Quoi de neuf ?
Forum al-imane.com

This is a sample guest message. Register a free account today to become a member! Once signed in, you'll be able to participate on this site by adding your own topics and posts, as well as connect with other members through your own private inbox!

La Dynastie Idrisside est elle chiite ?

Nourredine a dit:
As Salam 'aleykoum
la question est dans le titre !
ma Salam,Nourredine
Salam;

Voici un lien qui t'aidera à mieux comprendre:

http://omari2002.ifrance.com/omari2002/maroc.htm

Plutôt que de poser la question comme tu le fais, je te donne un lien sur l'Histoire du Maroc, et en particulier tu noteras qu'en 786, après le Massacre à Faqh, non loin de La Mecque par les Abbassides, des descendants de Sidna 'Ali, as et Fatima Ezzahra, as, un de leurs arrières petits fils Idriss Ibn Abdellah, émigrera à la faveur du retour du Hadj des pélerins maghrébins, avec eux dans leur pays.
Ces pélerins dont deux étaient des chefs amazighes, vont l'installer à Volubilis, entre Meknes et Fes, et l'un d'entre eux lui donnera en mariage sa fille, Kenza, dont naîtra Idriss II, puisque Idriss I, sera assassiné par un envoyé des Abassides...

Ensuite, il faudra noter la partie qui concerne les Saadiens, fondateurs du Royaume chérifien vont lancer le Jihad dans la vallée du SOus, dans les environs de taroudant, et chasseront les Portugais d'Agadir en 1541, puis de safi, et il sera le vrai fondateur du Maroc moderne.

En fait les seuls qui prôneront le chiisme, seront en réalité les FATIMIDES ...

Pour un autre point de vue, voir :

Les Idrissides dans le Maghreb

------------------------------------------------------------------




L'histoire des Idrissides (VIII - X siècle)dans le Maghreb commence essentiellement par cette noble famille dont le père fondateur Idrisse premier est venu au Maroc, ralliant à sa cause de nombreuses tribus Berbères qui le proclameront Roi du Maroc. Avant son arrivée, deux vagues d' arabes étaient parvenues en Afrique du Nord, dès la fin du VII siècle, l'une dirigée par Oqba Ibn Nafi, le fondateur de Kairouan (670), l'autre par Moussa Ibn Nuçair,

tous deux considérés comme les précurseurs de l'introduction de l'Islam dans cette région, peuplée jusque là du peuple Berber.

Idrisse premier descendant d'Ali, gendre du prophète(SAWS), a connu d'abord de grandes inquiétudes à la cour de Bagdad où il était recherché comme opposant aux Abbassides (les descendants d’El Abbas oncle du prophète(SAWS)), devenus à leur tour les nouveaux maîtres du monde musulman. Après s'être réfugié en égypte, Idrisse se dirige vers le Maroc en passant par Tanger et Tlemcen , avant de s'installer définitivement à Walilah (volubilis) ville adossée au massif de Zerhoun, sur les bords de l’oued Khoumane. Idrisse était toujours sous la protection du chef de la tribu des Aourebas, Abou Layla Ishaq ben Abdelhamid.

Accompagné de son frère de lait Rached Ben Morched El Koreichi, il trouve un Maroc en proie à des luttes tribales axées sur les interprétations du Coran, avec au premier plan le mouvement Kharidjite particulièrement actif.

Très vite il fut reconnu comme descendant du Prophète Muhammad (SAWS), il fut proclamé Imam, six mois après son arrivée, il prêche l'orthodoxie sunnite (aucune preuve de cette affirmation péremptoire évidemment), et rallie autour de lui la majorité des tribus du pays.


De Walilah, il dirige des expéditions dans tout le pays, assoit son autorité et augmente sa puissance. Celle-ci inquiète les Abbassides qui craignent une action de sa part dans l'avenir. C'est ainsi que Haroun al-Rachid, nouveau Calife Abbasside décide de le supprimer et lui envoie pour cela un messager, Souleyman Ben Djaber-en-Nabdi-el-Zindi, supposé être un émissaire de soutien et d'amitié. Celui-ci séjourne le temps nécessaire à Walilah pour capter sa confiance et parvient à l'empoisonner en 793 grâce à une fiole de musc contenant du poison.


En 789/90, Idrisse Ier entreprit la conquête de Tlemcen-Agadir ou il posa les fondations du Masjid El Attiq (la grande mosquée d’Agadir). C’est la première mosquée construite dans le Maghreb central. Idrisse Ier y fit édifier un minbar (chair) sur lequel on inscrivit son nom. C’est seulement à cette époque que Soleiman Ibn Abdallah El Kamel émigra d’Orient pour venir retrouver son frère Idrisse Ier à Tlemcen. Ce dernier l’installa dans la région et le nomma émir de Tlemcen. Soleiman Ibn Abdallah El Kamel est quant à lui à l’origine des Chorfas d’Ain El Hout (village dans les environs de Tlemcen ) et de Bedjaia (Bougie). Il séjourna et mourut à Tlemcen. Quant à Idrisse Ier il retourna s’installer comme nous l’avons dit plus haut à Wallilah (Volubilis). Bien accueilli, usant de son autorité religieuse, habile à nouer des relations avec les tribus Berbères , il étend son autorité sur une grande partie du Maroc .

Mais, trois ans plus tard, en 793 (Ch), Idrisse Ier fut traîtreusement empoisonné sur ordre du Khalife Haroun Rachid à Bagdad, comme nous l’avons décrit plus haut. Son agresseur fut rattrapé par son frère de lait Rached à la ville d’El Hira qui se nomme actuellement Oujda ( racine arabe Wajada signifiant trouver).

Quelques mois après la mort d'Idrisse Premier, son épouse Kenza, originaire de la tribu Aoureba, donne naissance à un garçon surnommé Idrise Ethani ou Idrise II. L'éducation du jeune prince est confiée au fidèle affranchi de de son défunt père, Rachid, qui le fait proclamer Sultan du Maroc en 804, à l'âge de 11 ans. Au fil des années, sa sagesse et son sens politique s'affirment, le nombre de ses fidèles s'accroît, la capacité et la puissance de son armée se développent. Ne pouvant agrandir la ville de Walilah (située sur une crête à l'accès difficile) et voulant se doter d'une capitale, il décide de chercher un lieu remplissant des conditions économiques et stratégiques les plus adéquates.
L'édification d'une cité prestigieuse s'imposait pour fixer l'Islam parmi les tribus unifiées autour de lui. Il voulu concentrer les forces du jeune état islamique et réaliser le brassage des différentes ethnies pour en faire une nation. Idrisse II succéda donc à son père. Il continua son ½uvre dans le raffermissement de la dynastie Idrisside issue de Ali et Fatima Zahra. Il partit lui aussi pour Tlemcen en l’an 814(Ch) ou il séjourna pendant trois années. Il élargit ainsi le royaume vers le sud et l’est. Contrôlant le carrefour de toutes les routes marocaines. A Tlemcen, Il épousa la fille de son cousin Muhammad Ibn Soleiman et repartit à Fès pour donner à la ville ses véritables dimensions. Quant à Muhammad Ibn Soleiman après un règne très court , il mourut à Tlemcen et fut enterré à Ain El Hout . La succession de l’émirat échut à son fils Ahmed Ibn Soleiman qui devint à son tour émir de Tlemcen. A sa mort il laissa dix enfants : Ahmed , Aissa, Idriss, Ibrahim, Hassan, Ali, Hossein, Abdellah, Soleiman et Mohammed. IbnHazm ( Abu Muhammed Ali ibn Hazm 994-1064, outre ses fonctions de vizir auprès des derniers Omeyyades, fut un théologien et un historien de grande érudition. ) confirme dans ses écrits le règne des émirs Soleimanites dans le Maghreb central. En 931 c’est à dire en 319 de l’hégire, les Fatimides occupèrent Tlemcen et chassèrent le dernier émir Idrissi-Soleimanite, El Hassan Ibn Abou Aich Ibn Aissa Ibn Idrisse Ibn Mohammed Ibn Soleiman.
La conquête du Maghreb central par les Fatimides (dynastie de califes shiites qui régnèrent en Afrique du Nord et en égypte de 910 à 1171) chassa tous les descendants de Mohammed Ibn Soleiman. Ces derniers embrassèrent alors la cause des Omeyyades de Cordoue et se réfugièrent en Andalousie. La chute de Cordoue en 1091 vit la fin des Omeyyades. Certain des Chorfas Soleimanites rentrèrent au Maghreb et s’établirent dans le Souss( Maroc), le Riff marocain, ainsi qu’a Bejaia (Algérie), ainsi dans le sud Algérien. A titre d’information historique, rappelons qu’en 1437(Ch) il y eut une découverte miraculeuse ; celle du corps du Chérif Moulay Idrisse II retrouvé intact et reconnu par toutes les autorités ainsi que par le chef de la famille Idrisside, le chérif Djouti El Imrani. Cet événement a eu lieu dans le sanctuaire lui-même, près de la mosquée des chorfas de Fès. Cette découverte rehaussa le prestige de la famille Idrisside pendant la période des troubles sociaux, religieux et politiques qu’a connu le Maroc dans la deuxième moitié du XVe siècle sous les Bani-Ouattas.
La zaouïa de Moulay Idrisse II est un lieu sacrée à Fès elle a été construite au IXe siècle puis renouveler 1437. Le sanctuaire est interdit aux non-musulmans.
L'enceinte de la zaouïa est sacrée aucun musulman ne pouvait être arrêté. car il y est protégé et bénéficie du droit d'asile Fès étant considérée comme la ville de Moulay Idrisse .De nos jours de nombreux habitants de Fès connaissent encore par c½ur ce que les chroniqueurs rapportent comme étant les paroles de Idrisse II, au moment de déposer la première pierre de l'édifice:

"O Dieu, tu sais que je n’ai pas construit cette ville par recherche de brio , ou par vanité, ou par désir de renommée et d’orgueil. Cependant je voudrais que tu sois adoré , que ton livre saint y soit récité et ta loi appliquée tant que durera le monde. O Dieu, guide vers le bien ceux qui y habitent et aide les à l’accomplir, cache à leurs yeux le glaive de l’anarchie et de la dissidence…" Idris II

Nous savons que Abdellah El Kamel Ibn Hassen El Mouthanna, Ibn Hassen Essebt, Ibn Ali et Fatima Zohra , laissa en postérité sept fils :Mohammed Ennefs Ezakia, Moussa, Ibrahim, Aissa, Idrisse, Yahia, et Soleiman. De plus, Idrisse , Soleiman, et Aissa avaient la même mère : Attika el Mekhzoumia ; tandis que Moussa, Mohammed Ennefs Ezakia et Ibrahim avaient eux aussi une même mère : Hind bent Abi Obeida Ibn El Djarrah Essahabi (compagnon du Prophète Mohammed )Rappelons que Abdallah El Kamel était la personnalité les plus en vue pour accéder au Khalifat Abbasside. Il représentait la famille des Alides, cousins des Abbassides. Ces derniers ayant détrôné les Omeyyades en 750 (Ch) pour venger les Hachémites tués par les tenants de l’ancien régime, étaient devenus à leur tour ennemi des Alides et les combattaient partout. C’est ce qui explique les luttes fratricides et la fuite des vaincus à travers le monde islamique.

Nous tenons à mentionner qu’a Ain El Houts existe aussi le tombeau de Muhammad Ben Ali descendant en ligne direct, à la cinquième génération, de Abd Allah Ben Mansour Ce Saint homme vivait vers 1700 de notre de l’ère Chrétienne, sa mort se situe aux environs de 1755-56. C’était un savant, il était considéré comme un des principaux Eulamas de son temps. Son mausolée se trouve près de Sidi Abdallah Ben Mansour sur la colline de Ain El Houts.

Ainsi, le deuxième khalife Abbasside Djaafar El Mansour fit arrêter en 762 (Ch) Abdallah El Kamel et les enfants de Hassen El Mouthenna, les transféra de Médine à Koufa ou il les fit exécuter après mille humiliations. Les Alides étaient alors en pleine révolte contre le régime arbitraire et abject du khalife. Ainsi Mohammed Ennefs Ezzakia surnommé le Mahdi se souleva avec un groupe de partisans dans le Hedjaz, passa à l’action, mais fut tué à son tour le 06/12/762 (Ch).

Son frère Ibrahim, révolté à Bassora ( Iraq), connut lui aussi le même sort, un mois plutôt, le 6 novembre 762 (Ch).


Mohammed Ennefs Ezakia avait une réputation de Sainteté qui lui valut le surnom de Nefs Ezakia, c’est à dire l’âme pure. Il était l’auteur d’un ouvrage théologique El Kittab Essayar.

Par ailleurs nous avons vu que les « chérif » Idrisse I et Soleiman, tous deux fils d’Abdallah El Kamel avaient bel et bien résidé dans cette contrée. Ils ont donc dirigé le Maghreb El Aksa à Wallilah d’un coté et Le Maghreb El Aousat à Tlemcen de l’autre.. Ils seraient donc les ancêtres de Ahl Ain El Hout et Ahl Bedjaya en l’occurrence Sidi Abdallah Ben Mansour et sa descendance, cela d’une façon logique et historique. La présence de ces Chorfas remonte donc au VIIIe (8e) siècle en Afrique du Nord. Pour certains biographes dont les sources d’information sont occultes, Sidi Abdallah BenMansour aurait pour ancêtre Mohammed Ennefs Ezakia, frère d’Idrisse premier et de Soleiman.

Abdallah El Kamel d’après Ibn Ishak et de Ali Ben Ferhoun laissa six enfants dans la presqu’ile de Sous et à Zerhoun ou est enterré Sidi Moulay Idrisse I.

Le troisième de ses enfants était Muhammad Soleiman dont le tombeau est à Ain El Hout (Tlemcen) par lesquels la noblesse s’est répandue en Algérie ; Tlemcen et Bedjaya en particulier.

Les Ahl Ain El Hout ont pour ancêtres Abdallah, Ben Mohammad, Ben Ahmed, Ben Ali, Ben Daoud, Ben Mohammad, Ben Ahmed, Ben Ali, Ben Idrisse II , Ben Idrisse I, Ben Ahmed Ben Soleiman, Ben Abdallah El Kamel, Ben Hassen El Muthanna, Ben El Hassen Es- Sebt, Ben Fatima fille de Rasul Allah . ( Que la Paix et la bénédiction De Dieu soit sur lui)
 
up
juste pour ne pas avoir le nom d AB sur la première page et parce que le sujet est intérressant.
 
Salam salam ,

Je recherchais dans le forum un sujet qui traitait de la dynsastie idrisside en Afrique du nord et je suis tombé sur celui-ci.

J'apporte ma petite contribution a ce sujet si je peux, tirée du livre "les vérités de la succession du Prophète (p) " de SHERIF MOHAMED ALI AIDARA, lui-même descendant de cette dynastie.

Source: http://www.sibtayn.com/fr/index.php...s-de-la-succession-du-prophete-p-r&Itemid=567


L’entrée en Afrique des descendants du Prophète (p)​
:



Le siège des Abbassides était resté à Bagdad tout comme sous les Umayyades. Le Calife, Haroun Rachid, avait son représentant à Médine. Ce dernier surveillait pour lui les faits et gestes des descendants du Prophète (p) qui y étaient restés.

Et comme à l’époque des Umayyades, les habitants de Médine s’opposaient aux déviations des nouveaux dirigeants qui occupaient toujours pour eux une place qui appartenait à l’illustre famille du Prophète (P).

C’était pour les soumettre que le Calife Haroun envoya une armée à Médine à la demande de son représentant en ce lieu.


Une armée médinoise fut montée pour la circonstance et dirigée par Abdallah al Kâmil (i.e. « le parfait » pour son savoir et sa droiture) Ibn Al Hassan al Mouçâna Ibn Al Hassan Ibn Alî Ibn Abi Talib.

La bataille qui eut lieu (dite bataille de Faqîne, tout près de Médine) fut un carnage. L’armée médinoise de Abdallah fut décimée et son chef capturé. Il sera ensuite emprisonné à Bagdad puis, pour finir, empoisonné parce que devenu entre temps trop encombrant.

Cependant trois illustres rescapés de cette tuerie marqueront par la suite l’histoire de l’Islam : Muhammad, Yahya et Idriss, tous des enfants de Abdallah donc des descendants du Prophète (p). Mohamed prit la direction de l’Est et Idriss celle de l’Ouest.

Nous allons suivre Idriss. Il était encadré dans son voyage par un disciple de son père du nom de Rachid. Ce dernier était un berbère originaire du Maroc et était allé à Médine pour y acquérir des connaissances auprès de Abdallah, le père de Idriss.

Rachid avait une grande connaissance de la traversée de l’Egypte pour arriver au Maroc. Il eut dans cette épreuve l’assistance discrète mais efficace du représentant abbasside en Egypte qui avait, en cachette s’entend, beaucoup de sympathie pour les descendants du Prophète. Ce chef abbasside les aida donc à traverser l’Egypte. Idriss se faisait passer pour un esclave de Rachid et même, devant des inconnus il travaillait réellement pour son maître circonstanciel afin de lever tout éventuel soupçon.

Quand ils arrivèrent à Zarhouni dans l’actuel Maroc (le pays berbère de Rachid), Rachid présenta à son peuple l’arrière petit-fils du Prophète (P), Idriss Ibn Abdallah Ibn Al Hassan al Mouçâna Ibn Al Hassan Ibn Alî Ibn Abi Talib.

Idriss réunissait toutes les qualités d’un Ahlul Bayt (P) : la connaissance du Coran et des enseignements de l’Ecole des Ahlul Bayt (p), le savoir, le courage, la droiture, la piété, la dextérité d’un grand cavalier – cette dernière qualité était essentielle à l’époque pour une raison évidente : le djihad.

Rachid proposa donc à son peuple de tirer sa part de bénédictions d’un tel sujet. Les berbères ne décidèrent rein de moins que d’en faire leur chef et guide. Ils lui offrirent en mariage la fille d’un de leurs chefs.

C’est ainsi que Idriss posa les fondements du premier gouvernement chiite en terre d’Afrique et même dans le monde. En effet il a eu toute la latitude – à travers les moyens, le temps et les hommes nécessaires – d’organiser un tel gouvernement.

Il y’eut cependant une faille de taille : il ne disposait pas d’Ulémas (i.e savants) formés aux enseignements de l’Ecole des Ahlul Bayt (p) pour transmettre ce savoir aux populations de l’intérieur du pays. Il fut donc placé dans l’obligation de recruter des Ulémas des autres Ecoles, en particulier de l’Ecole Malikite donc sunnite.

Cette faille contribuera pour une grande part à fragiliser plus tard l’Etat qu’avait créé Idriss. Durant de longues années cet Etat fut florissant et son peuple épanoui. Cette réussite légendaire porte jusqu’à ce jour une place importante dans l’histoire du Grand Maghreb.

Haroun Rachid, le chef des Abbassides, apprit depuis son scintillant palais de Bagdad le succès de Idriss et en fut profondément attristé au point de perdre le sommeil pendant de longues nuits. Il finit par trouver un moyen de mettre un terme à sa souffrance. Faute de ne pouvoir envoyer une armée au Maghreb à cause de la trop grande distance qui le séparait de cette région, il trouva en la personne d’un arabe du Hidjâz l’homme qu’il lui fallait.

Ce hidjâzi, à qui il promit entre autres merveilles le poste de Gouverneur, devait se rendre à Zarhouni afin d’empoisonner Idriss.

L’homme s’appelait Souleymane Ibn Jarîr et était plus connu sous le nom de Châmâkh. Il est arrivé au Maroc en Walilée (ville se situant près de Zarhouni) en 172 A.H. et mourut en 177 A.H.

Dés son arrivée à Zarhouni, il réussit à se faire adopter par Idriss. L’accent hidjâzi de son hôte enchantait tout naturellement Idriss et atténuait un petit peu la nostalgie qu’il nourrissait pour son terroir d’origine.

Le comportement un peu trop attachant de Châmâkh éveillait en Rachid de la méfiance et des soupçons fondés sur son expérience et les pratiques malignes des gens de cette époque. Il évitait ainsi toujours de laisser cet homme seul en compagnie de son protégé, Idriss.

L’histoire lui donnera malheureusement raison. Châmâkh réussit un jour, en effet, à tromper la vigilance de Rachid et mit du poison dans le verre de boisson qu’il tendit à Idriss. Après ce forfait il s’enfuit de la ville en compagnie de quelques complices venus avec lui. Ils prirent la direction de Khayrawân (actuelle Tunisie) non sans se faire rattraper par la garde de Idriss. Blessé, Châmâkh réussit tout de même à rejoindre le Hidjâz.

Le « trône » du descendant du Prophète était alors vide. Le peuple berbère de Rachid était devenu orphelin. Mais puisque l’épouse de Idriss était en état de grossesse depuis sept mois, le sage Rachid leur proposa alors d’attendre les deux mois qui restaient pour savoir si l’enfant qu’elle attendait était un garçon ou non. Dans le premier cas il serait leur futur chef. Dans le cas contraire, le peuple se choisira un chef parmi les berbères.

Les notables réunis pour la circonstance lui proposèrent d’être en attendant le chef intérimaire.

Deux mois plus tard, la veuve de Idriss mit au monde un garçon. On lui donna le nom de son père décédé : Idriss. Pour le distinguer de son père Idriss Al Akbar (le grand), on le surnomma Idriss Al Açghâr (le petit).

Rachid lui donna une éducation exemplaire d’Ahlul Bayt jusqu’à l’âge de onze ans. Idriss Al Açghâr était particulièrement brillant sur le plan intellectuel. Ses qualités morales et physiques n’en étaient pas moins extraordinaires.

C’est ainsi qu’à onze ans on lui confia l’avenir de tout un peuple. Il devint chef, avec à ses côtés le vieux Rachid.

Son intelligence, son savoir, son savoir-faire, sa foi, son intégrité mais aussi les circonstances l’aideront à faire pour l’Etat dont il avait la charge bien plus que ce que son défunt père avait fait.

C’est ainsi qu’il décida de transférer la capitale à Fez parce qu’il trouvait Zarhouni un peu trop isolée des grands axes caravaniers. Il dut pour cela racheter les cabanes trouvées sur place à Fez.

Il mit sur pied une véritable armée bien organisée, équipée et disciplinée, organisa le Trésor Public, construisit des écoles, et même une grande Université, celle de Fez, etc.

Parti vers l’Est il atteindra Tlemcen dans l’actuelle Algérie où il construira la deuxième mosquée africaine en dehors de l’Egypte et après celle de Khayrawân construite celle-là par Oghbatâ (Tunisie) qui était le Gouverneur Abbaside d’Egypte.

Il eut onze garçons qui ont tous été envoyés comme Gouverneurs dans les provinces. Ce fut le gouvernement des Idrissides (ceux de Idriss) qui régnèrent pendant trois siècles au Maghreb.

Des batailles contre les Umayyades, contre d’autres groupes islamiques mais aussi entre eux-mêmes finirent par avoir raison d’eux. La fin du règne des Idrissides survint vers l’an 400 A.H.

Moulay Muhammad alias Chérif Lak’hal (le Chérif noir), un des arrière petits-fils de Idriss en eut marre à un moment donné de toutes ces querelles familiales interarabes et décida d’émigrer vers un endroit où il n’aurait plus ces problèmes. Il alla vers l’Est et atteignit la ville de Chinguitti , dans l’actuelle Mauritanie, où il fut reçu par le chef de la tribu Laghlâl. Ce chef lui donna en mariage sa propre fille. Les descendants de cet arrière petit-fils du Prophète seront ainsi appelés plus tard Chourfat Laghlâl ou encore Ehl Chérif Lak’hal.
 
"Kashf-Al-Asrâr": dévoilement des mystères mystifiées par la falsification de l'hist

786-92-110

As Salâamou Alaykoum Wa Rahmatoullah Wa bârakatouhou et bonne journée de vendredi ( du rasssemblement = "Joumou'a") pleine de piété à tous


Merci mon cher frère et Ami de ce partage qui nous interpelle tous en cette époque des bouleversements et des tribulations !!!

Ne précipitons rien donc, bientôt, très bientôt, ils vont sortir de partout, des quatres coins du globes, de toutes les races et de toutes les nations, ensemble avec leurs frères et soeurs, descendants de la lignée des prophètes et messagers (as) depuis Adam et Noé Jusqu'à Mohammad ibn Abdullah (sawa et -a.s - à tous; cf : Q 57:25-29 ) comme des sauterelles... ces descendants du Saint Prophète ( sawa) à qui Dieu a accordé une fontaine d'Abondance ( Sourate 103 : "Al-Kawthar" : "Inna Ataynâ ka AL KAWTHAR...Inna Shâni'aka houwa Al Abtar" ...



et certes La descendance du Saint prophète Mohammed s'est sacrifiée pour la cause de Dieu et de ses Messagers , en attendant l'arrivée du Secours Divin pour La Victoire Eclatante Finale, dont nous avons goûté à l'avant goût de son Annonciation prôche avec le fat'h Al moubîne du Hezb de Syyed Hasan "Al Nasr Min Allah", en Attendant la Parousie du Sauveur PROMIS Al-IMAM MAHDI (atf suivi de Jésus fils de MARIE (a.s cf : Q : Sourate 110 ).

Lorsque vient le secours d'Allah ainsi que la victoire, (1) et que tu vois les gens entrer en foule dans la religion d'Allah, (2) alors, par la louange, célèbre la gloire de ton Seigneur et implore Son pardon. Car c'est Lui le grand Accueillant au repentir. (3)

Les Idrissides de la famille du saint prophète (sawa) n'auront pas tous et toujours été chiites en tout temps et en tout lieux ; mais beaucoup le furent ( Siddi Idriss (rah) lui même, ses descendants tels que Cheikhs Ahmad Al Tijjani, La dynastie des Sayyids Al Sanoussi de Ben Ghazi en Libye jusqu'au Darfour ( Tchad-Soudan ) , L'Emir Abdel kader d'al Jaza'iri (Algérie), Mohammed V au Maroc... le furent ou le sont actuellement et le resteront ... de manière manifeste ou "caché" en "Mode-T" de veille active ou passive insha'Allah ( Il y a une revue Canadienne en 3 langues qui traitait avec profondeur et détails de pertinence du chiisme au Maroc; Malheureusement l'Editorial et le Sponsoring sont de la part de Mohammad Khatami et son prisonnier de Vice-psési, Abtâhi ...et enme rappelant les délires du Site des adeptes de la Secte de Yasser Habiboul-Fitna , ça m'oblige à avoir des réserves légitimes sur les motivations véritables de ce brulôt Trilingue ( Arabe, Français et Anglais ; et les adresses des organisations qu'ils ont fournis à Tanger, Fez, Casa...ainsi que les chiffres Colossaux !!! Il y a plusieurs façons d'apâter et de piéger "des souris tapis dans l'ombre de leur terrier" avec ses Tyrans Absolus à la solde des Sionnistes de Rabbat - Philippe Lyautey et ses légions de l'Etoilede David transformé en pentagramme du Pentagone avec James Baker, un "BUSH-er" comme "négociateur de paix" au Sahara occidental ... la Palestine du Maghreb ( cf: "Tony Blaireau" qui blaire dans leDésert du Neguev à Côté de Dimona et de "Mamon" Al Abbasi du Fatah - ) ;

Idriss : Le nom est assez courant dans la tradition musulmane. Il est apparenté à plusieurs sultans d'anciens États musulmans, dont le premier sultan qui a réussi à unifier le Maroc et à répandre la religion musulmane, arrière petit fils de Mahomet : Idrîs Ier.

Idrîss Ier arabe : idrīss ben `abd allah ben al-kamil, إدريس بن عبد الله الكامل appelé au Maroc Moulay Idrîs Al-Akbar fils de Mawlâna Abd-allah Al-Kâmil "le parfait" fils de mohamed fils d'Al-Hassan "almothana-essabet" fils de fils de l'imam Ali ibn Abi Talib et Fatima Zahra fille de Mahomet et fondateur du royaume du Maroc. Il contesta le droit au pouvoir des Abbassides sur la terre de l'islam et entra en combat avec eux mais fut battu à la bataille de Fakh près de la Mecque mais réussit à échapper avec son compagnon Rached1 à la Mecque puis il s'évada au Maroc pour fuir le massacre de sa famille par les Abbassides en 786. Il fut accueilli par la tribu berbère des Aouraba région de Walili (Volubilis), ville fondée par les Romains près de Meknès (788). Après une période de règne de 3 ans pendant laquelle il consolida son pouvoir sur une grande partie de l'actuel Maroc, il conquit la ville de Tlemcen jusqu'alors sous contrôle des Abassides. Le Calife Abasside Haroun Al-Rachid, furieux de ce succès et craignant une expansion du royaume idrisside en direction de son empire, décida d'envoyer un serviteur assassin Souleiman ibn jarir Achamakh 791 qui réussit à empoisonner et tuer le roi marocain, qui laissa sa femme Kenza enceinte. Son fils Idriss II accédera au trône à l'âge de 11 ans. Son tombeau se trouve à Moulay Idriss Zerhoun, village à flanc de montagne près des ruines de Volubilis.

Idrîss Ier fondateur du royaume du Maroc troisième état Musulman totalement indépendant du califat Islamique après Al-Andalous et la dynastie Rostémide ( Persan ). Il a fondé également la ville de Fès (789) qui deviendra la capitale sous le règne de son fils et successeur Idriss II. Il s'est fait reconnaître roi par la tribu berbère des Awarba, qui vit autour de Volubilis (walili ou oualili en langue arabe), une ville créée par les Romains au troisième siècle av. J.-C., puis lança plusieurs expéditions militaires[réf. nécessaire] au nord au sud et à l'est du Maroc, ces expéditions permirent d'unifier pour la première fois la majorité des tribus berbéres vivant au Maroc et d'élargir les frontières du royaume.

Rached ( "Rassîdou" ou "Rachid" et autres dérivés ... en Afrique Noire )

Rached était un esclave affranchi d'Idrîs ( Faux !) ( puisque démenti par Shériff Mohammed Ali-Aîdara du Senegal avec des arguments probants; voir son livre ..."les vérités sur la succession du prophète aux Editions de la Cité du Savoir du Dr Abbas Ahmad Al bostani ). Il l'avait protégé et accompagné dans son exil depuis Bagdad jusqu'au Maroc. Il a exercé une sorte de régence avec Abû Khalil al-`Abdîy ( cf: Abédi -ayew - "Aliyou"- pélé et l'Islam caravanier et commercial au Ghana DES KOUMBI SALEH, au Benin du Royaume Yoruba ( avecfeu Moushoud , "mash'houd " Abiola au Nigeria ) et au Sud-Ouest du Cameroun dans leDelta du Niger - avec des Fulânis-//- Peuhls nomades Sédentarisés, dont leur porte flambeau, BABA AHMADOU DAN POULLO , Magnat de l'Industrie et du Commerce !!!) Mais Ils ne voyent que les Djihâdistes et les marchands d'esclaves , Quel "épée de l'Islam Djihado-terroriste et impérialiste" est jamais arrivé au Sud-Oust du Cameroun ?! Que les Sionnistes et Colons impérialistes avec leurs valets et laquais de services occidentalisés, programms et "automatisés" retournent ciel et terre pour le prouver !!!-

Mohammed était un berger disent-ils eux -même, tout comme Abrahâm et Moîse avec leurs moutons ...!!!

dimanche 30 janvier 2011

Avec les bœufs du comice !




Exposition. Visite guidée dans l'espace réservé à l'élevage bovin où le leader de l'opposition, John Fru Ndi, a aussi exposé.


Il y a du beau monde dans le secteur bovin chaque jour à Ngalan au village du comice agropastoral d'Ebolowa. Les principales attractions ici sont les différents taureaux et dromadaires qui y sont exposés. Et c'est avec surprise que de nombreux visiteurs constatent que le bœuf le plus gras ne provient pas de la région de l'Adamaoua ou du Nord, mais plutôt du Nord-Ouest. Un taureau d'une tonne et 100 Kg. Et c'est dans le premier stand réservé à l'espace bovin. C'est le hangar de Baba Amadou Danpullo. Au fond de sa grande cage de neuf bœufs, on peut lire, écrit en grands caractères, « Baba Amadou Danpullo, The great philantropist ». Le « grand philanthrope » possède donc le taureau le plus gras du comice. C'est donc avec raison qu'on lui a attribué cette première place, car son plus grand taureau fait l'attraction de tous les visiteurs, qui n'hésitent pas à photographier l'animal ou se faire photographier près du taureau pour les plus courageux.


Le taureau vient du Ranch d'Elba à Ndawara dans l'arrondissement de Belo ( Bello , cf : Usman dan Fodio et ses fils comme Mohammadou Belloavec Le turco-Aargentin Ramon ( Rahmane Ismael medina Bello , département du Moyo dans la région du Nord-Ouest - Au Sud-Ouest du Cameroun et tout près de l'océan Atlantique !!! -. L'espèce est le Simmenthal. Et le taureau le plus gras a seulement trois ans, contrairement à ceux que l'on retrouve dans les hangars des bergers provenant de l'Adamaoua avec des bœufs de 700 Kg, mais qui ont dix ans d'âge. Cette espèce, explique Taïwe Alban, technicien vétérinaire du ranch, est issu du croisement entre l'espèce Goudali que l'on retrouve au Cameroun et l'espèce Simmenthal provenant de la Suisse. Le procédé a été plutôt complexe. « C'est en 1986 que nous avons acheté la semence, entendez le sperme, d'un Simmenthal en Suisse. Nous l'avons transporté au Cameroun dans une glacière et bien conservée au frais. Nous avons choisi une génisse (entendez, jeune vache prête à la reproduction) en chaleur de race Goudali. A l'aide d'une seringue, nous avons introduit la semence dans l'utérus de la génisse et après trois jours on a constaté la gestation », explique Taïwe Alban. Ce procédé, on l'appelle l'insémination artificielle indique Taïwe Alban. Par chance, la génisse a mis bas deux mâles et ce sont eux qui multiplient les Simmenthal après croisement avec des Goudali.


John Fru Ndi
Le plus gras taureau vaut trois millions de francs Cfa et jusqu'à présent personne n'a encore fait une offre. Il y a 1 400 têtes de bœufs dans le ranch d'Elba, confie son administrateur, Ahmadou Wagua. Il se plaint également du manque de marché. « Nous cherchons en vain des marchés où on peut vendre les bœufs en quantité. Nous recherchons des clients qui peuvent payer en cash 100 têtes », affirme-t-il.


Non loin du stand de Baba Amadou Danpullo, il y a deux bœufs de couleur blanche et de race Goudali provenant du ranch du leader de l'opposition camerounaise, Ni John Fru Ndi -Autochtone de la même Région et frère contribule de "Bad-luck" Jonathan Président actueldu nigeria !!! -. Personne n'est présent ici. Il y était personnellement avant-hier, mardi, lors du passage du chef de l'Etat. Mais hier, 19 janvier 2011, il n'y était plus. Ses voisins disent que le berger qui garde ces bœufs visite les autres stands.


Autre découverte dans l'espace bovin, des taureaux sans cornes. Ils sont très rares. Mais, Bouba Ohoji, éleveur à Tigneré dans le Faro et Deo, région de l'Adamaoua, en dispose tout un cheptel de 400 têtes. Cette race a la particularité de produire du très bon lait et en grande quantité, explique Bouba Ohoji. Cette espèce s'appelle Goudali-Goumali. En deux ans et six mois, ces bœufs peuvent déjà peser 380 Kg. Le prix moyen est de 350 000 francs Cfa à Tigneré et de 500 000 francs Cfa à Yaoundé.


Les visiteurs dans l'espace élevage bovin se plaisent également à se faire photographier près des trois chameaux venus de l'Extrême-Nord du pays. Et c'est avec un plaisir renouvelé que les visiteurs reviennent par ici. Comme ce jeune garçon qui s'émerveille du plus gras veau. « Il pisse comme une rivière et c'est depuis deux minutes déjà », lance-t-il à sa maman.

Publié par Beaugas-Orain DJOYUM à l'adresse 08:05

http://beaugasorain.blogspot.com/2011/01/avec-les-bufs-du-comice.html


et. À la mort d'Idrîss Ier, l'épouse d'Idrîss, Kenza, était enceinte, Deux mois plus tard, elle mit au monde un garçon qui reçut le nom d'Idrîss (791). Il grandit sous la sauvegarde de Rached, de sa mère et des berbères de qui voyaient en lui le porteur de la baraka du prophète. Ibn Khaldûn rapporte que les abbassides faisaient courir le bruit qu'Idrîss était le fils de Rachîd pour le discréditer .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Idris

http://fr.wikipedia.org/wiki/Idris_Ier

Quand à ceux des serviteurs de Dieu qui ont bénéficié des attributs des noms des Descendants du Saint prophète et des messagers et qui file du bon Coton ( coton sport FC ;

On a par exemple :

Idrissou Mohammadou : Un Lion Indomptable originaire de la Région de l'Adamaouwa (Haoussa )

IDRISSOU_M_200802_GH_R.jpg


http://www.sporting-heroes.net/football-heroes/displayhero_worldcup.asp?HeroID=47426

Quand aux Fatimides issus des "Ismaéliens" ...

Ousmaila Baba ( "Baba" est un nom et terme persan comme dans "Babazadeh" ! ), né le 26 septembre 1986 à Garoua au Cameroun, est un footballeur international camerounais qui évolue au poste de milieu offensif au Club Sportif sfaxien après avoir été transféré de son club originaire Cotonsport de Garoua lors du mercato hivernal 2008.

Lors du mercato estival 2009 , il est passé sous forme de prêt à El Gawafel sportives de Gafsa ( chez Cheikh Siddi Smaoui Tijjani , descendant de Sayyid Ahmad tijjâni -rah- descendant du Saint prophète (sawa) et Chiite Duodécimain Oussouli en "Mode-T-majêure" ) . Il revient à son club formateur lors de la saison 2010-2011.
Palmarès[modifier]

En 2008 il est finaliste de la Ligue des Champions de la CAF avec son ancien club Cotonsport de Garoua perdue contre Al-Ahly

Vainqueur de la Coupe de Tunisie de Football avec le Club Sportif sfaxien en 2009
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ousmaila_Baba


Alioum Boukar né le 3 janvier 1972 est un footballeur camerouno-turc. Il évolue au poste de gardien de but.

Il a participé à la Coupe du monde 1998 et à la Coupe du monde 2002 avec l'équipe du Cameroun.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alioum_Boukar

( on a en partage les mêmes villes d'origines, Maroua où nous avons tous frequenté le même lycée et frappés ensemble à la "baballe" et Mora d'où sont originaires nos parents , côté maternel de ma part, La bataille de mora fut mémorable par la raclée que subirent les Allemands Nazis du régime de Weimar avant que les Coalisés Anglo-Britanniques ne nous soumettent à leur Domination par la ruse et la traistrise des hypocrites internes qui ont vendus leurs âmes au Diable ; le Converti Abdul Rahmân Gaourang chef des Baguirmis ( Actuel Centre-Sud du Tchad où j'y ai encore de la famille, ma tante Aissatou et mes Cousins et Cousines Tchadiennes... ) associés aux troupes Coloniales de l'Oubangui Châri ( RCA ) et des terres Conquises des côtes maritimes notamment !!!).

Le Lamido ( roi ) de Garoua lui même se nommant ALIM ( savant ) "GARGA" i.e ( ALIYOUM = ALIYOUNE ) Hayâtou ( vivant ) tout comme son Collègue de Maroua ex ministre démissionnaire devenu opposant radical au régime en place !!! GARGA ( Aliyoum ) Hamman-Adji ( Major du Hajj !) .

L'Alliance pour la démocratie et le développement est un parti politique camerounais. Son leader est Garga Haman Hadji.

En 2004, son candidat Garga Haman Adji, a obtenu 3,7% des voix à l'élection présidentielle.
Que ceux qui m'observent se rassurent , je sympathise avec mes frères et concitoyens contribules et partage leurs peines et amertumes; mais je ne suis pas un membre de ce parti politique que je trouve un tantinet tribaliste ... un véritable fléau Africain ( Ifriqya = Pharaon et la division en Clan !!! Q : 28:1-9 )

J'au usé du symbolisme des noms et du Foot associé à la politique pour mieux mettre en exergue l'éclat culturel que ces symboles purs, altérés par Satan et ses Suppôts (Mohammad reza Pahlawi, Hassan II, Hussein de Jordanie , Satan de Takrit, Mohammed VI, Zine el Abidine, Mohammed Hosni Moubârak, Ali Abdullah Saleh, Moammar Mohammad Al ghadafi, le Débile Idriss Deby du Tchad ; Ali ben "Gombo" du Gabon, Al Hassane Dramane ( Abder rahmane ) Ouatara ... ) à travers les arènes greco-romaines ... 50.000 places, 10 matches par journées et des 100ne de millions de téléspectateurs afin que nul n'en ignore, ni Barak Hussein Obummer et pas même NODJIGOTO Enoch du CERDO au Tchad encore moins Elysabeth II aka "Zaynabat" altérée par les Satanistes de Londres et de la chapelle de Rosslyn qui se prétendent être descendants de la lignée Abrahamique des prophètes et messagers, les Jacobins -Jacob Zuma- , les Davidiens, les Salomoniens, les Aaronites, les Jésuites Mérovingiens ( L.A à tous ces faussaires Criminels ) Fusent-ils tous descendre du maudit fils de Noé (as) !!!


"Wa Minhoum mouhtadi, Wa katsîroun minhoum fâsiqoûne" = "certains parmi eux furent bien guidés, mais beaucoup sont des pervers ..."

Ma'a Salaam
 
Salam alikoum, au fait le chiisme tel que connu aujourd'hui ne s'est forgé qu'avec le temps
C'est mon avis, nafs zakiya petit fils de l'Imam Hassan s'était levé contre les autorités en place
Les zaydis et les Ismaileins ont aussi une grande science, de meme que Awliya Allah descendants de Hassan
Comme Abdelkader djilani, comme Ahmed Tidjani comme beaucoup de Awliya Allah Maghrébins
Les 12 imams se dégagent en affrontant beaucoup d'écoles comme les plus grands repères en Islam
Mais pas les seuls, à leurs époque deja et aprés l'imam mahdi fils de Hassan askari ont vécu d'autres
Et en tout temps il y'a des Poles, des Noukaba et des Abdal, c'est tout un monde spirituels hierarchisé
et dans lequel les 12 imams sont des poles apparants, aprés il y'a beaucoup d'autres apparents ou cachés

Pour revenir au sujet, les Idrissides n'était pas chiite dans le sens que nous avons maintenant de ce terme
Mais ont porté la bandrole de l'Islam de Rassoul Allah et de l'Imam Ali, au maghreb existe les Ziyarat
et c'est une pratique chiite, juste pour dire que les descendants de Hassan au maghreb et leurs disciples sont une copie conforme des descendants de Houssein et leurs partisans, les uns sont plus discrets que les autres, comme hassan symbolise le calme et la patience et houssein la révolte et la justice, c'est mon point de vue
Au maghreb il y'a eu aussi les fatimides et c'est des Ismaileins, ça ne veut pas dire égaré, mais des gens qui regardent la vérité d'un angle de vue un peu différent et tout l'islam est ainsi, les dit sunnites ne sont pas égarés, non mais regarde la vérité d'un angle de vue différent, les chiites djafarites ont un angle de vue plus complet et les tidjanis ou ahmadis regardent la vérité d'un autre angle de vue, aussi trés interessant, salam alikoum
 

Sidebar Liste Messages

Discussions
14 240
Messages
91 719
Membres
4 642
Dernier membre
Giovanni de retour
Retour
Haut