A-A-Majlisse
New member
Salamun Alaikum Jami'an !
J'ai vraisemblablement mal compris l'état d'âme de ceux qui suivent le soufisme ou ceux qui y sont attirés, de même divers pensées (complémentaires ou supplémentaires à la pensée islamique) autres que cela.
Mes arguments sont les suivants :
1-En tant que Chi'ite Jafar'ite (Prédominance en Iran), j'atteste avec ferveur que tout ce que le Prophète Muhammad (as) et ses 12 succeseurs (as) nous ont appris par le biais du Saint Coran et de leurs saintes paroles (hadiths), sont véridiques, et que l'ensemble constitue un champs de repères pour la vie ci-bas. Il n'y a aucun doute dans cela ! (Ce n'est même pas un argument)
2-Il faut savoir que les caractères de ces derniers étaient si purs qu'ils étaient d'autant plus proche de Dieu que tout autre être vivant. Alors si le Soufi se rétracte des responsabilités familiales et renoncent à ce monde pour rechercher la promiximité de Dieu, n'est-il pas dans une sorte d'aveuglement mental et psychologique, car la seule façon de se rapprocher de Dieu est de suivre les conseils de ses conseillers (les Quatorze Immaculés) qui j'ai cité sont les plus proches du Créateur.
3-Nos Imams (as), n'avaient-ils pas une famille ? Ne travaillaient-ils pas ? Si, et malgré cela, ils sont devenus de véritables exemples ou symboles de piété.
Il est donc contradictoire de dire que le Soufisme (et autres) constitue cette voie qui mène vers la connaissance et le rapprochement de Dieu.
4-J'ai souvent lus dans des livres que le soufi arrivé à un stade extrême dans sa quête, voyait des lumières étincellantes qui délivraient son corps et son âme de tout poids terrestres et qu'il y semblait ne plus exister, tout lui était superficiel (ou virtuel). Je considère cela non pas comme une forme d'hérésie, mais la question que je me demande est que comment un homme fuyant ses responsabilités (contraire à l'Islam), se donnant une philosophie de vie qui repose sur l'unique recherche de cette lumière divine qui est pour lui ce signe de satisfaction, et qui vivant comme un acsète (contraire à l'Islam), pourrait-il soit-disant rencontrer Dieu (ou sa Lumière) ? Des fondements de base qui sont totalement rejetés par nos Imams (as) !
En conclusion, je ne souhaite souligner que quelques lignes :
1-Le soufisme est-il en analogie avec la doctrine Chi'ite Jafar'ite ?
2-Si, non, alors il en est rien de la valeur personnelle de tous ces soufis qui ont marqué l'Histoire ? On peut considérer les Soufis comme les égarés de Dieu.
3-Le soufisme n'est qu'invention de l'Homme perdu, celui qui n'est plus guidé par les vrais Guides (as) mais qui se fie à ses instincts et considère toute chose décalée par rapport à son espace et son temps. Toute pensée qui lui vient se crée illusoirement dans son propre concon mental et projette cette image irréelle, celle qu'il désire voire, celle qu'il attend, celle qu'il espère, dans la réalité.
(Le débat est ouvert...)
J'ai vraisemblablement mal compris l'état d'âme de ceux qui suivent le soufisme ou ceux qui y sont attirés, de même divers pensées (complémentaires ou supplémentaires à la pensée islamique) autres que cela.
Mes arguments sont les suivants :
1-En tant que Chi'ite Jafar'ite (Prédominance en Iran), j'atteste avec ferveur que tout ce que le Prophète Muhammad (as) et ses 12 succeseurs (as) nous ont appris par le biais du Saint Coran et de leurs saintes paroles (hadiths), sont véridiques, et que l'ensemble constitue un champs de repères pour la vie ci-bas. Il n'y a aucun doute dans cela ! (Ce n'est même pas un argument)
2-Il faut savoir que les caractères de ces derniers étaient si purs qu'ils étaient d'autant plus proche de Dieu que tout autre être vivant. Alors si le Soufi se rétracte des responsabilités familiales et renoncent à ce monde pour rechercher la promiximité de Dieu, n'est-il pas dans une sorte d'aveuglement mental et psychologique, car la seule façon de se rapprocher de Dieu est de suivre les conseils de ses conseillers (les Quatorze Immaculés) qui j'ai cité sont les plus proches du Créateur.
3-Nos Imams (as), n'avaient-ils pas une famille ? Ne travaillaient-ils pas ? Si, et malgré cela, ils sont devenus de véritables exemples ou symboles de piété.
Il est donc contradictoire de dire que le Soufisme (et autres) constitue cette voie qui mène vers la connaissance et le rapprochement de Dieu.
4-J'ai souvent lus dans des livres que le soufi arrivé à un stade extrême dans sa quête, voyait des lumières étincellantes qui délivraient son corps et son âme de tout poids terrestres et qu'il y semblait ne plus exister, tout lui était superficiel (ou virtuel). Je considère cela non pas comme une forme d'hérésie, mais la question que je me demande est que comment un homme fuyant ses responsabilités (contraire à l'Islam), se donnant une philosophie de vie qui repose sur l'unique recherche de cette lumière divine qui est pour lui ce signe de satisfaction, et qui vivant comme un acsète (contraire à l'Islam), pourrait-il soit-disant rencontrer Dieu (ou sa Lumière) ? Des fondements de base qui sont totalement rejetés par nos Imams (as) !
En conclusion, je ne souhaite souligner que quelques lignes :
1-Le soufisme est-il en analogie avec la doctrine Chi'ite Jafar'ite ?
2-Si, non, alors il en est rien de la valeur personnelle de tous ces soufis qui ont marqué l'Histoire ? On peut considérer les Soufis comme les égarés de Dieu.
3-Le soufisme n'est qu'invention de l'Homme perdu, celui qui n'est plus guidé par les vrais Guides (as) mais qui se fie à ses instincts et considère toute chose décalée par rapport à son espace et son temps. Toute pensée qui lui vient se crée illusoirement dans son propre concon mental et projette cette image irréelle, celle qu'il désire voire, celle qu'il attend, celle qu'il espère, dans la réalité.
(Le débat est ouvert...)