signification ésotérique de ain lam ya?

[AbdallahibnAdam]

assalam aleykoum a tous et à toutes
est-ce que quelqu-un aurait des informations à partager sur la signification des ain lam ya (donc sur la signification ésotérique du nom de saydna Ali as)
barak Allahou fikoum
abdallah

 

[mohalamine]

786-92-110

Salaam

Bienvenu sur le forum cher frère; vous avez posé la question; Les frères Sam et Sayyid ithviriw y avaient apporté quelques élements de pertinence relatives aux significations ésotériques de certaines lettres de l'alphabet arabe coranique, les lettres dites "isolées" ( "Al moughata" ) notamment.

Bonsoir Nur-Ayn,

SECTION : Le secret de l’Alif

Quant à la science des points et des cercles, elle est à l’origine des connaisances et des profondeurs obscures des sciences ésotériques, parce que le discours aboutit aux lettres, les lettres aboutissent à l’Alif ; l’Alif a pour aboutissement le point, et le point selon (les spécialistes de la science des lettres) désigne symboliquement la descente de l’Être absolu manifesté par le caché. Le terme désigne symboliquement le commencement par l’aboutissement, c’est-à-dire la manifestation de l’Ipséité qui est le principe de l’être et qui ne comporte ni désignation ni indication. De ce fait, l’Alif maintient le secret ésotérique de l’Intelligence, l’Intelligence maintient l’Alif, et la totalité des lettres est dans le secret de l’Alif. Néanmoins il y a une différence entre les deux quant au rang : l’Alif de l’Intelligence est vertical, tandis que l’Alif de l’Esprit est horizontal. Si de cette haute science était révélé le secret que comportent l’Alif, le Lâm et le Mîm – lettres qui totalisent l’impératif de Sagesse – tout homme saint serait bouleversé, tout homme instruit (s’apercevrait qu’il) n’est qu’un ignorant. C’est ainsi qu’une tradition rapporte, d’après Abû Sinân, d’après Abû ‘Abdallâh (Ja’far al-Sâdiq, le Vie Imâm), ce que dit celui-ci : Ô Muhammad (Abû Sinân) ! Dans la sourate « les Confédérés », il est des versets sans ambiguïté ; si nous pouvions énoncé cela, nous le ferions. Mais alors les hommes tomberaient dans l’infidélité, renierai (la foi) et s’égareraient. Mais comme l’a dit le poète :

A quiconque me demande de l’informer sur le secret
de Laylâ, je réponds évasivement, s’agissant
d’aveugles à son égard.
Ils me disent : « Informe-nous sur Laylâ, car tu es son
homme de confiance. » Mais si je les informai,
je ne serai pas homme de confiance.

LES ORIENTS DES LUMIERES PAGE 53

http://www.al-imane.org/forums/showthread.php/7520-Alef-1?p=41140&viewfull=1#post41140

SECTION : La lettre Bâ’

Quant à l’Alif étendu, c’est-à-dire le Bâ’, c’est la première communication divine (wahy) descendue sur l’envoyé de Dieu. C’est le premier feuillet d’Adam, de Noé, d’Abraham. Le secret du Bâ’ est une expansion de l’Alif dans cette lettre Bâ’ ; et le secret de la Résurrection est dans le redressement vertical de son extrémité, et c’est le secret ésotérique de la Créatoin (ikhtirâ’). Les Lumières et les Réalités ésotériques métaphysiques sont liés avec le point du Bâ’. C’est ce à quoi faisait allusion l’Emir des Croyants en disant : « Je suis le point qui est sous le Bâ’. » Le secret ésotérique du Bâ’ horizontal réfère à l’Alif vertical qui se déploie dans l’Essence du Bâ’ et qui y est voilé. C’est en ce sens que Muhyi al-dîn al-Tâ’î (ibn ‘Arabî) a dit : « Le Bâ’ est le voile de la condition seigneuriale. Si le Bâ’ était enlevé, les hommes verraient leur Seigneur en toute présence. »

LES ORIENTS DES LUMIERES PAGE 48

http://www.al-imane.org/forums/showthread.php/7520-Alef-1?p=41154&viewfull=1#post41154

LA SECTION : La lettreJîm

La lettreJîmest une lettre duMalakûtque l’on reçoit (ou : que l’on apprend) à partir duBâ’; y participent l’ensemble du monde duMalakût. C’est une lettre que Dieu a manifesté au début des Noms de Rigueur (jalâl). Le Trône subsiste par la Rigueur duJîm, le Calame puise (son existence) à partir de lui. L’Escabeau (Kursî) subsiste dans l’attribut de Beauté (jamâl) par lui. Il est le triangle dans lequel se déploie le secret de l’Alifet duBâ’. Il se manifeste dans les modalités du courroux et au centre de la grâce (luft). Ainsi il s’épiphanise dans le Tout-Puissant (al-Jabbâr) et dans le Généreux (al-Jawâd). De lui relèvent leJabarûtet la générosité (jûd).

LA SECTION : La lettreQâf

La lettre Qâf est l’ésotérique du Calame (Qalam) et le secret de l’impératif divin. Quand on dit « le secret de l’impératif », on veut dire la prédétermination. Ses éléments simples sont trois lettres (soit Q, A et F). C’est lui qui écrit les secret de la prédétermination, et il réfère au Nom Suprême. En effet, la première lettre du Calame (Qalam), le Qâf, englobe l’univers extérieurement et englobe la connaissance intérieurement. Son nombre est 181. Lorsque l’on en prend le nombre du Nom Suprême, c’est-à-dire 110, il reste 71, c’est-à-dire la matière du Nom Suprême et une lettre d’entre ses lettres. De même, le Sîn est une lettre d’entre les lettres de l’exotérique du Nom Suprême, et la science du Nom Suprême est issue de celle de l’ésotérique du Sîn. La seconde lettre (du Calame, qalam) est le Lâmet la troisième est le Mîm. Et de ces lettres sont composés les univers dans leur totalité. Les autres existants dans leur ensemble sont compris sous 99 Noms, et les Noms sont compris dans le le Nom Suprême, c’est le centième ; et le Qâf, selon sa valeur numérique, est cent.

LA SECTION : La lettre Kâf

La lettre Kâf est une lettre manifestée à la fin du Nom divin al-Malik (le Roi). D’elle relève le Puissant (al-‘Azîz). Elle est l’ésotérique du Calame, celui de l’impératif (kun !), du Trône et de l’Escabeau, des formes célestes et terrestres.

LA SECTION : ‘Ayn

La lettre ‘Ayn est le premier des sceaux ésotériques du Trône et de l’Intelligence (‘Aql) ; elle est le support des sens ésotériques de l’univers, parce que d’une part le Trône est ce qui porte l’Escabeau, le Calame et la Tablette, les sphères célestes et les terres, et que d’autre part l’Intelligence est ce qui porte l’Esprit ; l’Esprit est le support de l’Âme ; l’Âme est le support du cœur ; le cœur est le support du corps matériel. La puissance (qudra) est le support de l’ensemble.

A bientôt votre ami sam.

http://www.al-imane.org/forums/showthread.php/7520-Alef-1?p=41159&viewfull=1#post41159

SECTION : La lettre Thâ’

La lettre Thâ’ est une lettre qui se manifeste dans le Nom divin « l’Héritier » (al-Wârith) et dans le Nom « le Résurrecteur ». Sa manifestation dans l’Héritier est une allusion à l’annihilation des êtres, tandis que sa manifestation dans le Résurrecteur est une allusion à la puissance qui a pouvoir de les ressuciter après leur mort, et de les rassembler après la dispersion.

SECTION : La lettre Tâ’

La lettre Tâ’ passe en volant (tayyâr) dans l’ensemble de l’univers. Son secret se retrouve dans les principes suprêmes et dans le monde des êtres créaturels, car il voyage (sayyâr) aussi bien chez les êtres d’en haut que chez les êtres d’en bas. Elle comporte des secrets dans sa manifestation. C’est ainsi qu’elle se manifeste à la fin du nom de Lot (Lût). Son secret comportait la destruction du peuple de Lot – de même que le Hâ’ apparaissant au début du nom de Hûd dont le secret comportait l’engloutissement de la terre avec son peuple et la destruction de celui-ci. Le Tâ’ apparaît dans le nom de Mohammad donné dans le Coran, Tâhâ’, ce qui est le nom de Mohammad dans le dialecte de la tribu arabe des Tayy.

SECTION : La lettre Zây

La lettre Zây est une noble lettre qui se manifeste dans le Nom « le Fort » (al-‘Azîz). La force appartient à Dieu totalement. A partir de Lui, elle parvient au reste de l’univers graduellement. Une partie de l’univers acquiert sa force à partir d’une autre (partie). Ainsi la sphère terrestre puise-t-elle (la force) à partir de l’eau, l’eau de l’air, l’air du feu, le feu de la sphère céleste…ainsi s’étage la Puissance dans les êtres générés. C’est à cela que réfère ce verset coranique : « Tu exalte qui tu veux et Tu abaisse qui Tu veux » (III 26).

SECTION : La lettre Wâw

La lettre Wâw est une lettre d’entre les lettres du Trône, voyageant dans les différentes parties de l’univers, se rattachant aux deux extrémités du monde créaturel et de l’Impératif « Sois ! et elle est ». Et comme cette noble science est essentiellement allusions et symboles, j’en cite ici ce qui comporte allusion et réveil de l’attention.


LES ORIENTS DES LUMIERES

http://www.al-imane.org/forums/showthread.php/7520-Alef-1?p=41164&viewfull=1#post41164

ici, il nous manquait la lettre "Lâm" et "Yâ" , c'est Sayyid ithviriw qui nous avait offert sur un plateau les secrets du "lâm" dans un paragraphe de l'un de ses articles sur Ibn Arabi (rah).



IBN ARABI : La connaissance d’Allah, du Monde, de Satan et de l’âme par respectivement le silence, la solitude, la faim et la veille 1/4

http://esprit-universel.over-blog.c...litude-la-faim-et-la-veille-1-4-48388740.html

Sache que l'Autorité (al-hukm) est fruit de la sagesse (al-hikma), et que la Science (al-'ilm) est fruit de la connaissance (al-ma'rifa). Celui qui n'a pas de sagesse n'a pas d'Autorité, celui qui n'a pas de connaissance n'a pas de Science. Celui qui possède à la fois l'Autorité et la Science (al-hakîm al-'âlim) se dresse "pour Allah" (li-Llâhi qâ'im), et celui qui a la sagesse et la connaissance (al-hakîm al 'ârif) reste "par Allah"(bi-Llâhi wâqif) : les gens d'autorité et savants sont ainsi des lâmiyyûn (ayant comme emblème la lettre lâm) pendant que les sages connaisseurs sont des bâ'iyyûn (ayant comme emblème la lettre bâ').

http://www.al-imane.org/forums/show...oufis-ou-Irfanis?p=54603&viewfull=1#post54603


Et mon commentaire sur le sujet du "Lâam" ( "Lâam" = Couronnement et qui est indissolublement lié à notre jeu de "SHAH" ( ROI ) avec les 12 pions de chaque joueur pour 12 parties gagnantes !!! )

Je voudrais juste faire -comme à mon habitude- un petit "écart / parallèle" en commençant par celui que je maitrise le mieux en la personne de ce fameux " A. M. LAM " L'egyptologue et Professeur Sénégalais de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Mr Aboubakri LAM et votre article (au paragraphe) sur la lettre "LAM" dans le post de "Ibn Al Arabi et Sayyid Ahmad Tijani..."
...
Revenons à notre Sénégalais de Laam Aboubacry Moussa avec qui je partage d'ailleurs le même idiome et la même culture ancestrale sauvegardée par nos sages, nos griots et conteurs ... de l'oralité ( ou presque ! le "sénéchal", c'est quand même pas les crevettes du fleuve "Wouri" ; "Camaroes" aka Cameroun lol !)

Biographie

Aboubacry Moussa Lam est né en 1953 dans un petit village de la vallée du fleuve Sénégal, Sinthiou Dangdé. Outre le français, Il écrit également de nombreux ouvrages en pulaar.

Écrits

La fièvre de la terre, 1990
De l'origine égyptienne des Peuls, 1993
Le Sahara ou la vallée du Nil : aperçu sur la problématique du berceau de l'unité culturelle de l'Afrique Noire, 1994
Les chemins du Nil : les relations entre l'Egypte ancienne et l'Afrique noire, 1997
L'affaire des momies royales : la vérité sur la reine Ahmès-Nefertari, 2000
L'unité culturelle égypto-africaine à travers les formes et les fonctions de l'appui-tête, 2003
Voir aussi

Articles connexes

Cheikh Anta Diop
Bibliographie

Luka Lusala lu ne Nkuka, « L'Egypte ancienne et l'Afrique noire chez Aboubacry Moussa Lam », dans Renaître, n° 17, 15 septembre 2004, p. 33
Fabrice Hervieu-Wane, « Aboubacry Lam. L'ambassadeur des pharaons noirs », dans Dakar l'insoumise, Éditions Autrement, Paris, 2008, p. 184-191

Liens externes

Articles d'Aboubacry Moussa Lam publiés dans la revue Ankh

http://fr.wikipedia.org/wiki/Aboubacry_Moussa_Lam

Désolé mais je n'ai pas trouvé mieux que "Modibo Zionpedia" dans "la maison de l'araignée" avec tout ce que cela comporte comme fallacies ISLAMOPHOBES sur le "LAM" des "foulbé" ( fulani) musulans à 98 % et localisés dans une 20ne de pays Africains du Fouta Diallo ( Djâlo) en Guinnée Conakry ,en Mauritanie ( Toucouleurs d'El hadj Omar Tall en passant par MOPTI ( rassemblement) au MALI, le Nigeria, Le Cameroun, le Tchad , Le Soudan, et l'Ethiopie dont beaucoup considèrent être leur origine Connue...( seul feu Mossi/peuhl par sa mère, Thomas Sankara ( = Sangharé, Sankoro ...), et quelques nomades "bororos" font exception )

LAAM des "Laamibé" peuhls.

Laamiido (plural Laamiibe) is the Anglicisation of a term from the Fula language or Fulfulde, used to refer to a ruler. In the language it is properly laamiiɗo (pl. laamiiɓe), derived from the verbal root "laam-" meaning "to rule or to lead", and hence may be translated more specifically as "leader" = IMAM. It is commonly used to translate the concept of the Arabic title Emir, into Fulfulde. The title "Lamido" has been used by the traditional leaders of certain Islamic communities in West Africa, originally as head of (often vassal) states, nowadays persisting within post-colonial republics. ( ils comprennent absolument rien , ou alors, ils falsifient tout dans leur crise d'islamophobie aigue !!! , les soufis Qadirites et Tijjanites, Les "Gouranes" et les "Peuhls" notamment, en ont tout une autre interprétation du "Lâam" de même que les autres frères Africains avec le titre de "Almamy" ( Al Mâm = Al Imâm... Samory Touré et Alpha Yaya Djâlo en pays Mandingue ( malinkés; guinnée, mali ) et au "Fouta" des Nafissatou Djâlo)

States where the title lamido as such was used

(list incomplete) Fulani Jihad states:
Bauchi Emirate, ( Nigeria) since its foundation in 1805
Other:
Bibemi, ( cameroun) since its 1770 foundation, until the higher Muslim title Sultan was assumed
Compound title

Laamiiɗo juulɓe 'Emir of the Muslims (lit. those who pray)' was a title, alongside the proper Arabic Amir al-Mu´minin (which was maintained), of the Imam `Usuman dan Muhammad Fodio, the original leader of the largest of the Fula jihads Islam) A CROIRE QUE DES SIECLES AVANT L'ARRIVEE DES ARABES ET DE l'ISLAM, ON N'AVAIT PAS DE LAAMIIDOS ( "lâmi-bé" ) !!!
(conquests by the Fula people in the name of spreading in Sokoto, the home state of the leader of the Fulbe jihad, whose heirs (since 1817) adopted the title Sarkin Musulmi and became known as Sultan of Sokoto, still considered the paramount ruler of traditional islamic people in (northern) Nigeria

Baban-Lamido in Adamawa (now partially in Cameroon; BABA-RAY , BOUBA-RAY, au Lâmidat de REY dans l'actuel département du Mayo Rey; "Rey" = province de téhéran sous les omayyades et les Abbassides ), since its foundation in 1809

Sources and references

World Statesmen- here Nigerian Traditional states
http://en.wikipedia.org/wiki/Lamido

Ils ne parlent que de "Djihad", alors que nous, on parle dans nos langues maternelles de "Laamiido (bé) Wouro" comme Chef ou Roi du "territoire" ( royaume, village...sur lequel s'exerce une souveraineté); évidemment que si le territoire en question est entièrement ou à une très grande majorité composé de musulmans, on parlera de "Djouulbé " ( littéralement "Ceux qui prient Dieu en Islam" = croyants sinon on parle de "LAAMIDO HAABE" ...). Tout ce qu'ils traficotent comme désinformations n'engage que leur croisade de guerre psychologique culturelle et médiatique à l'encontre des musulmans, qu'ils soient arabes, asiatiques ou noirs africains! noirs dont ils cherchent d'ailleurs à diviser davantage avec le clivage sectariste et religieux entre djihadistes musulmans qui auraient massacré et esclavagé les ancêtres de nos frères africains Agnostiques vendus aux arabes et qu'ils appellent "animistes" et qu'ils auraient "civilisé" avec des campagnes d'évangilisation messianique par de "paisibles sermons" ensanglantés comme ceux de Charlemagne avec la conversion des saxons au christianisme sans aucun doute !!!

Le "LAAM" est bien inspiré de la gnose spirituelle des enseignements des Prophètes du passé et repris par les maitres soufis de la "tariqa tijjaniya" mais n'a rien à voir avec les "débilitantes aliénations" des programmeurs de cerveaux... bien avant le "jihad" et les "razziats", on n'avait toujours le terme de "LAAMIIDO" ( Chef, Roi ou leader ) dans notre vocabulaire. et pour tout dire, on a un jeu traditionnel appelé "TCHIPA" avec 12 pions pour chacun des 2 joueurs sur un "dammier" au sol fait de 6 X 5 cases et dont le vainqueur est celui qui aura "LAAM" ( couronné ) son adversaire après 12 victoires !!! (si seulement "magic" Abu_Salih pouvait avoir le temps matériel de nous concocter ce jeu de mines !!! je divague... )


En attendant que le temps le permette pour que j'étaye un peu plus ma pensée dans le post approprié ( "Sayyids Ahmad Tijjani et Ibn Al Arabi soufis ou chiites?" ), nous pourrons bien revenir au sujet du débat si vous le voulez bien ...pendant que je prends le temps nécessaire de me délecter de tous ces excellentes sources d'infos ...

Ma'a Salaam

P.S : ce post devrait beaucoup servir à mes amis "afro-centristes" et "négro-centristes" d'africamaat.com par exemple; il me semble qu'ils gagneraient plus à être pan-africanistes ouvert à l'Asie et à aux Indios que "négro-centristes" renfermés et pros "greco-romains" dont ils épousent et avalent les manipulations empoisonnés sans science ni conscience...juste par désir de prestige

http://www.al-imane.org/forums/showthread.php/11024-L-Afrique-mère-des-civilisations-et-de-l-Humanité-(Quid-des-religions-)?p=62475&highlight=aboubakri+l%E2m#post62475

Il nous manque la lettre " yâ" pour compléter notre savoir limité sur :

"Ayin, Lâam, yâ "

là, j'interpelle encore une fois de plus notre frère et Ami Sam le pacifique et sayyid ithviriw, je suis limité par son exact contraire à savoir la lettre "Tâ" , qui se trouve être celle qui est juste au CENTRE, AU MILIEU ...des lettres qui composent les versets du Livre de Dieu, infaillible, Inimitable et inchangeableincorruptible ; à la sourate 18 -La caverne-, au verset 19 et au mot arabe - " Waliya-ta-lathaf" - tâ avec deux point au dessus et au milieu (entre les deux ) termes "Waliy" et "Lathîf " ( ce qui me fait penser à l'occultation du "Maitre" ( Waliy ) Jésus ibn Maryam -as- et du "Maître Subtile" ( "Lathif" ) IMAM Al MAHDI (atf) alors que le "Yâ" avec ses deux points en dessous m'inspire aussi entre autre, la fourche de l'épée Zoulfiqar ...( lors de "sa descente" en bas ).

Par la VERITE ( bi Haqqi) Mohammed -sawa- et sa sainte famille purifiée -as-, Que Dieu -exalté soit son Nom Béni- fasse miséricorde au Cheikh al Akbar Sayyid Mouhyi-eddine ibn Al Arabi, Cheikh sayyid Abdoul Qadri Jilâni et Ahmad Tijjani (rah)et à nos frères et soeurs qui nous permettent de nous instruire sur ce forum à travers les différents articles si riches en science et en sagesse ; pour le reste; on est loin d'avoir une signification exhaustive sur les lettres qui composent le nom de l'Imam ALI (as) qui par ailleur est aussi un Attribut Divin ( "Al Alâ" et "Al Aliyoune" ) et Dieu est le plus savant...

A quiconque me demande de l’informer sur le secret
de Laylâ, je réponds évasivement, s’agissant
d’aveugles à son égard.
Ils me disent : « Informe-nous sur Laylâ, car tu es son
homme de confiance. » Mais si je les informai,
je ne serai pas homme de confiance.

Ma'a Salaam

 

[sam]

salam salam,

Salâm salâm,

Très cher frère AbdallahibnAdam,

Je suis enchanté de faire votre connaissance et je vous souhaite la bienvenue

J'ai pris connaissance de votre question et je profite de mon passage pour vous informer qu'il y a une personne vraiment très compétente dans ce domaine qui souhaite dans un futur proche traduire pour un public francophone un ouvrage ou nous pourrions ensemble trouver des réponses et des informations considérables sur ce sujet. Dans l'attente que ce livre soit bientôt publié, je vous souhaite une heureuse recherche sur les noms de la famille du très-vénérer Mohammad (AS).

Enfin, cher frère et ami Mohalamine, oui vraiment comme toi, je continue mes recherches et une fois que j'aurai trouver une satisfaction, je te la partagerai pleinement. Merçi de ta compréhension cher frère.

Avec toute mon amitié, amicalement votre frère sam ​

 

[ahruf]

As Salam alaykoum.


Ce sujet de la science des lettres est très intéressant. D'ailleurs, il n'y a pas une mais plusieurs science des lettres, bien qu'une d'entre elle soit considérée comme "mère" par les connaisseurs.

Il faut aussi savoir faire le tri, si l'on s'en réfère aux écrivains pour aborder ce domaine du savoir, entre la science proprement dite et les éléments de spéculation.

Ibn 3arabi flirte par moment entre les deux mais généralement il expose la science, sous couvert de métaphores et de jeux de languages, pour voiler la connaisseurs aux mauvais coeurs et déclencher un réveil mystique pour les coeurs sincères, réveil qui n'aura de réelle portée que s'il est ensuite pris en main par un maître.

Dans "l'orient des lumières", en revanche, on est pleinement dans la spéculation, en dehors de quelques passages qui semblent traditionnels et justifiés. Pour autant ce n'est pas un livre dénué d'intérêt si l'on souhaite s'imprégner de la spéculation mystique d'un certain chiisme, mais ne as considérer ce livre comme une source pour la science des lettres.

Salam.