Salam alaykoum
"Ce que ni le ciel ni la terre ne peuvent supporter.
O Seigneur! Comment pourrais-je alors le supporter, moi, qui suis Ton serviteur, faible,
humble, vulgaire, pauvre et appauvri ?!
O Mon Dieu, Seigneur, Mon Maître et Mon Souverain!
duquel de mes malheurs je me plaindrais auprès de Toi et pour lequel d’entre eux je crierais et pleurerais?
De la dureté et de la sévérité du supplice ou de la continuité et de la longue durée du malheur?
Si Tu m’infligeais les mêmes peines que Tu infliges à Tes ennemis
et que Tu me mettes avec ceux qui subissent le malheur auquel Tu les as condamnés
et si Tu me séparais de ceux qui T’aiment et Te sont fidèles,
(à supposer, O Mon Dieu, Mon Maître, Mon Souverain et Mon Seigneur, que je puisse supporter le supplice que Tu m’infligerais )
comment pourrais-je endurer ma séparation de Toi?
(et à supposer que je puisse endurer la chaleur de Ton enfer)
Et comment pourrais-je supporter l’idée de ne plus aspirer à Ta Générosité ?
Et comment pourrais-je habiter l’enfer alors que j’aspire à Ton Pardon?
C’est pourquoi, O Mon Maître et Mon Souverain, je jure sincèrement, par Ton Autorité,
que si Tu me laissais y parler, j’y soulèverais auprès de ses habitants, un vacarme semblable au vacarme de ceux qui vivent dans l’espoir,
et j’y lancerais vers Toi les cris de ceux qui crient au secours,
et j’y pleurerais sur Toi comme ceux qui pleurent leurs disparus.
et je T’appellerais, où que Tu sois, O Seigneur des fidèles!
O Sommet des espoirs des connaisseurs!
O Secours de ceux qui crient au secours!
O Aimé des coeurs des véridiques!
O Dieu des mondes!
Gloire et louange à Toi!"
Paix sur vous...
"Ce que ni le ciel ni la terre ne peuvent supporter.
O Seigneur! Comment pourrais-je alors le supporter, moi, qui suis Ton serviteur, faible,
humble, vulgaire, pauvre et appauvri ?!
O Mon Dieu, Seigneur, Mon Maître et Mon Souverain!
duquel de mes malheurs je me plaindrais auprès de Toi et pour lequel d’entre eux je crierais et pleurerais?
De la dureté et de la sévérité du supplice ou de la continuité et de la longue durée du malheur?
Si Tu m’infligeais les mêmes peines que Tu infliges à Tes ennemis
et que Tu me mettes avec ceux qui subissent le malheur auquel Tu les as condamnés
et si Tu me séparais de ceux qui T’aiment et Te sont fidèles,
(à supposer, O Mon Dieu, Mon Maître, Mon Souverain et Mon Seigneur, que je puisse supporter le supplice que Tu m’infligerais )
comment pourrais-je endurer ma séparation de Toi?
(et à supposer que je puisse endurer la chaleur de Ton enfer)
Et comment pourrais-je supporter l’idée de ne plus aspirer à Ta Générosité ?
Et comment pourrais-je habiter l’enfer alors que j’aspire à Ton Pardon?
C’est pourquoi, O Mon Maître et Mon Souverain, je jure sincèrement, par Ton Autorité,
que si Tu me laissais y parler, j’y soulèverais auprès de ses habitants, un vacarme semblable au vacarme de ceux qui vivent dans l’espoir,
et j’y lancerais vers Toi les cris de ceux qui crient au secours,
et j’y pleurerais sur Toi comme ceux qui pleurent leurs disparus.
et je T’appellerais, où que Tu sois, O Seigneur des fidèles!
O Sommet des espoirs des connaisseurs!
O Secours de ceux qui crient au secours!
O Aimé des coeurs des véridiques!
O Dieu des mondes!
Gloire et louange à Toi!"
Paix sur vous...