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Bismil-Lâhir-Rahmânir-Rahîm
Salam Alaykoum.
Je vous livre ci dessous quelques recherches que je viens d’effectuer sur le symbole.
Symbole vient du grec sumbolon (symbolon) que l'on employait pour tout ce qui sert de signe de reconnaissance, sumbolon dérive du verbe sumbalein (symballein) qui signifie jeter avec, mettre ensemble, joindre, comparer, échanger, se rencontrer, expliquer. Dans l'Antiquité, lorsque les hommes voulaient faire un pacte, ils avaient coutume de briser un objet et de s'en répartir les fragments. Chacun recevait ainsi un morceau témoin que l'on appelle "symbole" (mot grec qui signifie "pièce qui s'accorde" ou "qui correspond à") car, c'est en remettant les morceaux ensemble qu'on vérifiait leur correspondance et que les hommes se reconnaissaient ou authentifiaient leurs relations de partenaires.
L'étymologie nous indique donc que le symbole implique une dualité puis une unification, une réalité visible qui invite à découvrir la réalité invisible qui ne fait qu'un avec la réalité visible. L'unité ne se fait pas par mode de fusion mais d'ajustement (sumbolh). L'ensemble des deux éléments (visible et invisible) forme un tout et l'un ne se comprend pas sans l'autre.
Le dictionnaire définit un symbole comme un signe figuratif qui représente par association ou ressemblance quelque chose d'abstrait. Le symbolisme est le plus ancien instrument d'éducation et il est encore un des moyens les plus efficaces d'instruire spirituellement. Le langage religieux ne peut être qu'essentiellement symbolique car comment pourrait-on exprimer autrement l'invisible? Les images symboliques donnent une expression plus vivante et exacte des réalités spirituelles que les mots. Pour être vraiment efficaces, les symboles doivent susciter une émotion adaptée, car c'est par le coeur qu'ils parlent et enseignent. Cependant, il y a quelques écueils sur le chemin du symbolisme, car prendre le symbole pour ce qu'il symbolise c’est de l'idolâtrie et confondre le symbole avec l'objet qui le représente est de la superstition. Quand nous considérons le symbole d'une façon prosaïque (c’est à dire terre à terre), nous nous fermons à la signification intérieure.
René Guénon écrit dans SYMBOLE DE LA SCIENCE SACREE :
"D'abord, le symbolisme nous apparaît comme tout spécialement adapté aux exigences de la nature humaine, qui n'est pas une nature purement intellectuelle, mais qui a besoin d'une base sensible pour s'élever vers les sphères supérieures. Il faut prendre le composé humain tel qu'il est, un et multiple à la fois dans sa complexité réelle; c'est ce qu'on a trop souvent tendance à oublier, depuis que Descartes a prétendu établir entre l'âme et le corps une séparation radicale et absolue. Pour une pure intelligence, assurément, nulle forme extérieure, nulle expression n'est requise pour comprendre la vérité, ni même pour communiquer à d'autres pures intelligences ce qu'elle a compris dans la mesure où cela est communicable; mais il n'en est pas ainsi pour l'homme. Au fond, toute expression, toute formulation, quelle qu'elle soit, est un symbole de la pensée qu'elle traduit extérieurement; en ce sens, le langage lui-même n'est pas autre chose qu'un symbolisme."
Plus loin il dit :
"Si le Verbe est Pensée à l'intérieur et Parole à l'extérieur, et si le monde est l'effet de la Parole divine proférée à l'origine des temps, la nature entière peut être prise comme un symbole de la réalité surnaturelle. Tout ce qui est, sous quelque mode que ce soit, ayant son principe dans l'Intellect divin, traduit ou représente ce principe à sa manière et selon son ordre d'existence; et, ainsi, d'un ordre à l'autre, toutes choses s'enchaînent et se correspondent pour concourir à l'harmonie universelle et totale, qui est comme un reflet de l'Unité divine elle-même. Cette correspondance est le véritable fondement du symbolisme et c'est pourquoi les lois d'un domaine inférieur peuvent toujours être prises pour symboliser les réalités d'un ordre supérieur, où elles ont leur raison profonde, qui est à la fois leur principe et leur fin."
Un symbole est un médiateur entre le monde physique et le monde de la pensée. C'est un langage qui dépend bien sûr de la culture et du contexte dans lequel on l'emploie.
Les fonctions du symbole dans la tradition sont multiples. Dans un premier temps, le symbole évoque tout en voilant, il structure alors notre pensée et permet ainsi de faire en nous les prises de conscience nécessaire à notre spiritualité. Par principe, un symbole n'est jamais vraiment interprété, car sa partie voilée est beaucoup plus importante que sa partie visible et ceci se comprend du fait que ce qui n’est pas dit doit être personnellement compris par l’homme qui recherche. Ce n’est pas une explication de texte.
Mircéa Eliade écrit dans son livre Images et symboles : « La pensée symbolique est consubstantielle à l'être humain : elle précède le langage et la raison discursive, Les images, les symboles, les mythes ne sont pas des créations irresponsables de la psyché; ils répondes' à une nécessité et remplissent une fonction : mettre nu les plus secrètes modalités de l'être. Par suite, leur étude nous permet de mieux connaître l'homme tout court", celui qui n'a pas encore composé avec les conditions de l'histoire. »
Le symbole peut prendre plusieurs formes, Prenons par exemple la lumière qui est l’un des symboles les plus cité dans le St Coran (46 fois). Dans le St Coran l'homme sort des ténèbres vers la lumière XIV-1, LVII-9, LXV-11 Allah les guide vers la lumière, et les croyants sont porteurs d’une lumière qu’Il leur donne et grâce à laquelle ils sont guidés VI-122, II-257 La lumière est également la récompense des croyants dans la vie future LVII-19. Ainsi est-elle associée à Dieu, au salut, à la connaissance XXIV-35 Il est le seul qui apporte une lumière XXVIII-71. Les prophètes apportent la lumière pour les hommes, et elle est ainsi transmise aux croyants XXI-48, LVII-12 on peut noter ici le rôle essentiel des prophètes, mais également de leurs successeur, les Imams (as,) qui sont chargés de transmettre cette lumière que les croyants ne peuvent trouver par eux-mêmes, sauf cas exceptionnel avec la permission de Dieu.
Le Saint Coran lui-même est une lumière qui guide les hommes 42-52 et 64-8. La lumière est ainsi liée à l'image de la Vie réelle, elle en est le symbole et elle doit devenir une réalité intérieure pour tous les hommes.
Le Symbolisme du Centre du Monde
Il s’agit d’un de ces symboles primordiaux présents dans toutes les cultures et religions, de même que le cercle, le carré et la croix. Un centre n’est surtout pas à concevoir, dans sa représentation symbolique, comme une position simplement statique. Il est en effet analogue au point qui correspond au milieu d’une roue : ce Centre de la Roue est immobile, et pourtant, il est le moteur qui donne mouvement à la roue. Cette immuabilité est aussi le symbole de Dieu. C’est pourquoi il est difficile de trouver le Centre du Monde tient car il tient à la fois d’un lieu physique et spirituel (le lieu physique étant le symbole du lieu spirituel).
Le Centre du Monde est souvent figuré par une élévation: montagne, colline, arbre, omphalos, pierre levée. C’est au Centre du Monde que se rencontre alors le Ciel et la Terre et qu’en langage des symboles l’on nomme communément Axis Mundi, ou Axe du Monde. Et pour nous musulmans, le pèlerinage est à lui seul, le parcours spirituel de toute une vie. C’est le retour au Principe et pour cela nous devons nous placer en ce lieu sacré qu’est la Terre Sainte ou se situe la Kaaba, le Centre du Monde pour notre communauté. Ce pèlerinage implique un dépouillement, et le pèlerin laisse toutes les affaires de ce monde pour effectuer le pèlerinage à la Maison Sacrée. Le pèlerinage intérieur implique lui aussi le dépouillement de tout ce qui n’est pas Dieu pour arriver au bout de sa Quête.
Autre exemple « classique » : le labyrinthe. Sa forme circulaire symbolise la Roue du Monde et le chemin intérieur, l’errance du pèlerin avant d’atteindre le Centre.
Les nombres sont également pris comme symbole. Par exemple le nombre douze qui nous concerne plus particulièrement en tant que chi’ites représente le monde achevé, un accomplissement du créé pour accéder à l’incréé.
L'Imam Ja'far As - Sadiq (as) dit:
"Lorsque tu prends la décision d'accomplir le Hajj, ôte pour Allah et avec résolution, toute distraction de ton coeur, ainsi que les voiles qui le recouvrent; confie toutes tes affaires à ton Créateur, remets - toi à Lui pour tout ce qui apparait de tes faits et gestes; soumets - toi à Son Décret, Son pouvoir et Sa Détermination; laisse de côté le repos et les affaires de ce monde (dounia); acquitte - toi de tout ce qui t'incombe envers autrui.
"Ne compte ni sur tes provisions, ni sur ta monture (moyen du transport), ni sur tes compagnons, ni sur ta force et ta jeunesse, ni sur ta fortune, de crainte qu'ils ne deviennent des ennemis et des nuisances pour toi.
"Prends les dispositions de quelqu'un qui n'espère pas le retour, conduis - toi bien envers tes compagnons, respecte les moments prescrits pour l'accomplissement des obligations d'Allah - Exalté Soit - Il - et de la Tradition (Sunna) de Son Prophète (PSL), ainsi que ce qui t'incombe à jamais de politesse, de tolérance, de patience, de reconnaissance, de compassion, de générosité et d'altruisme.
Celui qui veut se documenter peut lire :
-SYMBOLE DE LA SCIENCE SACREE de René Guénon, vraiment enrichissant.
-Images et symboles de Mircéa Eliade.
-On peut consulter le « dictionnaire des symboles » collection Bouquins.
As salamou alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouh
Allâhomma salli 'alâ Mohammad waâlî Mohammad
Salam Alaykoum.
Je vous livre ci dessous quelques recherches que je viens d’effectuer sur le symbole.
Symbole vient du grec sumbolon (symbolon) que l'on employait pour tout ce qui sert de signe de reconnaissance, sumbolon dérive du verbe sumbalein (symballein) qui signifie jeter avec, mettre ensemble, joindre, comparer, échanger, se rencontrer, expliquer. Dans l'Antiquité, lorsque les hommes voulaient faire un pacte, ils avaient coutume de briser un objet et de s'en répartir les fragments. Chacun recevait ainsi un morceau témoin que l'on appelle "symbole" (mot grec qui signifie "pièce qui s'accorde" ou "qui correspond à") car, c'est en remettant les morceaux ensemble qu'on vérifiait leur correspondance et que les hommes se reconnaissaient ou authentifiaient leurs relations de partenaires.
L'étymologie nous indique donc que le symbole implique une dualité puis une unification, une réalité visible qui invite à découvrir la réalité invisible qui ne fait qu'un avec la réalité visible. L'unité ne se fait pas par mode de fusion mais d'ajustement (sumbolh). L'ensemble des deux éléments (visible et invisible) forme un tout et l'un ne se comprend pas sans l'autre.
Le dictionnaire définit un symbole comme un signe figuratif qui représente par association ou ressemblance quelque chose d'abstrait. Le symbolisme est le plus ancien instrument d'éducation et il est encore un des moyens les plus efficaces d'instruire spirituellement. Le langage religieux ne peut être qu'essentiellement symbolique car comment pourrait-on exprimer autrement l'invisible? Les images symboliques donnent une expression plus vivante et exacte des réalités spirituelles que les mots. Pour être vraiment efficaces, les symboles doivent susciter une émotion adaptée, car c'est par le coeur qu'ils parlent et enseignent. Cependant, il y a quelques écueils sur le chemin du symbolisme, car prendre le symbole pour ce qu'il symbolise c’est de l'idolâtrie et confondre le symbole avec l'objet qui le représente est de la superstition. Quand nous considérons le symbole d'une façon prosaïque (c’est à dire terre à terre), nous nous fermons à la signification intérieure.
René Guénon écrit dans SYMBOLE DE LA SCIENCE SACREE :
"D'abord, le symbolisme nous apparaît comme tout spécialement adapté aux exigences de la nature humaine, qui n'est pas une nature purement intellectuelle, mais qui a besoin d'une base sensible pour s'élever vers les sphères supérieures. Il faut prendre le composé humain tel qu'il est, un et multiple à la fois dans sa complexité réelle; c'est ce qu'on a trop souvent tendance à oublier, depuis que Descartes a prétendu établir entre l'âme et le corps une séparation radicale et absolue. Pour une pure intelligence, assurément, nulle forme extérieure, nulle expression n'est requise pour comprendre la vérité, ni même pour communiquer à d'autres pures intelligences ce qu'elle a compris dans la mesure où cela est communicable; mais il n'en est pas ainsi pour l'homme. Au fond, toute expression, toute formulation, quelle qu'elle soit, est un symbole de la pensée qu'elle traduit extérieurement; en ce sens, le langage lui-même n'est pas autre chose qu'un symbolisme."
Plus loin il dit :
"Si le Verbe est Pensée à l'intérieur et Parole à l'extérieur, et si le monde est l'effet de la Parole divine proférée à l'origine des temps, la nature entière peut être prise comme un symbole de la réalité surnaturelle. Tout ce qui est, sous quelque mode que ce soit, ayant son principe dans l'Intellect divin, traduit ou représente ce principe à sa manière et selon son ordre d'existence; et, ainsi, d'un ordre à l'autre, toutes choses s'enchaînent et se correspondent pour concourir à l'harmonie universelle et totale, qui est comme un reflet de l'Unité divine elle-même. Cette correspondance est le véritable fondement du symbolisme et c'est pourquoi les lois d'un domaine inférieur peuvent toujours être prises pour symboliser les réalités d'un ordre supérieur, où elles ont leur raison profonde, qui est à la fois leur principe et leur fin."
Un symbole est un médiateur entre le monde physique et le monde de la pensée. C'est un langage qui dépend bien sûr de la culture et du contexte dans lequel on l'emploie.
Les fonctions du symbole dans la tradition sont multiples. Dans un premier temps, le symbole évoque tout en voilant, il structure alors notre pensée et permet ainsi de faire en nous les prises de conscience nécessaire à notre spiritualité. Par principe, un symbole n'est jamais vraiment interprété, car sa partie voilée est beaucoup plus importante que sa partie visible et ceci se comprend du fait que ce qui n’est pas dit doit être personnellement compris par l’homme qui recherche. Ce n’est pas une explication de texte.
Mircéa Eliade écrit dans son livre Images et symboles : « La pensée symbolique est consubstantielle à l'être humain : elle précède le langage et la raison discursive, Les images, les symboles, les mythes ne sont pas des créations irresponsables de la psyché; ils répondes' à une nécessité et remplissent une fonction : mettre nu les plus secrètes modalités de l'être. Par suite, leur étude nous permet de mieux connaître l'homme tout court", celui qui n'a pas encore composé avec les conditions de l'histoire. »
Le symbole peut prendre plusieurs formes, Prenons par exemple la lumière qui est l’un des symboles les plus cité dans le St Coran (46 fois). Dans le St Coran l'homme sort des ténèbres vers la lumière XIV-1, LVII-9, LXV-11 Allah les guide vers la lumière, et les croyants sont porteurs d’une lumière qu’Il leur donne et grâce à laquelle ils sont guidés VI-122, II-257 La lumière est également la récompense des croyants dans la vie future LVII-19. Ainsi est-elle associée à Dieu, au salut, à la connaissance XXIV-35 Il est le seul qui apporte une lumière XXVIII-71. Les prophètes apportent la lumière pour les hommes, et elle est ainsi transmise aux croyants XXI-48, LVII-12 on peut noter ici le rôle essentiel des prophètes, mais également de leurs successeur, les Imams (as,) qui sont chargés de transmettre cette lumière que les croyants ne peuvent trouver par eux-mêmes, sauf cas exceptionnel avec la permission de Dieu.
Le Saint Coran lui-même est une lumière qui guide les hommes 42-52 et 64-8. La lumière est ainsi liée à l'image de la Vie réelle, elle en est le symbole et elle doit devenir une réalité intérieure pour tous les hommes.
Le Symbolisme du Centre du Monde
Il s’agit d’un de ces symboles primordiaux présents dans toutes les cultures et religions, de même que le cercle, le carré et la croix. Un centre n’est surtout pas à concevoir, dans sa représentation symbolique, comme une position simplement statique. Il est en effet analogue au point qui correspond au milieu d’une roue : ce Centre de la Roue est immobile, et pourtant, il est le moteur qui donne mouvement à la roue. Cette immuabilité est aussi le symbole de Dieu. C’est pourquoi il est difficile de trouver le Centre du Monde tient car il tient à la fois d’un lieu physique et spirituel (le lieu physique étant le symbole du lieu spirituel).
Le Centre du Monde est souvent figuré par une élévation: montagne, colline, arbre, omphalos, pierre levée. C’est au Centre du Monde que se rencontre alors le Ciel et la Terre et qu’en langage des symboles l’on nomme communément Axis Mundi, ou Axe du Monde. Et pour nous musulmans, le pèlerinage est à lui seul, le parcours spirituel de toute une vie. C’est le retour au Principe et pour cela nous devons nous placer en ce lieu sacré qu’est la Terre Sainte ou se situe la Kaaba, le Centre du Monde pour notre communauté. Ce pèlerinage implique un dépouillement, et le pèlerin laisse toutes les affaires de ce monde pour effectuer le pèlerinage à la Maison Sacrée. Le pèlerinage intérieur implique lui aussi le dépouillement de tout ce qui n’est pas Dieu pour arriver au bout de sa Quête.
Autre exemple « classique » : le labyrinthe. Sa forme circulaire symbolise la Roue du Monde et le chemin intérieur, l’errance du pèlerin avant d’atteindre le Centre.
Les nombres sont également pris comme symbole. Par exemple le nombre douze qui nous concerne plus particulièrement en tant que chi’ites représente le monde achevé, un accomplissement du créé pour accéder à l’incréé.
L'Imam Ja'far As - Sadiq (as) dit:
"Lorsque tu prends la décision d'accomplir le Hajj, ôte pour Allah et avec résolution, toute distraction de ton coeur, ainsi que les voiles qui le recouvrent; confie toutes tes affaires à ton Créateur, remets - toi à Lui pour tout ce qui apparait de tes faits et gestes; soumets - toi à Son Décret, Son pouvoir et Sa Détermination; laisse de côté le repos et les affaires de ce monde (dounia); acquitte - toi de tout ce qui t'incombe envers autrui.
"Ne compte ni sur tes provisions, ni sur ta monture (moyen du transport), ni sur tes compagnons, ni sur ta force et ta jeunesse, ni sur ta fortune, de crainte qu'ils ne deviennent des ennemis et des nuisances pour toi.
"Prends les dispositions de quelqu'un qui n'espère pas le retour, conduis - toi bien envers tes compagnons, respecte les moments prescrits pour l'accomplissement des obligations d'Allah - Exalté Soit - Il - et de la Tradition (Sunna) de Son Prophète (PSL), ainsi que ce qui t'incombe à jamais de politesse, de tolérance, de patience, de reconnaissance, de compassion, de générosité et d'altruisme.
Celui qui veut se documenter peut lire :
-SYMBOLE DE LA SCIENCE SACREE de René Guénon, vraiment enrichissant.
-Images et symboles de Mircéa Eliade.
-On peut consulter le « dictionnaire des symboles » collection Bouquins.
As salamou alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouh
Allâhomma salli 'alâ Mohammad waâlî Mohammad
