Essalamou Aleykoum oua Rahmate Allah,
Rassurez-vous cher frère;je suis un élève d'un très grand savant Malikite,et croyez-moi si je vous dit qu'il nous a appris à dire :"Sadaq Allah El Aalii El-Adhim.Après chaque récitation du Coran.Au sujet des 10 promis au Paradis,Le Prophète nous a apprit que:"l'humain fera des bonnes œuvres jusqu'à ce qu'il arrive à une coudée du Paradis et fera une mauvaise œuvre qui le conduira en enfer".Et que l'humain fera des mauvaises œuvres jusqu'à ce qu'il arrive à une coudée de l'enfer et il fera une bonne action qui le fera entrer au Paradis.L'encre c'est asséchée et le livre est fermé".Donc à partir de là,on comprends que le seul qui sait qui iront au Paradis et qui iront en enfer c'est Dieu....Bien entendu,le Prophète avait annoncé la bonne nouvelle pour ses oncles Hamza et Djaafar,à ses petits fils,les Imams Hassene et Hossein,qu'il a qualifié de seigneurs des jeunes du Paradis,de Fatima-Zahraa,Seyidet nissaa El Allamines....etc...etc...Pour moi,si Fatima-Zahraa est "Seyidet nissaa El Allamine,l'Imam Ali,ne peut être que Seyd Rijaal El Allamine....Mais lui quand il parle,il est le prophète qui à partir de sa bouche sort le verbe Divin.
Récit sur le décès d’Ibn Abi Quhafa, rapporté par les "Rafidha", à consommer avec modération et à prendre avec des pincettes !
Assalam;
Franchement j'ai été plus qu'ébranlé par ce texte, dont je n'ai pas pu vérifier toutes les sources, à l'exception de son origine qui après tout, n'a rien à envier aux mille et un "hadiths" qui pullulent à travers le Net, les sihahs, les massanids et qui servent de "plats de résistance" aux imams qui nous servent du Omar, du Abu Bekr, du Aisha et du Abu Hureyra, durant 30 minutes, pour ensuite se rappeler qu'ils sont sur le minbar de Rassoulou Allah, :saws:, pour nous en parler durant 1à 5 minutes, et dans la maison d'Allah, :jjl:, et ils lui consacrent au mieux le dernier prône bâclé en 5 minutes, pour faire des prières pour les priants et surtout les Compagnons, y compris les "mounafiqins" d'entre eux, car en effet, il n'y en a pas, pardi, puisque TOUS les Compagnons sont IMPECCABLES et qu'Allah, :jjl: a dû certainement se méprendre en "osant" les maudire, selon les sacrosaints DOGMES salafis, wahabis ou sounis extrémistes....
Je vous soumets ce texte donc, après moult et moult hésitations en espérant qu'une sœur ou un frère, plus versé, plus talentueux(se), puisse nous guider et nous expliquer ce texte qui m'a franchement ébranlé....
Salim Ibn Qais Al-Hilali rapporte dans son livre à propos de la mort d’Abu Bakr :
J'ai rencontré Muhammad ibn Abi Bakr et je lui ai dit est-ce que d’autres que ton frère Abdul-Rahman, Aisha et Omar ont été témoins de la mort de ton père ?
Il a dit: Non.
J'ai dit: Ont-ils entendu de lui, ce dont j’ai entendu parler ?
Ils en ont entendu une partie et ils ont pleuré... Ils ont dit il divague !!!!!!
Par contre ils n’ont pas entendu tout ce que moi, j’ai entendu.
J'ai dit qu'ont-ils donc entendu? Il a appelé au malheur et à la destruction.
Omar lui a dit: Ô Calife du Messager d'Allah qu’as-tu à appeler au malheur et à la sinistrose?
Il répondit voila que Mohamed, il n’a pas dit le Messager d'Allah, et Ali m’annoncent que j’irai en Enfer, et entre ses mains le Pacte par lequel nous nous sommes prêté serment à la Kaaba. Il disait, par ma vie, tu as donc été fidèle à ton Pacte, et tu t’es rebellé contre l’allié d’Allah, (Ali) toi et ton comparse. Sois donc informé que tu es destiné au feu dans le plus profond de ses étages. </span>
((L'objet du pacte par lequel se sont alliés Omar, Abou Bakr, 'Abd al-Rahman Ibn Auf, Salem, et d’autres […] Lorsque Omar l’entendit ,il sortit en répétant qu’il divague. – expression d’Omar célèbre, quand il entend des paroles qui lui déplaisent, et il accuse celui qui les exprime de folie.))
Il (Abou Bakr) répliqua, par Dieu je ne divague pas, où vas-tu ? Omar répliqua tu es le second des deux de la grotte. Abou Bekr, répondit, même maintenant ???? (Encore cette histoire ?)
Ne t’ais-je pas raconté que Mohamed (n'a pas dit le Messager d'Allah) m'a dit alors que j’étais avec lui dans la grotte, je vois l’arche de Jaafar et de ses amis (ceux qui ont émigré en Abyssinie, lors de la première émigration en l’an 2 après la Révélation, an -8 ou -12 selon les différentes narrations). Elle voguait sur les flots, et il me l’a fait visionner en essuyant mon visage, je l’ai regardée et j’ai alors été convaincu qu’il n’était qu’un magicien. Je t’ai entretenu de cela à Médine, et nos opinions ont convergé sur le fait qu’il n’était qu’un magicien.
Omar dit: "O vous, votre père divague. Il faut taire ce que vous avez entendu. Autrement les gens pieux de cette ville vous mépriseront. Ensuite, il est sorti et il a été suivi par mon frère Aisha pour faire leurs ablutions et pour aller prier.
Il m’a fait entendre ce qu’ils n’ont pas entendu.
Je lui ai dit quand je fus seul avec lui, Ô mon père dit « Pas d’autre divinité qu’Allah », il a dit, non, je le dirai jamais, jusqu’à ce que j’arrive en Enfer et que j’entre dans le cercueil.
Quand il a mentionné le cercueil, j'ai pensé qu'il divaguait.
Je lui ai dit de quel cercueil parles-tu ?
Il a dit un cercueil de feu verrouillé, fermé par un verrou de feu, dans lequel il y a douze hommes dont moi et mon compagnon-ci.
Je dis Omar,
Il répondit, oui, ainsi que ceux qui m’ont aidé et dix autres dans la fosse du feu de l’Enfer, sur lequel repose un rocher et quand Allah, veut attiser le feu de l’Enfer, il enlève le rocher.
Je lui ai dis tu délires, il répondit, par Dieu, je n’hallucine pas, qu’Allah maudisse Ibn Sahhak, c’est lui qui m’a dévié du rappel (d’Allah), dès qu’il est devenu mon compagnon ; quel mauvais compagnon, qu’Allah le maudisse.
Il a plaqué ma joue contre terre […] J’ai plaqué sa joue contre terre, et il n’a point cessé d’appeler au malheur et à la destruction, jusqu’à ce que je lui ai fermé les yeux.
[…] Ainsi fut achevée la narration à ce point.
Sources sounies:
Târikh Al-Yacoubi V. 2 / 116 ; Al’imâma wa assiyâssa V.1 pp.19 et 20 ; Ashahristani Almilal wa annihel V1 p 57 ; Alwâfî bi-alwafiyât V 5 / 347 ; Târikh Abu alfidâ’ V. 1 / 164 ; A’lâm annissa’ V 4 / 114 ; Addahlawî, Qurat al’ayn, p. 78 ; Ibn Khayzaran, ghurar p. 271 ; Sahîh Bukhari V. 4. P. 97, V.5 p. 177 ; Sharh Nahj Al-Balagha, V. 2 pp. 45, 46, 50, 56, V.6 pp. 10, 11, V. 11 pp. 113 et 14 ; Al’aqd al-farîd V. 4 p 259 et V. 5 p. 13 ; Lissân Almîzan V. 268 et 4 ; Ansab al’achraf V. 1 p. 586 ; Alkunî wa alalqâb V. 3 p.219 ; Târikh Attabarî V. 3 p.202 ; Ithbât Alwassiyat p. 123 ; Assîra Alhalabiya V.3 p. 362 ; Telkhîs Ashâfî V. 3 p. 76.
Ma traduction d'un texte en arabe, que j'ai reçu sur mon mail.