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Unité Islamique

bienfaits volontaires et involontaires

assalam'aleykoum

très chère cassiopée, c'est vrai que c'est un casse-tête si l'on cherche les bienfaits qu'il aurait ramené au membres d'alimane volontairement (même si personnellement je suis mal placé pour parler vu que je ne l'ai connu que brièvement), toutefois il nous aura bien malgré lui offert un rappel ô combien précieux sur les dangers du tribalisme et autres idéologies partisanes.

Espérons qu'il dépasse un jour ce niveau zéro de l'engagement en faveur du vrai, et qu'Allah nous protège ou nous guérisse tous (lui y compris) de l'exagération dans l'amour que nous portons au "sous-groupes" de l'humanité dont nous faisons tous partie d'une façon ou d'une autre, amine.

Allahihdina jami'ane, amine.

fi amanillah
abdallah
 
Salâm,Paix,

Sayed 'Ali Khamenei: Les révoltes populaires sont le début à de grandes évolutions


Le guide suprême de la révolution islamique iranienne, Ayatollah Ali Khamenei a affirmé que les récentes révolutions qui se sont produites dans le monde islamique traduisent le début à des développements majeurs dans la région, ajoutant que la position des partisans des Ahl-Beit (Ndrl : Gens de la Maison du Prophète Mohammad) est fondée sur le soutien à de tels développements.
Le guide suprême de la révolution islamique iranienne, a insisté, au cours d’une réunion qui s’est tenue mardi soir ,dans le mausolée de l’Imam Rida , à Mashhad, avec un groupe de oulémas et de penseurs musulmans participant à la cinquième Conférence de l'Assemblée générale des Ahl-Beit (P) « sur la nécessité de soutenir les changements islamiques majeurs survenus dans la région pour qu’elles sont le prélude à des changements plus importants qui se produiront dans l'avenir ».Ayatollah Khamenei a souligné que « l’une des caractéristiques de la doctrine des Ahl-Beit est d’avoir pu créer un régime islamique en conformité avec la charia et le Coran, et que l'Iran est le premier pays à établir un système basé sur la loyauté à Ahl-Beit (P) ».Par ailleurs, Son Eminence a indiqué que « les jeunes musulmans dans le monde se sont tournés vers la pensée islamique et les enseignements islamiques pour réaliser leurs souhaits et leurs rêves abandonnant la doctrine matérielle qui a prouvé son échec à pour répondre aux besoins des peuples ».Pour ce qui est des révolutions en Egypte, en Tunisie, en Libye, à Bahreïn, au Yémen, Khamenei les a qualifié de « bénédictions divines » soulignant qu'il est « de notre devoir de soutenir et d'aider ces révolutions » tout en espérant que « ces changements coupent les mains des ennemis avides de contrôler le destin des peuples de la région ». Cela dit, Khamenei a appelé les peuples de la région à rester « vigilants et en alerte face aux machinations des ennemis qui tentent de semer la discorde parmi les musulmans, surtout entre les chiites et sunnites ».Il a ajouté que « l'arrogance mondiale cherche à semer la discorde entre les chiites et les sunnites pour servir ses objectifs politiques dans la région et donc il faut rester prudent ».Khamenei a insisté sur « l'unité islamique entre tous les musulmans car elle représente leur bonheur et leur force, et les partisans des Ahl-Beit ont été les premiers à promouvoir l'unité islamique ».Le guide suprême a insisté sur la nécessité « pour les partisans des Ahl-Beit de présenter la doctrine des Ahl-Beit dans un style nouveau et contemporain aussi bien aux musulmans, qu’au non musulmans ».

souce Al Manar

Dawûd
 
C EST BIZZARE QUE L IRAN des ahl albeit participe à diviser1 pays musulman(le maroc)

C EST BIZZARE QUE L IRAN QUI SE PRETEND PORTER LE DRAPEAU DES AHL ALBEIT PARTICIPE A UN CONGRE QUI VISE A DIVISER UN PAYS ISLAMIQUE C EST A DIRE LA MAROC
EN EFFET LE PRESIDENT AHMADI NAJAD A ENVOYE A ABOUJA AU NIJERIA SA CONSULTANTE PERSONNELLE " MARIAM MOUJTAHID ZAD" POUR PARTICIPER AU CONGRE CONSACRE A L AIDE DES FEMMES DU POLISARIO LE GROUPE QUI DEMANDE DE DIVISER LE MAROC EN CREANT UN PAYS AUTONE SUR LE SUD DU PAYS.

EST CE QUE C EST CELA LE SHIISME,?
C EST CELA LES PRINCIPES DE L IMAM ALI IBN ABI TALEB ,,?
qu elle sache qu avec ce genre d actions l iran contribue à diminuer le nombre des shias et non les augmenter
et qu elle se place comme ennemis des descendants du prophete dont depend le shara marocain depuis des siecles

VISITEZ CE LIEN POUR LES DOCUMENTS EN ARABE

http://ahlalbeit12.blogspot.com/2011/09/blog-post_988.html

le lien en arabe
http://www.spsrasd.info/ar/content/مشاركتنا-في-ندوة-أبوجا-رسالة-تحية-و-تقدير-من-الجزائر-لكفاح-المرأة-الصحراوية-محرز-العماري
 
la reponse en arabe à l action de l iran

مث سهفث يث م ق
C EST BIZZARE QUE L IRAN QUI SE PRETEND PORTER LE DRAPEAU DES AHL ALBEIT PARTICIPE A UN CONGRE QUI VISE A DIVISER UN PAYS ISLAMIQUE C EST A DIRE LA MAROC
EN EFFET LE PRESIDENT AHMADI NAJAD A ENVOYE A ABOUJA AU NIJERIA SA CONSULTANTE PERSONNELLE " MARIAM MOUJTAHID ZAD" POUR PARTICIPER AU CONGRE CONSACRE A L AIDE DES FEMMES DU POLISARIO LE GROUPE QUI DEMANDE DE DIVISER LE MAROC EN CREANT UN PAYS AUTONE SUR LE SUD DU PAYS.

EST CE QUE C EST CELA LE SHIISME,?
C EST CELA LES PRINCIPES DE L IMAM ALI IBN ABI TALEB ,,?
qu elle sache qu avec ce genre d actions l iran contribue à diminuer le nombre des shias et non les augmenter
et qu elle se place comme ennemis des descendants du prophete dont depend le shara marocain depuis des siecles

le lien en arabe
http://www.spsrasd.info/ar/content/مشاركتنا-في-ندوة-أبوجا-رسالة-تحية-و-تقدير-من-الجزائر-لكفاح-المرأة-الصحراوية-محرز-العماري

la reponse en arabe à l action de l iran

http://ahlalbeit12.blogspot.com/2011/09/blog-post_988.html
 
Maroc - Iran. Rien ne va plus

(AFP)


à la stupéfaction générale, le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec l’Iran… sans donner d’explication crédible. TelQuel a cherché à en savoir plus.
Rupture des relations diplomatiques !! “Aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais vu ça”, affirme ce diplomate marocain chevronné. Il est déjà arrivé au royaume de rappeler l’un ou l’autre de ses ambassadeurs “pour consultation”, quand la tension avec le pays où il était en poste devenait trop vive (cas de l’Espagne, suite à la visite du roi Juan Carlos à Sebta et Melilia).


Il est aussi arrivé que des ambassades marocaines soient “délocalisées” pour signifier le mécontentement du royaume à l’égard d’un pays aux positions jugées hostiles (en janvier dernier, par exemple, l’ambassade marocaine à Caracas avait été réinstallée en République dominicaine, après que le président vénézuélien Hugo Chavez a décidé d’accréditer un ambassadeur auprès de la “République sahraouie”). Mais aller jusqu’à rompre officiellement les relations diplomatiques, c’est-à-dire mettre fin à toute forme de relation d’Etat à Etat (qu’elle soit politique, économique, culturelle ou même sportive !)… c’est proprement stupéfiant. Comme dit notre diplomate, “ce sont des choses qui ne se font plus depuis bien longtemps. On s’arrange toujours pour garder un contact minimum, histoire de ne pas insulter l’avenir”. C’est pourtant cette forme de protestation extrême qui a été décidée par le Maroc à l’encontre de l’Iran, le 6 mars dernier. Que diable s’est-il passé ?

L’inexplicable escalade
Tout est parti, mi-février, d’une déclaration de l’ancien président du parlement iranien, Ali Akbar Nateq-Nouri, qualifiant le royaume de Bahreïn de “14ème province iranienne”. Un différend strictement bilatéral entre deux lointains pays du Golfe. A priori, le Maroc n’est concerné que dans la mesure où il est tenu à une certaine solidarité avec les pays arabes “menacés”. Dans cette logique, et à l’instar de plusieurs chefs d’Etat, dont ceux d’Arabie Saoudite, des Emirats arabes unis et d’Egypte, Mohammed VI marque sa solidarité avec la minuscule pétromonarchie, en envoyant une lettre de soutien au souverain de Bahreïn, le cheikh Hamad Ibn Issa Al Khalifa, un familier du Maroc (il y vient régulièrement chasser au faucon).

Le 20 février, mécontent du “ton” de la lettre du souverain marocain, le ministre des Affaires étrangères iranien, Manouchehr Mouttaki, fait convoquer, “pour explications”, le chargé d’affaires marocain à Téhéran. Depuis que l’ancien ambassadeur du Maroc en Iran, Mohamed Louafa, a été nommé au Brésil, en janvier dernier, c’est en effet un certain Mohamed Boudrif, fonctionnaire de moyenne envergure, qui représente le Maroc à Téhéran… par intérim. Boudrif, n’ayant pas rang d’ambassadeur, il n’est pas reçu par Mouttaki en personne, mais par un fonctionnaire du ministère des AE iranien. Assez étrangement, vu leur connaissance des usages protocolaires, les Marocains décident de considérer cela comme une “offense”. Encore plus “offensant” au yeux de Rabat : pourquoi le représentant du Maroc a-t-il été le seul à être convoqué parmi les représentants de tous les pays qui s’étaient solidarisés avec Bahreïn ?

Le 25 janvier, pour marquer l’irritation du Maroc, le ministre des Affaires étrangères, Taïeb Fassi-Fihri, agit sur plusieurs fronts simultanés : tout en convoquant l’ambassadeur iranien au Maroc, Wahid Ahmadi (“pour explications”, lui aussi), Fassi-Fihri rappelle Boudrif “pour consultation” à Rabat, et envoie à Téhéran un message officiel demandant au gouvernement iranien une “explication” (encore !) pour la convocation de Boudrif, jugée “inamicale”. Cerise sur le gâteau : le Maroc fixe à l’Iran un délai d’une semaine pour donner suite à sa demande. Irrités par la réaction marocaine, les Iraniens se contentent de faire dire par leur ambassadeur à Rabat que les réponses orales de ce dernier sont suffisantes. A ce stade, la tension est certes vive, et chaque camp a des arguments relativement sensés à faire valoir. La situation aurait pu en rester là et le temps, ainsi que la diplomatie, auraient certainement contribué à aplanir les choses… Mais le délai fixé par le Maroc était bien ce qu’il semblait être : un ultimatum. Ayant expiré le jeudi 5 mars, et faute de réponse officielle de Téhéran, le Maroc décide unilatéralement dès le lendemain, à la stupéfaction générale du corps diplomatique accrédité à Rabat, de rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran !

“Hogra” et “prosélytisme chiite”
La décision extraordinaire du royaume était-elle une manifestation poussée (mais très poussée, alors), de soutien à Bahreïn ? Même pas ! C’est qu’entre-temps, Bahreïn et l’Iran s’étaient rabibochés, les chefs des deux Etats ayant même échangé des “lettres d’amitié” réciproques pour mieux enterrer leur “regrettable différend passager” ! Et le Maroc, dans tout ça ? “Bien que l’élément déclencheur de cette crise ait été notre soutien à Bahreïn, c’est devenu une affaire entre le Maroc et l’Iran”, a précisé un haut diplomate marocain. “Une affaire”, mais encore ? Explication : “Nous avons ressenti du mépris de la part des Iraniens. Du mépris dans la réponse de l’agence de presse iranienne à la lettre royale de soutien à Bahreïn, du mépris dans la convocation de notre chargé d’affaires à Téhéran, et du mépris dans l’absence d’explication de la part des autorités iraniennes, qui sont allées jusqu’à feindre l’étonnement”, poursuit la même source.

Bref, si nous avons rompu nos relations avec l’Iran, c’est à la suite d’une… blessure d’orgueil. C’est tout ?! Pour des diplomates, c’est, pour le moins, stupéfiant de légèreté… Mais il y a autre chose, et c’est plus surprenant encore : la décision marocaine était aussi la conséquence de “l’ingérence de la représentation diplomatique iranienne à Rabat dans les affaires intérieures du Maroc”. L’ambassadeur Ahmadi et son équipe seraient coupables de prosélytisme chiite au Maroc – ce qui, selon notre source, “met en danger l’unicité du rite sunnite et malékite qui est le pilier spirituel de notre royaume”. “Depuis 2004, surenchérit un diplomate marocain de haut rang, on constate un important activisme iranien au Maroc pour encourager les conversions au chiisme, à travers des publications et des manifestations culturelles”.

Le Maroc étant officiellement sunnite, on peut comprendre, à la rigueur, que ce soit officiellement considéré comme un problème. Mais quelle est son ampleur, exactement ? Malgré les questions pressantes de TelQuel, aucun diplomate n’a été en mesure de nous fournir le moindre chiffre, la moindre statistique. D’après Abdellah Rami, spécialiste des mouvements islamistes au Maroc, “la présence chiite au Maroc est plutôt marginale. Quelques groupes sont implantés dans les grandes villes, notamment à Tanger et Meknès. Mais il ne s’agit nullement d’un courant structuré et organisé”. Du reste, comme l’explique Issam Hmeidan, avocat à Tanger et disciple de l’ayatollah libanais Hussein Fadlallah, “le chiisme n’est pas une appartenance politique ou partisane, mais une filiation religieuse et spirituelle. Il serait absurde de la lier globalement et intrinsèquement à l’Iran”. C’est entendu : l’explication du “prosélytisme chiite de l’ambassade iranienne” est aussi peu convaincante que celle de “l’honneur froissé” de la diplomatie marocaine.

Et si ce n’était que de l’amateurisme ?
Mais alors, quelle mouche a piqué les Marocains pour en arriver à une telle extrémité avec l’Iran, un pays à l’importance géostratégique non négligeable ? On peut avancer l’hypothèse qu’en agissant ainsi, le Maroc cherche à se positionner comme un membre de l’axe anti-iranien qui est en train de se constituer au Moyen-Orient. Quelques indices permettent d’étayer cette hypothèse. D’abord, pourquoi Mohamed Louafa, contrairement à tous les ambassadeurs mutés en janvier dernier, n’avait-il pas été remplacé, laissant la représentation marocaine à Téhéran sous la coupe de seconds couteaux ? Ensuite, comme le remarque le chercheur Abdellah Rami, “peu de gens l’avaient relevé à l’époque, mais rétrospectivement, on peut s’étonner du fait que le Maroc ait participé, en novembre 2008, à une réunion à Charm El Cheikh aux côtés du front sunnite formé par l’Egypte, l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis et la Jordanie, pour exprimer une inquiétude collective face à la menace iranienne”.

L’attitude anti-iranienne du Maroc était-elle préméditée ? Peut-être bien… Mais qu’avons-nous, au juste, à y gagner ? Si l’Amérique était encore sous la coupe des néo-conservateurs, hostiles par principe à l’Iran, la politique marocaine aurait pu être comprise comme un alignement sur Washington. Mais depuis que l’Amérique s’est donnée à Barack Obama, un homme qui a fait des “négociations sans pré-conditions avec l’Iran” une de ses promesses majeures de campagne, cela n’a plus aucun sens.

Mais alors, pourquoi ? Qu’est-ce que le Maroc est allé faire dans cette galère anti-iranienne ? Bien malin, aujourd’hui, qui pourrait donner une réponse. A moins qu’il ne s’agisse, tout simplement, d’une affligeante manifestation d’amateurisme de notre diplomatie. Connaissant ses antécédents en la matière, cette hypothèse, hélas, n’est pas à écarter…





 

Le vendredi 6 mars 2009, le Maroc a annoncé qu´il rompait les relations diplomatiques avec l´Iran. La décision est intervenue après une escalade des tensions de plusieurs semaines entre les deux pays. Le Maroc et l´Iran s´étaient déjà opposés dans le passé au sujet de l´asile accordé par le Maroc au Shah après la Révolution islamique et le soutien de Saddam Hussein lors de la guerre Iran-Irak. La rupture des relations diplomatique représente toutefois le niveau le plus bas atteint dans les relations entre les deux pays depuis la normalisation de 1991. (1)

Un comportement non diplomatique

La crise entre le Maroc et l´Iran a dernièrement repris avec le litige opposant l´Iran et Bahreïn, qui a débuté quand un haut responsable iranien, Ali Akbar Nateq-Nouri, a qualifié Bahreïn de 14ème province iranienne. Le Maroc, à l´instar d´autres membres de la Ligue arabe, a émis une déclaration de soutien à Bahreïn. Dans une lettre à Bahreïn, le roi du Maroc Mohammed VI a qualifié les déclarations iraniennes d´"abjectes" et exprimé le soutien du Maroc à Bahreïn face aux "menaces" iraniennes.

En réaction, l´Iran a adressé de vives critiques aux Maroc, convoquant le chargé d´affaires marocain à Téhéran pour avoir des clarifications. Ce dernier aurait été reçu par un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères plutôt que par un haut responsable, ce qui a été perçu au Maroc comme une offense. (2) Ainsi, le Maroc a à son tour convoqué l´ambassadeur d´Iran au Maroc, le 24 février, lui accordant une semaine pour s´expliquer de la part des instances officielles, et le 25 février, le Maroc a rappelé son chargé d´affaires à Téhéran pour consultations. Peu avant la réponse attendue de la part de l´Iran, le Maroc a décidé de rompre les relations diplomatiques. (3)

L´Iran accusé de répandre le chiisme au Maroc ; Amr Moussa qualifie de dérangeantes les ingérences iraniennes

Aussi peu diplomatique qu´ait été le langage employé au sujet de Bahreïn, il est difficile de comprendre qu´il ait pu susciter une crise d´une telle envergure entre l´Iran et le Maroc, vu que Bahreïn ainsi que d´autres pays arabes ont accepté les explications iraniennes et consenti à clore le sujet.

Et de fait, le Maroc a fourni une autre explication à la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays, ajoutant à la question de Bahreïn les tentatives iraniennes visant à propager le chiisme au Maroc. Le Maroc a ainsi évoqué "l´activisme avéré des autorités du pays, et notamment de ses représentants à Rabat, qui cherchent à miner les fondements religieux du Royaume, d´altérer les fondations religieuses du Maroc et de l´identité ancestrale du peuple du Maroc et de désunir les musulmans de rite sunnite malikite au Maroc, dont le roi Mohammed VI est garant, en tant que commandant des croyants." (4) (L´école malikite est l´une des quatre écoles de jurisprudence musulmane sunnite et l´école dominante en Afrique du Nord).

Les renseignements marocains avaient dernièrement indiqué que des diplomates iraniens oeuvraient à la propagation du chiisme en Afrique du Nord, et des responsables de la sécurité marocains avaient mis en garde leurs homologues nord-africains lors d´une réunion dans la capitale mauritanienne de Nouakchott. Le ministre marocain des Affaires étrangères Taieb Fassi-Fihri avait également attiré l´attention sur "certaines activités tenues au Maroc par la République islamique d´Iran susceptibles de nuire à l´unité du sunnisme malikite au Royaume du Maroc." (5)

Dans une déclaration à l´AFP, il a ajouté que le Maroc n´était pas le seul pays affecté par le prosélytisme chiite, que d´autres pays musulmans étaient également touchés, en Afrique sub-saharienne et en Europe. (6) Une source anonyme, présentée comme un responsable de haut niveau, a déclaré au quotidien islamiste Al-Tajdid que le Corps diplomatique iranien au Maroc avait entrepris de promouvoir le chiisme en 2004 en approchant des individus, créant des centres culturels et distribuant des brochures. (7)

Mohammed Darif, professeur marocain de sciences politiques et spécialiste des groupes islamistes, a souligné que les chiites marocains avaient d´abord œuvré dans la discrétion, mais que leurs activités se faisaient de plus en plus au grand jour. Les chiites ont créé des organisations comme Anwar Al-Muwadda à Tanger et Al-Liqa Al-Insani à Oujda, ainsi qu´un journal, seulement pour voir leurs initiatives contrecarrées par le gouvernement marocain.

Un autre professeur marocain de sciences politiques, Mohammed Lamrani Boukhobza, considère le problème chiite comme la principale raison de la rupture des relations diplomatiques. Boukhobza note que le chiisme a fait des émules en grande partie grâce à l´attrait politique exercé par le Hezbollah et le régime iranien. Il précise que la conversion au chiisme est particulièrement répandue parmi les Marocains installés en Europe, notant qu´un événement intervenu à Bruxelles il y a deux ans a attiré 10 000 chiites marocains (faisant apparemment allusion à une manifestation organisée lors de la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah). (8) Le quotidien Al-Quds Al-Arabi cite des "rapports américains" selon lesquels des milliers de Marocains des deux côtés de la Méditerranée ont embrassé le chiisme. (9)

Face à la décision du Maroc de rompre les relations diplomatiques avec l´Iran, le Secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa s´est déclaré "profondément dérangé" par l´ingérence iranienne dans les affaires arabes, précisant que la Ligue arabe "défendrait les intérêts arabes de l´Océan [atlantique] au golfe [Persique]." (10)

Des auteurs proches de la monarchie se sont fait l´écho des ce mécontentement officiel. Le 10 mars 2009, Khalil Hachimi Idrissi écrivait dans un éditorial d’Aujourd´hui le Maroc que les agissements de l´Iran constituaient une agression de la souveraineté spirituelle et religieuse du pays et que le prosélytisme chiite faisait actuellement preuve d´arrogance, à l´encontre notamment des nations sunnites. Il estimait que contrer cette vague de prosélytisme constituerait un acte de légitime défense, doutant toutefois que ce fût encore possible. Dans d´autres pays, comme ceux du Golfe "Persique", il est déjà trop tard, estimait-il. D´après lui, le Maroc se doit, en tant que garant de la foi des croyants, de mobiliser toutes ses ressources spirituelles pour repousser, de la façon la plus loyale et la plus honnête possible, cette déstabilisante hégémonie chiite. (11)

La réaction iranienne

Dans un entretien du 15 mars accordé au journal en ligne elaph.com, l´ambassadeur iranien au Maroc (expulsé), Vahid Ahmadi, a démenti tout prosélytisme chiite iranien au Maroc ou ailleurs. Il a qualifié les accusations des autorités marocaines de "démunies de tout fondement", précisant que la Révolution iranienne ne pouvait être exportée comme un produit. (12)

La réaction iranienne officielle accuse le Maroc de défaire l´unité islamique et de nuire à la cause palestinienne, vu que la décision de rompre les relations diplomatiques est intervenue alors même que l´Iran accueillait une conférence de soutien aux Palestiniens de Gaza.

Le ministre marocain des Affaires étrangères a répliqué qu´en mettant en avant le problème palestinien, l´Iran tentait de fuir ses responsabilités face à un problème "purement bilatéral". (13) Quelques jours plus tard, le ministre marocain des Affaires étrangère Fassi-Fihri soulignait que le Maroc n´avait à recevoir de leçons de personne en ce qui concerne la défense de l´islam et de la Palestine. (14)

Des accusations iraniennes plus explicites contre le Maroc ont été formulées dans un article mis en ligne sur le site de la télévision Al-Alam, chaîne iranienne en arabe : "Cet esprit anti-chiite sectaire demeure le moteur de base de la mentalité politique des décisionnaires dans plus d´un pays arabe, et le Maroc n´est pas une exception." L´article précise que le Maroc avait collaboré avec des terroristes à l´assassinat de chiites. (15)

Guerre froide irano-arabe ? ; Abdel Rahman Al-Rashed : "C´est la délégation diplomatique iranienne de Rabat qui était impliquée dans ce que le Maroc qualifie d´activités contraires aux normes diplomatiques."

Bien que le Maroc ait rejeté les accusations iraniennes faisant état d´objectifs stratégiques arabes à long terme, certains observateurs arabes ont en effet placé l´épisode dans le cadre d´une guerre froide irano-arabe. Ainsi Abdel Rahman Al-Rashed, directeur général de la télévision Al-Arabiya et ancien rédacteur en chef du quotidien saoudien édité à Londres Al-Sharq Al-Awsat, écrit : "La distance qui sépare Téhéran de Rabat est de pas moins que 5200 km. La capitale du Maroc est le point du monde arabe le plus éloigné de l´Iran sur la carte. Et pourtant, le Maroc se plaint d´une ingérence iranienne. Comment ce pays aux moyens limités [l´Iran] peut-il se propager dans toutes les directions, sans limite de distance ? S´agit-il de calomnier l´Iran, où les Iraniens ont-il un plan qu´aucune force ni distance ne peut arrêter ?"

Al-Rashed note que le Maroc ne semblait pas prédisposé au conflit avec l´Iran : il a participé au sommet d´urgence de Doha pendant la Guerre de Gaza, sommet aligné sur l´axe Iran-Syrie-Qatar. (16) Il s´interroge donc : "Qu´est-ce qui a bien pu pousser un pays ouvert, connu pour défendre les libertés intellectuelles, se fâcher au point de rompre les relations diplomatiques, en réaction à des activités d´ordre religieux et intellectuel ? La raison est que c´est la délégation diplomatique iranienne à Rabat qui était impliquée dans ce que le Maroc qualifie d´activités contraires aux normes diplomatiques."

"On ne peut accuser le Maroc de participer à la propagande politique anti-iranienne ni de tenter d´effrayer les sunnites face à l´expansion chiite, vu que le Maroc a mené une grande campagne contre le mouvement salafiste extrémiste sunnite (…) La différence est que l´extrémisme salafiste est le fait d´individus ou de groupes non-gouvernementaux, tandis que l´infiltration chiite est le fait de l´establishment iranien officiel, comme le soulignent les Marocains. Ils avaient déjà arrêté une cellule [terroriste] marocaine qui aurait été entraînée par le Hezbollah au Sud Liban (…)" (17)

"Je pense que l´Iran a décidé d´entreprendre de combattre activement ce qu´il considère comme l´establishment religieux officiel traditionnel des pays arabes en général, et des pays qu´il considère comme ses adversaires politiques en particulier (…) Les groupes iraniens ou affiliés à l"Iran sont actifs en Europe, en Afrique, en Australie, où ils expriment un message politico-religieux à la gloire de l´Iran, présenté comme le leader du monde islamique. Tous les moyens sont mis en oeuvre pour faire pénétrer ce message dans le cœur des sociétés arabes, que l´Iran s´est mis à considérer comme un ancrage stratégique. C´est un plan plus politique que religieux, qui révèle bien la mégalomanie apparente aussi dans les discours des dirigeants de Téhéran (…)" (18)



[1] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 7 mars 2009.
[2] www.elaph.com, 8 mars 2009.
[3] Al-Tajdid (Maroc), 12 mars 2009.
[4] Aujourd´hui le Maroc (Maroc), 10 mars 2009.
[5] www.elaph.com, 8 mars 2009.< /o:p>
[6] www.alarabiya.net, 16 mars 2009.
[7] Al-Tajdid (Maroc), 12 mars 2009.
[8] www.alarabiya.net, 9 mars 2009.
[9] Al-Quds Al-´Arabi (Londres), 11 mars 2009.
[10] Al-Quds Al-´Arabi (Londres), 11 mars 2009.
[11] Aujourd´hui le Maroc (Maroc), 10 mars 2009.
[12] www.elaph.com, 15 mars 200 9.
[13] www.elaph.com, 12 mars 200 9.
[14] Al-Quds Al-´Arabi (Londres), 13 mars 2009.
[15] www.elaph.com, 8 mars 2009.
[16] Voir MEMRI Inquiry and Analysis No. 492, "An Escalating Regional Cold War - Part I : The 2009 Gaza War," 2 février 2009,
[17] Allusion à la cellule Belliraj. Voir, 21 février 2008.
[18] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), 18 mars 2009

 
Rien ne va plus entre le Maroc et l’Iran.
Lors de la conférence de suivi du traité de non-prolifération nucléaire (TNP) qui débutait lundi 3 mai 2010 au siège de l’ONU, le Maroc a boudé l’intervention du président Mahmoud Ahmadinejad.
La délégation marocaine s’est retirée de la salle de conférence lors de l’intervention iranienne, emboîtant le pas, entre autres, aux Américains et aux Français
.
Le Maroc, qui a déjà rompu ses relations diplomatiques avec la République islamique, a été le seul pays arabe et musulman à réagir de la sorte.
Pour le Maroc, les iraniens financent et arment des groupuscules terroristes locaux hostiles au pouvoir.
L’Iran s’en est pris violemment aux pays dotés de l’arme nucléaire, notamment les Etats-Unis, les accusant de menacer le monde de ces armes, au premier jour de la conférence de suivi du traité de non-prolifération (TNP) à l’ONU. Pendant son intervention dans l’amphithéâtre de l’Assemblée générale de l’ONU, de nombreuses délégations ont quitté la salle, dont les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la Finlande, la République tchèque et le Maroc.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad etait l’un des seuls chefs d’Etat à assister à la conférence de suivi du Traité de non-prolifération (TNP) à New York, après avoir déposé une demande de visa que les Etats-Unis a accepté.
Plus de 30 ministres des Affaires étrangères, dont la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, ont participé à l’ouverture de la conférence de suivi, un événement qui a lieu tous les cinq ans. M. Ahmadinejad a cherché à braquer les projecteurs sur son ennemi juré Israël, mais surprise ; le discours du président iranien a été boycotté à l’ONU. Plusieurs délégations, ont quitté la salle lorsqu’il est arrivé à la tribune, à l’ouverture de la conférence de suivi du traité de non-prolifération (TNP) à l’ONU.
Le geste du Maroc est très symbolique. Il prouve que le problème iranien, qui au cœur d’un problème géostratégique mondial, préoccupe aussi Rabat qui oeuvre avec la communauté internationale pour empêcher le plan des iraniens qui aspirent à créer un bloc islamo-dominant doté de l’arme nucléaire. Le régime des mollahs qui a l’habitude de blâmer les États-Unis et Israël pour tout et les histoires ridicules qu’il fabrique, doit aujourd’hui faire face à une hostilité arabe grandissante menée courageusement par le Royaume chérifien.
Ftouh Souhail, Tunis

sic!!!
 
Le Maroc, pays arabo-musulman, devait normalement - s'il avait le droit à l'autodétermination - avoir un drapeau symbolisant ses valeurs fondateurs, tel un drapeau vert portant un croissant blanc.
La couleur rouge du drapeau Alaouite n'est pas - contrairement à ce que certains croient - une représentation du "sang versé par les Marocains", mais un symbole marquant le caractère sanguinaires des alaouite!

Il y avait eu auparavant des drapeaux représentatifs des dynasties au pouvoir. Elles ont toutes eu un drapeau blanc comme emblème sauf la dernière dynastie, des "Alaouites", à laquelle Lyautey a confectionné le "drapeau" actuel pour symboliser les valeurs juives du makhzen coloniale et monarchique .

A l'origine le drapeau actuel des alaouites était frappé d'une étoile juive à six branches. Mais à partir de 1948, année de la création de l'Etat bandit et criminel d'Israël, et pour le distinguer du drapeau israélien, une étoile à cinq branches a remplacé l'étoile de David. L'étoile à cinq branches, le pentagramme, ou pentacle, qui est aussi l'un des symbole du judaïsme et de la Franc-Maçonnerie juive, est selon la tradition juive, le sceau du Diable

Les couleurs du drapeau alaouite "marocain" actuel ont été officiellement choisies par Lyautey.



L'étoile de David était aussi sur les pièces de monnaies alaouites.


L'hymne "national" alaouite du Maroc fut également composé sur instigation de Lyautey. Les paroles n'en ont y été ajouté qu au début du règne de Hassan II.

Lyautey qui était monarchiste a voulu re-créer au Maroc ce que la république a aboli et ne le permettait plus en France.

Et voilà les symboles du makhzen au Maroc créé de toute pièce par les occupants.


Les Alaouites - qui se disent "chérifs" - dans leur conquête du pouvoir s'étaient alliés avec le juif Ibn Machâal, "Roi" Juif de Taza. Ce dernier avaient négocie avec les Branes pour une allégeance "baiâa" aux Alaouites et la Capitale fut alors Taza.

La bannière rouge des Branes fut choisie plus tard par Lyautey pour devenir le symbole de l armée alaouite qui conquit Fès. La bannière rouge trouva ainsi un recyclage dans l'usage militaire. Lyautey le réaliste et le "rationnel" commandita une étude sur la Confédération des Branes au point qu'il avait voulu en 1912 créer un "Berbèristan" avec comme capital Taza (Voir C.A Julien le Maroc face aux Impérialistes, qui donne d' amples informations à ce sujet).



 
Robert Assaraf - le leader autoproclamé des juifs encore vivant au Maroc - a déclaré dans une interview publié dans la revue Emarrakech "Grâce à Hassan II, l'acceptation de l'idée d'Israël fut possible. J'ai pu accompagner le grand rabbin d'Israël, chef du monde Sépharade qui a fait la demande dès son élection pour aller bénir le roi du Maroc et ce vœu fut exaucé. Le roi Mohamed VI l'a reçu dans son palais de Tanger pour le bénir lui, le prince Moulay Rachid et le prince Moulay Hassan. Quand Hassan II est mort, on a fait des sondages qui ont montré qu'il était le chef d'état dans le monde qui a eu la meilleure note de l'opinion Israélienne avant même le président des Etats Unis!"

 
[video=youtube;xTF06s-NJdI]http://www.youtube.com/watch?v=xTF06s-NJdI&amp;feature=related[/video]
 
Trop fort!!!!!

salam mon frere tourab,


Enfin des infos sans complaisances sans chauvinisme mashallah!!!!! Qu Allah vous garde mon frere!!!
 
Salamoun'alaykom

Certain messages sont supprimés pour le motif suivant: Hors sujet


La modération
 

Je rappelle les membres du forum que toute information apportée doit être suivie de sa source.

 
C EST BIZZARE QUE L IRAN QUI SE PRETEND PORTER LE DRAPEAU DES AHL ALBEIT PARTICIPE A [...]DIVISER UN PAYS ISLAMIQUE C EST A DIRE LA MAROC [....]
EST CE QUE C EST CELA LE SHIISME,?
C EST CELA LES PRINCIPES DE L IMAM ALI IBN ABI TALEB ,,?
[...] l iran contribue à diminuer le nombre des shias et non les augmenter et qu elle se place comme ennemis des descendants du prophete dont depend le shara marocain depuis des siecles

Assalam Acharif.idrissi;
Je pense que votre nationalisme chauvin vous fait confondre les bougies avec les phares, car en effet, la vérité n'a rien à voir avec la triste réalité de la monarchie marocaine, malgré toute la sympathie que l'on pourrait avoir pour Mohamed VI.
En effet, le roi est confronté à un problème épineux que lui a légué son père, qui l'a usé jusqu'à l'os, pour tenter de rallier les marocains autour du trône au nom du principe sacro saint de "la patrie en danger" pour son intégrité territoriale, les ennemis venant systématiquement de " l'étranger", hier ce fut l'Algérie, avec la guerre des sables en 1963, ce qui l'a éloignée d'un Ben Bella, que Hassan II, a mis lui-même au pouvoir, en lui prêtant ses chars pour juguler avec l'aide de Boumédienne, le "moudjahid" en réserve de la Révolution, dans les casemates de Tunisie et du Maroc, les combattants de l'ALN, et le gouvernement du GPRA, pour confisquer la Révolution, ensuite, avec la Mauritanie, de Mokhtar Ould Dadah, qu'ils ont tenté d'annexer, comme "partie intégrante du Maroc", avant que la France ne fronce des sourcils, pour signifier à Hassan II, qu'il devrait plutôt se préoccuper de "faire le bonheur de ses sujets, marocains et de ses Rifains, abandonnés à l'influence du caudillo Franco... et laisser les compagnies minières françaises exploiter sagement les mines mauritaniennes... en contre partie de quelque aide à "Sa Majesté" pour le consolider sur son trône.

Ensuite, en 1975, lorsque l'Espagne s'est retirée du Sahara occidental, Hassan II, s'est soudain souvenu que ces territoires, "étaient territoires marocains dans le temps jadis", ce qu'il avait oublié malheureusement, quand "son ami Franco" les combattait et les exterminait avec ses "légionnaires".
Ceci dit, j'avais personnellement soutenu la "marche verte", car après tout, le peuple frère marocain était mobilisé, et la moindre des choses était pour le Maghrébin que je suis, de supporter toute idée d'UNIFICATION des peuples maghrébins.

Malheureusement, la politique et l'identité maghrébine ainsi que les "intérêts stratégiques et politiques" ne sont pas toujours en harmonie, surtout que les avidités pour le plus grand gisement de fer du monde à ciel ouvert, à Gara Djebilet, allait susciter les convoitises des capitalistes euro-américains, par "maghrébins" interposés.

Aussi, alors que nous projetions d'exploiter en commun le gisement, sis en territoire algérien, près de Tindouf, les "alliés euro-américains d'opportunité" de Hassan II, allaient lui ordonner de fermer l'accès vers la mer aux Algériens, alors socialistes", et qui venaient de "nationaliser les pétroles français!" du Sahara algérien, pour obliger les Algériens à exporter leur minerais vers le nord algérien sur plus de 2000 Km, avant de le traiter au Complexe de l'Ouest, près de Mostaganem, au lieu de 400 Km, vers Dakhla, sur l'Océan atlantique, rendant l'exploitation onéreuse et obligeant à des investissements impossibles pour les Algériens, qui avaient pourtant offert aux marocains une transformation commune, et des premières transformation à Casablanca et dans le Nador, avant les transformations finales pour les produits plats à Mostaganem, en Algérie.
J'en témoigne puisque j'étais l'un de ces décideurs et négociateurs et algériens avec les Marocains, dont quelques réunions furent présidées par Hassan II, lui-même à qui nous avions présenté nos propositions, qu'il encourageait avant de subitement, faire volte-face sur injonction de Giscard d'Estaing, et se voir opposer par Boumédienne, la réponse adéquate mais si peu diplomatique et si peu fraternelle, de "reconnaissance de la République sahraouie", ce qui m'avait particulièrement désolé et navré alors, ingénieur naïf que j'étais alors.

Il me semble que le même scénario se reproduit de nouveau avec la République islamique d'Iran, pour faire plaisir aux améro-européens, qui avaient réussi a allier les monarchies "souni" contre la naissante RIA, en s'alliant au pire de leurs ennemis, la "laïco-CIA" d'alors, Saddam Husseïn, qui avait en ma présence, alors en mars 1975, embrassé le Shah d'Iran, après que nous eussions passé près de 24 heures en négociation avec chacun eux, en marge du sommet de l'OPEP, à Alger, à tenter de réconcilier les points de vue.

Sadam avait-il pensé que l'accord arraché, l'était exclusivement avec le Shah, "gendarme US du Moyen orient", et dont il voulait prendre la place, pendant que les US considéraient le guide le la "Révolution", un grain de sable imprévu dans leur Plan d'un Moyen Orient en paix avec Israël, et surtout, un moyen orient soumis aux chouyoukhs "gardiens de l'OR NOIR US", rémunérés en "royalties" : (dort et somnole, pendant que j'exploite le pétrole, et je te payerai en monnaie de singe).

Hélas, mille fois hélas, le scénario se reproduit, au moment où les musulmans ont le plus besoin de s'unir contre leurs prédateurs, qui ont déclenché contre eux depuis le 11 09 2001, la "guerre croisade contre l'Islam", pour les dépouiller de revenus propres à les développer !

Les situations se ressemblent, et derrière le conflit, il y a la Palestine et Israël.

Maroc, le partenaire discret d’Israël
Si WikiLeaks a confirmé que Rabat et Tel-Aviv s’accordaient sur bien des sujets diplomatiques, c’est dans le business que leur coopération est la plus méconnue.

«On est pour le maximum d'échanges». Telle était la réponse du directeur commercial du port Tanger Med à la question du commerce avec Israël, dans les colonnes du Figaro, qui titrait en juillet 2008: «Le Maroc veut être un pays modèle pour l’UPM (Union pour la Méditerranée)». Un point de vue qui demeure tabou pour l'opinion publique, mais les diplomates et les chefs d'entreprises marocains conviennent, en privé, que les routes commerciales avec Israël existent et se développent à grands pas.

Sous l’œil bienveillant de Washington

Dans une missive adressée en 2009 au roi Mohammed VI, Barack Obama écrivait:

«J’espère que le Maroc va jouer un rôle important dans le rapprochement entre le monde arabe et Israël, tout en sachant que cela entraînera une paix stable et une solution au conflit au Moyen-Orient»
.

Une lettre qui intervenait au moment où le Maroc était considéré par Washington comme le pays du Maghreb le moins hostile à l’État hébreu. La situation est d’autant plus remarquable aujourd’hui avec les révolutions arabes: la difficile transition politique en Égypte, le chaos en Syrie et la rupture de Tel-Aviv avec Ankara soulignent encore davantage l’isolement diplomatique de l’État hébreu dans la région.

Le Maroc, qui est vu comme un modèle aux yeux de l’Occident joue aussi cette carte, malgré la défiance de son opinion publique vis-à-vis d’Israël —surtout qu’il a par ailleurs rompu avec fracas ses relations diplomatiques avec l’Iran.

Dans un câble diplomatique révélé par WikiLeaks datant du 9 juin 2009, l’ambassade américaine à Rabat voit d’un bon œil le retour à la normale entre le Maroc et Israël, après les contacts que les deux pays ont eu dans la capitale chérifienne, entre le 3 et 5 juin 2009, à l’occasion de la tenue d’une rencontre sur le terrorisme nucléaire. «Des contacts qui ont permis aux responsables des deux pays de prendre langue après une période de froid suite à la guerre israélienne contre Gaza».


Maroc, le partenaire discret d’Israël
Des liens diplomatiques ininterrompus

Malgré la fermeture, en octobre 2000, du bureau de liaison d’Israël à Rabat et le départ de Gadi Golan, son diplomate qui avait rang d’ambassadeur, les contacts entre les deux pays n’ont jamais vraiment cessé. En 2003, Silvan Shalom, alors chef de la diplomatie israélienne était reçu par Mohammed VI. En décembre 2008, le directeur général du ministère des Affaires étrangères, Aharon Abramovitz, s'est rendu quasi officiellement à Rabat.

En septembre 2009, une radio israélienne rapportait que le ministre des Affaires étrangères israélien, Avigdor Liebermann, avait rencontré en catimini à New York son homologue marocain, Taïeb Fassi-Fihri, en marge de l’assemblée générale des Nations unies. La participation d’une délégation israélienne, conviée la même année à un congrès international à Marrakech, confirmait un mouvement perceptible de décrispation avec Tel-Aviv, malgré le coup de froid né de l’offensive de Tsahal sur Gaza quelques mois auparavant.

Le chassé-croisé diplomatique s’est d’ailleurs intensifié: Jason Isaacson, le directeur du Comité juif américain d’affaires gouvernementales et internationales, et fervent défenseur de la cause sioniste, a été décoré de la médaille de Chevalier du Trône du Royaume du Maroc.

«Par la réforme et la réconciliation politiques, par sa position ferme contre l’extrémisme, par sa protection continue des minorités religieuses, le Maroc a prouvé à maintes reprises son amitié, sa force, ses principes», avait déclaré Isaacson lors de la cérémonie, dont les médias officiels marocains ont pourtant opportunément tu l’événement, l’opinion marocaine étant à l’écrasante majorité défavorable à tout rapprochement avec Israël —en témoigne encore récemment la polémique suscitée par la visite de Tzipi Livni à Tanger.

Dans un câble diplomatique américain de l'ambassade américaine à Rabat révélé par WikiLeaks, Yassine Mansouri, le chef du contre-espionnage marocain, avait pour sa part confié à des diplomates américains que «Tzipi Livni est un bon partenaire»…

L’épisode Livni ou la visite chaotique des étudiants de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) avaient suscité une véritable levée de boucliers au Maroc, faisant dire à Mamfakinch, le média citoyen du Mouvement du 20 février qu’au Maroc, «il vaut mieux militer pour Israël que pour la démocratie ou la Palestine».

Le réchauffement avec l’État hébreu s’expliquerait par l’affaire du Sahara, la position marocaine étant soutenue par des politiques américains proches du puissant Aipac (American Israel Public Affairs Comittee) et par des firmes de lobbying diplomatique basées à Washington, qui entretiennent des relations similaires avec Tel-Aviv et dont les ramifications se croisent avec des intérêts économiques communs.


Suite de l'article, plus instructif:
http://www.slateafrique.com/37555/ec...scret-d-israel
[video=youtube;IcjFaQ3MPL8]http://www.youtube.com/watch?v=IcjFaQ3MPL8&amp;feature=player_embedded#![/video]
 
les amis de m6


[video=youtube;QSsg--zskyM]http://www.youtube.com/watch?v=QSsg--zskyM[/video]
 
je ne dis pas que le ministère des affaires étrangères du maroc n 'a pas commis des fautes
mais cela ne donne aucune couverture ni islamique ni inhérente aux principes des ahl albeit de s ingérer dans les affaires intérieures du maroc
et ne donne aucun droit à un pays qui prétend lever le drapeau des ahl albeit
et de combattre l injustice c est à dire l iran ne lui donne aucun droit à participer par une délégation très élevé de l état iranien (une consultante du president iranien lui meme ahmadi najad) à une conférence organisé par des séparatistes (communistes mécréants de surcroit ) visant à diviser le maroc.ces meme séparatistes qui ont aidé le tyran kadaffi par des centaines de mercenaires à tuer le peuple libyen.
donc l iran met sa main dans celle de gens dont les mains sont salies par le crimes de sang qu'il ont ont commis en Libye
est ce que c est cela le chiisme?
c est cela les principes de l imam ali ibn abi taleb?
C EST cela défendre l islam ET LES MUSULMANS ?
c est cela défendre les idées tellement prônée par al imam jaafar assadik ?
excusez moi ; mais aider des gens qui veulent diviser un pays islamique ces injustifiable et exécrable.

le maroc s est il un seul jour ingeré dans les affaires interieures de l iran?

a t il une seul fois aidé les séparatistes kurdes en iran ou les 20 millions de sunnites en iran à créer un pays à eux?

regarder l Iran ce qu elle fait elle.le président iranien envoie à abouja au nijeria sa propre consultante dans une conférence organisé par des séparatistes visant à diviser un pays musulman
cela n est aucunement madhab ahl albeit.

ce n est pas avec ce genre de démarches que l iran contribuera à diffuser les principes des ahl albeit

bien au contraire elle aidera à soulever des question très profondes quand à sincérité du discours des dirigeants iraniens quand ils se pressentent comme victime devant l injustice mondial

alors qu elle meme se met en position de pays injustice et comme on dit en arabe "dalim"

regardez ces paroles d un responsable algérien très fier de la presence de mariem mojtahid zad la consultante du president iranien
le maroc s est il un seul jour ingeré dans les affaires interieures de l iran?

a t il une seul fois aidé les séparatistes kurdes en iran ou les 20 millions de sunnites en iran à crèer un pays à eux?

http://www.spsrasd.info/ar/content/مشاركتنا-في-ندوة-أبوجا-رسالة-تحية-و-تقدير-من-الجزائر-لكفاح-المرأة-الصحراوية-محرز-العماري
 
et je remarque que monsieur tourab parle avec tellement d'agitation et d excitation qu'il me fait penser à quelqu'un qui est attrapé par la police en état de flagrant délit et ne sait plus comment sortir de l impasse.
 
[h=3]L’Algérie et l’Iran envisageraient un accord de libre-échange[/h]août 26, 2010
Un accord de libre-échange entre l’Algérie et l’Iran dans un proche avenir ? Il en a été question dimanche à Téhéran lors d’une rencontre entre le ministre iranien du Commerce Mehdi Qazanfari et l’ambassadeur d’Algérie en Iran, M. Soufiane Mimouni. L’information rapportée par la Fars News Agency (FNA) reste imprécise et évoque un cadre plus général d’un accord de libre-échange entre l’Iran et les pays «africains musulmans».
Le ministre du Commerce iranien s’est fait par contre plus précis sur le souhait de renforcer les relations commerciales entre les deux pays. Pour Mehdi Qazanfari, l’Algérie peut être une passerelle pour un renforcement des liens économiques de l’Iran avec l’Afrique du Nord. Il a estimé que la tenue de salon d’exposition spécialisé, l’ouverture de succursales bancaires ou la création d’une banque commune permettraient de stimuler les relations économiques entre les deux pays. L’ambassadeur algérien a souligné que les relations politiques entre les deux pays étaient très bonnes et a souhaité que les liens commerciaux, faibles actuellement, puissent atteindre un niveau satisfaisant.
L’Iran, en butte à des sanctions économiques imposées par les Occidentaux, tente depuis quelques mois d’ouvrir un horizon africain à son économie. Officiellement – les dernières déclarations à ce sujet sont celles de l’ancien ministre du Commerce El Hachemi Djaaboub -, l’Algérie fait une «pause» en termes de conclusion d’accords de libre-échange. Il n’en demeure pas moins que l’Algérie, qui défend le droit des Iraniens au nucléaire pacifique, ne devrait pas, en théorie, avoir des objections de principe à la conclusion d’un tel accord de libre-échange.

Une relation libre avec l’Iran

Outre le fait que l’Algérie, contrairement à d’autres pays arabes du Golfe et le Maroc voisin, ne relaie pas la campagne occidentale anti-iranienne, il peut exister un intérêt économique évident entre l’Algérie et l’Iran. L’Iran, par exemple, qui dispose d’une des plus grandes réserves de gaz au monde, éprouve des difficultés à les exploiter. L’expérience et l’expertise de Sonatrach dans le domaine gazier pourraient être un atout. Il n’en demeure pas moins que la conclusion d’un accord de libre-échange entre Alger et Téhéran ne serait guère appréciée par les puissances occidentales qui tentent d’isoler l’Iran… Mais les relations, bonnes, entre Alger et Téhéran, peuvent aussi servir à lancer d’éventuelles médiations. Les sanctions occidentales ont bien sûr de l’effet sur l’économie iranienne, mais elles n’ont pas d’effets décisifs. Dans les faits, les relations économiques de l’Iran avec les Etats-Unis sont pratiquement nulles depuis la révolution islamique, et les liens avec l’Europe atteindraient, selon Ahmadinejad, les 23 milliards de dollars/an, ce qui ne pèse pas beaucoup sur l’économie iranienne qui est davantage orientée vers l’Asie. Les démarches iraniennes en direction du continent africain participent de la même démarche de réduction de la dépendance à l’égard des Occidentaux. Les rencontres entre officiels – Bouteflika a fait trois visites à Téhéran – témoignent du fait que l’Algérie refuse que sa relation avec l’Iran soit sous influence étrangère. Mais, au-delà de l’aspect politique fort important, les domaines de coopération dans le domaine spatial, la pétrochimie, l’habitant et l’automobile sont réels. Sans oublier, bien entendu, dans le domaine du nucléaire civil où l’expertise scientifique iranienne est très développée.
http://www.lequotidien-oran.com

 
ses relations sont tellement bonnes qu ' elles vont même jusqu'à a essayer de diviser un pâys musulman
bravo
c est ça l islam
c est cela madhab ahl albeit
c est cela défendre le drapeau du shiisme
cela est très conforme aux phrases "ya mahdi" "yahossein" "yazahraa"
 
bouteflika rend visite 3 fois à l iran
alors qu en même temps il vole l argent du pétrole avec les généraux de l armée
et le divise avec leurs amis d Europe et d Amérique
et laisse son peuple mourir dans les barques en pleine mer méditerrané
c est cela la sincérité.
c est cela la justice
 

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