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Le 10e Imam (as) nous enseigne le véritable statut de l'Imam 'Ali et son histoire

Alya Rouah

Banni
Banni
Ziyâraat le jour d’al-Ghadîr


(Sheikh Abbas Qommî, l’auteur de Mafatîh al-Jinân dit : « Nous avons indiqué dans le livre Hadiyat az-Zâ’ir, la chaîne de transmission de cette ziyarât et nous avons alors dit : « On (peut) visiter de cette ziyarât à tout moment, de près ou de loin. Elle n’est pas spécifique à un jour particulier ni à un lieu déterminé. Elle a assurément un bénéfice magnifique. Que ceux qui désirent dans les actes d’adoration, qui brûlent d’envie de visiter le Maître du Tutorat (wilâyat) le saisissent ! »)


Elle est faite spécialement pour la commémoration d’un événement capital qui eut lieu le 18 Thul-hajj où le Prophète (P) réunit tous les pèlerins à une intersection dite Ghadîr Khum pour désigner l’Imam Ali (p) comme Imam, Calife (successeur) et Autorité après lui.

Elle expose tous les mérites et vertus du Commandeur des croyants.

L’origine de cette ziyârah remonte à l’Imam Ali al-Hâdî (al-Naqî), le Xe Imam d’Ahl-ul-Bayt (p), qui l’a effectuée en ce jour anniversaire, alors qu’il se dirigeait vers Baghdad, à la demande du calife abbasside, al-Mu‘taçim.




La Ziyarât est comme suit :


« Que la paix soit sur Mohammed, le Messager de Dieu, le Sceau des Prophètes, Maître des Messagers, pur Elu du Seigneur des mondes, le Fidèle de Dieu pour sa Révélation et les Préceptes de Son Ordre,

Le Sceau de ce qui l’a précédé, l’Ouverture de ce qui va venir, le Prépondérant sur tout cela, ainsi que la Miséricorde de Dieu. Ses Bénédictions, Ses Prières et Ses Saluts !

Que la paix soit sur les Prophètes de Dieu, sur Ses Messagers, Ses Anges proches et Ses serviteurs vertueux !

Que la paix soit sur toi, ô Prince des croyants, le Maître des Légataires, l’Héritier du savoir des Prophètes, le Wali du Seigneur des mondes, mon Maître et le Maître des croyants, ainsi que la Miséricorde de Dieu et Ses Bénédictions !

Que la paix soit sur toi, ô mon Maître, ô Prince des croyants, ô Fidèle de Dieu sur sa terre, Son Ambassadeur parmi Ses créatures, Son Argument persuasif à l’encontre de Ses serviteurs !

Que la paix soit sur toi, ô Religion droite de Dieu, Sa Voie directe !

Que la paix soit sur toi, ô la Nouvelle grandiose à propos de laquelle ils divergent et sur laquelle ils seront interrogés !

Que la paix soit sur toi, ô Prince des croyants, tu as cru en Dieu, alors qu’ils étaient associationnistes, tu as confirmé en vérité et eux mentaient, tu as combattu en Dieu et eux faisaient défection,

Tu as adoré Dieu, en étant sincère en sa Religion, patient, attendant la rétribution de Dieu jusqu’à ce que la certitude t’ait atteint. Que la Malédiction de Dieu soit sur les injustes !

Que la paix soit sur toi, ô Maître des Musulmans et Prince des croyants, l’Imam des pieux et Chef de ceux à la face et aux pieds blancs, ainsi que la Miséricorde de Dieu et Ses Bénédictions !

J’atteste que tu es le frère du Messager de Dieu, son Légataire, l’Héritier de son savoir, son Fidèle sur sa législation, son successeur dans sa Nation, le premier qui a cru en Dieu et qui a certifié ce qui a été révélé à Son Prophète.

J’atteste qu’il (le Messager de Dieu (saws)) a transmis de Dieu ce qu’il lui a été révélé à ton propos, alors il a exécuté Son Ordre, il a imposé à sa Nation l’obligation de l’obéissance à toi et de l’allégeance à toi, il leur a fait te prêter allégeance et il t’a placé plus proche/prioritaire des croyants qu’eux-mêmes avec eux-mêmes comme Dieu l’a placé ainsi.

Ensuite, il a pris à témoin Dieu Très-Elevé à leur encontre et leur a dit : « Ne vous ai-je pas transmis ? » Ils dirent : « Notre Dieu, si ! »

Il dit alors : « Mon Dieu, atteste et Tu me suffis comme Témoin et comme Juge parmi les serviteurs. »

Alors, que Dieu maudisse celui qui a rejeté ton tutorat après la consécration, celui qui a violé ton engagement après le pacte.

J’atteste que tu as rempli ton engagement envers Dieu Très-Elevé et que Dieu Très-Elevé va réaliser Son Engagement à ton égard – et à celui qui réalise ce qu’il a contracté comme engagement avec Dieu, va lui arriver une récompense grandiose.

J’atteste que tu es le Prince des croyants, la vérité qui a parlé de ton tutorat, la Révélation (le Coran) et le Messager qui a pris pour toi l’engagement de la communauté pour cela.

J’atteste que toi, ton oncle et ton frère (qui) avez négocié votre âme avec Dieu, alors Dieu a révélé à votre propos :

« Dieu a acheté aux croyants leurs personnes et leurs biens pour leur donner le Paradis en échange. Ils combattent dans le chemin de Dieu : ils tuent et ils sont tués.

C’est une promesse faite en toute vérité dans la Tora, l’Evangile et le Coran. Qui donc tient son pacte mieux que Dieu ? Réjouissez-vous donc de l’échange que vous avez fait : voilà la victoire grandiose.

Ceux qui reviennent à Dieu, ceux qui L’adorent, ceux qui Le louent, ceux qui se livrent à des exercices de piété, ceux qui s’inclinent, ceux qui se prosternent, ceux qui ordonnent le bien et qui interdisent le blâmable, ceux qui observent les Lois de Dieu, et annonce la bonne nouvelle aux croyants » (Coran, sourate 9, versets 111-112)

J’atteste, ô Prince des croyants, que celui qui doute de toi, ne croit pas au Messager fidèle,

Que celui qui s’est détourné de toi pour autre a dévié de la Religion droite que le Seigneur des mondes a agréée pour nous et a parachevée par ton tutorat le jour d’al-Ghadîr.

J’atteste que tu es le concerné par la parole du Tout-Puissant et du Très-Miséricordieux : « Tel est, en toute droiture, mon chemin, suivez-le donc ! Ne suivez pas les chemins qui vous sépareraient du chemin droit » (Sourate 6, verset 153)

S’est égaré, par Dieu, et a égaré (d’autres) celui qui a suivi autre que toi et a dévié de la Vérité celui qui t’a été hostile.

Mon Dieu, nous avons entendu Ton Ordre, nous avons obéi et nous avons suivi Ta Voie droite, alors dirige-nous, notre Seigneur, ne dévie pas nos cœurs après nous avoir guidés vers Ton Obéissance et place-nous au nombre de ceux qui (Te) remercient pour Tes Bienfaits !

J’atteste que tu es toujours en opposition à tes passions, fidèle à la piété, capable de retenir ta colère, passant outre et pardonnant aux gens,

En colère si on a désobéi à Dieu, satisfait si on a obéi à Dieu, agissant en fonction de ce qu’Il a demandé de toi, veillant sur ce qui t’a été confié de sauvegarder, gardant ce qui a été mis en dépôt chez toi, transmettant ce dont tu as été chargé, attendant ce qui t’a été promis.

J’atteste que tu ne t’es pas mis à l’abri par faiblesse, que tu ne t’es pas retenu (de réclamer) ton droit par anxiété que tu ne t’es pas abstenu de combattre ceux qui t’ont usurpé par couardise,

Que tu n’as pas manifesté de satisfaction devant ce qui était en contradiction à ce qui satisfait Dieu par flatterie, que tu ne t’es pas découragé devant ce qui t’a touché dans la Voie de Dieu, que tu n’as pas faibli et que tu ne t’es pas résigné à demander ton droit en observateur.

Que Dieu nous préserve que cela soit comme cela !

Au contraire, quand on était injuste avec toi, tu ramenais tes comptes à Dieu et tu Lui remettais ton ordre, et tu leur rappelais mais ils ne se sont pas rappelés, tu les conseillais et ils n’en tenaient pas compte, tu leur demandais de craindre Dieu mais ils n’avaient pas peur de Lui.

J’atteste, ô Prince des croyants, que tu as combattu en Dieu, de la justesse de Son Combat, jusqu’à ce que Dieu t’ait appelé dans Son Entourage et t’ait pris à Lui de Son Choix,

Et qu’Il ait imposé à tes ennemis l’Argument par le fait qu’ils t’ont tué, pour que l’Argument soit pour toi à leur encontre avec ce que tu as comme arguments persuasifs à l’encontre des créatures.

Que la paix soit sur toi, ô Prince des croyants, tu as adoré Dieu en étant sincère, tu as combattu en Dieu en étant patient, tu as donné de ta personne, te remettant à Dieu pour tes comptes, tu as agi selon Son Livre, tu as suivi la sunna de Son Prophète,

Tu as accompli la prière, tu as donné la Zakât, tu as ordonné le bien et interdit le blâmable, en fonction de ce que tu as pu, désirant ce qu’il y a auprès de Dieu, dans ce que Dieu a promis.

Tu n’as pas été préoccupé par les adversités, tu n’as pas faibli aux moments des difficultés, tu ne t’es pas abstenu de combattre.

A menti celui qui t’a attribué autre chose que cela, qui a inventé quelque chose de faux à ton encontre et qui a préféré celui qui s’est obstiné dans son éloignement de toi.

Mais tu as combattu en Dieu du juste combat, tu as supporté le mal qui t’a été fait, de la patience de celui qui remet ses comptes à Dieu.

Et toi, tu es le premier qui a cru en Dieu, qui a prié pour Lui, qui a combattu, qui a montre Sa Face dans la maison de l’associationnisme alors que la terre était chargée d’égarement et que le démon était adoré ouvertement.

Et toi, tu es celui qui dit : « La multitude des gens autour de moi ne m’augmente pas en puissance, ni leur éparpillement loin de moi n’augmente en moi un sentiment de malaise/solitude. Et si l’ensemble des gens m’abandonnaient, je ne serais pas affaibli. »

Tu as cherché refuge auprès de Dieu alors tu t’es trouvé renforcé, et tu as préféré l’Au-delà au premier (monde, ad-Dunia), alors, tu t’es abstenu et Dieu t’a soutenu, t’a guidé, t’a purifié et t’a choisi.

Alors, tes actes ne se sont pas contredits, ni tes paroles n’ont divergé, ni tes états ne se sont retournés, ni tu n’as allégué ni inventé des mensonges à l’encontre de Dieu, ni tu n’as été avide des vanités (de ce monde), ni les péchés ne t’ont souillé.

Et tu es toujours sur l’évidence de Ton Seigneur, dans la certitude de ton ordre, tu diriges vers la vérité et vers la voie droite.

J’atteste, d’un témoignage de vérité, et je jure par Dieu, d’un serment d’authenticité, que Mohammad et sa famille (que les prières de Dieu soient sur eux) sont les Maîtres de la création,

Que tu es mon Maître et celui des croyants, que tu es le Serviteur de Dieu, son walî, le frère du Messager, son Légataire et son Héritier.

Et (j’atteste) qu’il t’a dit : « « Par Celui qui m’a envoyé en vérité, n’a pas cru en moi celui qui te nie, n’a pas admis Dieu celui qui refuse de te reconnaître, est égaré celui qui se détourne de toi et n’est pas guidé vers Dieu ni vers moi celui qui ne te prend pas comme guide.

Et cela est la Parole de mon Seigneur Tout-Puissant : « Et je suis en vérité Celui qui pardonne sans cesse à celui qui se repent, qui croit, qui fait le bien et qui, ensuite, est bien dirigé » (Sourate 20, verset 82) vers ton tutorat. »

Mon Maître, tes faveurs ne disparaissent pas, ta lumière ne s’éteint pas, c’est le despote, le misérable qui te renie.

Mon Maître, tu es l’Argument à l’encontre des serviteurs, celui qui guide vers la marche dans la voie droite et les provisions pour la Résurrection.

Mon Maître, Dieu a élevé, dans le premier (monde, ad-Dunia) ta demeure et a haussé dans l’Au-Delà tes degrés, Il t’a fait voir ce qui était obscur pour celui qui t’a contredit et qui t’a séparé des Dons que Dieu t’a octroyés.

Alors que Dieu maudisse ceux qui se sont permis de violer ton honneur (femmes, enfants, biens…) et on repoussé ton droit !

J’atteste qu’ils sont les pires perdants dont le Feu consume la face et qu’ils y sont maussades.

J’atteste que tu n’as pris d’initiative, ni tu ne t’es abstenu, ni tu n’as parlé, ni tu ne t’es retenu que sur ordre de Dieu et de Son Messager.

Tu as dit : « Par Celui entre les Mains Duquel je me trouve, le Messager de Dieu (que Dieu prie sur lui et sur sa famille) me regarda frapper du sabre en avant et dit :

« Ô ‘Alî, tu es par rapport à moi du rang de Haroun par rapport à Moussa sauf qu’il n’y a pas de Prophète après moi et je t’apprends que ta mort et ta vie sont avec moi et selon ma sunna. »

Par Dieu, je n’ai pas menti et on ne m’a pas menti, je ne suis pas égaré et on n’a pas été égaré par moi, je n’ai pas oublié ce que mon Seigneur m’a confié,

Et je m’en tiens vraiment à une preuve indubitable de mon Seigneur qu’Il a mise en évidence pour Son Prophète et que le Prophète m’a mise en évidence, je suis vraiment sur la voie évidente que j’ai prononcée verbalement. »

Tu as dit vrai, par Dieu, et tu as dit la vérité, alors, que Dieu maudisse celui qui t’a mis au même niveau que celui qui s’est soulevé contre toi !

Et Dieu (que Son Nom soit magnifié) dit : « Ceux qui savent sont-ils les égaux des ignorants ?! » (Sourate 39, verset 9)

Que Dieu maudisse celui qui a placé comme ton égal celui à qui Dieu avait imposé l’allégeance à toi, alors que tu est le Wali de Dieu, le frère de Son Messager, celui qui protège la Religion, à propos de qui le Coran parle de préférence.

Dieu Très-Elevé dit : « Dieu préfère les combattants aux non-combattants et Il leur réserve une récompense sans limites. Il les élève, auprès de Lui de plusieurs degrés en leur accordant pardon et miséricorde. – Dieu est Celui qui pardonnne, Il est Très-Miséricordieux ! » (Sourate 4, versets 95-96)

Et Dieu Très-Elevé a dit : « Placerez-vous celui qui donne à boire aux pèlerins et qui est chargé du service de la Mosquée sacrée au même rang que celui qui croit en Dieu et au Jour Dernier et qui lutte dans le chemin de Dieu ?

Ils ne sont pas égaux devant Dieu. Dieu ne dirige pas les gens injustes.

Ceux qui auront cru, ceux qui auront émigré, ceux qui auront combattu dans le chemin de Dieu avec leurs biens et leurs personnes seront placés sur un rang très élevé auprès de Dieu : voilà les vainqueurs !

Leur Seigneur leur annonce une miséricorde venue de Lui, une satisfaction et des Jardins où ils trouveront un délice permanent ; ils y demeureront, à tout jamais, immortels. Oui ! Une récompense sans limites se trouve auprès de Dieu ! » (Sourate 9, versets 19-22)

J’atteste que tu es le spécifié par l’Eloge de Dieu, le sincère pour l’obéissance à Dieu, que tu n’as pas remplacé la bonne direction par une autre, que tu n’as associé personne à ton Seigneur dans les actes d’adoration et que Dieu Très-Elevé a exaucé la demande de Son Prophète (que Dieu prie sur lui et sur sa famille) à ton propos.

Ensuite, Il lui a ordonné de faire apparaître ce dont Il t’a chargé pour sa communauté, pour exalter ton importance, annoncer ta preuve, battre en brèche les inanités et couper court aux prétextes.

Aussi, quand il craignit les dissensions des corrompus et eut peur pour toi des hypocrites, le Seigneur des mondes lui révéla :

« Ô le Messager ! Transmets ce qui t’a été révélé de Ton Seigneur. Si tu ne le fais pas, tu n’auras pas transmis Son Messager. Dieu te protégera contre les hommes. » (Sourate 5, verset 67)

Alors, il déposa les bagages du voyage, se leva sous le (soleil) brûlant de midi, prit la parole, se fit écouter, appela et transmit.

Puis, il s’adressa à tous et leur demanda : « Est-ce que je vous ai transmis ? » Ils répondirent : « Oui ! » Alors, il dit : « Mon Deu, témoigne ! »

Puis il leur demanda : « Ne suis-je pas plus proche/prioritaire des croyants qu’ils ne le sont avec eux-mêmes ? » Ils répondirent que oui. Alors, il prit ta main et dit :

« Celui pour qui je suis le maître alors ‘Alî est son maître. Mon Dieu, sois l’allié/ami de celui qui lui prête allégeance et sois l’ennemi de celui qui le prend comme ennemi, secours celui qui le secourt et abandonne celui qui l’abandonne ! »

Mais, seuls, peu ont cru en ce que Dieu a révélé à Son Prophète et la majorité d’entre eux n’ont fait qu’argumenter leur égarement.

Dieu Très-Elevé avait révélé à ton propos avant, alors qu’ils (le) détestaient :

« « Ô Vous qui croyez, quiconque d’entre vous rejette sa religion, Dieu fera bientôt venir des hommes, Il les aimera et eux aussi L’aimeront. Ils seront humbles à l’égard des croyants, fiers à l’égard des incroyants. Ils combattront dans le chemin de Dieu, ils ne craindront pas le blâme de celui qui blâme.

Ceci est une grâce de Dieu, Il la donne à qui Il veut. Dieu est partout et Il Sait.

Vous n’avez pas de maître en dehors de Dieu, de Son Prophète et de ceux qui croient, ceux qui s’acquittent de la prière, ceux qui font l’aumône alors qu’ils se sont inclinés,

Ceux qui prennent pour maîtres Dieu, Son Prophète et les croyants, ceux-là formeront le parti de Dieu et ils seront les vainqueurs ! » (Sourate 5, versets 54-56)

« Notre Seigneur, nous avons cru à ce que Tu nous as révélé et nous avons suivi le Messager alors inscris-nous avec les témoins ! » (Sourate 3, verset 53)

« Notre Seigneur, ne dévie pas nos cœurs après nous avoir dirigés, accorde-nous une miséricorde venant de Toi, car Tu es le Suprême Donateur ! » (Sourate 3, verset 8)

Mon Dieu, nous savons que cela est la vérité de chez Toi, alors maudis celui qui s’y opposa, s’enorgueillit, traita cela de mensonge et renia.

« Et les injustes connaîtront bientôt vers quel retournement ils se tournent ! » (Sourate 26, verset 227)

Que la paix soit sur toi, ô Prince des croyants, le Maître des Légataires, le Premier des adorateurs, le plus Ascète des ascètes ainsi que la Miséricorde de Dieu, Ses Bénédictions, Ses Prières et Ses Saluts !

C’est toi qui as donné « à manger pour Son Amour au miséreux, à l’orphelin et au captif » (Sourate 76, verset 8) pour la face de Dieu, tu ne voulais ni récompense ni remerciement de leurs parts.

Et c’est à propos de toi que Dieu Très-Elevé à révélé : « Ils les préfèrent à eux-mêmes, malgré leur pauvreté. Celui qui se gare contre sa propre avidité : ceux-là sont les bienheureux ! » (Sourate 60, verset 8)

Et toi, tu es celui qui retient sa colère, qui pardonne aux gens et Dieu aime ceux qui font le bien.

Et toi, tu es le patient dans la misère et les adversités et au moment des coups durs.

Tu es celui qui tranche avec équité et justice dans la gouvernance, celui qui connaît les Lois de Dieu parmi l’ensemble des gens,

Et Dieu Très-Elevé a annoncé ce qu’Il t’a donné de Ses Faveurs par Sa Parole : « Le croyant est-il semblable au pervers ?! Ils ne sont pas égaux. Ceux qui croient, font de bonnes actions auront les Jardins du Refuge comme lieu de séjour, pour prix de leurs actions » Sourate 32, versets 18-19).

Et toi, tu es le spécifié par la science de la Révélation, le jugement de l’interprétation et le texte du Messager, et tu as les positions mémorables et les stations renommées, les jours évoqués, le jour d’al-Badr, le jour des Partis, « lorsque les regards se détournaient de terreur et que les cœurs remontaient dans les gosiers, et que vous vous livriez à de vaines suppositions au sujet de Dieu, les croyants furent éprouvés et violemment ébranlés,

Quand les Hypocrites et ceux dont les cœurs sont malades dirent : « Dieu et Son Prophète ne nous ont fait des promesses que pour nous tromper »,

Et lorsque certains d’entre eux dirent : « Ô les gens de Yathrîb, il n’y a pas de place pour vous, partez ! » Certains d’entre eux demandèrent au Prophète la permission de se retirer en disant : « Nos maisons sont restées sans défense » mais elles n’étaient pas sans défense ; ils voulaient seulement s’enfuir ». (Sourate 33, verset 10-13)

Et Dieu Très-Elevé dit : « Lorsque les croyants virent les factions, ils dirent : « Dieu et Son Prophète disaient la vérité », cela n’a fait qu’accroître leur foi et leur soumission. » (Sourate 33, verset 22)

Tu as alors tué leur ‘Amrou et tu les as tous mis en déroute, « et Dieu a renvoyé les incroyants avec leur rage ; ils n’acquerront jamais aucun bien. Dieu a épargné aux croyants le combat ; Dieu est Fort et Puissant. » (Sourate 33, verset 25)

Et le jour de Uhud, lorsqu’ils remontaient sans se retourner sur personne et que le Messager les appelait à l’arrière des troupes, et toi tu repoussais les armées des associationnistes, loin du Prophète, à droite et à gauche jusqu’à ce que Dieu Très-Elevé les repoussât de vous deux, effrayés, et secourût par toi ceux qui avaient abandonné.

Et le jour de Hunayn, selon ce que dit la Révélation : « Quand vous étiez fiers de votre grand nombre – celui-ci ne vous a rien – quand la terre, toute vaste qu’elle est, vous paraissait étroite, et que vous avez tourné le dos en fuyant. Dieu fit descendre Sa Sakina sur Son Prophète et sur les croyants » (Sourate 9, versets 25-26)

Et les croyants, ce sont toi, ceux qui viendront après toi, et ton oncle Abbas qui appelle ceux qui ont été mis en déroute : « Ô les tenants de la sourate La Vache (II), ô les gens de l’allégeance sous l’arbre », jusqu’à ce que lui répondit un groupe que tu avais préservé de l’approvisionnement, alors que tu t’étais chargé de l’assistance sans eux, alors ils revinrent, désespérant de la récompense, ayant espoir en la Promesse de Dieu Très-Elevé, du repentir, et cela selon la parole de Dieu (que Son Souvenir soit magnifié) : « Après cela, Dieu reviendra vers qui Il veut » (Sourate 9, verset 27),

Et toi détenant un degré élevé de patience, remportant la récompense grandiose.

Et le jour de Khaybar, Dieu a fait apparaître la défaillance des hypocrites et a coupé le dos aux incroyants et Louanges à Dieu, Seigneur des mondes, « tandis qu’auparavant, ils avaient fait un pacte avec Deu qui les obligeait à ne pas tourner le dos. Il leur sera demandé compte du Pacte de Dieu. » (Sourate 33, verset 18)

Mon Maître, tu es l’Argument persuasif, le Chemin clair, le Bienfait étendu, la Preuve lumineuse, alors les félicitations sont pour toi pour ce que Dieu t’a donné en faveurs, et malheur à l’ignorant qui t’a haï !

Tu as assisté avec le Prophète (que Dieu prie sur lui et sur sa famille) à l’ensemble de ses guerres et de ses expéditions, portant l’étendard devant lui, frappant du sabre en avant de lui.

Ensuite, par ta détermination connue et ta clairvoyance dans les ordres, il t’a nommé responsable dans (toutes) les situations et il n’y avait pas de prince au-dessus de toi.

Combien d’ordres à propos desquels ta piété t’a empêché d’exécuter ta décision, alors qu’autre que toi aurait, dans de telles situations, suivi ses passions.

Alors les ignorants ont cru que tu étais dans l’incapacité d’y aboutir. Ceux qui ont pensé ainsi, par Dieu, se sont égarés et ne sont pas dirigés.

Cependant, tu as expliqué ce qui était ambigu à ceux qui se faisaient des idées et qui doutaient, par ta parole (que Dieu prie sur toi) : « Le rusé, l’inconstant voit l’aspect de la ruse ainsi que celui que la crainte de Dieu retient, mais (ce dernier) la laisse malgré qu’il (l’)ait vue de ses yseux, et celui qui n’a aucune gêne dans la religion, profite de son occasion. »

Tu as dit vrai, par Dieu, et ceux qui disaient faux ont perdu.

Et quand les deux déloyaux ont rusé avec toi et ont dit : « Nous voulons (faire) la ‘Umrah », tu leur as dit : « Par votre vie à vous deux ! Vous ne voulez pas la ‘Umrah, mais vous voulez la trahison ! »

Alors tu as pris l’allégeance d’eux et tu as renouvelé le pacte et ils s’y appliquèrent dans l’hypocrisie.

Quand tu les avertis de ce qu’ils faisaient, ils n’en tinrent pas compte, s’en retournèrent et n’en tirèrent pas profit. La fin de leur ordre fut la perte.

Suivirent alors les habitants de Shâm, tu t’es mis en route vers eux après la mise en demeure alors qu’eux ne connaissaient pas la Religion de la Vérité et ils ne réfléchissaient pas sur le Coran, des incultes, des imbéciles, des égarés, ne croyant pas à ce qui a été révélé à Mohammad à ton propos et apportant leur soutien aux gens qui s’opposaient à toi,

Tandis que Dieu Très-Elevé ordonnait de te suivre et demandait aux croyants d’aller à ton aide.

Dieu Tout-Puissant a dit : « Ô vous qui croyez, craignez Dieu et soyez avec les Sincères ! » (Sourate 9 Le Repentir, verset 119)

Mon Maître, par toi, la Vérité est apparue et les craétures la rejetèrent et tu as expliqué les règles après leurs disparitions et effacement.

Alors à toi la primauté du combat selon la confirmation de la Révélation et à toi l’excellence du combat selon la réalisation de l’interprétation !

Ton ennemi est l’ennemi de Dieu, désavouant le Messager de Dieu : il appelle au faux, gouverne injustement, exerce le pouvoir par la contrainte, appelle son parti au Feu.

Et ‘Ammâr qui combattait et appelait entre les deux rangs : « Allez ! Allez ! Le départ pour le Paradis ! »

Quand il demanda à boire et qu’on lui donna à boire du lait, il proclama que Dieu est plus Grand puis dit : « Le Messager de Dieu (que Dieu prie sur lui et sur sa famille) m’a dit : « Ta dernière boisson en ce monde sera une gorgée de lait coupé d’eau. Tu tueras la partie despote ! » »

Abû al-‘Adiyyah Fazâriyyu s’affronta à lui et le tua. Alors, que la malédiction de Dieu ainsi que celles des Anges et de l’ensemble des Messagers soient sur Abû al-‘Adiyyah,

Ainsi que sur celui des associationnistes et des hypocrites qui dégaina son sabre contre toi et contre lequel tu as dégainé le tien, ô Prince des croyants, jusqu’au Jour du Jugement Dernier,

Ainsi que sur celui qui a été satisfait du mal qu’ils t’ont fait, qui ne l’a pas détesté, qui a fermé les yeux, qui n’a pas protesté, ou qui a aidé contre toi, par la main ou par la langue, ou qui s’est abstenu de te porter secours,

Ou qui a abandonné le combat avec toi ou qui a méprisé ta faveur, qui a nié ton droit, ou qui t’a donné des égaux à toi que Dieu a placé plus proche/prioritaire de lui que lui-même avec lui-même (que les prières de Dieu soient sur toi ainsi que la Miséricorde de Dieu, Ses Bénédictions, Sa Paix et Ses Saluts, et sur les Imams purs de ta famille car Il est le Très-Loué, le Très-Magnifié).

L’ordre le plus surprenant et le discours le plus horrible, après l’abjuration de ton droit, fut l’usurpation de Fadak appartenant à la sincère, la pure as-Zahrâ, la Dame des femmes,

Et le rejet de ton témoignage et celui des deux maîtres de ta descendance et de la famille d’al-Mustafâ (que Dieu prie sur vous) !

Dieu Très-Elevé a haussé vos degrés au-dessus de la nation, a élevé votre demeure et a mis en évidence vos faveurs et votre excellence sur les mondes.

Il a en effet éloigné de vous la souillure et vous a totalement purifiés.

Dieu Tout-Puissant a dit : « L’homme a été créé versatile ; lorsque le mal l’atteint, il est anxieux et si le bien l’atteint, il se retient sauf ceux qui prient ! » (Sourate 70, versets 19-22)

Dieu Très-Elevé a excepté Son Prophète al-Mustafa et toi, ô le Maître des Légatiares de l’ensemble de ses créatures. Alors comme est aveugle celui qui a été injuste à ton égard, loin de la vérité !

Ensuite, ils t’ont assigné (ou privé) la part de la parenté par ruse et l’on ôtée de sa famille/de ses tenants injustement.

Aussi, quand l’ordre est revenu à toi, tu les as laissés à ce qu’ils faisaient, désintéressé d’eux deux, désirant ce qu’il y a pour toi auprès de Dieu.

Alors, ton épreuve à cause d’eux deux ressembla à celle des Prophètes (que la paix soit sur eux), au moment de la solitude et de l’absence de partisans.

Tu as ressemblé, en passant la nuit dans le lit (du Prophète(s)) à « l’Egorgé » (que la paix soit sur lui) quand tu as répondu comme il a répondu, que tu as obéi comme a obéi Ismâ’îl, patient, s’en remettant à Dieu, quand il (Ibrahim (p)) lui dit : « « Ô mon fils, je me suis vu en songe et je t’immolais. Qu’en penses-tu ? » Il dit : « Ô mon père ! Fais ce qui t’est ordonné. Tu me trouveras patient, si Dieu le veut » » (Sourate 37, verset 102).

Et tu as été ainsi quand le Prophète (que Dieu prie sur lui et sur sa famille) t’a fait passer la nuit et t’a demandé de te coucher dans son lit, le protégeant de ta personne,

Et que tu t’es empressé de lui répondre, obéissant, étant prêt à être tué à sa place. Dieu Très-Elevé remercia ton acte d’obéissance et mit en évidence la beauté de ton acte par Sa Parole (que Son Rappel soit magnifié) :

« Il en est un, parmi les hommes, qui s’est venu lui-même pour plaire à Dieu. » (Sourate 2, verset 207)

Ensuite, (vint) ton malheur, le jour de Siffine, quand furent élevés les exemplaires du Coran par ruse et fourberie, le doute apparut, la vérité fut détournée et la conjecture fut suivie.

Ton épreuve ressembla à celle de Haroun, quand Moussa l’institua chef sur sa communauté. Ils se séparèrent de lui alors que Haroun les appelait : « « Ô mon peuple ! Ceci n’est pour vous qu’une tentation. Votre Seigneur est en vérité le Miséricordieux. Suivez-moi donc et obéissez à mon ordre ! » Ils dirent : « Nous ne cesserons pas de nous attacher à cela tant que Moussa ne sera pas revenu avec nous. » (Sourate 20, versets 90-91)

Il en fut de même pour toi, quand les exemplaires du Coran furent élevés, tu as dit : « Ô les gens ! Ceci est pour vous une épreuve et une traîtrise »,

Alors ils t’ont désobéi, se sont opposés à toi, ont demandé l’institution des deux arbitres et tu es venu contre eux, tu t’es dédouané devant Dieu de leurs actes et tu les as laissés faire.

Quand la Vérité apparut, que le blâmable parut stupide et qu’ils reconnurent l’avilissement et l’iniquité de l’objectif, ils s’opposèrent à toi après t’avoir imposé leur arbitrage stupide que tu avais refusé, qu’ils avaient aimé et que tu avais interdit, et après avoir rendu licite leur péché qu’ils avaient commis.

Toi tu es selon la voie de la clairvoyance, de la bonne direction alors qu’eux agissent selon les règles de l’égarement et de l’aveuglement et continuent à marcher selon l’hypocrisie et à osciller dans l’égarement,

Jusqu’à ce que Dieu leur fasse goûter les conséquences néfastes de leur ordre, fasse mourir par ton sabre celui qui s’est opposé à toi et qui devint alors misérable et tomba,

Et qu’Il fasse vivre, par ton Argument, l’heureux qui fut alors bien dirigé, que les prières de Dieu soient sur toi, allant et venant, assidues et partant.

Celui qui fait des louanges ne circonscrit pas ta description et celui qui invective n’annule pas ta faveur.

Tu es la meilleure créature du point de vue de l’adoration, la plus sincère d’entre elles du point de vue de l’ascétisme, la plus défenseur de la religion. Tu as appliqué les Lois de Dieu par ton effort.

Tu as mis en déroute les soldats des renégats par ton sabre ; tu as atteint les flammes des guerres par le bout de tes doigs ; tu as déchiré les voiles des suspicions par tes évidences ; tu as dévoilé le vêtement du faux de la Vérité toute nue.

Et ne t’affecte pas en Dieu le blâme de celui qui blâme, les Louanges de Dieu Très-Elevé pour toi te suffisent et tu n’as pas besoin des louanges de ceux qui louent ni les compliments de ceux qui décrivent.

Dieu Très-Elevé dit : « Il y a, parmi les croyants, des hommes qui ont été fidèles au pacte qu’ils avaient conlu avec Dieu. Tel d’entre eux atteint le terme de sa vie, tel autre attend, tandis que leur attitude ne change pas. » (Sourate 33, verset 23)

Quand tu as vue que tu as tué les parjures, les injustes et les renégats, le Messager de Dieu (que Dieu prie sur lui et sur sa famille) t’a certifié sa promesse et tu as tenu ton engagement envers lui.

Tu as dit : « Est arrivé le moment où ceci (indiquant ta barbe) sera teint par cela (indiquant le sang de ta tête), ou celui où sera envoyé le pire des misérables »,

Ayant confiance dans le fait que tu t’en tiens à une preuve évidente de Ton Seigneur, clairvoyant d etout ordre, allant vers Dieu,

Te réjouissant de l’allégeance que tu as prêtée et que cela est la victoire grandiose.

Mon Dieu, maudis ceux qui ont tué Tes Prophètes, les Légataires de Tes Prophètes, de l’ensemble de Tes Malédictions, envoie-les dans la chaleur de Ton Feu.

Maudis ceux qui ont usurpé le droit de ton Walî, qui ont nié son engagement, qui l’ont abjuré après la certitude et la reconnaissance de son tutorat, le jour où Tu as parachevé pour lui la Religion.

Mon Dieu, maudis celui qui a tué le Prince des croyants, ceux qui l’ont opprimé, ainsi que leurs sympathisants et leurs partisans !

Mon Dieu, maudis ceux qui ont opprimé al-Hussein et l’ont tué, ceux qui ont suivi ses ennemis, leurs partisans, ceux qui ont été satisfaits de son assassinat et ceux qui l’ont abandonné, d’une malédiction terrible.

Mon Dieu, maudis le premier injuste qui opprima la famille de Mohammed et lui a interdit ses droits !

Mon Dieu, réserve en particulier pour le premier qui a été injuste et a usurpé la famille de Mohammed, une malédiction, ainsi que pour toute personne qui se conforme à la règle d’usage qu’il (le premier) a établi, jusqu’au jour du Jugement !

Mon Dieu, prie sur Mohammed, le Sceau des Prophètes et sur ‘Alî, le maître des Légataires et les membres purs de sa famille,

Fais que nous soyons au nombre de ceux qui s’accrochent à eux, de ceux qui sont victorieux et en sécurité par l’allégeance à eux, pour qui il n’y a pas de crainte et qui ne seront pas attristés.
 
Salam alaykoum

la malediction de Dieu peut signifier ne non agreement de Dieu donc en enfer

vu la discorde qui regne sur ce sujet il serait peut etre preferable de passer a un autre


merci

Salam alaykoum
 
Salamoun'alaykom

J'ai jeté un petit coup d'oeil sur votre blog, et comme par hasard, la première erreur historique que j'ai découverte est le fait que vous confirmez que Omar a mit le feu dans la maison de Fatema azzahra as:





J'ai lu le texte, aucun élément qui montre que Omar est passé à l'acte pour bruler sa maison, mais il a menacé de la bruler.

Comment osez-vous falcifier des réalités historiques chère soeur ?

Avez-vous des textes authentiques qui confirment que la maison était effectivement brûlé ? Dans le cas où vous n'avez aucun texte, sachez que vous êtes entrain de détruire l'image du chiisme et que vous serrez interrogée pour chaque mot que vous diffusez sur le net.



 
Salamoun'alaykom

J'ai jeté un petit coup d'oeil sur votre blog, et comme par hasard, la première erreur historique que j'ai découverte est le fait que vous confirmez que Omar a mit le feu dans la maison de Fatema azzahra as:​

J'ai lu le texte, aucun élément qui montre que Omar est passé à l'acte pour bruler sa maison, mais il a menacé de la bruler.​

Comment osez-vous falcifier des réalités historiques chère soeur ?​

Avez-vous des textes authentiques qui confirment que la maison était effectivement brûlé ? Dans le cas où vous n'avez aucun texte, sachez que vous êtes entrain de détruire l'image du chiisme et que vous serrez interrogée pour chaque mot que vous diffusez sur le net.​

Wa 'alaykum salam

Je ne falsifie rien. Je me base sur des sources historiques reconnues.

J'avais en effet oublié de mentionner ce hadith sur mon blog :

Hadith de“Muqatil ibn Atiyya” dans le livre “Al-Imama wa Al-Siasa”.

Il est écrit dans ce livre :

ان ابابكر بعد ما اخذ البيعة لنفسه من الناس بالارهاب و السيف و القوّة ارسل عمر، و قنفذاً و جماعة الى دار علىّ و فاطمه(عليه السلام) و جمع عمر الحطب على دار فاطمه و احرق باب الدار!…(2)
Lorsque Abou Bakr a pris le serment d'allégeance des gens en les menaçant, par l'épée et la force, envoya Omar, Qanfaz et un groupe de personnes à la maison d'Ali et de Fatima (as), alors Omar collecta du bois de feu et brûla la porte de la maison
Wa Salam
 
Salamoun'alaykom

Wa 'alaykum salam

Je ne falsifie rien. Je me base sur des sources historiques reconnues.

J'avais en effet oublié de mentionner ce hadith sur mon blog :

Hadith de“Muqatil ibn Atiyya” dans le livre “Al-Imama wa Al-Siasa”.

Il est écrit dans ce livre :

ان ابابكر بعد ما اخذ البيعة لنفسه من الناس بالارهاب و السيف و القوّة ارسل عمر، و قنفذاً و جماعة الى دار علىّ و فاطمه(عليه السلام) و جمع عمر الحطب على دار فاطمه و احرق باب الدار!…(2)
Lorsque Abou Bakr a pris le serment d'allégeance des gens en les menaçant, par l'épée et la force, envoya Omar, Qanfaz et un groupe de personnes à la maison d'Ali et de Fatima (as), alors Omar collecta du bois de feu et brûla la porte de la maison
Wa Salam

Admettons qu'il ne sagissait que d'un oublie. Mais dis nous ma soeur qu'elle est la chaine de transmission de ce récit ?

Je vous rappelle que " Muqatil ibn Atiyya" n'est qu'un historien du cinquième siècle et non un rapporteur de récit ou de Hadith !

Cependant, En cas où vous trouverez une chaine de transmission de ce récit, pourriez-vous expliquer sa contradiction avec celui que je citerai dessus et dont les sources sont confirmés et se trouvent dans les deux écoles ?

Le récit raconte que Omar a effectivement menacé Azzahra as de bruler sa maison, mais il n'a pas passé à l'acte:

1) Al Imama wa al Siyasa de Ibnou Koutayba pages 18-30

[قال: وإن أبا بكر رضي الله عنه تفقد قوماً تخلفوا عن بيعته عند علي كرم الله وجهه، فبعث إليهم عمر، فجاء فناداهم وهم في دار علي، فأبوا أن يخرجوا فدعا بالحطب وقال: والذي نفس عمر بيده. لتخرجن أو لأحرقنها على من فيها، فقيل له: يا أبا حفص، إن فيها فاطمة? فقال: وإن، فخرجوا فبايعوا إلا علياً فإنه زعم أنه قال: حلفتُ أن لا أخرج ولا أضع ثوبي على عاتقي حتى أجمع القرآن، فوقفت فاطمة رضي الله عنها على بابها، فقالت: لا عهد لي بقوم حضروا أسوأ محضر منكم، تركتم رسول الله صلى الله عليه وسلم جنازة بين أيدينا، وقطعتم أمركم بينكم، لم تستأمرونا، ولم تردوا لنا حقاً


2) Al_Moukhatçar fi Akhbari al_Bachar, de Abi Al_Fida, page 107


وكذلك تخلف عن بيعة أبي بكر أبو سفيان من بني أمية ثم إن أبا بكر بعث عمر بن الخطاب إِلى علي ومن معه ليخرجهم من بيت فاطمة رضي الله عنها، وقال: إِن أبوا عليك فقاتلهم. فأقبل عمر بشيء من نار على أن يضرم الدار، فلقيته فاطمة رضي الله عنها وقالت: إِلى أين يا ابن الخطاب? أجئت لتحرق دارنا? قال: نعم، أو تدخلوا فيما دخل فيه الأمة



3) Al ?iqd Al-Farid, de Ibnou Abdi Rabbih Al-Andaloussi, page 573


الذين تخلفوا عن بيعة أبي بكر - في والعباس والزبير وسعد بن عُبادة. فأما عليّ والعباس
والزبير، فقعدوا في بيت فاطمة حتى بَعث إليهم أبو بكر عمرَ ابن الخطاب ليُخرِجهم من بيت فاطمة، وقال له: إِن أبوا فقاتِلْهم. فأقبل بقَبس من نار على أن يُضرم عليهم الدار، فلقيته فاطمةُ، فقالت: يا بن الخطاب، أجئت لتُحرق دارنا? قال: نعم، أو تدخلوا فيما دخلتْ فيه الأمة

4 Al-Mouçanaf, dans un chapitre consacré à Abi Bakr ( Ma Jaa’a fi Abi Bakr wa Siratouhou fi Al-Ridda), Abdallah Ibn Mohamed Ibn Abi Shayba al-Koufi Al-‘abaçi dit :



- ,حدّثنا محمد بن بشر، حدّثنا عبيد اللّه بن عمر، حدّثنا زيد بن أسلم، عن أبيه أسلم، انّه حين بويع لأبي بكر أبي بكر وسيرته في الردة» أخرج، ـ صلَّى الله عليه وآله وسلَّم ـ فيشاورونها ويرتجعون ـ صلَّى الله عليه وآله وسلَّم ـ كان علي والزبير يدخلان على فاطمة بنت رسول اللّه بعد رسول اللّه في أمرهم، فلما بلغ ذلك عمر بن الخطاب خرج حتّى دخل على فاطمة، فقال:

أحبّ إلينا من أبيك، وما من أحد أحبّ إلينا بعد أبيك منك، وأيم اللّه ما ذاك بمانعي ـ صلَّى الله عليه وآله وسلَّم ـ! واللّه ما من أحد يا بنت رسول اللّه إن اجتمع هؤلاء النفر عندك، إن أمرتهم أن يحرق عليهم البيت، قال: فلما خرج عمر جاءوها، فقالت: تعلمون أنّ عمر قد جاءني و قد حلف باللّه لئن عدتم

ليحرقن عليكم البيت ، و أيم اللّه ليمضين لما حلف عليه ، فانصرفوا راشدين ، فَرَوا

رأيكم و لا ترجعوا إلي ، فانصرفوا عنها فلم يرجعوا إليها حتّى بايعوا لأبي بكر

« Mohamed Ibn Bachar nous dit, Ubaydillah Ibn Omar nous dit, Zyad Ibn ‘Aslam nous dit, d’apres son pere ‘Aslam : qu’apres l’election de Abu Bakr comme successeur au prophète (saw), Ali et Zoubayr se sont réunis chez Fatima, la fille du prophete (saw) , pour se consulter à ce sujet ( et ne pas prêter allégeance à Abu Bakr)…Lorsque Omar ibn Al-Khatab l’a su, il est parti voir Fatima et lui dit :O Fille du messager d’Allah (saw) ! par Allah , ton père est la personne qui nous est la plus chère, et après lui, tu es la personne qui nous est la plus chère,…Mais par Allah, ceci ne m’empêchera pas, à cause de ces gens réunis chez toi, d’ordonner de brûler la (ta) maison. Après le départ d’Omar, ils ( Ali, Zoubeyr..)sont venus vers et elle leur dit : "Savez-vous que Omar est venu me voir et a juré par Allah que si vous ne revenez pas sur votre décision ( en prêtant allégeance à Abus Baker), qu'il brulera la maison? ( et il en est capable)".
Il sont parti et il ne sont revenu qu'après avoir donné allégeance à Abu-Baker.

Nous n'avons pas besoin d'user des récits non authentiques pour démontrer l'injustice que notre Zahra as a subit
Le fait que Omar ait voulu brûler la maison de Fatima Az-Zahra as, même s'il n'y avait personne à l'intérieur, est un acte condamnable.
Faisons attention, utiliser ce genre de récits non prouvés ne ferra que perdre notre crédibilité.



 
Salamoun'alaykom



Admettons qu'il ne sagissait que d'un oublie. Mais dis nous ma soeur qu'elle est la chaine de transmission de ce récit ?

Je vous rappelle que " Muqatil ibn Atiyya" n'est qu'un historien du cinquième siècle et non un rapporteur de récit ou de Hadith !

Cependant, En cas où vous trouverez une chaine de transmission de ce récit, pourriez-vous expliquer sa contradiction avec celui que je citerai dessus et dont les sources sont confirmés et se trouvent dans les deux écoles ?

Le récit raconte que Omar a effectivement menacé Azzahra as de bruler sa maison, mais il n'a pas passé à l'acte:

1) Al Imama wa al Siyasa de Ibnou Koutayba pages 18-30

[قال: وإن أبا بكر رضي الله عنه تفقد قوماً تخلفوا عن بيعته عند علي كرم الله وجهه، فبعث إليهم عمر، فجاء فناداهم وهم في دار علي، فأبوا أن يخرجوا فدعا بالحطب وقال: والذي نفس عمر بيده. لتخرجن أو لأحرقنها على من فيها، فقيل له: يا أبا حفص، إن فيها فاطمة? فقال: وإن، فخرجوا فبايعوا إلا علياً فإنه زعم أنه قال: حلفتُ أن لا أخرج ولا أضع ثوبي على عاتقي حتى أجمع القرآن، فوقفت فاطمة رضي الله عنها على بابها، فقالت: لا عهد لي بقوم حضروا أسوأ محضر منكم، تركتم رسول الله صلى الله عليه وسلم جنازة بين أيدينا، وقطعتم أمركم بينكم، لم تستأمرونا، ولم تردوا لنا حقاً


2) Al_Moukhatçar fi Akhbari al_Bachar, de Abi Al_Fida, page 107


وكذلك تخلف عن بيعة أبي بكر أبو سفيان من بني أمية ثم إن أبا بكر بعث عمر بن الخطاب إِلى علي ومن معه ليخرجهم من بيت فاطمة رضي الله عنها، وقال: إِن أبوا عليك فقاتلهم. فأقبل عمر بشيء من نار على أن يضرم الدار، فلقيته فاطمة رضي الله عنها وقالت: إِلى أين يا ابن الخطاب? أجئت لتحرق دارنا? قال: نعم، أو تدخلوا فيما دخل فيه الأمة



3) Al ?iqd Al-Farid, de Ibnou Abdi Rabbih Al-Andaloussi, page 573

الذين تخلفوا عن بيعة أبي بكر - في والعباس والزبير وسعد بن عُبادة. فأما عليّ والعباس
والزبير، فقعدوا في بيت فاطمة حتى بَعث إليهم أبو بكر عمرَ ابن الخطاب ليُخرِجهم من بيت فاطمة، وقال له: إِن أبوا فقاتِلْهم. فأقبل بقَبس من نار على أن يُضرم عليهم الدار، فلقيته فاطمةُ، فقالت: يا بن الخطاب، أجئت لتُحرق دارنا? قال: نعم، أو تدخلوا فيما دخلتْ فيه الأمة

4 Al-Mouçanaf, dans un chapitre consacré à Abi Bakr ( Ma Jaa’a fi Abi Bakr wa Siratouhou fi Al-Ridda), Abdallah Ibn Mohamed Ibn Abi Shayba al-Koufi Al-‘abaçi dit :



- ,حدّثنا محمد بن بشر، حدّثنا عبيد اللّه بن عمر، حدّثنا زيد بن أسلم، عن أبيه أسلم، انّه حين بويع لأبي بكر أبي بكر وسيرته في الردة» أخرج، ـ صلَّى الله عليه وآله وسلَّم ـ فيشاورونها ويرتجعون ـ صلَّى الله عليه وآله وسلَّم ـ كان علي والزبير يدخلان على فاطمة بنت رسول اللّه بعد رسول اللّه في أمرهم، فلما بلغ ذلك عمر بن الخطاب خرج حتّى دخل على فاطمة، فقال:




أحبّ إلينا من أبيك، وما من أحد أحبّ إلينا بعد أبيك منك، وأيم اللّه ما ذاك بمانعي ـ صلَّى الله عليه وآله وسلَّم ـ! واللّه ما من أحد يا بنت رسول اللّه إن اجتمع هؤلاء النفر عندك، إن أمرتهم أن يحرق عليهم البيت، قال: فلما خرج عمر جاءوها، فقالت: تعلمون أنّ عمر قد جاءني و قد حلف باللّه لئن عدتم






ليحرقن عليكم البيت ، و أيم اللّه ليمضين لما حلف عليه ، فانصرفوا راشدين ، فَرَوا





رأيكم و لا ترجعوا إلي ، فانصرفوا عنها فلم يرجعوا إليها حتّى بايعوا لأبي بكر







« Mohamed Ibn Bachar nous dit, Ubaydillah Ibn Omar nous dit, Zyad Ibn ‘Aslam nous dit, d’apres son pere ‘Aslam : qu’apres l’election de Abu Bakr comme successeur au prophète (saw), Ali et Zoubayr se sont réunis chez Fatima, la fille du prophete (saw) , pour se consulter à ce sujet ( et ne pas prêter allégeance à Abu Bakr)…Lorsque Omar ibn Al-Khatab l’a su, il est parti voir Fatima et lui dit :O Fille du messager d’Allah (saw) ! par Allah , ton père est la personne qui nous est la plus chère, et après lui, tu es la personne qui nous est la plus chère,…Mais par Allah, ceci ne m’empêchera pas, à cause de ces gens réunis chez toi, d’ordonner de brûler la (ta) maison. Après le départ d’Omar, ils ( Ali, Zoubeyr..)sont venus vers et elle leur dit : "Savez-vous que Omar est venu me voir et a juré par Allah que si vous ne revenez pas sur votre décision ( en prêtant allégeance à Abus Baker), qu'il brulera la maison? ( et il en est capable)".​


Il sont parti et il ne sont revenu qu'après avoir donné allégeance à Abu-Baker.​



Faisons attention, utiliser ce genre de récits non prouvés ne ferra que perdre notre crédibilité.


Assalamu 'alaykum

Désolée. Vos sources sont sunnites, et les sunnites font tout pour cacher les événements réels qui se sont produits, elles ne sont donc pas du tout crédibles.

Je ne comprends pas comment vous utiliser des sources sunnites qui ne cessent de cacher la vérité et de la déformer chaque fois que la question concerne la Famille du Prophète (saw). Ils ont même nié tous les détails de Al-Ghadir, auquel ont assisté environ 70'000 compagnons du Prophète (saw).

Ce n'est pas les sources sunnites qui sont la référence pour les chiites, en ce qui concerne la famille du Prophète (as).

Les savants chiites utilisent les sources sunnites, non comme référence, mais seulement pour deux raisons :

1) Montrer les contradictions que recèlent leurs versions, qui sont une déformation de la vérité et de la réalité historique.

2) Ressortir les textes qu'ils ont dans leurs livres et qui sont en conformité partielle ou totale avec ce que disent les sources chiites. Ils utilisent ces textes non pas comme référence mais seulement pour dire aux sunnites que malgré que leurs savants ont caché la vérité et l'ont déformée, cela n'a pas empêché, car Allah l'a bien voulu, qu'ils aient dans leurs propres livres, les preuves contre eux, comme les évangiles contiennent des preuves contre les Chrétiens eux-mêmes, même si ce sont leurs propres références.



Wa Salam
 
Salamoun'alaykom

Assalamu 'alaykum

Désolée. Vos sources sont sunnites, et les sunnites font tout pour cacher les événements réels qui se sont produits, elles ne sont donc pas du tout crédibles.

Je ne comprends pas comment vous utiliser des sources sunnites qui ne cessent de cacher la vérité et de la déformer chaque fois que la question concerne la Famille du Prophète (saw). Ils ont même nié tous les détails de Al-Ghadir, auquel ont assisté environ 70'000 compagnons du Prophète (saw).

Ce n'est pas les sources sunnites qui sont la référence pour les chiites, en ce qui concerne la famille du Prophète (saw).

Les savants chiites utilisent les sources sunnites, non comme référence, mais seulement pour deux raisons :

1) Montrer les contradictions que recèlent leurs versions, qui sont une déformation de la vérité et de la réalité historique.

2) Ressortir les textes qu'ils ont dans leurs livres et qui sont en conformité partielle ou totale avec ce que disent les sources chiites. Ils utilisent ces textes non pas comme référence mais seulement pour dire aux sunnites que malgré que leurs savants ont caché la vérité et l'ont déformée, cela n'a pas empêché, car Allah l'a bien voulu, qu'ils aient dans leurs propres livres, les preuves contre eux, comme les évangiles contiennent des preuves contre les Chrétiens eux-mêmes, même si ce sont leurs propres références.



Wa Salam

Honnêtement, pensez-vous que c'est une réponse adéquat à ma question ?

Où est la chaine de transmission de ce récit ?

Contenterez-vous à citer le nom de l'historien qu'il a mit dans son ouvrage ? Trouvez-vous au fond de vous même que c'est juste et que cela fait partie de la morale intelectuele quand on vous demandera les références de ce hadith ?

Ce que vous ne voulez pas comprendre, c'est que nos ouvrages contiennent des faux récits, nous avons besoins alors de nous rassurer de l'authenticité de chaque récit qui contredit des dizaines.

Pour les références sunnites, je vous informe que les plus éminents de nos savants s'en servent, non seulement pour prouver aux sunnites mais parce qu'ils ne doutent pas de leurs authenticité.

Je répète ce que j'ai dis auparavant:

Nous n'avons pas besoin d'user des récits non authentiques pour démontrer l'injustice que notre Zahra as a subit Le fait que Omar ait voulu brûler la maison de Fatima Az-Zahra as, même s'il n'y avait personne à l'intérieur, est un acte condamnable.
Faisons attention, utiliser ce genre de récits non prouvés ne ferra que perdre notre crédibilité.
 
Salam

Je fais confiance aux éditions de Bostani, quant à ses choix de traduction, connaissant la grande qualité de ses travaux. Et si vous avez des doutes au sujet des références qu'il mentionne, ou de celle du grand savant incontesté débattant dans les Nuits de Pishawar, veuillez leur adresser vos requêtes directement, ou aux grands savants qui ont étudié les hadiths et l'Histoire. Wa Salam
[SIZE=+3][/SIZE]
[SIZE=+3]Abû Tharr Al-Ghifârî
[SIZE=+3]Un Compagnon modèle[/SIZE]
[SIZE=+1]Traduit et édité par[/SIZE][SIZE=+1]Abbas Ahmad al-Bostani[/SIZE]

Chapitre 10 Le Transfert de la Successiondu Saint Prophète

Après la mort du Prophète, ceux parmi les Compagnons qui n'étaient pas d'accord sur le sermon de Ghadîr Khum concernant la succession, et qui ne voulaient pas que `Ali fût le successeur du Messager d'Allah, prient se hâtèrent de se réunir à la Saqîfah de Bâni Sâ`idah pour régler, eux-mêmes, la question de la succession et choisir un successeur à leur convenance. Beaucoup d'historiens, d'analystes et de traditionnistes expliquent cette hâte avec laquelle les promoteurs de la réunion de Saqîfah voulaient régler la question de la succession du Prophète avant même qu'il ne fût enterré, comme étant leur volonté de prendre la Ummah de court et de la mettre devant le fait accompli. Le nombre de personnes réunies - y compris les Immigrants et les Partisans - à Saqîfah était d'environ 200. On convint dans cette réunion de fonder un gouvernement dont le chef fut choisi parmi les participants. Après la réunion et à leur retour à Médine le Saint Prophète était déjà inhumé. Les promoteurs de la réunion se mirent à demandèrent aux gens de prêter serment d'allégeance au Calife ainsi désigné afin de donner une apparence de démocratie et de légitimité au gouvernement. Ils obligèrent non seulement des honorables Compagnons, mais même les membres des Ahl-ul-Bayt, et d'une manière révoltante, à se soumettre à leur mascarade.

L'essentiel de cette histoire indigne se résume ainsi: on demanda à `Ali Ibn Abi Tâlib à prêter serment d'allégeance, de gré ou de force. Devant son refus, la police califale l'emmena à la Cour, une corde au cou(31). La maison de Fâtimah al-Zahrâ' où il se trouvait lors de son arrestation, fut incendiée(32). La porte de la maison avait été forcée et tombée sur Fâtimah, lors de l'intervention policière, ce qui lui occasionna une fausse couche (elle était enceinte d'un enfant mâle) (Voir "al-Milal Wal-Nihal" d'al-Chahristânî).

Sur le même sujet, al-`Allâmah Mullah Mu`în Kâchifî écrit qu'à cause du choc qu'elle reçut lorsqu'on força la porte de sa maison, Fâtimah tomba malade et ne tarda pas à succomber à cette maladie(33).

De la même façon, tous ceux qui avaient refusé de prêter serment d'allégeance à Abû Bakr furent forcés sans ménagement et d'une main de fer, de reconnaître le califat d'Abû Bakr. Certains d'entre eux furent sauvagement battus, comme Salmân al-Fârecî que le Prophète avait inclus dans les membres d'Ahl-ul-Bayt en raison de sa piété exceptionnelle et de sa position particulière auprès de lui. Il reçut tellement de coups que son cou resta tordu pour le reste de sa vie.
Voici les noms de ceux des Compagnons qui se trouvaient à Médine et qui refusèrent de prêter serment d'allégeance à Abû Bakr:


(Voir "Tabçarat al-`Awâm", p. 24, et "`Ayn al-Hayât", p. 5).
Il est dit dans la page 43 de "Tabçarat al-`Awâm" que quelques jours plus tard, Sa`d Ibn `Obaydah fut tué par une flèche pour avoir refusé de prêter serment d'allégeance. En tout état de cause, cette politique sauvagement répressive contre des Compagnons éminents se poursuivit après la mort du Saint prophète. Certains historiens écrivent que la terre de Fadak, propriété légale des Ahl-ul-Bayt leur fut confisquée uniquement à cause de leur refus de prêter serment d'allégeance. Ils affirment, diverses preuves irréfutables à l'appui, que le Califat était un droit inaliénable de `Ali et il aurait dû lui revenir.

`Ali lui-même explique et énumère les détails des arguments de son droit inaliénable au Califat, dans son très célèbre sermon "al-Chiqchiqiyyah" qui fait partie de son chef-d'oeuvre "Nahj al-Balâghah". Il y dit clairement que le Califat était son droit confisqué, et il y explique, comme le fait Ibn al-Athîr dans "al-Nihâyah", comment il avait essayé vainement de faire valoir ce droit.


31. Voir "Rawdhat al-Ahbâb".
32. "Ta'rîkh al-Tabarî", "Ta'rîkh al-Imâmah wa-l-Siyâsah", "Mir'ât al-`Uqûl". 33. "Ma`ârij al-Nubuwwah", Rukn 4, Chap. 3, p. 42).

http://www.bostani.com/archive/abuthar.htm#N_31_

Dans les Nuits de Pishawar :

Kitab-e-Isbatu'l-Wasiyya compilé par Husayn Mas'udi. L'auteur Abi'l-Hasan Ali de Muruju'dh-Dhahab. Ils ont transmis en détails les événements de ce jour: "Ils ont encerclé Ali puis ont brûlé la porte de sa maison. Ils l'ont traîné hors de la maison, ils ont coincé la meilleure des femmes, Fatima enceinte, entre la porte et le mur tellement fort, qu'elle fit une fausse couche."
[/SIZE]
Bukhari dans son Sahih, volume III, chapitre de Ghazawa Khaibar, page 37 et Muslim, dans son Sahih, le volume V, la page 154 signalent qu'Ali a céda son allégeance après la mort de Fatima. Une partie de vos ulémas croient que Fatima est morte 75 jours après la mort du saint Prophète. Ibn Qutayba estime également la même chose, mais la plupart de vos historiens réclament qu'elle est morte six mois après le Prophète. Done l'allégeance d'Ali fut proclamé 3 ou 6 mois après la mort du saint Prophète. Mas'udi dans son Muruju's-sahab, le volume I, la page 414, indique "qu'aucun Bani Hashim n'ont délivré leur allégeance à Abu Bakr jusqu'à la mort de Fatima. »

Ibrahim ibn Sa'd Saqafi relate de Zuhri qu'Ali a offert son allégeance six mois après la mort du saint Prophète, le peuple n'a pas eu le courage de le persuader, excepté après la mort de Fatima.


Ibn Abi'l-Hadid dans son Sharhe Nahju'l­Balagha, le volume II, la page 18 relate de Zuhri par A'yesha, qu'elle mentionna: ''Ali n'a pas offert l'allégeance à Abu Bakr pendant six mois, personne du Bani Hashim n'ont cédé l'allégeance jusqu'à ce qu'Ali l'ai fait."

Ahmad A'sam-e-Kufi Shafi'i dans Futuh et Abu Nasr Hamidi dans le rapport de Jam'a Bainu's-Sahihain de Nafiy citent de Zuhri, qu'il a indiqué: "Ali n’a juré son allégeance que six mois après la mort du Prophète."

Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali dans son Shahre Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 134, citant de Kitab-e-Saqifa de Jauhari, inscrit en détaill'affaire du Saqifa-e-Bani Sa'ad. "Les Bani Hashim et Ali furent rassemblés dans la maison d'Ali. Zubair était également avec eux. Ali avait l'habitude de dire, 'Zubair était toujours avec nous jusqu'à ce que ses fils aient été grands. Ils lui ont tourné le dos contre nous', Umar est allé à la maison de Fatima avec un groupe d'hommes, Usayd et Salma étaient également avec lui, Umar leurs demanda de sortir et de jurer l'allégeance. Ils ont refusé. Zubair a dessiné son épée et est sorti, Umar dit: 'Mettez la main sur ce chien. ' Ils saisirent son épée et l'a jeta contre le mur. Puis, traînèrent Ali à Abu Bakr. Les autre Bani Hashim l'ont également suivi et attendait pour voir ce qu'Ali ferait. Ali disait qu'il était le serviteur d'Allah et le frère du saint Prophète. Personne ne l'a écouté. Ils l'ont porté à Abu Bakr, qui lui a demandé de lui donner le serment de fidélité. Ali répondit: "Je suis la personne qui mérite cette position et je ne te prêterai pas allégeance. C'est vous qui devez me prêter allégeance. Vous avez pris ce droit basé sur votre rapprochement avec le saint Prophète. Je suis plus proche du Prophète que vous, je proteste contre vous. Soyez ainsi juste. Si vous craignez Allah, acceptez mon droit. Autrement, vous devriez reconnaître que vous m'avez intentionnellement opprimé.' Umar dit: 'Nous ne vous laisserons pas jusqu'à ce que vous juriez l'allégeance.' Ali dit: 'Vous avez conspiré ensemble. Aujourd'hui vous le soutenez; de sorte que demain, il puisse vous renvoyer le califat. Je jure par Allah que je ne me conformerai pas à votre demande, que je ne vous offrirai pas le serment d'allégeance (à Abu Bakr). Il devrait me jurer allégeance à moi.' Alors il a tourné son visage vers le peuple et a dit: '0 Muhajirs! Craignez Allah. N'emportez pas le droit de l'autorité de la famille de Muhammad. Mon droit a été ordonné par Allah. N'enlevez pas la personne légitime de sa place. Par Allah, Nous, les Ahle-bait avons une plus grande autorité dans cette affaire que vous. Il y a-t-il un homme parmi vous qui a la connaissance du livre d'Allah (le Coran), de la Sunna du Prophète et des lois de notre religion. Je jure par Allah que nous possédons toutes ces choses. Ainsi ne vous égarez pas de peur que vous devriez vaguer la vérité." Ali est retourné à la maison sans allégeance et y est resté jusqu'à ce que Fatima soit morte. Ensuite, il a été forcé d'offrir l'allégeance. »
 
[SIZE=+3]Abû Tharr Al-Ghifârî[SIZE=+3]Un Compagnon modèle[/SIZE]
[SIZE=+1]Traduit et édité par[/SIZE][SIZE=+1]Abbas Ahmad al-Bostani[/SIZE]

Chapitre 10 Le Transfert de la Successiondu Saint Prophète

Après la mort du Prophète, ceux parmi les Compagnons qui n'étaient pas d'accord sur le sermon de Ghadîr Khum concernant la succession, et qui ne voulaient pas que `Ali fût le successeur du Messager d'Allah, prient se hâtèrent de se réunir à la Saqîfah de Bâni Sâ`idah pour régler, eux-mêmes, la question de la succession et choisir un successeur à leur convenance. Beaucoup d'historiens, d'analystes et de traditionnistes expliquent cette hâte avec laquelle les promoteurs de la réunion de Saqîfah voulaient régler la question de la succession du Prophète avant même qu'il ne fût enterré, comme étant leur volonté de prendre la Ummah de court et de la mettre devant le fait accompli. Le nombre de personnes réunies - y compris les Immigrants et les Partisans - à Saqîfah était d'environ 200. On convint dans cette réunion de fonder un gouvernement dont le chef fut choisi parmi les participants. Après la réunion et à leur retour à Médine le Saint Prophète était déjà inhumé. Les promoteurs de la réunion se mirent à demandèrent aux gens de prêter serment d'allégeance au Calife ainsi désigné afin de donner une apparence de démocratie et de légitimité au gouvernement. Ils obligèrent non seulement des honorables Compagnons, mais même les membres des Ahl-ul-Bayt, et d'une manière révoltante, à se soumettre à leur mascarade.

L'essentiel de cette histoire indigne se résume ainsi: on demanda à `Ali Ibn Abi Tâlib à prêter serment d'allégeance, de gré ou de force. Devant son refus, la police califale l'emmena à la Cour, une corde au cou(31). La maison de Fâtimah al-Zahrâ' où il se trouvait lors de son arrestation, fut incendiée(32). La porte de la maison avait été forcée et tombée sur Fâtimah, lors de l'intervention policière, ce qui lui occasionna une fausse couche (elle était enceinte d'un enfant mâle) (Voir "al-Milal Wal-Nihal" d'al-Chahristânî).

Sur le même sujet, al-`Allâmah Mullah Mu`în Kâchifî écrit qu'à cause du choc qu'elle reçut lorsqu'on força la porte de sa maison, Fâtimah tomba malade et ne tarda pas à succomber à cette maladie(33).

De la même façon, tous ceux qui avaient refusé de prêter serment d'allégeance à Abû Bakr furent forcés sans ménagement et d'une main de fer, de reconnaître le califat d'Abû Bakr. Certains d'entre eux furent sauvagement battus, comme Salmân al-Fârecî que le Prophète avait inclus dans les membres d'Ahl-ul-Bayt en raison de sa piété exceptionnelle et de sa position particulière auprès de lui. Il reçut tellement de coups que son cou resta tordu pour le reste de sa vie.
Voici les noms de ceux des Compagnons qui se trouvaient à Médine et qui refusèrent de prêter serment d'allégeance à Abû Bakr:


(Voir "Tabçarat al-`Awâm", p. 24, et "`Ayn al-Hayât", p. 5).
Il est dit dans la page 43 de "Tabçarat al-`Awâm" que quelques jours plus tard, Sa`d Ibn `Obaydah fut tué par une flèche pour avoir refusé de prêter serment d'allégeance. En tout état de cause, cette politique sauvagement répressive contre des Compagnons éminents se poursuivit après la mort du Saint prophète. Certains historiens écrivent que la terre de Fadak, propriété légale des Ahl-ul-Bayt leur fut confisquée uniquement à cause de leur refus de prêter serment d'allégeance. Ils affirment, diverses preuves irréfutables à l'appui, que le Califat était un droit inaliénable de `Ali et il aurait dû lui revenir.

`Ali lui-même explique et énumère les détails des arguments de son droit inaliénable au Califat, dans son très célèbre sermon "al-Chiqchiqiyyah" qui fait partie de son chef-d'oeuvre "Nahj al-Balâghah". Il y dit clairement que le Califat était son droit confisqué, et il y explique, comme le fait Ibn al-Athîr dans "al-Nihâyah", comment il avait essayé vainement de faire valoir ce droit.


31. Voir "Rawdhat al-Ahbâb".
32. "Ta'rîkh al-Tabarî", "Ta'rîkh al-Imâmah wa-l-Siyâsah", "Mir'ât al-`Uqûl". 33. "Ma`ârij al-Nubuwwah", Rukn 4, Chap. 3, p. 42).

http://www.bostani.com/archive/abuthar.htm#N_31_

Dans les Nuits de Pishawar :

Kitab-e-Isbatu'l-Wasiyya compilé par Husayn Mas'udi. L'auteur Abi'l-Hasan Ali de Muruju'dh-Dhahab. Ils ont transmis en détails les événements de ce jour: "Ils ont encerclé Ali puis ont brûlé la porte de sa maison. Ils l'ont traîné hors de la maison, ils ont coincé la meilleure des femmes, Fatima enceinte, entre la porte et le mur tellement fort, qu'elle fit une fausse couche."
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Bukhari dans son Sahih, volume III, chapitre de Ghazawa Khaibar, page 37 et Muslim, dans son Sahih, le volume V, la page 154 signalent qu'Ali a céda son allégeance après la mort de Fatima. Une partie de vos ulémas croient que Fatima est morte 75 jours après la mort du saint Prophète. Ibn Qutayba estime également la même chose, mais la plupart de vos historiens réclament qu'elle est morte six mois après le Prophète. Done l'allégeance d'Ali fut proclamé 3 ou 6 mois après la mort du saint Prophète. Mas'udi dans son Muruju's-sahab, le volume I, la page 414, indique "qu'aucun Bani Hashim n'ont délivré leur allégeance à Abu Bakr jusqu'à la mort de Fatima. »

Ibrahim ibn Sa'd Saqafi relate de Zuhri qu'Ali a offert son allégeance six mois après la mort du saint Prophète, le peuple n'a pas eu le courage de le persuader, excepté après la mort de Fatima.


Ibn Abi'l-Hadid dans son Sharhe Nahju'l*Balagha, le volume II, la page 18 relate de Zuhri par A'yesha, qu'elle mentionna: ''Ali n'a pas offert l'allégeance à Abu Bakr pendant six mois, personne du Bani Hashim n'ont cédé l'allégeance jusqu'à ce qu'Ali l'ai fait."

Ahmad A'sam-e-Kufi Shafi'i dans Futuh et Abu Nasr Hamidi dans le rapport de Jam'a Bainu's-Sahihain de Nafiy citent de Zuhri, qu'il a indiqué: "Ali n’a juré son allégeance que six mois après la mort du Prophète."

Ibn Abi'l-Hadid Mu'tazali dans son Shahre Nahju'l-Balagha, le volume I, la page 134, citant de Kitab-e-Saqifa de Jauhari, inscrit en détaill'affaire du Saqifa-e-Bani Sa'ad. "Les Bani Hashim et Ali furent rassemblés dans la maison d'Ali. Zubair était également avec eux. Ali avait l'habitude de dire, 'Zubair était toujours avec nous jusqu'à ce que ses fils aient été grands. Ils lui ont tourné le dos contre nous', Umar est allé à la maison de Fatima avec un groupe d'hommes, Usayd et Salma étaient également avec lui, Umar leurs demanda de sortir et de jurer l'allégeance. Ils ont refusé. Zubair a dessiné son épée et est sorti, Umar dit: 'Mettez la main sur ce chien. ' Ils saisirent son épée et l'a jeta contre le mur. Puis, traînèrent Ali à Abu Bakr. Les autre Bani Hashim l'ont également suivi et attendait pour voir ce qu'Ali ferait. Ali disait qu'il était le serviteur d'Allah et le frère du saint Prophète. Personne ne l'a écouté. Ils l'ont porté à Abu Bakr, qui lui a demandé de lui donner le serment de fidélité. Ali répondit: "Je suis la personne qui mérite cette position et je ne te prêterai pas allégeance. C'est vous qui devez me prêter allégeance. Vous avez pris ce droit basé sur votre rapprochement avec le saint Prophète. Je suis plus proche du Prophète que vous, je proteste contre vous. Soyez ainsi juste. Si vous craignez Allah, acceptez mon droit. Autrement, vous devriez reconnaître que vous m'avez intentionnellement opprimé.' Umar dit: 'Nous ne vous laisserons pas jusqu'à ce que vous juriez l'allégeance.' Ali dit: 'Vous avez conspiré ensemble. Aujourd'hui vous le soutenez; de sorte que demain, il puisse vous renvoyer le califat. Je jure par Allah que je ne me conformerai pas à votre demande, que je ne vous offrirai pas le serment d'allégeance (à Abu Bakr). Il devrait me jurer allégeance à moi.' Alors il a tourné son visage vers le peuple et a dit: '0 Muhajirs! Craignez Allah. N'emportez pas le droit de l'autorité de la famille de Muhammad. Mon droit a été ordonné par Allah. N'enlevez pas la personne légitime de sa place. Par Allah, Nous, les Ahle-bait avons une plus grande autorité dans cette affaire que vous. Il y a-t-il un homme parmi vous qui a la connaissance du livre d'Allah (le Coran), de la Sunna du Prophète et des lois de notre religion. Je jure par Allah que nous possédons toutes ces choses. Ainsi ne vous égarez pas de peur que vous devriez vaguer la vérité." Ali est retourné à la maison sans allégeance et y est resté jusqu'à ce que Fatima soit morte. Ensuite, il a été forcé d'offrir l'allégeance. »

C'est avec autre sujet de controverse que vous comptez répondre à une question simple ?

Avez-vous des références sûre de l'authenticité de ce récit ?
 
sélèm alikom, vous aurez beaucoup de mal à prouver chère soeur que omar brûla la porte de la maison de fatima as, je dirais en reprenant vos termes (lol) que par "consensus" tant chiite que sunnite,(le savant qui soutiendrait cette thèse se dicréditerait de suite), tout nous laisse croire que c'est un fait inventé de toute pièce, nous reconnaissons seulement sa" menace" de l'incendier et rien d'autre, nous pourrions ouvrir un autre post pour savoir pourquoi a t'il menacé dame fatima as? Est ce du à un kiproko de la part d'omar, pensant que ali as était au courant de l'élection de abou bakr a saqifa ( ce qui ne fut pas le cas) et pensant qu' ali as voulait renverser le nouveau califat ( ce qui ne fut pas le cas aussi) d'où son emportement excéssif, nous pourrions ouvrir un autre post pour en discuter car c'est un autre débat. Cependant pour revenir au sujet, avec tout l'estime que j'ai pour vous chère soeur, je vous trouve assez extrémiste dans votre façon de procéder, en effet vous postulez sur des faits non reconnus par le consensus musulman en vous appuyant sur quelques textes faibles (lol) pour monter une scène théatre et rajouté des méfaits sur des compagnons pour ensuite légitimer le fait de les maudir, que dis je, il s'agit d'un acte mustahab lol. Je ne crois pas que nous soyons en position de les maudir, car nous ne connaissons pas ce qui s'est réellement passé, dans le doute je préfère ne pas maudir car si nous maudissons une personne à tort sur des actes qu'ils n'ont jamais commis, nous saurions encore plus fautifs. D'autre part la malédiction n'est pas à la porter de tous, ceux qui ont été lésé au moment des faits les ont déjà maudits, les anges en sont témoins et les maudissent aussi, ils le font déjà à notre place et eux sont sur. Un conseil chère soeur ne vous risquez pas de perdre plus en maudissant. Pour revenir sur l'histoire, nous ne nions pas les méfaits commis par certains compagnons, mais on ne peut pas leur mettre sur le dos des méfaits qu'ils n'ont jamais commis, cela serait injuste. Il est clair que omar est parti menacer de bruler la maison de fatima as, mais pour ce qui est de la porte tombée sur fatima ou le fait que omar l'a saisi et la frappa au ventre aux yeux des autres et surtout de ali as est inconcevable. L'ayatollah Fadlallah en autre a donné son point de vu sur cette grotesque invention, d'une part en examination les narrations peu fiable en nombre et en qualité, mais en se basant aussi sur l'éthique morale des arabes à cet époque. Même les plus ignobles des compagnons avaient une façon de faire comme un réflexe subordonné depuis l'enfance. Ce n'était pas la coutume des arabes de venir violer des femmes ou ne serait ce les toucher en présence de leurs maris ça ne se faisait pas, le rempart avant l'acquisition de ce bien était avant tout de tuer le mari et ensuite toucher sa récompense, Khâlid ibn al-Walîd n'est pas parti touché à la femme de Malek ibn nouayra devant ses yeux, il l'a d'abord mis à mort avant tout.
Je ne comprends pas comment vous utiliser des sources sunnites qui ne cessent de cacher la vérité et de la déformer chaque fois que la question concerne la Famille du Prophète (saw). Ils ont même nié tous les détails de Al-Ghadir, auquel ont assisté environ 70'000 compagnons du Prophète (saw).

je crois que vous faites une grosse erreur de jugement, vous ne pouvez pas nier la véracité de certain hadith sunnite, car d'une part elles confirment des hadiths chiites,et d'autres part certains hadiths chiites ont été développé sur des hadiths sunnites.Je ne vois pas en quoi les sunnites ont nié tous les détails de Al-Ghadir, vous exagérez chère soeur allons lol.wa sélèm
 
Salam alaykoum

Peut on penser que le seul fait de Fadak et l'usurpation d'un pouvoir puisse entrainer la colère de Dame Fatima az Zahra (as) au point d'être enterré de nuit et en refusant tout parole a ses gens ?

n'est elle pas celle que notre Saint Prophète :saws:a qualifié de meilleur des femmes du monde donc pour arriver a un point de colere , de refus de pardon , et de demande de compte au jour du jugement , il a du se passer des choses relativement grave

Concernant omar , il va payer pour la consequences de ses actes et elles sont nombreuses vu la proportion que cela a pris donc qu'on le maudisse ou pas il va avoir sa dose

Que Dieu honore nos Mawla et rabaisse, humilie, meprise tous leurs ennemies

car celui qui est ennemis de Ali :as: est un hypocrite et ennemi de Muhammad:saws: et ennemi de Dieu :azwj:
 
Salam

D’après Muhammad ibn Djoubayr ibn Mout’im, qui le tenait de son père, une femme s’était présentée au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) et celui-ci lui avait demandé de revenir plus tard. Elle dit alors : « Et si je ne te retrouvais pas ? » Elle entendait faire allusion à la mort. « Tu t’adresserais à Abou Bakr », dit le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) (rapporté par al-Boukhari, 3659).

2°) D’après Ibn Massoud, le Messager (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Suivez l’exemple de mes deux successeurs : Abou Bakr et Omar » (rapporté par at-Tirmidhi, 3805 et déclaré authentique par al-Albani).

D’après Aïcha, le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) lui dit au cours de son ultime maladie : « Appelle moi ton père, Abou Bakr, et ton frère pour que je leur délivre un écrit car je crains que quelqu’un ne souhaite et ne prétende mériter mieux (de me succéder).. Allah et les croyants refusent tout autre qu’Abou Bakr » (rapporté par Mouslim, 23387).

5°) Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) désigna Abou Bakr au cours de sa dernière maladie pour servir d’imam aux musulmans et n’accepta pas qu’un autre pût remplir cette tâche. Ce remplacement dans l’imamat mineur était un prélude au remplacement dans l’imamat majeur.

d’après Ali ibn Abi Talib (P.A.a) à savoir que le meilleur membre de cette Umma après le Prophète était Abou Bakr puis Omar. À ce propos, Muhammad ibn al-Hanafiyya dit : « J’ai dis à mon père (Ali ibn Abi Talib) :

- Qui est le meilleur des gens après le Messager d’Allah ?

- « Abou Bakr »

- « Puis qui ? »

- « Omar »

- Craignant qu’il n’y ajoute Outhmane, je lui ai dit : « Puis toi ! »

- « Je ne suis que l’un des musulmans » (rapporté par Al-Boukhari (3671). Ils croient qu’Outhmane occupe le troisième rang et Ali le quatrième. Puisse Allah les agréer tous.

Quand je lis ces hadiths sunnites et des hadiths chiites,franchement je ne comprends plus rien du tout .mais où est la vérité???????????
De plus ,l'armée de yazid a assassiné l'imam hussein :as: mais ce dernier a été trahi par les gens d'irak c'est à dire les chiites,les partisans d'ALI:as:.
Les gens de la mecque et de medine n'ont jamais trahi l'imam hussin et meme lui déconseillèrent de partir là bas en irak
 
salam

Pourquoi tant de haine envers Abou bakr .Par ailleurs, Abou Bakr fut à plusieurs reprises évoqué dans le Coran, par exemple dans le verset révélé au sujet de l’hégire : « Si vous ne lui portez pas secours, Dieu l’assista quand, banni par les dénégateurs avec un seul compagnon, tous deux se trouvaient dans la grotte. Lors il dit à son compagnon : "Ne sois pas triste : Dieu est avec nous". Et Dieu fit descendre sur lui Sa sérénité, le conforta d’armées invisibles à vos yeux, et mit à bas la parole des dénégateurs, alors que la Parole de Dieu fut la plus haute. Dieu est Tout-Puissant et Sage. » [S9/V40]. Abû Bakr est également désigné dans le verset : « Celui qui vient avec la Vérité et celui qui la confirme » [S39/V33]. :

Vous faites comment les chiites lorsque vous lisez ces versets sur la loyauté de Abou bakr:as: ?????????:icon_conf
Faites attention mes freres ,je vous aime bien mais vous exagerez beaucoup.Qu'on soit Yazid et son pere,je suis d'accord avec vous car ils ont crée la fitna et ont insulté et massacré la famille du prophète :saws:. Que vous aimez les deux imams :as: ,je suis d'accord avec vous mais que vous insultez de mécréant les comagnons comme Omar:as: et abou bakr:as: ,c'est tres grave.Avez vous étudié le comportement de Omar durant son caliphat ,ne s'est il pas battu au service de l'islam et pour son expansion.Certes Omar était rude mais était noble dans ces actes ,il etait profondément croyant ,alors arretez de le maudire c'est mieux pour vous.
Je suis désolé de dire mais tous les ayatollah reunis ,khomeiny compris n'équivaleront jamais Omar :as:eek:u abou bakr:as:.Ces Savants chiites se permettent de maudire ces grands compagnons qui ont combattu pour le prophète.Repentissez vous mes freres.....
 
D’après Muhammad ibn Djoubayr ibn Mout’im, qui le tenait de son père, une femme s’était présentée au Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) et celui-ci lui avait demandé de revenir plus tard. Elle dit alors : « Et si je ne te retrouvais pas ? » Elle entendait faire allusion à la mort. « Tu t’adresserais à Abou Bakr », dit le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) (rapporté par al-Boukhari, 3659).

2°) D’après Ibn Massoud, le Messager (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Suivez l’exemple de mes deux successeurs : Abou Bakr et Omar » (rapporté par at-Tirmidhi, 3805 et déclaré authentique par al-Albani).

D’après Aïcha, le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) lui dit au cours de son ultime maladie : « Appelle moi ton père, Abou Bakr, et ton frère pour que je leur délivre un écrit car je crains que quelqu’un ne souhaite et ne prétende mériter mieux (de me succéder).. Allah et les croyants refusent tout autre qu’Abou Bakr » (rapporté par Mouslim, 23387).

5°) Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) désigna Abou Bakr au cours de sa dernière maladie pour servir d’imam aux musulmans et n’accepta pas qu’un autre pût remplir cette tâche. Ce remplacement dans l’imamat mineur était un prélude au remplacement dans l’imamat majeur.

d’après Ali ibn Abi Talib (P.A.a) à savoir que le meilleur membre de cette Umma après le Prophète était Abou Bakr puis Omar. À ce propos, Muhammad ibn al-Hanafiyya dit : « J’ai dis à mon père (Ali ibn Abi Talib) :

- Qui est le meilleur des gens après le Messager d’Allah ?

- « Abou Bakr »

- « Puis qui ? »

- « Omar »

- Craignant qu’il n’y ajoute Outhmane, je lui ai dit : « Puis toi ! »

- « Je ne suis que l’un des musulmans » (rapporté par Al-Boukhari (3671). Ils croient qu’Outhmane occupe le troisième rang et Ali le quatrième. Puisse Allah les agréer tous.

Quand je lis ces hadiths sunnites et des hadiths chiites,franchement je ne comprends plus rien du tout .mais où est la vérité???????????
De plus ,l'armée de yazid a assassiné l'imam hussein :as: mais ce dernier a été trahi par les gens d'irak c'est à dire les chiites,les partisans d'ALI:as:.
Les gens de la mecque et de medine n'ont jamais trahi l'imam hussin et meme lui déconseillèrent de partir là bas en irak

Que la paix soit sur toi mon frère,

Voici quelques hadith sunnites qui te montrera que l'Imam Ali (as) était le seul à être digne de succéder au Messager de Dieu (saw) :
http://www.al-imane.org/showthread.php?t=743
 
Pourquoi tant de haine envers Abou bakr .Par ailleurs, Abou Bakr fut à plusieurs reprises évoqué dans le Coran, par exemple dans le verset révélé au sujet de l’hégire : « Si vous ne lui portez pas secours, Dieu l’assista quand, banni par les dénégateurs avec un seul compagnon, tous deux se trouvaient dans la grotte. Lors il dit à son compagnon : "Ne sois pas triste : Dieu est avec nous". Et Dieu fit descendre sur lui Sa sérénité, le conforta d’armées invisibles à vos yeux, et mit à bas la parole des dénégateurs, alors que la Parole de Dieu fut la plus haute. Dieu est Tout-Puissant et Sage. » [S9/V40]. Abû Bakr est également désigné dans le verset : « Celui qui vient avec la Vérité et celui qui la confirme » [S39/V33]. :

Vous faites comment les chiites lorsque vous lisez ces versets sur la loyauté de Abou bakr:as: ?????????:icon_conf

Que la paix soit sur toi mon frère,

Je ne sais pas pour toi mais je ne vois rien d'extraordinaire dans ce verset concernant le rang d'abu bakr au contraire ce verset le rabaisse. Nous voyons qu'il a peur et que le Prophète (saw) doit le consoler alors que pendant ce temps l'Imam Ali (as) est la place du Prophète (saw) dans son lit avec plein de courage prêt à mourir pour Dieu.

Nous voyons aussi cette phrase : Et Dieu fit descendre sur lui Sa sérénité. Comme tu peux le voir ce verset est au singulier, qu'est ce que cela signifie, Dieu a fait descendre sa sérénité sur le Prophète (saw) ou sur abu bakr ? :)

Je suis désolé de dire mais tous les ayatollah reunis ,khomeiny compris n'équivaleront jamais Omar :as:eek:u abou bakr:as:.Ces Savants chiites se permettent de maudire ces grands compagnons qui ont combattu pour le prophète.

Au moins nous sommes d'accord sur une chose, en effet nos Ayatollah n'aurons jamais le même niveau que omar :)
 
salam

Que la paix soit sur toi mon frère,

Je ne sais pas pour toi mais je ne vois rien d'extraordinaire dans ce verset concernant le rang d'abu bakr au contraire ce verset le rabaisse. Nous voyons qu'il a peur et que le Prophète (saw) doit le consoler alors que pendant ce temps l'Imam Ali (as) est la place du Prophète (saw) dans son lit avec plein de courage prêt à mourir pour Dieu.

Nous voyons aussi cette phrase : Et Dieu fit descendre sur lui Sa sérénité. Comme tu peux le voir ce verset est au singulier, qu'est ce que cela signifie, Dieu a fait descendre sa sérénité sur le Prophète (saw) ou sur abu bakr ? :)



Au moins nous sommes d'accord sur une chose, en effet nos Ayatollah n'aurons jamais le même niveau que omar :)


Au contraire ,ce verset revele tres bien l'amitié entre le prophète:saws: et abou bakr:as:.ALLAH :azwj: fit descendre sur le prophète :saws:Sa Sérenité qu'il transmet à Abou bakr en le consolant en lui disant qu'ALLAH est avec eux.Et je peux te dire mon frere ,que ABOU bakr :as: a risqué sa vie pour avoir rejoins le prophète:as:.
 
Que la paix soit sur toi mon frère,

Au contraire ,ce verset revele tres bien l'amitié entre le prophète:saws: et abou bakr:as:.ALLAH :azwj: fit descendre sur le prophète :saws:Sa Sérenité qu'il transmet à Abou bakr en le consolant en lui disant qu'ALLAH est avec eux.Et je peux te dire mon frere ,que ABOU bakr :as: a risqué sa vie pour avoir rejoins le prophète:as:.

Ceci n'est que pure spéculation de ta part sans aucune preuve, on ne voit que la miséricorde du Prophète (saw) envers quelqu'un qui a peur. De plus on voit bien que le Prophète (saw) le rassure d'abord et c'est seulement après que Dieu envoi sa sérénité. Ensuite pourquoi est ce que le Prophète (saw) doit "transmettre" sa sérénité à abu bakr? Pourquoi Dieu n'a t'il pas envoyé sa sérénité à tous les deux?
 
salam

Je comprends mon frere ,mais bon on ne vas refaire l'Histoire non plus.Ce qui est fait est fait .Adorons ALLAH et suivons les enseignement dde Notre Prophète.Chez nous les sunnites,on suit la Sounna point barre et on adore ALLAH exclusivement.Vous les chiites,vous vous focalisez trop sur l'imam Ali et les douze Imam à un tel point que vous les vénerez ou adorez comme des idoles.Vous oubliez complétement ALLAh et son prohète.Vous etes comme les chretiens qui adorent Jésus et l'ont divinisé.Quand je vois des portraits soit disant de ALI ou de ses enfants,cela devient n'importe quoi,c'est comme le portrait de Jésus que les chrétiens adorent.Enlevez ça de votre tete et allez prier exclusivement ,faites ce que notre Prophète vous a recommandés point barre.A la fin,ALLAH jugera chaque HOMME et FEMME
 
salam

Prouve moi cher frere que Notre prophete :saws: nous a dit de maudire Abou bakr et Omar??? aucune preuve
Durant la vie de notre prophète,ils ont été les meilleurs compagnons et alliés de notre prophète :saws:. A partir de là ,ces compagnons je les respecte puisqu'ils ont aimé Le prophète et se sont battus pour lui et je ne dis que du bien pour eux.Le prophète n' a dit que du merite sur Ses compagnons.
Et vous les chiites ,vous les maudissez ,c'est une honte pour vous,le prophète vous l' a dit de faire?
Et vous dites que ce sont des gens de l'enfer,quel blasphème!!!!!!!!! ALLAH ou notre prophète l'ont t il annoncé?? Pas du tout

Vous avez des références qui ne tiennent pas la route!!! en plus vous maudissez les femmes du prophètes aicha et hafsa juste parce qu'elles sont les filles de abou bakr et de omar comme par hasard!!! si vous aimez le prophete :saws: tant que ça pourquoi vous insultez ses femmes ,en fait vous humiliez le prophete en quelque sorte. Est ce que tu aimerai que je dise des choses malsaines sur votre femme??? Non alors respectez les femmes de notre prophète :saws: et sa dignité.
 
Salam,

mais bon on ne vas refaire l'Histoire non plus

Heuresement mon frère, que beaucoup ne pensent pas comme toi. Parce que si on devait tous accepter l'histoire sans la remettre en question ,sans chercher à comprendre, alors aujourd'hui il n'y aurait pas eu d'Islam.

Nous ne cherchons pas à refaire l'histoire, nous cherchons à connaitre la véritable histoire, et sur ce forum, nous l'avons trouvé.

Adorons ALLAH et suivons les enseignement dde Notre Prophète

Al Hamdoulillah, cette description est la nôtre. Nous sommes ceux qui suivent le Saint Prophète, même dans notre façon de faire nos 5 prières qui est beaucoup plus proche de celle du Prophète que la vôtre.

.Quand je vois des portraits soit disant de ALI ou de ses enfants,cela devient n'importe quoi,c'est comme le portrait de Jésus que les chrétiens adorent

Où est-il écrit dans le Coran qu'il est interdit de faire des portraits? Peut-être dans votre Coran, mais dans celui que je possède à la maison, je n'ai nulle part lu ceci.

Enlevez ça de votre tete et allez prier exclusivement ,faites ce que notre Prophète vous a recommandés point barre.A la fin,ALLAH jugera chaque HOMME et FEMME

C'est à toi de faire ce que le Prophète t'a recommandé. Il t'a ordonné de suivre l'Imam Ali (as) après sa mort, alors pourquoi ne le fais-tu pas?

Tu seras jugé, et maintenant que tu as pris connaissance de la vérité, tu n'auras plus d'excuse.
 

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