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Un des signes de la fin des temps - La disparition de la science
- Auteur de la discussion siratun313
- Date de début
sam
Well-known member
salam salam,
[video=youtube;7nLcr2uAk08]http://www.youtube.com/watch?v=7nLcr2uAk08&feature=related[/video]
Salâm salâm,
Très cher frère Ali-Ali-Hussein,
Je te souhaite une heureuse lecture
Un autre prodige des Saint-Imâms c’est le phénomène appelé dans les traditions occultes et en particulier le chamanisme, « le voyage magique ». Nos textes l’appellent « le pouvoir de déplacement ». Il semble que le prodige était connu en Arabie et de ce qui ressort d’une tradition remontant au sixième Imâm, il aurait été pratiqué au Yémen : un Yéménite se présente chez l’Imâm Ja’fâr Sâdeq (AS) ; l’Imâm lui demande : « Est-ce que vous avez parmi vous des initiés ? ‒ Oui », répond le visiteur ; l’Imâm : « jusqu’où s’étend la Science de vos initiés ? ‒ Le yéménite : « Ils peuvent parcourir en une seule nuit la distance que l’on parcourt en deux mois, il pratique la divination à partir du comportement des oiseaux (ornithomancie) et des signes marqués ur le sol (sorte de géomancie) » : l’Imâm déclare alors : « L’Initié de Médine (l’Imâm, lui-même) est encore plus savants que vos initiés… car en l’espace d’une heure du jour, il parcourt la distance franchie par le soleil en un an… et visite douze soleils et douze lunes, douze Levants et douze Couchants, douze Terre, douze Mers et douze Mondes… ». Les Imâms peuvent en plus « déplacer » de la même manière leurs disciples.
Comme le cas de Sayyed Mûsa Sadr, déplacé du Liban d’un endroit à un autre et cela à plusieurs reprises par l’Imâm
Ici encore, comme nous l’avons vu dans le cas de la cécité, « le voyage magique » comporte deux aspects ; l’Imâm emmène son disciple aussi bien à travers le monde sensible physique vers des endroits précis de la terre que dans des contrées suprasensibles, telle la Fontaine de la Vie où s’était abreuvé le célèbre et mystérieux Khezr, également le Royaume des Cieux (malakût al-samâwât, composé de douze Mondes) ou le Monde spirituel où sont dressées les tentes d’argent, lieux de résidence des Impeccables.
Il y aussi le pouvoir de chevaucher les nuages et de monter dans les Cieux. Les traditions concernant ce sujet attribuent ce pouvoir au premier et dernier Imâm, ‘Alî et au Qâ’im. Les Imâms déclarent d’ailleurs eux-mêmes que, pour ce qui est des pouvoirs surnaturels, ils ne sont pas tous égaux. L’Imâm ‘Alî Rezhâ (AS) a dit :
« Nous [les Imâms] sommes égaux en Science et en courage, et pour ce qui est des dons [surnaturels], cela dépend de ce que nous avons reçu comme ordre »
Selon ces traditions, deux sortes de nuages sont à chevaucher, permettant la montée dans les Cieux : al-dhalûl (le docile), nuage blanc, et al-sa’b (l’indocile), nuage gonflé de pluie, de tonnerre et d’éclair ; le chevauchement du premier était réservé à Zhûl-Qarnayn, l’homme aux deux cornes, et le chevauchement du deuxième à l’Imâm ‘Alî et à l’Imâm du Temps ; c’est ainsi qu’il est rapporté que l’Imâm ‘Alî (AS) put visiter les sept Cieux et les sept Terres, dont cinq sont habités et deux inhabités. Les Imâms possèdent ce que l’on pourrait appeler « l’œil spirituel ». C’est l’ « œil » grâce auquel l’Imâm « voit » simultanément dans toutes les directions et qui reste éveillé même pendant le sommeil. Il s’agirait du même « organe subtil » que l’ Œil de Shiva des hindous, le Troisième Œil des tibétains ou l’ Œil astral des occultistes, mais, alors que ceux-ci le situent d’habitude au niveau du centre subtil intersourcillier, ici, il est localiser au niveau du cœur. Il y a un hadith concernant ce sujet qui présente un intérêt particulier.
Le sixième Imâm raconte alors le fameux épisode de la caverne où s’était réfugiés le Prophète et son compagnon ; à un certain moment, l’Envoyé de Dieu dit :
« Je « vois » le navire de Ja’far ibn Abî Taleb égaré en mer ». Son compagnon lui demande s’il peut lui faire « voir » aussi. Le Prophète lui demande de s’approcher et lui passe les yeux de ses mains ; son compagnon peut alors « voir » le navire balancé par les vagues et encore d’autres paysages »
Des exploits thaumaturgiques sont attribués aux Imâms : le quatrième Imâm, ‘Alî ibn Hosayn (AS), rend, par un signe de la main ( selon une variante : grâce à une prière) la jeunesse à une femme centenaire, la wâlibiyya. Le sixième Imâm, Ja’far Sâdeq (AS), mange une datte et plante son noyau qui immédiatement se met à pousser, devenant un grand dattier en fruits. Il est dit ensuite que l’Imâm cueille une des dattes de l’arbre miraculeusement poussé, la fend en deux et en extrait une fine pellicule blanche sur laquelle sont inscrit deux lignes.
Première ligne :
Point de dieu si ce n’est Le-Dieu, Mohammad est l’Envoyé de Dieu ; notons qu’en arabe, chacune des deux formules sacrées comporte douze lettres
Deuxième lignes :
Auprès de Dieu et dans le Livre de Dieu, le jour de la création des cieux et de la terre, les mois sont au nombre de douze dont quatre sacrés ; Voici la Religion solide : le Prince des croyants ‘Alî ibn Abî Tâlib, al-Hssan ibn ‘Alî, al-Hoseyn ibn ‘Alî (l’énumération des douze Imâms). Enfin, l’Imâm déclare que ces inscriptions furent écrites sur cette péllicule 2000 ans avant la création d’Adam.
D’autre part, défié par un magicien de la cour de Hârûn al-Rashîd qui cherche à l’humilier, le septième Imâm, Mûsa al-Khazem (AS), donne vie au lion peint sur un rideau du palais et l’animal gigantesque avale l’agent insolent devant les yeux du calife et des courtisans. Enfin, il y a encore l’astrologie ; l’efficience de cet « art » divinatoire est bien reconnue par les Imâms ; Mu’allä ibn Khunays demande à l’Imâm Ja’far (AS) si l’astrologie est vraie, à quoi le sixième Imâm répond par l’affirmative. Parlant des calculs astrologiques, le même Imâm déclare :
« … Ce calcul, au fond, est vrai mais ne le connaît que celui qui détient la Science de l’horoscope de toutes les créatures »
L’Imâm dit encore :
« Seules, une Famille parmi les arabes (la Famille du Prophète, les Imâms), et une famille parmi les hindous détiennent la Science de l’astrologie »
'Abd al-Rahmân ibn Siyâba dit à l’Imâm : « Les gens ont déclaré l’astrologie illicite, mais elle m’attire ; porte-t-elle préjudice à ma religion ? Si oui, j’abandonne son étude ; sinon je désire l’apprendre ‒ Ce n’est pas comme ils le prétendent, répond l’Imâm, l’astrologie ne cause aucun tort à ta religion. Cependant vous étudiez quelque chose dont vous ne comprenez pas la majeure partie, et le minimum que vous en saisissez ne vous est d’aucun profit, car vous ne fondez vos calculs que sur la trajectoire de la lune ; sais-tu combien de minutes y a-t-il entre Jupiter et Vénus ? ‒ Non ‒ Combien de minutes entre Vénus et la lune ? Entre le soleil et la Vierge ?... Entre la Vierge et la Table bien Gardée ? ‒ Non, par Dieu, aucun astrologue n’en a parlé ‒ Il y a chaque fois 70 minutes. Abd al-Rahmân, celui qui connaît à fond ces calculs pourra annoncer le nombre exact des roseaux d’un champ de roseau »
Il y a cependant d’autres déclarations où les Imâms semblent vouloir mettre en garde leur disciple contre une application purement goétique de l’astrologie, une astrologie « profanisée », indépendante d’une Science procurée par intervention divine ; « Ô gens (s’agit-il des disciples ou des gens « ordinaires »), gardez-vous de l’apprentissage de l’astrologie, dit 'Alî, sauf dans le cas où elle vous aide à vous diriger sur la terre et en mer. L’astrologie vous pousse vers la divination ; l’astrologue est comme le devin, le devin comme le magicien, le magicien comme l’impie et l’impie est destiné au Feu. Entreprenez vos actions [en vous appuyant] sur le Nom de Dieu ». Par ailleurs, le même Imâm, après avoir rejeté les dires d’un astrologue, finit ainsi sa déclaration :
« Mon Dieu, point de divination si ce n’est Ta divination, point de mauvais augure si ce n’est Ton mauvais augure, point de bon augure si ce n’est Ton bon augure, point de dieu si ce n’est Toi »
La science sacrée des Imâms se présente donc comme une théurgie ; la magie des Imâms est fondée sur un Savoir et un Pouvoir octroyés par Dieu. La goétie, la magie dite « naturelle » est rejetée. Les Imâms, sont les seuls à être gratifiés de ces Dons et ils sont, par là même, les seuls à pouvoir initier leurs fidèles à la Science sacrée s’ouvrant sur le Pouvoir secret.
Bien à vous, fraternellement vote frère sam
Salâm salâm,
Très cher frère Ali-Ali-Hussein,
Je te souhaite une heureuse lecture
Un autre prodige des Saint-Imâms c’est le phénomène appelé dans les traditions occultes et en particulier le chamanisme, « le voyage magique ». Nos textes l’appellent « le pouvoir de déplacement ». Il semble que le prodige était connu en Arabie et de ce qui ressort d’une tradition remontant au sixième Imâm, il aurait été pratiqué au Yémen : un Yéménite se présente chez l’Imâm Ja’fâr Sâdeq (AS) ; l’Imâm lui demande : « Est-ce que vous avez parmi vous des initiés ? ‒ Oui », répond le visiteur ; l’Imâm : « jusqu’où s’étend la Science de vos initiés ? ‒ Le yéménite : « Ils peuvent parcourir en une seule nuit la distance que l’on parcourt en deux mois, il pratique la divination à partir du comportement des oiseaux (ornithomancie) et des signes marqués ur le sol (sorte de géomancie) » : l’Imâm déclare alors : « L’Initié de Médine (l’Imâm, lui-même) est encore plus savants que vos initiés… car en l’espace d’une heure du jour, il parcourt la distance franchie par le soleil en un an… et visite douze soleils et douze lunes, douze Levants et douze Couchants, douze Terre, douze Mers et douze Mondes… ». Les Imâms peuvent en plus « déplacer » de la même manière leurs disciples.
Comme le cas de Sayyed Mûsa Sadr, déplacé du Liban d’un endroit à un autre et cela à plusieurs reprises par l’Imâm
Ici encore, comme nous l’avons vu dans le cas de la cécité, « le voyage magique » comporte deux aspects ; l’Imâm emmène son disciple aussi bien à travers le monde sensible physique vers des endroits précis de la terre que dans des contrées suprasensibles, telle la Fontaine de la Vie où s’était abreuvé le célèbre et mystérieux Khezr, également le Royaume des Cieux (malakût al-samâwât, composé de douze Mondes) ou le Monde spirituel où sont dressées les tentes d’argent, lieux de résidence des Impeccables.
Il y aussi le pouvoir de chevaucher les nuages et de monter dans les Cieux. Les traditions concernant ce sujet attribuent ce pouvoir au premier et dernier Imâm, ‘Alî et au Qâ’im. Les Imâms déclarent d’ailleurs eux-mêmes que, pour ce qui est des pouvoirs surnaturels, ils ne sont pas tous égaux. L’Imâm ‘Alî Rezhâ (AS) a dit :
« Nous [les Imâms] sommes égaux en Science et en courage, et pour ce qui est des dons [surnaturels], cela dépend de ce que nous avons reçu comme ordre »
Selon ces traditions, deux sortes de nuages sont à chevaucher, permettant la montée dans les Cieux : al-dhalûl (le docile), nuage blanc, et al-sa’b (l’indocile), nuage gonflé de pluie, de tonnerre et d’éclair ; le chevauchement du premier était réservé à Zhûl-Qarnayn, l’homme aux deux cornes, et le chevauchement du deuxième à l’Imâm ‘Alî et à l’Imâm du Temps ; c’est ainsi qu’il est rapporté que l’Imâm ‘Alî (AS) put visiter les sept Cieux et les sept Terres, dont cinq sont habités et deux inhabités. Les Imâms possèdent ce que l’on pourrait appeler « l’œil spirituel ». C’est l’ « œil » grâce auquel l’Imâm « voit » simultanément dans toutes les directions et qui reste éveillé même pendant le sommeil. Il s’agirait du même « organe subtil » que l’ Œil de Shiva des hindous, le Troisième Œil des tibétains ou l’ Œil astral des occultistes, mais, alors que ceux-ci le situent d’habitude au niveau du centre subtil intersourcillier, ici, il est localiser au niveau du cœur. Il y a un hadith concernant ce sujet qui présente un intérêt particulier.
Le sixième Imâm raconte alors le fameux épisode de la caverne où s’était réfugiés le Prophète et son compagnon ; à un certain moment, l’Envoyé de Dieu dit :
« Je « vois » le navire de Ja’far ibn Abî Taleb égaré en mer ». Son compagnon lui demande s’il peut lui faire « voir » aussi. Le Prophète lui demande de s’approcher et lui passe les yeux de ses mains ; son compagnon peut alors « voir » le navire balancé par les vagues et encore d’autres paysages »
Des exploits thaumaturgiques sont attribués aux Imâms : le quatrième Imâm, ‘Alî ibn Hosayn (AS), rend, par un signe de la main ( selon une variante : grâce à une prière) la jeunesse à une femme centenaire, la wâlibiyya. Le sixième Imâm, Ja’far Sâdeq (AS), mange une datte et plante son noyau qui immédiatement se met à pousser, devenant un grand dattier en fruits. Il est dit ensuite que l’Imâm cueille une des dattes de l’arbre miraculeusement poussé, la fend en deux et en extrait une fine pellicule blanche sur laquelle sont inscrit deux lignes.
Première ligne :
Point de dieu si ce n’est Le-Dieu, Mohammad est l’Envoyé de Dieu ; notons qu’en arabe, chacune des deux formules sacrées comporte douze lettres
Deuxième lignes :
Auprès de Dieu et dans le Livre de Dieu, le jour de la création des cieux et de la terre, les mois sont au nombre de douze dont quatre sacrés ; Voici la Religion solide : le Prince des croyants ‘Alî ibn Abî Tâlib, al-Hssan ibn ‘Alî, al-Hoseyn ibn ‘Alî (l’énumération des douze Imâms). Enfin, l’Imâm déclare que ces inscriptions furent écrites sur cette péllicule 2000 ans avant la création d’Adam.
D’autre part, défié par un magicien de la cour de Hârûn al-Rashîd qui cherche à l’humilier, le septième Imâm, Mûsa al-Khazem (AS), donne vie au lion peint sur un rideau du palais et l’animal gigantesque avale l’agent insolent devant les yeux du calife et des courtisans. Enfin, il y a encore l’astrologie ; l’efficience de cet « art » divinatoire est bien reconnue par les Imâms ; Mu’allä ibn Khunays demande à l’Imâm Ja’far (AS) si l’astrologie est vraie, à quoi le sixième Imâm répond par l’affirmative. Parlant des calculs astrologiques, le même Imâm déclare :
« … Ce calcul, au fond, est vrai mais ne le connaît que celui qui détient la Science de l’horoscope de toutes les créatures »
L’Imâm dit encore :
« Seules, une Famille parmi les arabes (la Famille du Prophète, les Imâms), et une famille parmi les hindous détiennent la Science de l’astrologie »
'Abd al-Rahmân ibn Siyâba dit à l’Imâm : « Les gens ont déclaré l’astrologie illicite, mais elle m’attire ; porte-t-elle préjudice à ma religion ? Si oui, j’abandonne son étude ; sinon je désire l’apprendre ‒ Ce n’est pas comme ils le prétendent, répond l’Imâm, l’astrologie ne cause aucun tort à ta religion. Cependant vous étudiez quelque chose dont vous ne comprenez pas la majeure partie, et le minimum que vous en saisissez ne vous est d’aucun profit, car vous ne fondez vos calculs que sur la trajectoire de la lune ; sais-tu combien de minutes y a-t-il entre Jupiter et Vénus ? ‒ Non ‒ Combien de minutes entre Vénus et la lune ? Entre le soleil et la Vierge ?... Entre la Vierge et la Table bien Gardée ? ‒ Non, par Dieu, aucun astrologue n’en a parlé ‒ Il y a chaque fois 70 minutes. Abd al-Rahmân, celui qui connaît à fond ces calculs pourra annoncer le nombre exact des roseaux d’un champ de roseau »
Il y a cependant d’autres déclarations où les Imâms semblent vouloir mettre en garde leur disciple contre une application purement goétique de l’astrologie, une astrologie « profanisée », indépendante d’une Science procurée par intervention divine ; « Ô gens (s’agit-il des disciples ou des gens « ordinaires »), gardez-vous de l’apprentissage de l’astrologie, dit 'Alî, sauf dans le cas où elle vous aide à vous diriger sur la terre et en mer. L’astrologie vous pousse vers la divination ; l’astrologue est comme le devin, le devin comme le magicien, le magicien comme l’impie et l’impie est destiné au Feu. Entreprenez vos actions [en vous appuyant] sur le Nom de Dieu ». Par ailleurs, le même Imâm, après avoir rejeté les dires d’un astrologue, finit ainsi sa déclaration :
« Mon Dieu, point de divination si ce n’est Ta divination, point de mauvais augure si ce n’est Ton mauvais augure, point de bon augure si ce n’est Ton bon augure, point de dieu si ce n’est Toi »
La science sacrée des Imâms se présente donc comme une théurgie ; la magie des Imâms est fondée sur un Savoir et un Pouvoir octroyés par Dieu. La goétie, la magie dite « naturelle » est rejetée. Les Imâms, sont les seuls à être gratifiés de ces Dons et ils sont, par là même, les seuls à pouvoir initier leurs fidèles à la Science sacrée s’ouvrant sur le Pouvoir secret.
Bien à vous, fraternellement vote frère sam
Al-ALi-Hussein
<font color="#9932CC">Membre d'honneur</font>
Salam,
Vous m'avez fait rever mon cher frère, qu'Allah vous récompense amine .
Vous m'avez fait rever mon cher frère, qu'Allah vous récompense amine .
sam
Well-known member
salam salam,
Salâm salâm,
Parmi les signes de la Parousie du Mahdî (AS) il y en a un qui est déjà à l'ordre du jour.
Cinquième signes :
« L’engloutissement de l’armée » ; une armée composée des adversaires du Mahdî sera engloutie par la terre (selon certaine tradition, l’armée sera engloutie dans la plaine s’étendant entre la Mecque et Médine)
Engloutie par la Terre ?
Je pense au Sinkhole (terre engloutie) et vous ?
[video=youtube;ZCj6DcXzh7Q]http://www.youtube.com/watch?v=ZCj6DcXzh7Q[/video]
Parmi les signes de la Parousie du Mahdî (AS) il y en a un qui est déjà à l'ordre du jour.
Cinquième signes :
« L’engloutissement de l’armée » ; une armée composée des adversaires du Mahdî sera engloutie par la terre (selon certaine tradition, l’armée sera engloutie dans la plaine s’étendant entre la Mecque et Médine)
Engloutie par la Terre ?
Je pense au Sinkhole (terre engloutie) et vous ?
[video=youtube;ZCj6DcXzh7Q]http://www.youtube.com/watch?v=ZCj6DcXzh7Q[/video]
sam
Well-known member
salam salam,
Salâm salâm,
Très cher frère mhamad,
Suite à ta question :
Que voulez vous dire par cela ?
Je tiens tout de même à te préciser que ce n’est pas ce que je « veux » dire qui est important. Tout d’abord, pour mieux apprécier mes propos, je te propose de prendre connaissance ci-dessous d’un bref éclaircissement. Ensuite, tu pourras juger par tes propres facultés ou ta foi en Dieu de l'impact du témoignage qui va suivre. Et c’est seulement ce qui va suivre qui pour moi est important.
Bien. A l’époque ou j’étais au Liban pour suivre dans une Hawzâ de Beyrouth des études islamiques (Du 1 mars 1995 jusqu’au 11 février 1996), j’ai eu pendant cette période le privilège de rencontrer et de discuter avec mes frères et mes sœurs libanais. Durant mon séjour, mes frères libanais m’invitaient souvent à visiter le beau pays du Cèdre ainsi que ses bienveillants habitants. C’est d'ailleurs par ces derniers que j’ai entendu beaucoup d’histoires or celle de Sayyed Mûssa Sadr était à cette époque vraiment très répandu. D’ailleurs elles sont si nombreuses que l'une d'entres elles qui m’a été raconté, attira particulièrement toute mon attention. C’était le témoignage du chauffeur même de Sayyed Mûsa Sadr qui était rentré un soir comme dans son habitude chez la famille du Sayyed mais cependant et pour la première fois, il était rentré seul. Ce qui avec une grande surprise étonna la famille qui lui demanda alors :
Par Allâh ! Mais où est donc Sayyed Mûsa Sadr ?
Le chauffeur était totalement perdu il ne savait même pas ce qu’il devait leur répondre. Il finit tout de même par annoncer une étrange nouvelle avec une incompréhension totale et un chagrin compréhensif :
Il a disparut de ma voiture pendant que je roulais sur la route
Je vous laisse donc imaginer l'émotion, l'incompréhension et l'interrogation de la famille sur la véracité des propos du chauffeur :
Comment Sayyed Mûsa Sadr peut-il disparaître assis dans une voiture pendant que celle-ci roule ?
C'est tout simplement irrationnel !
Or, il s’avère que le chauffeur de Sayyed Mûsa Sadr est connu dans le cercle religieux de la famille libanaise comme un homme pieux, sincère et qui ne ment jamais, aux yeux de beaucoup il est reconnu comme un homme digne de confiance. Le chauffeur dans tous ces états ne savait plus quoi dire à la famille, il était totalement effondré mais après trois jours et trois nuit Sayyed Mûsa Sadr refait son apparition au sein des membres de sa famille qui tous étonné et heureux à la fois de le revoir lui demanda :
Mais où étais-tu et que s’est-il donc passé ?
Il leur répondit :
Cher famille, je n’y suis pour rien, cela ne viens pas de ma volonté
Conclusion :
Comme le cas de Sayyed Mûsa Sadr, déplacé du Liban d’un endroit à un autre et cela à plusieurs reprises par l’Imâm
Enfin que mes frères libanais et mes sœurs libanaises qui connaissent parfaitement cette histoire ainsi que bien d’autres sur Sayyed Mûsa Sadr veuilles bien m’excuser si je ne l’ai pas raconté avec les mots les plus justes mais c’est ainsi que les habitants du Liban me l’ont rapporté pendant une très belle nuit.
cher membre mhamad une dernière chose, sache, que tes éclaircissements ne me dérangent en aucune manière.
Bien à toi, fraternellement ton frère sam
Salâm salâm,
Très cher frère mhamad,
Suite à ta question :
Que voulez vous dire par cela ?
Je tiens tout de même à te préciser que ce n’est pas ce que je « veux » dire qui est important. Tout d’abord, pour mieux apprécier mes propos, je te propose de prendre connaissance ci-dessous d’un bref éclaircissement. Ensuite, tu pourras juger par tes propres facultés ou ta foi en Dieu de l'impact du témoignage qui va suivre. Et c’est seulement ce qui va suivre qui pour moi est important.
Bien. A l’époque ou j’étais au Liban pour suivre dans une Hawzâ de Beyrouth des études islamiques (Du 1 mars 1995 jusqu’au 11 février 1996), j’ai eu pendant cette période le privilège de rencontrer et de discuter avec mes frères et mes sœurs libanais. Durant mon séjour, mes frères libanais m’invitaient souvent à visiter le beau pays du Cèdre ainsi que ses bienveillants habitants. C’est d'ailleurs par ces derniers que j’ai entendu beaucoup d’histoires or celle de Sayyed Mûssa Sadr était à cette époque vraiment très répandu. D’ailleurs elles sont si nombreuses que l'une d'entres elles qui m’a été raconté, attira particulièrement toute mon attention. C’était le témoignage du chauffeur même de Sayyed Mûsa Sadr qui était rentré un soir comme dans son habitude chez la famille du Sayyed mais cependant et pour la première fois, il était rentré seul. Ce qui avec une grande surprise étonna la famille qui lui demanda alors :
Par Allâh ! Mais où est donc Sayyed Mûsa Sadr ?
Le chauffeur était totalement perdu il ne savait même pas ce qu’il devait leur répondre. Il finit tout de même par annoncer une étrange nouvelle avec une incompréhension totale et un chagrin compréhensif :
Il a disparut de ma voiture pendant que je roulais sur la route
Je vous laisse donc imaginer l'émotion, l'incompréhension et l'interrogation de la famille sur la véracité des propos du chauffeur :
Comment Sayyed Mûsa Sadr peut-il disparaître assis dans une voiture pendant que celle-ci roule ?
C'est tout simplement irrationnel !
Or, il s’avère que le chauffeur de Sayyed Mûsa Sadr est connu dans le cercle religieux de la famille libanaise comme un homme pieux, sincère et qui ne ment jamais, aux yeux de beaucoup il est reconnu comme un homme digne de confiance. Le chauffeur dans tous ces états ne savait plus quoi dire à la famille, il était totalement effondré mais après trois jours et trois nuit Sayyed Mûsa Sadr refait son apparition au sein des membres de sa famille qui tous étonné et heureux à la fois de le revoir lui demanda :
Mais où étais-tu et que s’est-il donc passé ?
Il leur répondit :
Cher famille, je n’y suis pour rien, cela ne viens pas de ma volonté
Conclusion :
Comme le cas de Sayyed Mûsa Sadr, déplacé du Liban d’un endroit à un autre et cela à plusieurs reprises par l’Imâm
Enfin que mes frères libanais et mes sœurs libanaises qui connaissent parfaitement cette histoire ainsi que bien d’autres sur Sayyed Mûsa Sadr veuilles bien m’excuser si je ne l’ai pas raconté avec les mots les plus justes mais c’est ainsi que les habitants du Liban me l’ont rapporté pendant une très belle nuit.
cher membre mhamad une dernière chose, sache, que tes éclaircissements ne me dérangent en aucune manière.
Bien à toi, fraternellement ton frère sam
Salam
Merci mon tres chere frere Sam
C'est la premiere fois que j'entend parler de cette histoire étant moi même libanais et s'a m'épate vraiment .
Mais est-ce que Al Sayed Musa Al Sadr peut aujourd'hui être comme cela . Je m'explique est-ce que sa disparition aujourd'hui , en Libye comme tout le monde dit , peut n'etre qu'une disparition avec l'Imam du temps Al-Mahdi ( ajalla Allah ta3ala farajah ) ?
Merci mon tres chere frere Sam
C'est la premiere fois que j'entend parler de cette histoire étant moi même libanais et s'a m'épate vraiment .
Mais est-ce que Al Sayed Musa Al Sadr peut aujourd'hui être comme cela . Je m'explique est-ce que sa disparition aujourd'hui , en Libye comme tout le monde dit , peut n'etre qu'une disparition avec l'Imam du temps Al-Mahdi ( ajalla Allah ta3ala farajah ) ?
sam
Well-known member
salam salam,
Salâm salâm,
Très cher frère mhamad,
Oui, bien sûr, nous pouvons envisagés cette possibilité. Comme nous pouvons également envisagés la possibilité qu’il ait été réellement arrêté et puis ensuite mis en prison, alors, ça ne changerait rien absolument rien parce que même emprisonné le voilà aussitôt libérer. Alors les autorités libyennes dépassées par les événements et ne comprenant plus rien de ce qui se passent font des déclarations aux allures toujours plus démentielles et vide de toute crédibilité. Personnellement, et c’est là ma conviction, Sayyed Mûsa Sadr est l’un des 313 partisans de l’Imâm (AS) et à mon sens, le Maître du Temps l’initie à des sciences que le monde ne connaît pas encore. Insha'Allâh à son retour, l’imâm Mûsa Sadr enseignera ces nouvelles sciences aux croyants et aux croyantes. Mais bon, je précise... c’est une conviction pas une vérité !
Dieu, est Celui qui Sait !
Bien à toi, amicalement ton frère sam
Très cher frère mhamad,
Oui, bien sûr, nous pouvons envisagés cette possibilité. Comme nous pouvons également envisagés la possibilité qu’il ait été réellement arrêté et puis ensuite mis en prison, alors, ça ne changerait rien absolument rien parce que même emprisonné le voilà aussitôt libérer. Alors les autorités libyennes dépassées par les événements et ne comprenant plus rien de ce qui se passent font des déclarations aux allures toujours plus démentielles et vide de toute crédibilité. Personnellement, et c’est là ma conviction, Sayyed Mûsa Sadr est l’un des 313 partisans de l’Imâm (AS) et à mon sens, le Maître du Temps l’initie à des sciences que le monde ne connaît pas encore. Insha'Allâh à son retour, l’imâm Mûsa Sadr enseignera ces nouvelles sciences aux croyants et aux croyantes. Mais bon, je précise... c’est une conviction pas une vérité !
Dieu, est Celui qui Sait !
Bien à toi, amicalement ton frère sam
mohalamine
Membre d'honneur
786-92-110
Salaam
Dieu est grand ! le monde est petit, infiniment si petit qu'il n'existe même presque pas ... nous parlons ici de Sayyed Mussa Al Sadr (H.A) ; or moi tout petit, j'ai vecu dans un village africain avec un homme bien particulier ... du nom de ...Mâlam (Mo'allim ) Zâdéré ( s'il faut prononcer "Sadr" dans notre patois, on n'ira pas par 4 chemins; ça donne "Sâdéré" ou "Sâdir", "Sâdér" ou "Sâdar" ...
Malam Zaderé se nourissait avec les Sadaqâts offertes par les vilageois, ainsi chaque soir après la prière du maghrib, il sortait avec un récipient et faisait le tour de la ville ( on mange en communauté et à l'extérieur ...), Il ne faisait que passer, s'il trouve des mangeurs et qu'on ne l'interpelle pas, il ne s'arrête pas comme le font les mendiants ; il passe son chemin sans jamais importuner quique ce soit dans son domicile ( entemps de pluie par exemple )... si on l'interpelle, alors, il se rapproche et dépose sa calebasse , si elle est "chargée" il retournait directement chez lui et on ne le revoiyait plus de la soirée !!!
Malam Zadéré est aussi connu pour être un "Waliy" de Dieu ( "Walô-djo") , qui fait toujours ses prières de vendredi ( salat al joumou'a) à ...la Mecque disait-on ( "en pliant la route" tout comme il la plie pour aller dans les marchés périodiques situés à +/- 30 km de notre village, en ce sens qu'il quittait toujours le village à pied tôt le matin, mais les voyageurs en véhicules l'ont toujours trouvé à destination, et ils ont conclu donc qu'il "Pliait" la route en marchant !!!; Ce fait de "Plier la route" ( il y a un terme technique qui y est afférant ) est une "karâmat" ( miracle temporel ) confirmé par l'Ayatollah Bahjât (rah) et ses disciples dans l'ouvrage portant sur la biographie de ce dernier : "Ouswat-oul Arifine" ) ).
L'une des caractéristiques exceptionnelles de ce "Malam Zadéré" est ausi qu'il vit tout seul et presque isolé du monde extérieur qui l'entoure dans une sorte de hutte ( petite case faite de terre battue ne dépassant guère un mètre de hauteur - il faut donc se courber pour y entrer-, et où personne n'y est jamais entré en dehors du propriétaire des lieux); est le fait qu'il ne parle plus, ou presque jamais, en dehors de dire oui ou non avec une sorte de "gémissement" , pour le reste, il ne communique plus qu'avec des signes de la main ou de la tête... ( par exemple le signe du nombre 2 avec les doigts, soit le "V" de la Victoire qui signifie que ses aiguilles qu'il vend sur un bâtonnet , coûtent " 2 francs " l'unité !!! Et vous savez quoi ?! Il achète et vend au même prix que celui des détaillants !!! sans aucun bénéfice, excepté celui du surplus de pièces dans un lot , si jamais surplus il y a... ( d'où le fait de le traiter de débile, vu les distances qu'il parcourt de marché en marché ...en tout cas, les acheteurs besogneux eux n'avaient d'yeux que pour les produits de Malam Zadéré ).
Bon, pour les Matérialistes-Rationalistes adeptes de la "logique cartésienne" des 5 sens , Malam Zadéré est une sorte de débile mental; une sorte de fou calme auquel des superstitieux accordent des pouvoirs mystiques... et en grandissant, j'ai été du même avis que ces matérialistes là, mais aujourd'hui avec le recul, je suis au regret de reconsidérer cette perception erronée sur la personne ... en regrettant énormément le fait de ne plus pouvoir le revoir afin de ne serait-ce que l'observer avec une attention toute particulière ... Il a sans doute rejoint son Seigneur vu son âge avancé à cette époque..., mais à ceci, je n'en ai aucune preuve formelle ou factuelle encore, l'ayant quitté depuis 2000 la dernière fois que je suis passé par ce village et étant sans nouvelles de son devenir depuis lors ( je vais devoir me renseigner sur son fait incha Allah !!! ).
Tout ceci pour dire que Sayyed Sadr (H.A) peut très bien avoir "voyagé" et qu'il pourrait revenir bientôt parmi les "siens" ... "s'il y en a pour un, il y en aura pour deux" ... les principes Divins ne changeant jamais ...
Ma'a Salaam
Sayyed Musa sadr
SALAM
BismillahIrahmanIrahim
Moi je pense que Sayed Musa Sadr a été assassiner tous comme l'on à assassiner Sayed Abass Moussawi par les services secret israéliens .
Pas besoin de disparaitre et refaire une réapparition soudaine pour faire partie des 313 compagnons de l'Imam Al-Mahdi(s) .
Faut demander aux savant de se qu'ils en pense de cette histoires assez troublante et je crois qu'ils sont les mieux placé pour donner leur avis la dessus.
Mai en peut envisagée toutes les possibilités possible de sa disparition mystérieuse
Je connais beaucoup de gents qui en disparut dans la nature sont quand trouve jamais leur trace.
Est Seul Dieu connait la vérité Exacte!
BismillahIrahmanIrahim
Moi je pense que Sayed Musa Sadr a été assassiner tous comme l'on à assassiner Sayed Abass Moussawi par les services secret israéliens .
Pas besoin de disparaitre et refaire une réapparition soudaine pour faire partie des 313 compagnons de l'Imam Al-Mahdi(s) .
Faut demander aux savant de se qu'ils en pense de cette histoires assez troublante et je crois qu'ils sont les mieux placé pour donner leur avis la dessus.
Mai en peut envisagée toutes les possibilités possible de sa disparition mystérieuse
Je connais beaucoup de gents qui en disparut dans la nature sont quand trouve jamais leur trace.
Est Seul Dieu connait la vérité Exacte!
