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Salafisme, wahabisme, sous le couvert du TAWHID

Le désarroi des princes et le Wahabisme,face à ses contradictions

Assalam;

http://sajidinne.free.fr/flash/farshy.html

Pour bien comprendre le désarroi des Wahabo-salafis et pourquoi leur changement tactique vis à vis du chiisme, d'une part, et le sounisme, d'autre part, il faut comprendre que le Wahabisme et son succédané l'ersatz du "salafisme", découvrent avec horreur qu'ils ont couvé durant des décennies une "idéologie" génitrice de la Haine, de l'auto-destruction, et d'un certain paganisme terrifiant pour la Nation séoudienne, non seulement, mais pour le Wahabisme, surtout, dans le contexte d'un Irak, qui revient à ses sources chiites, avec toute sles conséquences révolutionnaires, que cela suppose, dont le balayage du bavardage stérile du clergé wahaby soumis à l'autorité de la force, au lieu et place de l'autorité du Coran et de la Souna.

Conférence à l’Ifri sur [SIZE=3[COLOR=SeaGreen]]« L’Arabie Saoudite entre défis et challenges »[/COLOR],[/SIZE]
Le jeudi 10 février 2005
Avec Madawi Al-Rasheed et Stéphane Lacroix
Compte-rendu
Les attentats du 11 septembre ont ramené l’Arabie Saoudite au premier plan des préoccupations internationales. Les Saoudiens, accusés après le 11 septembre d’avoir financé et soutenu le terrorisme, se présentent aujourd’hui comme des victimes, et veulent prouver leur attachement à la lutte internationale contre le terrorisme et leur volonté de faire évoluer la situation intérieure du pays, comme en témoigne la tenue ce 10 février d’élections municipales à Riyadh.
Quelles ont été les conséquences du 11 septembre sur le royaume et quelles évolutions le pays est-il en train de vivre ? La conférence organisée à l’Ifri a tenté de répondre à ces questions, avec deux invités : Madawi Al-Rasheed, professeur d’Anthropologie sociale au King’s College de l’Université de Londres, et Stéphane Lacroix, doctorant à l’Institut d’études politiques de Paris, Denis Bauchard, conseiller à l’Ifri étant le modérateur.
L’Arabie Saoudite aujourd’hui : entre violence et réformes
Selon Stéphane Lacroix, l’Arabie Saoudite doit aujourd’hui faire face à deux grands défis : la violence, illustrée par la campagne terroriste en cours dans le royaume, et les réformes, soutenues à la fois à l’extérieur par les Etats-Unis, et à l’intérieur par les différents courants réformistes.
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Depuis mai 2003, l’Arabie Saoudite affronte une violente campagne terroriste, menée par l’« Organisation d’Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique », qui vise une déstabilisation du royaume. Mais depuis la mi-2004, le mouvement est en perte de vitesse. Deux explications peuvent être avancées à cela :
⇒ les autorités ont remporté un succès sécuritaire important et de nombreux suspects ont été arrêtés ou tués (dont les trois premiers leaders d’Al-Qaïda dans le pays) ; le régime a réussi à mettre de son côté les leaders de l’opposition islamiste non-violente, qui ont condamné les islamistes radicaux et le terrorisme, et ont ainsi contribué à les décrédibiliser dans le pays ;
la guerre en Irak et notamment le soulèvement de Fallouja ont entraîné une re-localisation d’une partie des jihadistes saoudiens en Irak.
Mais cette amélioration peut n’être que temporaire, et la situation peut se dégrader à nouveau, notamment si l’on songe à un éventuel retour des vétérans jihadistes de la guerre d’Irak dans le pays. C’est pourquoi la seule solution à long terme est celle des réformes, qui peuvent être politiques (ouverture d’un système politique fermé) ou sociales (ouverture sociale et religieuse qui implique notamment de renégocier le pacte social, entre autres avec les femmes et les minorités). Ces deux enjeux sont sensiblement différents, d’autant plus que les partisans de la réforme sociale ne sont pas les mêmes que ceux de la réforme politique.
Les partisans de la réforme politique sont plutôt les islamistes, souvent opposés à la réforme sociale et religieuse qu’ils voient comme une atteinte à l’islam, alors que les partisans de la réforme sociale sont des libéraux, qui s’opposent à la réforme politique en ce qu’elle ferait le jeu de leurs adversaires islamistes. Entre ces deux groupes se trouve un troisième groupe de réformateurs depuis la fin des années 1990 : celui des « islamo-libéraux », composé de sunnites et chiites, qui se refusent à distinguer les deux types de réforme.
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En réponse à ces différentes pressions, le pouvoir a offert des réponses sur les deux plans :
La réforme sociale, symbolisée par le « dialogue national » (al-Hiwar al-Watani), centre situé à Riyad chargé d’organiser des sessions de discussions autour de thèmes prédéfinis (comme la tolérance inter-confessionnelle, l’extrémisme, la femme ou la jeunesse), auxquelles participent différents représentants de la société saoudienne choisis par le pouvoir. Ce dernier s’y est engagé à mettre en oeuvre des réformes importantes.
L’ouverture sociale s’est faite aussi à d’autres niveaux : la présence récente de speakerines à la télévision nationale saoudienne, et la toute nouvelle décision d’autoriser les femmes à voter aux prochaines élections témoignent de cette volonté d’ouverture, de même que la tolérance à l’égard des défilés de rue chiites à l’occasion de la fête de l’Achoura dans les grandes villes de l’est où ils sont majoritaires. Ces évolutions sont assez encourageantes car elles reflètent un changement de discours important, et laissent supposer un véritable changement d’esprit.
Le bilan de la réforme politique est néanmoins plus mitigé : certains réformistes sont arrêtés fin mars 2004. Cela dit, on compte aussi quelques acquis : si les élections municipales partielles qui se tiennent aujourd’hui à Riyadh n’ont qu’une portée limitée (car ce sont des élections partielles et locales, les thèmes de campagne sont restés purement locaux (logement, emplois, voirie) et les candidats n’ont pas eu le droit de prendre des positions idéologiques), elles permettent au débat de sortir des cercles restreints des élites pour toucher la société plus largement. Elles contribuent donc à créer une culture du politique, jusque-là absente du pays.
Stéphane Lacroix conclut que si les changements sont plutôt de l’ordre du discours pour le moment, il ne peut y avoir de changement dans les actes sans au préalable un changement de discours, et que, dans tous les cas, cela crée un mouvement, une dynamique qu’il sera difficile de changer. En ce sens, l’Arabie Saoudite est vouée à évoluer et à s’ouvrir.
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L’Arabie Saoudite : politique et poétique du Jihad
Madawi Al-Rasheed se demande comment l’on peut interpréter le Jihad et la violence aujourd’hui en Arabie Saoudite, et qui sont les acteurs de ce Jihad.
Elle distingue pour cela trois types d’ analyses du Jihad données par différents acteurs internationaux depuis le 11 septembre :
La vision des médias occidentaux, des libéraux ou des néo-conservateurs, celle des Arabes intellectuels libéraux, anciens socialistes ou baathistes, qui ont souffert des attaques wahhabites, et celle des Chiites et des libéraux saoudiens : pour eux, le principal suspect du terrorisme est le discours religieux wahhabite qui génère la violence.
La vision de certaines personnalités officielles saoudiennes, comme le ministre de l’Intérieur saoudien, pour qui la violence vient de l’influence des Frères musulmans égyptiens, venus s’installer en Arabie Saoudite dans les années 1960 à cause des persécutions de Nasser. Ils auraient alors importé une idéologie violente de l’extérieur, étrangère à l’Arabie Saoudite. Les wahhabites traditionnels tiennent aussi ce discours et soutiennent que l’idéologie wahhabite originelle n’est pas intrinsèquement violente.
La vision issue du paradigme occidental des sciences sociales et des sciences politiques qui, pour comprendre le jihad, le contextualise : la guerre sainte est vue comme une conséquence de la pauvreté, du chômage, de l’anomie sociale, et d’une transition trop brutale vers la modernité dans les banlieues de Paris, de Londres, du Caire, de Riyadh ou d’ailleurs…
A partir de ce panorama, Madawi Al-Rasheed se demande comment les chercheurs peuvent interpréter ces différentes approches, qui ne suffisent pas, selon elle, à expliquer le Jihad. Elle retrace pour cela les différentes étapes historiques du mouvement wahhabite depuis le XIXe siècle, en précisant que le discours wahhabite n’est pas homogène car il est dès le départ divisé en deux branches : le Dawla et la Da’wa (l’Etat et l’appel), c’est-à-dire une branche traditionnelle qui accepte de se soumettre au pouvoir
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politique, même s’il est mauvais, et une branche qui reste attachée au Jihad, comme fondement de sa doctrine. La guerre en Afghanistan est l’événement déclencheur pour l’Arabie Saoudite qui envoie certains de ses jeunes combattre contre l’Union soviétique. Mais ces jeunes rentrent au pays à la fin de la guerre, et alors qu’ils s’attendent à être reçus en héros, sont jetés en prison, ce qui provoque chez eux un fort sentiment d’échec.
Comment alors comprendre le mouvement jihadiste ? Est-ce un mouvement d’auto-destruction ou un agent possible de la modernité ? Dans le discours jihadiste, le but est de combattre les infidèles par la violence, mais les publications sur Internet montrent qu’il ne s’agit pas seulement d’attentats-suicides : pour Madawi Al-Rasheed, le jihadisme est aussi une culture, pas uniquement un mouvement politique et religieux. Sur les sites Internet, les discours religieux se mêlent à des réflexions politiques sur la relation avec les infidèles, des questionnements sur la violence, des réflexions sur les notions culturelles de féminité et d’honneur. Il y a donc un débat à l’intérieur même du cercle jihadiste, accompagné d’une lourde production médiatique, des films, de la poésie, une iconographie, et tout cela génère un « package culturel », une culture englobante jihadiste.
Les jihadistes survivent dans des espaces marginaux et marginalisés, et c’est pourquoi la violence devient une forme d’expression culturelle. Les défendeurs du jihad, qui dans leurs discours demandent un retour au passé, souhaitent en fait une transformation du présent pour construire un meilleur avenir. De leur point de vue, le jihadisme est la seule réponse pour contrebalancer la super-puissance américaine et rééquilibrer les forces.Madawi Al-Rasheed conclut que le débat politique et religieux en Arabie Saoudite évolue plus vite que jamais à cause de ces pressions jihadistes. La mouvance jihadiste a obligé le gouvernement à se lancer dans les réformes. En cela, le jihadisme est une sorte de culture de transition qui veut créer une modernité différente de celle prônée par le pouvoir.
▫ ▫ ▫ ▫ ▫ ▫ ▫ ▫
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Le débat, qui a suivi les exposés, a permis de clarifier plusieurs points.
Pour Stéphane Lacroix, les réformes ne sont pas un danger pour la famille royale saoudienne : celle-ci ne risque pas d’être détruite par les réformes. La timidité des réformes reflète plus un manque d’entente du pouvoir saoudien sur les réformes à adopter qu’une peur d’être déstabilisé, voire dépassé par ces réformes. Une partie du pouvoir veut aujourd’hui se défaire du wahhabisme, d’autres au contraire se demandent si ces réformes sont nécessaires car ils estiment que le pouvoir n’en a pas véritablement besoin. La question est donc de savoir sur quel type de consensus la famille royale souhaite se fonder.
En ce qui concerne le facteur chiite en Arabie Saoudite, Madawi Al-Rasheed pense que sans l’intervention d’un agent extérieur, le facteur chiite n’existe pas dans le royaume. Stéphane Lacroix rajoute que les leaders chiites sont rentrés dans le rang depuis le début des années 1990 : en abandonnant leur position révolutionnaire, ils ont adopté une position conciliatrice et nationaliste. Ils ne représentent donc pas pour le moment une réelle menace pour le pouvoir saoudien, même s’ils demandent des aménagements en échange de leur coopération. L’arrivée des Chiites au pouvoir irakien voisin pourrait éventuellement changer la donne.
Pour Madawi Al-Rasheed, la culture du Jihad signifie que ce dernier n’est pas simplement une révolte politique, mais englobe plus largement une question d’identité, une vision du monde. La modernité est arrivée trop vite dans une société qui profite des aspects matériels de la modernité, mais qui n’a pas les moyens d’absorber la culture de la modernité. L’urbanisation trop rapide (85% de la population vit en ville) a distendu les liens tribaux et familiaux. Les groupes exclus de cette culture ont cherché des moyens de se construire un statut, or en Arabie Saoudite il n’y a ni parti, ni syndicat, ni club, aucune structure un tant soit peu corporative. Le Jihad est un moyen pour ces groupes de gagner une identité.
Denis Bauchard a conclu le débat en rappelant l’importance du conflit afghan dans la situation actuelle de l’Arabie Saoudite. Le retour des « Afghanis » frustrés de leur victoire a eu, en Arabie Saoudite comme dans d’autres pays, un effet déstabilisateur. L’Arabie Saoudite est affectée par le « retour de flammes » de son intervention dans cette guerre. La présence des troupes américaines sur son sol depuis la guerre du Golfe de 1991 a également joué un rôle important.6
Un véritable mouvement de réformes s’est déclenché en Arabie Saoudite, dont on ne voit pas le point d’arrivée, impliquant inexorablement une évolution de cette société figée. Les débats politiques et sociaux se font de plus en plus publiquement, notamment à travers les médias. L’évolution du pays doit être suivie avec attention.
7
 
Les Wahabites.....

Assalamou Alaykoum Wa Rahmatou Allah Wa Barakatouh Ajma'ine,

Jouvre ce post dans le but de donner l'occasion à tout le monde de faire part de l'hérisie et la traîtrise de cette école pseudo-islamique, descendante et ligne continue de l'empire Omeyyade et Abbasside.

Pour commencer voici une vidéo qui montre la propreté de leur Grand Cheikh Othman Al Ghamis en direct sur la télé Al Moustakilla :

http://www.albrhan.org/khisis.ram

Qu'Allah vous Garde et vous Protège tous InchaAllah.

Wa Sala Allahou Ala Mohammed Wa Alih Al Athar.

Wa Salam Alaykoum Wa Rahmatou Allah Wa Barakatouh.
 
Salam aleykoum,

Dans la lignée de ce "sheikh", les salafis de France se pose la question si prier sur la Famille du Prophète est une bid'a ou pas .Ci dessous le texte :

Asaslam o aleikum,

Est-ce que c'est permis de dire muhammed sallahu 'aleyhi WA'AALIHI WA SALAM ???



Je demande cela car j'ai remarqué que sur tout les sites salafi on évoque muhammed sallahu 'aleyhi wa salam par muhammed sallahu 'aleyhi wa salaam et on ne rajoute jamais le wa'aalihi .. C'est une bida' de le rajouter ? car dans mes livres d'urdu lorsqu'on évoque muhammed on rajoute souvent si pas tjs WA'AALIHI

Assalam oAleikum
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AbuKawthar
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#2
Vieux Hier, 18h41
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Re : Muhammed Sallahu 'aleyhi ->WA'AaLiHI<- wa salam ?
assalamaleykoum

J'ai pas bien compris, tu veux dire que tu as l'habitude de voir sala Llahou 'aleyhi wa ssalam, et est ce que l'on peut dire sala Llahou aleyhi wa 'aleyhi ssalam?
C'est ça?
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Badr
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#3
Vieux Hier, 18h50
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Re : Muhammed Sallahu 'aleyhi ->WA'AaLiHI<- wa salam ?
Assalam o Aleikum,

Oui
disons que j'avias plutot l'habitude voir le contraire auparavant mais mnt depuis que je fréquente le forum je ne vois que sallahu alayhi wa salam et je me demandais si c'était possible que ce soit une bida de dire cela ( avec wa alehi )

Assalam o Aleikum
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AbuKawthar
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#4
non lus Hier, 21h04
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oum-ibrahim oum-ibrahim est déconnecté
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Localisation: 10
Messages: 426
Re : Muhammed Sallahu 'aleyhi ->WA'AaLiHI<- wa salam ?
As salam alaykoum wa rahmatoullahi


Pour ma part j'ai entendu cette formule dans les audios du frère Abou Oussama sur le site ............................. .
Dans les cours sur la mort et le jour dernier.

Mais a l'écrit je ne l'ai jamais lu , et quand j'ai entendu sa formule de prieres (en ajoutant le wa 'aleyhi ) je me suis poser des questions aussi.
Car c'est la premiere fois que je l'entends.

Si quelqu'un a la réponse ça m'interesse


As salam alaykoum wa rahmatoullahi


Apres ils osent dire qu'ils aiment la Famille du Prophete (saws)???
 
Aucun saoud ne porte les prénoms des Ahlo l'bayt

Salam alaykoum wb;

La famille des saouds règnante en Arabie, atteint + de 7000 individus. Malgrès celà aucun des saouds ne porte les prénoms de 'Ali ou Hassan ou Houssayn!!

Salam
 
Ils ont voulu démolir le dôme au dessus de la tombe du prophète (saw)

Salam alaykoum wb;

Les wahhabites voulaient démolir l'édifice au dessus de la tombe du prophète :saws: , comme ils ont fait au dessus de la tombe de l'imam AL HASSAN, des 3 imams, des épouses du prophète, de son fils Ibrahim :as:... dans le cimetière de Medinah qui s'appèlle AL Baqui'. Ce cimetière se trouve à environ 100mètres de la tombe du prophète :saws: . Les wahhabites-salafistes n'ont pas pu procéder à la démolition de l'édifice autour du prophète à cause des manifestations et protestations des musulmans en Inde et en Egypte.

De nos jours les wahhabites et salafistes brûlent de pouvoir démolir l'édifice au dessus de la tombe du prophète. Leur grand savant-moufti Abdelaziz Ibn Baz ne visitait pas la mosquée du prophète à Médine et disait à son sujet: "Tant que cette idole d'édifice est debout, je n'irai jamais visiter la tombe du prophète"

!!!

Salam
 
Les liaisons dangereuses de Abd-ul-wahhaab

Salam,
Connaissez-vous hempher ? C'etait un espion anglais qui avait pour mission de rependre la division dans le monde musulman.
Dans son autobiographie, il parle de ses relations avec le fondateur du wahabisme, comment il l'a intie, comment il l'a perverti.

Voici le lien du texte en anglais :
http://www.sunna.info/antiwahabies/wahhabies/htm/spy1.htm
et
http://www.sunna.info/antiwahabies/wahhabies/htm/spy2.htm

J'ai fait la traduction quelques morceaux de la premiere partie. Regardez comment cet agent de dajjal qui est hempher a manipule et transforme ce pauvre gars, j'avoue que j'ai eu de la peine pour lui.


J'ai etabli une relation tres intime avec Muhammad bin Abd-ul-wahhaab de Najd. J'ai mise en place une campagne de louange envers lui un peu partout. Un jour je lui dis : "Tu es plus grand que Omar et Ali. Si le Prohete etait vivant, il t'aurait designe comme khalife a leur place. Je m'attends a ce que l'Islam soit renove et ameliore par tes mains. Tu es le seul erudit qui rependra l'Islam dans le monde".

Muhammad le fils de Abd-ul-wahhaab et moi avons decide de faire des nouvelles interpretations du Coran; cette nouvelle interpretation devait refleter nos points de vue et serait completement contraire aux explications des Sahhaba, par les imams de madh-habs et par les mufassirs (erudits ayant appris en profondeur et specialises dans l'explication du Coran). Nous parlions du Coran et discutions de certains versets. Mon but en faisant ca etait de tromper Muhammad. Apres tout, il essayait de se presenter en tant que revolutionnaire et donc il a accepte mes point de vue et idees et etait tres content que je lui faisais confiance.

A une occasion je lui dis "Le jihaad n'est pas obligatoire".
Il a proteste, "Pourquoi ne le serait-il pas, malgre le commandement d'Allah "Faites la guerre contre les incroyats" ?
Je lui dis : Alors pourquoi le Prophete n'a pas fait la guerre contre les munaafiqs malgre le commandement d'Allah (...)
Il dit : Le Prophete a fait le jihaad contre eux par la parole
Je dis : Est-ce que le Jihhad qui est une obligation, c'est celui qui est fait en parole ?
Il dit : Rasoolullah a fait la guerre contre les incroyants
Je dis : Le Prohete a fait la guerre contre les incroyants pour se defendre. Car les incroyants voulaient le tuer.
Il hocha la tete.

Un autre jour je lui dis "Le mariage temporaire est permis"
Il objecta "Non, il ne l'est pas"
Je dis "Allah declare, en retour de leur utilisation, donne leur le dot que vous aviez decide"
Il dit "Omar a interdit 2 les examples de mariage temporaire existant a cette epoque et dit qu'il punirait quiconque le pratiquait"
Je dis "Tu dis a la fois que tu es superieur a Omar et tu le suis. De plus, Omar a dit qu'il interdisait et pourtant il savait que le Prohete l'avait permis. Pourquoi mets-tu de cote les paroles du Prophete et obei aux paroles de Omar ?"
Il ne repondit pas. Je compris qu'il etait convaincu.

J'ai senti que Muhmmamd de Najd desirait une femme pendant ce temps; il etait celibataire. Je luis dis "Allez viens, allons faire un mariage temporaire pour etre avec une femme, on va avoir du bon temps". Il accepta en hochant la tete. C'etait une grande opportunite pour moi, alors j'ai promis que j'allais trouver une femme pour l'amuser. Mon but etait d'allier la timidite qu'il avait pour les gens (?). Mais il accepta a condition que ca devait rester un secret entre nous et que la femme ne devait pas savoir son nom. Je me depechai et allais trouver les femmes chretiennes qui etaient specialement envoyees par le Ministere des Colonnies qui avaient comme mission de seduire les jeunes musulmans. J'expliquais le cas a une d'elle. Elle accepta de m'aider, alors je lui donnai le pseudonume Safiyya. J'ai emmene Muhammad de Najd chez elle. Safiyya etait a la maison, seule. On a fait un contrat de mariage d'une semaine pour Muhammad de Najd, qui lui donna de l'or comme dot (...)

Le troisieme jour de son mariage temporaire, j'ai eu une longue discussion avec lui sur le fait que boissons fortes n'etaient pas haram. Bien qu'il ait nomme beaucoup de versets et hadiths montrant que c'etait haraam de boire de l'acool, je les tous annules et finalement dit : "C'est un fait que yezeed et les umayyad et les khalife d'abbassid buvaient. Etaient-il tous des mecreants et tu es le seul sur le vrai chemin ? Ils connaissent sans doute le Coran et la Sunna mieux que toi. Ils ont deduit du Coran et du Sunna que que la boisson est makrouh (deconseille), non haram. Aussi, il est ecrit dans les livres juifs et chretiens que l'alcool est permis. Toutes les religions sont les commandement de Allah. En fait, se rapportant aux narrateurs, Omar buvait jusqu'au jour de la revelation du verset "Vous avez tous abandonne, non ?" Si c'etait haram, le prophete l'aurait chasse. Comme le Prophete ne l'a pas puni, l'alcool est halal (...)
J'ai parle a Safiyya de cette discussion et lui ai donne l'instruction de le faire boire un alcool tres fort. Plus tard, elle me dit "J' ai fait ce que tu a dit et lui ai fait boire"(...)
Durant le rencontre que j'ai eu avec le Ministre des Colonies, il m'a dit : "Nous avons repris l'Espagne des incroyants (musulmans) par l'aide de l'acool et fornication. Retrouvons nos terre par l'aide de ces 2 grandes forces." Je comprends aujourd'hui comme ceci est vrai.
(...)
Un jour je lui dis "le jeune n'est pas obligatoire" (...) il hocha la tete. (...)
Un jour je lui dis "Le namaaz n'est pas oblitgaoire" (...)
 
Sans commentaire

Voici les ceux qui ont la garde des lieux saint de l'islam.

Ya ALLAH :jjl: hâte la venues du guide attendu :saws: pouir nous délivrer des mains des injustes
 
Salam,
mouhamadou a dit:
Voici les ceux qui ont la garde des lieux saint de l'islam.
Oui mon frere, et la realite sera amere pour ceux qui sont aveugles.
 

Fichiers joints

  • fahad-carter.jpg
    fahad-carter.jpg
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omid_d a dit:
Salam,

Oui mon frere, et la realite sera amere pour ceux qui sont aveugles.

Salamoun alaycoum

Tout a fait d'accord cher frere!

Regardez plutot cette photo et surtout le CROIX qu'il porte !!!:icon_eek:

f147.jpg
:icon_eek: :icon_eek: :icon_eek:


Je voudrais vous assurer que la photo ne vient pas d'un site anti-wahhabi non! non! pas du tout ,mais bien du site officiel du Roi Fahad.!!!

Voici le lien . pour aggrandir la photo il suffit simplemet de clicker 2 fois sur la photo de fahd avec Elizabeth:)icon_wink ):

http://www.kingfahdbinabdulaziz.com/main/l655.htm


En fait dites-le-moi si je me suis trompe sur s'il porte le CROIX ou non,d'accord?:icon_roll

Que Dieu vous garde!
 
selem a'likom wa rahmatolahi wa barakatouh

chère frère abdel reda, j'ai agrandi la photo et franchement je ne voie pas de croix ?
Il y a 4 cotés qui brillent, mais cela ne veut pas dire que c'est une croix ALLAH oahlem, mais on voit très mal sur la photo, donc c'est difficile à dire.

Que dieu vous protège tous.
 
Assalam Alikoum
Mais quelle idée de mettre des titres pareils!!
J'avoue avoir été déçu je m'attendais à des détails plus croustillants! :icon_twis à l'image du roman
 
Salam,

*janna* a dit:
Il y a 4 cotés qui brillent, mais cela ne veut pas dire que c'est une croix

Soeur janna c'est bien une croix lol. mais bon je dirais que c'est une medaille qui lui a probablement ete donne par miss UK.

Sinon sur l'autre photo, on peut pas vraiement dire que carter et le wahhabi sont entrain de boire du mecca cola...
 
Bismillah

chère soeur Janna

cher frère Omid

Salamoun alaycoum

omid_d a dit:
c'est bien une croix lol. mais bon je dirais que c'est une medaille qui lui a probablement ete donne par miss UK.


Oui,Oui!c'est ce que je crois exactement!

Oui,c'est une Croix ,au forme de médaille,que lui a été offerte par Elizabeth!

Dailleurs, je n'ai jamais vu le rois Fahd porter cette croix ,ce qui affirme bien que cette croix lui a été offerte par elizabeth a cette occasion!

N'oublions pas,c'est une Croix Royale! ;) :)

Que Dieu vous garde !

Khoda hafez!
 
Salam alaykoum wb;

La doctrine des wahhabites a été réfutée par des savants sunnites du monde entier, du continent indo-pakistanais à l'Afrique en passant par toutes les terres musulmanes. Les savants des 5 écoles juridiques encore à notre époque mettent en garde contre certaines idées de ce "groupe" qui n'hésite pas à qualifier les musulmans d'idolâtres

Les premiers à l'avoir critiqué sont les savants ottomans qui sont des sunnites. On peut aussi citer le shaykh Ahmad ibn Zayn al Dahlan, le Shaykh Sawi d'al Ahzar, ou encore le Shaykh Hanafite ibn 'Abidin dans sa Hashiyya, ou plus récemment le Shaykh al Sayyid Muhammad ibn al 'Alawi al Maliki qu'Allâh leur fasse miséricorde... Et la liste est longue !

Salam
 
Selem a'likom wa rahmatolahi wa barakatouh

omid_d a dit:
Salam,
Soeur janna c'est bien une croix lol.

aah ok, donc il faudra que je m'achète une paire de lunette. loll

Mais comme tu l'as dit ainsi que le frère "fatima-zahra", ça doit être une médaille avec une croix dessus.

ALLAH oahlem

Que dieu vous protège tous :)
 
Salam Aleikoum,

*janna* a dit:
aah ok, donc il faudra que je m'achète une paire de lunette. loll

Non non ma soeur, c'est pas ce que je voulais dire :)

Je faisais la plaisanterie par rapport a ce que tu avais dit :
"Il y a 4 cotés qui brillent, mais cela ne veut pas dire que c'est une croix"

J'entendais par la que cet objet a 4 cotes, c'est donc forcement une croix :)

Que Dieu te Garde
 
Pierre Tombale a dit:
Assalam Alikoum
Mais quelle idée de mettre des titres pareils!!
J'avoue avoir été déçu je m'attendais à des détails plus croustillants! :icon_twis à l'image du roman

HS: j'adore votre signature...
 

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