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Abou Bakr, ou Ibn Bakr qui était avec Rassoulou Allah (as) à Hira ?

brigitte

New member
Au sujet d'Abu-Bakr

Salam

Abu-bark a écrit en ouvrant l’une de ces nombreuses provocations :


j'ignore les associateurs

et ceux qui ont des blazes de mécréants

ils méritent aucune intention de ma part que dal et ils peuvent toujours courir


Si il est logique lui-même, soit il quitte le forum Al-Imane auquel cas il nous considère vraiment comme des associateurs ou des mécréants, soit il continue sur le forum auquel cas il nous prête beaucoup d’attention (plus de 40 posts en même pas 8 jours) et nous ne sommes ni associateurs ni mécréants. La logique est là, il va falloir trancher.

Quoiqu’il en soit, il serait bon de ne plus répondre à ses provocations. N’ouvrons le dialogue avec lui que s’il nous présente des arguments exempts de toute haine et de toute méchanceté. C’est une de recommandations d’Allah de ne pas dialoguer avec des hommes mauvais.
Il a été fait ce qu’il fallait par les uns et les autres pour essayer de lui ouvrir les yeux, mais il est trop orgueilleux et trop enclin à suivre ses passions pour se rendre compte qu’il est sur le chemin de la perdition.
Prions pour lui, seul Allah peut le ramener sur le chemin droit.
 
Assalamou 'alaykoum

Plus aucune forme de provocation ne sera tolérée sur ce Forum.. Nous avons tous bien mieux à faire que de perdre notre temps à essayer d'ouvrir les yeux à des aveugles sans aucune éducation.

N'hésitez pas à utiliser l'alerte modérateur à chaque nouvelle provocation ou insulte.

Que Dieu vous bénisse.
 
Salam

Enfin j'ai trouvé mon marja' :
Brigitte
Merci pour le conseil, effectivement rien ne sert de se prendre la tête avec ces gens.

Ma'a salam
 
Abou Bakr face à Arnold Toynbee

Salam,

Arnold Toynbee, historien britannique, (1889-1975), auteur d'ouvrages sur les civilisations, écrivit :

"En Arabie, en dehors de Yathrib et de la Mecque, la nouvelle de la mort de Mohammed (l'auteur ne l'écrit pas comme ça mais je me refuse de l'orthographier à sa manière) se traduisit par une révolte généralisée provoquée par des prophètes et des prophètesses locaux qui prétendaient avoir gagné pour leur peuple la faveur d'Allah.
La révolte fut matée par une coalition des troupes de Yathrib et de La Mecque. Les Yathribites se battaient pour conserver à leur oasis le privilège de capitale d'un Empire, privilège que Yathrib avait obtenu en devenant "la ville" (du Prophète). Les habitants de La Mecque qui n'avaient pas émigré à Médine se battaient pour conserver à leur ville le pèlerinage et le sanctuaire, si intéressants du point de vue économique, que Mohammad (pslf) avait incorporés aux institutions de l'Islam. Les rebelles furent vaincus par l'habileté des Quraych. En 633, ces derniers se montrèrent comme leurs prédécesseurs de Palmyre en 260, aussi doués pour des fonctions qui ne leur étaient pas familières-comme le gouvernement, le commandement de l'armée et la diplomatie-que pour les affaires commerciales de leurs ancêtres. Certains des Quraych qui sauvèrent ainsi l'islam et l'Etat islamique en 633 avaient été des convertis tardifs et hésitants : Khalid ibn al-Walid, le plus dynamique des chefs militaires du jeune Etat islamique, et Mu'awiyyah Ier Ibn Abu Sufyan, le cinquième successeur de Mohammad(pslf) à la tête de l'Etat, en sont des exemples. Même ainsi, la puissance combinée de Médine et de La Mecque aurait pu n'être pas assez forte pour reconquérir le reste de l'Arabie si le khalifa du Prophète décédé, Abou Bakr, n'avait présenté aux insurgés une alternative attrayante à leur révolte.
Que ce soit à sa propre initiative, ou à l'instigation du groupe d'hommes qui dirigeait officieusement l'Etat islamique (hhmm, je dirais Omar, non? ah oui, un groupe d'hommes, il représentait ça aussi), et qui l'avait élu, Abou Bakr invita les insurgés à tourner leurs armes contre les deux empires qui bornaient l'Arabie au Nord. Ces deux empires étaient sortis épuisés de la terrible guerre romano-perse de 604-628. Ils constituaient une proie facile qui ne résisterait pas à l'assaut des forces unies de toute l'Arabie et, quoique les deux Empires fussent économiquement ruinés aux yeux de leurs propres sujets, ils n'en constituaient pas moins un riche butin aux yeux des Arabes. Abou Bakr, en cette occasion, prit exemple sur Mohammed (il avait d'autres méthodes pour convaincre, nous sommes d'accord, Toynbee n'étant pas croyant, on lui passe cela), lui-même. Il exigea la loyauté en échange de l'espoir de ramener du butin. Les Arabes, toujours en proie à la pauvreté, avaient à cet égard un appétit insatiable. Cette combinaison de séduction et de contrainte réussit à détourner les Arabes de leur rébellion et les entraîna à la conquête étrangère.(...)

C'est bon de prendre du recul, trouvez pas...
 
shariatienne a dit:
Salam,

Arnold Toynbee, historien britannique, (1889-1975), auteur d'ouvrages sur les civilisations, écrivit :

"En Arabie, en dehors de Yathrib et de la Mecque, la nouvelle de la mort de Mohammed (l'auteur ne l'écrit pas comme ça mais je me refuse de l'orthographier à sa manière) se traduisit par une révolte généralisée provoquée par des prophètes et des prophètesses locaux qui prétendaient avoir gagné pour leur peuple la faveur d'Allah.
La révolte fut matée par une coalition des troupes de Yathrib et de La Mecque. Les Yathribites se battaient pour conserver à leur oasis le privilège de capitale d'un Empire, privilège que Yathrib avait obtenu en devenant "la ville" (du Prophète). Les habitants de La Mecque qui n'avaient pas émigré à Médine se battaient pour conserver à leur ville le pèlerinage et le sanctuaire, si intéressants du point de vue économique, que Mohammad (pslf) avait incorporés aux institutions de l'Islam. Les rebelles furent vaincus par l'habileté des Quraych. En 633, ces derniers se montrèrent comme leurs prédécesseurs de Palmyre en 260, aussi doués pour des fonctions qui ne leur étaient pas familières-comme le gouvernement, le commandement de l'armée et la diplomatie-que pour les affaires commerciales de leurs ancêtres. Certains des Quraych qui sauvèrent ainsi l'islam et l'Etat islamique en 633 avaient été des convertis tardifs et hésitants : Khalid ibn al-Walid, le plus dynamique des chefs militaires du jeune Etat islamique, et Mu'awiyyah Ier Ibn Abu Sufyan, le cinquième successeur de Mohammad(pslf) à la tête de l'Etat, en sont des exemples. Même ainsi, la puissance combinée de Médine et de La Mecque aurait pu n'être pas assez forte pour reconquérir le reste de l'Arabie si le khalifa du Prophète décédé, Abou Bakr, n'avait présenté aux insurgés une alternative attrayante à leur révolte.
Que ce soit à sa propre initiative, ou à l'instigation du groupe d'hommes qui dirigeait officieusement l'Etat islamique (hhmm, je dirais Omar, non? ah oui, un groupe d'hommes, il représentait ça aussi), et qui l'avait élu, Abou Bakr invita les insurgés à tourner leurs armes contre les deux empires qui bornaient l'Arabie au Nord. Ces deux empires étaient sortis épuisés de la terrible guerre romano-perse de 604-628. Ils constituaient une proie facile qui ne résisterait pas à l'assaut des forces unies de toute l'Arabie et, quoique les deux Empires fussent économiquement ruinés aux yeux de leurs propres sujets, ils n'en constituaient pas moins un riche butin aux yeux des Arabes. Abou Bakr, en cette occasion, prit exemple sur Mohammed (il avait d'autres méthodes pour convaincre, nous sommes d'accord, Toynbee n'étant pas croyant, on lui passe cela), lui-même. Il exigea la loyauté en échange de l'espoir de ramener du butin. Les Arabes, toujours en proie à la pauvreté, avaient à cet égard un appétit insatiable. Cette combinaison de séduction et de contrainte réussit à détourner les Arabes de leur rébellion et les entraîna à la conquête étrangère.(...)

C'est bon de prendre du recul, trouvez pas...

Salam aleykum,

Mais celà ne change rien au fait que c'est l'imam ali qui était le successeur du prophète d'une part car le prophète l'avait désigné comme maitre des croyants après lui et comme frère à deux reprises,et d'autre part que abu baker(qui n'a pas été élu,mais nommé),omar,othman,mu'awiyyah ont usurpé le caliphat.De plus,l'auteur mécréant et pervers de ce texte insulte clairement l'islam en donnant un avis qui ne peut servir d'argument contre l'islam car il n'est lui meme pas musulman,tout simplement.Quiplus-est,il ne connais rien du prophète muhamad.D'autre part,il ose insulter notre prophète muhamad(saw),en le qualifiant malhonnètement d'imposteur et de personne cupide.Que Dieu maudisse cet arnold toynbee,et qu'il subisse la gehenne,car il est au nombre des perdants et mécréants.

As-salam
 
Assalamou 'alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakatouhou;

Je verse ce dossier au débat, non pas pour prendre position, mais pour confirmer que SEUL le CORAN, n'a pas été falsifié.
L'histoire est un tissus de mensonges, et les hadiths, sont tout aussi sujets à caution, malheureusement.
LISEZ avec un oeil critique, et soyez patients.
La vérité finit TOUJOURS par éclater !
Les laudateurs d'Abou Bekr, ra, devront trouver d'autres arguments pour justifier sa NON désignation par Rassoulou Allah, aswaws, comme successeur, hélas pour eux et pour les falsificateurs de l'histoire qui devront maudire Aïcha, ra, pour avoir affirmé " qu'AUCUN VERSET du CORAN, n'a été révélé concernant sa famille," alors que nous savons que pourtant sourate At Tahrim, la concernait, ainsi que celle du "collier" par laquelle Allah, maudissait ceux qui l'accusaient injustement, ou encore celle par laquelle Omar, ra et son père Abou Bekr, ra, ont été blâmés par Allah, Exalté Soit-IL pour avoir osé impudemment élever la voix devant Rassoulou Allah, aswaws, le jour de Houdheybiya....

Il y a de ces contradictions qui ont la peau dure, surtout dans les recueils de Boukhari, dont la notoriété s'effrite au fur et à mesure que la liberté d'expression et la connaissance avancent et que recule le mimétisme aveugle, et l'interdiction de critiquer et de considérer le Coran, comme seule source INALTEREE et INALTERABLE, et que les hadiths reprennent leur Statut de simples "points de vue et somme toutes des narrations humaines de l'histoire avec tous les préjugés des narrateurs, enfin des narrations édulcorées et telles que SUPPOSEES ou perçues par des Compagnons, pas toujours scrupuleux et probes, et des narrations de ce que pensent avoir retenu des dires de Rassoulou Allah, aswaws, ceux qui ne l'ont pas connu, mais ont connu des notables 1 ou 2 siècles après son Rappel à Allah, et qui leur ont dit " ce qu'ils ont entendu dire par X ou Y, très généralement peu crédibles,car impliqués dans les luttes intestines de POUVOIR, et aussi pour simple défaut de mémoire, préjugés humains et héritages conditionnés de valeurs, et malheureusement intérêt POLITIQUE."

C'est comme si quelqu'un tentait de restituer la décennie NOIRE, à travers les témoignages de Bentchicou, Matin, Soir d'Algérie, Sadi, Ferhat, Lamari, Nezzar.. ou celui d'Ortiz, Lagaillarde, Salan, Massu sur la Guerre de Libération.


ÞÏ áÇ íÔßá åÐÇ ÇáÈÍË Çí Çåãíå áÏì ÇáÈÚÖ

áßäå ÈÇáÝÚá íßÔÝ ÒíÝ ÇáÊÇÑíÎ æíÏÎáäÇ Ýí ÏæÇãÉ ( ãÇ ÎÝí ßÇä ÇÚÙã )

íÇ ÊÑì ÈÚÏ Çä ÎÏÚäÇ ÇáÊÇÑíÎ Øæá åÐå ÇáÞÑæä ãÇÐÇ ÇÎÝì ÚäÇ ÈÚÏ æßã ßÐÈÉ ÚÔäÇåÇ æáÇÒáäÇ äÚíÔåÇ Ïæä Çä äÏÑí

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áÇ ÇáÇåÇäå.

ÃÈæ ÈßÑ áã íßä ãÚ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí ÇáÛÇÑ!
ÇÈÇ ÈßÑ ßÇä ãÔÑßÇ Ýí ÇáæÞÊ ÇáÐí åÇÌÑ Ýíå ÇáÑÓæá

ÇáÍãÇãå æÇáÈíÖå æäÓíÌ ÇáÚäßÈæÊ ãÇ åæ ÇáÇ äÓíÌ ãä ÇáßÐÈ

ÛÇÑ ËæÑ ÍÌãå ãÊÑíä ãÑÈÚ æáå ÝÊÍå ãä ÇáÌÇäÈ ÇáÇÎÑ ããÇ íÓÑÈ ÇáÖæÁ Çáíå áíÑì

ãÇ ÈÏÇÎáå ÈæÖæÍ æÇä æÌÏ äÓíÌ ÇáÚäßÈæÊ !!

ÈÞáã ÓãÇÍÉ ÇáÔíÎ ÇáØÇÆí

ÊÇÑíÎ ÇáÒíÝ.. æÒíÝ ÇáÊÇÑíÎ!

(ÃÈæ ÈßÑ áã íßä ãÚ ÇáÑÓæá Ýí ÇáÛÇÑ)!

åÐå åí ÇáäÊíÌÉ ÇáÊí ÊæÕá ÅáíåÇ ÇáÔíÎ ÇáØÇÆí ÈÚÏ ÈÍË ãÖä ÌåíÏ Ýí ÌãíÚ ãÕÇÏÑ Ãåá ÇáÚÇãÉ¡ ÝØæì ÈÐáß 1422 ÓäÉ ãä ÇáßÐÈ æÇáÇÎÊáÇÞ ÇááÐÇä áÝÇ Êáß ÇáÞÖíÉ æÃÎÑÌÇåÇ Úä æÇÞÚåÇ ÇáÍÞíÞí.

(Åäå ÃÚÙã ÊæÝíÞ Åáåí ÍÕá áí Ýí ÍíÇÊí Åáì åÐÇ Çáíæã).. åßÐÇ æÕÝ ÇáÚáÇãÉ ÇáØÇÆí ÑÍáÊå Ýí ÓÈÑ ÃÛæÇÑ åÐå ÇáÞÖíÉ ÇáÔÇÆßÉ æÇáãÚÞÏÉ Ýí ÈÍËå ÇáãÊßÇãá.
æäÊÑß ÇáÓØæÑ æÇáÕÝÍÇÊ ÇáÊÇáíÉ áÞáã ÓãÇÍÉ ÇáÔíÎ ÇáØÇÆí:

æåÐÇ ÇáÈÍË íÝäøÏ ÞÖíÉ ÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ ÈÔßá Úáãí ÇÓÊäÇÏÇð áÑæÇíÉ ÕÍíÍÉ æãÊæÇÊÑÉ æÔæÇåÏ æÞÑÇÆä ßËíÑÉ.
ÑÌÇá ÇáÍÒÈ ÇáÞÑÔí ÍÇæáæÇ ÌåÏåã ÍÔÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÞÖíÉ ÇáÛÇÑ æÇáåÌÑÉ ãÊÔÈËíä Èßá ÇáæÓÇÆá ÇáããßäÉ Ýí åÐÇ ÇáãÌÇá. ÝÇäÊÔÑÊ ÚÔÑÇÊ ÇáÃÍÇÏíË ÇáãÎÊáÞÉ Èíä ÇáäÇÓ ææÖÚÊ ÇáÏæáÉ ÚíÏÇð ßÈíÑÇð áåÐå ÇáãäÇÓÈÉ.

æáÃä ÍÈá ÇáßÐÈ ÞÕíÑ ÝÞÏ ÊÈíä Ãä åÐå ÇáÃßÐæÈÉ æÖÚÊ áãÚÇÑÖÉ ÍÇÏËÉ ÇáÛÏíÑ ÇáæÇÞÚÉ Ýí 18 Ðí ÇáÍÌÉ. ÝÞÏ ÌÚá ÑÌÇá ÇáÓíÇÓÉ ÍÇÏËÉ ÇáÛÇÑ Ýí 26 Ðí ÇáÍÌÉ! Ýí Ííä ßÇäÊ æÇÞÚÉ ÇáÛÇÑ Ýí ÔåÑ ÕÝÑ!

æíÊÚÈ ÇáãÑÁ ãä ßËÑÉ ÃßÇÐíÈ ÞÑíÔ æÃÐäÇÈåÇ æÞÏÑÊåã ÇáÝäíÉ ÇáÚÇáíÉ Ýí åÐÇ ÇáãÌÇá. æíßÝí Ãä ÊÚáã Ãä ÏåÇÁ ÞÑíÔ áÇ íáÍÞå ÏåÇÁ Ýí Ðáß ÇáæÞÊ.

æÇÔÊÏ åÐÇ ÇáãßÑ ÈÊáÇÍåã ÞÑíÔ æÇáíåæÏ ÝÃÕÈÍ ßÚÈ ÇáÃÍÈÇÑ æåæ ÔíØÇä ÇáíåæÏ æÇÚÙ ÇáãÓÌÏ ÇáäÈæí Ýí Òãä ÚãÑ Èä ÇáÎØÇÈ æÇÓÊãÑ Ýí ãäÕÈå Ýí Òãä ÚËãÇä Èä ÚÝÇä.

æÅÐÇ ßÇä ßÚÈ ÇáíåæÏ ãÚáãÇð ááãÓáãíä íÚáãåã Ïíäåã ÝÊÕæÑ ãÇ íãßä Ãä íÏÎáå Ýí ÇáÏíä ãä ÇÝÊÑÇÁÇÊ æÅÓÑÇÆíáíÇÊ áÇ ÍÕÑ áåÇ!

æÈáÛ Ðáß ÇáÏåÇÁ ÞãÊå Ýí ÊßÝíÑ ÇáÓáØÉ ááãÓáã ÛíÑ ÇáãÚÊÞÏ ÈÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ! ÈíäãÇ ÞÇá Çááå ÊÚÇáì Ýí ßÊÇÈå ÇáÔÑíÝ: (æáÇ ÊÞæáæÇ áãä ÃáÞì Åáíßã ÇáÓáÇã áÓÊ ãÄãäÇð).

åÐÇ Ýí ÇáæÞÊ ÇáÐí áã íßÝÑ Ýíå æÚÇÙ ÇáÓáÇØíä åÄáÇÁ ÞÊáÉ ÝÇØãÉ ÈäÊ ãÍãÏ (ÚáíåãÇ ÇáÕáÇÉ æÇáÓáÇã)¡ æáã íßÝÑæÇ ÞÊáÉ ÇáÍÓíä (Úáíå ÇáÓáÇã) æáã íßÝÑæÇ ÇáãÚÊÞÏíä ÈäÞÕ ÇáÞÑÂä!

æáÇ íÚáã ÅáÇ Çááå ÊÚÇáì ßã åí ÃÚÏÇÏ ÇáãÓáãíä ÇáÐíä ÞÊáæÇ áÚÏã ÅíãÇäåã ÈÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ. áÃä ÇáÍßæãÇÊ ßÇäÊ ÊÞÊá ÇáãÓáãíä ÈÃÚÐÇÑ ÔÊì æÊßÊã ÇáÃÓÈÇÈ ÇáÍÞíÞíÉ áÓÝßåÇ ÇáÏãÇÁ. ÝáÞÏ ÞÊá ÇáÍÌÇÌ Èä íæÓÝ ÇáËÞÝí ãÆÉ æÚÔÑíä ÃáÝÇð ÈÍÌÌ ÛíÑ ãÚÑæÝÉ¡ æÓÌä ËáÇËÉ æËáÇËíä ÃáÝÇð¡ æßÇä ãä ÌãáÉ ÇáãÞÊæáíä Úáì íÏíå ÇáÝÞíå ÇáÒÇåÏ ÓÚíÏ Èä ÌÈíÑ æÊáãíÐ ÇáÅãÇã Úáí (Úáíå ÇáÓáÇã) ßãíá Èä ÒíÇÏ æÚÈÏ ÇáÑÍãä Èä ÃÈí áíáì ÇáÐí ÃÎÐ ÇáÞÑÂä ãä ÃãíÑ ÇáãÄãäíä (Úáíå ÇáÓáÇã). Ýåá ÞõÊöá åÄáÇÁ áÚÏã ÅíãÇäåã ÈÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ æÇáåÌÑÉ¿

áåÐÇ íÌÈ Ãä áÇ äÓÊÛÑÈ ÅÐÇ ÇßÊÔÝäÇ ÇáÂä Ãä ßá ÞÖíÉ åÌÑÉ æÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ áíÓ áåÇ ÃÓÇÓ ãä ÇáÕÍÉ¡ æÃäåÇ ÞÖíÉ ãÎÊáÞÉ ãáÝÞÉ¡ Èá ÃßÐæÈÉ¡ Ðáß áÃäåÇ ÊÕØÏã ÈÇáÍÞÇÆÞ ÇáãæÖæÚíÉ æÇáÑæÇíÇÊ ÇáÊÇÑíÎíÉ¡ æäÍä ÓääÇÞÔåÇ æäÚÑÖåÇ äÞÏíÇð ßí ÊÊÖÍ ÇáÕæÑÉ ááÌãíÚ

Åä ãÇ åæ ãäÊÔÑ ÈÔßá ÎÇØÆ Èíä ÇáãÓáãíä Ýí ÔÃä åÐÇ ÇáãæÖæÚ¡ Ãä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÎÑÌ ãä ÈíÊå áíáÉ ÇáåÌÑÉ æÞÏ ÃäÇã ÚáíÇð (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ãßÇäå¡ æÞÏ ßÇä ÎÑæÌå ÅÚÌÇÒíÇð áÃä ãÔÑßí ÞÑíÔ ÇáÐíä ßÇäæÇ íÍæØæä ÏÇÑå áã íÑæå ÈÚÏãÇ ÞÑà ÇáÂíÇÊ: (æÌÚáäÇ ãä Èíä ÃíÏíåã ÓÏÇð æãä ÎáÝåã ÓÏÇð ÝÃÛÔíäÇåã Ýåã áÇ íÈÕÑæä...) ÝÚãæÇ Úä ãÔÇåÏÊå. Ëã ÊæÌå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Åáì ÈíÊ ÃÈí ÈßÑ Èä ÃÈí ÞÍÇÝÉ¡ æåäÇß ÇäÊÙÑ Åáì ÇáÕÈÇÍ Ëã ÎÑÌ åæ æÃÈæ ÈßÑ ááåÌÑÉ ÈÕÍÈå ÃÍÏ ÃÏáÇÁ ÇáØÑÞ æíÏÚì ÚÈÏ Çááå Èä ÃÑíÞØ Èä ÈßÑ¡ æÈÏáÇð ãä Ãä íÓáß ÇÈä ÈßÑ ÈåãÇ ØÑíÞ ÇáÔãÇá ÍíË íËÑÈ (ÇáãÏíäÉ ÇáãäæÑÉ) ÝÅäå Óáß ÈåãÇ ØÑíÞ ÇáÌäæÈ¡ Ãí ÌäæÈ ãßÉ¡ ÊãæíåÇð ááßÝÇÑ ÇáÐíä ßÇäæÇ íÑíÏæä ÇáÞÖÇÁ Úáì ÎÇÊã ÇáÃäÈíÇÁ (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) æÑÓÇáÊå ÇáÓãÇæíÉ. ÅáÇ Ãä ÇáßÝÇÑ ÝØäæÇ Åáì Ðáß ãä ÎáÇá Ïáíá ÂÎÑ åæ ßÑÒ Èä ÚáÞãÉ ÇáÎÒÇÚí¡ ÇáÐí ÊÊÈÚ ÂËÇÑ ÃÞÏÇã ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) æÞÇÑäåÇ ÈÞÏã ÌÏå ÅÈÑÇåíã (Úáíå ÇáÓáÇã)¡ ÝæÕáæÇ ÃÎíÑÇð Åáì ÌÈá (ËæÑ) ÍíË ßÇä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) æÃÈæ ÈßÑ Ýí ÛÇÑå ãÎÊÈÆíä¡ æÚäÏãÇ æÕáæÇ åäÇß ÈÏà ÃÈæ ÈßÑ íÑÊÌÈ æßÇä ÍÒíäÇð æÎÇÆÝÇð¡ ÝäåÇå ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Úä Ðáß ÈÞæáå áå: (áÇ ÊÍÒä Åä Çááå ãÚäÇ). æÞÏ ÌÇÁÊ Ýí Êáß ÇááÍÙÇÊ ÍãÇãÉ æÈÇÖÊ ÈíÖÉ ÃãÇã ÇáÛÇÑ¡ Ëã ÌÇÁ ÚäßÈæÊ ãä ÇáÚäÇßÈ ÝäÓÌ ÎíæØå Úáì ÇáÛÇÑ ÃíÖÇð¡ ÇáÃãÑ ÇáÐí ÌÚá ßÝÇÑ ÞÑíÔ íäÕÑÝæä áÇÚÊÞÇÏåã Ãäå ãÇÏÇãÊ ÇáÎíæØ ÇáÚäßÈæÊíÉ ãæÌæÏÉ æßÐáß ÇáÈíÖÉ ÝÅä ÃÍÏÇð áã íÏÎá Ýí åÐÇ ÇáÛÇÑ. æßÐÈæÇ ÈÐáß Ïáíáåã ßÑÒ Èä ÚáÞãÉ ÑÛã ÊÃßíÏå ãÑÇÑÇð Úáì Ãä ÇáäÈí ãæÌæÏ Ýí åÐÇ ÇáÛÇÑ. æÈÞí ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ãÚ ÃÈí ÈßÑ Ýí åÐÇ ÇáÛÇÑ ËáÇËÉ ÃíÇã ÇäÊÙÇÑÇð áåÏæÁ ÍãáÇÊ ÇáãáÇÍÞÉ ÖÏå¡ æØæÇá Êáß ÇáÝÊÑÉ ßÇäÊ ÃÓãÇÁ ÈäÊ ÃÈí ÈßÑ åí ÇáÊí ÊÃÊí ÈÇáØÚÇã ãä ãßÉ Åáì ÇáÛÇÑ áÊÞÏíãå Åáì ÑÓæá Çááå æÅáì ÃÈíåÇ. ÈÚÏ Ðáß ÊÍÑß ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) äÍæ ÇáãÏíäÉ ÈÕÍÈÉ Ïáíáå ÚÈÏ Çááå Èä ÃÑíÞØ Èä ÈßÑ¡ ææÕá ÅáíåÇ æÇÓÊÞÈáå ÇáãÓáãæä ãÈÊåÌíä ÝÑÍíä.

åÐå åí ãÍÕáÉ ãÇ íÊäÇÞáå ÇáãÓáãæä Ýí ÔÃä ÞÖíÉ ÛÇÑ ÌÈá ËæÑ¡ æåí ãÍØÉ áÚÈÊ ÝíåÇ ÇáÓíÇÓÉ ÈÃáÇÚíÈåÇ¡ æäÍä åäÇ ÓäÈÑåä Åä ÔÇÁ Çááå Úáì ÈØáÇä ßËíÑ ãä ÊÝÇÕíá åÐå ÇáÑæÇíÉ ÈäÇÁ Úáì ãÕÇÏÑ Ãåá ÇáÓäÉ¡ ßÞÖíÉ ßæä ÃÈí ÈßÑ ãÚ ÇáäÈí Ýí ÇáåÌÑÉ æÝí ÇáÛÇÑ¡ æßÞÖíÉ Ãä ÃÓãÇÁ ÈäÊ ÃÈí ÈßÑ åí ÇáÊí ßÇäÊ ÊÛÐí ÇáÑÓæá æÊåíÆ áå ÇáØÚÇã æÊæÕáå Åáíå¡ æßÞÖíÉ Ãä ÇáÍãÇãÉ ÞÏ ÈÇÖÊ æÇáÚäßÈæÊ ÞÏ äÓÌ ÎíæØå æãÇ ÔÇßá Ðáß ãä ÃãæÑ ÚÇÑíÉ Úä ÇáÕÍÉ¡ æÇáÊí ÔÇÈÊ åÐå ÇáÍÇÏËÉ ÇáÊÇÑíÎíÉ ÇáÚÙíãÉ Úä ØÑíÞ ÇáÅÓÑÇÆíáíÇÊ.

2 - Åä ÇáÑæÇíÉ ÊÊÞÇØÚ ãÚ ÑæÇíÇÊ ÃÎÑì¡ ÞÏ ÊÈÏæ ãÖÍßÉ ÈÚÖ ÇáÔíÁ¡ ÍíË íõÐßÑ Ãä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÎÑÌ ãä ÈíÊå ãÊæÌåÇð ãÈÇÔÑÉ Åáì ÛÇÑ ËæÑ¡ æÝí Êáß ÇáÃËäÇÁ ÐåÈ ÃÈæ ÈßÑ Åáì ÈíÊå Ýáã íÌÏå¡ ÝÓÃá ÚáíÇð (Úáíå ÇáÓáÇã) ÝÃÎÈÑå ÇáÅãÇã ÈÃä ÇáäÈí Ýí ØÑíÞå Åáì ÎÇÑÌ ãßÉ¡ ÝÇäØáÞ ÃÈæ ÈßÑ áíáÍÞ ÈÇáäÈí æÞÏ ßÇä íÍãá ÌÑÓÇð ãÚå¡ ÝÚäÏãÇ ÃÏÑßå Ùä ÇáäÈí Ãä ÃÈÇ ÈßÑ ãä ÇáãÔÑßíä ÝÃÓÑÚ Ýí ÇáãÔí ÍÊì íÈÊÚÏ Úäå¡ æáßä Çááå ÌÚá ÔÓÚ äÚáå íäÞØÚ ÝÇäØáÞ ÅÈåÇã ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÈÇáÍÌÑ æÓÇáÊ ãäå ÇáÏãÇÁ¡ ÇáÃãÑ ÇáÐí ÃÏì Åáì ÊæÞÝ ÇáÑÓæá Úä ÇáãÓíÑ ÇÖØÑÇÑÇð¡ æÚäÏÆÐ æÕá ÃÈæ ÈßÑ Åáíå ÝÇÌÊãÚ ãÚÇð æÓÇÑÇ ÎÇÑÌ ãßÉ! [ÊÇÑíÎ ÇáØÈÑí: Ì2 Õ 102].

Åä åÐå ÇáÑæÇíÉ ÊæÖÍ ÌÇäÈÇð ãä ÇáßÐÈ æÇáÈåÊÇä¡ ÝßíÝ íãßä Ãä íÏÎá ÃÈæ ÈßÑ ÈíÊ ÑÓæá Çááå æÇáÍÇá Ãä ÇáÈíÊ ãÍÇÕÑ ãä ÞÈá ÇáãÔÑßíä Ýí Êáß ÇááíáÉ ÇáÚÕíÈÉ æáã íßä íÓãÍ áÃí ÃÍÏ ÈÇáÎÑæÌ Ãæ ÇáÏÎæá¿! æßíÝ áå Ãä íÓÃá ÚáíÇð (Úáíå ÇáÓáÇã) æåÐÇ ãÚäÇå ßÔÝ ÇáÎØÉ ÇáäÈæíÉ áÃäå ÓíÊÈíä áÏì ÇáãÔÑßíä Ãä åÐÇ ÇáäÇÆã áíÓ ãÍãÏÇ Èá Úáí¿!

Ëã ßíÝ ÇÓÊØÇÚ ÃÈæ ÈßÑ Ãä íÚÑÝ ÇáÒÞÇÞ ÇáÐí ãÑ Ýíå ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå)¿! æßíÝ Êãßä ãä ÊÔÎíÕ æÑÄíÉ ÇáäÈí Ýí Ðáß Çááíá ÇáÏÇãÓ¿!

ÃãÇ ÞÖíÉ ÝáÞ ÇáÅÈåÇã æÇäÞØÇÚ ÔÓÚ ÇáäÚá ÝÑÈãÇ äÍä áÓäÇ ÈÍÇÌÉ Åáì ÇáÑÏ ÚáíåÇ! ÝáíÓ ãÌÑÏ Ïã íÓíÑ ÎÇÑÌ ãä ÅÈåÇã ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÈÌÇÚá ÅíÇå íÊæÞÝ Úä ÅßãÇá ãÓíÑÊå ÊÌÇå ÇáãÏíäÉ æÊåÏíÏ ãÔÑæÚ ÇáÅÓáÇã ßáå ááÎØÑ ßæä ÃÍÏ ÇáãÔÑßíä íÊÚÞÈå.. áÞÏ ÃõÏãí ÇáäÈí ãä ÑÃÓå Åáì ÃÎãÕ ÞÏãíå Ýí ÑÍáÊå áÏÚæÉ Ãåá ÇáØÇÆÝ Åáì ÇáÅÓáÇã ÚäÏãÇ Ñãæå (áÚäåã Çááå) ÈÇáÃÍÌÇÑ¡ æáßäå áã íÊæÞÝ Úä ÃÏÇÁ ãåãÊå Êáß¡ ÝßíÝ íÊÎáì Úä ÃÏÇÁ ÃÚÙã ÇáãåãÇÊ ÈåÐå ÇáÓåæáÉ¿!

Åä åÐå ãä ÇáÃÑÇÌíÝ ÇáæÇÖÍÉ ÇáÊí ÊÍÇæá Ãä ÊÕæÑ Ãä áÃÈí ÈßÑ ãäÒáÉ ßÈíÑÉ ÚäÏ ÇáÓãÇÁ ÍÊì íÌÈÑ Çááå äÈíå Úáì ÇáÊæÞÝ ÈÅíÐÇÆå æÅÓÇáÉ ÇáÏã ãäå!

Åä åÐÇ ÇáÊäÇÞÖ íËíÑ ÚáÇãÉ ÇÓÊÝåÇã ÃÎÑì¡ Ýåá ÐåÈ ÇáäÈí Åáì ÈíÊ ÃÈí ÈßÑ æãä åäÇß ÇÕØÍÈå ãÚå¡ Ãã ÊæÌå ãÈÇÔÑÉ Åáì ÎÇÑÌ ãßÉ æÝí ÇáØÑíÞ ÃÏÑßå ÃÈæ ÈßÑ¿! ÃíåãÇ äÃÎп!

.. ÅÐÇ ÊÚÇÑÖÊÇ ÊÓÇÞØÊÇ.

3 - åäÇß ÔíÁ ÛÑíÈ Ýí ÇáÑæÇíÉ ÇáãÒÚæãÉ¡ ÅÐ ÊÐßÑ Ãä ÃÓãÇÁ ÈäÊ ÃÈí ÈßÑ ßÇäÊ ãæÌæÏÉ Ýí ÈíÊ ÃÈíåÇ ÚäÏãÇ æÕá ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Åáíå¡ æÃäå ÇÓÊÑÇÍ Ýíå ÞáíáÇð Ëã ÃÎÐ ÃÈÇ ÈßÑ ãÚå¡ æãä ÈÚÏ Ðáß ßÇäÊ ÃÓãÇÁ ÊÃÎÐ ÅáíåãÇ ÇáØÚÇã Ýí ÇáÛÇÑ...

ÇáÛÑÇÈÉ åí Ýí: ßíÝ íãßä Ãä Êßæä ÃÓãÇÁ Ýí ãßÇäíä íÈÚÏ ßá ãäåãÇ Úä ÇáÂÎÑ ÂáÇÝ ÂáÇÝ ÇáÃãíÇá Ýí ÇáæÞÊ äÝÓå¿!

Åä ÇáÊÇÑíÎ íÞæá Ãä ÃÓãÇÁ ÈäÊ ÃÈí ÈßÑ ßÇäÊ Ýí Êáß ÇáÝÊÑÉ ãÚ ÒæÌåÇ ÇáÒÈíÑ Èä ÇáÚæÇã Ýí ÇáÍÈÔÉ!! [ÇáËÞÇÊ áÇÈä ÍÈÇä: Ì 3 Õ 23].Åä åÐÇ íÏáá Úáì Ãä (ÕäÇÚÉ ÍßæãíÉ) æÑÇÁ ÞÕÉ ÕÍÈÉ ÃÈí ÈßÑ ááäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí Êáß ÇáåÌÑÉ ÇáãÈÇÑßÉ.

4 - åäÇß ÓÄÇá ãäØÞí ÂÎÑ åæ: ßíÝ íÊæÌå ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Åáì ÈíÊ ÃÈí ÈßÑ ÇáÐí ßÇä íÍæí ÇáãÔÑßíä¿! ÃáÇ íÝÊÑÖ Èå Ãä áÇ íÊæÌå Åáì Ðáß ÇáÈíÊ ÈÇáÐÇÊ ÍÊì áÇ íßÔÝå ÃÍÏ ãä åÄáÇÁ ÇáãÔÑßíä¿!

Åä ÈíÊ ÃÈí ÈßÑ ßÇä íÖã ßáÇð ãä: ÇÈäíå ÚÈÏ ÇáÚÒì æÚÈÏ Çááå¡ æÇÈäÊå ÚÇÆÔÉ¡ æÃãåã Ãã ÑæãÇä (äãáÉ ÈäÊ ÚÈÏ ÇáÚÒì) ÈÇáÅÖÇÝÉ Åáì ÃÈíå ÃÈí ÞÍÇÝÉ.

æÊäÕ ÇáÑæÇíÇÊ Úáì Ãä ÚÈÏ ÇáÚÒì Èä ÃÈí ÈßÑ ßÇä: (ßÇÝÑÇð ÚäíÏÇð ãÍÇÑÈÇð ááÅÓáÇã)! [ÊÇÑíÎ ÇÈä ÚÓÇßÑ: Ì 13 Õ 280].

æßÐáß ÊäÕ Úáì Ãä Ãã ÑæãÇä ßÇäÊ ßÇÝÑÉ¡ æÞÏ ØáÞåÇ ÃÈæ ÈßÑ ÈÚÏ åÌÑÊå Åáì ÇáãÏíäÉ ÚäÏ äÒæá ÂíÉ: (æáÇ ÊãÓßæÇ ÈÚÕã ÇáßæÇÝÑ..)! æßÐáß ÊäÕ Úáì Ãä ÃÈÇ ÞÍÇÝÉ - æÇáÏ ÃÈí ÈßÑ - ßÇä ßÇÝÑÇð ÃíÖÇð! [ÔÑÍ ÇáäåÌ: Ì 13 Õ 268].

Ýåá íÚÞá Ãä íÊæÌå ÇáäÈí Åáì åÐÇ ÇáÈíÊ Ýí åÐå ÇááíáÉ ÇáÎØíÑÉ ÇáÊí ÎØØÊ ÝíåÇ ÞÑíÔ áÞÊáå ææÃÏ ÍÑßÉ ÇáåÌÑÉ¿! åá íÚÞá Ãä íáÌà ÇáäÈí Åáì ÇáÐíä íÍÇÑÈæäå æíÑÕÏæäå¿! åá íÚÞá Ãä íÊßáã Ýí Ðáß ÇáÈíÊ Úä ÇáåÌÑÉ æíÃÎÐ ÃÈÇ ÈßÑ ãÚå æáÇ íÝÊÑÖ Ãä Ãåáå ÇáãÔÑßíä ÇáãæÌæÏíä Ýí Ðáß ÇáÈíÊ ÓæÝ íßÔÝæä ÇáãæÖæÚ áÑÄæÓ ÇáßÝÑ Ýí ÞÑíÔ¿!

Åä åÐÇ íÏáá Úáì Ãä ÇáäÈí áÇ íãßä Ãä íßæä ÞÏ ÐåÈ Åáì ÈíÊ ÃÈí ÈßÑ ÅØáÇÞÇð. ÎÇÕÉ æÃä ÚÈÏ ÇáÚÒì Èä ÃÈí ÈßÑ ßÇä ãä ÌãáÉ ÇáÐíä ÌäÏÊåã ÞÑíÔ áãáÇÍÞÉ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå).

5 - áÞÏ ÃÌãÚÊ ÇáÑæÇíÇÊ Úáì Ãä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÞÏ ÊæÌå ãä ÈíÊå Åáì ÇáÛÇÑ æÍíÏÇð ÝÑíÏÇð¡ æåÐÇ ÃÕá æÌæåÑ ÇáÍÇÏËÉ.[ ãÓäÏ ÃÍãÏ: Ì 1 Õ 331¡ ÇáãÓÊÏÑß: Ì 3 Õ 133¡ ÝÊÍ ÇáÈÇÑí: Ì 7 Õ 8¡ Óää ÇáäÓÇÆí: Ì 5 Õ 113¡ ÔæÇåÏ ÇáÊäÒíá: Ì 1 Õ 135].

æÇáÑæÇíÇÊ ÇáãáÝÞÉ ÊÞæá ÈÃä ÃÈÇ ÈßÑ ÕÍÈ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí ØÑíÞå Åáì ÇáÛÇÑ¡ æáßä Ðáß íÊäÇÞÖ ÈÔßá ÕÇÑÎ ãÚ ÍÞÇÆÞ ÊÇÑíÎíÉ ËÇÈÊÉ.
ÝÚäÏãÇ ÃÎÐ ÇáãÔÑßæä ãÚåã Ïáíáåã ßÑÒÈä ÚáÞãÉ ÇáÎÒÇÚí áÊÊÈÚ ãÓíÑ ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) æÇáÞÈÖ Úáíå¡ ÑÃì ßÑÒ ÂËÇÑ ÞÏãí ÇáäÈí ÝÞÇá: (åÐå ÞÏã ãÍãÏ ÇáãÔÇÈåÉ ááÞÏã ÇáÊí Ýí ÇáãÞÇã) æíÞÕÏ ÈåÇ ÞÏã ÅÈÑÇåíã ÇáÎáíá (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ãÞÇãå ÞÑÈ ÇáßÚÈÉ. [ÇáÅÕÇÈÉ: Ì 5 Õ 436¡ ãä áå ÑæÇíÉ Ýí ãÓäÏ ÃÍãÏ áãÍãÏ Èä Úáí Èä ÍãÒÉ: Õ 360¡ ÝÊæÍ ÇáÈáÏÇä ááÈáÇÐÑí: Ì 1 Õ 64].

æãÇÏÇã ßÑÒ áã íÐßÑ ãÔÇåÏÊå áÂËÇÑ ÞÏãí ÃÈí ÈßÑ¡ ÝÅä ÇáÅÔßÇá Úáì ÕÍÈÊå ááäÈí Ýí åÌÑÊå íÊÚÇÙã æíßÈÑ.

æÇáãËíÑ Ãä ÚÈÏ ÇáÚÒì Èä ÃÈí ÈßÑ ßÇä ãä Èíä ãÌãæÚÉ ÇáãÔÑßíä ÇáÐíä ßÇäæÇ íáÇÍÞæä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) [ØÇáÚ ÊÑÌãÉ ÚÈÏ ÇáÑÍãä ÚÈÏ ÇáÚÒì Èä ÃÈí ÈßÑ Ýí ÊÇÑíÎ ÇÈä ÚÓÇßÑ æÃÓÏ ÇáÛÇÈÉ].

æÐáß íÚäí Ãä ÚÈÏ ÇáÚÒì ÇáÐí åæ ÇÈä ÃÈí ÈßÑ äÝÓå¡ áã íÊÚÑÝ Úáì ÞÏã ÃÈíå¡ ßãÇ áã íÊÚÑÝ ÚáíåÇ ÇáÏáíá ßÑÒ ÇáÎÒÇÚí. æåÐÇ ããÇ íÒíÏ ãä ÇáÅÔßÇá æíÏáá Úáì Ãä ÃÈÇ ÈßÑ áã íÕÍÈ ÇáäÈí ÃÕáÇð Ýí Êáß ÇáÑÍáÉ.

6 - Åä ÇáÑÓæá ÇáÃÚÙã (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) áã íÄËÑ Úäå Ãí Þæá Ãæ äÕ íËÈÊ Ýíå æÌæÏ ÃÈí ÈßÑ ãÚå Ýí ÇáÛÇÑ¡ æáæ ßÇä ßÐáß áÍÕá ÃÈæ ÈßÑ Úáì ãäÞÈÉ ÚÙíãÉ íÓÊÍÞ ÈåÇ ÇáãÏíÍ æÇáÅØÑÇÁ ÇáäÈæí ÈíäãÇ áã äáÍÙ Ðáß. Ãí áã äÓãÚ ÈÍÏíË íÞæá Ýíå ÇáäÈí Úä ÃÈí ÈßÑ: (åæ ÕÇÍÈí Ýí ÇáÛÇÑ) ãËáÇð Èá Úáì ÇáÚßÓ ãä Ðáß ÓãÚäÇ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) íÐãå Ýí ßËíÑ ãä ÇáãæÇØä¡ ÝÚäÏãÇ ÊÞÏã ÃÈæ ÈßÑ ááÒæÇÌ ãä ÝÇØãÉ (ÚáíåÇ ÇáÓáÇã) ÑÝÖå¡ æÚäÏãÇ ÊÞÏã ÚãÑ ÑÝÖå ÃíÖÇð¡ æáßä ÚäÏãÇ ÊÞÏã ÃãíÑ ÇáãÄãäíä (Úáíå ÇáÓáÇã) æÇÝÞ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) æÞÇá áå: (ÃäÊ áÓÊ ÈÏÌÇá) Ýí ÊÚÑíÖ æÇÖÍ ãäå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÈÃÈí ÈßÑ æÚãÑ. [ãÌãÚ ÇáÒæÇÆÏ: Ì 9 Õ 204¡ ØÈÞÇÊ ÇÈä ÓÚÏ: Ì 8 Õ 12¡ ÇáÅÕÇÈÉ: Ì 1 Õ 374].

æáæ ßÇä ÃÈæ ÈßÑ ÍÇÖÑÇð ãÚ ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí ÇáÛÇÑ¡ æÞÏ äÒáÊ Ýíå Êáß ÇáÂíÉ¡ áãÇ ÚÑÖ Èå ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå).

íÖÇÝ Åáì Ðáß Ãä ãÚÙã ÇáÑæÇíÇÊ ÇáãäÞæáÉ Úä ÕÍÈÉ ÃÈí ÈßÑ ááäÈí Ýí ÇáÛÇÑ¡ ãäÞæáÉ Úáì áÓÇä ÚÇÆÔÉ æÃÈí åÑíÑÉ æÃäÓ Èä ãÇáß æÚÈÏ Çááå Èä ÚãÑ¡ æåÄáÇÁ ãÔßæß Ýí ÑæÇíÊåã áÃäåã ãä ÇáãÍÓæÈíä Úáì ÃÈí ÈßÑ äÝÓå.

Ýí ÇáãÞÇÈá áã äÌÏ ÃÍÏÇð ãä ãÚÇÑÖí ÃÈí ÈßÑ¡ ßÓÚÏ Èä ÚÈÇÏÉ æÇáÒÈíÑ Èä ÇáÚæÇã æÇáÍÈÇÈ Èä ÇáãäÐÑ æãÇáß Èä äæíÑÉ æÛíÑåã ãä ÇáÕÍÇÈÉ¡ íÞÑ ÈÍÖæÑå ÇáÛÇÑ¡ ÅÐ áæ ßÇäæÇ íÞÑæä ÈÐáß áãÇ ÚÇÑÖæÇ Íßãå æÊãÑÏæÇ Úáíå æÑÝÖæÇ ãÈÇíÚÊå ÈÏÚæì Ãäå (ÃÈæ ÝÕíá) Ãí ÇáÐí áÇ ÝÖÇÆá áå Ãæ áÞæãå.
 


7 - ÌÇÁ Ýí ßÊÇÈ ÇáÈÏÇíÉ æÇáäåÇíÉ áÇÈä ßËíÑ ÇáÃãæí Úä ÇÈä ÌÑíÑ ÇáØÈÑí ãÇ íÄíÏ åÌÑÉ ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Åáì ÛÇÑ ËæÑ æÍÏå¡ ÝÎÇÝ ÇÈä ßËíÑ ãä åÐå ÇáÑæÇíÉ ÇáÕÍíÍÉ ÇáÏÇáÉ Úáì ÈØáÇä ÕÍÈÉ ÃÈí ÈßÑ ÝÇÑÊÌÝ ÞÇÆáÇð: (æåÐÇ ÛÑíÈ ÌÏÇð æÎáÇÝ ÇáãÔåæÑ ãä ÃäåãÇ ÎÑÌÇ ãÚÇð)! [ÇáÈÏÇíÉ æÇáäåÇíÉ: Ì3 Õ 219¡ ÇáÓíÑÉ ÇáäÈæíÉ áÇÈä ßËíÑ ÃíÖÇð: Ì 2 Õ 236].

8 - ÃÌãÚÊ ÇáÑæÇíÇÊ Úáì Ãä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÎÑÌ æÍíÏÇð Åáì ÇáÛÇÑ¡ æåäÇß ÓÃá Çááå ÊÚÇáì Ãä íÈÚË Åáíå ãä íÏáå Úáì ÇáØÑíÞ¡ ÝßÇä Ãä ÇáÊÞì ÇáäÈí ÈÇáÏáíá ÚÈÏ Çááå Èä ÃÑíÞØ Èä ÈßÑ ÍíË ÊÐßÑ ÇáÑæÇíÇÊ Ãä ÇáäÈí ÞÇá áå: (íÇ ÇÈä ÃÑíÞØ.. ÃÃÊãäß Úáì Ïãí¿ ÝÞÇá ÇÈä ÈßÑ: ÅÐÇ æÇááå ÃÍÑÓß æÃÍÝÙß æáÇ ÃÏá Úáíß. ÝÃíä ÊÑíÏ íÇ ãÍãÏ¿ ÝÞÇá (Õáì Çááå Úáíå æÂáå): íËÑÈ. ÞÇá ÇÈä ÈßÑ: áÃÓáßä Èß ãÓáßÇð áÇ íåÊÏí ÝíåÇ ÃÍÏ). [ÇáãÓÊÏÑß: Ì 3 Õ 133¡ ÝÊÍ ÇáÈÇÑí: Ì 7 Õ 8¡ Óää ÇáäÓÇÆí: Ì 5 Õ 113¡ ÔæÇåÏ ÇáÊäÒíá: Ì 1 Õ 135].

ÝãÇ ÏÇã åÐÇ åæ ÇáËÇÈÊ¡ Ãí Ãä ÇáäÈí ÎÑÌ ãÚ ÇÈä ÈßÑ - æáíÓ ÃÈÇ ÈßÑ - ãä ÇáÛÇÑ ãÊæÌåÇð Åáì íËÑÈ (ÇáãÏíäÉ ÇáãäæÑÉ)¡ æãÇÏÇãÊ ÌãíÚ ÇáÑæÇíÇÊ ÊÐßÑ Ãä Ãåá ÇáãÏíäÉ æßÐáß ÇáÐíä íÓßäæä ãÇ Èíä ÇáãÏíäÉ æãßÉ¡ áã íÔÇåÏæÇ Óæì ÔÎÕíä ÇËäíä ÝÞØ [ÇáØÈÞÇÊ ÇáßÈÑì áÇÈä ÓÚÏ: Ì 1 Õ 230 ¡ÓíÑÉ ÇÈä åÇÔã: Ì 2 Õ 100¡ Úíæä ÇáÃËÑ: Ì 1 Õ 248].

ÝÅä Ðáß íÚäí Ãä ÃÈÇ ÈßÑ áã íßä ãÚ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí åÌÑÊå¡ áÃä Ðáß íÊØáÈ Ãä íÑì ÇáäÇÓ ËáÇËÉ ÃÔÎÇÕ æáíÓ ÔÎÕíä ÝÞØ.

æßãÇ ÐßÑäÇ ÝÅä ÇáËÇÈÊ åæ ÎÑæÌ ÇáäÈí ãÚ Ïáíáå ÇÈä ÈßÑ¡ áÃäå ÈÏæäå áÇ íÓÊØíÚ ÇáÇåÊÏÇÁ Ýí ØÑíÞå Åáì íËÑÈ¡ Ýåæ ÇáÎÈíÑ ÈÇáØÑÞÇÊ æÇáãÓÇáß.

9 - ÇáÑæÇíÇÊ ÇáãÎÊáÞÉ ÇáÊí ÊÞæá Ãä ÃÈÇ ÈßÑ ÞÏ ÎÑÌ ãÚ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Åáì ÇáÛÇÑ¡ ÊÐßÑ ÃíÖÇð Ãä ÃÓãÇÁ ÈäÊ ÃÈí ÈßÑ ÊÒæÏåãÇ ÈÇáØÚÇã ØæÇá ÝÊÑÉ ãßæËåãÇ Ýí ÇáÛÇÑ æÇáÈÇáÛÉ ËáÇËÉ ÃíÇã.

Åä åÐÇ ÃãÑ íÊäÇÞÖ ãÚ ÇáÚÞá æÇáãäØÞ¡ áÃäå áæ ßÇä ÃÈæ ÈßÑ ãåÇÌÑÇð ãÚ ÇáäÈí ÝÚáÇð áßÇä ãä ÃíÓÑ ÇáíÓíÑ Úáì ãÔÑßí ÞÑíÔ Ãä íÊÚÞÈæÇ ÇÈäÊå ÇáÊí ÊÎÑÌ ßá íæã¡ æíÊÊÈÚæÇ ÎØæÇÊåÇ ÍÊì íÊæÕáæÇ Åáì ãßÇä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå). ÎÇÕÉ æÃä ÚÈÏ ÇáÚÒì Èä ÃÈí ÈßÑ æåæ ÃÎ ÃÓãÇÁ æíÓßä ãÚåÇ Ýí ÇáÈíÊ äÝÓå¡ ßÇä ãä ÇáÐíä íáÇÍÞæä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå)¡ ÝßÇä ÓåáÇð Úáíå ãáÇÍÙÉ ÃÎÊå æåí ÎÇÑÌÉ ßá íæã ÍÇãáÉ ãÚåÇ ÇáØÚÇã æÇáÒÇÏ.

Úáì ÃääÇ ÃËÈÊäÇ ÓÇÈÞÇð Ãä ÃÓãÇÁ áã Êßä Ýí ãßÉ ÃÕáÇð¡ ÅÐ ßÇäÊ ãÚ ÒæÌåÇ ÇáÒÈíÑ Ýí ÇáÍÈÔÉ¡ Öãä ãÌãæÚÉ ÇáãÓáãíä ÇáÐíä áÌÄæÇ Åáì åäÇß.

æåÐÇ ÇáÊÎÈØ æÇáÊÖÇÑÈ íÓÞØ ÃßÐæÈÉ æÌæÏ ÃÈí ÈßÑ ãÚ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí ÇáÛÇÑ¡ æíäÝí åÌÑÊå ãÚå¡ Èá íÄßÏ Ãäå ÞÏ åÇÌÑ ãÚ ÈÞíÉ ÇáãÓáãíä Ýí ÇáãÌãæÚÉ ÇáÃæáì ÇáãÊæÌåÉ Åáì ÇáãÏíäÉ. ÎÇÕÉ ÅÐÇ ãÇ ÃÏÑßäÇ Ãä ÃÈÇ ÈßÑ ßÇä ãáÇÒãÇð ÏÇÆãÇð áÚãÑ Èä ÇáÎØÇÈ Ýí Íáå æÊÑÍÇáå¡ æÞÏ ËÈÊ Ýí ÇáÓíÑ Ãä ÇÈä ÇáÎØÇÈ ÞÏ åÇÌÑ Åáì ÇáãÏíäÉ ÞÈá åÌÑÉ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÅáíåÇ.

10 - ÌÇÁ Ýí ÃÕÍ ßÊÈ Ãåá ÇáÚÇãÉ ãÇ íËÈÊ ÍÞíÞÉ Ãäå áã ÊäÒá ÂíÉ æÇÍÏÉ Ýí ÇáÞÑÂä ÊãÏÍ ÃÈÇ ÈßÑ Ãæ Ãåáå¡ ÝÞÏ æÑÏ Úä ÚÇÆÔÉ Ýí ÕÍíÍ ÇáÈÎÇÑí ÞæáåÇ: (áã íäÒá ÝíäÇ ÞÑÂä)! [ÕÍíÍ ÇáÈÎÇÑí: Ì 6 Õ 42¡ ÊÇÑíÎ ÇÈä ÇáÃËíÑ: Ì 3 Õ 199¡ ÇáÃÛÇäí: Ì 16 Õ 90¡ ÇáÈÏÇíÉ æÇáäåÇíÉ: Ì 8 Õ 96 æÛíÑåÇ ßËíÑ].

æåäÇ ÝáäÑßÒ ÞáíáÇð: áÞÏ ÐßÑÊ ÚÇÆÔÉ åÐÇ ÃãÇã ÌãíÚ ÇáÕÍÇÈÉ æÇáãÓáãíä ÇáÃæÇÆá¡ æÞÇáÊ: áã íäÒá ÝíäÇ ÞÑÂä. æáæ ßÇäÊ ÂíÉ: (ËÇäí ÇËäíä..) äÇÒáÉ Ýí ÃÈí ÈßÑ áãÇ ÞÇáÊ åÐÇ ÇáßáÇã áÃäåÇ ÊäÊÞÕ ÈÐáß ÃÈÇåÇ æÊÌÑÏå ãä ãÒíÉ æÇÖÍÉ Ýí ÇáÞÑÂä. Ãæ Úáì ÇáÃÞá áÑÏ ÚáíåÇ ÇáÕÍÇÈÉ ÇáÐíä íÝÊÑÖ Ãäåã ãÊíÞäæä ãä ÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ¡ æáÐßÑæåÇ ÈÇáÂíÉ æÈÞÖíÉ åÌÑÊå ãÚ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå).

áßä ÔíÆÇð ãä åÐÇ áã íÍÏË¡ æåæ ãÇ íËÈÊ ÒíÝ ÃÍÇÏíË ÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ¡ ÍÊì Êáß ÇáãÓäÏÉ Åáì ÚÇÆÔÉ ãäåÇ. æåÐÇ íæÖÍ Ãä ãÓÃáÉ ÍÖæÑå Ýí ÇáÛÇÑ åí ãÓÃáÉ ØÇÑÆÉ æáã Êßä ãÚÑæÝÉ Ýí ÕÏÑ ÇáÅÓáÇã.

ÎÇÕÉ ÃääÇ ÅÐÇ ÊÊÈÚäÇ ÇáÊÇÑíÎ ÝÅääÇ áä äÌÏ ÅÔÇÑÇÊ æÇÖÍÉ Úáì áÓÇä ÃÈí ÈßÑ Íæá ÍÖæÑå Ýí ÇáÛÇÑ¡ æåÌÑÊå ãÚ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå). ããÇ íÏÚã ßæä ÇáÞÖíÉ ãä ÇÎÊáÇÞÇÊ ÇáÓáØÉ áÅËÈÇÊ ãÒíÉ áÃÈí ÈßÑ.

11 - ßÇä íÍíì Èä ãÚíä ãä ÇáãÔßßíä ÈÑæÇíÉ ÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ ÇáæÇÑÏÉ Úä ØÑíÞ ÃäÓ Èä ãÇáß. ÝßÇäÊ ÇáÔßæß ÊÍæã Íæá Ðáß ÇáÍÏíË ÈÕæÑ ãÊÚÏÏÉ. (ÓíÑ ÃÚáÇã ÇáäÈáÇÁ ááÐåÈí: Ì 10 Õ 362¡ ÊåÐíÈ ÇáßãÇá ááãÒí: Õ 29].

æÞÏ ÐßÑ ÍÏíË ÇáÛÇÑ ÇáÚÈÇÓ Èä ÇáÝÖá ÇáÃÒÑÞ Úä ËÇÈÊ Úä ÃäÓ¡ ÝÞÇá Ýíå íÍíì Èä ãÚíä: (ßÐÇÈ ÎÈíË)! [ÊÇÑíÎ ÈÛÏÇÏ: Ì 12 Õ 133].

æÅÐÇ äÙÑäÇ Åáì ÑæÇÉ ÍÏíË ÇáÛÇÑ¡ äÌÏåã Èíä ßÐÇÈ æãÏáÓ æÖÚíÝ¡ ÝÞÏ ßÇä ÓáíãÇä Èä ÍÑÈ íÖÚÝ ÍÏíË ÇáÛÇÑ ÇáÐí ÐßÑå ÎÇáÏ Èä ÎÏÇÔ Úä ÍãÇÏ Èä ÒíÏ Úä ÃíæÈ Èä äÇÝÚ Úä ÇÈä ÚãÑ. [ÓÄÇáÇÊ ÇáÂÌÑí áÃÈí ÏÇæÏ ÓáíãÇä Èä ÇáÃÔÚË: Ì 1 Õ 399].

æáÞÏ ÇÒÏÇÏÊ ÇáØÚæä Ýí ÑæÇÉ ÇáÍÏíË ÇáãßÐæÈ Ýí ÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ. [ØÇáÚ ÊÇÑíÎ ÈÛÏÇÏ: Ì 8 Õ 302¡ ÊåÐíÈ ÇáßãÇá ááãÒí: Ì 1 Õ 314¡ ÊåÐíÈ ÇáÊåÐíÈ áÇÈä ÍÌÑ: Ì 1 Õ 27¡ ÊÇÑíÎ ÏãÔÞ: Ì 5 Õ 235¡ ÓíÑ ÃÚáÇã ÇáäÈáÇÁ: Ì 12 Õ 232¡ ãíÒÇä ÇáÇÚÊÏÇá ááÐåÈí: Ì 1 Õ 73 æÛíÑåÇ).

12 - Åä ÇáÐí ßÇä ÍÇÖÑÇð ãÚ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí ÇáÛÇÑ¡ áíÓ Óæì Ïáíáå ÇÈä ÈßÑ¡ ÇáÐí ÇáÊÞì Èå ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí Çáíæã ÇáÃæá ãä åÌÑÊå æãßæËå Ýí ÇáÛÇÑ¡ ÝØáÈ ãäå ãÓÇÚÏÊå¡ æÇÓÊÌÇÈ ÇáÑÌá ááÃãÑ ÇáäÈæí.

æÞÏ ÐßÑÊ ãÕÇÏÑ ÇáÚÇãÉ Ãä ÇÈä ÈßÑ ßÇä ãÔÑßÇð Ýí Ðáß ÇáæÞÊ! æåäÇ äÖÚ ÚáÇãÉ ÇÓÊÝåÇã ßÈíÑÉ¡ ÅÐ áæ ßÇä ÇÈä ÈßÑ ãÔÑßÇð ÍÞÇð ÝãÇ ÇáÏÇÚí áÃä íÓÇÚÏ ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå)¿!

Åä åÐÇ íßÔÝ ÌÒÁÇð ãä ÇáÍßãÉ ÇáäÈæíÉ¡ ÝáÞÏ ßÇä ÇÈä ÈßÑ íãÇÑÓ ÇáÊÞíÉ¡ æßÇä íÎÝí ÅÓáÇãå ÍÊì íÞæã ÈåÐå ÇáãåãÉ ÇáÚÙíãÉ Ýí ÍÝÙ ÑÓæá ÇáÅäÓÇäíÉ æÅíÕÇáå ÓÇáãÇð Åáì ÇáãÏíäÉ. áÞÏ ßÇä ÇÈä ÈßÑ ãÚÑæÝÇð Ýí ÃæÓÇØ ßÝÇÑ ÞÑíÔ ÈÇáßÝÑ¡ æßÇä íÊÙÇåÑ ÈÚÈÇÏÉ ÇáÃæËÇä¡ ÍÊì áÇ íÔßæÇ Ýíå¡ ÎÇÕÉ Ãäå ßÇä ãä ÃÔåÑ ÇáÃÏáÇÁ Úáì ÇáØÑÞ.

Åäå áã íÑÏ Ýí ÇáÊÇÑíÎ Ãä ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ãäÍ ãßÇÝÃÉ áÇÈä ÈßÑ¡ Ãæ Ãäå ßÇäÊ áÏíå ãÕáÍÉ ãÚíäÉ ãÚå¡ ÍÊì äÞæá ãËáÇð Ãäå ÞÏ ÓÇÚÏ ÇáäÈí Ýí ÇáåÌÑÉ áÛÑÖ Ïäíæí. ÝáÇÈÏ áäÇ æÇáÍÇá åÐå Ãä äÞæá ÈÃä ÇÈä ÈßÑ ßÇä ÑÌáÇð ãÓáãÇð ÕÇáÍÇð ÞÇã ÈÏæÑå ÈÏÇÝÚ ãä ÚÞíÏÊå.

æÇáÐí íÄíÏ Ðáß Ãäå ãÇÏÇã ÛÇÆÈÇð Úä ÃÐåÇä ãÔÑßí ÞÑíÔ Ãä ÇÈä ÈßÑ ãÓáã æãä ÃÊÈÇÚ ãÍãÏ (Õáì Çááå Úáíå æÂáå)º ÝÅäå áÇ íßæä ãÑÇÞÈÇð ãä ÞÈáåã¡ æÈÐÇ íãßäå Ãä íæÕá ÇáØÚÇã æÇáÃÎÈÇÑ Åáì ÇáäÈí Ýí ÇáÛÇÑ ØæÇá ÝÊÑÉ ãßæËå Ýíå¡ æÇáÈÇáÛÉ ËáÇËÉ ÃíÇã ÍÊì íåÏà æíÓßä ÇáØáÈ Úáíå. Ëã íÊæÌå Èå Åáì ÇáãÏíäÉ.

æÇáæÇÖÍ Ãä ÇÈä ÈßÑ Ýí ÅÍÏì ÒíÇÑÇÊå ááäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí ÇáÛÇÑ¡ ÊÝÇÌà ÈãÌíÁ ãÔÑßí ÞÑíÔ ææÕæáåã Åáì ÇáÛÇÑ Úä ØÑíÞ ÇáÇÓÊÏáÇá Úáì ÂËÇÑ ÞÏãí ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå). æåäÇ ÍÒä ÇÈä ÈßÑ æÎÇÝ¡ ÝáÌà Åáì ÇáÛÇÑ æØãÃäå ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå)¡ Ëã ÇäÕÑÝ ÇáãÔÑßæä ÈÇáÅÚÌÇÒ ÇáÅáåí æäÒáÊ ÇáÂíÉ.

13 - ÇáÙÇåÑ Ãä ÇáãÇßÑíä ÞÏ ÞÇãæÇ ÈÊÕÍíÝ æÊÒæíÑ ßÈíÑíä¡ áíæÇÝÞ ÇÓã (ÃÈí ÈßÑ) ÇÓã (ÇÈä ÈßÑ). ÝÞÏ ÛíÑæÇ ÇÓã ÃÈí ÈßÑ ÇáÍÞíÞí (ÚÊíÞ) æÌÚáæå (ÚÈÏ Çááå) áíæÇÝÞ ÇÓã (ÚÈÏ Çááå) Èä ÃÑíÞØ Èä ÈßÑ. [ãÎÊÕÑ ÊÇÑíÎ ÏãÔÞ áÇÈä ÚÓÇßÑ: Ì 13 Õ 35].

æÈåÐÇ ÈÞí ÇáÊÛííÑ Èíä (ÇÈä ÈßÑ) æ(ÃÈí ÈßÑ) æåæ Óåá æÈÓíØ¡ áÃä ÇáßÊÇÈÉ Ýí ÇáÓÇÈÞ áã Êßä ãäÞæØÉ¡ áÐÇ ÝÅä ÇÓã ÃÈí ÈßÑ æßÐáß ÇÈä ÈßÑ íßÊÈÇä ÈÇáØÑíÞÉ äÝÓåÇ.

æáåÐÇ äÙÇÆÑ Ýí ÇáÊÇÑíΡ ÝÞÏ ÞÇã ÇáÚÈÇÓíæä ÈÊÕÍíÝ ÇÓã ÚÈÇÓ Èä äÖáÉ ÇáÃäÕÇÑí¡ ÇáÕÍÇÈí ÇáÐí ÇÓÊÔåÏ Ýí ãÚÑßÉ ÃÍÏ¡ áíÓÑÞæÇ ÝÖÇÆáå æíáÕÞæåÇ ÈÇáÚÈÇÓ Èä ÚÈÏ ÇáãØáÈ.

14 - Åä ÇáÑæÇíÇÊ ÇáÊí ÊÐßÑ åÌÑÉ ÃÈí ÈßÑ ãÚ ÎÇÊã ÇáÃäÈíÇÁ (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) åí ÑæÇíÇÊ ÅÓÑÇÆíáíÉ¡ áÃäåÇ ÊÔÊãá Úáì ÈÚÖ ÇáÊÝÇÕíá ÇáæÇÖÍ ÇÊÕÇáåÇ ÈÇáíåæÏ æÊÑÇËåã.

ãä Êáß ÇáÞÖÇíÇ¡ Ãä ÍãÇãÉ ÞÏ ÌÇÁÊ æÈÇÖÊ ÈíÖÉ ÃãÇã ÇáÛÇÑ¡ æÃä ÚäßÈæÊÇð ÞÏ ÌÇÁ æäÓÌ ÎíæØå Úáì ÝÊÍÉ ÇáÛÇÑ¡ ÇáÃãÑ ÇáÐí ÌÚá ÇáãÔÑßíä íÊæåãæä ÚÏã æÌæÏ ÃÍÏ Ýíå.

æåÐÇ ÇáÃãÑ ãäÇÞÖ ááÚÞá æááÕÍíÍ ãä ÇáÑæÇíÇÊ¡ áÃä ÛÇÑ ËæÑ - ßãÇ ÔÇåÏäÇå - åæ ÛÇÑ ÕÛíÑ áÇ ÊÊÚÏì ãÓÇÍÊå ãÊÑíä ãÑÈÚíä ÝÞØ¡ Ýãä ÛíÑ Çáããßä Ãä íÍÌÈ Ãí ÔíÁ ÇáÑÄíÉ Åáì ÏÇÎáå¡ Ýáæ æÞÝ Ãí ÔÎÕ ÃãÇã ÝÊÍÉ ÇáÛÇÑ áÔÇåÏ ßá ãÇ Ýíå ÈÔßá æÇÖÍ ÌÏÇð¡ áÃäå ÛÇÑ ÕÛíÑ¡ æíÖÇÝ Åáì Ðáß Ãä åäÇß ÝÊÍÉ ÃÎÑì ÌÇäÈíÉ Ýí ÇáÛÇÑ¡ ÇáÃãÑ ÇáÐí íÌÚá ÇáÖæÁ íäÝÐ æíÖíÁ ÇáÛÇÑ ÈÃßãáå ããÇ íÓåá ÇáÑÄíÉ. áÐÇ ÝáÇ ãÚäì áÎíæØ ÚäßÈæÊ æáÈíÖÉ ÍãÇãÉ¡ ÝÇáÑÄíÉ æÇÖÍÉ ÊãÇãÇð.

æÇáÍÞíÞÉ Ãäåã ÞÏ ÌÇÄæÇ ÈÑæÇíÉ ÇáÚäßÈæÊ ãä ÓíÑÉ ÇáäÈí ÏÇæÏ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ßÊÈ ÇáíåæÏ¡ ÍíË äÓÌ ÇáÚäßÈæÊ ÎíæØå Úáì ÛÇÑ ÏÇæÏ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÚäÏãÇ áÇÍÞå ÌÇáæÊ ÈÛÑÖ ÞÊáå. [ÊÝÓíÑ ÇáÞÑØÈí: Ì13 Õ 346].

æÇáÕÍíÍ Ãä ÇáãÔÑßíä ÚäÏãÇ æÕáæÇ Åáì ÇáÛÇÑ ÚãíÊ ÃÈÕÇÑåã æáã íÊãßäæÇ ãä ãÔÇåÏÉ Ãí ÃÍÏ ÏÇÎá ÇáÛÇÑ¡ ßãÇ ÍÕá ÚäÏãÇ ãÑ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÃãÇã ÃÚíäåã Ýí ÎÑæÌå ãä ÈíÊå Ýí ãßÉ ÇáãßÑãÉ.

ÞÇá ÃÈæ ÇáØÝíá ÚÇãÑ Èä æÇËáÉ Úä ÃÈíå: (ßäÊ ÃØáÈ ÇáäÈí Ýíãä íØáÈå æåæ Ýí ÇáÛÇÑ¡ ÝäÙÑÊ Ýíå Ýáã ÃÑó ÃÍÏÇð). æäÙÑ ÇáÞÑÔíæä Ýí ÇáÛÇÑ ÃíÖÇð Ýáã íÔÇåÏæÇ ÃÍÏÇð. [ÇáÅÕÇÈÉ: Ì 7 Õ 194].

Åä åÐÇ íÄßÏ Ãä ÇáãÔÑßíä ÞÏ ÚãíÊ ÃÈÕÇÑåã Úä ãÔÇåÏÉ ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå)¡ æßÐáß ÕÇÍÈå æÏáíáå ÚÈÏ Çááå Èä ÈßÑ.

15 - äÌÏ Ýí ÇáÊÇÑíÎ Ãä ÃÚÇÙã ÃÕÍÇÈ ÇáÃÆãÉ (ÕáæÇÊ Çááå Úáíåã) ÞÏ ÇÊåãæÇ ÈÚÏã ÇÚÊÞÇÏåã ÈæÌæÏ ÂíÉ (ËÇäí ÇËäíä ÅÐ åãÇ Ýí ÇáÛÇÑ...) Öãä ÇáÞÑÂä áÃäåã áÇ íÚÊÞÏæä ÈäÒæá ÂíÉ æÇÍÏÉ Ýí ÍÞ ÃÈí ÈßÑ!

ÞÇá ÇÈä ÍÌÑ äÞáÇð Úä ÇáÍÇÝÙ: (ÃÎÈÑäí ÇáäÙÇã æÈÔÑ Èä ÎÇáÏ ÞÇáÇ: ÞáäÇ áãÍãÏ Èä ÌÚÝÑ ÇáÑÇÝÖí ÇáãÚÑæÝ ÈÔíØÇä ÇáØÇÞ: æíÍß! ÃãÇ ÇÓÊÍííÊ áãÇ ÞáÊ: Åä Çááå áã íÞá ÞØ Ýí ÇáÞÑÂä: (ËÇäí ÇËäíä ÅÐ åãÇ Ýí ÇáÛÇÑ ÅÐ íÞæá áÕÇÍÈå áÇ ÊÍÒä Åä Çááå ãÚäÇ)¿!

ÞÇá: ÝÖÍß ØæíáÇð ÍÊì ÎÌáäÇ äÍä æßäÇ äÍä ÇáÐíä ÞáäÇ Ðáß). [áÓÇä ÇáãíÒÇä áÇÈä ÍÌÑ: Ì 5 Õ 108].

Åä ãÄãä ÇáØÇÞ ãä ÃÚÙã ÊáÇãíÐ ÇáÅãÇã ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) æáÇ íãßä Ãä íÎÑÌ Úä ÇÚÊÞÇÏå¡ æÇáæÇÖÍ Ãä ÇÊåÇãå ÈåÇ ÇáÇÊåÇã ÇáÎØíÑ ãÑÏå Åáì ÚÏã ÇÚÊÞÇÏå ÈäÒæá ÃíÉ ÂíÉ Ýí ÔÃä ÃÈí ÈßÑ¡ ããÇ íÚäí Ãä ÂíÉ (ËÇäí ÇËäíä...) ÚäÏå äÒáÊ Ýí ÑÌá ÂÎÑ¡ æåæ ÇÈä ÈßÑ. æáÐÇ æÌÏäÇ ÎÕæãå íÔäÚæä Úáíå ÚäÏãÇ ÑÃæå íäÝí äÒæá ÞÑÂä Ýí ÍÞ ÃÈí ÈßÑ.

æÇáÊåãÉ äÝÓåÇ ÇÊøõåöã ÈåÇ åÔÇã Èä ÇáÍßã¡ ÇáÐí ßÇä íÞæá ÈÚÏã äÒæá ÞÑÂä Ýí ÔÃä ÃÈí ÈßÑ¡ æÈÐáß Ñãæå ÈäÞÕ ÇáÞÑÂä áÃäåã ÑÈØæÇ ÂíÉ ÇáÛÇÑ ÈÃÈí ÈßÑ ÛÕÈÇð! Ýíßæä ÚäÏåã ÇáÐí áÇ íÚÊÞÏ ÈäÒæá ÂíÇÊ Ýí ÃÈí ÈßÑ ßãä íÚÊÞÏ ÈäÞÕ ÇáÞÑÂä!

16 - ßÇä ÇáÚáãÇÁ æÇáãËÞÝæä æÇáÍßÇã ãä ÇáÊÇÈÚíä ÇáãäÊÔÑíä Ýí ÔÑÞ ÇáÃÑÖ æãÛÑÈåÇ ÚÇÑÝíä ÈÚÏã ÕÍÈÉ ÃÈí ÈßÑ ááäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) Ýí ÇáÛÇÑ æÇáåÌÑÉ¡æãä åÄáÇÁ ãÍãÏ Èä ÇáãåÏí ãÄÓÓ ÇáÏæáÉ ÇáÝÇØãíÉ ÇáÐí ßÇä íßÐÈ ÍÖæÑ ÃÈí ÈßÑ Ýí ÇáÛÇÑ æåÌÑÊå ãÚ ÇáÑÓæá (Õáì Çááå Úáíå æÂáå). [ÓíÑ ÃÚáÇã ÇáäÈáÇÁ ááÐåÈí: Ì 12 Õ 133].

æãÍãÏ Èä ÇáãåÏí ãä ÇáÚáãÇÁ ÇáÃÔÑÇÝ ÇáãäÍÏÑíä ãä äÓá ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) æÞÏ åÇÌÑ ãä ÇáßæÝÉ Åáì ÔãÇá ÃÝÑíÞíÇ ÍíË ãßäå Çááå ÊÚÇáì ãä ÊÃÓíÓ ÃÞæì ÏæáÉ ÅÓáÇãíÉ Ýí ÃÝÑíÞíÇ Ëã ÇÒÏÇÏÊ ÚÙãÉ ÈÚÏ ÓíØÑÊåÇ Úáì ÔÈå ÌÒíÑÉ ÇáÚÑÈ æÇáÔÇã æãÕÑ ãÊÎÐÉ ãä ÇáÞÇåÑÉ ÚÇÕãÉ áåÇ.

Åä ããÇ åæ Èíøäñ Ãä ÞÕÉ åÌÑÉ ÇáäÈí (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ãÚ ÃÈí ÈßÑ æÍÖæÑå æÅíÇå Ýí ÇáÛÇÑ åí ãä ÇÎÊáÇÞÇÊ ÇáÃäÙãÉ ÇáÍÇßãÉ¡ æáÞÏ ÔÑÍäÇ Ýí ßÊÇÈäÇ ÇáÐí ÓíÕÏÑ ÞÑíÈÇð Åä ÔÇÁ Çááå ÊÚÇáì ßíÝíÉ ÊÑÓíÎ ÇáÍßæãÇÊ ÊÇÑíÎíÇð áåÐå ÇáÞÕÉ Ýí ÃÐåÇä ÇáäÇÓ¡ ÝÞÏ ÞÇãÊ ÇáÓáØÉ ÈÍÑÞ ÌãíÚ ÇáÃÍÇÏíË ÇáæÇÑÏÉ Úä ÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) áØãÓ ßËíÑ ãä ÇáÍÞÇÆÞ æãä ÈíäåÇ ÍÞíÞÉ Ãä ÇáÐí åÇÌÑ ãÚ ÇáäÈí åæ Ïáíáå ÇÈä ÈßÑ¡ æáíÓ ÃÈÇ ÈßÑ.

æãÇ ÏÇã Ðáß ÞÏ ÍÕá ÝÅäå íÓåá ÇáÊÑæíÌ áÃíÉ ÃßÐæÈÉ áÃäå ãÇ ãä ãÕÏÑ íÑÌÚ Åáíå ÇáãÓáãæä ááÊÃßÏ ãä ÕÍÉ åÐÇ ÇáÍÏíË. æÞÏ ÇÓÊãÑÊ ÓíÇÓÉ ÇáÊÚÊíã Úáì ÇáÃÍÇÏíË ÇáäÈæíÉ ÍÊì ÃíÇã ÚãÑ Èä ÚÈÏ ÇáÚÒíÒ ÇáÃãæí¡ Ãí ÈÚÏ ÚÔÑÇÊ ÇáÓäíä ãä ÍÇÏËÉ ÇáÅÍÑÇÞ æÇáãäÚ ãä ÊÏæíä ÇáÓäÉ ÇáäÈæíÉ ÇáÔÑíÝÉ.

æãËáãÇ ÇÎÊáÞ ÇáÃãæíæä ÑæÇíÉ Ãä áÑÓæá Çááå (Õáì Çááå Úáíå æÂáå) ÇÈäÊÇä ÞÏ ÒæÌåãÇ ãä ÚËãÇä Èä ÚÝÇä¡ ãÓÊÝíÏíä ãä ßæäåãÇ ãä ÑÈíÈÇÊ ÎÏíÌÉ Ãã ÇáãÄãäíä (ÚáíåÇ ÇáÓáÇã)¡ßÐáß ÝÞÏ ÚãÏ ÑÌÇá ÇáÓÞíÝÉ æãä ÊÈÚåã ãä ÇáÃãæííä Åáì ÊÒæíÑ ÍÇÏËÉ ÇáÛÇÑ æÅáÕÇÞ ÃÈí ÈßÑ ÈåÇ ÒæÑÇ¡ ãÓÊÝíÏíä ãä ÔÎÕíÉ ÇÈä ÈßÑ ÇáÐí åÇÌÑ ãÚ ÇáäÈí ÝÚáÇð. ßãÇ ÞÇã ÇáÚÈÇÓíæä ÈÇáÇÓÊÝÇÏÉ ãä ÔÎÕíÉ ÇáÚÈÇÓ Èä äÖáÉ ÇáÃäÕÇÑí æÓÑÞÉ ÝÖÇÆáå áÌÏåã ÇáÚÈÇÓ Èä ÚÈÏ ÇáãØáÈ.

æÈÚÏ ÇáÊæÝíÞ ÇáÅáåí áäÇ Ýí ÇáÊæÕá áåÐå ÇáÍÞÇÆÞ ÇáÚÙíãÉ áäÇ Ãä ääÝÖ ÛÈÇÑ ÇáÃßÇÐíÈ Úä ÇáÓíÑÉ ÇáäÈæíÉ ÇáÚÙíãÉ.

æÇáæÕæá Åáì ÇáæÇÞÚ äÚãÉ ÑÈÇäíÉ ÚÙíãÉ áäÇ ÈÚÏ 1420 ÓäÉ ãä ÇáÌåá ÇáãØÈÞ Úáì åÐå ÇáÍÇÏËÉ.

æÇáÍãÏ ááå ÑÈ ÇáÚÇáãíä æÕáì Çááå Úáì ÓíÏíäÇ ãÍãÏ æÂáå ÇáØíÈíä ÇáØÇåÑíä.

ÇáÚáÇãÉ ÇáÔíÎ äÌÇÍ ÇáØÇÆí

ãÌáÉ ÇáãäÈÑ ÇáÚÏÏ 19 (ÇáÓäÉ ÇáËÇäíÉ)

ÔåÑ ÑãÖÇä 1422.
 
salam,


Frère Madjid je pense que votre texte doit être intéressant à lire mais je n'ai pas encore appris à lire la langue de Ghandi (le Urdu):icon_neut.
J'ai été dans l'affichage mais impossible de "traduire".

"Si vou pli" Pourriez vous m'aider à convertir le texte,

ma'a salama




Allahouma sali 'ala mohammad wa ali mohammad
 
cassiopee a dit:
salam,
Frère Madjid je pense que votre texte doit être intéressant à lire mais je n'ai pas encore appris à lire la langue de Ghandi (le Urdu):icon_neut.
J'ai été dans l'affichage mais impossible de "traduire".

"Si vou pli" Pourriez vous m'aider à convertir le texte,

ma'a salama

Allahouma sali 'ala mohammad wa ali mohammad

Assalamou 'alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakatouhou;

Frère ou soeur Cassiopée, c'est simple, pour lire tu vas sur la barre d'outils en haut, tu cliques sur Affichage, puis sur Codage, puis ensuite sur Arabe (windows), et ton texte se transforme en caractères arabes !!!
Pour l'Urdu je te dirai comment faire quand j'apprendrai cette merveilleuse langue de Mawdudi.....
Qu'Allah te Préserve...
 
Salam aleykum,

Pourquoi?vous commencez à douter du fait que le chiisme est bien la juste voie de l'islam,cher frère Madjid?
Moi je n'ai aucun doute la dessus!
 
Salam,

Je vous rassure frere yaya, le frère madjid est un fidèl partisan des ahl-bayt.

Me concernant, il va vraiment falloir que j'apprenne à lire et à ecrire ma langue natale, l'arabe...
 
yaya a dit:
Salam aleykum,

Pourquoi?vous commencez à douter du fait que le chiisme est bien la juste voie de l'islam,cher frère Madjid?
Moi je n'ai aucun doute la dessus!
Asslamou 'alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakatohou;

Cher yaya, je pense que la réponse de Al-Ali-Husseyn, a mis un terme à ta quête, qui aurait dû trouver sa réponse dans le contenu du message que j'ai tenté de faire passer, si tant est que tu lises l'arabe, et que tu aies pris la peine de parcourir le LONG texte !
Ceci dit, je m'en vais donner l'essentiel de ce que j'ai mis en ligne.

1.- Abou Bekr, qui a par la suite pris le Califa, grace au Putsh de Sakfet Bani Saad, pendant que les croyants étaient affairés avec les obsèques auxquelles ils ne participeront pas, évidemment le Califa étant plus urgent pour eux, N'A JAMAIS accompagné Mouhamad, :saws: pendant son Emigration vers Médine, et il ne pouvait donc être le "Compagnon de la grotte" auquel il est référé dans le Coran.
2.- Le Compagnon auquel il est fait référence est un autre Aby Bekr ou Ibn Bekr, qui s'était islamisé bien avant Aby Bekr, Abou Bekr auquel on a fabriqué une "histoire" pour justifier sa prise de "Pouvoir" un peu comme pour Ceausescu le "génie des Carpates" ou Sadam. La confusion était aisée car en ces temps là les points diacriques n'étaient pas utilisés, ni d'ailleurs les voyelles, et le subterfuge était donc facilité.
Ibn Bekr ou Aby Bekr, qui est le VRAI "Compagnon de la grotte", était un guide de profession, et comme il était l'un des premiers convertis, et qui, pour préserver son statut professionnel, avait du user de Toqya, (cacher sa conversion).
Au moment où Rassoulou Allah, :saws: se sentira en danger, Allah, le mettra sur son chemin, Rassulou Allah, :saws: lui demandera donc de l'aider à émigrer vers Médine, et s'il pouvait mettre sa vie entre ses mains (après celle d'Allah, :azwj: évidemment). La réponse étant positive, et comme ce dernier n'est suspecté par personne, il fera les préparatifs nécessaires.

Je vous donnerai une traduction succinte de l'article sous peu, In Cha'a Allah.

Voici pour aujourd'hui la traduction Je cite: "


Cette étude peut ne pas représenter d’intérêt pour certains, mais en fait elle découvre les falsifications de l’histoire et il nous fait entrer dans le tournis ( ce qui nous a été caché depuis que nous avons trahi l’Histoire durant tous ces siècles, qu’est ce qui nous a été caché et combien de mensonges avons nous vécus et que nous vivrons encore à notre insu et serons nous à même d’y croire de nouveau et au moins croirons encore dans l’histoire.
J’ai perdu confiance depuis que j’ai lu cette étude et je souhaitais avoir votre opinion loin de tout parti pris avec un but de recherche de la seule vérité, même si le chercheur chiite recherche une faille contre Abou Bekr, sauf qu’il a dévoilé le coté noir de l’histoire islamique aussi bien sounie que chiite. Voici donc l’étude en toute confiance et telle qu’elle a été présentée et en présentant mes excuses aux religieux pour toute atteinte de sentiments, je l’ai reproduit par souci de confiance et non pour nuire.
Abou Bekr, n’était pas avec le Prophète aswaws, dans la grotte ! Aba Bekr, était polythéiste au moment où Rassoulou Allah, aswaws, a émigré. La colombe et les œufs ainsi que la toile d’araignée ne sont qu’un tissus de mensonges. La grotte de Thour, ne mesure que deux mètres carrés et il a une ouverture du côté d’où pénètre la lumière et permet d’y voir clairement ce qui y est à l’intérieur même avec la présence d’une toile d’araignée.
Par Son Eminence Cheikh Tay.

Histoire de la falsification, et falsification de l’histoire !
( Abou Bekr, n’était pas avec le Prophète dans la grotte) !
C’est à cette conclusion qu’est arrivé Cheikh Tay, après une étude scrupuleuse qui a pris en considération les sources sounies les plus diverses, et il a de ce fait tourné la page sur 1422 années de mensonges, de forgeries qui ont entouré cette affaire et l’ont sortie de son déroulement réel.
( C’est la plus importante rencontre avec la vérité divine qui me soit arrivée à ce jour) .. C’est ainsi que l’érudit Tay a décrit ainsi sa patience devant la complexité du voyage de recherche de cette affaire délicate et incroyable durant sa recherche exhaustive.
Laissons les lignes et les pages suivantes à la plume de Cheikh Tay.

Cette recherche réfute la présence d’Abi Bakr dans la grotte d’une façon scientifique sur la base de narrations authentiques et recoupées et aussi de témoignages et de d’autres évidences. Les hommes du clan Qoreychite ont déployé tous leurs efforts pour méler Abi Bekr, dans l’affaire de la grotte et de l’émigration en s’agrippant à tous les moyens possibles pour ce faire. Ils ont disséminé des dizaines de Hadiths différents entre les gens alors que l’Etat a institué une grande fête à cette occasion.
Mais comme la corde du mensonge est courte, il est apparu que ces mensonges ont été fabriqués pour contrecarrer l’événement de Ghadir qui a eu lieu le 18 dhi El Hija. Les politiciens ont situé l’événement de la grotte au 26 dhi El Hidja, alors qu’il a eu lieu durant le mois de Safar.
On se lasse de la quantité importante des mensonges disséminés par les Qoreychites et leurs affidés ainsi que leur capacité dans ce domaine. Il est suffisant que tu saches que l’ingéniosité des Qorayshites était lors inégalable.
Cette rouerie s’intensifiera au point d’unir juifs et Qorayshites, et ainsi verrons-nous Kaab Al Ahbar, le juif, connu pour être le démon des juifs, devenir le prédicateur de la Mosquée du Prophète du temps de Omar Ibn Al Khatab, et il gardera sa position du temps de Othmane Ibn ‘Afane.
Et si Ka’ab, le juif est ainsi devenu le professeur des musulmans pour leur apprendre leur religion, imaginez-vous donc le nombre de mensonges et de contes israélites innombrables il va introduire.
Cette effronterie atteindra son apogée quand le Pouvoir excommuniera tout musulman qui ne prendra pour dogmatique la présence d’Abou Bekr, dans la grotte ! Alors qu’Allah, dit dans Son Livre Noble : ( Ne dites point à quiconque vous a donné le Salut, tu n’est pas croyant).
Pendant le même temps ces prédicateurs du Pouvoir n’excommuniaient pas les assassins de Fatima Bint Mouhamad, ( Sur eux le Salut et la Bénédiction d’Allah), et ils n’ont pas excommunié les assassins de Husseyn, Sur Lui le Salut, de même qu’ils n’ont pas cru nécessaire d’excommunier les prétendants à la falsification du Coran.
 
As-salam' aleykom wa rahmatulah wa barakatuh,

Frere Madjid, voyez, je ne me satisafait jamais de ce que j'ai. Lol. Tout d'abord, je tiens à vous remercier pour votre résumé. Cependant, est-il possible d'avoir la version arabe s'il vous plait ?

Barakallahou Fik.

Salam wa rahmatulah wa barakatuh.​
 
Yateem a dit:
As-salam' aleykom wa rahmatulah wa barakatuh,

Frere Madjid, voyez, je ne me satisafait jamais de ce que j'ai. Lol. Tout d'abord, je tiens à vous remercier pour votre résumé. Cependant, est-il possible d'avoir la version arabe s'il vous plait ?

Barakallahou Fik.

Salam wa rahmatulah wa barakatuh.​
Assalam, Akhi Yateem;

Je suis en train de te traduire la version arabe que tu as ci-dessus.

La traduction française du texte arabe que j'ai mise en ligne commence à partir de :

" Je vous donnerai une traduction succinte de l'article sous peu, In Cha'a Allah.

Voici pour aujourd'hui
".....

A chaque fois que j'en aurai taduit quelque paragraphes, je les mettrai en ligne, et si quelqu'un ne se propose pas de le faire, je ferai de même par la suite, pour les textes sur les Sayida Zaynab et pour l'impossibilité de falsifier le Coran.
NB: Comme j'ai mis ces textes en ligne, sur des sites "soi-disant souni", ECLAIRES, je viens de contater que sur nombre d'entre eux, ils ont été effacés, avec la mention " nous ne faisons pas confiance aux mensonges chiites, et si tu veux faire de la da'wa pour ahl el beyt, va le faire sur les sites chrétiens ou juifs ou athés ou bien retourne chez leurs frères chiites, ici nous sommes entre musulmans"....
 
Waleykom salam wa rahmatulah wa barakatuh ya akhi Madjid,

madjid a dit:
Assalam, Akhi Yateem;

Je suis en train de te traduire la version arabe que tu as ci-dessus.

La traduction française du texte arabe que j'ai mise en ligne commence à partir de :

" Je vous donnerai une traduction succinte de l'article sous peu, In Cha'a Allah.

Voici pour aujourd'hui
".....

Oui, j'avais compris par rapport à la traduction en Français. En fait, j'ai fait lire votre texte à un Arabe mais il a trouvé les caractères bizarres et n'a pu comprendre. Je pensais donc que ce n'était pas en Arabe vu l'intervention de la soeur Cassiopee :
Frère Madjid je pense que votre texte doit être intéressant à lire mais je n'ai pas encore appris à lire la langue de Ghandi (le Urdu).

Est-ce "word" en "copiant-collant" qui peut donner des caractères autre qu' Arabe ? Barakallahou fik pour votre réponse akhi.

A chaque fois que j'en aurai taduit quelque paragraphes, je les mettrai en ligne, et si quelqu'un ne se propose pas de le faire, je ferai de même par la suite, pour les textes sur les Sayida Zaynab et pour l'impossibilité de falsifier le Coran.

Wa jazakoumoullah pour ce travail dont vos frères et soeurs vous seront reconnaissants, barakallahou fik.

NB: Comme j'ai mis ces textes en ligne, sur des sites "soi-disant souni", ECLAIRES, je viens de contater que sur nombre d'entre eux, ils ont été effacés, avec la mention " nous ne faisons pas confiance aux mensonges chiites, et si tu veux faire de la da'wa pour ahl el beyt, va le faire sur les sites chrétiens ou juifs ou athés ou bien retourne chez leurs frères chiites, ici nous sommes entre musulmans"....

Heureusement pour vous que ce sont des sites "éclairés", imaginez ceux de la pénombre, lol.

Allah ma'ak cher frère,

Salam wa rahmatulah wa barakatuh.
 
Salâm,


madjid a dit:
d'Abou Bekr, ra, (........) Aïcha, ra, (..........)Omar, ra et son père Abou Bekr, ra,


" nous ne faisons pas confiance aux mensonges chiites, et si tu veux faire de la da'wa pour ahl el beyt, va le faire sur les sites chrétiens ou juifs ou athés ou bien retourne chez leurs frères chiites, ici nous sommes entre musulmans"


Comprends pas ! C'était bien partie dans le sens de l'union pourtant...:icon_roll



Peace.
 
Assalamou 'Alaikoum wa Rahmatou Alla wa Barakatouhou;

suite première partie: Traduction MADJID

Cette étude peut ne pas représenter d’intérêt pour certains, mais en fait elle découvre les falsifications de l’histoire et elle nous fait entrer dans le tournis ( ce qui nous a été caché depuis que nous avons trahi l’Histoire durant tous ces siècles. Qu’est ce qui nous a été caché et combien de mensonges avons nous vécus et que nous vivrons encore à notre insu et serons nous à même d’y croire de nouveau et au moins croirons nous encore dans l’histoire ?

J’ai perdu confiance dans notre histoire, depuis que j’ai lu cette étude et je souhaitais avoir votre opinion, loin de tout parti pris en n'ayant en tête que le seul but de recherche de la seule vérité, même si son auteur chiite recherche une faille contre Abou Bekr. Cependant, il a dévoilé le coté noir de l’histoire islamique, aussi bien sounie que chiite.
Voici donc l’étude que je vous livre en toute confiance et telle qu’elle a été présentée et en présentant mes excuses aux religieux pour toute atteinte à leurs sentiments. Je l’ai reproduite par souci de confiance dans la vérité qu'il faut rétablir, et non pour nuire.
[mark=FFFF00]
Abou Bekr, n’était pas avec le Prophète aswaws, dans la grotte ! Aba Bekr, était polythéiste au moment où Rassoulou Allah, aswaws, a émigré. La colombe et les œufs ainsi que la toile d’araignée ne sont qu’un tissus de mensonges. La grotte de Thour, ne mesure que deux mètres carrés et il a une ouverture du côté d’où pénètre la lumière et permet d’y voir clairement ce qui y est à l’intérieur même avec la présence d’une toile d’araignée.
Par Son Eminence Cheikh Tay.[/mark]

Histoire de la falsification, et falsification de l’histoire !
( Abou Bekr, n’était pas avec le Prophète dans la grotte) !​
C’est à cette conclusion qu’est arrivé Cheikh Tay, après une étude scrupuleuse qui a pris en considération les sources sounies les plus diverses, et il a de ce fait tourné la page sur 1422 années de mensonges, de forgeries qui ont entouré cette affaire et l’ont sortie de son déroulement réel.
( C’est la plus importante rencontre avec la vérité divine qui me soit arrivée à ce jour) .. C’est ainsi que l’érudit Tay a décrit ainsi sa patience devant la complexité de ses travaux de recherche sur cette affaire délicate et incroyable qu'l a pourtant menée d'une façon exhaustive.

[mark=FFFF00]Laissons les lignes et les pages suivantes à la plume de Cheikh Tay.

Cette recherche réfute la présence d’Abi Bakr dans la grotte d’une façon scientifique sur la base de narrations authentiques et recoupées et aussi de témoignages et de d’autres évidences. Les hommes du clan Qoreychite ont déployé tous leurs efforts pour méler Abi Bekr, dans l’affaire de la grotte et de l’émigration en s’agrippant à tous les moyens possibles pour ce faire. Ils ont disséminé des dizaines de Hadiths différents entre les gens alors que l’Etat a institué une grande fête à cette occasion.[/mark]

Mais comme la corde du mensonge est courte, il est apparu que ces mensonges ont été fabriqués pour contrecarrer l’événement de Ghadir qui a eu lieu le 18 dhi El Hija. Les politiciens ont situé l’événement de la grotte au 26 dhi El Hidja, alors qu’il a eu lieu durant le mois de Safar.

On se lasse de la quantité importante des mensonges disséminés par les Qoreychites et leurs affidés ainsi que leur capacité dans ce domaine. Il est suffisant que vous sachiez que l’ingéniosité des Qorayshites était lors inégalable.
Cette rouerie s’intensifiera au point d’unir juifs et Qorayshites, et ainsi verrons-nous le juif Kaab Al Ahbar, connu pour être le démon des juifs, devenir le prédicateur de la Mosquée du Prophète du temps de Omar Ibn Al Khatab, et il gardera sa position du temps de Othmane Ibn ‘Afane.

Et si Ka’ab, le juif, est ainsi devenu le professeur des musulmans pour leur apprendre leur religion, imaginez-vous donc le nombre de mensonges et de contes israélites innombrables qu'il va introduire dans notre corpus de hadiths.
Cette effronterie atteindra son apogée quand le Pouvoir excommuniera tout musulman qui ne prendra pas pour dogmatique la présence d’Abou Bekr, dans la grotte ! Alors qu’Allah, dit dans Son Livre Noble : ( Ne dites point à quiconque vous a donné le Salut, tu n’est pas croyant).

Pendant le même temps ces prédicateurs du Pouvoir n’excommuniaient pas les assassins de Fatima Bint Mouhamad, ( Sur eux le Salut et la Bénédiction d’Allah), et ils n’ont pas excommunié les assassins de Husseyn,:as: Sur Lui le Salut, de même qu’ils n’ont pas cru nécessaire d’excommunier les prétendants à la falsification du Coran.

Et Allah Seul combien de musulmans ont été assassinés pour n’avoir pas cru qu’Abou Bekr était dans la grotte. Les gouvernements tuaient les musulmans pour toutes sortes de raisons sans qu’ils avouent les raisons réelles de leurs exécutions. Al Hadjadj Ibn Youssef Athaqafi a assassiné 120.000 musulmans pour des raisons inconnues et il a emprisonné 33.000 autres, et parmi ceux qu’il a fait assassiner, le Faqih ascète Saïd Bin Joubeïr, ainsi que le disciple de l’imam Ali, :as: Koumeyl Ibnou Zyad et Abderrahmane Ibn Abi Leïla qui a appris le Coran auprès de l’Emir des croyants. Ces victimes l’ont elles été à cause de leur refus de croire qu’Abou Bekr, ait été présent dans la grotte ?
C’est pour cela que nous ne devons pas être étonnés de découvrir maintenant que la sornette de la présence d’Abou Bekr, dans la grotte n’a aucune assise historique, qu’elle a été totalement fabriquée, et elle n’est qu’un pur mensonge forgé, qui est contredit par la réalité objective et les narrations historiques. Nous allons les discuter et nous allons les soumettre à la critique rigoureuse pour démontrer leur vanité et éclairer cette affaire.

Ce qui est généralement connu et enseigné aux musulmans, serait que le Prophète :saws: serait sorti de son foyer de nuit et a mis Ali :as: dans son lit. Sa sortie était un miracle du fait que les infidèles de Qoraysch qui cernaient sa maison ne l’ont pas vu après qu’il eut lu, les versets « Nous avons établi devant eux un mur et derrière eux un mur, nous les avons subjugués et ils ne purent voir…» ils furent aveuglés et ne le virent pas. Ensuite il se dirigea vers la maison de Abi Bekr Bin Abi Kouhafa, et là, il attendra la matinée, pus il en sortit ensuite avec Abou Bekr, pour l’émigration en compagnie d’un guide nommé Abd Allah Ibn Arikat bin Bekr. Au lieu de les conduire par la route du Nord vers Yathrib (Médine Lumineuse), il prit avec eux la route du Sud, c’est à dire celle vers le Sud de la Mecque, pour se soustraire aux infidèles qui voulaient mettre fin à la vie du Dernier Prophète et à son Message Céleste. Mais les infidèles se rendront compte de ce leurre grâce à un autre guide du nom de Karz bin ‘Alkama Alkhouza’i, qui avait suivi les traces du Prophète puis les avaient comparées aux pieds de son grand père Ibrahim :as:. ils arrivèrent finalement au Mont (Thour) où se trouvaient le Prophète :saws: et Abou Bekr cachés dans la grotte. Quand ils sont arrivés là, Abou Bekr, commença à trembler, il était peiné et en proie à la peur. Le prophète l’admonesta ( le réconforta dans certaines versions), en lui disant : (Ne sois point affligé, Allah est avec nous) (dans certaines versions c'est même Abou Bekr, qui consolera Rassoulou Allah !!!). A cet instant une colombe vint et pondit un œuf près de la grotte, puis une araignée vint et elle tissa sa toile, elle aussi sur la grotte. Cet événement incita les infidèles Qoreychites à partir puisqu’ils se convainquirent que si la toile était présente tout comme l’œuf, c’était parce que nul n’était entré dans cette grotte. Ils démentirent ce faisant, leur guide Karz Bin ‘Alkama, malgré sa propre conviction persistante que le Prophète était dans cette grotte. Le Prophète demeura dans la grotte avec Abi Bekr durant trois jours dans l’attente d’une accalmie des ratissages contre lui, durant tout ce temps Asma Bint Abi Bekr, était celle qui les approvisionnaient en aliments qu’elle ramenait au Prophète et à son père. Après cela le Prophète se déplaça vers Médine en compagnie de son guide Abdullah bin Arikat Bin Bekr, où il arriva et y fut accueilli par les musulmans en fête.

[mark=FFFF00]Ceci est la substance de ce que colportent les musulmans au sujet de l’affaire de la grotte du Mont Thor, cette histoire a été le fruit d’un jeu politique, et nous démontrerons ici avec l’aide d’Allah, que cette narration est une fiction dans nombre de ses détails, sur la base de références sounies, comme la présence de Abou Bekr, avec le Prophète dans la grotte, ou comme le fait que Asma Bint Abi Bekr, serait celle qui préparait les aliments pour Rassoulou Allah, et les lui amenaient, ou comme celle de la colombe qui aurait pondu et que l’araignée aurait tissé sa toile, et les conséquences tirées de ces évènements dénués de fondement, mais qui ont pollué cet événement historique à travers l’introduction de fallacies israélites. [/mark]
2.- Les histoires se recoupent avec d’autres et elles apparaissent quelque peu cocasses, du fait qu’il est rappelé que le Prophète, :saws: serait sorti de chez lui et s’est dirigé directement vers la grotte Thour, or à ce même instant Abou Bekr, serait allé vers le domicile du Prophète et, ne l’ y ayant pas trouvé. Il questionna Ali, l’imam l’informa qu'il était en route pour sortir de Mecqua. Abou Bekr, se mit dare dare en route pour le rattraper et il portait sur lui des clochettes. Lorsqu’il l’aperçut, le Prophète pensa qu’Abou Bekr, était du nombre des infidèles, il pressa donc le pas, pour s’en éloigner, mais Allah,:azwj: fit que se rompirent les lacets de ses sandales et les doigts de pieds de Rassoulou Allah, furent écorchés par les pierres et du sang en gicla, ce qui obligea l’Envoyé à s’arrêter, et ainsi il fut rattrapé par Abou Bekr. Ils s’assemblèrent et ils quittèrent Mecqua ensemble ! [ Histoire de Tabari V.2, page 102.]

Cette narration éclaire une partie de la contrefaçon et du mensonge.
Comment Abou Bekr, pouvait-il entrer dans la demeure de Rassoulou Allah, alors que sa maison était encerclée par les infidèles durant cette nuit de vive tension et qu'il n’était permis à personne d’y entrer ou d’en sortir ?!
Et comment pouvait-il voir et reconnaître le Prophète au plus profond de cette nuit noire ?
Quant à l’affaire de la découverte du secret et de la rupture du lacet, peut-être que nous ne pourrions pas y répondre! Ce n’était pas l’écoulement du sang sorti des orteils du Messager d’Allah, qui aurait arrêté le Messager d’Allah dans sa marche vers Médine et partant, c’eût été la mise en péril du Projet de l’Islam dans son intégralité, si tant est qu’un infidèle l’avait poursuivi... Rassoulou Allah, avait été pourtant blessé de la tête aux pieds par les habitants de Ta’ïf (maudits soient-ils), qui l’avaient lapidé, lorsqu’il est allé les appeler à l’Islam ! Mais il ne s’est pas arrêté pour autant de remplir sa Mission.
Comment se serait-il cette fois-ci, arrêté d’accomplir la plus importante de ses missions avec autant de facilité ?

Ceci est une claire falsification des faits pour encenser Abou Bekr, et lui donner une position élevée auprès d’Allah,:jjl: à tel point qu’IL contraigne Son Prophète à l’arrêt en le blessant et en faisant couler du sang de ses pieds.
Ce paradoxe soulève une autre question, est-ce que le Prophète est d’abord allé dans la demeure d’Abou Bekr, et de là, ils seraient venus ensemble, ou bien se serait-il dirigé directement hors de Mecqua et en chemin Abou Bekr, l’aurait reconnu ? Laquelle des deux hypothèses prendrions nous ?
Si elle se contredisent, elles tombent toutes les deux …

3.- Il y a là quelque chose d’étrange dans la narration alléguée, si vous vous rappelez que Asma Bint Abi Bekr, aurait été dans la demeure de son père quand le Prophète y est arrivé. Il se serait reposé donc un moment, puis il a pris avec lui Aba Bekr, et depuis lors, Asma leur portait la nourriture dans la grotte.
Ce qui est étrange, c’est comment Asma pouvait-elle se trouver en deux endroits différents et éloignés de plusieurs milliers de miles en même temps ?

Les historiens enseignent que Asma Bint Abi Bekr, se trouvait alors en Abyssinie avec son époux, Zoubeyr Ibn Al’awam !! [ Athuqat, Ibn Habane V. 3, p. 23]. Ceci atteste que l’historiette de la compagnie d’Abou Bekr, durant cette migration Bénie, est une forgerie du Pouvoir.

4.- Il y a encore une autre question logiquePourquoi le Prophète se serait-il rendu vers la demeure d’Abou Bekr, dans laquelle se trouvaient des infidèles ?! N’aurait-il pas été plus logique que justement il n’aille pas vers cette demeure précisément pour n’être pas découvert par les infidèles ?:
Dans le domicile d’Abou Bekr, logeaient en effet, ses deux fils Abdelozay et Abdellah, sa fille Aicha et leur mère Oum Rouman ( Namla Bint Abdelozay) en plus de son père Abi Kouhafa.
[ les narrations rapportent que Abdelozay bin Abi Bekr était :(un infidèle agressif contre l’Islam) ! [ Histoire de Ibn Asakir : V. 13 p. 280] et il est aussi rapporté que Oum Roumana était infidèle, Abou Bekr, l’a divorcée après son émigration suite à la révélation « Et ne gardez pas de liens conjugaux avec les mécréantes » Al Moumtahina S.11, ) et l’histoire révèle aussi que Aba Kouhafa- le père de Abi Bekr, était lui aussi mécréant ! [ Exégèse de Nahj el Balagha : V. 13, p.268]

Est-il logique que le prophète se soit dirigé vers cette demeure en cette nuit pleine de dangers, pendant laquelle les Qoreychites avaient programmé son assassinat et que lui-même voulait émigrer ? ! Etait il logique que le Prophète :saws: se réfugie chez ceux qui l’épiaient et le combattaient ? Etait-il raisonnable de croire qu’il ait parlé dans ce logis de son émigration et qu’il emmène avec lui Aba Bekr, et qu’il ne soit pas normal que les infidèles présents dans cette demeure ne révèlent le plan aux dirigeants de la mécréance qorayshite ?

Ceci prouve que le Prophète ne pouvait absolument pas être parti chez Abou Bekr. Surtout que Ibn Abdelozay Bin Abi Bekr, faisait partie de ceux engagés par Qoreych pour poursuivre le Prophète.

5.- Les narrations sont unanimes a reconnaître que le Prophète s’est dirigé vers la grotte seul, et ceci est l’origine et l’essence de l’événement. [ Masnad Ahmad : V. 1 P. 331, AlMoustardark : V. 3 p. 133, Fath Al Bari : V. 7, p. 8, Sounan Annissay: V.5, P. 113, Chawahid Atanzil: V. 1 p. 135]
Les historiettes fabriquées assènent que Abou Bakr aurait accompagné le Prophète vers la grotte, mais ceci est en contradiction totale avec les faits historiques établis.
Lorsque les polythéistes ont emmené avec eux leur guide Karz Ibn Alkama Alhkouza’i pour suivre les traces du Messager d’Allah, et le capturer, Karz a vu les empreintes de pas de l’Envoyé d’Allah, et il dit : ( Ce sont les empreintes de pieds de Mouhamad :saws: qui ressemblent à ceux du Sanctuaire) il désigne par cela les empreintes d’Ibrahim Al Khalil :as: sur son piedestal devant la Kaaba.[ Al Isaba : V. 5 p. 436, selon une version dans le Masnad Ahmad, de Mohamed Bin Ali Bin Hamza : P. 360, Foutouh al Boulden V.1 p 64]

Et tant que Karz n’a pas fait mention d’empreintes de pas d’Abou Bekr, la probabilité de l’absence d’Abou Bekr durant l’émigration du prophète grandit et devient encore plus importante.

Le plus excitant est que Abdelozay bin Abi Bekr faisait partie du groupe de mécréants qui tentaient de rattraper le Prophète. [ voir l’interprétation de Abdel Rahmane abd El ‘Azi bin abi Bekr dans l’histoire de Ibn Asaker et usud alghaba]
Ceci veut dire que Abdelozay, le propre fils d’Abi Bekr, n’aurait pas reconnu les empreintes de pas de son propre père. Tout comme ne les a pas reconnu Karz alkhouzayi, et cela complique encore d’avantage la prétention et prouve d’une façon indubitable qu’Abou Bekr, n’a jamais accompagné le Prophète durant cette émigration.

6.- Il n’a jamais été rapporté de la part du Prophète aucun hadith ou texte dans lequel il aurait confirmé la présence avec lui, dans la grotte d’Abi Bekr. Si tel aurait été le cas, Abou Bekr, aurait joui d’un grand prestige qui lui aurait valu les louanges et les lauriers de la Tradition, or rien de cela n’a jamais été signalé.

En fait nous n’avons jamais entendu un hadith dans lequel le Prophète aurait dit parlant d’Abou Bekr : ( C’était mon Compagnon dans la grotte) par exemple, mais bien au contraire nous avons entendu le Prophète :saws: le réprimander en maintes occasions. Quand Abou Bekr, s’est présenté pour demander la main de Fatima :as: il l’a rejeté. Quand Omar, s’est lui aussi proposé, il a lui aussi été éconduit.[ Par contre, lorsque l’Emir des Croyants, Ali:as:, a demandé la main de Fatima, :as:, le Prophète:saws: l’a agréé et il lui a dit : ( I]Toi tu n’es pas un imposteur[/I]) dans une allusion qui est claire pour lui à Abi Bekr et Omar. [Majma’a Azaoua’id : V9 P. 204, Tabaqat Ibn Sa’d: V. 8 P. 12, Al Isaba: V.1 P. 374

[mark=FFFF00]Si Abou Bekr, avait été présent avec Rassoulou Allah, :saws: dans la grotte, et que ce fut lui sur qui serait descendu le Verset, jamais le Prophète ne l’aurait éconduit.[/mark]

Au surplus, la majorité des historiettes qui allèguent de la Compagnie d’Abou Bekr, avec Rassoulou Allah, dans la grotte, ont été rapportées selon Aïcha, Abi Hureyra, Anes Bin Malik et Abdellah Bin Omar, et tous ceux-là sont non crédibles dans leur narration du fait de leur appartenance au clan de Abou Bekr, lui-même.

En contre partie nous ne trouvons parmi les rapporteurs aucun membre de l’opposition à Abou Bekr, comme Sa’d bin Oubada, Zoubeyr Ibn al’awam, AlHabab bin Almoundhir, Malek Bin Nouwaira, et d’autres parmi les Compagnons, qui confirmerait sa présence dans la grotte. S’ils avaient été convaincus de cela, jamais ils n’auraient opposé son Pouvoir et ils ne se seraient pas rebellé contre lui, et refusé de lui prêter allégeance au motif qu'il est ( Abou factions ), c’est à dire celui qui ne jouit d’aucune vertu ni pour lui, ni pour les siens.
 
Yateem a dit:
Waleykom salam wa rahmatulah wa barakatuh ya akhi Madjid,



Oui, j'avais compris par rapport à la traduction en Français. En fait, j'ai fait lire votre texte à un Arabe mais il a trouvé les caractères bizarres et n'a pu comprendre. Je pensais donc que ce n'était pas en Arabe vu l'intervention de la soeur Cassiopee :


Est-ce "word" en "copiant-collant" qui peut donner des caractères autre qu' Arabe ? Barakallahou fik pour votre réponse akhi.
Assalamou 'alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakatouhou;

Pour transformer les caractères en caractères arabes, tu vas sur Affichage, tu cliques sur Codage, et ensuite sur Arabe Windows, si tu es avec Windows XP, ou famille, sinon.
Affichage, Codage, Plus et ensuite Windows Arabe.

Dis-moi si ça a marché et qu'Allah, nous aide.

Pour les censures sur les sites "SOUNIS modérés", ils ont une clientèle qu'ils captent du fait que les forumistes IGNORENT l'histoire, et ils ne tiennent pas à ce que l'on vienne déranger le train train des discussions sur la sorcellerie, le tout va bien Mme la Marquise, les liens vers les somnifères séoudiens, le liens vers les "zéros jihadistes d'Irak", les lancées sur les discussions ethniques et l'accentuation des divisions du Monde islamique, le confort du "milliard de sounis", le confort du "Tawhid conjugué à la sauce sclérosée du salafisme", ou du "wahabisme" hanté par le primat des Ahl el Beyt, :as: sur les "gens du commun".
Mais, pour moi, ce n'est rien, je regrette simplement avec un pinement au coeur que les protestations véhémentes de quelques internautes qui répondaient positivement aient été elles aussi effacées purement et simplement avec avertissements à la clef, avec en plus le culot de leur dire, que leurs sites sont ds sites ouverts mais que leur rôle d'administrateurs les amènent à refuser de transformer leurs sites en forum de Da'wa chiite...

Rassoulou Allah, :saws: a été vilipendé à La Mecque, il a été brutalisé à Ta'if, il a répondu "Allahouma aghfer lahoum Innahoum la ya'lamoun" O Allah, Pardonne leur, ils ne savent pas.
A tous les croyants je souhaite une bonne nuit, et je tenterai dans la semaine si j'ai plus de temps de compléter la traduction.
Je n'ai besoin que de vos prières pour NOUS TOUS, nos familles, les croyants et la PAIX sur Terre, et qu'Allah, :azwj: Entende les voix des malheureux sur Terre, ceux "qui n'ont pas de cheminée" et vivent avec moins de 1 Euro par jour, et subissent l'humiliation des chars, des maîtres et des tyrans sans coeur .
 
madjid a dit:
- Abou Bekr, qui a par la suite pris le Califa, grace au Putsh de Sakfet Bani Saad


lool (désolée, c'est plus fort que moi)

Sinon, on en apprend tous les jours...
Pourrait-on savoir d'où est tiré l'article, merci.
 

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