Assalam;
086 شهادة الإمام علي ASSASSINAT d'Ali, :as:
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La lecture vous fera découvrir le complot tramé par Mou'awiya, pour faire venir d'Egypte, Ibn Mouldjem, el Kindi, qui se fera passer pour un partisan de l'imam Ali, :as:, et une fois gagné la confiance après la guerre de Nahrawayn, contre les Kharijites, exécutera le plan tramé entre Mou'awiya et Amr Ibn Al'as, pour se débarrasser définitivement de l'imam Ali, :as:
Mou'awiya, qui a été nommé par Abou Bekr, avec son frère Yazid, l'aîné, pour la direction de la Syrie, a été choisi par ABou Bekr, pour ses relations antérieures cordiales avant sa conversion à l'Islam, avec les Byzantins, où l'envoyait son parâtre Abou Soufyane, vu que Hind l'a eu de relations extra-conjugales, avec l'un de ses nombreux amants.
Islamisé, après Feth Mecqa, alors qu'il avait déjà près de 25 ans, il ne resta somme toute à Medine, avec les compagnons et du temps du Prophète, :saws: qu'il avait combattu toute sa vie durant, hormis 2 années, tout en étant avec son père et sa fratrie, à la tête des MOUNAFIQINS, Abou Bekr, lui donna sa chance, vu qu'hormis Khaled Ibn el Walid, le COUSIN germain d'Abou Bekr, que ce dernier préférait à Médine, pour le protéger, il n'avait pas confiance dans les grands compagnons qui avaient boudé son Califat, et lui reprochait son aventureuse saisie illégitime du pouvoir sous la protection des mounafiqins et des apostats, qu'il disait pourtant combattre, alors qu'en réalité, il se faisait aider par les mounafiqins (hypocrites) et les mourteddines (apostats) , pour plutôt, éradiquer les compagnons légitimistes, comme dans le cas de Hassan Ibn Nouwaira, :radiallah, qu'assassinera son cousin Khaled Ibn El Walid, pour lui enlever sa belle femme et l'épouser le jour même, sans aucun respect du temps de viduité exigé par le Coran.
Ceci dit, même si c'est une digression, pourtant essentielle, car elle permet de comprendre comment les trois premiers Califes, se sont créés des Nomenklatures et des soutiens parmi les anciens ennemis de l'Islam, pour constituer un "Islam hybride", qui deviendra le sounisme, et qui sera bâti sur le compromis entre vie terrestre et pouvoir, d'une part, et partie superficielle de l'Islam, réduit à ses expressions extérieures de pratique rituelle, exclusivement.
C'est ce qui permet en fait de comprendre la promotion fulgurante des figures les plus abjectes parmi les ennemis de l'Islam, et qui en sont devenus les figures marquantes, voire, les icônes des historiens sounis, qui leur ont tissé de toutes pièces des histoires extraordinaires, et cette diversion continue avec les téléfilms, et les grandes séries ou les grands films, qui ont pourtant reçu l'imprimatur de "savants comme Qardhaoui", par exemple, ou bien évidemment, de Séoudie, pour promouvoir des personnages de légende, dont quelques uns n'ont tout simplement jamais existé, mais qui ont été promus, pour simplement expliquer le hiatus existant entre la logique historique, la soi-disant "équité des compagnons", et le fait qu'ils se soient entretués dans des guerres fratricides, qui contredisent leur soi disante "piété" et leur attachement indéfectible à la souna et à l'Islam, qui aurait fait d'eux, "comme des étoiles qui guident", objectif maléfique, qui a conduit à l'invention de "hadiths" pour avérer la sacro sainte théorie de "meilleure communauté des compagnons vertueux"...
Nous découvrirons comment les narrateurs et les historiens irrespectueux du Coran, et de la personne de l'imam Ali, :as: en tant que membre des ahl el beyt, :as: magnifiés et "purifiés" pourtant par Allah, :jjl
nt traité de l'assassinat de l'imam Ali, :as:, alors que nous savons que l'Envoyé d'Allah, :saws: selon le Coran, était enjoint à dire à ses Compagnons et donc à cette OUMA et "
génération supposée vertueuse et meilleure que toute génération postérieure", comme s'égosillent à le ressasser à la nausée les Salafis, INCULTES et IRRATIONNELS, et qui ne l'a NI protégé, NI soutenu contre ses ennemis: " Je ne vous demande aucun salaire, sinon l'AMOUR des miens", or nous savons comment ont été traités, le Prophète, :saws: lui-même sur son lit de mort, par ceux qui n'ont même pas daigné participer à son inhumation avant d'aller se partager le pouvoir par la force et le crime, tenter de brûler la maison de sa propre fille, Fatima, :as:, et de ses enfants Hacene et Houcine, et bien entendu leur père, Ali, sur eux tous, :as:...
On comprendra donc le traitement par les "histroriens partisans" de l'assassinat de l'imam Ali, :as: et du statut de moujtahid, donc RECOMPENSE par Allah:jjl:, donné à Ibn Mouljim, l'assassin de l'imam Ali, :as:, ces mêmes historiens qui non seulement s'offusquent de toute atteinte à leurs icones Omar, Othmane, et surtout les rois omeyades, dont ils considèrent les assassins comme des diables immondes, tout en oubliant qu'Aicha avait fait des génuflexions de remerciements d'Allah, quand elle apprit aussi bien l'assassinat d'Othmane, qui avait osé mettre fin à ses scandaleuses fortunes données généreusement par Omar, qui les prélevait du Trésor des musulmans dont il disposait comme de sa caise personnelle, et ensuite, lorsqu'elle apprendra l'assassinat d'Amir El Mou'minin, Ali, :as: qu'elle exécrait tout comme Fatima, :as:, car ils représentaient les symboles les plus opposés à sa vie d'attachement aux biens du monde terrestre...