Waleykom salam wa rahmatulah,
Ali_zèn a dit:
Salam mes freres
Franchment mes frères vous pouvez reprendres parcque la c'est difficile de suivre lol.
Lors de l'adhan (appel à la prière)
et de l'iqamah (établissement de la prière), dire "ach'adou anna Ali yan wali youllah" est très recommandé après "ach'adou anna Mohammadan rassoulullah". Ceci n'est pas une obligation mais c'est un rapprochement envers Allah:swt: .
Cette recommandation vaut pour l'adhan et l'iqamah mais concernant le tachahoud récité
pendant la prière, nous n'avons pas de directives en ce sens.
Dans les enseignement du prophète concernat la prière il na pas lui meme dis cette phrase non ?
Vous avez raison. Ceci a été instauré après sa mort et n'a jamais été considéré comme sounna ou autre. Simplement c'est un positionnement par rapport à Mou'awiya qui après l'adhan maudissait l'Imam Ali:as: et l'imposait aussi à ceux qui présidaient la prière.
Considérez-le comme une réaction à cette pratique blasphématoire instaurée par Mou'awiya et comme une reconnaissance de la place de Ali:as: .
Dans l'azan d'origine au temps du Prophète non plus ce n'atais pas non ?
C'est vrai mais cela ne veut pas dire que c'est interdit puisque comme l'a souligné le frère Noor al Islam :
Noor al islam a dit:
Les Jurisconsultes se basent sur la parole du Prophète qui dit : "Lorsque vous me citez, citez 'Ali avec moi", pour conclure que cette attestation est recommandée.
Alors la question que je pose c'est dire mtn cette phrase ( meme si elle concerne notre bien aimé Imam Ali ) est ce que ca ne serait pas faire des transformation ? ou innovation ?
Toute innovation n'est pas mauvaise akhi. Des logiciels permettent d'entendre l'adhan à l'heure de la prière, c'est une innovation ou transformation de la façon de prévenir qu'il est l'heure mais est-ce condamnable ?
J'espère que vous enleverez vite mes doutes, sincerèment je le confesse, jai abandonné la prière car a chaque fois on me disé ' il faut dire tels phrases " apres rajouter une nvlles phrases, et ensuite javais l'impression de faire tellement d'erreurs dans mes prières que celle ci ne serait jamais accepté par Dieu.
Je suis navré et je vous confesse ma peine que vous ayez délaissé ce 1er pilier de notre religion. Je vous rappelle que la prière cononique nous différencie des mécréants, sans elle, nous sommes leur semblable ou presque. N'y voyez pas un jugement de ma part mais je voudrais vous faire ce rappel :
L'Imam Ali:as: (et je sais votre amour pour lui) a dit "si les Croyants savaient la place qu'ils ont auprès de Dieu:swt: lorsqu'il sont en position de soujoud, ils ne relèveraient jamais la tête." (je cite de mémoire).
je vous invite à renouer avec votre Créateur par le biais de la salat. Il est possible que votre prière ne soit pas acceptée mais si vous vous en abstenez, ce n'est plus une possibilité mais une certitude que toutes vos actions ne le seront pas. Je vous invite à y réléchir.
Je reprends ici des hadiths concernant la prière que l'on trouve sur le site de Al Bouraq où vous pourrez voir comment prier ; ne vous laissez pas influencer par les différentes versions car tout le monde ne dit pas les mêmes choses dans la salat mais en suivant ces indications, votre prière est valable.
Un hadiçe de notre Saint Prophète Mohammad (saw) dit que le namàze (s:alàt) est le pilier de tous les 'ibàdates (acte d'adoration). Si le namàze n'est pas accepté par Allàh (swt), alors aucun autre 'ibàdate ne sera accepté.
Notre 6è Imàm Hazrat Djàffar Sàdiq (as) a dit : "Celui qui considère le namàze comme sans importance, ne peut espérer notre shafà'at (intercession) le Jour de Jugement (Qyàmat).
Un autre hadiçe de notre Imàm ordonne que dès l'âge de cinq ans, quand un enfant distingue la main droite de la main gauche, nous devons leur apprendre à se mettre en face de qiblà (direction de Makkàh) et faire le Sidjdà (prosternation). A l'âge de 6 ans on doit apprendre le namàze à l'enfant et à 7 ans, à faire correctement le wouz
u. A leur neuvième année, les enfants doivent accomplir correctement le wouz
u et le namàze; et les parents ont l'ordre d'être intransigeant sur ce point.
(Makârem al akhlàq)
Deux versets du Saint Qour'àne sur le namàze :
(6:163) : "Dis : ma prière, mes actes, ma vie et ma mort sont pour Allàh, Seigneur des mondes"
(29:45) : ".....Oui le namàze (office) empêche de la turpitude et du blâmable."
Que Dieu nous aide dans nos actes d'adoration.
Salam wa rahmatulah wa barakatuh.