi en persan en me disant: " Nous avons tenu notre parole, c'est à toi maintenent de tenir la tienne .


A l'entendre, mon corps frémissait, et c'est à partir de ce moment que j'ai décidé d'apprendre à prier et à tenir ma parole .
 
Salom salom salom salom salom !

Permettez moi de vous remercier cher frère Sam que je lis depuis longtemps, car je prends infiniment plaisir à vous lire !

Chère soeur Layoli, j'apprécie vos traductions pour le public francophone, que le dieu de mes ancêtres vous bénisse abondamment !

Je me permets de vous remercier à ma manière tous deux par un poème de notre maître Hofez shirozi



Les fidèles d'amour

Je suis le plus connu des fidèles d'amour
et je ne veux partout voir que ce qui est beau

Fidèles nous restons, malgré la calomnie,
et nous sommes heureux: se vexer est impie,
dans notre confrérie,

Je demande au Prieur le chemin du salut.
Il réclama une coupe de vin et lut:
" C'est de cacher le secret de la foi profonde ! "

Que désire mon coeur, pour le jardin du monde ?
Cueillir les fleurs de ton visage avec mes yeux !

En adorant le vin, j'ai dessiné sur l'eau ,
pour abolir le vain dessin de l'égoîsme .

Je crois en la pitié de tes cheveux :
sans elle, mes efforts seraient bien inutiles .

Tournons bride à l'auberge: il faut fuir les sermons
que leurs auteurs se gardent de mettre en pratique .

Du duvet de l'ami, sache aimer le visage !
Qu'il est bon de tourner autour des beaux visages !

Hâfez, ne baise que la coupe et l'échanson !
C'est pêcher que baiser la main de l'hyppocrite .




Salom va rahmat
 
-Notre maître, l'Imâm al-Muntadhar - celui qui est attendu- ('aj) dans le Coran -

الم

Alif - Lâm - Mîm.

ذَلِكَ الْكِتَابُ لاَ رَيْبَ فِيهِ هُدًى لِّلْمُتَّقِينَ

Voici le Livre qui n’est sujet à aucun doute. C’est un guide pour ceux qui craignent le Seigneur ,

الَّذِينَ يُؤْمِنُونَ بِالْغَيْبِ وَيُقِيمُونَ الصَّلاةَ وَمِمَّا رَزَقْنَاهُمْ يُنفِقُونَ

ceux qui croient à l’invisible, qui s’acquittent de la salât et qui effectuent des œuvres charitables sur les biens que Nous leur avons accordés ,
( Sûrat al-Baqara, versets 1,2,3)


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Yahiâ Ibn [Abî] Al-Qâcim rapporte : J'ai interrogé l'Imâm Ja'far as-Sâdiq (as) à propos de ce verset. Il me répondit en disant: "ceux qui craignent le Seigneur" sont les chiites - partisans- de 'Alî (as), tandis que " l'invisible" - al-Ghayb- ici, c'est l'argument de Dieu sur sa création, l'occulté ( 'aj). La preuve de celà Sa parole exalté soit-Il:

"وَيَقُولُونَ لَوْلاَ أُنزِلَ عَلَيْهِ آيَةٌ مِّن رَّبِّهِ فَقُلْ إِنَّمَا الْغَيْبُ لِلّهِ فَانْتَظِرُواْ إِنِّي مَعَكُم مِّنَ الْمُنتَظِرِينَ
"

"Ils disent : «Si seulement son Seigneur lui permettait d’accomplir un miracle !» Réponds-leur : «L'invisible - al-Ghayb- relève uniquement de Dieu ! Attendez donc ! Je serai avec vous, parmi ceux qui attendent !»"

source: Al-mahajja fîmâ unila fi al-Qâ'imi l-Hujja,Page 31.
 


L'Imâm al-Mahdi ('aj) dans le Coran
- partie II-

وَمَن يُطِعِ اللّهَ وَالرَّسُولَ فَأُوْلَـئِكَ مَعَ الَّذِينَ أَنْعَمَ اللّهُ عَلَيْهِم مِّنَ النَّبِيِّينَ وَالصِّدِّيقِينَ وَالشُّهَدَاء وَالصَّالِحِينَ وَحَسُنَ أُولَـئِكَ رَفِيقاً

"car ceux qui obéissent à Dieu et à Son Prophète feront partie de ceux que Dieu aura comblés de Sa grâce, parmi les prophètes, les véridiques, les martyrs et les saints. Et quels excellents compagnons que ceux-là !"

'Ali ibn Ibrâhîm, rapporte dans son tafssir attribué à l'Imâm Ja'far as-Sâdiq (as) ceci:

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les prophètes ==> le Messager de Dieu ( swas)
les véridiques ==> l'Imâm 'Ali (as)
Les martyres ===>les Imâms , al-Hassan (as) et al-Hussein (as).
Les saints ====> Les Imâms (as)
Et quels excellents excellents compagnons que ceux-là ===> al-Qâ'ims al-Mahdi ('aj).

cf également: Tafssîr al-Qommi, volume 1, page 142.
source: Al-mahajja fîmâ unila fi al-Qâ'imi l-Hujja,Page 83
 
L'Imâm al-Mahdi ('aj) dans le Coran
- partie III-


وَالْفَجْرِ
Par l’aube !

وَلَيَالٍ عَشْرٍ
Par les dix nuits !

وَالشَّفْعِ وَالْوَتْرِ
Par le pair et l’impair !



( Sûrat al-Fajr, versets 1,2 et 3)

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Sharafu d-Dîne an-Najafî, rapporte:
Il nous a été rapporté selon une chaine de transmission remontant à 'Amro ibn Shimr, et Jâber ibn Yazîd al-Ja'fî, que Abî 'Abdellâh (as) avait dit:

" Par l'aube!" l'aube c'est al-Qâ'im ( al-Mahdi 'aj), " Par les dix nuits" les Imâms allant de l'Imâm al-Hassan - alMujtabâ- (as) à l'Imâm al-Hassan -al'Askarî- (as) , "Par le pair !" Le prince des croyants (as) et Fâtima z-Zahra (as) " et l'impair!" Lui, Dieu, l'Unique sans associé."


source:
-Al-mahajja fîmâ unzila fi al-Qâ'imi l-Hujja,Page 303
 
L'Imâm al-Mahdi ('aj) dans le Coran
- partie IV-


وَلَقَدْ كَتَبْنَا فِي الزَّبُورِ مِن بَعْدِ الذِّكْرِ أَنَّ الْأَرْضَ يَرِثُهَا عِبَادِيَ الصَّالِحُونَ

Nous avons certes écrit dans les Psaumes, après l’avoir gravé dans le Livre céleste, que la Terre serait l’héritage de Nos bons serviteurs.

( Sûrat al-anbiyâ' - les Prophètes- verset 105)


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'Ali ibn Ibrâhîm, dans son tafssîr attribué à l'Imâm Ja'far as-Sâdiq (as), donne l'interprétation suivante à ce noble verset:

L'Imâm Ja'far as-Sâdiq a dit:

la Terre serait l’héritage de Nos bons serviteurs.: Nos bons serviteurs sont l'Imâm al-Mahdi 'aj ainsi que ses compagnons.

source:
-Al-mahajja fîmâ unzila fi al-Qâ'imi l-Hujja,Page 177
 
salâm salâm,

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Salâm salâm,

Très cher levraiimran,

Je vous adresse toutes mes salutations les plus chaleureuses.

Avec toute mon amitié le plus sincères votre ami et votre frère sam.
 
salâm salâm,

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Salâm salâm,

Très chère sœur Albatoul,

Je vous remercie de m’accorder votre attention.

Je vous prie, poursuivons :

JOSEPH

Au nom de Dieu :

Celui qui fait miséricorde,

Le Tout-Miséricordieux.

« Joseph reconnut ses frères, mais ceux-ci ne le reconnurent point »58

Ici, bien évidement, dans cette partie de l’histoire du prophète Joseph fils de Jacob - Paix sur eux deux - il y a quelque chose qui ressemble étrangement et trait pour trait à l’occultation majeure de l’Imâm qui a donné l’ordre à son dernier représentant de nous transmettre ce qui suit, et dont je communiquerai d’abord ci-dessous une partie de la citation de l’Imâm de notre sœur Albatoul :

« Celui qui prétend m’avoir vu, celui-là est un menteur. »

Et pourtant ! Je connais ici même à Brussels plusieurs personnes prétendant l’avoir vu et même reconnu !

Pour mieux comprendre la portée du témoignage qui va suivre, je vais d’abord commencer par vous révéler une courte discussion qu’il y eut entre sam et laylâ mère de trois enfants.

sam : Que me dites-vous ! Ai-je bien entendu ? vous prétendiez avoir rencontré l’Imâm ?

laylâ : oui, bien sûr. Pourquoi ?

Sam : mais enfin cet impossible !

Laylâ : impossible ?

Sam : eh bien, il y a un hadith qui met en grade quiconque prétendrait l’avoir vu.

Laylâ : ah bon ? et que dit ce hadith ?

Sam : Quiconque prétend m’avoir vu, celui-là est un menteur.

Laylâ : ce n’est pas possible, ce hadith doit être manquant. Je vous le répète, je l’ai vu en personne cependant je ne l’ai pas de moi-même reconnu. Non, non pas du tout ! En fait, l’Imâm est venu dans ma direction et m’a posé la question suivante : « sais-tu qui je suis ? ». Je lui répondit : non. Ensuite, il me posa une deuxième questions : « sais-tu comment je m’appelle ? ». Je lui fis donc la même réponse. Alors, il se présenta à moi avec un sourire et de la manière suivante il me révéla son identité: « Je suis l’Imâm Mahdî. » C’est ainsi que j’ai reconnu mon Imâm. Serait-ce donc un mensonge ?

Sam : votre histoire est-elle un songe ?

Laylâ : oui !

Sam : alors il n’y a pas lieu de s’alarmé, puisque même les frères du Prophète Youssouf – Paix sur lui – ne pouvaient le reconnaître. A l’exception d’un seul, et voici ce que nous révèle à son propos notre Seigneur :


Joseph prit son frère à part et lui dit :

« Je suis ton frère ne t’attriste pas de ce qu’ils m’ont fait. »69

laylâ : oui, tout à fait, je connais très bien l’histoire de la sourate Youssouf que je lis d’ailleurs une fois par semaine. D’ailleurs, il y a un passage du Livre de mon Seigneur qui m’a surpris et qui est en rapport avec mon songe.

Sam : quel est-il ?

Laylâ : Youssouf révéla son identité à son frère et pourtant ce dernier ne l’avait point reconnu. Pourtant, comme moi, l’Imâm eut la même attitude. La façon dont tous les deux se sont révélés à l’un et à l’autre est tout simplement impressionnant. Je vous l’aviez dis le hadith que vous aviez cité n’était pas complet.

Sam : oui, c’est vrai. Tous ceux que j’ai rencontré jusqu’ici l’ont toutes et tous rencontré mais uniquement en songe. Je vous donne raison le hadith que j’ai cité mène vraiment à la confusion. Il est certes incomplet.

Laylâ : quel est son contenu ?

Sam : je ne vous en citerai qu’une partie. Aussi dans cette partie l’Imâm nous laisse penser clairement que nous pouvons le rencontrer en songe et de ce fait la qualification de menteur est nulle et non avenue. Le hadith est le suivant :


« Quiconque prétend m’avoir vu matériellement avant la fin du temps, celui-là est un menteur et un imposteur. »

laylâ : là, le hadith me rassure. Ce qui veut donc dire, qu’on ne peut pas le voir physiquement, ou plutôt, le voir certainement mais le reconnaître tel qu’il est dans sa forme physique dans ce monde, en aucun cas. C’est bien ça ?


sam : oui, c’est bien ça, comme dans l’histoire de Youssouf. Or, pendant la première Occultation, ne connaissent l’endroit où il se trouve que certains élus parmi ses partisans et pendant la seconde, l’Occultation majeure, ne connaisse l’endroit que les élus parmi ses fidèles Amis. Et d’après le martyr Mortadhâ Motahârî, il rapporte les propos d’un éminent homme religieux qui rencontra son Imâm pendant la grande Occultation. Et il s’agit d’ibn ‘Arabî qui a dit :

« J’ai rencontré l’Imâm Mahdî et il avais 300 ans ».

Fin de la discussion.

Est-ce uniquement en songe que nous pouvons le connaître et le rencontrer ?

Le hadith ci-dessous est-il en rapport ou en contradiction avec la dernière mise en garde de l’Imâm ?

« Celui qui meurt sans avoir connu l’Imâm de son temps, celui-là meurt de la mort des inconscients. »

L’Imâm est-il la Lumière de Dieu ?

Oui ?

Bien, il est donc par conséquent la Lumière de notre temps ?

N’est-ce pas ?

Ensemble regardons tout ça d’un peu plus près avec une célèbre maxime remontant à notre premier Imâm :

« Me connaître en tant que Lumière c’est connaître Dieu et la connaissance de Dieu, c’est me connaître en tant que Lumière. Celui qui me connaît en tant que Lumière est un croyant dont Dieu a éprouvé le cœur pour la foi. »

S’agirait-il de « la vision par (ou « dans» le coeur) » ?

Tout à fait, puisque ici même c’est le cœur du croyant qui est éprouvé.

L’Imâm Alî n’a-t-il pas répondu à l’un de ses compagnons :

« Prends garde ! Ce n’est pas par les yeux de chair mais par le cœur que je vois mon Seigneur avant, après et pendant chaque chose ».

Mais encore :

« Celui à qui j’ai dévoilé mon essence lumineuse éternelle, celui-là n’a plus besoin de proximité physique. »

N’a plus besoin de proximité physique ?

C’est-à-dire que celui-là en bénéficiait déjà ?

Ou peut-être

« Que celui qui meurt sans avoir connu la Lumière de l’Imâm, celui-là meurt de la mort des inconscients. »

N’est-ce pas là l’évidence même.

la Lumière désigne la Conscience et la Ténèbre désigne l’Inconscience.

De quel Temps s’agit-il ?

Du Temps de l’Occultation de l’Imâm ?

Ou du Temps de l’existence de notre Mère des idoles l’ « Ego » ?

Donc, oui, il y un monde de lumière soigneusement caché dans notre monde de ténèbre. Il faut obligatoirement être aimé par Dieu pour bénéficier de cet œil divin avec lequel nous pourrions enfin voir « apparaître » ce nouveau monde de lumière pour qu’enfin disparaisse dans le même temps ce monde de ténèbre.

Dernière chose. A l’époque de l’Arabie heureuse toutes les tribus arabes qui ont appris la naissance du nouveau-né, étaient-ils tous conscients que c’était un prophète ? Certainement pas me diriez-vous. Parce que tout le monde en ce temps-là l’appelait Mohamad fils de Abdallâh. A l’exception d’une poignée de vrais croyants qui l’ont reconnu comme le messager d’Allâh bien avant que lui-même le proclame publiquement. Pareil pour le prophète Moïse. Ainsi que d’autres prophètes. Certes en dehors de ces personnes toute l’Arabie le « voyait » et le saluait, et pourtant malgré cela aucun de ces habitants n’ont reconnu en lui le Prophète annoncé pourtant publiquement par son frère Jésus fils de Marie - Bénédiction d’Allah sur eux deux – et ses dépositaires.

Le Prophète ne dit-il pas lui-même :

« J’étais Prophète alors qu’Adam était entre l’eau et l’argile »

Alors si le croyant que Dieu aime, voit lui aussi, dans le corps de ce beau jeune homme un Ange.

Alors que dire s’il posait son regard sur son Prophète et son Imâm !

L’Imâm est-il sur Terre ?

Vit-il physiquement parmi-nous ?

Comme vivait physiquement le Prophète parmi sa famille ?

Combien de Temps encore avant son apparition ?

Le Temps que soyons aimé par Dieu ?

Ou peut-être que nous devons chacun à notre tour attendre que Dieu nous aime pour qu’ensuite,

L’Imâm nous prenne à part et nous disent :

« Je suis ton Imâm ne t’attriste plus. »69

SOURATE JOSEPH

…à suivre…
 
Salamoun'alaykom

« Celui qui prétend m’avoir vu est un menteur »

Certainement, si nous le prenons textuellement tel quel, alors nous comprendront tous que Sâmirrî, lui-même serait un menteur. Puisque à son époque n’importe qui pouvait lui demander de qui sont les paroles qu’il prononce. Et inévitablement, il répondra sans aucun doute que ces paroles ont été prononcé par l’Imâm en personne lors de son dernier entretien avec lui. Alors la parole de Samirrî n’aurait plus aucune valeur et aucun sens aux yeux des croyants puisque l’avertissement même de l’Imâm condamnerait quiconque prétendant l’avoir vu :

« Celui qui prétend m’avoir vu est un menteur »

Oui, encore une fois, si nous le prenons textuellement tel quel, alors sam, lui-même serait certes un menteur s’il prétend l’avoir tout simplement vu. Et son Eminence Sayyed Mohamad Hoseyn Fadhlallâh a donné une réponse on ne peut plus juste.

Cependant, nous devons afin de mieux comprendre, cité quelques mots supplémentaires que l’Imâm, lui-même, a prononcé afin que sa mise en garde prenne un sens plus juste :

Ci-dessous, non pas tout le hadith, mais une partie manquante :

« Celui qui prétend m’avoir vu avant la fin du Temps, celui-là est certes un menteur ».

Avant la Fin du Temps ?

Tiens donc de quel Temps s’agit-il ?

Aviez-vous une idée ?

J'aime bien votre style implicite métaphorique dans l'analyse des mots et des phrases. Mais là cher frère, je ne vois qu'une seule fin du temps, celle de laquelle notre prophète bien aimé saw et les Imams nous ont parlé où l'Imam Al-Mahdi( atf) apparaitra pour instaurer la justice.

Nous retrouvons dans les livres d’histoires islamiques qu’un jour d’après-midi le Prophète Mohammad - Paix sur lui - entouré de ses compagnons reçus la visite d’un bel homme inconnu et habillé entièrement en blanc. Les compagnons forts surpris interrogèrent, après les dernières salutations amicales du jeune homme, le Prophète sur l’identité de ce mystérieux personnage qui traversa tout le désert de l’Arabie sans qu’il y ait une seule tâche sur ces vêtements. Le Prophète leurs répondit qu’il s’agissait en vérité de l’Ange Gabriel et que pour apparaître dans notre monde il a tout simplement pris la forme de l’espèce humaine.

Bref, dans cette histoire tous les compagnons présent ce jour-là en compagnie du messager d’Allâh l’ont tous vu de leurs propres yeux, mais bien évidement aucun parmi les compagnons n’a reconnu l’Ange Gabriel caché dans la forme d’un beau jeune homme, si ce n’est bien sûr le Prophète.

Voulez-vous dire peut être que cette vision est possible mais sous un autre visage autre que celui de l'Imam comme Gabriel (as ) est apparu sous forme humaine et non angélique ?

Mais si nous continuons dans la même démarche que vous, je dirai que l'être humain n'est pas uniquement un visage et une voix, c'est plutôt une âme et un esprit !
Pour ce qui me concerne, je répondrai volontiers par l’affirmative, à la condition bien entendu que le croyant bénéficie d’un privilège divin, celui d’être aimé par Allâh, ce qui le conduit à une nouvelle naissance sensorielle :

« Quand je l’aime je deviens l’œil par lequel il voit, l’ouïe par lequel il entend, etc… »

Ce hadith peut éventuellement nous mener après une certaine réflexion à penser que le croyant et la croyante jouissent ensemble d’un nouveau regard, un regard divin. Donc ce hadith prouve-t-il clairement que tout croyant dont Dieu devient l'oeil par lequel il voit, c'est-à-dire, qu'il voit les entités maléfiques ou angéliques apparaître sous la forme humaine ainsi que les entités qui circulent tels qu'ils sont dans les mondes invisibles, le peut-il ? Si oui, alors pourquoi pas l’Imâm Mahdî..... Que notre Seigneur hâte la Joie de sa venue.

Notre Imam ( atf) connait plus que nous ce hadith et a la plus grande aptitude pour acquérir ces parôles et serait en mesure de nous distinguer ceux qui devraient avoir ce privilège de sa vision au lieu de qualifier de menteur celui qui prétend sa vision avant la fin des temps.
Surtout, n’oublions pas d’ajouter qu’il est nécessaire pour que Dieu devient l’œil par lequel le croyant voit, il faut impérativement « un temps ». Or ce temps est d’après le hadith prophétique, le temps ou celui-ci est aimé par son Seigneur.


Qu'en pensez-vous ?

Afin de pouvoir faire l'analogie du terme " temps " dans ces hadiths il serait intéressant de rapporter ce hadith. :)
 
salâm salâm,

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Salâm salâm,

Très chère soeur Albatoul,

Mais volontiers, je reste à votre disposition. Dites-moi, est-ce bien la référence du hadith que vous souhaitiez que je vous communique:

Allâh a évoqué dans le hadith qudsî suivant rapporté par Boukhari dans « le Sahih 5/2384 » et où le Prophète a dit :

« Le serviteur ne cesse de m’adorer jusqu’à ce que je l'aime, et lorsque je l'aime, je devient l'oeil par lequel il voit, l’oreille par laquelle il entend, la main par laquelle il saisit, le pied par lequel il marche ; j'exauce ses prières et je l’accueille lorsqu’il cherche refuge auprès de moi ».

Ce même hadith se trouve également dans les ouvrages de nos penseurs musulmans.

D'autre part, mon intention est d'échanger dans un esprit d'unité en mettant de côté toute les différences et d'apporter de surcroît le fruit de mes réflexions afin d'aller ensemble vers un débat que je souhaiterai constructif.

Je suis sûr qu'il ne serait en aucun cas convenable de ma part et même condamnable sur le plan de l'éthique que je mette de côté ma propre réflexion pour laisser volontairement quelqu'un d'autre penser à ma place ou penser par procuration.

Enfin, je vous remercie d'avoir répondu librement à certaine de mes questions. Je m'excuse à l'avance s'il m'arrive de vous décevoir. Merçi de votre compréhension.

Avec toute mon amitié le plus sincère votre frère sam.
 
Salamoun'alaykom

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Salâm salâm,

Très chère soeur Albatoul,

Mais volontiers, je reste à votre disposition. Dites-moi, est-ce bien la référence du hadith que vous souhaitiez que je vous communique:

Allâh a évoqué dans le hadith qudsî suivant rapporté par Boukhari dans « le Sahih 5/2384 » et où le Prophète a dit :

« Le serviteur ne cesse de m’adorer jusqu’à ce que je l'aime, et lorsque je l'aime, je devient l'oeil par lequel il voit, l’oreille par laquelle il entend, la main par laquelle il saisit, le pied par lequel il marche ; j'exauce ses prières et je l’accueille lorsqu’il cherche refuge auprès de moi ».

Ce même hadith se trouve également dans les ouvrages de nos penseurs musulmans.

D'autre part, mon intention est d'échanger dans un esprit d'unité en mettant de côté toute les différences et d'apporter de surcroît le fruit de mes réflexions afin d'aller ensemble vers un débat que je souhaiterai constructif.

Je ne doute pas de votre intention cher frère. Le but de mon interrogation et peut être j'avais mal compri que vous ne parlez que du même hadith que vous citez plus haut.
J'avais l'impression qu'il s'agit d'un autre hadith qui stipule la notion du temps et que à partir de laquelle il nous serait plus accessible cette notion de temps.

En tous cas, je vous remercie pour l'attention que vous avez prêtez à mon interrogation. Le hadith que vous venez de citer et très connu et c'est même parmi ceux que j'ai appris dans mes premiers jours où j'ai commencé à apprendre ma religion.

Il est vrai que dans la version arabe le mot " حتى " désigne " le temps " mais serait -il le temps dont parlait notre Imam ???

Je suis sûr qu'il ne serait en aucun cas convenable de ma part et même condamnable sur le plan de l'éthique que je mette de côté ma propre réflexion pour laisser volontairement quelqu'un d'autre penser à ma place ou penser par procuration.

Nos pensées et nos réflexion ne sont-il pas le fruit de notre expérience qui peut être aussi l'expérience des autre en qui nous avons plus confiance et qui représentent notre source d'inspiration et de réflexion ?

Enfin, je vous remercie d'avoir répondu librement à certaine de mes questions. Je m'excuse à l'avance s'il m'arrive de vous décevoir. Merçi de votre compréhension.

Vous ne me décevez absolument pas. c'est un plaisir de vous lire cher frère !
 
Rencontres pendant l'occultation majeure

- extrait de la religion discrète ( auteur: Moezzi) -





Grâce à son Kamâlu d-Dîne wa tamâmu n-Ni'ma, Ibn Bâbûya al-Shaykh al-Sadûq ( 381/911-2) peut être considéré comme le principal artisan de la canonisation des données relatives à l'Imâm caché, son occultation et son retour eschatologique , données que nous connaissons maintenant comme étant les articles de la foi imamites. La masse impressionnante des traditions et propos rapportés, l'usage judicieux des sources antérieurs de la rigueur méthodique de la structure du l'ouvrage font du kamâlu d-Dîne le véritable facteur de la mise en forme définitive de la croyance duodécimaine dans ce domaine.



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Dans le chapitre consacré aux récits de rencontres avec l'Imâm caché 'as, Ibn Bâbûya rapporte bien entendu les témoignages reproduits par al-Kulaynî, mais aussi beaucoup d'autres récits dont certains se passent au temps de l'occultation majeure.


D'emblée se pose une question à laquelle un certain nombre de penseurs duodécimains ont dû apporté une réponse:

Comment croire à l'authenticité des rencontres pendants l'occultation majeure alors que dans sa dernière lettre à son dernier représentant l'Imâm 'as annonce l'impossibilité de toute rencontre jusqu'à la fin u temps?

Voici, d'après la tradition, le texte de cette lettre autographe reçue par al-Simmarî en 329/941:

'' Au Nom de Dieu le Compatissant, le Miséricordieux.
Ô 'Ali b. Mohammad al-Simmarî, que Dieu accroisse, grâce à toi, la récompense de tes frères ( en religion; i.e: les imamites) oui dans six jours surviendra ta mort. Prépare-toi et ne désigne personne pour te succéder ( en tant que nâ'ib) après ton décès.
Voici l'avnement de la seconde occultation ou il n'y aura plus de manifestation, sinon avec la permission de Dieu, et cela n'aura lieu qu'au bout d'une longue durée, lorsque les coeurs seront endurcis et que la terre sera remplie de violence. Parmis mes partisans certains prétendront (m') avoir vu de leurs yeux. Prene garde! Celui qui prétend (m')avoir vu de ses yeux avant le soulèvement d'al-Sufiyânî et ( le retentissement ) du Cri ( deux signes précurseurs de la Fin du temps, et du Retour du Qâ'im), celui-là est un menteur et un imposteur. La Grandeur et la puissance ne reviennent qu'à Dieu le Très-Haut.''

Là encore, Ibn Bâbûya semble être le premier à reproduire cette lettre. Il rapporte pourtant des récits de rencontres pendant l'occultation majeure, et son exemple sera suivi par les auteurs postérieurs. C'est que dès le début, la vision oculaire de l'Imâm caché dont parle la lettre paraît avoir été comprise non pas dans un sens général, mais comme une condition de la représentation de l'Imâm. Ce qui est déclaré impossible pendant l'occultation majeure, et donc jusqu'à la fin du temps,ce n'est pas la rencontre de l'Îmâm caché per se mais la prétention à la niyâba de ce dernier sous prétexte de rencontre. Le fidèle peut être gratifié du privilège de la vision occulaire de l'Imâm, mais si par la suite et en raison de cette rencontre il se déclare " représentant" de l'Imâm, il ne peut être considéré, selon les termes de la lettre , que comme un menteur et un imposteur.


@suivre

 
Rencontres pendant l'occultation majeure

- extrait de la religion discrète ( auteur: Moezzi) -

LA SUITE...



A partir d'Ibn Bâbûya, les récits vont progressivement se multiplier et se diversifier. En règle générale, chaque auteur reprend les informations des sources antérieures en y ajoutant quelques nouveaux témoignages recueillis par lui-même ou par ses contemportains, leurs adjoignant quelques rares fois et allusivement sa propre expérience de la vision de l'Imâm caché. L'identité religieuse de la communauté étant désormais construite, d'autres dimensions se superposent à la question identitaire qui, on l'a vu, vise surtout à prouver l'existence du douzième imam occulté et donc la véracité du duodécimanisme. Avant de passer à ce qui distingue les différents types de récits, il me semble utile de présenter leurs caractéristiques communes et de reconsidérer par là-même les points de vue de Corbin évoqué au début de cet article.


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La rencontre dépend toujours de la volonté de l'Imâm et jamais de celle du fidèle. La foi, l'amour envers les Imâms et leurs cause, la pureté morale ou encore, la sincérité du besoin du fidèle, sont souvent présentés comme des conditions nécessaires mais non suffisantes. L'avènement de la vision dépend en dernier ressort de l'Imâm lui-même, dont la décision relève bien entendu du Vouloir divin.

Certains endroits semblent particulièrement favorable pour la rencontre, tels la Mecque, les abord des tombeaux des Imâms,la cave - as-sirdâb- de Sâmarrâ', la mosquée de Sahla à Najaf, la mosquée de Jamkarân reconnue comme étant le sanctuaire de l'Imâm caché, non loin de Qum, etc.


Mais en principe, le Qâ'im peut se manifester partout.


La rencontre est toujours marquée, de façon plus ou moins forte selon les récits, par le merveilleux. Comme on va le voir plus loin, quelques éléments quasi-constants interviennent au cours du récit pour signifier une rupture dans la réalité ordinaire: apparition et disparition miraculeuse de l'Imâm, lieux insolites ( chateau, oasis, île, cité...) inconnus de la géographie et vers lesquels est mystérieusement conduit le voyageur déstiné à rencontrer l'Imâm, rétraction de l'espace qui implique souvent une rétraction du temps, déploiement des connaissances secr-tes et de pouvoirs supranormaux de toutes sortes de la part de l'Imâm, etc.


Tout cela fait prendre conscience au témoin, souvent après coup, qu'il se trouvait effectivement en présence du Sauveur occulté. Certains éléments à porté symbolique sont très récurrents et marquent , eux aussi, un changement au niveau de réalité: le desert, la nuit, le sommeil, ou un état entre veille et sommeil ( symbole de moments ou la perception sensible est presque libre de ses objets habituels), le retrait ou le changement de vêtement ou de sandales ( symbole de changement de niveau de conscience et par conséquent de niveau de réalité), le symbolisme de la lumière sous différentes formes ( marquant l'irruption de la réalité de l'Imâm dans la réalité sensible),etc.



@suivre...
 
salâm salâm,

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Salâm salâm,

Très chère sœur Albatoul,

Tout à fait, je remercie votre attitude intellectuelle de nous inviter à regarder au-delà des mots et d’animer de surcroît une discussion en privilégiant la réflexion ce qui sera pleinement à notre avantage. Je suis donc content que votre participation pèse sur la discussion.

Par ailleurs, je voudrais m’exprimer un peu plus clairement en revenant rapidement sur un « mode de temps ».

« Il est vrai que dans la version arabe le mot " حتى" désigne " le temps " mais serait-il le temps dont parlait notre Imam ??? »

C’est une réflexion qui mérite toute mon attention.

Mais avant tout, je vous prie, reprenons ensemble le même hadith :

« Le serviteur ne cesse de m’adorer jusqu’à ce que je l'aime, et lorsque je l'aime, je devient l'oeil par lequel il voit, l’oreille par laquelle il entend, la main par laquelle il saisit, le pied par lequel il marche ; j'exauce ses prières et je l’accueille lorsqu’il cherche refuge auprès de moi. »

A l’évidence le hadith ci-dessus s’exprime au subjonctifprésent puisque le mode de temps « jusqu’à ce que » exprime seulement une action qui n’est pas « réalisée » mais seulement « envisagée. » Donc entre les deux il y a pour le serviteur l’espoir d’être « aimé par son Seigneur » et pour cela le Prophète lui posera une condition :

« Si tu aimes Dieu, alors suis-moi, et Dieu t’aimera (3/31). »

Donc, si j’aime Dieu, alors je suivrai le Prophète, et Dieu m’aimera. Par conséquent, l’action sera réalisée et mon Seigneur deviendra donc l’œil par lequel je verrai, l’ouïe par lequel j’entendrai…Donc, je confirme ce n’est bien sûr pas ce temps-là que tenait le propos suivant de l’Imâm :

« Celui qui prétend m’avoir vu matériellement avant la fin du Temps, celui-là est certes un menteur »

Enfin, il important de poursuivre ensemble notre réflexion en vous invitant à revoir une de vos citations :

« je ne vois qu'une seule fin du temps, celle de laquelle notre prophète bien aimé saw et les Imams nous ont parlé où l'Imam Al-Mahdi(AS) apparaitra pour instaurer la justice. »

Avant de retourner à mes activités,

Je souhaite vous posez la question suivante :

Si vous ne voyez qu’une seule fin du temps, celle où l'Imam Al-Mahdi apparaitra pour instaurer la justice. Pensez-vous qu’aujourd’hui, nous pouvons trouvés dans ce monde des hommes et des femmes justes et en paix, qui vivent la justice et servent sa Cause ? Si votre réponse est affirmative. Alors seriez-vous d’accord avec le propos suivant du Prophète :

« Qui se ressemble s’assemble »

Ce qui bien évidemment sous entendrait que les hommes et les femmes justes ont fait leur retour auprès du Juste et bénéficie de sa présence, la présence du douzième Imâm. Son retour où son apparition aux yeux du reste du monde ne concernerait plus les justes, mais bien les injustes. Sa mission est donc clair il aura pour fonction de mettre un terme à tous ceux qui remplissent la Terre d’injustice et de Violence.

Qu’en pensez-vous ?

Avec toute mon amitié votre ami sam.


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Rencontres pendant l'occultation majeure


- extrait de la religion discrète ( auteur: A.Moezzi) -

suite II...




Dimension humanitaire

L'immense majorité des récits appartiennent à cette catégorie ou sont soulignés l'extrème bonté de l'Imâm caché envers ses fidèles et son souci de leur bien être, d'ou l'expression consacrée pour définir la fonction de l'Imâm pendant l'occultation:


" Assister l'affligé et exaucer le besogneux"

" ighâthat al mal-hûf wa ijâbat al mudh-tarr"

L'Imâm caché y est présenté comme un père bienveillant, particulièrement sensible aux besoins et aux souffrances de ses prochains. Il faut signaler aussi qu'il ne s'agit pas toujours de récits de fidèles imamites, certains récits mettent en scène des personnes d'autres croyances qui se convertissent à l'imamisme après avoir rencontré l'Imâm caché et connu l'identité du Sauveur. Contentons nous de quelques exemples typiques:

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Récit de l'homme des Banî Râchid de hamadân ( IV/Xe siècle).

Délaissé par la caravane et perdu dans un désert non loin de la Mecque, le narrateur arrive dans une contrée enchanteresse ou s'élve un château paradisiaque. Il y rencontre le Qâ'im. En sortant du château , il se trouve près d'Asadâbâdh, à côté de Hamadân. Le château a disparu mais il tient toujours en main la bourse que lui avait offerte le Sauveur.


Récit de l'Imâmite perdu dans le désert ( IVe/Xe siècle).

Au moment ou le narrateur est entrain de mourrir de soif, l'Imâm caché apparaît et lui fait boire. Le Qâ'im lui ordonne ensuite de fermer les yeux, lorsqu'il les reouvre, l'Imâm n'est plus là et le narrateur se trouve aumilieu de sa caravane.


Récit de Mohammed b. Ahmad, b.Abî Layth ( VI/XII siècle).

Menacé de mort, le narrateur se réfugie au cimetière des Qurayshites à Baghdâd. Il s'y endort et voit en rève l'Imâm caché qui lui enseigne une prière salvatrice.


Récit de Amîr Ishâq al-Astrâbâdî ( X/XVIIe siècle)

Lui aussi perdu dans le desert, et sur le point de mourir, il rencontre l'Imâm qui le prend sur son cheval et lui apprend la version authentique de la prière attribué à l'Imâm 'Ali (as) et connu sous le nom d' " al-hirz al-yamânî". A la fin de la prière, al-Astrabâdî se trouve à sa destination alors que l'Imâm a disparu.


Récit de Shams al-Dîne Mohammed b.Qârûn ( XIe/VIIe siècle).

L'histoire racontée par le narrateur, est celle de son ami Abû Râjih, un vieillard imamite atrocement torturé et mutilé par le gouverneur de Hilla. Pendant la nuit, Abû Eâjîh , implore l'aide du Qâ'im (as). Celui-ci se manifeste, inondant la maison de lumière et carresse de sa main la tête du vieillard. Non seulement les blessures de celui-ci sont immédiatement guéries, mais il aura dorénavant, et jusqu'à sa mort, l'apparence d'un jeune homme robuste.


Récit d'al-Hurr al-'Âmili ( m.1104/1693).

L'auteur, enfant et atteint d'une maladie incurable, voit tous les imâms en rêve et implore leur assistance. Le douzième Imâm lui fait boire une mystérieuse boisson qui le guérit immédiatement.








 
Salamoun'alaykom

Je souhaite vous posez la question suivante :

Si vous ne voyez qu’une seule fin du temps, celle où l'Imam Al-Mahdi apparaitra pour instaurer la justice. Pensez-vous qu’aujourd’hui, nous pouvons trouvés dans ce monde des hommes et des femmes justes et en paix, qui vivent la justice et servent sa Cause ? Si votre réponse est affirmative. Alors seriez-vous d’accord avec le propos suivant du Prophète :

« Qui se ressemble s’assemble »

Ce qui bien évidemment sous entendrait que les hommes et les femmes justes ont fait leur retour auprès du Juste et bénéficie de sa présence, la présence du douzième Imâm. Son retour où son apparition aux yeux du reste du monde ne concernerait plus les justes, mais bien les injustes. Sa mission est donc clair il aura pour fonction de mettre un terme à tous ceux qui remplissent la Terre d’injustice et de Violence.

Qu’en pensez-vous ?

Avec toute mon amitié votre ami sam.


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La première mission pour laquelle ALLAH sw a envoyé les messagers est comme l'a décrit le saint coran:

"
ليقوم الناس بالقسط
"

"afin que les gens établissent la justice "​

Une justice qui englobe bien évidement toutes les créatures.

L'humanité, depuis sa création n'a jamais manqué d'hommes et de femmes épris d'honneur, de justice et de liberté.
Depuis la naissance de l'Islam avec le prophètes Mohammad saw jusqu'à l'occultation de notre Imam que Dieu lui hâte l'apparition, passant par nos Imams (as) Ali, et Al-Husseine, le combat des libres était pour défendre la justice et combattre l'injustice.
C'est un combat éternel décrété par Dieu qui s'est LUI même interdit l'injustice et l'a rendu interdite entre nous les humains.

C'est pour cette raison aussi que nos chers Imams et Ahlu lbeit ont fait de la "justice" un des pilier de leur dogme.

Je dirais plutôt que l'apparition de notre Imam (atf) dépend en faite de ce que nous sommes et de notre aptitude à défendre la justice. Et avant tout le degré de notre justice envers nous même et envers les autres.
 
Rencontres pendant l'occultation majeure


- extrait de la religion discrète ( auteur: A.Moezzi) -

suite III...




Dimension initiatique



Un grand nombre de récits comportent , souvent à côté de la dimension humanitaire, un aspect initiatique. Lors de la rencontre, l'Imâm enseigne au fidèle une ou plusieurs prières ( c'est le cas le plus fréquent), lui apporte la sollution d'un problme théologique, juridique, ou spirituel, lui donne la connaissance d'un secret, etc. Ce qui est souligné ici, c'est la figure de l'Imâm en tant que " sage initié et initiateur" ' al'âlim. Ces récits sont l'illustration du thème typiquement shi'ite de l'amour-fidélité-soumission ( walâya) envers l'Imâm ouvrant sur l'initiation. Mentionnons brièvement quelques récites exemplaires:



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Récit d'Ibrâhim b.'Ali b.Mahziyâr ( IVe/Xe siècle).

Le narrateur rencontre l'Imâm caché dans une tente dressée dans un désert proche de la Mecque. Celui-ci lui tient un long propos à haute portée spirituelle et morale.


Récit d'Ibn Tâwûs ( datant de 641/1243).

L'auteur raconte très allusivement et par le biais des rêves de l'un de ses compagnons, qu'il rencontra, dans un état de contemplation profonde, l'imam caché et que celui-ci lui révéla de hautes connaissances secrètes qui le plongèrent dans un état extatique.

Récit de Muhammed b.'Ali al-'Alawî al-Hussaynî ( VII/XIIIs siècle).

Menacé de mort par le gouverneur d'Egypte, le narrateur se réfugie à Karbala. Là, près de la tombe de l'Imâm Hussein (as), pendant plusieurs nuits successives et dans un état entre veille et sommeil, il rencontre l'Imâm caché, celui-ci lui enseigne un rituel de prière. Quelques jours plus tard, il entend la nouvelle de l'assassinat du gouverneur.

Récit de Amîr ( ou Mîr) 'Allâm ( XI/XVIIe siècle).

Au sujet, de sn célèbre maître Muqaddas Ardabîlî qui trouvait la solution à ses problèmes théologiques et juridiques ( masâ'il 'ilmiyya) , en se reveillant près de la tombe de 'Ali et grâce à une communication suprasensible avec le premier Imâm. Une nuit " particulièrement sombre" , celui-ci le conseille d'aller à la mosquée de Kûfa. Là, le savant rencontre le Qâ'im qi apporte la réponse à toutes ses questions.

Il faut ajouter à cela de nombreuses histoires de rencontre accompagnée d'enseignement de prières , dont différentes versions de la célèbre " prière de la délivrance" ( Du'â' al-Faraj) ou encore, traduits par Corbin, les récits de véritables parcours initiatiques comme le récit de la fondation du sanctuaire de Jamkarân, le voyage à l'Île Verte de la Mer Blanche, ou encore le voyage aux cinq Cités maritimes des fils de l'Imâm caché ('aj).
 
Bismil Lahi Rahmani Rahim

Allahumma çalli 'ala Mohammed wa Eli Mohammed wa 'ajjel farajahum



رَبِّ أَدْخِلْنِي مُدْخَلَ صِدْقٍ وَأَخْرِجْنِي مُخْرَجَ صِدْقٍ وَاجْعَلْ لِي مِنْ لَدُنْكَ سُلْطاناً نَصِيراً؛

«Seigneur ! Fais que j’entame ma mission en homme véridique et que je l’achève en homme véridique ! Accorde-moi Ton appui et viens à mon secours !»

"wa qul rabbî adkhilnî madkhala çidq wa akhrijnî makhraja çidq wa j'al lî min ladunika sultân-an naçîrâ"



Je prie les chers frères et soeurs, lecteurs, lectrices et members, pour remercier notre chere soeur **Layâlî**, de lire autant qu'ils peuvent la sourate "Le Temps" / 103 et d'offrir le thawab-recompense- a "Maitre du Temps" Imam Mahdi (aj) Incha Allah :

بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيمِ

وَالْعَصْرِ

إِنَّ الْإِنسَانَ لَفِي خُسْرٍ

إِلَّا الَّذِينَ آمَنُوا وَعَمِلُوا الصَّالِحَاتِ وَتَوَاصَوْا بِالْحَقِّ وَتَوَاصَوْا بِالصَّبْرِ​


Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux

1. Par le Temps!

2. L’homme est certes, en perdition,

3. sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, s’enjoignent mutuellement la vérité et s’enjoignent mutuellement l’endurance
.


Khoda hafez!
 
Bismil Lahi Rahmani Rahim





Allahumma çalli 'ala Mohammed wa Eli Mohammed wa 'ajjel farajahum



رَبِّ أَدْخِلْنِي مُدْخَلَ صِدْقٍ وَأَخْرِجْنِي مُخْرَجَ صِدْقٍ وَاجْعَلْ لِي مِنْ لَدُنْكَ سُلْطاناً نَصِيراً؛





Allâhumma çalli 'alâ Mohammed wa Êli Mohammed wa 'ajjel farajahum,


Bismillâhi wa biHi nasta'îne,


Cher frère Ya Fâtima Zahrâ:

Je vous en prie!! il ne faut pas me remercier pour un DEVOIR! c'est un plaisir wallâhi de partager ces trésors avec vous!! qu'Allâh vous bénisse !

Vous avez évoqué la bénite sûrat al-'Asr

بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيمِ

وَالْعَصْرِ

إِنَّ الْإِنسَانَ لَفِي خُسْرٍ

إِلَّا الَّذِينَ آمَنُوا وَعَمِلُوا الصَّالِحَاتِ وَتَوَاصَوْا بِالْحَقِّ وَتَوَاصَوْا بِالصَّبْرِ

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Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux

1. Par le Temps!

2. L’homme est certes, en perdition,

3. sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, s’enjoignent mutuellement la vérité et s’enjoignent mutuellement l’endurance.


Permettez moi de relater ce récit, que j'ai trouvé dans al-Mahajja fîma unzila fil Qâ'imi al Hujja de as-Sayyed Hâshem al Hussein^ùi al-Bahrânî, à la page 212:

Ibn Bâbûya, relate une réwâyat - récit- remontant à al-Mufadh-dhali ibnu 'Amr, qui dit:

J'ai interrogé as-Sâdeq Ja'far fils de Mohammed (as) à propos de Sa parole -Exalté soit-Il-:

:eek:pen:Par le Temps * L’homme est certes, en perdition:close:

Il m'a dit, que la paix soit sur lui:

:eek:pen: Par le Temps:close: c'est-à-dire le Temps de la parousie de l'Imâm ('aj), :eek:pen:L’homme est certes, en perdition:close:celà vise nos ennemis, :eek:pen:sauf ceux qui croient :close:c'est à dire à nos signes/versets, :eek:pen:et accomplissent les bonnes œuvres:close:se montrer compatissant envers ses frères, :eek:pen:s’enjoignent mutuellement la vérité :close:c'est à dire l'Imâmat,:eek:pen:s’enjoignent mutuellement l’endurance:close:à cette époque.

Khodâ negahdar
 

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