azedine
Well-known member
Salam,
- Une délégation de Rome est venue à Médine, du temps du califat d’Abu Bakr.
- L’un des membres de cette délégation, était un moine chrétien ..
- Il s’est dirigé vers la mosquée du Prophète (p), portant un coffret rempli de pièces d’OR et d’ARGENT.
- Il a trouvé le CALIFE assis, et entouré de ses Compagnons.
- Il les a salués après les avoir bien dévisagés ..., il leur a dit :
- « Qui est parmi vous le successeur du Messager de DIEU (p), votre Prophète et Le GARANT de votre RELIGION ? »
- On lui a désigné Abu Bakr. Il s’est tourné vers lui, et lui a dit : « Vieil homme, comment t’appelles-tu ? »
- Abu Bakr : « Je m’appelle ‘Atiq (l’affranchi). »
- Le moine : « Et quoi encore ? »
- Abu Bakr : « As-Sidiq (le véridique) ».
- Le moine : « Et quoi encore ? »
- Abu Bakr : « Je ne me connais pas d’autres prénoms ».
- Le moine : « Tu n’es pas celui, que je cherche ».
- Abu Bakr : « Et que cherches-tu ? »
- Le moine : « Je viens de Rome avec ce coffret, remplit de pièces d’OR et d’ARGENT, pour interroger Le GARANT de cette communauté sur un sujet.
- S’il me répond, je me soumets à l’ISLAM, je me soumets à ses ORDRES, et je DISTRIBUERAI cet OR, entre vous.
- Et s’il est incapable de me répondre, je rebrousse chemin, avec ce que j’ai, et je n’embrasserai pas l’ISLAM ».
- Abu Bakr : « Interroge-moi, sur ce que tu veux ».
- Le moine : « Par DIEU, je ne commencerai à parler, que si tu me mets à l’abri de ton impétuosité, et de celle de tes compagnons ».
- Abu Bakr : « Tu en es à l’abri, tu n’as rien à craindre, dis ce que tu as à dire ».
- Le moine :
1- « Parle-moi de ce que DIEU N’A PAS.
2- de ce qui ne vient pas de DIEU.
3- et de ce que DIEU IGNORE ».
- Abu Bakr fût saisi de frissons, et est resté coi.
- Après un instant, il a dit à l’un de ses compagnons : « Va vite, me chercher Abu Hafsa ».
- Lorsqu’Omar est arrivé et qu’il se soit assis, le calife a dit au moine : « ô, moine, interroge-le. »
- Ce dernier a regardé Omar, et lui a posé les mêmes questions qu'à Abu Bakr, et Omar n’a pas su répondre.
- Après Othman est arrivé, et il n’a pas su répondre aux questions du moine ».
- Le moine : « Vous êtes de vénérables vieillards, qui sont apparemment les bases de l’ISLAM ! »
- Puis, il s’est levé pour sortir, lorsqu’Abu Bakr lui a dit :
- « ô, toi ennemi de DIEU, s’il n’y avait pas le serment entre nous, j’aurais fait couler ton sang ».
- Salman al-Farici s’est levé, et est parti chez l’IMAM ALI (p) pour le mettre au courant de la situation.
- Arrivé chez lui (p), il l’a trouvé dans la cour de sa maison, en compagnie de l’IMAM HASSAN et de l’IMAM HOUSSEIN (p).
- Il lui a raconté l’incident, et l’IMAM ALI (p) s’est dirigé vers la mosquée du Prophète (p), avec ses enfants (p).
- Quand les Musulmans les ont vu arriver devant la mosquée, ils ont crié en chœur :
- « DIEU est Grand » et ils ont loué DIEU pour la présence de l’IMAM ALI (p) à ce moment, si important ».
- Le PRINCE des Croyants (p) est entré dans ma mosquée, il (p) s’est assis, et Abu Bakr a dit au moine : « ô, moine, interroge-le, car il est celui que tu demandes, et celui que tu attends ».
- Le moine regardant l’IMAM ALI (p) lui demande : « Comment t’appelles-tu jeune homme ? »
- L’IMAM ALI (p) : « Je m’appelle chez les Juifs, ELIE.
- Je m'appelle chez les Chrétiens, ÉLIYA.
- Pour mon père, c'est ALI, et pour ma mère, c'est HAÏDARE.
- Le moine : « Quel est ton lien avec votre Prophète ? »
- L’IMAM ALI (p) : « Il (p) est mon FRÈRE, mon BEAU-PÈRE et mon COUSIN ».
- Le moine : « Tu es celui que je cherche par le Seigneur de JÉSUS, parle-moi de ce que DIEU N’A PAS, de ce qui ne VIENT PAS de DIEU, et ce que DIEU IGNORE ».
- L’IMAM ALI (p) : « Tu es devant un connaisseur :
1- Concernant ta question, sur ce que DIEU N’A PAS, c’est une Compagne et des ENFANTS, car Il est UNIQUE ».
2- « Concernant ta question, sur ce qui ne VIENT PAS de DIEU, c’est l’INJUSTICE, envers aucune de ces créatures ».
3- Concernant ta question, sur ce que DIEU IGNORE, et bien c’est le polythéisme, car il ne connait pas d’ASSOCIÉ dans son Royaume ».
- Le MOINE s’est levé, a pris la tête de l’IMAM ALI (p) dans ses mains, puis l’a embrassé entre les YEUX, en disant :
- «J’atteste, qu’il n’y de Divinité, que DIEU ..
- J’atteste que Mohammed, est le Messager de DIEU ..
- Et j’atteste, que tu es Le SUCCESSEUR, et Le GARANT de cette communauté ..
- Que tu es l’essence, le minerai de la Religion, et de la Sagesse. »
- « J’ai lu ton NOM ELIE dans la TORAH, ton NOM ELIYA dans l’ÉVANGILE ..
- Ton NOM ‘ALA dans le CORAN, et ton NOM HAÏDARE, dans les premiers Livres Divins ».
- Je sais qu’après le Prophète (p), tu es Le légataire, et le Prince de la Walaya ..
- Tu es plus digne pour ce poste que quiconque.
- Dis-moi, qu’est-ce qui se passe entre toi et ces gens ? »
L’IMAM ALI (p) lui a répondu :
- Le moine s’est levé, et il a remis le coffret plein de pièces d’or et d’argent, au Prince des croyants (p), qui les a distribuées entre les pauvres et les nécessiteux de Médine.
- Le moine est rentré chez lui, après avoir embrassé l’ISLAM ».
- Une délégation de Rome est venue à Médine, du temps du califat d’Abu Bakr.
- L’un des membres de cette délégation, était un moine chrétien ..
- Il s’est dirigé vers la mosquée du Prophète (p), portant un coffret rempli de pièces d’OR et d’ARGENT.
- Il a trouvé le CALIFE assis, et entouré de ses Compagnons.
- Il les a salués après les avoir bien dévisagés ..., il leur a dit :
- « Qui est parmi vous le successeur du Messager de DIEU (p), votre Prophète et Le GARANT de votre RELIGION ? »
- On lui a désigné Abu Bakr. Il s’est tourné vers lui, et lui a dit : « Vieil homme, comment t’appelles-tu ? »
- Abu Bakr : « Je m’appelle ‘Atiq (l’affranchi). »
- Le moine : « Et quoi encore ? »
- Abu Bakr : « As-Sidiq (le véridique) ».
- Le moine : « Et quoi encore ? »
- Abu Bakr : « Je ne me connais pas d’autres prénoms ».
- Le moine : « Tu n’es pas celui, que je cherche ».
- Abu Bakr : « Et que cherches-tu ? »
- Le moine : « Je viens de Rome avec ce coffret, remplit de pièces d’OR et d’ARGENT, pour interroger Le GARANT de cette communauté sur un sujet.
- S’il me répond, je me soumets à l’ISLAM, je me soumets à ses ORDRES, et je DISTRIBUERAI cet OR, entre vous.
- Et s’il est incapable de me répondre, je rebrousse chemin, avec ce que j’ai, et je n’embrasserai pas l’ISLAM ».
- Abu Bakr : « Interroge-moi, sur ce que tu veux ».
- Le moine : « Par DIEU, je ne commencerai à parler, que si tu me mets à l’abri de ton impétuosité, et de celle de tes compagnons ».
- Abu Bakr : « Tu en es à l’abri, tu n’as rien à craindre, dis ce que tu as à dire ».
- Le moine :
1- « Parle-moi de ce que DIEU N’A PAS.
2- de ce qui ne vient pas de DIEU.
3- et de ce que DIEU IGNORE ».
- Abu Bakr fût saisi de frissons, et est resté coi.
- Après un instant, il a dit à l’un de ses compagnons : « Va vite, me chercher Abu Hafsa ».
- Lorsqu’Omar est arrivé et qu’il se soit assis, le calife a dit au moine : « ô, moine, interroge-le. »
- Ce dernier a regardé Omar, et lui a posé les mêmes questions qu'à Abu Bakr, et Omar n’a pas su répondre.
- Après Othman est arrivé, et il n’a pas su répondre aux questions du moine ».
- Le moine : « Vous êtes de vénérables vieillards, qui sont apparemment les bases de l’ISLAM ! »
- Puis, il s’est levé pour sortir, lorsqu’Abu Bakr lui a dit :
- « ô, toi ennemi de DIEU, s’il n’y avait pas le serment entre nous, j’aurais fait couler ton sang ».
- Salman al-Farici s’est levé, et est parti chez l’IMAM ALI (p) pour le mettre au courant de la situation.
- Arrivé chez lui (p), il l’a trouvé dans la cour de sa maison, en compagnie de l’IMAM HASSAN et de l’IMAM HOUSSEIN (p).
- Il lui a raconté l’incident, et l’IMAM ALI (p) s’est dirigé vers la mosquée du Prophète (p), avec ses enfants (p).
- Quand les Musulmans les ont vu arriver devant la mosquée, ils ont crié en chœur :
- « DIEU est Grand » et ils ont loué DIEU pour la présence de l’IMAM ALI (p) à ce moment, si important ».
- Le PRINCE des Croyants (p) est entré dans ma mosquée, il (p) s’est assis, et Abu Bakr a dit au moine : « ô, moine, interroge-le, car il est celui que tu demandes, et celui que tu attends ».
- Le moine regardant l’IMAM ALI (p) lui demande : « Comment t’appelles-tu jeune homme ? »
- L’IMAM ALI (p) : « Je m’appelle chez les Juifs, ELIE.
- Je m'appelle chez les Chrétiens, ÉLIYA.
- Pour mon père, c'est ALI, et pour ma mère, c'est HAÏDARE.
- Le moine : « Quel est ton lien avec votre Prophète ? »
- L’IMAM ALI (p) : « Il (p) est mon FRÈRE, mon BEAU-PÈRE et mon COUSIN ».
- Le moine : « Tu es celui que je cherche par le Seigneur de JÉSUS, parle-moi de ce que DIEU N’A PAS, de ce qui ne VIENT PAS de DIEU, et ce que DIEU IGNORE ».
- L’IMAM ALI (p) : « Tu es devant un connaisseur :
1- Concernant ta question, sur ce que DIEU N’A PAS, c’est une Compagne et des ENFANTS, car Il est UNIQUE ».
2- « Concernant ta question, sur ce qui ne VIENT PAS de DIEU, c’est l’INJUSTICE, envers aucune de ces créatures ».
3- Concernant ta question, sur ce que DIEU IGNORE, et bien c’est le polythéisme, car il ne connait pas d’ASSOCIÉ dans son Royaume ».
- Le MOINE s’est levé, a pris la tête de l’IMAM ALI (p) dans ses mains, puis l’a embrassé entre les YEUX, en disant :
- «J’atteste, qu’il n’y de Divinité, que DIEU ..
- J’atteste que Mohammed, est le Messager de DIEU ..
- Et j’atteste, que tu es Le SUCCESSEUR, et Le GARANT de cette communauté ..
- Que tu es l’essence, le minerai de la Religion, et de la Sagesse. »
- « J’ai lu ton NOM ELIE dans la TORAH, ton NOM ELIYA dans l’ÉVANGILE ..
- Ton NOM ‘ALA dans le CORAN, et ton NOM HAÏDARE, dans les premiers Livres Divins ».
- Je sais qu’après le Prophète (p), tu es Le légataire, et le Prince de la Walaya ..
- Tu es plus digne pour ce poste que quiconque.
- Dis-moi, qu’est-ce qui se passe entre toi et ces gens ? »
L’IMAM ALI (p) lui a répondu :
- Le moine s’est levé, et il a remis le coffret plein de pièces d’or et d’argent, au Prince des croyants (p), qui les a distribuées entre les pauvres et les nécessiteux de Médine.
- Le moine est rentré chez lui, après avoir embrassé l’ISLAM ».