Salam 3alaykoom!
[Āyatullāh Tehrānī raconte qu'une fois à Téhéran, il était allé à la librairie Islamiyya située dans la rue Buzarjumharī pour acheter des livres. Il était l'ami de l'un des partenaires de l'organisation, Hāj Sayyid Muhammad Kitābchī, qui était responsable du magasin de la librairie. Il est allé à la librairie pour le rencontrer et acheter aussi des livres. Un homme était également venu au magasin pour acheter des livres. Ayant acheté les livres dont il avait besoin, il a commencé à partir, quand soudainement il a commencé à dire: Mon bien-aimé Allah, mon médecin Allah, mon aide, mon aide, mon âme, mon âme. Le Āyatullāh raconte:] En le regardant, j'ai vu que son visage était devenu rouge et qu'il transpirait; il était plongé dans le bonheur et l'extase sans limite. Je lui ai adressé la parole: «Cher Monsieur! Cher derviche, ne mangez pas tout seul(faite nous participer à votre amour); ce n'est pas la coutume de la bienfaisance »; Il se retourna et commença à chanter quelques poèmes de Bābā Tāhir 'Uryān [un mystique bien connu enterré à Hamadān]. Par la suite, il se tut et pleura beaucoup. Puis il est devenu heureux et a ri. J'ai dit: 'Ahsant! [Par la suite, une conversation a suivi. Au cours de la conversation, atyatullāh Muhammad Husayn Tehrani demande au saint de l'informer comment il pourrait atteindre une telle position exaltée, et le saint raconte son anecdote comme suit:]
J'avais une vieille mère qui était malade et handicapée. Elle a été clouée au lit pendant de nombreuses années. J'étais seule à son service et je répondais à ses besoins: je lui cuisinais de la nourriture, je lui apportais de l'eau pour les ablutions et j'étais à son service pour ses différents besoins. Cependant, elle était très mal élevée et me maltraitait parfois, mais je le supportais et lui répondais avec un sourire. En raison de cette attitude même, je ne me suis pas mariée, bien que mon âge ait dépassé quarante ans. C'était parce que le maintien d'une famille avec le genre de caractère que ma mère avait était impossible pour moi. Je savais que si je me mariais, soit elle provoquerait notre séparation, soit je serais obligée de la quitter. Mais abandonner ma mère n'était pas acceptable pour ma conscience. Par conséquent, j'ai observé la patience de rester célibataire et je me suis résigné à la situation. Parfois, grâce à une grande patience devant ses mauvaises manières, j'éprouvais une étincelle de lumière dans mon cœur, un état de bonheur et de joie. Cependant, cela ne serait que temporaire. Cette situation a perduré jusqu'à une froide nuit d'hiver. J'avais placé mon lit près du sien pour qu'elle ne soit pas seule et n'ait pas besoin d'élever la voix pour m'appeler pour ses besoins. Cette nuit-là, j'avais rempli une cruche d'eau et je l'avais placée près de mon chevet tout le temps, de sorte que si ma mère avait besoin d'eau, je la lui donnerais immédiatement. Au milieu de cette nuit, elle a demandé de l'eau. Je me suis immédiatement levé et j'ai rempli un petit récipient d'eau et je lui ai donné: «Prends, chère mère. Elle, étant dans un état de somnolence, ne s'est pas rendu compte que j'ai répondu immédiatement à sa demande; elle pensait que je lui avais apporté de l'eau tardivement. Sur ce, elle m'a traité de façon étrange, langage grossier et m'a frappé sur la tête avec le récipient d'eau. J'ai immédiatement rempli à nouveau le récipient d'eau et je lui ai dit: «Chère mère, prends et pardonne-moi; Je suis désolé! En disant cela, j'ai été submergé et je ne savais pas ce qui s'était passé ensuite. Bref, j'ai atteint mon aspiration: ces étincelles s'étaient accordées dans un monde de lumière ressemblant au soleil radieux; et mon bien-aimé, mon ami, mon aide , mon médecin, m'a parlé. Par la suite, cet état n'a jamais cessé. Et cela fait des années maintenant que cet état est resté…
[Āyatullāh Tehrānī raconte qu'une fois à Téhéran, il était allé à la librairie Islamiyya située dans la rue Buzarjumharī pour acheter des livres. Il était l'ami de l'un des partenaires de l'organisation, Hāj Sayyid Muhammad Kitābchī, qui était responsable du magasin de la librairie. Il est allé à la librairie pour le rencontrer et acheter aussi des livres. Un homme était également venu au magasin pour acheter des livres. Ayant acheté les livres dont il avait besoin, il a commencé à partir, quand soudainement il a commencé à dire: Mon bien-aimé Allah, mon médecin Allah, mon aide, mon aide, mon âme, mon âme. Le Āyatullāh raconte:] En le regardant, j'ai vu que son visage était devenu rouge et qu'il transpirait; il était plongé dans le bonheur et l'extase sans limite. Je lui ai adressé la parole: «Cher Monsieur! Cher derviche, ne mangez pas tout seul(faite nous participer à votre amour); ce n'est pas la coutume de la bienfaisance »; Il se retourna et commença à chanter quelques poèmes de Bābā Tāhir 'Uryān [un mystique bien connu enterré à Hamadān]. Par la suite, il se tut et pleura beaucoup. Puis il est devenu heureux et a ri. J'ai dit: 'Ahsant! [Par la suite, une conversation a suivi. Au cours de la conversation, atyatullāh Muhammad Husayn Tehrani demande au saint de l'informer comment il pourrait atteindre une telle position exaltée, et le saint raconte son anecdote comme suit:]
J'avais une vieille mère qui était malade et handicapée. Elle a été clouée au lit pendant de nombreuses années. J'étais seule à son service et je répondais à ses besoins: je lui cuisinais de la nourriture, je lui apportais de l'eau pour les ablutions et j'étais à son service pour ses différents besoins. Cependant, elle était très mal élevée et me maltraitait parfois, mais je le supportais et lui répondais avec un sourire. En raison de cette attitude même, je ne me suis pas mariée, bien que mon âge ait dépassé quarante ans. C'était parce que le maintien d'une famille avec le genre de caractère que ma mère avait était impossible pour moi. Je savais que si je me mariais, soit elle provoquerait notre séparation, soit je serais obligée de la quitter. Mais abandonner ma mère n'était pas acceptable pour ma conscience. Par conséquent, j'ai observé la patience de rester célibataire et je me suis résigné à la situation. Parfois, grâce à une grande patience devant ses mauvaises manières, j'éprouvais une étincelle de lumière dans mon cœur, un état de bonheur et de joie. Cependant, cela ne serait que temporaire. Cette situation a perduré jusqu'à une froide nuit d'hiver. J'avais placé mon lit près du sien pour qu'elle ne soit pas seule et n'ait pas besoin d'élever la voix pour m'appeler pour ses besoins. Cette nuit-là, j'avais rempli une cruche d'eau et je l'avais placée près de mon chevet tout le temps, de sorte que si ma mère avait besoin d'eau, je la lui donnerais immédiatement. Au milieu de cette nuit, elle a demandé de l'eau. Je me suis immédiatement levé et j'ai rempli un petit récipient d'eau et je lui ai donné: «Prends, chère mère. Elle, étant dans un état de somnolence, ne s'est pas rendu compte que j'ai répondu immédiatement à sa demande; elle pensait que je lui avais apporté de l'eau tardivement. Sur ce, elle m'a traité de façon étrange, langage grossier et m'a frappé sur la tête avec le récipient d'eau. J'ai immédiatement rempli à nouveau le récipient d'eau et je lui ai dit: «Chère mère, prends et pardonne-moi; Je suis désolé! En disant cela, j'ai été submergé et je ne savais pas ce qui s'était passé ensuite. Bref, j'ai atteint mon aspiration: ces étincelles s'étaient accordées dans un monde de lumière ressemblant au soleil radieux; et mon bien-aimé, mon ami, mon aide , mon médecin, m'a parlé. Par la suite, cet état n'a jamais cessé. Et cela fait des années maintenant que cet état est resté…
