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L'intolérance inter musulmans, et la tolérance envers Ahl el Kitab

ithviriw

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Assalam;

Voici une réponse que j'ai été obligé d'envoyer à un imam et à un président d'association religieuse, l'un des plus importantes de l'Ile de France....
Je vous la fait partager brute, et telle que je l'ai rédigée, après qu'ils m'aient envoyé leur mails, pour insulter pratiquement Rachid Benaissa, qui selon eux ose " se mesurer à Qardhaoui"....

Même si la comparaison avec Cheikh Qardhaoui, est inopportune, la vie DEBOUT du Professeur Rachid Benaissa, n'a rien à envier à celle de Youcef Qardhaoui, sauf si on veut comparer Malek Benabi à Cheikh Mohamed Abdouh, c'est-à-dire deux éminents savants qui ont chacun activé avec excellence dans son domaine.

On ne compare pas des personnes incomparables, et chacun a agi selon sa méthode, ou celle propre à sa discipline ou à son auditoire, et dans son registre.

Mais, "nul n'est prophète en son pays", et Rassoulou Allah, :saws:, a dû émigrer de Mecqua à Médine, tandis que Sayidouna Ibrahim, :as:a dû quitter sa Mésopotamie natale, pour aller en Canaan, pour se faire accepter et écouter, alors que Saydiouna Ali, :as: a eu à subir les guerres, d'Al Jamal, par ceux que vous considérez compagnons "destinés au Paradis", puis récidivées à Siffine, par celui que vous adorez, et enfin à Nahrawane, et je ne manquerai pas de rouvrir la plaie toujours béante, de l'assassinat de sang froid, du Sayed "des jeunes du Paradis", Al Houssein, :as: que vous prétendez aimer, mais tout de même, moins qu'Aïcha, que voue le Coran, à l'Enfer, au cas où elle ne reviendrait pas de son attitude d'égarement et de rébellion à l'encontre de Rassoulou Allah, :saws: (sourate at Tahrim, 66), ce qui ne semble pas avoir été le cas, puisque non seulement elle ne se conformera pas au Commandement coranique FERME, qui ordonne aux femmes du Prophète :saws: de "ne pas quitter leur foyer", mais elle fera pire en conduisant des troupes sur des milliers de Kilomètres pour aller à Al Jamal, et faire ASSASSINER des DIZAINES de MILLIERS de "Compagnons" que vous dites "JUSTES" et impeccables.... malgré les versets de l'IFQ, puis la sourate Al mounafiqoun, (les hyprocrites), ce qui veut dire que parmi les Compagnons se sont instillés à très haut niveau, des HYPOCRITES, comme JUDAS, auprès de Sidna Issa, (Jésus), :as: ou encore Assamiri, auprès de Sidna Moussa, :as: et Sidna Haroun, :as:.

Je suis sûr que tu comprendras mieux le plaidoyer du professeur, le Sayed Rachid, une fois que tu auras écouté en laissant de côté les préjugés anti ahl el Beyt, :as: instillés de façon constante, méthodique et scélérate depuis l'épisode regrettable, mais tout de même historique, et réelle, citée avec force détails, par Ibn Hanbal, de Ghadir Khum, puis de la rébellion de quelques compagnons qui n'ont pas accepté d'être placés sous le commandement du jeune Oussama Ibn Zayd, ra, ou encore quand ces mêmes compagnons que vous idolâtrez, empêcheront le Prophète, :as:, selon Ibn Abas, :radiallah, d'écrire son Testament... ou encore quand ils quitteront la chambre mortuaire pour aller à Sakfet bani Saad, et s'auto proclamer successeur de Rassoulou Allah, aswaws, quand bien même ce dernier n'a pas cru les placer à la tête de Jeich Oussama, en sus du fait qu'il l'a écarté de la conduite de la prière, selon BOUKHARI, (fanaha abou bekr), ce qui est plus que clair de l'INAPTITUDE d'abou bekr, à exercer un quelconque rôle dirigeant légitime au sein de la Ouma !

Mais même si nous voulons ignorer les faits têtus, rapportés par les Sihahs, pourquoi donc cet ostracisme vis-à-vis de ceux qui sont demeurés simplement FIDELES au Pacte de Ghadir Khum, et préfèrent Ahl el Beyt, as, "purifiés par Allah", dixit le Coran, auxquels vous préférez des Compagnons Lambda ou même "vertueux", mais inaptes pour Rassoulou Allah, :saws:, à la direction de la Ouma, le schisme de la Ouma, actuellement et juste après le rappel à Allah, Gloire à LUI, de Son Envoyé en est la preuve éclatante, pour ceux qui REFLECHISSENT.

Bon je sais que tu connais le "discours des Ahl el Beyt, :as:", comme tu dis, et tu m'étonnes quand tu affirmes toute honte bue, qu'ils sont contre leurs propres adeptes chiites, en effet, c'est le comble pour un cartésien!!!

Je préfère te laisser juger sur pièce, ce que tu reproches au Professeur, le Sayed Rachid Benaïssa, mais remarques, qui se trouve à la tribune, comme Cheikh Taha Alyouni, l'un des "frères musulmans historiques" demeuré fidèle à la ligne originelle du mouvement dont s'est écarté Cheikh Qardhaoui, qui n'était guère en odeur de sainteté parmi les premiers dirigeants du mouvement qui ont vu en lui un "mouton du pouvoir".
Malgré la diatribe du Professeur Rachid Benaissa, Cheikh Taha Alyouni, que j'avais rencontré en 1988, où il était directeur scientifique du Centre IIIT, à Arlington, Washington, DC, n'a pas cru lui apporter la contradiction, pourtant, car il connait les liens entre le professeur Rachid Benaissa, et Cheikh Youcef Qardhaoui.

Mais, il semble qu'à trop idéaliser on en vient à détester ceux qui œuvrent pour l'Islam et à aimer ceux qui œuvrent pour perdurer comme "imams de Palais tout en servant la "Secte des Califes".... et veiller à son renouvellement implacable, car il nous ont gouvernés depuis le PUTSH sanglant de Sakfet Bani Saad... comme l'auraient fait les empereurs de leur temps, sauf que leur habit "islamique" a permis tous les dépassements.

L'histoire a pourtant été écrite par des gens qui étaient contemporains de ces faits, et malgré leur parti pris pour les Califes au dépens des ahl el Beyt, as, VAINCUS et PERSECUTES et SYSTEMATIQUEMENT EMPOISONNES et ERADIQUES... vous voulez que nous passions cette histoire au destructeur de documents, comme le faisaient ceux des premiers Califes qui brûlaient les "hadiths", et les autres qui faisaient des autodafés d'ouvrages "non conformes"...

Voici une video que tu dois ECOUTER, PEUT-ÊTRE COMPRENDRAS-TU ENFIN l'ISLAM et les gens qui s'en proclament

http://www.youtube.com/watch?v=v2fS2k3dkYY&feature=channel
 
Salamoun'alaykom

Salam;



http://www.youtube.com/watch?v=v2fS2k3dkYY&feature=channel

N'oubliez pas de faire vos commentaires et de NOTER, SVP.

Je trouve que le frère Rached Ben-Issa a soulevé dans son discours trois points importants qui méritent chacun tout un débat.

"Le cerveau sunnite ne pourra pas avancer tant qu'il sacralise l'histoire"

"Il faut sortir l'histoire de la religion pour que la raison puisse fonctionner librement"

"La question chiite-sunnite et le nucléaire iranien ne sont que des problèmes controuvés pour justifier une animosité contre l'Iran et la révolution chiite dans le monde".
 
moins qu'Aïcha, que voue le Coran, à l'Enfer,

Salam,

Aicha a deja été calomnié une fois par les hypocrites, et dieu l'a innocenté dans le saint coran.

au cas où elle ne reviendrait pas de son attitude d'égarement et de rébellion à l'encontre de Rassoulou Allah, :saws: (sourate at Tahrim, 66), ce qui ne semble pas avoir été le cas, puisque non seulement elle ne se conformera pas au Commandement coranique FERME, qui ordonne aux femmes du Prophète :saws: de "ne pas quitter leur foyer", mais elle fera pire en conduisant des troupes sur des milliers de Kilomètres pour aller à Al Jamal, et faire ASSASSINER des DIZAINES de MILLIERS de "Compagnons" que vous dites "JUSTES" et impeccables....

Elle a reconnu son erreur et s'est repentit. Ali l'a traita avec respect et l'a renvoyé chez elle.

Puis elle a enseigné l'islam pendant 50 ans, et elle fut reconnu la femme la plus savante de son temps. Elle s'est très bien rattrapé.
 
Que la paix soit sur vous mes frères et soeurs,

Salam,

Elle a reconnu son erreur et s'est repentit. Ali l'a traita avec respect et l'a renvoyé chez elle.

Puis elle a enseigné l'islam pendant 50 ans, et elle fut reconnu la femme la plus savante de son temps. Elle s'est très bien rattrapé.

Et je suppose que tu as des preuves de son repentir? Sinon tu n'aurais pas dit ça, n'est ce pas :) ?
 
Salam,

Aicha a deja été calomnié une fois par les hypocrites, et dieu l'a innocenté dans le saint coran.



Elle a reconnu son erreur et s'est repentit. Ali l'a traita avec respect et l'a renvoyé chez elle.

Puis elle a enseigné l'islam pendant 50 ans, et elle fut reconnu la femme la plus savante de son temps. Elle s'est très bien rattrapé.

Salam alaycoum

Ce n'est pas de cela mais plutot de ceci , lisez le attentivement pour connaitre Aicha :

Bismil-Lâhir-Rahmânir-Rahîm

was-salâtou 'alâ habîbil-Lâh wa âlihil-at-hâr

was-salâmou ‘alaykoum wa rahmatoul-Lâh



Je profite par ailleurs de l'occasion que vous me donnez pour demander comment vous considérez le verset coranique 66.10:



ضَرَبَ اللَّهُ مَثَلًا لِلَّذِينَ كَفَرُوا اِمْرَأَةَ نُوحٍ وَامْرَأَةَ لُوطٍ كَانَتَا تَحْتَ عَبْدَيْنِ مِنْ عِبَادِنَا صَالِحَيْنِ فَخَانَتَاهُمَا فَلَمْ يُغْنِيَا عَنْهُمَا مِنْ اللَّهِ شَيْئًا وَقِيلَ ادْخُلَا النَّارَ مَعَ الدَّاخِلِينَ


Traduction: Dieu donne comme exemple de ceux qui mécroient la femme de Noé et la femme de Loth: elles étaient sous [l'autorité] de deux de nos bons serviteurs, elles les trahirent et ils ne leur servirent à rien par rapport à Dieu. Il leur fut dit: entrez toutes deux dans le Feu avec ceux qui [y] entrent.


En vilipendant ainsi deux épouses de Prophètes, dont l'un (Noé) fait partie des cinq Prophètes majeurs de l'humanité (oulou l-'azm ), disant qu'elles sont un "exemple de ceux qui mécroient", qu'elles ont "trahi" chacune un Prophète de Dieu et qu'elles doivent en conséquence aller griller en Enfer, Dieu n'aurait-il pas respecté le bon comportement qu'il convient d'avoir envers des "femmes de Prophète"? "Mécréantes" et "traîtresses" sont-ils selon vous des "insultes" envers elles et Dieu se serait-il comporté en "insulteur"?

Remontons maintenant un peu plus haut dans la même sourate 66, à savoir aux versets 3-5 qui, à l'unanimité des commentateurs, y compris sunnites, concernent Aïsha et Hafsa:



وَإِذْ أَسَرَّ النَّبِيُّ إِلَى بَعْضِ أَزْوَاجِهِ حَدِيثًا فَلَمَّا نَبَّأَتْ بِهِ وَأَظْهَرَهُ اللَّهُ عَلَيْهِ عَرَّفَ بَعْضَهُ وَأَعْرَضَ عَنْ بَعْضٍ فَلَمَّا نَبَّأَهَا بِهِ قَالَتْ مَنْ أَنْبَأَكَ هَذَا قَالَ نَبَّأَنِي الْعَلِيمُ الْخَبِيرُ

إِنْ تَتُوبَا إِلَى اللَّهِ فَقَدْ صَغَتْ قُلُوبُكُمَا وَإِنْ تَظَاهَرَا عَلَيْهِ فَإِنَّ اللَّهَ هُوَ مَوْلَاهُ وَجِبْرِيلُ وَصَالِحُ الْمُؤْمِنِينَ وَالْمَلَائِكَةُ بَعْدَ ذَلِكَ ظَهِيرٌ

عَسَى رَبُّهُ إِنْ طَلَّقَكُنَّ أَنْ يُبْدِلَهُ أَزْوَاجًا خَيْرًا مِنْكُنَّ مُسْلِمَاتٍ مُؤْمِنَاتٍ قَانِتَاتٍ تَائِبَاتٍ عَابِدَاتٍ سَائِحَاتٍ ثَيِّبَاتٍ وَأَبْكَارًا


Traduction: Et lorsque le Prophète confia un secret à l'une des ses épouses: lorsqu'elle en eut informé [une autre épouse] et que Dieu le révéla au [Prophète (litt. "à lui")], [celui-ci] le fit en partie savoir [à l'épouse fautive], en taisant une partie. Lorsqu'il l'eut informée, elle dit: "Qui t'a informé de cela?" Il répondit: "Le Très-Savant et Connaissant m'a informé."

Si vous revenez toutes deux repentantes vers Dieu, vos c½urs avaient bien dévié, et si vous vous épaulez contre lui [c'est-à-dire le Prophète], en vérité c'est Dieu qui est son allié, ainsi que Gabriel et les bons parmi les fidèles, et les anges sont en sus de cela un renfort.

Son maître pourrait, s'il divorce de vous, lui donner à la place des épouses meilleures que vous, musulmanes, ayant foi, déférentes, repentantes, dévotes, abstinentes, déjà épousées ou vierges.





Dieu aurait-il "insulté" ces deux épouses du Prophète, Dieu le bénisse lui et les siens, en révélant:

1. que l'une d'elle avait divulgué un secret confié par le Prophète, alors que la divulgation du secret est en soi un grand péché, compté même dans les hadiths au nombre des caractéristiques de l'hypocrite (monâfiq ), péché d'autant plus grave que celui qui avait confié le secret était le Prophète en personne, Dieu le bénisse lui et les siens. Un tel comportement ne relève-t-il pas de la "trahison" évoquée au verset 66.10?

2. que cette épouse une fois informée par le Prophète qu'il était au courant de sa faute, au lieu de se repentir humblement, prend les choses de haut en demandant au Prophète qui donc l'avait mis au courant, comme si elle n'avait pas encore compris (ou cru?) que la source des Révélations du Prophète était Dieu lui-même?

3. que "le c½ur de ces deux épouses avait bien dévié" (fa-qad saghat qoloubo-komâ ), le pire étant que Dieu doit carrément intervenir pour leur demander de se repentir (ce qui montre qu'elles ne l'avaient pas encore fait après l'intervention du Prophète) et même les menacer gravement au cas où, au lieu de se repentir, elles s'entêteraient à "s'épauler contre le Prophète"

4. qu'il existait donc dans la maison même du Prophète un complot suffisamment grave pour que Dieu menace ces deux épouses "s'épaulant contre le Prophète" en disant que si elles continuent dans cette voie, elles trouveront en face d'elle Dieu, l'ange Gabriel, tous les bons musulmans et tous les anges! Il est clair qu'il ne saurait s'agir d'une simple "affaire de jalousie féminine", comme certains tentent de le faire croire…

5. enfin que le Prophète pourrait fort bien divorcer d'elles et trouver grâce à Dieu "des femmes meilleures qu'elles" et dotées de qualités dont le verset laisse entendre qu'elles ne sont pas le propre des "épouses menacées de remplacement"; le verset faisant par ailleurs aussi remarquer que la virginité dont l'une de ces deux épouses avait l'habitude de se glorifier n'est rien de bien exceptionnel…

Enfin, faut-il voir "un hasard" ou une "pure coïncidence" (Dieu révèlerait-il "à l'aveuglette"?) dans le fait que cette sourate fort courte (12 versets) réunisse ces 3 versets pas vraiment en l'honneur de Aïsha et de Hafsa et le verset 10 qui cite deux femmes de Prophète "comme exemple de ceux qui mécroient"?

https://www.al-imane.org/forums/showpost.php?p=347&postcount=22

KHoda Hafez
 
Salam alaycoum

Remontons maintenant un peu plus haut dans la même sourate 66, à savoir aux versets 3-5 qui, à l'unanimité des commentateurs, y compris sunnites, concernent Aïsha et Hafsa


vous vous épaulez contre Prophète?!!!


Maintenant je voudrais prendre le temoignage du deuxiem caliphe "Omar" dans "Sahih Boukhari" Pour savoir "au sujet de qui ces trois versets(versets 3-5 de la sourate 66)" ont ete reveles et qui etaient elles qui se sont épaulees contre Prophète:

(Regardez chers freres et soeurs ce que rapporte boukhari dans son sahih de Ibn Abbâs de "Omar": )


‏حدثنا ‏ ‏الحميدي ‏ ‏حدثنا ‏ ‏سفيان ‏ ‏حدثنا ‏ ‏يحيى بن سعيد ‏ ‏قال سمعت ‏ ‏عبيد بن حنين ‏ ‏يقول سمعت ‏ ‏ابن عباس ‏ ‏يقول ‏
‏كنت أريد أن أسأل ‏ ‏عمر ‏ ‏عن المرأتين اللتين تظاهرتا على رسول الله ‏ ‏صلى الله عليه وسلم ‏ ‏فمكثت سنة فلم أجد له موضعا حتى خرجت معه حاجا فلما كنا ‏ ‏بظهران ‏ ‏ذهب ‏ ‏عمر ‏ ‏لحاجته فقال أدركني بالوضوء فأدركته ‏ ‏بالإداوة ‏ ‏فجعلت أسكب عليه الماء ورأيت موضعا فقلت يا أمير المؤمنين ‏ ‏من المرأتان اللتان تظاهرتا قال ‏ ‏ابن عباس ‏ ‏فما أتممت كلامي حتى قال ‏ ‏عائشة ‏ ‏وحفصة


http://hadith.al-islam.com/Display/Display.asp?Doc=0&Rec=7260

Ibn Abbâs a interrogé Umar ben al-Khattâb sur les deux épouses de l'Envoyé à propos desquelles il y eut la descente de : "et si vous vous épaulez contre lui [c'est-à-dire le Prophète]", et "qui se sont epaulees contre le Prophete" il a dit que c'était Aïcha et Hafça.


KHoda Hafez
 
Que la paix soit sur vous mes frères et soeurs,

Et je suppose que tu as des preuves de son repentir? Sinon tu n'aurais pas dit ça, n'est ce pas :) ?
salam

Bien sur, il y a tous ses pleurs et sa célèbre déclaration "Ne m'enterrez pas aux côtés du Prophète, car j'ai commis une erreur apres lui"

Elle a eu le courage moral d'avouer ses erreurs et de s'en sentir sincèrement désolée. La preuve est qu'elle passa le reste de sa vie au service de l'islam, et c'était la femme la plus savante de son époque.
 
Traduction: Et lorsque le Prophète confia un secret à l'une des ses épouses: lorsqu'elle en eut informé [une autre épouse] et que Dieu le révéla au [Prophète (litt. "à lui")], [celui-ci] le fit en partie savoir [à l'épouse fautive], en taisant une partie. Lorsqu'il l'eut informée, elle dit: "Qui t'a informé de cela?" Il répondit: "Le Très-Savant et Connaissant m'a informé."

Si vous revenez toutes deux repentantes vers Dieu, vos c½urs avaient bien dévié, et si vous vous épaulez contre lui [c'est-à-dire le Prophète], en vérité c'est Dieu qui est son allié, ainsi que Gabriel et les bons parmi les fidèles, et les anges sont en sus de cela un renfort.

Son maître pourrait, s'il divorce de vous, lui donner à la place des épouses meilleures que vous, musulmanes, ayant foi, déférentes, repentantes, dévotes, abstinentes, déjà épousées ou vierges.





Dieu aurait-il "insulté" ces deux épouses du Prophète, Dieu le bénisse lui et les siens, en révélant:

1. que l'une d'elle avait divulgué un secret confié par le Prophète, alors que la divulgation du secret est en soi un grand péché, compté même dans les hadiths au nombre des caractéristiques de l'hypocrite (monâfiq ), péché d'autant plus grave que celui qui avait confié le secret était le Prophète en personne, Dieu le bénisse lui et les siens. Un tel comportement ne relève-t-il pas de la "trahison" évoquée au verset 66.10?

Salam alaykom,

Premièrement, il n'y a aucune insulte dans ces versets de Dieu.
Deuxiemement, le prophète continua toujours à lui raconter ses secrets, et cette fois elle n'a plus jamais révélé a personne.

Si vous vous repentez à Allah c´est que vos coeurs ont fléchi. Mais si vous vous soutenez l´une l´autre contre le Prophète, alors ses alliés seront Allah, Gabriel et les vertueux d´entre les croyants, et les Anges sont par surcroît [son] soutien. S´Ils vous répudie, il se peut que Seigneur lui donne en échange des épouses meilleurs que vous, musulmanes, croyantes, obéissantes, repentantes, adoratrices, jeûneuses, déjà mariées ou vierges. 66.5

N'ayant pas été répudié, elle ont donc fait la premiere solution (Si vous vous repentez à Allah c´est que vos coeurs ont fléchi.)

Elle n'ont donc pas mécru, et restèrent parmi les femmes que le prophète aimait.


enfin que le Prophète pourrait fort bien divorcer d'elles et trouver grâce à Dieu "des femmes meilleures qu'elles" et dotées de qualités dont le verset laisse entendre qu'elles ne sont pas le propre des "épouses menacées de remplacement"; le verset faisant par ailleurs aussi remarquer que la virginité dont l'une de ces deux épouses avait l'habitude de se glorifier n'est rien de bien exceptionnel…

De même, Marie, la fille d´Imran qui avait préservé sa virginité; Nous y insufflâmes alors de Notre Esprit. Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses Livres: elle fut parmi les dévoués. 66.12
 
salam

Bien sur, il y a tous ses pleurs et sa célèbre déclaration "Ne m'enterrez pas aux côtés du Prophète, car j'ai commis une erreur apres lui"

Elle a eu le courage moral d'avouer ses erreurs et de s'en sentir sincèrement désolée. La preuve est qu'elle passa le reste de sa vie au service de l'islam, et c'était la femme la plus savante de son époque.

Bismillah Al Rahman Al Rahim
Allahouma salli 'ala Mohammad wa ali Mohammad, wa ajill farajahum, ya Kareem

Salam alaykoum,

Voici quelques "erreurs" de Aicha :

Un jour, elle dit au Prophète à propos de Khadija, sa première femme : «Comment Khadija peut-elle être comparée à moi ! C’était une vieille femme aux joues rouges et Allah t’a donné meilleure qu’elle.» (Sahih al-Bukhari, Vol.5, Livre 58, N°168) Le Prophète se mit très en colère.

Une fois, elle fit ces remarques au Prophète de Dieu : «C’est bien vous qui prétendez être le Prophète d’Allah […] Soyez juste ! »(hya al-Ulum, al-Ghazali, Chap.3, Vol.2 / Kanz al-Umal, al-Hindi, Vol.7, N°1020). Son père, qui était présent à ces côtés, lui administra une telle correction que du sang s’écoula.

Son comportement infernal en présence du Prophète de Dieu atteignit un tel degré que lorsqu’un jour, il était en train de prier, elle dirigea ses pieds en direction de l’endroit de la prosternation. Quand le Prophète se prosterna et les pinça, elle les retira. Ainsi, à nouveau, au moment où le Prophète se releva pour continuer sa prière, elle les remit à l’endroit de la prosternation.(Sahih al-Bukhari, Vol.1, Livre 8-9, N°379-492)

Après la mort de Umar bin al-Khattab, lorsqu’elle prépara la Bataille de Chameau contre l’Emir des Croyants, l’Imam Ali , elle fit envoyer un messager aux femmes du Prophète afin qu’elles se rallient avec elle. Seule Hafsa consentit, cependant suite aux reproches de son frère Abdullah bin Umar, elle annula son périple.(Kanz al-Umal, al-Hindi, Vol.6, p.294 / At-Tabaqat, Ibn Sad, Vol.8, p.115)

Voyons comment Aisha, sous l’effet de la jalousie, perd la notion de valeurs morales et se conduit en présence du Prophète d’une façon insane.

Elle dit : «Safiyya, la femme du Prophète envoya un plat qu’elle avait préparé pour lui, quand il était avec moi. Lorsque j’ai vu la servante, je tremblai avec rage et furie ; j’ai pris le récipient et je l’ai jeté. Puis elle dit : Le Prophète de Dieu me fixa ; j’ai vu la colère sur son visage et j’ai dit : ‘Je cherche la protection d’Allah contre la réprimande du Prophète aujourd’hui.’ Aisha dit : Il dit : ‘Arrange cela !’ J’ai dit : ‘Quelle est l’expiation, Ô Prophète de Dieu ? ’ Il dit : ‘Un plat comme le sien, et un récipient comme le sien.’»(Sunan an-Nisai, Vol.2, N°3895 / Musnad Ibn Hambal, Vol.6, p.227)

A une autre occasion en parlant d’elle : «J’ai dit au Prophète de Dieu : ‘Assez à propos de Safiyya, elle est ceci et cela.’ Le Prophète de Dieu me dit : ‘Tu as prononcé des mots qui, s’ils étaient mélangés à l’océan, sa couleur aurait changé.’»(Sahih-at Tirmidhi cite par Az-Zamakshari, p.73)

Par Allah ! Quel genre de Mère des Croyants était Aisha, sans éthiques ni aucun respect des principes islamiques qui interdisent la médisance et la calomnie.

Il n’y a aucune explication possible concernant la haine de Aisha envers les Ahlul Bayt si ce n’est sa jalousie. L’Histoire rapporte la haine incomparable de Aisha envers l’Imam Ali , à tel point qu’elle n’était plus capable d’entendre son nom, ni le supporter quand il était devant lui. Quand elle entendit que les gens lui prêtaient allégeance après la mort de Uthman bin Affan, pour devenir Calife, elle dit : «Je souhaiterai que les cieux deviennent comme la terre avant que Ali n’y parvienne.»(At-Tabari, Ibn al-Athir) Chacun de ses efforts était dirigé contre l’Imam Ali , c’est bien pour cela qu’elle mena une bataille contre lui. Et au moment, où la nouvelle de la mort de l’Imam Ali lui parvint, elle se prosterna en remerciant Allah .

Allah , l’Omniscient, a ordonné aux femmes du Prophète : «Restez dans vos maisons, ne vous exhibez pas comme le faisaient les femmes à l’époque de l’ignorance (la Jahilliya). Pratiquez la Prière, donnez l’Aumône, obéissez à Dieu et à Son Prophète.»(Sourate 33, Verset 33)

Toutes les femmes du Prophète avaient obéi à cette injonction de Allah et aux Commandements du Prophète , qui les avait interdit et les avait prévenu avant sa mort : «L’une d’entre vous montera sur un chameau et aura derrière elle les chiens de al-Hawab.»(Ibn al-Athir, Vol.3, p.120 ) Toutes, à l’exception de Aisha. Elle avait désobéit au Prophète et aux ordres de Allah , en montant un chameau pour défier l’Emir des Croyants, l’Imam Ali , dans la bataille du Chameau.

Sans compter, son "erreur" vis à vis de l'imam Al Hassan (as), juger plutôt :

Le vœux de l’Imam Hassan était d’être enterré près du Prophète (sawa). Furent présent à l’enterrement Imam Houssen, Abdoullàh ibné Abbas, Abdoullàh ibné Jàffar et Mohammad-é-Hanafia. Comme le cortège funèbre se dirigeait vers la Mosquée du Prophète (sawa), Marwàne en informa Aïcha, qui s’est précipitée sur une mule vers la mosquée du Prophète (sawa) pour protester contre l’enterrement de l’Imam. Abdoullàh ibné Jàffar lui dit: "vous êtes venue sur une mule et un chameau (bataille de Jammal), le prochain sera sur un éléphant. Votre droit n’est que le 1/9 du 1/8. Comment pouvez vous tout réclamer?" Elle refusa que l’enterrement puisse avoir lieu aux cotés du Prophète et des flèches furent tirées sur le cercueil. Imam Houssen a ramené le corps à la maison, il a enlevé les flèches et a redonné un nouveau ghoussl et kaffane. Imam Hassen fut ensuite inhumé dans le Jannatoul Baqi près de sa grand-mère paternelle Fatimà bint Assad.

L'on peut constater que le mot "erreur" est inapproprié, le mot péchés conviendrait mieux. Quant à la science de Aicha, rien ne le corrobore dans l'histoire.

Salam alaykoum
 
Un jour, elle dit au Prophète à propos de Khadija, sa première femme : «Comment Khadija peut-elle être comparée à moi ! C’était une vieille femme aux joues rouges et Allah t’a donné meilleure qu’elle.» (Sahih al-Bukhari, Vol.5, Livre 58, N°168) Le Prophète se mit très en colère.

Salam alaykom,

Exact, Aisha disait egalement qu'elle etait jalouse de Khadija, ensuite le prophète lui dit « Par Allah, Il ne m’a pas donné mieux qu’elle! car elle m’a cru lorsque les gens m’ont mécru , elle m’a rendu véridique lorsque les autres m’ont dit que je mentais, elle m’a accordé de ses biens lorsque les gens m’en ont privé, et par la grâce d’Allah je n’ai eu de descendance que de cette femme .»

Donc, le prophète a éduqué sa jeune épouse et lui a apprit que l'amour n'est pas seulement la beauté.

Une fois, elle fit ces remarques au Prophète de Dieu : «C’est bien vous qui prétendez être le Prophète d’Allah […] Soyez juste ! »(hya al-Ulum, al-Ghazali, Chap.3, Vol.2 / Kanz al-Umal, al-Hindi, Vol.7, N°1020). Son père, qui était présent à ces côtés, lui administra une telle correction que du sang s’écoula.

Son comportement infernal en présence du Prophète de Dieu atteignit un tel degré
Ce que vous appellez un comportement infernal ne sont en réalité que des petites anecdotes entre un mari et ses femmes. Des petites confrontations dans un couple, ce qui est banal.

Quand Allah révéla au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) le verset dans lequel les femmes du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) étaient invitées à choisir soit de rester avec lui, soit de le quitter, le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) commença par elle et lui dit : « Ne te précipite pas avant de consulter tes parents ». Elle lui répondit : « Irai-je consulter mes parents pour ça ? En fait, je préfère Allah, Son messager et la demeure dernière. » Les autres femmes du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) suivirent son exemple et dirent la même chose.


que lorsqu’un jour, il était en train de prier, elle dirigea ses pieds en direction de l’endroit de la prosternation. Quand le Prophète se prosterna et les pinça, elle les retira. Ainsi, à nouveau, au moment où le Prophète se releva pour continuer sa prière, elle les remit à l’endroit de la prosternation.(Sahih al-Bukhari, Vol.1, Livre 8-9, N°379-492)
Une fois, Abu Horaira, dit qux gens :
"Si quelqu'un prie et qu'une femme ou un âne ou un chien passe devant lui, sa prière est annulée".
Quand ce récit arriva aux oreilles de Aicha, elle s'exclama :
"Quoi ! Veut il dire qu'une femme ne vaut pas mieux qu'un âne ou un chien ? Ma chambre etait si petite que mon Bistarah (matelas)
se trouvait juste en face du tapis de priere du Prophète. Quand il priait, j'étais allongée dans mon lit, mes pieds pendillant au dessus de son tapis. Quand il allait se prosterner, il touchait mes pieds et je les retirais. Je les tendais de nouveau apres cela. Il m'arrivait quelquefois par nécessité, de passer devant lui pendant qu'il priait.

Cette explication amena Abou Horaira a retirer ce qu'il avait dit.

Vous pardonnerez le prophète de ne pas avoir construit une maison plus grande ?

Voyons comment Aisha, sous l’effet de la jalousie, perd la notion de valeurs morales et se conduit en présence du Prophète d’une façon insane.

Elle dit : «Safiyya, la femme du Prophète envoya un plat qu’elle avait préparé pour lui, quand il était avec moi. Lorsque j’ai vu la servante, je tremblai avec rage et furie ; j’ai pris le récipient et je l’ai jeté. Puis elle dit : Le Prophète de Dieu me fixa ; j’ai vu la colère sur son visage et j’ai dit : ‘Je cherche la protection d’Allah contre la réprimande du Prophète aujourd’hui.’ Aisha dit : Il dit : ‘Arrange cela !’ J’ai dit : ‘Quelle est l’expiation, Ô Prophète de Dieu ? ’ Il dit : ‘Un plat comme le sien, et un récipient comme le sien.’»(Sunan an-Nisai, Vol.2, N°3895 / Musnad Ibn Hambal, Vol.6, p.227)

A une autre occasion en parlant d’elle : «J’ai dit au Prophète de Dieu : ‘Assez à propos de Safiyya, elle est ceci et cela.’ Le Prophète de Dieu me dit : ‘Tu as prononcé des mots qui, s’ils étaient mélangés à l’océan, sa couleur aurait changé.’»(Sahih-at Tirmidhi cite par Az-Zamakshari, p.73)
Ce ne sont encore que des petites anectodes de la jalousie d'aisha, qui ne sont qu'une goute d'eau par rapport a tous ses mérites.

Rapelons que c'est Dieu qui a choisi aisha pour le prophète et Dieu a déclaré "" Les mauvaises (femmes) aux mauvais (hommes),"" (Coran,24:26)

Allah n’aurait pas fait d’ Aïcha l’épouse du Messager d’Allah si elle n’était pas bonne, car le Messager est le meilleur des humains.Si elle était mauvaise, elle n’aurait pu lui appartenir du fait du destin et par décision religieuse.

Par Allah ! Quel genre de Mère des Croyants était Aisha, sans éthiques ni aucun respect des principes islamiques qui interdisent la médisance et la calomnie.
Elle fut l'une des plus grand professeur feminine de Médine. Meme les grands compagnons venaient se renseignez aupres d'elle.

Il n’y a aucune explication possible concernant la haine de Aisha envers les Ahlul Bayt si ce n’est sa jalousie. L’Histoire rapporte la haine incomparable de Aisha envers l’Imam Ali ,
Ca c'est les sources chiites. Alors que les sources sunnite, Ali a affirmé qu'elle est la femme du prophète ici bas et dans l'eau dela, et qu'il y a aucune inimité entre eux.

à tel point qu’elle n’était plus capable d’entendre son nom, ni le supporter quand il était devant lui. Quand elle entendit que les gens lui prêtaient allégeance après la mort de Uthman bin Affan, pour devenir Calife, elle dit : «Je souhaiterai que les cieux deviennent comme la terre avant que Ali n’y parvienne.»(At-Tabari, Ibn al-Athir)

Chacun de ses efforts était dirigé contre l’Imam Ali , c’est bien pour cela qu’elle mena une bataille contre lui. Et au moment, où la nouvelle de la mort de l’Imam Ali lui parvint, elle se prosterna en remerciant Allah .
Ca, c'est l'obescession chiite de creer une haine qui n'a jamais existé. Alors que pour les sunnite, ali et aicha se comportait tres bien l'un envers l'autre, il se sont excusé l'un envers l'autre apres la bataille et ont déclaré n'avoir aucune inimité l'un envers l'autre.



Allah , l’Omniscient, a ordonné aux femmes du Prophète : «Restez dans vos maisons, ne vous exhibez pas comme le faisaient les femmes à l’époque de l’ignorance (la Jahilliya). Pratiquez la Prière, donnez l’Aumône, obéissez à Dieu et à Son Prophète.»(Sourate 33, Verset 33)

Toutes les femmes du Prophète avaient obéi à cette injonction de Allah et aux Commandements du Prophète , qui les avait interdit et les avait prévenu avant sa mort : «L’une d’entre vous montera sur un chameau et aura derrière elle les chiens de al-Hawab.»(Ibn al-Athir, Vol.3, p.120 ) Toutes, à l’exception de Aisha. Elle avait désobéit au Prophète et aux ordres de Allah , en montant un chameau
D'une part, il faut bien que la propéthie se réalise, d'autre part elle voulait faire demi tour mais on l'obligea a continuer.

pour défier l’Emir des Croyants, l’Imam Ali , dans la bataille du Chameau.
pas pour défier l'émir, pluto pour venger Uthman dont certain se cachaient parmi les combattants d'Ali.

Sans compter, son "erreur" vis à vis de l'imam Al Hassan (as), juger plutôt :

Le vœux de l’Imam Hassan était d’être enterré près du Prophète (sawa). Furent présent à l’enterrement Imam Houssen, Abdoullàh ibné Abbas, Abdoullàh ibné Jàffar et Mohammad-é-Hanafia. Comme le cortège funèbre se dirigeait vers la Mosquée du Prophète (sawa), Marwàne en informa Aïcha, qui s’est précipitée sur une mule vers la mosquée du Prophète (sawa) pour protester contre l’enterrement de l’Imam. Abdoullàh ibné Jàffar lui dit: "vous êtes venue sur une mule et un chameau (bataille de Jammal), le prochain sera sur un éléphant. Votre droit n’est que le 1/9 du 1/8. Comment pouvez vous tout réclamer?" Elle refusa que l’enterrement puisse avoir lieu aux cotés du Prophète et des flèches furent tirées sur le cercueil. Imam Houssen a ramené le corps à la maison, il a enlevé les flèches et a redonné un nouveau ghoussl et kaffane. Imam Hassen fut ensuite inhumé dans le Jannatoul Baqi près de sa grand-mère paternelle Fatimà bint Assad.
Il restait une seule place, et elle etait reservé à Jésus. Dieu a choisit que Abu Bakr et Omar soit enterré entre 2 Prophètes. C'est un honneur que Dieu leur a accordé.

Quant à la science de Aicha, rien ne le corrobore dans l'histoire.
Au contraire, tous le corrobore. Elle est la femme qui a rapporté le plus de parole du prophète et qui a le plus ensigné en son temps. Il suffit d'ouvrir Bukhari, et de compter combien de paroles "Rapporté par Aicha"


Conclusion : Dieu a innocenté Aisha une fois dans le coran. Il faut egalement savoir que insulter aicha, c'est insulter le prophète.

Aïcha elle-même dit à propos de cette affaire: « Le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) s’est levé et , du haut de sa chaire , a rappelé Abdoullah ibn Oubey à l’ordre et a dit: Communauté musulmane! Lequel d’entre vous va rappeler à l’ordre un homme qui m’a atteint dans ma famille.Au nom d’Allah, je ne connais des miens que du bien,etc »

« . Allah vous exhorte à ne plus jamais revenir à une chose pareille si vous êtes croyants..... » (Coran,24:17) : « Il s’agit ici de « l’affaire Aïcha » qui impliquait une atteinte à l’honneur du Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) à travers sa famille, ce qui représente une mécréance de la part de son auteur. »
 
salam

Bien sur, il y a tous ses pleurs et sa célèbre déclaration "Ne m'enterrez pas aux côtés du Prophète, car j'ai commis une erreur apres lui"

Elle a eu le courage moral d'avouer ses erreurs et de s'en sentir sincèrement désolée. La preuve est qu'elle passa le reste de sa vie au service de l'islam, et c'était la femme la plus savante de son époque.

Que la paix soit sur vous mes frères et soeurs,

Je ne vois toujours aucune preuve si ce n'est tes paroles. Où sont les sources et références de tes paroles?
 
Salamoun'alaykom

Que la paix soit sur vous mes frères et soeurs,

Je ne vois toujours aucune preuve si ce n'est tes paroles. Où sont les sources et références de tes paroles?

Avec ses contes à rebours depuis qu'il a commencé avec nous, il y' a de quoi faire un petit roman, du genre " Ali Baba et les quarante voleurs". :cool:
 
Que la paix soit sur vous mes frères et soeurs,

Je ne vois toujours aucune preuve si ce n'est tes paroles. Où sont les sources et références de tes paroles?

http://sahih-bukhari.com/

[FONT=&quot]Sahih Bukhari Volume 5, Book 57, Number 116 :[/FONT][FONT=&quot] Narrated by Abu Wail [/FONT]
[FONT=&quot]When 'Ali sent 'Ammar and Al-Hasan to (the people of) Kufa to urge them to fight, 'Ammar addressed them saying, "I know that she (i.e. 'Aisha) is the wife of the Prophet in this world and in the Hereafter (world to come), but Allah has put you to test, whether you will follow Him (i.e. Allah) or her."[/FONT]

[FONT=&quot]Volume 9, Book 88, Number 221 :[/FONT][FONT=&quot] Narrated by Abu Wail [/FONT]
[FONT=&quot]'Ammar stood on the pulpit at Kufa and mentioned 'Aisha and her coming (to Busra) and said, "She is the wife of your Prophet in this world and in the Hereafter, but you people are being put to test in this issue."[/FONT]


L'illustre compagnon Ammar affirme que Aicha est la femme du prophete ici bas et dans l'au delà.

[FONT=&quot][/FONT]

Sahih Muslim, 5992
Anas b. Malik reported Allaah's Messenger (sallAllaahu alayhi wa sallam) as saying: The excellence of 'A'isha over women is like the excellence of Tharid over all other foods.
Sahih Muslim, 5979
'A'isha reported Allaah's Messenger (sallAllaahu alayhi wa sallam) having said: I saw you in a dream for three nights when an angel brought you to me in a silk cloth and he said: Here is your wife, and when I removed (the cloth) from your face, lo, it was yourself, so I said: If this is from Allaah, let Him carry it out.

Abou Moussa -Qu'Allah l'agrée- a dit :
« Nous n'avons, nous, compagnons du Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- , pas une ambiguïté sur un Hadith, sans que nous n'interrogions 'Aïcha et que nous trouvions en elle, la science de ce Hadith .» Hadith hassan sahih rapporté par Tirmidhî n°4883.

Ibn abi Malika -Qu'Allah l'agrée- a dit : Ibn 'Abbas -Qu'Allah l'agrée- demanda la permission de voir 'Aïcha peu de temps avant sa mort, alors qu'elle était semi-consciente, elle dit : « Je crains qu'il ne me fasse des éloges » et l'on annonça le cousin du Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- , elle dit : « Autorisez le ! ».
Il dit : « Comment te portes-tu ? », elle lui répondit : « Je vais bien si je crains Allah »,
Il lui dit : « Sens-toi bien In-cha-Allah, tu es la femme du Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- , il n'a épousé de vierge que toi, Il (Allah) t'a innocenté du haut des cieux »
Az-Zoubeïr -Qu'Allah l'agrée- rentra après lui et elle lui dit :
« Ibn 'Abbas est entré, m'a fait des éloges alors que j'aurai aimé être oubliée.» Hadith rapporté par al Boukharî Volume 6.60.277
 
Salam alaykom,

Exact, Aisha disait egalement qu'elle etait jalouse de Khadija, ensuite le prophète lui dit « Par Allah, Il ne m’a pas donné mieux qu’elle! car elle m’a cru lorsque les gens m’ont mécru , elle m’a rendu véridique lorsque les autres m’ont dit que je mentais, elle m’a accordé de ses biens lorsque les gens m’en ont privé, et par la grâce d’Allah je n’ai eu de descendance que de cette femme .»

Donc, le prophète a éduqué sa jeune épouse et lui a apprit que l'amour n'est pas seulement la beauté.

Ce que vous appellez un comportement infernal ne sont en réalité que des petites anecdotes entre un mari et ses femmes. Des petites confrontations dans un couple, ce qui est banal.

Quand Allah révéla au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) le verset dans lequel les femmes du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) étaient invitées à choisir soit de rester avec lui, soit de le quitter, le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) commença par elle et lui dit : « Ne te précipite pas avant de consulter tes parents ». Elle lui répondit : « Irai-je consulter mes parents pour ça ? En fait, je préfère Allah, Son messager et la demeure dernière. » Les autres femmes du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) suivirent son exemple et dirent la même chose.


Une fois, Abu Horaira, dit qux gens :
"Si quelqu'un prie et qu'une femme ou un âne ou un chien passe devant lui, sa prière est annulée".
Quand ce récit arriva aux oreilles de Aicha, elle s'exclama :
"Quoi ! Veut il dire qu'une femme ne vaut pas mieux qu'un âne ou un chien ? Ma chambre etait si petite que mon Bistarah (matelas)
se trouvait juste en face du tapis de priere du Prophète. Quand il priait, j'étais allongée dans mon lit, mes pieds pendillant au dessus de son tapis. Quand il allait se prosterner, il touchait mes pieds et je les retirais. Je les tendais de nouveau apres cela. Il m'arrivait quelquefois par nécessité, de passer devant lui pendant qu'il priait.

Cette explication amena Abou Horaira a retirer ce qu'il avait dit.

Vous pardonnerez le prophète de ne pas avoir construit une maison plus grande ?

Ce ne sont encore que des petites anectodes de la jalousie d'aisha, qui ne sont qu'une goute d'eau par rapport a tous ses mérites.

Rapelons que c'est Dieu qui a choisi aisha pour le prophète et Dieu a déclaré "" Les mauvaises (femmes) aux mauvais (hommes),"" (Coran,24:26)

Allah n’aurait pas fait d’ Aïcha l’épouse du Messager d’Allah si elle n’était pas bonne, car le Messager est le meilleur des humains.Si elle était mauvaise, elle n’aurait pu lui appartenir du fait du destin et par décision religieuse.

Elle fut l'une des plus grand professeur feminine de Médine. Meme les grands compagnons venaient se renseignez aupres d'elle.

Ca c'est les sources chiites. Alors que les sources sunnite, Ali a affirmé qu'elle est la femme du prophète ici bas et dans l'eau dela, et qu'il y a aucune inimité entre eux.

Ca, c'est l'obescession chiite de creer une haine qui n'a jamais existé. Alors que pour les sunnite, ali et aicha se comportait tres bien l'un envers l'autre, il se sont excusé l'un envers l'autre apres la bataille et ont déclaré n'avoir aucune inimité l'un envers l'autre.



D'une part, il faut bien que la propéthie se réalise, d'autre part elle voulait faire demi tour mais on l'obligea a continuer.

pas pour défier l'émir, pluto pour venger Uthman dont certain se cachaient parmi les combattants d'Ali.

Il restait une seule place, et elle etait reservé à Jésus. Dieu a choisit que Abu Bakr et Omar soit enterré entre 2 Prophètes. C'est un honneur que Dieu leur a accordé.

Au contraire, tous le corrobore. Elle est la femme qui a rapporté le plus de parole du prophète et qui a le plus ensigné en son temps. Il suffit d'ouvrir Bukhari, et de compter combien de paroles "Rapporté par Aicha"


Conclusion : Dieu a innocenté Aisha une fois dans le coran. Il faut egalement savoir que insulter aicha, c'est insulter le prophète.

Aïcha elle-même dit à propos de cette affaire: « Le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) s’est levé et , du haut de sa chaire , a rappelé Abdoullah ibn Oubey à l’ordre et a dit: Communauté musulmane! Lequel d’entre vous va rappeler à l’ordre un homme qui m’a atteint dans ma famille.Au nom d’Allah, je ne connais des miens que du bien,etc »

« . Allah vous exhorte à ne plus jamais revenir à une chose pareille si vous êtes croyants..... » (Coran,24:17) : « Il s’agit ici de « l’affaire Aïcha » qui impliquait une atteinte à l’honneur du Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) à travers sa famille, ce qui représente une mécréance de la part de son auteur. »

Salam alaykoum,

Alors que je t'ai donné les sources authentiques de ce que j'avance, toi, tu n'avances aucune source, juste une tentative d'explication exotérique des faits.

D'autre part, Si l’on examine la vie de Aicha avec son époux, le Prophète de Dieu (sawa), on apercevra qu’elle a commit de nombreux péchés et actes de désobéissance, de plus, elle conspira avec Hafsa contre le Prophète , à tel point qu’il fut obligé de déclarer illicite ce que Allah avait rendu licite pour lui, comme rapporté dans al-Bukhari et Muslim. Elle avait aussi cette habitude de discuter les ordres du Prophète comme il est établi dans les livres de hadiths, de tafsir, et Allah mentionne ces évènements dans le Coran. Sa jalousie et ses désirs contrôlaient tellement son cœur et son esprit qu’elle se conduisait sans respect en présence du Prophète de Dieu (sawa).

Mais toi, tu considère cela comme des anecdotes entre un couple ordinaire ou pour reprendre tes termes "ce qui a de plus banal", considérerais-tu le prophète comme un être banal ou ordinaire ? Quant au fait que pour occulter le comportement plus que réprimant de Aisha, tu nous sorte le verset : " Les mauvaises (femmes) aux mauvais (hommes),"" (Coran,24:26), considèrerais-tu la femme de Pharaon comme mauvaise ? Considérais-tu Noe et Loth comme mauvais ? Considérerais-tu notre bien aimé prophète comme mauvais ?

Peut être veux tu d'autres preuves ? Alors qu'à cela ne tienne :

Sa jalousie avait atteint un tel seuil qu’elle mentit à Asma bint al-Numan quand elle devint l’épouse du Prophète en lui disant : «Le Prophète aime une femme, qui, quand il s’approche d’elle, lui dit : ‘Je cherche refuge auprès d’Allah contre toi.’»(Tabari, Vol.39, p.188-190 / Al-Mustadrak, al-Hakim, Vol.4, p.37) L’objectif implicite fut celui de commettre l’irréparable, c'est-à-dire, le divorce entre cette femme innocente, et le Prophète , en raison de ces paroles blessantes.

Aisha avait l’habitude d’offenser le Prophète et le rendait triste, mais le Prophète qui était compatissant et sage, lui disait : «Ton Satan t’a rendu confus, Ô Aisha.»(Sahih al-Bukhari, Vol.1, Livre 8-9, N°379-492) Il fut très souvent attristé en raison des versets qui furent révélés pour Aisha et Hafsa, particulièrement à cause de leurs comportements, par exemple, ‘(…) si toutes les deux, vous revenez à Dieu, étant donné que vos cœurs ont déjà dévié (de la droiture) ; mais si vous vous soutenez mutuellement contre le Prophète, sachez que Dieu est son Maître (…) Il se peut qu’il vous répudie, son Seigneur lui donne en échange des épouses meilleures que vous soumises à Dieu, croyantes, pieuses, repentantes, adoratrices, pratiquant le jeûne (…) ’ (Sourate at-Tahrim). Ces versets de la sourate at-Tahrim concernent Aisha et Hafsa selon le témoignage de Umar bin al-Khattab (Sahih al-Bukhari, Vol.7, Livre 62, N°119) Ceci prouve que ces deux femmes ne furent en aucun cas les meilleures parmi les musulmanes et que d’autres femmes croyantes et meilleures qu’elles existaient à ces moments là.

Allah , dans le Coran, avertit ces deux femmes et les musulmans, qu’aucune femme d’un Prophète n’entrera au Paradis sans être interrogée sur les actes. «Dieu donne aux mécréants, comme exemple, la femme de Noé et la femme de Lut. Elles étaient sous l’autorité de nos deux adorateurs vertueux et elles les trahirent. (…) ‘Entrez au Feu, avec ceux qui y entrent’.»(Sourate at-Tahrim) A l’inverse, Allah donne l’exemple de deux femmes croyantes et intègres, la femme du Pharaon et la mère de Issa .

A nouveau, Aisha, la Mère des Croyants, rapportent à propos de sa jalousie envers les autres femmes du Prophète . Elle dit : «Je n’ai jamais été aussi jalouse d’aucune des femmes comme je le fus de Mariya. Cela, puisqu’elle avait de jolis bracelets et que le Prophète de Dieu était attiré par elle. Lorsque la première fois elle fut emmenée, elle avait l’habitude de rester dans la maison de Haritha bin al-Nu’man. Nous lui faisions peur et je me suis inquiétée. Le Prophète l’envoya dans un endroit plus serein où il pourrait la rendre visite. Cela fut très compliqué pour nous, et puis Allah lui accorda un fils et nous l’évitions.»(At-Tabaqat, Ibn Sad, Vol.8, p.212 / Al-Ansab al-Ashraf, al-Baladuri, Vol.1, p.339 )

La jalousie de Aisha dépassa la personne de Mariya, et fut dirigée contre son fils, Ibrahim, encore nouveau-né. Elle dit : «Quand Ibrahim naquit, le Prophète de Dieu me l’apporta et me dit : ‘Regarde comment il me ressemble.’ J’ai dit : ‘Je ne vois aucune ressemblance.’ Il dit : ‘Ne vois tu pas sa robustesse et sa beauté ?’ J’ai dit : ‘Celui qui est nourri avec du lait de chèvre devient robuste et beau.’»(At-Tabaqat, Ibn Sad, Vol.1, p.37)

Quand Aisha fut dépassée par la suspicion et les insinuations sataniques, sa jalousie dépassa toutes les frontières, et au-delà de tout mots, elle commença à suspecter le Prophète de Dieu . Très souvent, elle prétendait s’être endormie quand le Prophète était chez elle, mais elle l’observait, et l’espionnait dans l’obscurité de la nuit, et le suivait en allant derrière lui. Voici ce qu’on rapporte selon ses propres mots, dans le livre de hadiths de Muslim, de l’imam Ahmad, et d’autres rapporteurs.

Elle dit : «Lorsque ce fut la nuit où le Prophète de Dieu devait la passer chez moi, il entra et enleva ses survêtements, se déchaussa et déposa ses chaussures près de ses pieds. Puis il étala ses sous-vêtements sur le lit et s’allongea. Il ne resta pas très longtemps après qu’il eut vérifié que j’étais endormie. Après quoi, il pris ses vêtements doucement et silencieusement, mis ses chaussures, ouvrit la porte et en sortant ferma la porte sans faire de bruits. Je me suis rhabillée, me couvrit la tête, et j’ai suivi ses pas jusqu’à ce que j’arrive au cimetière de Baqi. Il y resta pendant un bon moment, puis leva ses mains trois fois, puis il revint très rapidement sur ses pas, ce que je fus également. Je l’ai précédé et je suis entrée dans la maison. A peine était-il entré dans la maison qu’il dit : ‘Ô Aisha, qu’est ce, je vois que tu es habillée ?’ J’ai dit : ‘Il n’y a rien.’ Il dit : ‘Sois tu me le dis ou bien Allah m’en informera.’ J’ai dit : ‘Ô Messager de Dieu , ma mère et mon père soient sacrifiés pour toi.’ Il dit : ‘C’était donc toi la silhouette noire que j’ai vu devant moi ?’ J’ai dit : ‘Oui.’ Aussi il fournit une légère pression sur ma poitrine ce qui me fit mal. Puis il dit : ‘Penses-tu que Allah et son Messager peuvent être injustes envers toi ?’»(Sahih Muslim, Livre 4, N°2127 / Musnad Ibn Hambal, Vol.6, p.147)

A une autre occasion, elle dit : «J’avais perdu la trace du Prophète de Dieu et j’ai commencé à suspecter qu’il soit allé chez une de ses femmes. Je suis allé le chercher et je l’ai trouvé en prosternation, disant ‘O Mon Dieu, Pardonne moi.’»(Musnad Ibn Hambal, Vol.6, p.147)

Une autre fois, elle dit : «Une nuit, quand il était avec moi, le Prophète de Dieu sortit. Je suis devenue très jalouse. Quand il revint et vit ce que j’avais fait, il dit : ‘Quel est le problème, Ô Aisha ? Es-tu jalouse ?’ J’ai répondu : ‘Et pourquoi celles comme moi ne devraient-elles pas devenir jalouses des personnes comme vous.’ Le Prophète dit : ‘Est-ce que le démon a pris possession de toi ?’»(Musnad Ibn Hambal, Vol.6, p.115)

Qui ne se rappelle pas des conseils de Umm Salama à Aisha, avant qu’elle n’aille combattre l’Emir des Croyants, l’Imam Ali ?

Umm Salama dit : «Rappelle toi le jour où le Prophète poursuivait son chemin, et nous étions avec lui, et il tourna à gauche (de la place nommée) de Qadid, et s’assit avec Ali , et discuta pendant un long moment avec lui. Tu as voulu prendre les affaires en main. J’ai essayé de t’en empêcher, mais tu m’as désobéi, et tu t’es immiscée dans la discussion. Puis tu es revenue en pleures. Je t’ai demandé : ‘Qu’est ce qui s’est passé ?’ Et tu as répondu : ‘Je les ai approché et ils étaient en pleine conversation. Donc, j’ai dit à Ali : ‘Je n’ai qu’un jour sur neuf avec le Prophète de Dieu , Ô fils de Abu Talib , laisse moi avec lui, en ce jour.’ Le Prophète se tourna vers moi, il était rouge de colère et il dit : ‘Retourne ! Par Allah , seule une personne ayant abandonné sa foi peut le haïr.’ Puis je suis retournée triste et repentie. Aisha dit : ‘Oui, je me souviens de cela.’»(Ibn Abi al-Hadid, Vol.2, p.77)

Umm Salama continua : «Je te rappelle également que toi et moi étions avec le Prophète de Dieu quand il dit : ‘L’une d’entre vous montera sur un chameau et aura derrière elle les chiens de al-Hawab et elle aura dévié du droit chemin.’ Nous avons dit : ‘Nous demandons la protection de Allah et celle de Son Prophète contre cela.’ Puis il t’a touché le dos et dit : ‘Ne sois pas l’une d’elle, Ô Humayra.’ Aisha dit : ‘Je me souviens de cela.’»(Ibn Abi al-Hadid, Vol.2, p.77)

Umm Salama poursuiva : «Rappelle toi ce jour quand ton père vint avec Umar, alors nous nous sommes voilées. Ils sont entrés et ont parlé de ce qu’ils voulaient, jusqu’à ce qu’ils disent : ‘Ô Prophète de Dieu , nous ne savons pas combien de temps vous resterez à nos côtés. Si seulement vous pouviez être là pour nous dire qui sera le Calife après vous, ainsi nous pourrions nous tourner vers lui.’ Il leur dit : ‘Personnellement, j’ai vu sa position parmi vous. Vous allez tous tomber dans une désunion, comme les israéliens qui se sont séparés de Haroun.’ Ils sont restés silencieux et nous ont quitté. Après qu’ils soient partis, nous sommes venues auprès du Prophète de Dieu , et je lui ai demandé : ‘Ô Messager de Dieu , qui as-tu nommé Calife sur eux ?’ Il dit : ‘Celui porte la chaussure rapiécée.’ Nous sommes sorties et nous vu que c’était Ali . Tu as dit : ‘Ô Prophète de Dieu , je ne vois personne d’autre que Ali .’ Il dit : ‘C’est bien lui.’ Aisha dit : ‘Oui, je me rappelle.’ Umm Salama lui dit : ‘Alors, Aisha comment peux-tu aller de l’avant ?’ Elle répondit : ‘Je vais de l’avant uniquement pour réconcilier le peuple.’»(Ibn Abi al-Hadid, Vol.2, p.77)

Umm Salama a essayé de prévenir Aisha, en usant de mots très durs : «Les piliers de l’Islam, s’ils se courbent, ils ne seront pas dressés par la femme, et s’ils se cassent, ils ne seront pas joints par la femme. Soient louées les femmes, qui abaissent leur regard, et qui restent chastes. Que répondras-tu au Prophète de Dieu , s’il apparaît devant toi dans l’un de ces déserts et te trouve sur un chameau allant d’un oasis à un autre ? Par Allah , si je m’embraquais avec toi dans ce périple, et qu’il me soit dit : ‘Entre au Paradis.’ Alors je serais embarrassée, ne pouvant faire face au Prophète , après avoir rejeter les voiles qu’il a placé sur moi.»(Kitab al-Musanif fi Garib al-Hadith,Ibn Qutayba)

Aisha n’a pas écouté les conseils de nombreux Compagnons, comme le cite Tabari : «Jariya bin Quddamab al-Saidi lui dit : ‘Ô Mère des Croyants, par Allah , le meurtre de Uthman est moins méprisable que ce que tu es en train de faire, en montant ce chameau et en portant les armes. Allah a imposé sur toi le voile et t’as donné un caractère sacré, tu as détruit ta couverture et tu as souillé ce respect. Certes celui qui voit ton soulèvement, voit ta destruction. Si tu viens à nous par obéissance, alors retourne chez toi. Si tu viens à nous avec un esprit belliqueux, alors cherche l’aide du peuple.»(At-Tabari, Vol.6, p.482 ).

Salam alaykoum
 
Que la paix soit sur toi mon frère,

C'est bien tu as fait un effort, tu as apporté des références mais je ne vois rien concernant son "repentir" d'avoir combattu l'Imam Ali (as). C'est ça que je te demandais.
 
Que la paix soit sur toi mon frère,

C'est bien tu as fait un effort, tu as apporté des références mais je ne vois rien concernant son "repentir" d'avoir combattu l'Imam Ali (as). C'est ça que je te demandais.

786-92-110

Wa Salaam.


Toujours les mêmes balivernes des jeunes griots perses de la cour des califes Omeyyades et abbasides...Elle s'était déjà repentie d'avoir trahi le saint Prophète :saws: ??? Certes je ne dirais pas comme ce autre poète que le cas de nos chers Imams Ali et Al Hassan :)as: à tous) sont des "anecdotes banales", mais on ne va tout de même pas sauter ses co-épouses croyantes ( mères des Croyants) comme Marya al Gyptya, Maîmouna ou Zaynab bint Jach...sans oublier Khadijat al Koubra :)radiallah à tous) qu'elle a calomniée avec sa jalousie excessive sans jamais se repentir... Que Neni, elle essuiera même des baffes de l'autre Calife-bédouin de son Père pour les turpitudes sus-mentionnées.

"Wa makarou Makrallah Wallahou khayroun ma'akirine"

Après qu'elle se soit rendue compte que Mou'awiya (l.a) a ordonné l'assassinat de son noble et digne frère Mohammad ibn Abou Bakar :radiallah , qui a été enfoui dans les viscères d'une âne, avant d'être brulé par Amr ibn Al Aç, elle a été ensevellie vivante dans une trappe à Damas par le même mou'awiya qui craignait qu'elle ne se répande en invectives comme elle l'avait faite avec son parent Ousman ibn Affane... c'est ainsi qu'elle trépassa et on ne connait même plus exactement le lieu de sa sépulture...

C'est seulement les passionarias dogmatiques des salafo-wahhabis avec la mythologie légendaire des poètes-griots persans qui divinisent presque, cette dame qui à elle seule, représenterait LA MOITIE DE LA RELIGION DES BÉDOUINS JAHILITES ET LEURS SUCCESSEURS CONTEMPORAINS. LES NACIBIS.

Ma'a Salaam
 
Quant au fait que pour occulter le comportement plus que réprimant de Aisha, tu nous sorte le verset : " Les mauvaises (femmes) aux mauvais (hommes),"" (Coran,24:26), considèrerais-tu la femme de Pharaon comme mauvaise ? Considérais-tu Noe et Loth comme mauvais ? Considérerais-tu notre bien aimé prophète comme mauvais ?

salam alaykom,

La femme de pharaon etait marié bien avant que Moise deviennent Prophete. On ne sait pas si Noe et Loth se sont marié avant leur mission de prophete ou apres.

Par contre , on sait que Muhammed etait prophète lors de son mariage, et donc le verset s'applique à Muhammed .

De même, les bonnes [femmes] aux bons [hommes], et les bons [hommes] aux bonnes [femmes]. Ceux-là sont innocents de ce que les autres disent. Ils ont un pardon et une récompense généreuse. 24.26

Ceux qui lancent des accusations contre des femmes vertueuses, chastes [qui ne pensent même pas à commettre la turpitude] et croyantes sont maudits ici-bas comme dans l´au-delà; et ils auront un énorme châtiment, 24.23

Aisha est l'une de ses femmes que Dieu qualifie de chastes, croyantes, vertueuses.


Aisha avait l’habitude d’offenser le Prophète et le rendait triste, mais le Prophète qui était compatissant et sage, lui disait : «Ton Satan t’a rendu confus, Ô Aisha.»(Sahih al-Bukhari, Vol.1, Livre 8-9, N°379-492)
Ca se trouve pas dans Bukhari :

Volume 1, Book 8, Number 379 :
'Aisha the wife of the Prophet said, "I used to sleep in front of Allah's Apostle and my legs were opposite his Qibla and in prostration he pushed my legs and I withdrew then and when he stood, I stretched them.' 'Aisha added, "In those days the houses were without lights."

Volume 1, Book 9, Number 492 :
The wife of the Prophet, "I used to sleep in front of Allah's Apostle with my legs opposite his Qibla (facing him); and whenever he prostrated, he pushed my feet and I withdrew them and whenever he stood, I stretched them." 'Aisha added, "In those days there were no lamps in the houses."


Il fut très souvent attristé en raison des versets qui furent révélés pour Aisha et Hafsa, particulièrement à cause de leurs comportements, par exemple, ‘(…) si toutes les deux, vous revenez à Dieu, étant donné que vos cœurs ont déjà dévié (de la droiture) ; mais si vous vous soutenez mutuellement contre le Prophète, sachez que Dieu est son Maître (…) Il se peut qu’il vous répudie, son Seigneur lui donne en échange des épouses meilleures que vous soumises à Dieu, croyantes, pieuses, repentantes, adoratrices, pratiquant le jeûne (…) ’ (Sourate at-Tahrim). Ces versets de la sourate at-Tahrim concernent Aisha et Hafsa selon le témoignage de Umar bin al-Khattab (Sahih al-Bukhari, Vol.7, Livre 62, N°119) Ceci prouve que ces deux femmes ne furent en aucun cas les meilleures parmi les musulmanes et que d’autres femmes croyantes et meilleures qu’elles existaient à ces moments là.
Concernant Hafza, Omar avait proposer sa main à Uthman et à Ali. Mais ils avaient refusé. Il parti se plaindre au prophète, et le prophète lui dit : Hafza epousera un meilleur que Othman.

33.28 Ô Prophète! Dis à tes épouses: "Si c´est la vie présente que vous désirez et sa parure, alors venez! Je vous demanderai [les moyens] d´en jouir et vous libérerai [par un divorce] sans préjudice.
33.29 Mais si c´est Allah que vous voulez et Son messager ainsi que la Demeure dernière, Allah a préparé pour les bienfaisantes parmi vous une énorme récompense.

Voici ce qui a réjouit le prophète, il leur a proposé la vie présent ou l'au delà, elles ont toute répondu l'au dela.

Allah , dans le Coran, avertit ces deux femmes et les musulmans, qu’aucune femme d’un Prophète n’entrera au Paradis sans être interrogée sur les actes.
C'est plutot marqué "Dieu donne aux mécréants, comme exemple"


A nouveau, Aisha, la Mère des Croyants, rapportent à propos de sa jalousie envers les autres femmes du Prophète . Elle dit : «Je n’ai jamais été aussi jalouse d’aucune des femmes comme je le fus de Mariya. Cela, puisqu’elle avait de jolis bracelets et que le Prophète de Dieu était attiré par elle. Lorsque la première fois elle fut emmenée, elle avait l’habitude de rester dans la maison de Haritha bin al-Nu’man. Nous lui faisions peur et je me suis inquiétée. Le Prophète l’envoya dans un endroit plus serein où il pourrait la rendre visite. Cela fut très compliqué pour nous, et puis Allah lui accorda un fils et nous l’évitions.»(At-Tabaqat, Ibn Sad, Vol.8, p.212 / Al-Ansab al-Ashraf, al-Baladuri, Vol.1, p.339 )

La jalousie de Aisha dépassa la personne de Mariya, et fut dirigée contre son fils, Ibrahim, encore nouveau-né. Elle dit : «Quand Ibrahim naquit, le Prophète de Dieu me l’apporta et me dit : ‘Regarde comment il me ressemble.’ J’ai dit : ‘Je ne vois aucune ressemblance.’ Il dit : ‘Ne vois tu pas sa robustesse et sa beauté ?’ J’ai dit : ‘Celui qui est nourri avec du lait de chèvre devient robuste et beau.’»(At-Tabaqat, Ibn Sad, Vol.1, p.37)
Je ne connais pas les sources.

Quand Aisha fut dépassée par la suspicion et les insinuations sataniques, sa jalousie dépassa toutes les frontières, et au-delà de tout mots, elle commença à suspecter le Prophète de Dieu . Très souvent, elle prétendait s’être endormie quand le Prophète était chez elle, mais elle l’observait, et l’espionnait dans l’obscurité de la nuit, et le suivait en allant derrière lui. Voici ce qu’on rapporte selon ses propres mots, dans le livre de hadiths de Muslim, de l’imam Ahmad, et d’autres rapporteurs.
Ce que tu appelle suspicion et insinuations satanique, ne sont que la curiosité feminine qui s'étonne que son mari sorte en pleine nuit sans la prévenir, alors que c'était son jour à elle.

Elle dit : «Lorsque ce fut la nuit où le Prophète de Dieu devait la passer chez moi, il entra et enleva ses survêtements, se déchaussa et déposa ses chaussures près de ses pieds. Puis il étala ses sous-vêtements sur le lit et s’allongea. Il ne resta pas très longtemps après qu’il eut vérifié que j’étais endormie. Après quoi, il pris ses vêtements doucement et silencieusement, mis ses chaussures, ouvrit la porte et en sortant ferma la porte sans faire de bruits. Je me suis rhabillée, me couvrit la tête, et j’ai suivi ses pas jusqu’à ce que j’arrive au cimetière de Baqi. Il y resta pendant un bon moment, puis leva ses mains trois fois, puis il revint très rapidement sur ses pas, ce que je fus également. Je l’ai précédé et je suis entrée dans la maison. A peine était-il entré dans la maison qu’il dit : ‘Ô Aisha, qu’est ce, je vois que tu es habillée ?’ J’ai dit : ‘Il n’y a rien.’ Il dit : ‘Sois tu me le dis ou bien Allah m’en informera.’ J’ai dit : ‘Ô Messager de Dieu , ma mère et mon père soient sacrifiés pour toi.’ Il dit : ‘C’était donc toi la silhouette noire que j’ai vu devant moi ?’ J’ai dit : ‘Oui.’ Aussi il fournit une légère pression sur ma poitrine ce qui me fit mal. Puis il dit : ‘Penses-tu que Allah et son Messager peuvent être injustes envers toi ?’»(Sahih Muslim, Livre 4, N°2127 / Musnad Ibn Hambal, Vol.6, p.147)
Tu ne raconte pas la suite du hadith?

Et le prophète lui raconta que gabriel l'a appelé à baqi. Le prophète lui a dit qu'il ne l'a pas reveillé parce qu'il a eu peur qu'elle s'inquiette.



Qui ne se rappelle pas des conseils de Umm Salama à Aisha, avant qu’elle n’aille combattre l’Emir des Croyants, l’Imam Ali ?

Umm Salama dit : «Rappelle toi le jour où le Prophète poursuivait son chemin, et nous étions avec lui, et il tourna à gauche (de la place nommée) de Qadid, et s’assit avec Ali , et discuta pendant un long moment avec lui. Tu as voulu prendre les affaires en main. J’ai essayé de t’en empêcher, mais tu m’as désobéi, et tu t’es immiscée dans la discussion. Puis tu es revenue en pleures. Je t’ai demandé : ‘Qu’est ce qui s’est passé ?’ Et tu as répondu : ‘Je les ai approché et ils étaient en pleine conversation. Donc, j’ai dit à Ali : ‘Je n’ai qu’un jour sur neuf avec le Prophète de Dieu , Ô fils de Abu Talib , laisse moi avec lui, en ce jour.’ Le Prophète se tourna vers moi, il était rouge de colère et il dit : ‘Retourne ! Par Allah , seule une personne ayant abandonné sa foi peut le haïr.’ Puis je suis retournée triste et repentie. Aisha dit : ‘Oui, je me souviens de cela.’»(Ibn Abi al-Hadid, Vol.2, p.77)

Umm Salama continua : «Je te rappelle également que toi et moi étions avec le Prophète de Dieu quand il dit : ‘L’une d’entre vous montera sur un chameau et aura derrière elle les chiens de al-Hawab et elle aura dévié du droit chemin.’ Nous avons dit : ‘Nous demandons la protection de Allah et celle de Son Prophète contre cela.’ Puis il t’a touché le dos et dit : ‘Ne sois pas l’une d’elle, Ô Humayra.’ Aisha dit : ‘Je me souviens de cela.’»(Ibn Abi al-Hadid, Vol.2, p.77)

Umm Salama poursuiva : «Rappelle toi ce jour quand ton père vint avec Umar, alors nous nous sommes voilées. Ils sont entrés et ont parlé de ce qu’ils voulaient, jusqu’à ce qu’ils disent : ‘Ô Prophète de Dieu , nous ne savons pas combien de temps vous resterez à nos côtés. Si seulement vous pouviez être là pour nous dire qui sera le Calife après vous, ainsi nous pourrions nous tourner vers lui.’ Il leur dit : ‘Personnellement, j’ai vu sa position parmi vous. Vous allez tous tomber dans une désunion, comme les israéliens qui se sont séparés de Haroun.’ Ils sont restés silencieux et nous ont quitté. Après qu’ils soient partis, nous sommes venues auprès du Prophète de Dieu , et je lui ai demandé : ‘Ô Messager de Dieu , qui as-tu nommé Calife sur eux ?’ Il dit : ‘Celui porte la chaussure rapiécée.’ Nous sommes sorties et nous vu que c’était Ali . Tu as dit : ‘Ô Prophète de Dieu , je ne vois personne d’autre que Ali .’ Il dit : ‘C’est bien lui.’ Aisha dit : ‘Oui, je me rappelle.’ Umm Salama lui dit : ‘Alors, Aisha comment peux-tu aller de l’avant ?’ Elle répondit : ‘Je vais de l’avant uniquement pour réconcilier le peuple.’»(Ibn Abi al-Hadid, Vol.2, p.77)

Umm Salama a essayé de prévenir Aisha, en usant de mots très durs : «Les piliers de l’Islam, s’ils se courbent, ils ne seront pas dressés par la femme, et s’ils se cassent, ils ne seront pas joints par la femme. Soient louées les femmes, qui abaissent leur regard, et qui restent chastes. Que répondras-tu au Prophète de Dieu , s’il apparaît devant toi dans l’un de ces déserts et te trouve sur un chameau allant d’un oasis à un autre ? Par Allah , si je m’embraquais avec toi dans ce périple, et qu’il me soit dit : ‘Entre au Paradis.’ Alors je serais embarrassée, ne pouvant faire face au Prophète , après avoir rejeter les voiles qu’il a placé sur moi.»(Kitab al-Musanif fi Garib al-Hadith,Ibn Qutayba)

Aisha n’a pas écouté les conseils de nombreux Compagnons, comme le cite Tabari : «Jariya bin Quddamab al-Saidi lui dit : ‘Ô Mère des Croyants, par Allah , le meurtre de Uthman est moins méprisable que ce que tu es en train de faire, en montant ce chameau et en portant les armes. Allah a imposé sur toi le voile et t’as donné un caractère sacré, tu as détruit ta couverture et tu as souillé ce respect. Certes celui qui voit ton soulèvement, voit ta destruction. Si tu viens à nous par obéissance, alors retourne chez toi. Si tu viens à nous avec un esprit belliqueux, alors cherche l’aide du peuple.»(At-Tabari, Vol.6, p.482  ).
Pour ma part, je ne prete pas confiance en ces référence qui ont été rejeté par les savants sunnites.

Ce que les compagnons savaient, est que aicha etait la femme préféré du prophète apres la mort de kahdija. Ils avaient une complicité entre mari et femme qui n'y avait pas chez les autres. Par exemple les courses de chevaux entre Aisha et le Prophete...

Et le prophete est mort entre les bras de son epouse Aisha, dans sa maison, et il fut enterré dans la maison de Aisha. (Bukhari Volume 5, Book 59, Number 732)
 

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