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Bismil-Lâhir-Rahmânir-Rahîm
Salam Alaykoum à toutes et à tous.
On sait que le St Coran fût mis en forme tel que nous le connaissons bien après la mort du Prophète (saw).
Quand le St Prophète (saw) écrivait une lettre à un personnage important il ne l’écrivait pas sur des omoplates, il y a donc des parchemins, pourquoi le Coran n’est-il pas mis sur parchemin de bout en bout de son vivant ?
Peut-être ne voulait-il pas que l’on confondît, le St coran et son enseignement propre ou que son enseignement primât sur le St Coran. Pourquoi les prophètes n’ont laissé aucun écrit de leurs mains ?
Le prophète Isa (Jésus) (as) n’échappe pas à la règle et il n’y a aucun enseignement direct du prophète, aucun écrit de sa main.
On trouve que c’est en réalité des écrits faits par les disciples.
On peut en déduire que les prophètes répondent aux questions, provoquent les questions, montrent par l’exemple, mais n’écrivent pas.
Si les prophètes ne laissent pas d’écrits de leurs propres mains cela ne veut pas dire qu’ils ne savent pas écrire.
Ainsi en est-il du St Coran qui n’est pas écrit de la main du St Prophète (saw) mais qui est une compilation recueillie auprès des compagnons, de la Révélation de Dieu au St Prophète (saw) et mis en forme du temps du califat de Othman.
Et c’est un peu comme si le Prophète (saw) avait confié le St Coran entre les mains des gens sans distinction, pour qu’ils le compilent et le mettent en forme eux-mêmes. Une question me vient, ou plutôt deux, ce qui revient au même : est-ce possible et est-ce raisonnable connaissant la gente humaine et son instabilité dans tous les domaines : mentale, sentimentale, politique, etc... (ce que le St Prophète (saw) ne pouvait sûrement pas ignorer) de laisser cette garde et cette compilation entre les mains de tous.
L’histoire a d’ailleurs prouvé que l’homme est peu fiable, puisque après la mort du St Prophète (as) beaucoup se sont détournés de l’islam, puis de Ali(as) son successeur, qu’il avait nommé devant des milliers de témoins, et on sait aussi quel sort monstrueux fût réservé à Hussein (as) petit-fils du St Prophète (as). Tout cela pour montrer le peu de fiabilité de la gente humaine dans son ensemble.
Le Coran VI 25 dit : « Il en est parmi eux qui viennent t'écouter, cependant que Nous avons entouré de voiles leurs coeurs, qui les empêchent de comprendre (le Coran), et dans leurs oreilles est une lourdeur. Quand même ils verraient toutes sortes de preuves, ils n'y croiraient pas. Et quand ils viennent disputer avec toi, ceux qui ne croient pas disent alors: ‹Ce ne sont que des légendes des anciens›. »
Et IV 61. « Et lorsqu'on leur dit: ‹Venez vers ce qu'Allah a fait descendre et vers le Messager›, tu vois les hypocrites s'écarter loin de toi. »
La Parole de Dieu, laissée aux soins des hommes, aucun écrit de sa main ou de la main d’un compagnon sûr, pas de sauvegarde du St Coran, pas de supervision du St Prophète (saw) même s’il ne l’avait pas écrit de sa main, surprenant !
De plus le St Prophète (saw) n’a certainement pas sous estimé l’importance qu’allait prendre l’écriture pour l’Islam du fait même que la seule façon de conserver la Parole d’Allah c’était où bien la mémoire ou bien l’écriture. On sait que la mémoire n’est pas infaillible, ni intemporelle, il reste donc la seconde solution.
Et à qui le St Prophète (saw) pouvait-il confier ce maintien intégral du St Coran en écriture mais aussi en compréhension intégrale ?
A l’Imam Ali (as) et seulement à lui qui en avait la capacité intellectuelle, mais surtout spirituelle. On voit par ces explications la place essentielle qui est réservée à l’Imam, il est le gardien et le mainteneur du Livre Saint, détenteur des sens cachés. On ne peut comprendre pourquoi le Saint Prophète (saw) n’a pas pris la peine de faire compiler le St Coran si l’on n’a pas la clé : l’Imam.
Al-Tabarânî rapporte dans "Awsat" et "Çaghîr" qu'Om Salama a relaté: J'ai entendu le Messager de Dieu dire: «'Alî est avec le Coran et le Coran est avec 'Alî. Ils ne se sépareront pas avant qu'ils arrivent à la fontaine de Kawthar au Paradis».
Ibn Sa'd rapporte que 'Alî a dit: «Par Allah, jamais un verset du Coran n'a été révélé sans que je voie maintenant ce qu'il a révélé et à propos de qui il a été révélé, car mon Seigneur m'a doté d'un coeur sage et d'une langue éloquente».
Ibn Sa'd et d'autres rapportent d'Ibn Tofayl, que 'Alî a dit: «Interrogez-moi sur le Coran, car il n'y a pas un verset dont je ne sache pas s'il a été révélé la nuit ou le jour, dans les plaines ou sur les montagnes».
Ce que je tiens à souligner également, c’est que la source doit rester toujours pure, et seul un homme infaillible est capable de garder le Coran authentique. La source doit rester source et n’est jamais rivière sous peine d’être corrompue et avec nos Imams la source est toujours pure et ceci afin que les hommes puissent trouver la Vérité en tout temps.
Pendant l’occultation, qui est un temps très perturbé, nul n’approche de la source sans s’être purifié.
Le St Prophète (saw) laissait après lui le Coran « Parlant » et ce Coran Parlant n’était autre que l’Imam Ali (as) qu’il avait nommé à Ghadir Khum. Car qui pouvait garder et enseigner le St Coran aussi sûrement que le Prophète (saw) lui-même, sinon Ali (as) ?
Au départ c’est une tradition orale, qui devient écrite (et support d’une recherche spirituelle) et qui se fige dans le temps et se transmet par le Livre que nous connaissons.
On peut penser qu’il fallait que les hommes prennent possession du message prophétique pour l’assimiler et le répandre, ce qui est légitime. Mais comment saisir le sens ou les sens d’un livre saint sans aide ? La réponse est que l’Imam et le Coran sont liés.
Les écrits peuvent être détournés de leur sens réel, mais la parole d’un Imam reste véridique ce qui prouve que les deux ne peuvent jamais être séparés comme l’atteste le hadith : Le Saint Prophète a dit : «Je suis sur le point d'être rappelé [par Allah] et de répondre [à ce Rappel]. Je vous laisse les Deux Poids [al-Thaqalayn] : le Livre d'Allah, et ma Famille, les Gens de ma Maison. Celui Qui est Doux [Allah] m'a informé qu'ils ne se sépareront pas jusqu'à ce qu'ils reviennent vers moi près du Bassin [le Jour du Jugement]. Regardez donc bien comment vous les traiterez après moi.» Cité par Ahmad ibn Hanbal.
Le Saint Prophète (saw) laisse deux choses : sa Famille (as) et le Livre, mais où est le Livre à ce moment là, puisqu’il n’est normalement pas encore réuni comme nous le connaissons, sinon avec l’Imam ?
Selon Râfi', le serviteur d'Abû Tharr, cité par al-Chibrâwî al-Châfi'î: «Un jour, Abû Tharr est monté sur le seuil de la Ka'bah et a tenu l'anneau de la porte, en s'écriant: "O gens ! Celui qui me reconnaît, tant mieux. Et celui qui ignore qui je suis, qu'il sache que je suis Abû Tharr ! J'ai entendu le Messager d'Allah dire: "Les Gens de ma Maison sont comme le Bateau de Nûh [Noé]. Celui qui y monta fut sauvé, et celui qui le manqua fut jeté dans le Feu." J'ai également entendu le Messager d'Allah dire: "Considérez que les Ahl-ul-Bayt sont par rapport à vous ce que la tête est au corps, et ce que les yeux sont à la tête, car le corps ne peut trouver le bon chemin que grâce à la tête, et la tête ne peut trouver son chemin que grâce aux yeux."
La plupart des gens ont rejeté l’un (l’Imam) et ils ont gardé l’autre (le St Coran). Alors que l’un et l’autre ne peuvent être séparés, nous l’avons vu dans le hadith dit « al-Thaqalayn » [les deux poids] ci-dessus. Or, le garant de la religion spirituelle, et gardien et guide pour la compréhension du Coran, après la mort du St Prophète (as), c’est l’Imam.
A n'en pas douter, il existe au sein de l’islam une tradition orale, une « révélation » orale qui se transmet d’Imam en Imam et qui maintient la Parole de Dieu toujours pure et hors de portée des différents courants d’un islam officiel et historique, limité et figé dans le temps, et pas seulement catalogué de principes, de dogmes religieux ou de lois.
Conclusion : La Vérité la plus profonde ne peut jamais être écrite ailleurs que dans les coeurs et non sur du papier. Elle ne peut jamais être écrite et laissée sans guide, sous peine d’être déformée et cristallisée. Le St Coran peut-être lu par les yeux, compris intellectuellement, mais seule le coeur en pénètre le véritable sens. (inch’Allah)
Allah nous dit dans le St Coran II 225 :
« Ce n'est pas pour les expressions gratuites dans vos serments qu'Allah vous saisit: Il vous saisit pour ce que vos coeurs ont acquis. Et Allah est Pardonneur et Patient. »
et en III 8 : « Seigneur! Ne laisse pas dévier nos coeurs après que Tu nous aies guidés; et accorde-nous Ta miséricorde. C'est Toi, certes, le Grand Donateur! »
Ce qu’il faut lire, c’est ton propre Livre et non celui des autres, et le St Coran devrait être lu -comme nous le disent certains maîtres spirituels- « comme s’il n’était révélé que pour toi » et je rajouterais avec le coeur d’un ummî.
As salamou alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouh
Allahomma salli 'ala Mohammad waali Mohammad
Salam Alaykoum à toutes et à tous.
On sait que le St Coran fût mis en forme tel que nous le connaissons bien après la mort du Prophète (saw).
Quand le St Prophète (saw) écrivait une lettre à un personnage important il ne l’écrivait pas sur des omoplates, il y a donc des parchemins, pourquoi le Coran n’est-il pas mis sur parchemin de bout en bout de son vivant ?
Peut-être ne voulait-il pas que l’on confondît, le St coran et son enseignement propre ou que son enseignement primât sur le St Coran. Pourquoi les prophètes n’ont laissé aucun écrit de leurs mains ?
Le prophète Isa (Jésus) (as) n’échappe pas à la règle et il n’y a aucun enseignement direct du prophète, aucun écrit de sa main.
On trouve que c’est en réalité des écrits faits par les disciples.
On peut en déduire que les prophètes répondent aux questions, provoquent les questions, montrent par l’exemple, mais n’écrivent pas.
Si les prophètes ne laissent pas d’écrits de leurs propres mains cela ne veut pas dire qu’ils ne savent pas écrire.
Ainsi en est-il du St Coran qui n’est pas écrit de la main du St Prophète (saw) mais qui est une compilation recueillie auprès des compagnons, de la Révélation de Dieu au St Prophète (saw) et mis en forme du temps du califat de Othman.
Et c’est un peu comme si le Prophète (saw) avait confié le St Coran entre les mains des gens sans distinction, pour qu’ils le compilent et le mettent en forme eux-mêmes. Une question me vient, ou plutôt deux, ce qui revient au même : est-ce possible et est-ce raisonnable connaissant la gente humaine et son instabilité dans tous les domaines : mentale, sentimentale, politique, etc... (ce que le St Prophète (saw) ne pouvait sûrement pas ignorer) de laisser cette garde et cette compilation entre les mains de tous.
L’histoire a d’ailleurs prouvé que l’homme est peu fiable, puisque après la mort du St Prophète (as) beaucoup se sont détournés de l’islam, puis de Ali(as) son successeur, qu’il avait nommé devant des milliers de témoins, et on sait aussi quel sort monstrueux fût réservé à Hussein (as) petit-fils du St Prophète (as). Tout cela pour montrer le peu de fiabilité de la gente humaine dans son ensemble.
Le Coran VI 25 dit : « Il en est parmi eux qui viennent t'écouter, cependant que Nous avons entouré de voiles leurs coeurs, qui les empêchent de comprendre (le Coran), et dans leurs oreilles est une lourdeur. Quand même ils verraient toutes sortes de preuves, ils n'y croiraient pas. Et quand ils viennent disputer avec toi, ceux qui ne croient pas disent alors: ‹Ce ne sont que des légendes des anciens›. »
Et IV 61. « Et lorsqu'on leur dit: ‹Venez vers ce qu'Allah a fait descendre et vers le Messager›, tu vois les hypocrites s'écarter loin de toi. »
La Parole de Dieu, laissée aux soins des hommes, aucun écrit de sa main ou de la main d’un compagnon sûr, pas de sauvegarde du St Coran, pas de supervision du St Prophète (saw) même s’il ne l’avait pas écrit de sa main, surprenant !
De plus le St Prophète (saw) n’a certainement pas sous estimé l’importance qu’allait prendre l’écriture pour l’Islam du fait même que la seule façon de conserver la Parole d’Allah c’était où bien la mémoire ou bien l’écriture. On sait que la mémoire n’est pas infaillible, ni intemporelle, il reste donc la seconde solution.
Et à qui le St Prophète (saw) pouvait-il confier ce maintien intégral du St Coran en écriture mais aussi en compréhension intégrale ?
A l’Imam Ali (as) et seulement à lui qui en avait la capacité intellectuelle, mais surtout spirituelle. On voit par ces explications la place essentielle qui est réservée à l’Imam, il est le gardien et le mainteneur du Livre Saint, détenteur des sens cachés. On ne peut comprendre pourquoi le Saint Prophète (saw) n’a pas pris la peine de faire compiler le St Coran si l’on n’a pas la clé : l’Imam.
Al-Tabarânî rapporte dans "Awsat" et "Çaghîr" qu'Om Salama a relaté: J'ai entendu le Messager de Dieu dire: «'Alî est avec le Coran et le Coran est avec 'Alî. Ils ne se sépareront pas avant qu'ils arrivent à la fontaine de Kawthar au Paradis».
Ibn Sa'd rapporte que 'Alî a dit: «Par Allah, jamais un verset du Coran n'a été révélé sans que je voie maintenant ce qu'il a révélé et à propos de qui il a été révélé, car mon Seigneur m'a doté d'un coeur sage et d'une langue éloquente».
Ibn Sa'd et d'autres rapportent d'Ibn Tofayl, que 'Alî a dit: «Interrogez-moi sur le Coran, car il n'y a pas un verset dont je ne sache pas s'il a été révélé la nuit ou le jour, dans les plaines ou sur les montagnes».
Ce que je tiens à souligner également, c’est que la source doit rester toujours pure, et seul un homme infaillible est capable de garder le Coran authentique. La source doit rester source et n’est jamais rivière sous peine d’être corrompue et avec nos Imams la source est toujours pure et ceci afin que les hommes puissent trouver la Vérité en tout temps.
Pendant l’occultation, qui est un temps très perturbé, nul n’approche de la source sans s’être purifié.
Le St Prophète (saw) laissait après lui le Coran « Parlant » et ce Coran Parlant n’était autre que l’Imam Ali (as) qu’il avait nommé à Ghadir Khum. Car qui pouvait garder et enseigner le St Coran aussi sûrement que le Prophète (saw) lui-même, sinon Ali (as) ?
Au départ c’est une tradition orale, qui devient écrite (et support d’une recherche spirituelle) et qui se fige dans le temps et se transmet par le Livre que nous connaissons.
On peut penser qu’il fallait que les hommes prennent possession du message prophétique pour l’assimiler et le répandre, ce qui est légitime. Mais comment saisir le sens ou les sens d’un livre saint sans aide ? La réponse est que l’Imam et le Coran sont liés.
Les écrits peuvent être détournés de leur sens réel, mais la parole d’un Imam reste véridique ce qui prouve que les deux ne peuvent jamais être séparés comme l’atteste le hadith : Le Saint Prophète a dit : «Je suis sur le point d'être rappelé [par Allah] et de répondre [à ce Rappel]. Je vous laisse les Deux Poids [al-Thaqalayn] : le Livre d'Allah, et ma Famille, les Gens de ma Maison. Celui Qui est Doux [Allah] m'a informé qu'ils ne se sépareront pas jusqu'à ce qu'ils reviennent vers moi près du Bassin [le Jour du Jugement]. Regardez donc bien comment vous les traiterez après moi.» Cité par Ahmad ibn Hanbal.
Le Saint Prophète (saw) laisse deux choses : sa Famille (as) et le Livre, mais où est le Livre à ce moment là, puisqu’il n’est normalement pas encore réuni comme nous le connaissons, sinon avec l’Imam ?
Selon Râfi', le serviteur d'Abû Tharr, cité par al-Chibrâwî al-Châfi'î: «Un jour, Abû Tharr est monté sur le seuil de la Ka'bah et a tenu l'anneau de la porte, en s'écriant: "O gens ! Celui qui me reconnaît, tant mieux. Et celui qui ignore qui je suis, qu'il sache que je suis Abû Tharr ! J'ai entendu le Messager d'Allah dire: "Les Gens de ma Maison sont comme le Bateau de Nûh [Noé]. Celui qui y monta fut sauvé, et celui qui le manqua fut jeté dans le Feu." J'ai également entendu le Messager d'Allah dire: "Considérez que les Ahl-ul-Bayt sont par rapport à vous ce que la tête est au corps, et ce que les yeux sont à la tête, car le corps ne peut trouver le bon chemin que grâce à la tête, et la tête ne peut trouver son chemin que grâce aux yeux."
La plupart des gens ont rejeté l’un (l’Imam) et ils ont gardé l’autre (le St Coran). Alors que l’un et l’autre ne peuvent être séparés, nous l’avons vu dans le hadith dit « al-Thaqalayn » [les deux poids] ci-dessus. Or, le garant de la religion spirituelle, et gardien et guide pour la compréhension du Coran, après la mort du St Prophète (as), c’est l’Imam.
A n'en pas douter, il existe au sein de l’islam une tradition orale, une « révélation » orale qui se transmet d’Imam en Imam et qui maintient la Parole de Dieu toujours pure et hors de portée des différents courants d’un islam officiel et historique, limité et figé dans le temps, et pas seulement catalogué de principes, de dogmes religieux ou de lois.
Conclusion : La Vérité la plus profonde ne peut jamais être écrite ailleurs que dans les coeurs et non sur du papier. Elle ne peut jamais être écrite et laissée sans guide, sous peine d’être déformée et cristallisée. Le St Coran peut-être lu par les yeux, compris intellectuellement, mais seule le coeur en pénètre le véritable sens. (inch’Allah)
Allah nous dit dans le St Coran II 225 :
« Ce n'est pas pour les expressions gratuites dans vos serments qu'Allah vous saisit: Il vous saisit pour ce que vos coeurs ont acquis. Et Allah est Pardonneur et Patient. »
et en III 8 : « Seigneur! Ne laisse pas dévier nos coeurs après que Tu nous aies guidés; et accorde-nous Ta miséricorde. C'est Toi, certes, le Grand Donateur! »
Ce qu’il faut lire, c’est ton propre Livre et non celui des autres, et le St Coran devrait être lu -comme nous le disent certains maîtres spirituels- « comme s’il n’était révélé que pour toi » et je rajouterais avec le coeur d’un ummî.
As salamou alaykoum wa rahmatoullahi wa barakatouh
Allahomma salli 'ala Mohammad waali Mohammad
