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RENCONTRE AVEC L IMAM-AL-MAHDI(aj).

Imam

New member
Sâlâm,

Nous avons été en présence de l'Ayatollah al-Udhma Bahjat, qu'Allah le protège.
Je lui ai demandé avez-vous des bonnes nouvelles au sujet de la PAROUSIE de l'imam,de la proximité de sa PAROUSIE
. Il a répondu: Oui.
Je lui ai demandé, s'il vous plaît laissez-nous en savoir plus.

L'Ayatollah al-Udhma Bahjat dit: J'ai un ami qui a l'honneur de rendre visite à Son Excellence, Hazrat Baqiatullah. Il était venu à notre maison. Je lui ai demandé avez-vous eu l'honneur de rendre visite à l'imam Zaman récemment?
Il a répondu: oui. Je lui ai demandé avez-vous demander a son Excellence a propos de sa PAROUSIE?

Il a répondu: je l'ai fait. J'ai dit ce qu elle etait la reponse de Son Excellence ?
Il a dit: j'ai demandé à Son Excellence: Fils de Rasulullah, quand votre PAROUSIE pour le grand public aura lieu?
Son Excellence a répondu: Il est proche. J'ai dit: Fils de Rasulullah, vais-je être en mesure d'observer votre PAROUSIE?
Son Excellence a répondu: des personnes plus âgées que vous, serez également en mesure de l'observer.

Ayatollah naseri dit: j'ai demandé à l'ayatollah al-Udhma Bahjat quel âge a votre ami qui a eu l'honneur de rendre visite à l'imam? L'Ayatollah al-Udhma Bahjat a répondu: Il a 62 ans.

A la fin,Ayatollah Nasseri a demande a l audience de prier pour la Venue rapide de L IMAM MAHDI AJ !! Donc chères soeurs prions..et attendons l'événement chaque matin..et chaque soir..!!

Allahuma salli 3ala Muhammad wa ali Muhammad wa 3ajeel farajahum wa saheel makhrajahum.
 
salam

Merci mon frere pour l'histoire mais juste c qui " nous " ?

Allahuma salli 3ala Muhammad wa ali Muhammad wa 3ajeel farajahum wa saheel makhrajahum.
 
salam merci pour cette tres tres belle video que dieu nous hate la venu de l imam mahdi AS inchallah
 
salam

Merci mon frere pour l'histoire mais juste c qui " nous " ?

Allahuma salli 3ala Muhammad wa ali Muhammad wa 3ajeel farajahum wa saheel makhrajahum.

Sâlâm,

La vidéo du frère Al-ALi-Hussein répond a ta question mon frère ;). Quand a la véracité du récit, qu'en pensez vous?

BarakAllahufikoum.

Allahuma salli ala Muhammad wa ali Muhammad.
 
Sâlâm,

La vidéo du frère Al-ALi-Hussein répond a ta question mon frère ;). Quand a la véracité du récit, qu'en pensez vous?

BarakAllahufikoum.

Allahuma salli ala Muhammad wa ali Muhammad.

786-92-110

Salaam


Douteux ! et même presque faux et mensonger puisque sans aucune source ni référence fiable ... ( c'est qui ce "Nous" ou ce "savant" d'Ayatollah Nasseri qui ressemble vaguement à s'y méprendre à un autre, l'Ayatollah Tabrizi de Jafaryanews.com ce repère de vipères ?! ) ; n'importe quel charlatan illuminé pourrait inventer pareille histoire, surtout avec des Baha'is qui pullulent dans les alentours... aussi je prfère m'en remettre à l'avis du Regretté Feu Ayatollah Al ouzma Sayyed Mohammad Hussein Fadhlallah (rah ) tout comme Yateem d'ailleurs qui s'interrogeait dans un précédent post

http://www.al-imane.org/forums/showthread.php/7924-Venue-de-l-imam-mahdi-as

Extraits :

As'salam' aleykom wa rahmatlah wa barakatuh,

Je demande protection auprès d'ALLAH contre toute polémique mais je vous livre ce que l'on trouve sur le site de Seyyed Mohamed Hussein Fadlallah :

La prétention concernant la vision de l’Imâm al-Mahdî (h)


Question : Quelle est votre avis au sujet de la vision de l’Imâm attendu (h), sachant que certains parmi ceux qui prétendent l’avoir vu sont dignes de foi et des savants religieux ?


Réponse : L’Occultation de l’Imâm al-Mahdî (h) relève de l’Invisible propre à Dieu, à Lui la Grandeur, et il s’y agit d’une Occultation majeure. Cela veut dire que personne ne peut le rencontrer. Si quelqu’un prétend l’avoir vu, on est en droit de nous demander quelle est la particularité grâce à laquelle il a pu le voir ou lui chuchoter quelque chose dans l’oreille ? Il existe des textes qui traitent de mensonge ceux qui prétendent l’avoir vu même s’ils sont dignes de foi. Nous ne disons pas qu’ils mentent, mais peut-être qu’ils se l’imaginent.


http://francais.bayynat.org.lb/Infai...h) - 3.htm

Ceci me semble être en contradiction avec le sujet de ce fil, avez-vous des pistes de réflexion à suggérer ?

Barakallahou fikom.

Salam wa rahmatulah wa barakatuh.

Et de Surcoit, L'Ayatollah cheikh Mohammad Taqiy Bahjat (rah) nous a quitté alors que l'Imam (atf) n'est pas encore apparu en PUBLIC !!!

Par ailleurs, j ai moi meme eu l occasion d entendre une histoire correspondante (sinon identique)a celle la de la part d un alim que j ai personnellement rencontre et qui etait un eleve d Ayatollah Behjat.
(la conversation que j ai eu a eu lieu au mois de ramadhan de l annee derniere).
Je vous mets ici le post dans le quel j en avais parler
http://www.al-imane.org/forums/showthread.php?t=7430

Les signes de l’Avènement de l’Imâm al-Mahdî (h)

Question : Quels sont les signes de l’Avènement de l’Imâm al-Mahdî (h) ?


Réponse : Cela ne relève pas de nos responsabilités, car son Occultation fait partie de l’Invisible propre à Dieu et son Avènement fait partie de l’Invisible propre à Dieu. C’est une question qui concerne Dieu ? Notre rôle c’est de lui préparer certains terrains, c’est de nous préparer à être parmi ses soldats, parmi ceux qui dirigent sur son chemin. Nous avons organisé d’innombrables célébrations. Mais avons-nous organisé des célébrations pour nous fêter nous-mêmes en tant que dirigeants, en tant que ceux qui appellent à suivre son chemin ? Voudrions-nous que l’Imâm (h) arrive alors que nous sommes occupés de nos propres affaires ? Je vous raconte une anecdote intéressante à ce propos : Vous connaissez la Mosquée « Sahla » située entre Kûfa et Najaf. Elle renferme des mausolées de certains prophètes (p) et de l’imâm al-Mahdî (h). Les gens racontent, mais nous ne savons pas d’où est-ce qu’il le tiennent, que depuis longtemps, on se rendait dans cette mosquée, quarante mercredi à la suite pour réciter l’invocation qui appelle l’Imâm (h) à apparaître. Un certain homme, ayant passé les quarante mercredi en se préparant à rencontrer l’Imâm al-Mahdî (h), finit par être reçu par lui. Il lui aurait dit en prenant place face à lui : « Ô mon Maître ! Ô mon Maître, tu nous as honorés ! ». L’Imâm (h) lui aurait alors dit : « Tu dois te séparer de ta femme car elle est ta sœur de lait. Tu dois quitter ta maison car elle appartient aux orphelins. Tu dois laisser tes biens car ils sont illicites ». Alors l’homme s’est précipité dehors en criant : « Il y a un voleur à l’intérieur, faites-le sortir ! ».

Une telle attitude pourrait être celle de beaucoup d’entre nous au moment de l’Avènement de l’Imâm (h). L’Imâm al-Hussein (p), qui est l’aïeul de l’Imâm al-Mahdî (h) a dit en entamant sa révolte : « Les gens sont les esclaves de ce bas-monde, alors que la religion est pour eux affaire de parole : Ils l’acceptent tant qu’ils trouvent leurs subsistances, mais une fois éprouvées, ils sont peu nombreux à être attachés à la religion ». Qui sait ce qui arrivera si l’Imâm (h) fera son apparition pour nous trouver occupés à médire et à diffamer. Nous serons alors parmi ses ennemis, tels ceux qui, de leurs cœurs, étaient avec l’Imâm al-Hussein (p), et de leurs épées, contre lui. Que Dieu nous en garde !

30/05/2008, 11h56
SA WR WB

En fait j ai eu l idee de ce post,apres avoir constate un certain nombre de choses dont la degradation economique soudaine partout dans le monde.

Je me suis souvenu de la discussion que j avais eu avec un eleve d ayatollah behjat lors du dernier ramadhan 2007,j ai demande a cet eleve des nouvelles d ayatollah behjat(etant a qum precedemment,nous avions essaye de le voir et l on nous avait dit qu il ete tres malade et qu il ne recevait pas)

L eleve en question m a repondu que l ayatolllah se portait bien et qu INCHA ALLAH il sera la quand l IMAM MAHDI AS apparaitra....
Ce qui sous entend une arrivee rapide INCHA ALLAH de l IMAM MAHDI AS(AJTF)
mais ne nous emballons pas,seul ALLAH SWT connait la date du retour de l IMAM MAHDI AS
WS WR WB

Pourquoi pensez vous que je devrais douter?

Merci de m eclairer

Salam

Que Dieu bénisse M H Fadhlallah (rah) sans qui Beaucoup de monde aurait été égaré par ces folles Rumeurs propagées par la "bête de terre", Rumeurs qui s'abritent dans la "maison de l'araignée" ( Toile du Web ; cet "réseau invisible" d'après Sayyid khamenei ( H.A ).

La rencontre avec Al-Mahdi (atf) ou tout autre Ange et prophête fait partie de ces Secrets les mieux gardés sur terre, et un Secret, ça ne se divulgue pas comme ça; à moins d'être un traitre ... ( cf: sourate 66 ).

Des histoires comme celles là; on n'en a pas fini d'en entendre parler avec ces occultistes "magiciens d'Oz" ;

What is sorcery?

The late Sayyad writes in Wasila an Najāt that magic means the writing and reciting of some special spells and charms and the burning of particular objects so that its smoke can be used for some extraordinary effects. Making a picture and blowing, or tying up knots, or buying special objects in particular places so that the person for whom the magic is intended may be affected physically or mentally. That is if he is reported lost he can be located by it or he can be put to sleep or made unconscious. It can also be used for creating love or discord between two people; like husband and wife etc.

In the exegesis Tafsīr al-Mizan very interesting points are mentioned under the explanation of the 104th verse of Surah al-Baqarah. We shall present them for our readers.

A philosophical discussion


It is common knowledge that many unusual events do take place which are beyond the established natural system. It is difficult to find someone who has not seen, or heard about some abnormal or seemingly supernatural event. But on close scrutiny it turns out that most of them are not enigmatic and mysterious at all. They are the results of normal and natural causes, like intensive practice and training, for example, eating poison, lifting heavy loads, walking or dancing on a tight rope etc. Some are based on natural causes that are not known to the general public, for example, a man walks into flaming fire without coming to any harm, (he applies some chemicals like talc to his body); or sends a sheet of blank paper and the addressee understands the message it contains. (He writes with an invisible ink that becomes visible if heated by fire or treated with some chemicals). A third set depends on the sleight of hand like juggling. All these seemingly abnormal feats actually emanate from normal causes, although the causes are unknown to the common man; they may even be beyond his ability.

Yet there are other strange happenings that cannot be attributed to any normal physical cause. For example, giving information of the unseen, and particularly foretelling future events; the charms for love and hate, the harmful or beneficial spells affecting man’s virility, hypnotism, mesmerism, spiritualism, telekinesis and so on. It is known that such events do take place from time to time. We have seen some demonstrations ourselves, and similar reports were brought to us by reliable sources. At present there are many people in India, Iran and the western countries, who demonstrate such extraordinary feats and their authenticity is beyond doubt.
It appears from close investigation of their methods and regimen that these feats spring from the will power of the doer, and from his unshakable self-confidence. The will power arises from the special knowledge which they have mastered. Sometimes the will acts independently and sometimes it needs some boosting; for example, writing a certain charm with a certain ink in a certain place at a certain time (for the amulets of love or hate); or fixing a mirror before a certain child (in the seances of spiritualism); or chanting a certain incantation a certain number of times, and so on and so forth. When the conditions are fulfilled the will is strengthened to bring the desired effect into being. When the knowledge becomes one with the knower, it influences his senses to such an extent that he sees the end product, that is, the desired effect, with his eyes.

You may verify this statement yourself. Just tell yourself that a certain person is present before you and that you are looking at him; then put your imagination to work to bring his form before your eyes; this should be raised to such a high level of certainty that you become oblivious of all other thoughts and ideas and then you will actually see him standing before you-as you had imagined. Many ancient doctors, acting on this principle, restored to health their incurable patients-simply by creating in them the confidence that they would soon regain their health.
Taking this principle a step further, if someone’s will power is extraordinarily strong, it might influence the psyche of another individual and create the desired impression on him also. That impression might, or might not depend on fulfillment of certain conditions, as indicated earlier.


From the above discourse, we may deduce the following Three principles:

First: The appearance of such extraordinary events depends on the firm “knowledge” and strong conviction of the doer but it is irrelevant whether that “knowledge” is true to the fact or not. That explains why the conjurations of the priests of the sun god and the moon-goddess etc. seemed to work although they believed that the heavenly bodies had souls, which they claimed to bring under by their magic. Probably the same applies to the angels and satans whose names are “discovered” and invoked by many practitioners of the magic art. The same is true for spiritualism and its seance and spirit communication- and the spiritualist belief that the spirits attend their sittings. Utmost that may be claimed regarding those sessions, is that the spirit appears in their imagination or, let us say, before their senses- and this “perception” emanates from their firm belief in their art but it can never be said that the spirit actually presents itself at the sittings- otherwise all the participants in the sitting should have perceived its presence, because everyone of them has the same senses as the medium has.

But accepting this principle, we may solve many problems related to the seance and spirit communication. For example:

1. Sometimes the spirit of a living man is called to present itself at a seance, and supposedly it comes there but at that very moment, that man is busy attending to his affairs and he never feels his spirit leaving him even for an instant. The question is: As a man has only one spirit, how was it possible that his spirit presented itself to that seance without his being aware of it?
2. The spirit is an immaterial essence which has no relation whatsoever with space and time. How can it present itself at a certain place at a certain time?
3. Why is it that often a single spirit appears before different mediums in different forms?
4. Why is it that sometimes when the spirits are called to a seance, they tell lies and give wrong answers? And why do the various spirits sometimes contradict each other?
All these problems will be solved if the principle is accepted that it is not any spirit that presents itself to the seance; it is only the firm belief and conviction of the spiritualists and his medium that is at work, making the medium see, hear and feel the spirit. It is all a play of his imagination and will; and nothing more.
Second: Some of the people, holding the strong and effective will-power, rely on their own power and their own being, in bringing about the desired effect, the intended supernatural events. Such events are bound to be limited in strength, confined in their scope- in their own imagination as well as in reality.
On the other side, there are some persons, like the Prophets and the friends of Allah (S.w.T.) who, in spite of their most effective will power, totally rely on their Lord. They truly worship Him and have full trust in Him. They do not wish anything but from their Lord, and by His permission. Theirs is a pure and clear will, untainted by any personal feeling. It does not depend except on Allah (S.w.T.). This is a Divine Will- not limited in anyway, nor restricted in any manner.
The supernatural events that are brought into being by the first group may be of many kinds; If they are based on enquiry of, or help from, a jinn or a spirit etc. then it is called “al-Kihanah” (divination, sooth-saying, fortune-telling); and if it comes about by means of a charm, amulet, talisman or other such instruments or potions, then it is called magic.
The supernatural events shown by the prophets and saints are also of various kinds. If it is produced as a challenge, in order to prove the truth of the claim of prophethood, then it is called miracle, if it is not offered as a challenge, then it is named “al-Karamah” which literally means nobility, mark of honour; and in Islamic terminology is used for a miraculous event shown without a challenge; and if it happens as a result of the prayer to Allah (S.w.T.), then it is called, “answer to the prayer.”
Third: As the whole thing depends on the will power of the doer, its strength varies according to the strength (or weakness) of the will. That is why some of them may nullify the others, as, for example, the miracle annihilates sorcery. Also, a weak agent fails to impose his will on a stronger psyche, as is often seen at the sessions of mesmerism, hypnotism and seances.

Various Kinds of Magic
There are many fields of study dealing with various awe-striking feats and extraordinary deeds; and it is very difficult to classify them so as not to leave anything out. However, we give here a list of the more commonly used branches of this art.
a) as-Simiya: It deals with the ways of combining the will-power with particular physical and material forces for manipulating the natural order and, thus, producing extraordinary effects. Under this head comes the manipulation of thought, also known as the eye-enchantment.
It is the most deserving candidate for the title of magic
b) al-Limiya: It teaches how one may establish a connection between his psyche and the higher and stronger spirits, in order that one may bring them under one’s control, for example, the spirits of the stars, or the jinn, etc.
It is also called the knowledge of subjugation of the spirits.
c) al-Himiya: It explains how the powers of the higher spiritual world may be combined with the base elements of this world to produce awe-inspiring effects. It is also called talisman. The stars and their configuration have some relation to the material happenings of this world, in the same way as the elements and compounds and their physical qualities affect those phenomena. Supposedly if the heavenly forms, pertaining to a certain event, for example, A’s life or B’s death, could be combined with the relevant material forms, the desired effect would take place without fail.
d) ar-Rimiya: It trains one how to control and manipulate the qualities of various things, to produce seemingly super-natural effects. It is also called “ash-Sha’badhah” (sleight of hand, jugglery, magic).
These four fields of knowledge, together with the fifth, called “al-Kimiya” (alchemy, the forerunner of chemistry, primarily the attempt to transmute base metals into gold or silver) formed what the ancients called the five secrets, mysterious branches of knowledge.
Ash-Shaykh al-Bahai has said: “The best book written on these subjects was the one I saw in Herat, ‘Kulah al-sar’ (the head’s cap) by name. Its name was an acronym, made of the first letters of the five subjects, that is, al-Kimiya, al-Limiya, al-Himiya, al-Simiya and ar-Rimiya.”
The standard books of these subjects are the epitome of the books of Balinas, Rasa’il, al-Khusraw Shahi, adh-Dhakhirah, al-Iskandariyya, as-Sirru’l makhtum (by ar-Razi), at-Taskhirat (by as-Sakkaki) and A’malu’l-kawakib as-Sab’ah (by al-Hakim Tamtam al-Hindi).
Supplementary of the above are the following subjects:
e) The knowledge of numbers (numerology): It shows the relation of numbers and letters with the desired effect. The relevant letters or numbers are filled in a magic square or triangle etc. in a particular sequence.
f) al-Khafiyah (the hidden knowledge): It breaks down the name of the desired effect or other relevant names, and finds out the names of the angels or the satans managing the said effect; and then composes the invocations made of those names.

Divination or Kahanat, Soothsaying
To predict future events is known as divining and when the prediction is made on the knowledge obtained through some groups of Jinns it is known as Kahanat. (However we shall use the word soothsaying as an equivalent of Kahanat). Kahanat pertains to the prediction of future with the help of special knowledge. For example, the soothsayer may be adept at guessing the words of the enquirer or his private affairs etc. According to the author of Nihaya this kind of soothsayer is known as ‘Ārāf’ but according to the majority of scholars a soothsayer is the one who predicts with the help of Jinns. The Jinns inform him of hidden matters. For example, he might be able to find where a stolen thing is hidden or who is the thief, or who is the murderer of a particular person. All the jurists are unanimous in their opinion that ‘Kahanat’ or soothsaying is Harām. Just as it is Harām to learn, teach, perform magic, in the same way it is Harām to learn soothsaying, to act upon the advice of a soothsayer and even to go for advice from a soothsayer. Some scholars maintain that soothsaying is a kind of magic.
Imam Sadiq (a.s.) says: “One who divines or the one who goes to a soothsayer for divination, (both) have renounced the religion of Muhammad (S).” (Khisāl)
Janabe Haitham enquired from Imam Ja’far as-Sadiq (a.s.), “There is a person we know who informs about stolen property etc. Is it permitted for us to seek his advice?”
The Holy Imam (a.s.) said, “The Messenger of Allah (S) has mentioned that one who goes to a sorcerer, a soothsayer or a liar and testifies to what he says has become an infidel in the light of all the divine books revealed on Allah’s Messengers.” (Makasib Muharrama of Shaykh Ansari)
The Shaykh comments that according to this tradition, informing about the hidden matters is Harām; whether through divination or otherwise. However, if someone guesses and conjectures or doubts; it is allowed. Imam Ja’far as-Sadiq (a.s.) considers soothsaying a prohibited profession and also considers it earnings Harām. Amir ul-Mu’minīn ‘Ali (a.s.) is also recorded to have mentioned a similar tradition.

Source : www.imamreza.net

Je Concluerai avec le même Yateem ...

Voici une autre piste de réflexion à vous suggérer:

http://www.al-islam.org/fr/le_Mahdi/

Le Mahdi, ou la Fin du Temps par Ayatullah Muhammad Baqer as-Sadr (rah)


La question d'al-Mahdî disséquée par Henri Corbin


Dans le livre I, son Éminence Mohammad Bâqer al-Sadr, s'est soucié de répondre aux dogmatiques du scientisme et à tous ceux qui, entachés de "rationnel" et de "réalité scientifique", se montrent sceptiques relativement à l'occultation et à la parousie de l'Imam al-Mahdî. Maintenant, il nous semble opportun de changer complètement de registre et d'amener le lecteur vers un autre chercheur dont le souci principal est d'étudier la croyance à l'Imam al-Mahdî comme un fait purement religieux et spirituel, en dehors de toute considération historique non immanente à ce fait.

En effet, Henri Corbin, après avoir disséqué, pendant 20 ans, tous les Hadîths et Récits hagiographiques sur les Douze Imams d'Ahl-ul-Bayt en général, et sur l'Imam al-Mahdî en particulier, et après avoir recueilli et examiné, en tant que chercheur objectif, les témoignages de tous ceux qui affirment avoir rencontré l'Imam Caché, en songe ou en état d'éveil, a écrit un monument de quatre volumes sur ce sujet (139) en s'appliquant tout au long de sa recherche, à replacer la question d'al-Mahdî dans son contexte spirituel, et en s'employant à étudier et à expliquer cette question phénoménologiquement, ou en d'autres termes en s'efforçant de "rencontrer le fait religieux en laissant montrer l'objet religieux tel qu'il se montre à ceux à qui il se montre" (c'est-à-dire à ceux qui croient fermement à al-Mahdî).

"Cet oeil de l'âme qui jamais ne sommeille"


«L' "histoire" du XIIe Imâm, écrit Henri Corbin, est une hagiographie dont nous essayerons d'indiquer ici les principaux événements. Mais prévenons d'emblée qu'une fois franchi le seuil de l'hagiographie du XIIe Imâm, il apparaîtra au lecteur que ce que l'on appelle communément critique historique, a perdu la quasi-totalité de ses droits. En revanche, si nous acceptons de déposer devant ce seuil les revendications de cette critique en faveur d'une perception des choses véritablement phénoménologique, nous nous rendrons disponibles pour percevoir et comprendre, avec l'organe approprié, la signification des événements qui adviennent «entre les temps» et l'ordre de réalité supérieure que ces événements annoncent, parce qu'ils appartiennent à cet ordre supérieur ».

Toute hagiographie a des témoins à produire, souvent en grand nombre, comme dans le cas du XIIe Imâm. Elle ne peut pour autant produire des certificats, attestations et documents du genre de ceux qu'exige notre obsession de l'historicité matérielle exotérique, laquelle a fini par ne plus se représenter qu'un seul plan de réalité admissible pour qu'il y ait "événement" .

« Pour exiger de l'hagiographie qu'elle produise ses documents critiques, il faut commencer par dégrader l'ordre de réalité qui est propre aux événements que rapporte l'hagiographie. Il y a longtemps, sans doute, que le travail de dégradation se poursuit. Moins l'on est apte à percevoir qu'il y a des «événements dans le Ciel», plus l'on exigera des preuves d'historicité matérielle. Plus on perd le sens des événements dont la réalité est essentiellement mysterium liturgicum, plus on effacera de fêtes du calendrier. Ce que l'on appelle aujourd'hui «matérialisme historique» a de lointains précurseurs, jusque dans la théologie. Il est donc possible que tout ce que nous rapporterons ici concernant l'hagiographie du XIIe Imâm, apparaisse à l'historien comme reposant sur des documents sans valeur objective. Et pourtant les événements sont arrivés! Mais les documents qui gardent la seule trace que puissent laisser des événements accomplis dans le malakût, ne sont que des dépouilles, des chrysalides, si l'on n'en a pas la clef. En revanche pour tout philosophe professant un minimum de «réalisme spirituel», ces documents apparaîtront comme inappréciables.

Autrement dit, l'organe de perception doit être ici «cet oeil de l'âme qui jamais ne sommeille», comme dit Philon d'Alexandrie. Les événements qui se situent dans le temps du XIIe Imâm, qu'ils soient relatés dans des documents qui appartiennent au passé, au présent ou à l'avenir, ces événements, eux, ne peuvent pas être saisis par un autre organe que les «sens spirituels» dont parlent tous nos théosophes.

Aussi bien l'Imâm, absent pour la perception sensible, serait encore invisible comme tel, même s'il était là en personne, pour tous ceux qui sont incapables de voir autrement que de la manière dont ils perçoivent un objet quelconque dans le monde extérieur. Or l'épiphanie de l'Imâm, sa parousie, ne peut se produire tant que la conscience des hommes n'y est pas éveillée.

Elle ne peut advenir «entre temps» que pour le petit nombre de ceux qu'il choisit lui-même, ceux qui peuvent en avoir la conscience spirituelle (ma'rifat), non pas la simple connaissance extérieure dont même l'animal est capable. C'est ce que nous ont enseigné les textes qui, en nous rappelant ce que signifie «voir l'Imâm en Hûrqalyâ» , sous-entendaient que le monde suprasensible de Hûrqalyâ et le monde matériel sensible coexistent, s'interpénètrent, se contiennent l'un l'autre; Hûrqalyâ est à la fois au-dessus de nous, autour de nous et à l'intérieur de nous. »

Quand, par notre inscience, il n'est pas à l'intérieur de nous, il ne peut être ni connu ni reconnu de nous «nulle part», car rien ne peut être connu extérieurement que grâce à une modalité correspondante qui soit en nous. Extérieurement, pour comprendre la présence occulte de l'Imâm caché, demeurant invisible en ce monde, on peut encore se référer à la manière dont le bouddhisme mahayaniste se représente la personne du bodhisattva qui renonce à quitter ce monde, et diffère d'entrer dans le nirvana avant d'avoir sauvé tous ceux dont il a la charge.

»Intérieurement, on pensera à la manière dont Mollâ Sadrâ, par exemple, professe que toute âme, toute entité spirituelle, porte en elle-même son ciel ou son enfer. Simples indications en vue d'un modus intelligendi qui comporte sa rigueur propre; sinon, autant passer un aveu d'impuissance à comprendre tout ce qui est hiérognose, perception des mondes invisibles et des événements visionnaires dont se compose la hiérohistoire. Au chercheur qui «sauve les phénomènes» en procédant comme un pèlerin au cœur sincère, les événements révéleront, mieux que tout exposé théorique, le secret de l'âme shî'ite, un secret dont la force défie victorieusement, depuis dix siècles, les puissances du doute et du refus.»(140)

Les témoignages détaillés et très précis de tous ceux qui, depuis l'occultation de l'Imam al-Mahdî racontent comment ils l'ont rencontré, le plus souvent, en songe visionnaire, paraissent tellement concordants et tellement saisissants qu'Henri Corbin les déclare comme "continuant l'hagiographie du XIIe Imam"et leur consacre une place prépondérante dans sa recherche.

Comment, quand, où et à qui al-Mahdî peut être visible depuis son occultation, d'après l'examen de ces témoignages?

En voici quelques éléments de réponse que nous extrayons de l'exposé exhaustif fait par Henri Corbin sur ce sujet:

«L'Imâm caché, jusqu'à l'heure de sa parousie, ne se rend visible qu'en songe ou bien en certaines manifestations personnelles qui ont alors le caractère d'événements visionnaires (....) Les récits de ces visions théophaniques sont nombreux dans les livres shî'ites; il y aurait à en opérer le classement typologique. Le plus souvent, le XIIe Imâm apparaît sous la forme d'un jeûne enfant ou d'un adolescent d'une grande beauté. Il se manifeste dans les cas de détresse matérielle ou de tourment spirituel, au détour d'un chemin, par exemple, ou dans une mosquée où le fidèle se trouve solitaire. Le plus souvent, celui-ci comprend sûrement après coup que c'est l'Imam qui s'est montré à lui. Chaque fidèle shî'ite sait qu'il peut l'appeler à son aide. On connaît même la typographie du lieu secret où il réside. (....)» (141)

«Si la hiéro histoire du shî'isme est remplie de ces visions théophaniques, celles-ci ne se produisent jamais que sur l'initiative de l'Imâm, et si l'Imâm apparaît presque toujours sous la forme d'un jeune homme d'une très grande beauté, presque toujours aussi, sauf exception (nous en verrons plus loin un cas) celui à qui fut donné le privilège de cette vision, ne prend conscience que plus tard de celui qu'il a vu. Sauf exception, un strict incognito enveloppe ces manifestations, ce même incognito qui préserve la chose religieuse de toute socialisation.

«Beaucoup d'hommes, écrit l'un de nos théologiens, 'Alî Asghar Borûjardî (142), ont vu la beauté parfaite de cet Élu (le XIIe Imâm), mais ils ne l'ont reconnu qu'ensuite, après qu'il les eut quittés», en comprenant que l'action bénéfique produite, matérielle ou spirituelle, n'avait pu être l’œuvre que de l'Imâm. Certains l'ont vu au temps du pèlerinage de La Mecque; d'autres en la mosquée de Koufa (l'ancienne cité shî'ite par excellence); d'autres en quelque lieu saint shî'ite, mais jamais il ne s'agit d'une vision collective, car même si les hommes le "voient", ils sont incapables de le reconnaître. C'est cela justement la Grande Occultation. L'Imâm va et vient dans tous les lieux du monde, sans immaner à un lieu, sans être fixé, contenu, dans un lieu.»(143).

«Parmi les multiples récits concernant les apparitions de l'Imâm au «temps de la Grande Occultation», les quatre textes dont nous proposons ci-dessous (144) la traduction, appartiennent à des types différents. Deux d'entre eux (le premier, récit de la fondation de Jam-Karân, et le quatrième, rencontre dans le désert) mettent le fidèle en présence de l'apparition de l'Imâm en personne.

Les deux autres (le second, récit du voyage à l'Ile Verte, et le troisième, le voyage aux cinq îles) conduisent le fidèle en présence des compagnons ou des fils de l'Imâm. Chaque fois, certes, la rencontre résulte d'une décision secrète de l'Imâm; à l'homme de s'y rendre apte, mais ce n'est pas à l'homme de décider qu'il veut le rencontrer et encore moins d'y réussir (une anecdote nous le rappellera ci-dessous).

En outre, il peut arriver que la présence de l'Imâm fasse irruption dans le lieu où se trouve le fidèle ou le pèlerin, et là même le transfère au lieu de sa présence (quatrième récit). Et il peut arriver que l'épisode visionnaire commence soit par la manifestation de personnes «appartenant au monde de l'Imâm» et qui progressivement font pénétrer le pèlerin dans ce monde (premier et deuxième récits), soit par un prologue initiatique, une navigation par exemple, qui à l'insu des intéressés, les mène dans un monde inconnu (troisième récit).

« Tous les récits ont ce trait commun et caractéristique que le passage de la topographie du monde sensible à celle du monde inconnu, s'accomplit sans que les sujets aient conscience du moment précis où s'opère la rupture. Ils ne s'en aperçoivent que lorsqu'ils sont déjà «ailleurs». Détail encore caractéristique: l'irruption du monde de l'Imâm dans notre monde peut se prolonger par quelque trace matérielle (v. g. un édifice construit sur son ordre); ou, fait plus troublant, le pèlerin peut rapporter de sa rencontre un objet témoin (un livre, une bourse, par exemple). Il arrive aussi que la portée de l'événement fasse du récit un véritable récit d'initiation, c'est-à-dire d'initiation à la doctrine shî'ite, au secret de l'Imâmat (deuxième et troisième récits)» (145)

Il est à noter qu'ici, Henri Corbin a mis l'accent, essentiellement, sur la tendance mystique "'irfânî" dans le Chî'isme. Les personnes qui aspirent à rencontrer l'Imam caché, agissent à la façon d'un soufi en quête d'un maître ou d'un guide spirituel. Mais au lieu de rechercher, à travers une tarîqah (congrégation soufie) un maître soufi, aux pouvoirs nécessairement limités, le mystique choisit comme "pôle spirituel directement l'Imam lui-même sans intermédiaire", lequel étant le seul à même de dévoiler toutes les révélations prophétiques, permet au fidèle d'atteindre à l'épanouissement spirituel auquel il aspire.

Ceci dit, ces récits et ces témoignages multiples, sont racontés avec une telle force de conviction qu'elle ébranle l'incrédulité ou les réserves de tout esprit sceptique. Loin d'être usés à la longue et à travers les âges, ils paraissent plutôt renouvelables et toujours d'actualité. Conscient que cette vérité pourrait laisser perplexes certains lecteurs, Henri Corbin après avoir posé la question inévitable "qui vient spontanément à l'esprit du lecteur informé de l'évolution de l'Orient contemporain:

Que signifie, par exemple, pour la jeunesse iranienne de nos jours, la mystérieuse figure du XIIe Imâm?"

Il y répond en rapportant un témoignage significatif à cet égard:

«Et cela donne justement son importance au témoignage que j'eus l'occasion de rapporter ailleurs et qu'il m'apparaît opportun de reproduire ici, parce qu'il émanait d'un jeune Iranien de mes amis (un "moins de trente ans"), éminemment représentatif de la jeunesse étudiante formée en Occident pour laquelle sont en général réunies toutes les conditions du déracinement spirituel (nous pourrions dire: toutes les conditions qui mènent à l'oubli de ses origines le jeune prince parthe du «Chant de la Perle» des Actes de Thomas). Il achevait ses études dans une université de Suisse. Il eût pu être comblé en ce pays, et pourtant il passait la plupart de ses soirées à évoquer avec nostalgie, en la compagnie d'un jeune compatriote étudiant comme lui, les vastes déserts de l'Iran et le pèlerinage de la ville sainte de Qomm (à 140 km au sud de Téhéran). Et voici qu'une nuit, le pèlerinage qu'il attendait de pouvoir accomplir en réalité, il le fit en songe. Le récit qu'il m'en fit portait si typiquement les traits d'un songe initiatique, la puissance archétype s'y fait sentir avec une telle force que je lui demandai de le mettre par écrit. Avec sa permission, tout en ne le désignant discrètement que par ses initiales H. B., je reproduis ici son récit:

"Une nuit, j'ai rêvé qu'avec mon ami nous nous étions mis en marche, partant de Téhéran pour aller à Qomm. Nos vêtements n'étaient pas ceux de tous les jours, mais ceux que portent chez nous les derviches (les soufis). Nous avions suivi à travers champs les sentiers qui, dans la direction du sud, mènent vers Qomm. Nous allions aborder le désert du sud de Téhéran, lorsque soudain, apparurent devant nous des créatures de taille immense, quelque chose comme des dragons. Brusquement je cessai de voir mon ami. Il me sembla qu'il avait rebroussé chemin et était retourné vers le nord. Je sentis que j'étais seul. Mais voici qu'entre mes mains il y avait quelque chose comme une lance, si longue que je n'en ai jamais vu de pareille dans la réalité. Je combattis avec les dragons longtemps, longtemps. Finalement je dus réussir à les mettre en pièces, car je vis qu'un torrent qui passait là, emportait les dragons disloqués, et moi-même je fus immergé dans ce torrent. Je sortis de ce bain, et je sentis que j'étais nu. Mais voici qu'on jeta sur mes épaules une longue pièce d'étoffe. A ce moment-là, j'avais l'impression que le terrain où je marchais exhalait de la vapeur ou du brouillard; on ne voyait rien. Soudain la ville sainte m'apparut au loin, avec le dôme d'or étincelant et les minarets de l'enceinte sacrée. M'étant dirigé vers la ville, j'arrivai à un carrefour plafonné en voûte. Là on me désigna la maison de l'Imâm attendu. La porte en était grande ouverte. Une courte distance de quelques centaines de pas me séparait de la maison de l'Imâm... A ce moment-là je m'éveillai de mon rêve. Mais j'en ai gardé une impression profonde. L'essentiel m'en apparaît comme étant la distance qui me séparait de la porte ouverte de la maison de l'Imâm; car depuis lors, le sentiment que j'ai de ma vie, en songe ou à l'état de veille, c'est qu'elle consiste à parcourir cette distance, parce qu'elle est la mesure exacte de ma vie; elle règle le temps et l'harmonie de mon existence tout entière; elle est le temps et l'espace réels que j'éprouve sur cette Terre"». (146)

Notes:

(139)"En Islam Iranien: Aspects spirituels et philosophiques", Henri CORBIN, Édition nrf, Gallimard, Tome I, Tome II, Tome III, Tome IV, 1971-1972, à Paris.

(140)"En Islam Iranien: Aspects spirituels et philosophiques", Henri Corbin, op. cit., Tome IV, pp. 307 – 309.

(141)"En Islam Iranien: Aspects spirituels et philosophiques", Henri Corbin, op. cit. p. 330.

(142)'Alî Asghar Borûjardî, Nûr al-Anwâr (en persan), Téhéran, 1347/1928, p. 177, ainsi que Majlisî, Bihâr, vol, XIII, p. 143.

(143)"En Islam Iranien: Aspects spirituels et philosophiques", Henri Corbin, op. cit., Tome 4, p. 333.

(144) Ils s'agit de: 1- "Le Sanctuaire de Jam-Karan", pp. 338 - 346 2- "Le Voyage à l'Ile Verte en la Mer Blanche", pp. 346 - 367 3- "Les îles aux cinq cités", pp. 367 - 374 4- "Rencontre dans le désert ou ubiquité de Nâ-kjâ-âbâd", pp. 374 - 376, op. cit., Tome 4, éd, nrf, Gallimard, 1978.

(145)"En Islam Iranien: Aspects spirituels et philosophiques", Henri Corbin, op. cit., Tome 4, p. 336.

(146)"En Islam Iranien: Aspects spirituels et philosophiques", Henri Corbin, op. cit., Tome 4, pp. 455 – 456.

http://www.al-imane.org/forums/show...-l-imam-mahdi-as?p=43320&viewfull=1#post43320

Pour moi, c'est Kif/kif ! si un Sayyed Al khidr (as) est apparu et a rencontré Moîse (as) alors le principe de préséance de ce qui a pu arriver selon Le Saint Coran, n'exclurait pas TOTALEMENT l'éventualité de ces ECEPTIONNELLES rencontres Mystérieuses "AU SOMMET"; mais Alors, Il faudrait avoir la disposition d'esprit comme celle de Moise (a.s) à Savoir ; LA SINCERITE de LA DEVOTION et LE BESOIN pour prétendre Rencontrer Le Maitre du Temps ; c'est pas Donné !!! En ce sens, Sayyed Fadhlallah a plus que raison de nettoyer nos cervelles de certaines croyances "magico-sorcières" ... même si ces RENCONTRES sont avérées, elles ne le sont pas avec le premier venu tout de même , fut-il affublé du titre d'Ayatoullah Nasseri!!!

Et d'ailleurs, chez moi au Cameroun, tout comme à FATIMA au portugal, on en a pleins les bottes des "apparitions Mariales ou de celles de Jésus" ... vous vous Imaginez ? Jésus et Marie qui apparaissent sans pouvoir changer la condition de ceux qui prétendent les avoir apperçus ?! Quelle Effroyable imposture Nom de Dieu ???!!!

Ma'a Salaam
 

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