Pourquoi le Tatouage est Haram en Islam?
Quelques images de motifs de tatouage berbère, Amazigh, et Kabyle,Rifains :
Motif berbère oiseau
Motif Amazigh, l’homme libre
Motif berbère losange
(la femme) Motif berbère du bélier (puissance physique)
Tatouage femme Kabyle Tatouage femme Kabyle sur les mains et le visage
Tatouage femme Kabyle sur le visage
Motifs de tatouages berbères Motif berbère
Drapeau Amazigh un motif de tatouage qui signifie la race des hommes libre
Le tatouage chez la femme berbere
Le tatouage, symbole d'un érotisme suggéré dont les femmes berbères détiennent le secret depuis longtemps, est une esthétique où chaque trait, chaque cercle, chaque motif a son rôle. Sur le front, le tatouage rapproche les sourcils, les allonge et donne au regard une profondeur qui fait oublier les imperfections du visage. Quand il se prolonge du menton au cou, il dissimule les rides. Lorsqu'il se continue jusqu'à la naissance des seins ou au nombril, il suggère des voluptés cachées. Sur toute la face, il fait office d'un masque érotique.
Salam Aleykoum
BISMILLAH IRAHMAN IRAHIM
Allahuma salli ala Mouhammad wa ahli Mouhammad
Tatouage Berbère, tatouages et culture Berbère, Kabyle, Rif, Amazigh
Tatouage de femme berbère
Le tatouage est l’un des plus anciens rites de la culture berbère, dont les origines remontent à la période pré-islamique. Ces ethnies berbères, dont l’on retrouve des traces datant de l’antiquité pharaonique, tribus nomades et groupes berbérophones, ont historiquement une présence dans plus d’une dizaine de pays africains, du Maghreb méditerranéen à l’Afrique sub-saharienne en passant par l’Égypte et le Niger, de l’océan Atlantique au rivages du Nil.
Le tatouage berbère Ces croyances sont toujours l’objet de coutumes dans les campagnes, où l’Islam n’a que partiellement intégré ces anciennes pratiques et croyances. Le tatouage appelé « el-âyacha » (« celui qui fait vivre »), est parfois encore pratiqué en milieu rural, où les femmes, depuis toujours, protègent leurs enfant du mauvais sort et de la malchance en leur dessinant sur le front avec du noir de fumée par exemple. On retrouve cette coutume lorsque le jour de la naissance d’un enfant coïncide avec un événement néfaste. Le tatouage a ici une fonction de communication entre le corps humain et le monde des esprits. Aujourd’hui, au Maghreb, le tatouage au henné fait encore partie des traditions berbères, le côté ornemental ayant de longue date pris le dessus depuis longtemps sur le sens magique primitif.
De tout temps, le tatouage a été une coutume chez les femmes berbères, que ce soit à titre ornemental, pour se parer comme avec des bijoux et se rendre plus belles et désirables, avec une subtile touche d’érotisme tout en suggestion, ou pour exprimer un sentiment, symboliser un statut social (mort du mari et veuvage par exemple, la femme berbère pouvant porter un tatouage sur le menton reliant chaque oreille, symbolisant la barbe du mari mort). Remontant au Néolithique en Afrique du nord, le tatouage des tribus nomades berbères servait également à dissocier et à identifier les membres des différentes tribus Amazigh par des dessins, souvent sur le visage, aux caractéristiques très géométriques et aux vertus prétendument magiques : le tatouage était notamment censé conjurer le mauvais sort (éloigner le mauvais œil) et apportait bonne fortune et réussite. Aujourd’hui encore, les femmes sont les dépositaires des coutumes d’une civilisation très ancienne, qui va à l’encontre de l’islam actuel, tel qu’il est interprété dans de nombreux pays. Le tatouage s’est partiellement adaptée à cette interdiction coranique, notamment en ne représentant jamais l’image de l’homme.
Pour les musulmans, la plupart du temps, le tatouage est proscrit par l’Islam, symbole de péché et de mutilation, de modification de l’œuvre divine, malgré son statut de coutume immémoriale, les imams continuant de condamner tout lien à d’anciennes croyances en des éléments surnaturels. C’est pourquoi les femmes, principales utilisatrices des dessins esthétiques sur la peau, utilisent aujourd’hui plus couramment, pour des raisons religieuses, le tatouage au henné, provisoire et non mutilant. Il existe de nombreux rites associés au Henné, lors desquels il reste très présent, même aujourd’hui : le rite du mariage (rituel de la « nuit du henné », de la naissance, du baptême, de la circoncision.
Les Imazighen, (hommes libres ) ou Berbères, se tatouaient le front, le menton, les joues, le dos des mains et les tempes à l’aide pigments issus de substances d’origine végétale, du charbon, mélangés à de l’eau ou du sang, des motifs et symboles qui leur étaient propres et avaient un sens bien particulier. Le tatouage d’alors était plus social qu’ornemental, contrairement à aujourd’hui, où cette notion de tatouage symbolique a disparu dans les nouvelles générations de Berbères, même si il peut parfois conserver une notion d’attachement à une communauté, permettant aux berbères et notamment aux Kabyles de se démarquer culturellement des arabes.
La fonction du tatouage est donc historiquement multiple chez les Amazigh : il peut être protecteur et ornemental, mais également identitaire ou médical : dans le Sahel, en intervenant à mi-chemin entre l’extérieur et l’intérieur du corps, on lui prêtait des vertus guérissantes : mal à la tête, arthrite…
Chaque détail, chaque motif a sa propre symbolique dans le tatouage berbère
BISMILLAH IRAHMAN IRAHIM
Allahuma salli ala Mouhammad wa ahli Mouhammad
Tatouage Berbère, tatouages et culture Berbère, Kabyle, Rif, Amazigh
Le tatouage est l’un des plus anciens rites de la culture berbère, dont les origines remontent à la période pré-islamique. Ces ethnies berbères, dont l’on retrouve des traces datant de l’antiquité pharaonique, tribus nomades et groupes berbérophones, ont historiquement une présence dans plus d’une dizaine de pays africains, du Maghreb méditerranéen à l’Afrique sub-saharienne en passant par l’Égypte et le Niger, de l’océan Atlantique au rivages du Nil.
Le tatouage berbère Ces croyances sont toujours l’objet de coutumes dans les campagnes, où l’Islam n’a que partiellement intégré ces anciennes pratiques et croyances. Le tatouage appelé « el-âyacha » (« celui qui fait vivre »), est parfois encore pratiqué en milieu rural, où les femmes, depuis toujours, protègent leurs enfant du mauvais sort et de la malchance en leur dessinant sur le front avec du noir de fumée par exemple. On retrouve cette coutume lorsque le jour de la naissance d’un enfant coïncide avec un événement néfaste. Le tatouage a ici une fonction de communication entre le corps humain et le monde des esprits. Aujourd’hui, au Maghreb, le tatouage au henné fait encore partie des traditions berbères, le côté ornemental ayant de longue date pris le dessus depuis longtemps sur le sens magique primitif.
De tout temps, le tatouage a été une coutume chez les femmes berbères, que ce soit à titre ornemental, pour se parer comme avec des bijoux et se rendre plus belles et désirables, avec une subtile touche d’érotisme tout en suggestion, ou pour exprimer un sentiment, symboliser un statut social (mort du mari et veuvage par exemple, la femme berbère pouvant porter un tatouage sur le menton reliant chaque oreille, symbolisant la barbe du mari mort). Remontant au Néolithique en Afrique du nord, le tatouage des tribus nomades berbères servait également à dissocier et à identifier les membres des différentes tribus Amazigh par des dessins, souvent sur le visage, aux caractéristiques très géométriques et aux vertus prétendument magiques : le tatouage était notamment censé conjurer le mauvais sort (éloigner le mauvais œil) et apportait bonne fortune et réussite. Aujourd’hui encore, les femmes sont les dépositaires des coutumes d’une civilisation très ancienne, qui va à l’encontre de l’islam actuel, tel qu’il est interprété dans de nombreux pays. Le tatouage s’est partiellement adaptée à cette interdiction coranique, notamment en ne représentant jamais l’image de l’homme.
Pour les musulmans, la plupart du temps, le tatouage est proscrit par l’Islam, symbole de péché et de mutilation, de modification de l’œuvre divine, malgré son statut de coutume immémoriale, les imams continuant de condamner tout lien à d’anciennes croyances en des éléments surnaturels. C’est pourquoi les femmes, principales utilisatrices des dessins esthétiques sur la peau, utilisent aujourd’hui plus couramment, pour des raisons religieuses, le tatouage au henné, provisoire et non mutilant. Il existe de nombreux rites associés au Henné, lors desquels il reste très présent, même aujourd’hui : le rite du mariage (rituel de la « nuit du henné », de la naissance, du baptême, de la circoncision.
Les Imazighen, (hommes libres ) ou Berbères, se tatouaient le front, le menton, les joues, le dos des mains et les tempes à l’aide pigments issus de substances d’origine végétale, du charbon, mélangés à de l’eau ou du sang, des motifs et symboles qui leur étaient propres et avaient un sens bien particulier. Le tatouage d’alors était plus social qu’ornemental, contrairement à aujourd’hui, où cette notion de tatouage symbolique a disparu dans les nouvelles générations de Berbères, même si il peut parfois conserver une notion d’attachement à une communauté, permettant aux berbères et notamment aux Kabyles de se démarquer culturellement des arabes.
La fonction du tatouage est donc historiquement multiple chez les Amazigh : il peut être protecteur et ornemental, mais également identitaire ou médical : dans le Sahel, en intervenant à mi-chemin entre l’extérieur et l’intérieur du corps, on lui prêtait des vertus guérissantes : mal à la tête, arthrite…
Chaque détail, chaque motif a sa propre symbolique dans le tatouage berbère
- Le point symbolise le foyer, qui est au centre centre de la maison
- Le croissant de lune la matière qui naît, grandit et meurt.
- La spirale symbolise l’harmonie éternelle
- Le cercle représente l’absolu.
- Les palmiers tatoués sur le front des femmes berbères invoquent la déesse mère
- Le premier trait vertical symbolise dieu et la vie, ainsi que le premier outil planté en terre par l’homme
- Les deux traits symbolisent la dualité entre le bien et le mal qui sommeillent en chacun
- Le carré est la représentation de la maison
- Deux carrés superposés symbolisent le combat de dieu contre la malédiction et les ténèbres
- La rosace, composée de triangles : celui qui a la pointe vers le haut symbolise le feu et la virilité, tandis que le triangle avec la pointe en bas représente l’eau et la féminité
- Le plus (signe +) symbolise l’oeil de Dieu, l’étoile dont la lumière guide l’homme dans la nuit
- La croix symbolise les deux jambes ou les deux bras de l’homme.
- Autres symboles : la palme du palmier, les chevrons, les pectines de sapins, les lignes de vie
Quelques images de motifs de tatouage berbère, Amazigh, et Kabyle,Rifains :
Motif berbère oiseau
Motif Amazigh, l’homme libre
Motif berbère losange
(la femme) Motif berbère du bélier (puissance physique)
Tatouage femme Kabyle Tatouage femme Kabyle sur les mains et le visage
Tatouage femme Kabyle sur le visage
Motifs de tatouages berbères Motif berbère
Drapeau Amazigh un motif de tatouage qui signifie la race des hommes libre
Le tatouage chez la femme berbere
Le tatouage, symbole d'un érotisme suggéré dont les femmes berbères détiennent le secret depuis longtemps, est une esthétique où chaque trait, chaque cercle, chaque motif a son rôle. Sur le front, le tatouage rapproche les sourcils, les allonge et donne au regard une profondeur qui fait oublier les imperfections du visage. Quand il se prolonge du menton au cou, il dissimule les rides. Lorsqu'il se continue jusqu'à la naissance des seins ou au nombril, il suggère des voluptés cachées. Sur toute la face, il fait office d'un masque érotique.
Ait-touzine Berbère du Rif
Petite fille Berbère du Rif
Deux petites Berbères
Petite Kabyle
Portrait du roi Massinissa
Que dit l'islam sur le tatouage est-ce haram ou déconseiller ?
Beaucoup de Musulmans pratique le tatouage , est je connais certains frères chiite aussi qui se tatoue le sabre de l'imam Ali(as) sur le bras ou encore des frères sunnites qui se tatoue des caligraphies arabes sur le dos etc...
Tatouage arabe sur le dos qui représente Allah et son Messager
par contre je trouve se genre de tatouage pas très saint, puisque il porte des noms sacrées islamique
Donc si vous avez des réponses et des explications islamique ou des dires de savant sur le tatouage serait les bienvenu insha'Allah
Beaucoup de nos mère et grand mère et nos soeurs berbères porte encore des tatouages berbères , est sa serait bien d'avoir des réponses insha'Allah
Merci a vous
wassalamoun-aleykoum
Petite Kabyle
Portrait du roi Massinissa
Que dit l'islam sur le tatouage est-ce haram ou déconseiller ?
Beaucoup de Musulmans pratique le tatouage , est je connais certains frères chiite aussi qui se tatoue le sabre de l'imam Ali(as) sur le bras ou encore des frères sunnites qui se tatoue des caligraphies arabes sur le dos etc...
Tatouage arabe sur le dos qui représente Allah et son Messager
par contre je trouve se genre de tatouage pas très saint, puisque il porte des noms sacrées islamique
Donc si vous avez des réponses et des explications islamique ou des dires de savant sur le tatouage serait les bienvenu insha'Allah
Beaucoup de nos mère et grand mère et nos soeurs berbères porte encore des tatouages berbères , est sa serait bien d'avoir des réponses insha'Allah
Merci a vous
wassalamoun-aleykoum