C EST BIZZARE QUE L IRAN QUI SE PRETEND PORTER LE DRAPEAU DES AHL ALBEIT PARTICIPE A [...]DIVISER UN PAYS ISLAMIQUE C EST A DIRE LA MAROC [....]
EST CE QUE C EST CELA LE SHIISME,?
C EST CELA LES PRINCIPES DE L IMAM ALI IBN ABI TALEB ,,?
[...] l iran contribue à diminuer le nombre des shias et non les augmenter et qu elle se place comme ennemis des descendants du prophete dont depend le shara marocain depuis des siecles
Assalam Acharif.idrissi;
Je pense que votre nationalisme chauvin vous fait confondre les bougies avec les phares, car en effet, la vérité n'a rien à voir avec la triste réalité de la monarchie marocaine, malgré toute la sympathie que l'on pourrait avoir pour Mohamed VI.
En effet, le roi est confronté à un problème épineux que lui a légué son père, qui l'a usé jusqu'à l'os, pour tenter de rallier les marocains autour du trône au nom du principe sacro saint de "la patrie en danger" pour son intégrité territoriale, les ennemis venant systématiquement de " l'étranger", hier ce fut l'Algérie, avec la guerre des sables en 1963, ce qui l'a éloignée d'un Ben Bella, que Hassan II, a mis lui-même au pouvoir, en lui prêtant ses chars pour juguler avec l'aide de Boumédienne, le "moudjahid" en réserve de la Révolution, dans les casemates de Tunisie et du Maroc, les combattants de l'ALN, et le gouvernement du GPRA, pour confisquer la Révolution, ensuite, avec la Mauritanie, de Mokhtar Ould Dadah, qu'ils ont tenté d'annexer, comme "partie intégrante du Maroc", avant que la France ne fronce des sourcils, pour signifier à Hassan II, qu'il devrait plutôt se préoccuper de "faire le bonheur de ses sujets, marocains et de ses Rifains, abandonnés à l'influence du caudillo Franco... et laisser les compagnies minières françaises exploiter sagement les mines mauritaniennes... en contre partie de quelque aide à "Sa Majesté" pour le consolider sur son trône.
Ensuite, en 1975, lorsque l'Espagne s'est retirée du Sahara occidental, Hassan II, s'est soudain souvenu que ces territoires, "étaient territoires marocains dans le temps jadis", ce qu'il avait oublié malheureusement, quand "son ami Franco" les combattait et les exterminait avec ses "légionnaires".
Ceci dit, j'avais personnellement soutenu la "marche verte", car après tout, le peuple frère marocain était mobilisé, et la moindre des choses était pour le Maghrébin que je suis, de supporter toute idée d'UNIFICATION des peuples maghrébins.
Malheureusement, la politique et l'identité maghrébine ainsi que les "intérêts stratégiques et politiques" ne sont pas toujours en harmonie, surtout que les avidités pour le plus grand gisement de fer du monde à ciel ouvert, à Gara Djebilet, allait susciter les convoitises des capitalistes euro-américains, par "maghrébins" interposés.
Aussi, alors que nous projetions d'exploiter en commun le gisement, sis en territoire algérien, près de Tindouf, les "alliés euro-américains d'opportunité" de Hassan II, allaient lui ordonner de fermer l'accès vers la mer aux Algériens, alors socialistes", et qui venaient de "nationaliser les pétroles français!" du Sahara algérien, pour obliger les Algériens à exporter leur minerais vers le nord algérien sur plus de 2000 Km, avant de le traiter au Complexe de l'Ouest, près de Mostaganem, au lieu de 400 Km, vers Dakhla, sur l'Océan atlantique, rendant l'exploitation onéreuse et obligeant à des investissements impossibles pour les Algériens, qui avaient pourtant offert aux marocains une transformation commune, et des premières transformation à Casablanca et dans le Nador, avant les transformations finales pour les produits plats à Mostaganem, en Algérie.
J'en témoigne puisque j'étais l'un de ces décideurs et négociateurs et algériens avec les Marocains, dont quelques réunions furent présidées par Hassan II, lui-même à qui nous avions présenté nos propositions, qu'il encourageait avant de subitement, faire volte-face sur injonction de Giscard d'Estaing, et se voir opposer par Boumédienne, la réponse adéquate mais si peu diplomatique et si peu fraternelle, de "reconnaissance de la République sahraouie", ce qui m'avait particulièrement désolé et navré alors, ingénieur naïf que j'étais alors.
Il me semble que le même scénario se reproduit de nouveau avec la République islamique d'Iran, pour faire plaisir aux améro-européens, qui avaient réussi a allier les monarchies "souni" contre la naissante RIA, en s'alliant au pire de leurs ennemis, la "laïco-CIA" d'alors, Saddam Husseïn, qui avait en ma présence, alors en mars 1975, embrassé le Shah d'Iran, après que nous eussions passé près de 24 heures en négociation avec chacun eux, en marge du sommet de l'OPEP, à Alger, à tenter de réconcilier les points de vue.
Sadam avait-il pensé que l'accord arraché, l'était exclusivement avec le Shah, "gendarme US du Moyen orient", et dont il voulait prendre la place, pendant que les US considéraient le guide le la "Révolution", un grain de sable imprévu dans leur Plan d'un Moyen Orient en paix avec Israël, et surtout, un moyen orient soumis aux chouyoukhs "gardiens de l'OR NOIR US", rémunérés en "royalties" : (dort et somnole, pendant que j'exploite le pétrole, et je te payerai en monnaie de singe).
Hélas, mille fois hélas, le scénario se reproduit, au moment où les musulmans ont le plus besoin de s'unir contre leurs prédateurs, qui ont déclenché contre eux depuis le 11 09 2001, la "guerre croisade contre l'Islam", pour les dépouiller de revenus propres à les développer !
Les situations se ressemblent, et derrière le conflit, il y a la Palestine et Israël.
Maroc, le partenaire discret d’Israël
Si WikiLeaks a confirmé que Rabat et Tel-Aviv s’accordaient sur bien des sujets diplomatiques, c’est dans le business que leur coopération est la plus méconnue.
«On est pour le maximum d'échanges». Telle était la réponse du directeur commercial du port Tanger Med à la question du commerce avec Israël, dans les colonnes du Figaro, qui titrait en juillet 2008: «
Le Maroc veut être un pays modèle pour l’UPM (Union pour la Méditerranée)». Un point de vue qui demeure tabou pour l'opinion publique, mais les diplomates et les chefs d'entreprises marocains conviennent, en privé,
que les routes commerciales avec Israël existent et se développent à grands pas.
Sous l’œil bienveillant de Washington
Dans une missive adressée en
2009 au roi Mohammed VI, Barack Obama écrivait:
«J’espère que le Maroc va jouer un rôle important dans le rapprochement entre le monde arabe et Israël, tout en sachant que cela entraînera une paix stable et une solution au conflit au Moyen-Orient».
Une lettre qui intervenait au moment où le Maroc était considéré par Washington comme le pays du Maghreb le moins hostile à l’État hébreu. La situation est d’autant plus remarquable aujourd’hui avec les révolutions arabes: la difficile transition politique en Égypte, le chaos en Syrie et la rupture de Tel-Aviv avec Ankara soulignent encore davantage l’isolement diplomatique de l’État hébreu dans la région.
Le Maroc, qui est vu comme un modèle aux yeux de l’Occident joue aussi cette carte, malgré la défiance de son opinion publique vis-à-vis d’Israël —surtout qu’il a par ailleurs rompu avec fracas ses relations diplomatiques avec l’Iran.
Dans un câble diplomatique révélé par WikiLeaks datant du
9 juin 2009, l’ambassade américaine à Rabat voit d’un bon œil le retour à la normale entre le Maroc et Israël, après les contacts que les deux pays ont eu dans la capitale chérifienne, entre le 3 et 5 juin 2009, à l’occasion de la tenue d’une rencontre sur le terrorisme nucléaire. «Des contacts qui ont permis aux responsables des deux pays de prendre langue après une période de froid suite à la guerre israélienne contre Gaza».
Maroc, le partenaire discret d’Israël
Des liens diplomatiques ininterrompus
Malgré la fermeture, en octobre 2000, du bureau de liaison d’Israël à Rabat et le départ de Gadi Golan, son diplomate qui avait rang d’ambassadeur, les contacts entre les deux pays n’ont jamais vraiment cessé.
En 2003, Silvan Shalom, alors chef de la diplomatie israélienne était reçu par Mohammed VI. En décembre 2008, le directeur général du ministère des Affaires étrangères, Aharon Abramovitz, s'est rendu quasi officiellement à Rabat.
En septembre 2009, une radio israélienne rapportait que
le ministre des Affaires étrangères israélien, Avigdor Liebermann, avait rencontré en catimini à New York son homologue marocain, Taïeb Fassi-Fihri, en marge de l’assemblée générale des Nations unies. La participation d’une délégation israélienne, conviée la même année à un congrès international à Marrakech, confirmait un mouvement perceptible de décrispation avec Tel-Aviv, malgré le coup de froid né de l’offensive de Tsahal sur Gaza quelques mois auparavant.
Le chassé-croisé diplomatique s’est d’ailleurs intensifié:
Jason Isaacson, le directeur du Comité juif américain d’affaires gouvernementales et internationales, et fervent défenseur de la cause sioniste, a été décoré de la médaille de Chevalier du Trône du Royaume du Maroc.
«Par la réforme et la réconciliation politiques, par sa position ferme contre l’extrémisme, par sa protection continue des minorités religieuses, le Maroc a prouvé à maintes reprises son amitié, sa force, ses principes», avait déclaré Isaacson lors de la cérémonie, dont les médias officiels marocains ont pourtant opportunément tu l’événement, l’opinion marocaine étant à l’écrasante majorité défavorable à tout rapprochement avec Israël —en témoigne encore récemment la polémique suscitée par la visite de Tzipi Livni à Tanger.
Dans un câble diplomatique américain de l'ambassade américaine à Rabat révélé par
WikiLeaks, Yassine Mansouri, le chef du contre-espionnage marocain, avait pour sa part confié à des diplomates américains que «Tzipi Livni est un bon partenaire»…
L’épisode Livni ou la visite chaotique des étudiants de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) avaient suscité une véritable levée de boucliers au Maroc,
faisant dire à Mamfakinch, le média citoyen du Mouvement du 20 février qu’au Maroc, «il vaut mieux militer pour Israël que pour la démocratie ou la Palestine».
Le réchauffement avec l’État hébreu s’expliquerait par l’affaire du Sahara, la position marocaine étant soutenue par des politiques américains proches du puissant Aipac (American Israel Public Affairs Comittee) et par des firmes de lobbying diplomatique basées à Washington, qui entretiennent des relations similaires avec Tel-Aviv et dont les ramifications se croisent avec des intérêts économiques communs.
Suite de l'article, plus instructif:
http://www.slateafrique.com/37555/ec...scret-d-israel[video=youtube;IcjFaQ3MPL8]http://www.youtube.com/watch?v=IcjFaQ3MPL8&feature=player_embedded#![/video]