copié et collé pour la poudre d'escampette
Assalamou alaykoum
A question simplement bête!
Réponse Simple du Fan club Bukhari!
Dans l’espoir d’acquérir le savoir et de compiler des hadiths exacts (ou intègres) [en arabe : sahîh]
ce site détient il les droits d'auteur et le brevet d'authenticité des Sihahs de Boukhari et muslim?
Hmm! Pour l'imbroglio ... Voici!
C'est la Sémantique du terme SAHIH et des ouvrages pris individuellement et séparément de Al Boukhari qui l'intéresse. Ce n'est plus ce que rapporte l'auteur et sa compétence en la matière!
Lisez plutôt qui est le savant Al-Bukhari , Maitre des deux Disciples Muslim et Thirmidhi! Bukhari a appris chez MALIK ibn ANAS chez qui il a mémorisé l'ouvrage Al Mouatta entièrement en deux jours ! Il a aussi étudié et appris des trois autres Imams ( des mosquées et madrassas) des écoles Sunnites Calipho-Rashidounes et omeyyades qui sont: Ahmad ibn hanbal, Shafi'y , Abou Hanifa ( élève de L'IMAM Ja'afar As- Sadiq:as.
Portrait robot de Al Boukhari
L’Imâm des musulmans, l’Exemple des pieux, le Savant du
Hadîth et la Référence des savants, Abû `Abd Allâh Mu
hammad Ibn Ismâ`îl Ibn Ibrâhîm Ibn Al-Mughîrah Ibn Bardizbah, surnommé Al-Bukhâri, en référence à sa ville natale, Bukhârah.
( Sans commenatires: qu'est ce qu'il est une référence des savants! )
Sa jeunesse et le début de son apprentissage
L’Imâm Al-Bukhâri naquit en 194 AH, à Bukhârah, dans la région de
Khorasân. Le père de l’Imâm Al-Bukhârî, un homme aisé, mourut alors que son fils était très jeune et c’est son épouse qui prit le plus grand soin de l’éducation de leur fils orphelin. A
hmad Ibn Al-Fa
dl Al-Balkhî rapporte au sujet de l’Imâm Al-Bukhârî :
« Dans son enfance, il perdit la vue. [Un jour], sa mère vit le prophète Ibrahîm — que la paix soit sur lui — dans un rêve ; il lui annonça la bonne nouvelle : « Dieu a rendu la vue à ton fils grâce à tes nombreuses prières et invocations ». » Ainsi Dieu exauça les prières de sa mère et l’Imâm recouvrit sa vue.
Avide de science et doué d’une mémoire exceptionnelle, il commença à étudier les
hadîths à l’âge de onze ans en mémorisant la compilation de
hadîths de Ibn Al-Mubârak (
soufi et grand juriste de son temps). Il finit la mémorisation du Coran avant l’âge de seize ans. On relate que dans sa jeunesse
il connaissait déjà par cœur soixante-dix mille hadiths de notre prophète Muhammad — paix et bénédictions sur lui.
À l’âge de seize ans, après avoir appris le
Hadîth par les spécialistes de cette science à Bukhârah, il voyagea avec sa mère et s’installèrent à la Mecque. Pendant leur séjour, il étudia le Hadith par d’éminents savants de la Mecque, notamment
Al-Humaydî qui lui enseigna aussi la jurisprudence de l’Imâm Ash-Shâfi`î. À l’âge de 18 ans, il écrivit son premier livre sur les compagnons du prophète Mu
hammad — paix et bénédictions sur lui — et les successeurs (la génération qui suivit celle des compagnons), qu’Allâh les agrée.
Il dit à Abû Ja`far Ibn Mu
hammad Abû
Hâtim Al-Warrâq : « J’ai étudié les livres d’Ibn Al-Mubârak et Wakî` et je connaissais déjà leurs écrits par cœur à l’âge de seize ans. A dix-huit ans, j’ai commencé à compiler les comportements et les paroles des Compagnons et des Successeurs [en arabe : at-tâbi`ûn]. C’était au temps de `Ubayd Allah Ibn Mûsâ.
J’ai rédigé Kitâb At-Târîkh [i.e. Le livre d’Histoire] près de la tombe du Prophète — paix et bénédictions sur lui — les nuits de lune. [...] ».
( Bon Dieu ! Qu'est ce que Al Boukhari cherche à côté de la tombe du Saint prophète:saws: ! c'est aussi un idolâtre chiite ???)
Abondance de son savoir
Dans l’espoir d’acquérir le savoir et de compiler des hadiths exacts (ou intègres) [en arabe : sahîh], il parcourut la terre à la recherche des savants du hadîth. Il fut le disciple de nombreux savants de la Mecque, de Médine, de Damas, de `Asqalân, de Hims, du Caire, de Baghdâd, de Bassora, de Kûfah et de nombreuses autres villes. Il acquit le savoir en compagnie de savants tels que : l’Imâm Ahmad Ibn Hanbal, Abu `Âsim An-Nabîl, Muhammad Ibn `Îsa At-Tabbâ` et Ishâq Ibn Mansûr. Parmi ses disciples, nous pouvons citer plusieurs grands noms comme : Muslim, Abû Zur`ah, Abû Hâtim, At-Tirmidhî, Al-Marwazî, Sâlih Ibn Muhammad Jazarah, Ibn Khuzaymah, As-Sarrâj.
Dieu dota l’Imâm d’une mémoire exceptionnelle et sa contribution aux sciences du Hadîth est sans pareil. `Abd Ar-Rahmân Ibn Muhammad Al-Bukhâri rapporte qu’il entendit Muhammad Ibn Ismâ`îl dire : « J’ai rencontré plus de mille hommes [de science] du Hidjâz [en Arabie] , Iraq, Syrie, Egypte et Khorasân » et il poursuivit jusqu’à ce qu’il dit : « Ils soutenaient sans exception le principe stipulant : « La Religion repose sur des actes et des paroles, et le Coran est la Parole d’Allah ». »
Ibn `Adiyy dit : « Un nombre de savants apprirent qu’Al-Bukhâri serait prochainement de passage à Baghdâd. Ils choisirent cent hadiths dont ils brouillèrent les chaînes de transmission et les textes, donnant ainsi à chaque Hadîth une chaîne de transmission autre que la sienne. Chaque savant prit dix de ces hadiths et s’apprêta à mettre Al-Bukhâri à l’épreuve durant leur rencontre. Les gens s’assemblèrent et l’un des savants confronta Al-Bukhâri avec le premier de ses dix hadîths. Il répliqua « Je ne le connais pas ». Le savant lui cita un autre hadîth. Il répondit « Je ne le connais pas. » et ainsi de suite jusqu’au dixième hadîth. Les gens avertis [initiés à la science du hadith] parmi l’audience se regardèrent et dirent : « L’homme s’y connaît. », les autres pensèrent que c’est un ignorant. Puis un autre savant exposa à son tour ses dix hadîths, puis un autre, jusqu’au centième hadîth et Al-Bukhâri répondait invariablement « Je ne le connais pas. ». Quand il vit qu’ils avaient terminé, il se retourna vers le premier savant et dit « La chaîne authentique de ton premier hadîth est ceci, celle de ton deuxième hadîth est ainsi etc. » Il fit de même avec le deuxième savant, puis le troisième, et il poursuivit avec chacun d’eux jusqu’au centième hadîth. À ce moment, tout le monde eut la certitude qu’il était un Hâfidh [i.e. ils reconnurent la qualité de sa mémorisation]. »
Al-Warrâq dit « j’ai entendu Sâlim Ibn Mujâhid dire : « Je rendais visite à Muhammad Ibn Sallâm Al-Bikandî et il me dit : « Si tu étais venu plus tôt, tu aurais vu un garçon qui connaît par cœur soixante-dix mille hadîths. ». Je suis sorti à sa recherche. Lorsque je l’ai trouvé, je demandais « Est-ce toi qui dit connaître par cœur soixante-dix mille hadîths ? », il [i.e. Al-Bukhâri] répondit « Oui, et plus encore, et jamais je ne te citerai un hadîth d’un Compagnon ou un Successeur sans que je sache la date et le lieu de leur naissance et de leur mort, et là où ils vécurent. Et je ne narre [de leurs hadîths] que ce qui est certain et fondé sur un principe de la religion de Dieu, dans le Livre de Dieu et La Sunnah de Son Messager ». Ainsi Al-Bukhâri fut non seulement un muhaddith d’exception [un spécialiste du Hadith] mais également un grand juriste (faqîh). D’ailleurs Al-Khozâ`i dit : « Al-Bukhâri est le faqîh de cette Ummah » ( faqih signifie spécialiste en jurisprudence.)
Ibn `Adiyy dit : Muhammad Ibn Al-Qumîsi me rapporta : j’ai entendu Muhammad Ibn Hamdawayh dire : j’ai entendu Muhammad Ibn Ismâ`îl [Al-Bukhâri] dire : « je connais par cœur cent mille hadîths intègres [i.e. hadîth sahîh] et 200 000 hadîths d’authenticité questionnable. »
Témoignages des savants à son sujet
Les témoignages faits au sujet de la science de l’Imâm et de ses qualités sont très nombreux. Nous nous contenterons ici de quelques exemples :
L’Imâm Ibn Khuzaymah dit : « Je n’ai vu sur terre plus savant en Hadîth que Muhammad Ibn Ismâ`îl Al-Bukhâri ».
Muhammad Bashshâr disait : "Les sommités en terme de mémorisation sont au nombre de quatre sur terre : Abû Zur`ah à Rayy, Muslim à Naysabûr, `Abd Allah Ad-Dârimî à Samarqand et Muhammad Ibn Ismâ`îl à Khorasân."
Qutaybah Ibn Sa`îd dit à son sujet : "Il était à son époque ce que `Omar fut parmi les Compagnons, et si Muhammad Ibn Ismâ`îl vivait du temps des compagnons, il aurait été un phare.(ayah)."
Al-Khozâ`î dit : « Al-Bukhâri est le faqîh de cette Ummah ».
Piété et adoration
Il fut l’exemple du dévot et du savant éprouvant une crainte révérencielle envers Allah. C’est l’homme aux prières nombreuses et au cœur recueilli et éveillé. Pendant le mois du ramadan, il récitait le Noble Coran en entier dans la journée, et un tiers du Coran avant l’aube tous les jours.
Al-Farabarî dit : Muhammad Ibn Ismâ`îl m’a dit « Je n’ai jamais écrit un hadîth dans le Sahih [son livre Sahîh Al-Bukhâri] sans avoir effectué al-ghusl [ablutions majeures] et prié deux rak`ah au préalable. »
Al-Warrâq rapporte : « Pendant mes voyages avec Abû `Abd Allâh, lorsqu’il arrivait que nous dormions dans la même maison, je le voyais se lever la nuit entre quinze et vingt fois. Chaque fois, il allumait sa lampe et il extrayait des hadîths en les annotant. Puis il s’allongeait de nouveau. A l’approche de l’aube, il avait l’habitude de prier trente rak`ah [2 par 2] et il ne me réveillait jamais. Je lui dis une fois : « Tu endures cela pour toi-même, pourquoi ne me réveilles-tu pas aussi [pour prier] ? Il répondit : « Tu es un homme jeune et je n’aime pas troubler ton sommeil. ». »
Son livre Al-Djâmi` As-Sahîh
L’Imâm rédigea différents ouvrages de hadîths. Dans son livre Al-Djâmi` As-Sahîh [littéralement : "La Somme Authentique"], après un examen minutieux et rigoureux, il enregistra des paroles du Prophète — paix et bénédictions sur lui — dont la chaîne de transmission ne se compose que de transmetteurs justes et fiables, sans défaut ni brisure. Pendant seize ans, il scruta 600 000 hadîths et retint 7 275 hadîths dont l’authenticité est au-delà du moindre doute.
Dans l’étude des chaînes de transmission, il ne disait jamais d’un homme « c’est un menteur ! », il disait « telle personne l’a démenti », « telle personne l’a traité de menteur », « non digne de confiance ». Lorsqu’Al-Bukhâri qualifiait un homme de « non digne de confiance », il ne narrait pas de hadîth de lui.
Il y a un consensus parmi tous les savants de l’Islam au sujet de l’abondance exceptionnelle de son savoir, ses bonnes manières, son caractère noble et généreux. Son livre précieux Al-Djâmi` As-Sahîh est la meilleure référence de tous les temps en matière de hadîths authentiques.
La Citadelle du Hadîth, le maître des muhaddithînes, le Rempart des sciences de la tradition, le flambeau de la communauté, l’exemple du pieux, l’Imâm de l’Islam, Abû `Abd Allâh Al-Bukhâri retourna auprès d’Allah en 256 AH, à Samarqand (v. d’Ouzbékistan, Asie centrale). Qu’Allah le récompense pour ce qu’il fit et ce qu’il fut pour l’islam et qu’Il lui fasse miséricorde. Âmîn.
N.B: J'ai mis certains passage en "gras et souligné" à la très haute attention des lecteurs de "Ghadir-alkashif"
( frère Majid quand on veut se faire passer pour un autre, on utilise toujours une ruse diabolique et celle de Al kashif c'est de nous faire croire qu'il n'est plus un agrégé de grammaire francophone - passe pour les erreurs de frappe; je lève le doigt ! ).
l'Ouzbekistan d'aujourdh'ui c'est l'ancienne province du Khorassan PERSE - Iranien donc ! Boukhari Comme Muslim et Thirmidi sont des ADJAMS ( Péjoratif du Persan chez les Arabes Calipho-Rashidounes) Vénérés des Sounnites! parce que ( les détails de pertinence qui manque à cette sublime description sont en
gras et soulignés):
La Citadelle du
Hadîth
Rashidounes-Omeyyades (Car,
Le messager de Dieu:saws: n'est plus la Cité du savoir et Ali:as: n'en est plus la porte pour les
Rashidounes-Omeyyades), le maître des mu
haddithînes (
griots et flatteurs Rashidounes-Omeyyades), le Rempart des sciences de la tradition (
des caliphes Rashidounes-Omeyyades), le flambeau de la communauté (
Ahl al Sounna al Jama'a - Nom promulgué par mou'awiya (l.a)), l’exemple du pieux (
salaf des Rashidounes-Omeyyade), l’Imâm de l’Islam (
Rashidounes-Omeyyade), Abû `Abd Allâh Al-Bukhâri retourna auprès d’Allah en 256 AH, à Samarqand (v. d’Ouzbékistan, Asie centrale). Qu’Allah le récompense pour ce qu’il fit et ce qu’il fut pour l’islam (
Authentique du Prophète Mohammed:as: ) et qu’Il lui fasse miséricorde
( dans ses actes vertueux selon l'islam pur des Ahl ul bayt:as:. Dieu le Connait meiux que nous) Âmîn. ( qui sait chers frères, peut être que boukhari lui même a agi par contrainte !)
Source :
http://www.islamophile.org/spip/L-Imam-Al-Bukhari.html
Les parenthèses sont les "COMMENT TAIRE" les Mensonges et l'hypocrisie.
Dans les 9 volumes que j'ai trouvé dans notre bibliothèque il y a plus de 3000 Hadiths qui ne se trouvent pas dans le lien de Boukhari ci haut, c'est Un frère qui a effectué cette recherche (en arabe) et il en a d'autres vertes et pas mûres si vous êtes partant "ghadir-Al Kashif"!
Pour votre gouverne, le frère a étudié au Soudan puis au Caire le Sunnisme avant de retrouver le droit chemin, Celui des Ahl ul bayt:as:
Si ça te dit toujours "Ghadir- Al Kashif" il m'a demandé de t'inviter à une discussion en Arabe littérale ( même en privé en utilisant mon compte) pour voir si tu t'y connais dans ta langue maternelle, je pense qu'étant Arabe, arabophone et arabophile de Naissance tu n'aurais aucun mal à le griller comme un Poulet! ce Sahélien qui a appris l'arabe en plein jour!
100.000 hadiths "haut-en-tics", 200.000 mémorisés
1+2+3+4+5+.........=
7250 Hadiths Sahihs!!!
1+2+3 = ? "ghadir - Al kashif"???!!! seulement additionner 1,2 et 3!!!.
Mais voyez vous, Il n'a pas encore trouvé la réponse, ou plutôt il doute là dessus!!!
Maa Salaam chers imanautes