EXTRAIT DU LIVRE COMME DANS UN FILM
11
1998
Coupe du monde de football
Ma liberté n’est donc plus, même si je n’ignore pas que l’homme jouit de certaines libertés seulement, mais sûrement pas de la liberté.
Mais cela ne s’arrête pas là, on a décidé de me harceler et de me persécuter, les faits ne cesseront de le prouver.
Un jour alors que j’étais tranquillement assis dans le bureau de ma société, j’étais comme je l’ai dit précédemment, gérant d’une société de prestations de services à domicile c’est à dire une société qui s’occupe de réparations de plomberie, vitrerie, électricité… etc. etc. auprès de particuliers. En somme de petits travaux. Le nom de cette société était « Europe Assistance Interventions » du même nom de l’affaire que j’évoquerai ultérieurement.
Je disais donc que j’étais assis dans mon bureau, quand j’entends retentir la sonnerie, j’ouvre la porte et là je me trouve en présence de la police et d’autres individus dont j’apprendrais plus tard qu’ils appartenaient à l’inspection du travail.
Ils avaient décidé de me faire subir un contrôle lié au code du travail. Un contrôle d’accord mais pourquoi la présence de la police ? Je ne pense pas qu’à chaque fois que l’inspection du travail décide de contrôler une société elle vienne accompagnée de plusieurs inspecteurs de police ! Que fait alors la police avec l’inspection du travail ? Je ne vais pas tarder à le savoir.
Il est bien évident que la police n’avait rien à faire sur les lieux, car si l’inspection du travail décide de faire un contrôle nul besoin de la police.
En fait, ce n’était ni plus ni moins qu’un nouveau coup tordu. Je vais relater exactement ce qui s’est passé.
Alors que je me retrouvais au commissariat de Nanterre à la suite de cette intervention, j’ai surpris une conversation entre un fonctionnaire de l’inspection du travail et un inspecteur de police venu tantôt nous interpeller. J’ai entendu le policier dont le nom commence par la lettre « K » mettre sur pieds une version des faits qui sortait tout droit de son imagination. La véritable version est comme je l’ai dit, que la police et l’inspection du travail étaient intervenues en même temps sur les lieux. Mais pour des raisons évidentes liées à la procédure judiciaire, la police ne pouvait pas dire la vérité. Alors il fallait inventer une histoire et ce fut celle-ci.
Le policier « K » disait à un inspecteur du travail ceci « Vous dites que vous êtes arrivés sur les lieux à 8h00 que vous vous êtes présentés auprès du personnel de la société lequel vous a refusé l’accès du local et suite à ce refus (conformément à la loi) vous avez appelé la police. Nous sommes donc arrivés sur les lieux à telle heure (le temps d’arriver) là nous avons sonné, quelqu'un nous a ouvert et nous avons constaté la présence sur le sol de papiers ayant une forte ressemblance avec de la fausse monnaie (voir annexe) nous sommes donc intervenus dans le cadre d’une procédure en flagrant délit ». En effet, il y avait bien de la publicité sur le sol mais qui bien sûr et en aucun cas ne pouvait être confondue avec de la contrefaçon monétaire. Ce ne fut qu’un prétexte pour comme je l’ai dit, agir une fois encore en procédure de flagrance c’est à dire immédiatement.
Ainsi la police venait une fois de plus de comploter.
Le but de ces man½uvre pour le moins louches, étant de fouiller mon local au nom d’un délit imaginaire, car comme je l’ai dit, la police a prit le prétexte d’avoir constaté sur le sol quelque chose qui ressemblait à de la fausse monnaie, alors que comme vous pourrez le constater en annexe, il faut soit être miro pour confondre ces cartons avec de la fausse monnaie, soit le faire exprès.
La preuve étant que le Tribunal correctionnel de Nanterre (92) me relaxera de ce chef de délit.
On intervenait une fois de plus pour me persécuter et me mettre la pression. Si lors de la perquisition la police venait à découvrir le moindre élément susceptible d’engendrer des poursuites judiciaires j’entends par là sérieuses, cela aurait pu permettre d’en faire toute une montagne et bien sûr de me mettre en prison. Parce qu’il faut savoir qu’en ce qui me concerne contrairement à n’importe quel autre citoyen, il en faut peu pour me mettre en prison. Car même si les faits sont en soi sans gravité, on les accompagne de mensonges et surtout, on les accompagne du fameux et bien calomnieux sous -dossier (voir chapitre sous-dossier) une fois leur salade prête, j’ai déjà un pied en prison. C’est exactement ce qui se produit à chaque intervention policière.
Ainsi pas moins d’une vingtaine de personnes composées de policiers et de fonctionnaires de l’inspection du travail envahissent mon local. On fouille, renverse, jette pour enfin m’embarquer. La police n’a bien sûr rien trouvé de répréhensible. Sauf d’avoir découvert les fameux fusils à pompe qui m’avaient été restitués par la justice. En effet, la loi prévoit qu’en cas d’annulation de la procédure, les objets saisis doivent être restitués. On m’avait donc rendu ces fusils à pompe lesquels complètement abîmés avaient été jetés dans un coin de mon local.
J’étais cependant parfaitement confiant et serein, je n’avais rien fait de répréhensible, je ne voyais donc pas pourquoi j’irai en prison ! Une fois de plus je me trompais, l’objet du délit c’était moi. Je me retrouve en garde à vue, fouille à poil… enfin inutile de raconter ce passage, tant d’hommes et de femmes l’ont narré avant moi.
Et voilà que je me retrouve une fois de plus devant un juge d’instruction. Ce n’était certes pas un juge anti-terroristes j’avais donc moins à craindre, mais tout de même, j’ai quand même autre chose à faire que d’aller en prison surtout lorsque je n’ai rien à me reprocher. Je n’avais pas encore bien compris à mon détriment, que l’objet du délit c’est moi, Metmati Mâamar écrivain qui dénonce les massacres et appelle les musulmans à se réveiller.
J’entre donc dans le bureau du juge qui m’inspire plutôt confiance. Un homme semble-t-il serein d’un âge avancé, que va-t-il encore me dire ? Je l’écoute.
« On vous reproche d’avoir embauché des distributeurs de prospectus sans les avoir déclarés à l’U.R.S.S.A.F. ». Certes je le reconnais ! mais on ne va tout de même pas me mettre en prison parce que j’ai embauché deux pakistanais ? Alors il a commencé un discours sur l’économie « Vous savez Monsieur cela perturbe l’économie de la France » et patati et patata… Et je compris qu’une fois de plus j’allais dormir en prison, et je dormis en prison.
Le soir même je me retrouve à la maison d’arrêt de Nanterre au quartier des arrivants. Cependant, je savais que je ne risquais pas grand chose et cela me rassurait. Ce n’était pas l’anti-terrorisme, je n’allais donc pas faire une ou deux années en préventive…pour rien. Au bout d’un mois et dix jours, on me relâcha. Mon avocat me dit « J’aurais pu te faire sortir avant si tu m’avais désigné ». A quoi bon alors m’avoir mis en prison ! Un mois et dix jours cela veut dire si je comprends bien, que l’atteinte à l’économie de la France n’était pas si grave que cela ! De toute évidence, il y avait autre chose.
Pourquoi m’avoir mis en prison alors qu’en un mois et dix jours le juge ne peut pas avancer dans son instruction ? Il n’en savait donc pas plus qu’un mois et dix jours plus tôt !
En fait, c’était encore une manipulation, car on n’a jamais mis un homme en prison pour avoir embauché deux distributeurs au seul motif qu’il ne les avait pas déclarés à l’U.R.S.S.A.F. De plus, ma s½ur m’a dit qu’elle avait vu les flics se féliciter quand ils ont appris que le juge avait décidé de me mettre en détention. Ils étaient heureux comme des enfants à qui on avait acheté une glace, leur coup avait marché.
Ce qui va suivre est encore plus grave.
Je quittais donc la maison d’arrêt de Nanterre un mois et dix jours après mon incarcération. Je pense que la raison de ce complot fut en liaison comme je l’ai écrit en titre du chapitre, avec l’événement de la coupe du monde de football.
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1998
Coupe du monde de football
Ma liberté n’est donc plus, même si je n’ignore pas que l’homme jouit de certaines libertés seulement, mais sûrement pas de la liberté.
Mais cela ne s’arrête pas là, on a décidé de me harceler et de me persécuter, les faits ne cesseront de le prouver.
Un jour alors que j’étais tranquillement assis dans le bureau de ma société, j’étais comme je l’ai dit précédemment, gérant d’une société de prestations de services à domicile c’est à dire une société qui s’occupe de réparations de plomberie, vitrerie, électricité… etc. etc. auprès de particuliers. En somme de petits travaux. Le nom de cette société était « Europe Assistance Interventions » du même nom de l’affaire que j’évoquerai ultérieurement.
Je disais donc que j’étais assis dans mon bureau, quand j’entends retentir la sonnerie, j’ouvre la porte et là je me trouve en présence de la police et d’autres individus dont j’apprendrais plus tard qu’ils appartenaient à l’inspection du travail.
Ils avaient décidé de me faire subir un contrôle lié au code du travail. Un contrôle d’accord mais pourquoi la présence de la police ? Je ne pense pas qu’à chaque fois que l’inspection du travail décide de contrôler une société elle vienne accompagnée de plusieurs inspecteurs de police ! Que fait alors la police avec l’inspection du travail ? Je ne vais pas tarder à le savoir.
Il est bien évident que la police n’avait rien à faire sur les lieux, car si l’inspection du travail décide de faire un contrôle nul besoin de la police.
En fait, ce n’était ni plus ni moins qu’un nouveau coup tordu. Je vais relater exactement ce qui s’est passé.
Alors que je me retrouvais au commissariat de Nanterre à la suite de cette intervention, j’ai surpris une conversation entre un fonctionnaire de l’inspection du travail et un inspecteur de police venu tantôt nous interpeller. J’ai entendu le policier dont le nom commence par la lettre « K » mettre sur pieds une version des faits qui sortait tout droit de son imagination. La véritable version est comme je l’ai dit, que la police et l’inspection du travail étaient intervenues en même temps sur les lieux. Mais pour des raisons évidentes liées à la procédure judiciaire, la police ne pouvait pas dire la vérité. Alors il fallait inventer une histoire et ce fut celle-ci.
Le policier « K » disait à un inspecteur du travail ceci « Vous dites que vous êtes arrivés sur les lieux à 8h00 que vous vous êtes présentés auprès du personnel de la société lequel vous a refusé l’accès du local et suite à ce refus (conformément à la loi) vous avez appelé la police. Nous sommes donc arrivés sur les lieux à telle heure (le temps d’arriver) là nous avons sonné, quelqu'un nous a ouvert et nous avons constaté la présence sur le sol de papiers ayant une forte ressemblance avec de la fausse monnaie (voir annexe) nous sommes donc intervenus dans le cadre d’une procédure en flagrant délit ». En effet, il y avait bien de la publicité sur le sol mais qui bien sûr et en aucun cas ne pouvait être confondue avec de la contrefaçon monétaire. Ce ne fut qu’un prétexte pour comme je l’ai dit, agir une fois encore en procédure de flagrance c’est à dire immédiatement.
Ainsi la police venait une fois de plus de comploter.
Le but de ces man½uvre pour le moins louches, étant de fouiller mon local au nom d’un délit imaginaire, car comme je l’ai dit, la police a prit le prétexte d’avoir constaté sur le sol quelque chose qui ressemblait à de la fausse monnaie, alors que comme vous pourrez le constater en annexe, il faut soit être miro pour confondre ces cartons avec de la fausse monnaie, soit le faire exprès.
La preuve étant que le Tribunal correctionnel de Nanterre (92) me relaxera de ce chef de délit.
On intervenait une fois de plus pour me persécuter et me mettre la pression. Si lors de la perquisition la police venait à découvrir le moindre élément susceptible d’engendrer des poursuites judiciaires j’entends par là sérieuses, cela aurait pu permettre d’en faire toute une montagne et bien sûr de me mettre en prison. Parce qu’il faut savoir qu’en ce qui me concerne contrairement à n’importe quel autre citoyen, il en faut peu pour me mettre en prison. Car même si les faits sont en soi sans gravité, on les accompagne de mensonges et surtout, on les accompagne du fameux et bien calomnieux sous -dossier (voir chapitre sous-dossier) une fois leur salade prête, j’ai déjà un pied en prison. C’est exactement ce qui se produit à chaque intervention policière.
Ainsi pas moins d’une vingtaine de personnes composées de policiers et de fonctionnaires de l’inspection du travail envahissent mon local. On fouille, renverse, jette pour enfin m’embarquer. La police n’a bien sûr rien trouvé de répréhensible. Sauf d’avoir découvert les fameux fusils à pompe qui m’avaient été restitués par la justice. En effet, la loi prévoit qu’en cas d’annulation de la procédure, les objets saisis doivent être restitués. On m’avait donc rendu ces fusils à pompe lesquels complètement abîmés avaient été jetés dans un coin de mon local.
J’étais cependant parfaitement confiant et serein, je n’avais rien fait de répréhensible, je ne voyais donc pas pourquoi j’irai en prison ! Une fois de plus je me trompais, l’objet du délit c’était moi. Je me retrouve en garde à vue, fouille à poil… enfin inutile de raconter ce passage, tant d’hommes et de femmes l’ont narré avant moi.
Et voilà que je me retrouve une fois de plus devant un juge d’instruction. Ce n’était certes pas un juge anti-terroristes j’avais donc moins à craindre, mais tout de même, j’ai quand même autre chose à faire que d’aller en prison surtout lorsque je n’ai rien à me reprocher. Je n’avais pas encore bien compris à mon détriment, que l’objet du délit c’est moi, Metmati Mâamar écrivain qui dénonce les massacres et appelle les musulmans à se réveiller.
J’entre donc dans le bureau du juge qui m’inspire plutôt confiance. Un homme semble-t-il serein d’un âge avancé, que va-t-il encore me dire ? Je l’écoute.
« On vous reproche d’avoir embauché des distributeurs de prospectus sans les avoir déclarés à l’U.R.S.S.A.F. ». Certes je le reconnais ! mais on ne va tout de même pas me mettre en prison parce que j’ai embauché deux pakistanais ? Alors il a commencé un discours sur l’économie « Vous savez Monsieur cela perturbe l’économie de la France » et patati et patata… Et je compris qu’une fois de plus j’allais dormir en prison, et je dormis en prison.
Le soir même je me retrouve à la maison d’arrêt de Nanterre au quartier des arrivants. Cependant, je savais que je ne risquais pas grand chose et cela me rassurait. Ce n’était pas l’anti-terrorisme, je n’allais donc pas faire une ou deux années en préventive…pour rien. Au bout d’un mois et dix jours, on me relâcha. Mon avocat me dit « J’aurais pu te faire sortir avant si tu m’avais désigné ». A quoi bon alors m’avoir mis en prison ! Un mois et dix jours cela veut dire si je comprends bien, que l’atteinte à l’économie de la France n’était pas si grave que cela ! De toute évidence, il y avait autre chose.
Pourquoi m’avoir mis en prison alors qu’en un mois et dix jours le juge ne peut pas avancer dans son instruction ? Il n’en savait donc pas plus qu’un mois et dix jours plus tôt !
En fait, c’était encore une manipulation, car on n’a jamais mis un homme en prison pour avoir embauché deux distributeurs au seul motif qu’il ne les avait pas déclarés à l’U.R.S.S.A.F. De plus, ma s½ur m’a dit qu’elle avait vu les flics se féliciter quand ils ont appris que le juge avait décidé de me mettre en détention. Ils étaient heureux comme des enfants à qui on avait acheté une glace, leur coup avait marché.
Ce qui va suivre est encore plus grave.
Je quittais donc la maison d’arrêt de Nanterre un mois et dix jours après mon incarcération. Je pense que la raison de ce complot fut en liaison comme je l’ai écrit en titre du chapitre, avec l’événement de la coupe du monde de football.