Tablette de Nouh (as) avec les noms des 5 Infaillibles (as)
SALAM ALEYKOUM
Une tablette vient confirmer les assertions des scientifiques
Il existe un récit dans lequel le Prophète Noé, que la paix soit sur lui, avant que les eaux ne se retirent et que l’Arche ne s’échoue, remit en liberté un oiseau, pigeon ou corbeau, afin de s’assurer que la terre était proche. La première fois, l’oiseau revint sur l’arche épuisé, ce qui signifiait qu’il n’y avait pas de terre ferme dans les proches alentours. La seconde fois, l’oiseau ne rentra pas ! Ce test lui montra qu’il était temps de jeter l’ancre. (Dans les livres saints dans lesquels ces récits sont cités, il est écrit que le Prophète Noé, que la paix soit sur lui, relâcha en premier lieu un corbeau, mais comme l’essai n’était pas concluant il décida de libérer ensuite un pigeon). A juste deux kilomètres à l’est de l’endroit où le bateau est enseveli actuellement, existait un village nommé « Karga kounmaz », ce qui signifie : « Ce corbeau ni s’arrête ni revient ». (Charles BERLITZ, dans son livre intitulé « l’Arche perdue de Noé », a traduit le nom de ce village « Où le corbeau ne se pose jamais »).
Le lieu actuel de ce bateau, au cœur des montagnes d’Ararat, était nommé depuis les temps anciens « la région des huit » et la vallée au-dessous de cette zone était nommée également « le quartier des huit ». Pourquoi ? (Dans le livre « L’Arche perdue de Noé », il est écrit que cette région s’appelle « Temanin », ce qui signifie « huit ». Cheikh SADOUGH, dans son livre « ‘oyoun al-akbar » a cité de l’Imam Reza, salut à lui : « Le Prophète Noé, que la paix soit sur lui, a construit un village juste à l’endroit où son arche s’est échouée qu’il a nommé « Thamanin », ce qui signifie « quatre-vingts » ; nous voyons donc qu’entre « Thamanin » (80) et « Tamanin »(8) la ressemblance est frappante, autant dans le sens que sur la graphie).
Tout près du lieu où s’est échouée l’arche, au sommet du Mont, a été découverte, vers les années 50, une tablette qui apporte magnifiquement la preuve que les assertions des scientifiques sont vraies, et qui daterait de plus de 4000 ans.
Sur la gauche de cette tablette en pierre à chaux sculptée, est visible le dessin d’une chaîne montagneuse avec à côté, une colline puis un volcan. Sur la droite est représenté un bateau sur lequel se tiennent huit personnes. Sur le haut de la tablette, figurent deux oiseaux en vol.
La découverte de cette tablette a étonné tout le monde, (les livres saints mentionnent que les passagers de l’Arche étaient au nombre de huit et dans les récits chiites, les nombres de huit et quatre-vingts personnes sont également cités dans différents écrits.) car en réalité, sur le terrain, le Mont Ararat se situe effectivement à gauche du bateau, avec une colline à côté ainsi que le sommet d’un volcan.
Tablette conservée au musée du Vatican
La tablette trouvée attribuée au Prophète Noé
Le Prophète de l’Islam, que la paix soit sur lui et sur sa famille, a dit :
« Lorsque Dieu décida d’anéantir le peuple du Prophète Noé, que la paix soir lui, il ordonna à Noé, que la paix soit sur lui, de construire un grand bateau. L’Archange Gabriel descendit alors avec des clous pour la construction de l’arche. Parmi ces immenses clous, s’en trouvaient cinq des plus remarquables, qui brillaient de façon toute particulière, et sur chacun d’entre eux étaient gravés les noms d’une des cinq « Lumières » saintes du chiisme : Mohammad, Ali, Fatimeh, Hassan et Hossein, que la paix soit sur eux tous.
A chaque fois que le Prophète Noé, que la paix soit sur lui, prenait un de ces clous, il se mettait à briller aussi fort qu’une étoile dans l’obscurité de la nuit. Lorsqu’il prit le cinquième clou, en jaillit une luminosité telle que des larmes se mirent à couler de ses yeux.
Noé, que la paix soit sur lui, demanda à l’Archange Gabriel : « qu’est-ce que c’est que ce clou et que signifient ces larmes ? »
Gabriel répondit : « Ce clou est Hossein fils d’ Ali, que la paix soit sur lui. »
Le Prophète Noé, que la paix soit sur lui, fixa chacun des cinq clous à une extrémité de l’Arche. »
Le Prophète Mohammad, que la paix soit sur lui et sur sa famille, a dit en faisant référence au verset 13 de la sourate LA LUNE
« Et nous le portâmes sur un objet (fait) de planches et de clous (l’arche) »
« Quand dans le verset il est fait référence aux planches, il s’agit des poutres du bateau et quand sont mentionnées les clous, il s’agit bien de nous car si nous n’y avions pas été présents, l’arche n’aurait pas pu naviguer. »
Sources de ces récits : Behar al-anvar tome 26 page 322 hadith 14 et Aman al-ekhtar pages 107-10
Rapport de l’équipe d’archéologues soviétiques sur la tablette relative à l’Arche de Noé
Suite à la découverte de la tablette, l’Office Central d’Archéologie Soviétique décida de missionner une équipe de sept personnes parmi les archéologues, graphologues et linguistes, russes et chinois, les plus renommés afin d’entreprendre des recherches poussées sur la constitution de cette tablette ainsi que sur ses écrits dont Le professeur SULY NOF, spécialiste en langues anciennes à la faculté de Moscou, IFAHAN KHINO, professeur spécialiste en linguistique à la faculté de Lolohan en Chine, MICHANEL LOFARANG, directeur général des œuvres anciennes en Union Soviétique, TANMOL GOROFT, professeur de lettres à la faculté de Kifzo en Union Soviétique, le professeur DY RAKEN, spécialiste en archéologie à l’Académie de Sciences de Lénine, YM AHMAD KOLA, directeur de Recherches et Découvertes générales en Union Soviétique et MITCHER KOLTOF, président de la faculté Staline. (Note du traducteur : L’orthographe des noms propres correspond à une retranscription des noms en écriture persane)
Cette équipe, après huit mois de recherches, d’études, d’analyses et de comparaisons des caractères avec toutes autres écritures et mots anciens connus, présenta le rapport ci-dessous au Centre d’Archéologie de l’Union Soviétique:
Cette tablette épigraphique en bois est de même qualité que les autres pièces découvertes, qui toutes appartiennent dans leur ensemble à l’Arche de Noé, que la paix soit sur lui, sauf que cette tablette est mieux conservée que le reste ; étant restée intacte, il est aisé d’y lire ce qui y est écrit.
Les lettres et les mots qui y sont inscrits sont en écriture « samani » ou « sami » qui est la mère de toutes les écritures attribuée à Sam ben Noé, que la paix soit sur lui.<BR>les mots et caractères qui y sont inscrits signifient un recours du Prophète Noé, que la paix soit sur lui, à cinq Saints, que la paix soit sur eux, dont les noms sont indiqués sur l’Arche :
« O mon Dieu ! Et ô mon Protecteur !
Secours-moi par ta Miséricorde et ta Munificence !
Et par respect de la gloire de ces Saints :
MOHAMMAD
YLIA (‘ALI)
CHABAR ( HASSAN)
CHABIR (HOSSEIN)
FATIMEH
Eux qui sont tous de glorieuses et prestigieuses personnes
Et le monde ne tient debout que par leur faveur céleste.
Secours-moi par respect de leurs noms !
Seul toi peux me guider sur le Chemin Droit ! »
Par la suite un scientifique britannique, Y.I. MAX, professeur de langues anciennes à l’université de Manchester, traduisit ,de russe en anglais, ce rapport, qui fut publié dans différents journaux et magazines:
1. l’hebdomadaire « WEEKLY MIRROR » de Londres numéro du 28 décembre 1953
2. le magazine « START ANGLAISE » de Londres, décembre-janvier 1954
3. le journal « SUN LIGHT » diffusé à Manchester, décembre-janvier 1954
4. le journal « WEEKLY MIRROR » en date du 1 janvier 1954
5. le journal « AL-HODA », Le Caire-Egypte du 30 mars 1953
Un scientifique et intellectuel pakistanais de renom, Hakim Seyyed Mahmoud GUILANI, directeur pendant un temps du journal « AHL-AL-HADITH » pakistanais (musulman sunnite à la base qui, suite à ses recherches, devint chiite) traduisit ce rapport en Ourdou et le mentionna dans un livre intitulé « YLIA, au cœur du secours des religions du monde ».
Puis le magazine « BAZREH » à Najaf en Irak, dans ses numéros du mois de chawal et dhul-qada de l’année 1385 de l’Hégire (1964), pages 78-81, traduisit ce même rapport d’ourdou en arabe sous l’intitulé « les noms des Saints auxquels le Prophète Noé, que la paix soit sur lui, a demandé l’intercession ».
Source
Traduit du persan par: Zahra et Hocein KARIMI
Voici les références qui prouvent que les sunnites possèdent également ces informations et que Cheik Sulayman Balkhi (Qandozi) Hanafi est bien sunnite! Sunni scholar/researcher Khair Al-Deen Al-Zarkali in his book ‘Al-Al'am’ confirmed Sheikh Qandozi being a Hanafi:
[FONT=times new roman,times]
( القندوزي ) * ( 1220 - 1270 ه= 1805 - 1853 م ) سليمان بن خوجه إبراهيم قبلان الحسيني الحنفي النقشبندي القندوزي : فاضل ، من أهل بلخ ، مات في القسطنطينية . له ( ينابيع المودة - ط ) في شمائلالرسول صلى الله عليه وسلم وأهلالبيت[/FONT]
“(Al-Qandozi)(1220-1270 H)(1805-1853) Sulaiman son of Khuwajah Ibrahim Qubalan Al-Hussaini Al-Hanafi Al-Naqshbandi Al-Qandozi: pious, belongs to Balakh (city), died in Qustantinya (city), he got book ‘Yanabi Al-Muwadah’ which is about the merits of the Messenger of Allah and his household”
Al-Al`am, Volume 3 page 125
سليمان القندوزي ( 1220 - 1294 ه) ( 1805 - 1877 م ) سليمان بن ابراهيم القندوزي ، البلخي ، * ( هامش 1 ) * ( 1 ) وفيالايضاح : 815 هالحسيني . صوفي . من تصانيفه : اجمع الفوائد ، مشرق الاكوان ،ينابيع المودة لذوي القربى
[FONT=times new roman,times]Sulaiman al-Qandoozi (1220-1294 H)(1805-1877) Sulaiman bin Ibrahim al-Qandozi al-Balkhi al-Hussaini al-Hashmi, Sufi, his books: Ajma al-fawaid, Mushreq al-akwan, Yanabi al-muwada lethouy al-qurba”
Muajam al-Mualfeen by Umar Raza Kahalah, Volume 4
www.almeshkat.net (MS Word, Doc page No.177) - CachedAnother Sunni scholar/researcher Allamah Ismaeel Basha Al-Baghdadi recorded about him in his book ‘Hidyat Al-Arfeen’:
[FONT=times new roman,times]القندوزي - سليمان بن خواجة كلانإبراهيم بن بابا خواجة القندوزي البلخي الصوفي الحسيني نزيل قسطنطينية ولد سنة 1220وتوفى سنة 1294[/FONT]
[/FONT][FONT=times new roman,times]
“Al-Qandozi - Sulaiman son of Khowajah Qalan Ibrahim son of baba Khwajah Al-Qandozi Al-Balkhi Al-Sufi Al-Hussaini, resident in Qustantinya (city), was born in year 1220 and died in year 1294”
Hidyat Al-Arfeen, Volume 1 page 408
[FONT=times new roman,times]The book can be downloaded from the following Salafi link:
www.almeshkat.net - CachedAlso in his book ‘Ezah al-Maknun’ Volume 2 page 731, Allamah Ismaeel Basha Al-Baghdadi records:
[FONT=times new roman,times]القندوزى - سليمان بن خواجه كلانابراهيم بن بابا خواجه القندوزى البلخى الصوفى الحسينى نزيل قسطنطينية ولد سنة 1220وتوفى سنة 1294 اربع وتسعين ومائتين والف . له اجمع الفوائد . مشرق الاكوان . ينابيع المودة في شمائل النبي صلى الله عليه وسلم واخبار اهل البيت في مجلدمطبوع
[/FONT]
Al Qandozi - Sulayman bin Khawaja Kalan Ibrahim bin baba Khuwaja Al-Qandozi Al-Balkhi al-Sufi Al-Husayni. He lived in Qustantinya, was born in 1220 and died in 1294. He authored: Jama' Al Fawa'ed, Mashriq al Akwan, Yanabi'y al Mawaddat ” on the charactheristics of the prophet and the narrations of AhlulBayt “.
Download from www.almeshkat.net - CachedYusuf Alyan Sarkis simply recorded:[FONT=times new roman,times]“Sulaiman bin Khujah Qublan al-Qandozi al-Balkhi. Yanabi al-Muwwadah on the merits of ameer al-mumneen Ali”
Mu`jam al-Matbuaat al-Arabiya, Vol 1 page 586[/FONT][FONT=times new roman,times] [FONT=times new roman,times]Download from www.almeshkat.net[/FONT][FONT=times new roman,times] - [/FONT][FONT=times new roman,times]Cached[/FONT][FONT=times new roman,times]More interesting is the fact that Sunni Ulema continue to cite him in their books. Saaim Chisthi al Hanafi in his book Mushkil kushah cites numerous Hadith from Yanabi al Mawaddah. Moreover leading Hanafi scholars Shaykh ul Islam Dr. Muhamad Tahir ul Qadri (in Hub-e-‘Ali page 28) and Mufti Ghulam Rasool (in Hasab aur Nasab Volume 1 page 191, London) relied on Yanabi al Mawaddah when citing Hadith in praise of the Ahl’ul bayt (as).[/FONT][/FONT]
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