Le savoir ressuscite toute mort spirituelle.
Des ennemis qui se voient sans jamais se toucher de mort existante c'est à dire sans les causes réel du décès, se font une guerre non déclaré clairement sur un champs de bataille limité par les limites des adhérents et de leurs capacités, une victime d'elle même est celle morte dans aucune guerre du coeur.
Un extrémiste idéologique par définition ne connaît pas les limites du bien.
Le religieux extrémiste innove sa religion pour son plaisir.
Le faux religieux amateur de gains illicites est un medecin qui vend la mort par peur du lendemain.
La contradiction est grande devant la confusion qui provient de l'illusion du réel.
Pour voir une illusion il faut la connaître.
Pour un démon le réel n'est que le pessimisme sinon son intelligence lui proposerez mieux comme parcours.
Pour un sorcier le monde est fait d'ordures comme lui mais il ne merite que d'être le roi des poubelles des autres sinon il ne vendrait pas son âme pour le prix d'une miette de bonheur, celui du malheur des autres.
Le sorcier se nourri du malheur.
Un monde ensorcelé est fait de superstitions sur Dieu, la portée de son savoir est de quitter la réalité du malheur par le malheur des bienheureux.
Un bienheureux n'aime que ce qui perdurent.
Ne perdure devant Dieu que la vérité, en disant tous il fait des promesses au bonheur de le faire régner sans malheurs au prix du bonheur.
Le prix du bonheur est la liberté.
La soumission du pieux c'est devenir prisonnier de Dieu et ne sortir que pour cause de vie ou de mort tout en sachant ce qui suit la vie et la mort.
La taqqya préserve de la mort inutile, et une mort dans le déshonneur est inutile devant Dieu pour celui qui respecte sa vie.
La wilaya est un pacte avec Dieu conclu comme tout pacte devant témoins et sans discour juste oui ou non, donc elle est conceptuelle, c'est à dire que comme toute religion sans la foi elle ne peut être comprise, comme un signal de réveil pour une âme sauver du sommeil de l'egarement.
Se rappeler d'un oui c'est oublier un non et maîtriser le contradictoire, c'est à dire que se rappeler de la wilaya c'est dire non à l'hérésie et c'est être de lumière dans un débat sur le sujet.
Un groupe diminuer du nombre et stable dans son discour face à une voix unie pour polémiquer et de plus suspecter d'être hérétique car il prétend être le mieux guidé est forcément véridique car la raison dominante ne s'interesse qu'à ceux qui la dénoncent et les dominés aiment avoir un ennemis pour assouvir des instincts tribals appris sur des supports qui diffusent le subliminal jusqu'à la purge ethnique ou bien religieuse.
Un instinct qui poussent à la haine provient de l'intérêt que l'on suscite chez l'ennemi.
Être tribal c'est faire la guerre chez soi à son frère car sa soeur n'est pas notre mère.
Pour diffuser un instinct de haine tribal il faut s'appuyer sur l'ignorance d'un nombre divisible jusqu'à l'élément passif et actif qui vont se lancer dans des débats stériles sur des début d'histoire stérile alors que la fin de l'ignorant est connu de tous, il ne soufflera pas sans dire je suis du plus au moins d'accord. Il ne comprend pas les argumentaires plausibles pour elaborer un schéma afin de trouver les réponses aux questions de société et de son âme. Qui suis je?
Le savoir ressuscite les coeurs car l'intelligence est une volonté d'avancer qui s'amène d'émotion. Ainsi un bon savoir se rajoute à la raison et amène le bien être.
Un mauvais savoir retire la raison pour le compte d'un autre, il y a donc manipulateur, véridique, et inconscient. Ou bien serviteurs et outils, les uns outils de Dieu qu'il se réservent pour son labour qui est celui de la vie et d'autre qu'il donnent à quiconque comprend l'usure de l'âme.
Le propriétaire n'achète pas deux fois sa parcelle.
Celui qui donne ne perd pas au change avec le même contrat de reprise.
Celui qui donne la vie et la mort à tout à chacun attend l'aboutissement d'un plan qui ne lui coûte rien et dont sa valeur lui importe peu tandis que ses principes se gardent Juge d'organiser toute une création avec le même objetecifs celui de mourir avec des bagages ainsi nous ne choisissons pas la suites des événements mais nous décidons bien les moments de sommeil sans jamais être sûr de ce que l'on a acquis de son repos. Il est donc impitoyable avec la deception de la bassesse et rehausse l'humilité des véridiques.
La vie est donnée pour une raison mais l'ignorance tue celle ci de prétentions car un stratagème qui cerne son auteur est la prétention.
La force des mots est un changement et bien parler c'est dispenser donc la parole sainte comble le vide par la lumière.
Les ténèbres viennent de l'obscurantisme car il ne sait qui il est, il ne voit pas ce que son intelligence ne peut voir de la raison. Ténèbres sur ténèbres il se consumme de sa decheance envers son etat obscur.
Être aviser c'est ne parler que pour répondre.
Posez la question avisée c'est ouvrir les mots par le sens.
La raison d'un argumentaire est contre le doute et quand le doute est visible par tous ceux qui ont le niveau de diriger, sachant qu'à chaque échelle se trouve un ordre, les plus proches de l'ordre de Dieu sont épargnés mais pas les victimes qui comprennent l'argumentaire de la raison proche du divin sans acquérir le bien.
Le jugement est pour ce qui s'acquièrent pour cause de convoitise ainsi la convoitise du bien est maître du bien et celle du mal amène le regret en phase avec nous même.
Dieu amplifie forcément le malheur de l'insolant car il ne comprend pas sa petitesse devant celui qui n'a ni début ni fin. Son stratagème est prétentions d'insolences.
L'insolence prend l'autre pour ignorant de sa faiblesse car quand on lui fait reproche du bien comme tentation de bien faire il parle pour s'excuser du mal. Y voyez vous contradiction? mais que faut il dire pour subjugué les sens par les mots… voici la vérité démasquée.
Le programmé pour fausses quêtes ne constate qu'illusion d'aboutissement alors que chaque jour il creuse une tombe sur mesure par l'assurance d'une fin programmé par celui qui l'a lui a destiné sur mesure à mesure de ses ambitions. Y voyez vous contradiction ? Que faut il voir pour entendre ou que faut il être pour comprendre… voici deux clivages... Comprenez vous ce qu'est vivre pour péché ou plaider contre soi même devant Celui qui fournit les moyens de péché et d'émancipations du péché a titre de tentations. Aini donc la liberté est sa réalité au prix d'un jugement sévère envers la légèreté.
Savez pourquoi il n'a point été donné aux prédécesseurs bien guidé de se lever et de parler? Car un stratagème est savamment orchestrée pour que le piègé avance de lui même en terrain connu d'une terre inconnue pour lui même. Il est savamment enfermer dans les ténèbres, le feu qu'il allume symbole de lumière pour lui est enfaite la source de son malheur à venir car des ténèbres lumineuses ne se voient tout de même pas. Il avance d'un pas concret mais dans le vide de son être comblé du vide de son ignorance.
Un avertit est bien renseigné et préoccupé du sujet.
Le zoo est pour les prisonniers qui ne connaissent leur nature.
La bassesse de la bassesse est un faible d'esprit à la dicté du savoir qu'il sait, il est imparfait comme son être, sa réflexion n'atteint pas le commencement et sa raison est bien étroite face à la vérité qu'il abjure sachant n'y répondre mieux.
La polémique du sot est le discours.
Polémiquer une mentalité c'est faire le tour de la raison.
La raison est véridique car par définition elle à toujours raison mais à son au delà se trouve Dieu maître des aboutissement en faveur de la raison. Discuter en faveur de la raison c'est donc parler de Dieu car lui seul sait. Là où on ne peut parler de Dieu sans la raison qui se trouve mêlées aux faux Dieu appelés idoles en tout temps par concept et point de repère dans sa vie on est amené à oublier une logique que seul la foi possede'' le cause à effets ne m'amène pas à notre mort certaine sans demander ce qu'est la sagesse et ses raisons parce qu'étrangement je suis moi même sans savoir d'où je viens mais je ne vois l'autre que comme une parti de moi même sans jamais se partager un contact mais bien parce que l'on raisonne, la raison que l'on partage m'interroge sur la cause de mon attachement. Je suis ce que je sais ainsi la raison est vaincu car son language raisonnable venue des codes et usages apprise de façon primaire et loyal d'un être createur du concept de la raison qui amène l'âme à s'interroger sur les raisons de la raison. Si la raison ne vient pas de mon organisation je dois organiser ma vie futur pour rencontrer celui qui m'a guidé à le connaitre de la logique. Est ce que mon Dieu tu me guides au point de me donner une famille qui me ressemble, un but qui nous rassemble, un objectif commun et une voix commune sortit des chemins hasardeux par un guide sachant la voie pour te reveler à moi par la raison sans jamais que je comprenne ta raison… et qui a déjà compris sa raison pour la contredire? pourtant il existe de fausses paroles... Et tout cela par une seul bonne action que tu retient de moi sur toi et de toi sur moi car tu as tracé les sentiers de la droiture où le souvenir de la bonne action de ta part envers nous doit être un rappel du pèlerinage de mon souvenir et de ma quête, pour mon ancêtre et celui qui suit, pour ta cause et celui qui l'embrasse de son savoir et de ses actes.''
Un atome de foi sort de '' l'enfer eternel'' car il comble le vide par la vie, une parole et un acte scellé par des paroles émotives vie dans le coeur de celui qui s'y attache comme une source de survie.
Un atome de foi est la norme devant le péché, on le regrette.
Celui qui se trompe se rectifie.
Le pèlerinage du pieux est de se rectifier.
Celui qui ne bouge pas est bien implanté et ses variables se suivent.
Le pèlerinage du pieux est millénaires parmi les siècles révolus car sa voie est implanté dans les coeurs de ceux qui se suivent.
Suivre la piété c'est la cultiver.
Récolter la piété c'est la semer.
Peu de lumière comble le vide de l'oeil, ainsi l'on voit à mesure du savoir acquis, on avance vers la lumière ou plutôt elle nous guide.
Semer la piété c'est penser à la mort et ainsi c'est dire des paroles plus vivantes qu'une mort certaine car certes la mort connaît son entré par finition à l'endroit terminal et bien prévu ainsi donc elle ressucite les certains mort par exposé du début de la fin à l'endroit terminal et bien prévu sans jamais appréhendé les causes et aboutissement de ce qu'elle fait de la vie. Sa satisfaction des décret est donc sa justesse et son jugement ne dépasse les décrets. La fêtes de noce à été bien entamé quand un véridique est tomber par les représentants de la décadence elle vont s'achever avec la naissance du tant attendu signe de l'Heure car bien ancien dans ses jours il guide d'une verge de fer.
Une nouvelle vie se réfléchit.
Rare sont ceux qui reviennent du Paradis pour permettre d'en juger, ceux ci ceux là parle de grande affaire qui les dépassent car beaucoup iront en enfer après être juger et d'autre au Paradis pour y être célébré. '' Félicitations ô l'élu de sa propre dignité, tu as bien renoncé au service de l'esclavage pour une femme veniel, voici l'ici bas te regrette ton passage faible en bruit mais puissant en certitude et de ta conviction dans le bien et ton respect des liens de parenté ton amènés à laisser ta trace sur l'édifice de la vie, On rapporte que le pauvre s'assoit à table avec toi puissant ou faible mangent à leur faim sans jamais êtres rassasiés. Tu as été bercée sous la pluie de la pluie de la sagesse, ton respect pour toi même ta mener à la droiture ainsi tu as récolté les bienfaits de la droiture devant ton Seigneur ainsi tu as été comblé dans ta vie future de ce que tu possedent de ta bonne humeur. On t'appelera bénis car une bénédiction de Dieu est Éternel comme sa Promesse. Prend ta place et sois fier du bien que tu as avancer pour toi par l'Assistance de ceux qui assistent, un Dieu Dispensateur.''
Pour savoir le malheur du menteur la parole dîtes doit l'enrager comme la rage de celui qui acquiert ce qu'il ne connaît pas, il voit son contrôle lui échapper et son intelligence diminuer devant une parole contre lui dont toute l'ampleur n'est saisit que par le dégoût qu'il constate de lui même.
Le choc mental déprime.
Un choc mental de Dieu est Éternel dans la destruction de la pensée du sujet de vengeances divines car le sujet se rend compte de l'ampleur de son erreur envers ses capacités.
Le denis se supporte d'handicapes assumés et affichés pour faire croire à la normalité.
Un clone mental mange et dors comme une bête car sa pudeur est abolie, il est acteur de l'abolition de son discernement car celui qui n'est point pudique se voit forcément diminuer de la pudeur et avec elle de partie, le charme est parmis les dernier à partir avant le dégoût de soi même qui ne laisse que la quête d'une idole pour se consolider un faire valoir.
Le sang froid est un concept qui ne s'étonne jamais et quand il rencontre le sang froid il sourit à la pression.
Savoir péché de sang froid amène soit à rire soit à aimer le frisson et c'est toujours en demander plus.
Un sang froid inviolable sourit devant tout le panel de la mort, il calcul ses capacités à résister à la torture psychologique comme tellement puissante que quand il parle aux geoliers de l'idée qu'il est lui même manipulé par un espion gardé comme carte maîtresse de Celui qui connaît les complots de la contradiction des coeurs, maître de la guerre mentale de geôlier bien prisonnier d'eux, son rappel sonne à la porte d'un nouveau siècle. Le sang froid devenue mature devient immaculé c'est à dire inviolé. Le sang froid pour dominer plus contradictoire dans sa quête de justice ira jusqu'à se denoncer car il est le plus conscient et donc au plus proche de tout les panels de la mort. Le savoir ancien et nouveau est mortuaire car il provient du passé pour concrétiser la pérennité du futur par une évolution qui stagne… la vie éternelle après l'épreuve de la mort.
Parler devant plus intelligents c'est marché tout en essayant de rester inconnu devant les regards.
Reconnaître la supériorité d'un élu c'est savoir la place que l'on mérite car Celui qui connaît la place de son élu, la porté dans son coeur.
Dieu n'a de coeur que tout ce qui raisonnent ce qui ne vie pas. Ainsi on ne le perçoit que par la vision du coeur car le coeur se rappel de source intime qu'il a été créé avec une nature qui oublie pour se rappeler l'essentiel de ses intérêts, ce qu'il lui faut pour être lui même et au moment voulu Dieu récolte le coeur pour le juger par le Rappel de sa soumission qu'il avait obligation d'embellir par le savoir, la connaissance de Dieu.
Connaître Dieu c'est voir la mort avec satisfaction et la vie de ce monde sans attirance.
L'attirance pour ce monde est le triomphe de la vérité.
L'attirance de ce monde sont ses formes généreuses exhibées à l'adultaire de l'être.
L'adultaire de l'etre est disciple de la trahisons de la confiance car pour trahir la confiance d'autrui il faut forcément lui en vouloir et en même temps le mettre en confiance tellement intimement que l'on se persuade l'aimer.
Le traître voit son mal le suivre car sa parole l'appel à grand cris.
Une raison vaincu se tait, ou bien elle parle de son ressenti face à ce choc conscient, ou bien même elle s'émeut.
Un ignorant vaincu rigole de son ignorance, ou bien il dément son ignorance en cherchant le pour et le contre à la fois, ou bien il enrage devant son silence.
Le silence de l'ignorant est fêter par la sagesse, ainsi le savoir tue par un plus ou un moins, celui qui se tait ajoute un plus de savoir et celui qui parle d'ignorance entame un dialogue sur la perte de son temps ainsi la mort de l'ignorant est fêter par sa sagesse. Ainsi la parole de sage est écoutée par les sages et spéculée par les ignorants. Le sage de l'apparent et du caché parle d'une même langue et d'une même science, celles de Dieu, ainsi le sage de Dieu écoute par la bonne oreille et parle de bien pour la victoire du bien. Mais l'ignorance amène sa science ramassée ci et là avec sont intellect imparfait, il spécule une cause dont il n'est même pas à l'origine du message… car n'est ignorant en plus du denis que celui qui croit à son intelligence sans être avertie de l'être. Ainsi l'ignorant se croit sage et le sage sait la sagesse et cela s'entend et se voit comme le jour se lève âpres la nuit d'une journée passé. Si il y a un Dieu il n'y a qu'une école de pensée juridique et ancestral qui se suit parmi les gardiens de connaissance et d'autorité devant Dieu pour l'égard qu'il donne à certain sur ceux là.
Vivre de sa lâcheté c'est régner pour le compte d'un tyran.
Le mauvais point de vue est aveuglément devant les preuves et c'est nier les faits en donnant un autre sens des constat d'une réalité pour une discussion avec différents points de vue.
Le mal voit son intérêt dans l'interdit, en commençant par se contredire pour devenir son pire ennemis.
La douceur qui brule laisse une cicatrice, une cauterisation dû aux péchés ou un encaissement de l'instant présent, du passé et du futur par l'esprit et l'âme communions de l'être conscient afin de vivre une meme fin, d'une même histoire avec différents constats d'une même réalité partagé par plusieur raisons, ainsi la raison du faible et aspirée par l'information symbole de confusion par une association de langues habile mais qui se repère au coups par coups tandis que le coups mortel arrive si vite que sa cicatrice est éternelle face a son choc. Le sourd en parlera à l'aveugle de voir si il est possible à un muet de négocier une défaite si vite arrivée que le temps en parlera pour se rappeler de lui même et de son histoire car faire parti de son histoire pour de vrai c'est refuser d'être dans le faux. Bien lourd sur la balance qui sait peser et pesante sur la charge qui ne sait prendre ce qu'il y a de bien. On est charger de souvenirs et le chargé de plaider sa cause se souvient de sa raison de vivre qui lui servait de raison.
Devant ce qui se précise l'aveugle entend sans jamais voir.
Devant ce qui se voit le sourd ne l'a jamais compris.
Devant les défits de la raison le muet est bien avisé.
L'ombre du menteur est dans le doute vis à vis de ce qui sort du menteur car ses mensonge finissent par dire vrai par leur nombre de contradictions. Donc étant dans l'ombre du Jour claire l'action du tyran accusée de tyrannie est donc de masquer sa peur de la fin d'une révolution bien antérieur et d'une conclusion former depuis l'âge par une désinformation de masse sur l'identité d'un soit disant sauveur étant lui aussi accusé de tyrannie mais bien docile et insouciant de son vrai Protecteur, n'y a t'il pas dans une tradition sur soufyani qu'il sera pris pour madhi par l'appel du Diable diffusé sur les ondes terrestres. Il partage les caractéristiques du Mahdi de son école sans jamais posséder son savoir de lui même. Être bien guidé soi même c'est savoir ce qu'est être guide et bien guidé devant l'autre mais jamais guidé par soi même. Ce paradoxe consiste dans le fait que être sauver c'est avoir un garant, maître de soi et des voie parmi les voix d'ascensions des degrés du savoir créateur de conscience, celles du dernier mots d'un décret. C'est ainsi que la patience est la vertue de la pauvreté devant l'impuissance de l'attente d'un changement des événements plus propices à la vie, c'est à dire ce qu'il faut pour ce qu'il faut. Pour une victoire venue de celui qui donne la défaite sur l'illusion d'un paradis en enfer il faut que le même soit Dispensateur d'un paradis au paradis car le faux ne tient pas face au vrai ni la prétention de perdurer devant les promesses d'une fin imprévisible sur tout paramètres, la mort.
Hésiter devant une vérité prouvée de constats qui forment les faits d'une seule réalité c'est voir la vérité sans jamais comprendre.
Croire c'est se programmer à croire.
Bien parler pour une cause ses rallier du monde, croire à une cause c'est choisir un mode de vie.
Ne croire en rien c'est ne pas savoir ce qu'implique un ordre naturel d'éléments uniques et distincts d'une même nature de biosphères originelle scénarisées en grands et petits cycle.
Une cause ne rassemble que ses membres et un parasite ne connaît pas les fondement de la création vue la trame historique car il ne percoit pas un ordre dans ce qu'il n'explique pas de ce qu'il connaît de tangible allant dans le thème de l'histoire et ses répercussions sur l'histoire.
Un élu est par définition inconu de sa propre existence sinon il est réserviste, il attend son heure.
Le vol d'un territoire à un peuple finit soit par une attitude de syndrome de Stockholm soit par une extermination.
Dans un commerce international le libre échange est une perte des débouchés sur sa zone d'échange nationale pour le profit de ses partenaires. On en recolte le rachat par petites doses a cause des frais pour la recherche et le développement afin d'une bonne gestion des ressources.
L'ascendant technologique allié à l'ascendant morale font exister un pôle diffuseur de complexe pour des semi-assistés car toujours obligés de survivre. Pour que le schéma perdure il faut le marquer dans le temps, pour l'ascendant il faudra inventer une image de '' héro '' de tout temps. Pour être acceptée elle doit plaire à la majorité ou paralyser la minorité.
Un complots se connaît par ceux qui le pratiquent et par des temoins comme la scène de ceux qui assistent à un règlement de compte.
Le portrait du coupable est évident après un rappel des événements, son odeur sent le déjà vu au point d'être inodore.
La culpabilité n'est pas un motif pour inculper le privilège d'être à la base des lois et idéologies. Un tel groupe est un faux Dieu.
Diffamer une vérité de bon sens ouvertement par un dictat inventé d'une idéologie du moment résulte d'une organisation à but non lucratif pour l'autre mais lucratif pour soi.
Un partenaire partage son aléa moral.
L'aléa morale est fait de fuite dans un raisonnement de flux et d'idée qui veulent schématiser une entreprise. Détenue pour son compte on gagne du pouvoir sur les aboutissements et les tenants d'une crise causée par les raisons de ses fuites.
Un pays qui ouvre son marché sur un salaire dicté par la part de sa monnaie verra l'aléa moral des monopoles extérieur existant sur son territoire lui causer une politique étrangère qui lui dicte sa monnaie et donc son évolution.
Une prise d'otage economique se fait sur base de la monnaie pour que les aboutissements de la monnaie soit bloqués. L'intérêt est d'avoir la plus grande part de profit lors de négociations sous inspiration de prise d'otage. L'echange se fait sous la dictée si l'aléa moral est maîtrise.
L'aléa moral des monopoles extérieurs qui causent des fuites bien provoquées et ciblées afin de faire apparaître le schéma du prédateur et de sa proie laisse apparaître les conditions d'esclavagismes idéologiques qui sont palpable de la raison mais doit on deviner l'existence du réel ? Oui est non car on est limité dans notre intelligence et c'est en faite le menteur qui reconnaît son adversaire et non l'inverse sinon le menteur serait manipulé et le véridique serait paranoïaque.
Dans un échange les partis échangent des valeurs.
Dans un monde de raison de dominations la division de groupe élimine les dominant et grossit les dominés.
Faire la guerre pour le compte du fantasme de consommer pour vivre est le pillage d'un violeur.
Vendre un mensonge à prix d'or ce fait chez l'ignorant ou dans les nations d'ignorance, c'est le prix de vivre avec la peur de mourir de faim qui pousse à s'armer contre un futur en commun avec des ambitions illimités et égoïstes.
Se sentir appartenir à une cause pleine de sens mortuaire c'est préparé une mort en réunion.
Un syndrome de Stockholm chez un sujet est pareil au sarcasme, il ne laisse qu'un arriere gout.
Le sarcasme sort de l'autoderision à faire du sérieux comique, ainsi celui qui rigole est un comique insensé et celui répond par plus sarcastique tire une satire du sarcasme. Les meilleurs partent les premiers dans un parti suicidaire. C'est à dire que le syndrome de Stockholm d'un parti suicidaire est l'existance même en son sein de l'annulation de sa thèse existentielle car allant en sens inverse.
Un parti suicidaire existentielle ne comprend que régression pour domination de sa thèse suicidaire.
Un parti suicidaire est essentiellement voué à attirer un simple d'esprit qui donne son temps pour ne rien récolter.
La thèse suicidaire fait croire aux choix qui ressortent de dictats imposés par une élite marchande de son aléa morale a l'exterieur de ses frontières depuis les coullisses de scènes de théâtres jouées par un parti en quete d'un frisson mortuaire comme revenir de l'enfer, leur suicide a demander dans un protocolaire de plans tangible et devenus des faits actuellement la venue d'un opposé à leur échecs a resoudre un problème d'impuissance. Leur contradiction est de s'ennuyer pour trouver utile l'inutile comme un vendeur qui a sa clientèle de rien.
Un raisonnement sur l'homme laisse place à l'interprétation et qui interprète la raison si ce n'est son introspection du temps? Pour connaître les fondements d'une finalité et la finalité d'une cause par raisonnement, il faut armer son autodiscipline de fondations ancré dans le vrai pour que l'édifice d'une vie se voit bénéfique et protecteur.
