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Imam Jaafar Al Sadeq (as)

Sajjad

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Les surnoms des Imams (as) : as-Sâdeq

BismiLLAHI RRAHMANI RRAHIM,

Wa salat wa salam 'ala habibana Mohammad Al Amin wa 'ala alihi tayyibin attahirin.
Assalamo 'ala Imamina Al Hadi Al Mahdi Al Sharif ('ajala LLAHO TA'ALA farajah).


Assalamo 'alaykom,


Ce que je vais vous présenter constitue un travail que j'entreprends depuis quelques temps. Il peut donc susciter des critiques qui, j'espère, feront avancer le sujet. Alors surtout n'hésitez pas. Ajrakom ALLAH.

LES SURNOMS DES IMAMS (AS)

On peut se poser certaines questions quant aux surnoms des Saints Imams (AS) : pourquoi avaient-ils tous des surnoms biens particuliers ? Est-ce simplement un trait de caractère ou ces surnoms sont-ils un signe pour l’humanité, afin de confirmer leur infaillibilité (parmi tant d’autres signes) et raffermir leur crédibilité (qui reste un problème majeure face aux ignorants) aux yeux des gens de la communauté ?

Si ces surnoms ont été mémorisés par les générations passées jusqu’aujourd’hui, c’est qu'en plus de correspondre à des faits historiques remarquables concernant les Imams (as), ces qualificatifs comportent une dimension divine, leur conférant un statut bien au dessus de simples éloges ou formules de respect ayant des portées métaphysiques tout à fait intéressantes.

Prenons le cas de Ja’far ASSadeq (AS).
ASSadeq vient du mot Sidq (dont la racine est sadaqa), qui lui-même est directement lié à Al Haq dans la mesure où de Al Haq découle Al Sidq.
Effectivement, alors que Al Haq et Al Sidq sont en général tous deux traduits par le mot « vérité », Al Haq est plus précisemment l’information donnée d’un fait établi, et Al Sidq représente plutôt l’information qui vient confirmer le fait établi, les deux étant donc vérité à deux niveaux différents.

On peut dire que Al Haq est vrai et existant si et seulement si Al Sidq vient confirmer cette existence. Ils sont donc indissociables l'un de l'autre étant donné que ces deux notions se trouvent prises dans une dialectique de confirmation réciproque, au sein de laquelle chacune devient la condition de possiblité même de l'autre.

Al Haq désigne des réalités existantes, vraies, actuelles ou passées (futures dans le cas de la métaphysique, ex : yaom al qiyama (le Jour de la Résurection)), c'est là une vérité unique.

ALLAH est Al HAQ.

Le fait que la Terre tourne autour du Soleil, est une vérité, elle est Haq. Les formules des mathématiques et de la physique, qui viennent décrire et confirmer ce mouvement, sont d’autres vérités mais de type Sidq, dans la mesure où elles sont une retranscription dans un autre langage d'une vérité unique, ici le mouvement (Haq).

En outre, on pourra remarquer, si on approfondit la démonstration, que le Sidq représente une vision détaillée du Haq, dont le Sidq est une branche, un membre.
Mais bien plus que cela, pour confirmer Al Haq, la connaissance parfaite, la science complète de cette vérité unique est incontournable : d’où Al Sidq.

Donc dire d’une personne qu’elle est Sadeq, c’est dire qu’elle dispose de la connaissance parfaite d’Al Haq, et qu’elle est capable de déduire de cette connaissance d’autres vérités (Sidq) qui viennent attester Al Haq. Il peut en découler l’attestation suivante : ach-hado an la ilaha illa ALLAH wa Mohammad Rasol ALLAH.
Cette personne confirme et témoigne de du HAQ par sa propre existence et de part sa science.

A suivre...
 
Bismillah,

Salam,

Merci bcp pour ce post et vivement la suite :icon_smil

Salam
 
Propos de l'Imam As-Sâdeq (As)

Salam Alaykoum Wa rahamatoullah Wa Barakatouh

Le sixième Imam As-Sâdeq (As) :

"Celui qui n'est pas instruit ne peut se considérer heureux; celui qui n'est pas affectueux ne peut se considérer satisfait; celui qui n'est pas patient ne peut se considérer apte à se perfectionner."


;)

Khodâ Negahdâr
 
Salam,

Nous sommes aujourd'hui la veille du 25 Chawwal, et je presente a tous mes freres et soeurs mes condolenances pour le martyr de Imam Jaafar Al Sadeq (as).

Un an est passe depuis ce message http://www.al-imane.com/forumv/showthread.php?t=435 que je vous conseille de lire, et a propos du passage de temps voici un propos de Imam Sadeq (as), que la paix soit sur lui :

"Quiconque a qui se presente une occasion et qu'il ignore en attente d'une occasion plus grande, le temps lui retirera meme cette occasion, car les jours ont la mission d'enlever et le temps a comme methode la perte"


Que Dieu vous Garde
 
mes sincères condoléances

Asalamou ahlaykoum wr wb

Je présente également mes sincères condoléances au Prophète (saws), aux Ahl Oul Bayt (que la paix soit sur Eux) et à toute la Oumma musulmane inchaAllah...

Asalamou ahlaykoum wr wb

Allahouma sali 'ala Mohammad wa ahli Mohammad
 
Salam alaykoum wb;

Sincères condoléances , aux Ahl Oul Bayt :as: et à toute la Oumma musulmane ...

Salam
 
Les HOMMES Ahl es Souna, formés par l'IMAM DJAAFER ESSADIK, as.

Assalamou 'alakoum wa Rahmatou Allai wa Barakatouhou;

Le fondateur du Madhab Djafarite imamite el 'imam Djaafer Essadik :as: est bien le PERE des MADHAHIB ahl es Souna entre autres, et partant du FIQH.

Ce digne arrière petit fils de Rassoulou Allah, :saws: , marquera son temps, et l'histoire, qui malheureusement tente de l'ignorer.

Mais ne dit-on pas que l'on reconnaît l'arbre à ses fruits ?
En conséquence, et même si l'histore enseignée chez Ahl es Souna, certains heureusement pas tous, tente de l'évincer et de l'GNORER, pour des raisons de madhab, donc POLITICHIENNES, je pense qu'i est grand temps de rendre à cet homme d'ALLAH, l'hommage qu'il mérite, et d'abord de le connaître, en signalant aux grincheux Wahab-sionisto-Salafis, que le descendant de Sayida Fatima Ezzahra,:as:, l'est aussi par sa mère de Abou Bekr,ra.
Qu'ils fassent attention donc à ne pas INSULTER le neveu de leur idole, et qu'ils cessent de dire que le "neveu" ait été le disciple de "Ibn Saba" le fantôme inventé par l'allié des NACIBIS, Seif et Kaab el Ahbar, recrutés par le Calife usurpateur Omar, pour enseigner aux musulmans le "nouvel Islam des chouyoukhs revu et corrigé à la sauce des rabbins islamisés".
En effet, Kaab al Ahbar, continuera son enseignement des "Isra'iliyates" dans le Masjed Errassoul durant tout le REGNE de Omar, puis de Othmane donc 23 ans, juste autant que le Prédicat de Rassulou Allah, :saws:, donc asez pour DESISLAMISER les esprits.
Heureusement que l'imam Ali, :as: sera appelé à l'IMAMA et au Califa, par les musulmans, et il expulsera Kaab et sa bande de la Mosquée de Rassoulou Allah, :saws: et il tentera de RETABLIR l'Islam de Rassoulou Allah, :saws: , ce qui provoquera les réacions des judéo-musulmans, Mou'awiya, Aicha, Talha, Zoubeyr, la suite nous la connaissons.....



ÑÌÇá ÕäÚåã ÇáÅãÇã ÇáÕÇÏÞ

áÞÏ ÊÎÑÌ ãä ÊÍÊ íÏ ÇáÅãÇã ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÚáãÇÁ Úáíåã ÇáÇÚÊãÇÏ æÇáãÚæá Ýí ÃãÑ ÇáÏíä ÝßÇäæÇ ÌåÇÈÐÉ ÇáÚáã æÃÝÐÇÐ Þáøó äÙíÑåã ÝÍãáæÇ ÇáÚáã ããÒæÌÇð ÈÇáÚãá æÇáÊÞæì æÎÏãæÇ Ïíäåã ÎÏãÉ ÌáíáÉ ÊÔåÏ ÈåÇ ÇáßÊÈ Åáì Çáíæã.

íÞæá åÔÇã Èä ÓÇáã ßäÇ ÚäÏ ÃÈí ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãÇÚÉ ãä ÃÕÍÇÈå ÝæÑÏ ÑÌá ãä Ãåá ÇáÔÇã ÝÇÓÊÃÐä ÈÇáÌáæÓ ÝÃÐä áå¡ ÝáãÇ ÏÎá Óøáã ÝÃãÑå ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÈÇáÌáæÓ Ëã ÞÇá áå: ãÇ ÍÇÌÊß ÃíåÇ ÇáÑÌá¿ ÞÇá: ÈáÛäí Ãäß ÚÇáã Èßá ãÇ ÊÓÃá Úäå ÝÕÑÊ Åáíß áÃäÇÙÑß¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ãÇÐÇ¿ ÞÇá: Ýí ÇáÞÑÂä¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) íÇ ÍãÑÇä Èä ÃÚíä Ïæäß ÇáÑÌá¡ ÝÞÇá ÇáÑÌá: ÅäãÇ ÃÑíÏß ÃäÊ áÇ ÍãÑÇä. ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã): Åä ÛáÈÊ ÍãÑÇä ÝÞÏ ÛáÈÊäí ÝÃÞÈá ÇáÔÇãí íÓÃá ÍãÑÇä ÍÊì ÖÌÑ æãáø æÍãÑÇä íÌíÈå¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ßíÝ ÑÃíÊ íÇ ÔÇãí¿ ÞÇá: ÑÃíÊå ÍÇÐÞÇð ãÇ ÓÃáÊå Úä ÔíÁ ÅáÇ ÃÌÇÈäí¡ Ëã ÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÚÑÈíÉ¡ ÝÇáÊÝÊ ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÝÞÇá: íÇ ÃÈÇä Èä ÊÛáÈ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑå ÍÊì ÛáÈå¡ ÝÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÝÞå ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå: íÇ ÒÑÇÑÉ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑ ÍÊì ÛáÈå¡ ÝÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáßáÇã ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): íÇ ãÄãä ÇáØÇÞ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑå ÝÛáÈå¡ Ëã ÞÇá: ÃõÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÇÓÊØÇÚÉ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): íÇ åÔÇã Èä ÓÇáã ßáãå Ýßáãå ÝÛáÈå¡ Ëã ÞÇá: ÃÑíÏ Ãä ÃÊßáã Ýí ÇáÅãÇãÉ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): áåÔÇã Èä ÇáÍßã ßáãå¡ ÝÛáÈå ÃíÖÇð ÝÍÇÑøó ÇáÑÌá æÓßÊ. æÇÎÐ ÇáÅãÇã íÖÍß ÝÞÇá ÇáÔÇãí áå: ßÃäß ÃõÑÏÊ Ãä ÊÎÈÑäí Ãä Ýí ÔíÚÊß ãËá åÄáÇÁ ÇáÑÌÇá¿ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): åæ Ðáß¡ äÚã ßÇä åÄáÇÁ ÇÈØÇá ÇáÚáã Ýì ãíÏÇä ÇáÚãá ßá æÇÍÏ ãäåã íãËá ÇáÔãæÎ ÇáÔíÚí Ýí ÈáÏÊå æÒãÇäå.

æãä ÃÕÍÇÈå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÃÈæ ÅÓÍÇÞ ÅÈÑÇåíã ÍÈíÈ ÇáÝÒÇÑí ÇáãÊæÝí ÚÇã (161 åÜ 777 ã)¡ æåæ Ãæá ãä Úãá ÇáÇÕØÑáÇÈ Ýí ÇáÅÓáÇã ¡ æÃæá ãä ÃáÝ Ýíå. æÇáÇÕØÑáÇÈ áÝÙÉ íæäÇäíÉ ãÃÎæÐÉ ãä ßáãÉ (ÇáÇÕØÑáÇÈæä)¡ æãÚäÇåÇ ãÑÂÉ ÇáäÌã (ÇÕØÑ: ÇáäÌã¡ áÇÈæä: ãÑÂÉ). æÞíá ÃäåÇ áÝÙÉ ÝÇÑÓíÉ ÃÕáåÇ (ÓÊÇÑÉ ÈÇÈ) Ãí ßÇÔÝ ÇáäÌã. æåÐÇ ÃÍãÏ Èä ÇáÍÓä Èä ÃÈí ÇáÍÓä ÇáÝáßí ÇáØæÓí¡ ÊÎÕÕ Ýí Úáã ÇáÝáß ÍÊì ÇÔÊåÑ Èå¡ ææÖÚ ßÊÇÈ (ÇáãäÇÑ) æßÊÇÈ (ÔÑÍ ÇáÊåÐíÈ Ýí ÇáÅãÇãÉ) æáå Ýí ÇáäÌæã æÇáÝáß ßÊÇÈ (ÑíÍÇä ÇáãÌÇáÓ æÊÍÝÉ ÇáãÄÇäÓ)¡ æÞÏ äÞá Úäå ÇáÓíÏ ÇÈä ØÇææÓ. æåÐÇ ãÍãÏ Èä ãÓÚæÏ ÇáÚíÇÔí ÇáÊãíãí¡ æÕÝå ÇÈä ÇáäÏíã ÈÞæáå: ãä ÝÞåÇÁ ÇáÔíÚÉ ÇáÅãÇãíÉ. ÃæÍÏ Ãåá ÏåÑå æÒãÇäå Ýí ÛÒÇÑÉ ÇáÚáã¡ áå ßÊÇÈ (ÇáäÌæã æÇáÝÃÑ)¡ æåÐÇ ÃÈæ Úáí ÇáÍÓä Èä ÝÖÇá ãä ÃÕÍÇÈ ÇáÅãÇã Úáí Èä ãæÓì ÇáÑÖÇ (Úáíå ÇáÓáÇã)¡ æáå ßÊÇÈ (ÇáäÌæã) æ (ßÊÇÈ ÇáØÈ).

ÊáÇãíÐå ãä ÃÚáÇã ÇáÓäÉ
ÃÎÐ Úäå ÚÏøÉ ãä ÃÚáÇã ÇáÓäøÉ æÃÆãÊåã¡ æãÇ ßÇä ÃÎÐåã Úäå ßãÇ íÃÎÐ ÇáÊáãíÐ Úä ÇáÃõÓÊÇС Èá áã íÃÎÐæÇ Úäå ÅáÇø æåã ãÊøÝÞæä Úáì ÅãÇãÊå æÌáÇáÊå æÓíÇÏÊå¡ ßãÇ íÞæá ÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáäææí Ýí ÊåÐíÈ ÇáÃÓãÇÁ æÇááÛÇÊ¡ Èá ÚÏøæÇ ÃÎÐåã Úäå ãäÞÈÉ ÔÑøÝæÇ ÈåÇ¡ æÝÖíáÉ ÇßÊÓÈæåÇ ßãÇ íÞæá ÇáÔÇÝÚí Ýí ãØÇáÈ ÇáÓÄá¡ æãäåã:

ÃÈæ ÍäíÝÉ

ÍäíÝÉ ÇáäÚãÇä Èä ËÇÈÊ Èä ÒæØí ãä ÇáãæÇáí æÃÕáå ãä ßÇÈá æáÏ ÈÇáßæÝÉ¡ æÈåÇ äÔà æÏÑÓ¡ æßÇäÊ áå ÝíåÇ ÍæÒÉ æÇäÊÞá Çáì ÈÛÏÇÏ æÈåÇ ãÇÊ ÚÇã 150¡ æÞÈÑå ÈåÇ ãÚÑæÝ¡ æåæ ÃÍÏ ÇáãÐÇåÈ ÇáÃÑÈÚÉ ÚäÏ Ãåá ÇáÓäøÉ¡ æÍÇáå ÃÔåÑ ãä Ãä íÐßÑ. æÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ãÚÑæÝ¡ æããøä ÐßÑ Ðáß ÇáÔÈáäÌí Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇÈä ÍÌÑ Ýí ÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÇÈä ÇáÕÈøÇÛ Ýí ÇáÝÕæá¡ Åáì ÛíÑ åÄáÇÁ¡ æÞÇá ÇáÂáæÓí Ýí ãÎÊÕÑ ÇáÊÍÝÉ ÇáÇËäí ÚÔÑíÉ (Õ8): æåÐÇ ÃÈæ ÍäíÝÉ æåæ Èíä Ãåá ÇáÓäøÉ ßÇä íÝÊÎÑ æíÞæá ÈÃÝÕÍ áÓÇä: "áæáÇ ÇáÓäÊÇä áåáß ÇáäÚãÇä" íÑíÏ ÇáÓäÊíä ÇááÊíä ÕÍÈ ÝíåÇ áÃÎÐ ÇáÚáã ãä ÇáÅãÇã ÌÚÝÑ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã).

ãÇáß Èä ÃäÓ
ÞÇá ÇÈä ÇáäÏíã Ýí ÇáÝåÑÓÊ: åæ ÇÈä ÃÈí ÚÇãÑ ãä ÍãíÑ æÚÏÇÏå Ýí Èäí Êíã Èä ãÑøÉ ãä ÞÑíÔ¡ æÍãá Èå ËáÇË Óäíä¡ æÞÇá: æÓÚì Èå Åáì ÌÚÝÑ Èä ÓáíãÇä ÇáÚÈøÇÓí æßÇä æÇáí ÇáãÏíäÉ ÝÞíá áå: Åäøå áÇ íÑì ÅíãÇä ÈíÚÊßã. ÝÏÚì Èå æÌÑøÏå æÖÑÈå ÃÓæÇØÇð æãÏøÏå ÝÇäÎáÚ ßÊÝå æÊæÝì ÚÇã (179 åÜ) Úä (84) ÓäÉ¡ æÐßÑ ãËáå ÇÈä ÎáßÇä. æÃÎÐå Úä ÃÈí ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ãÚáæã ãÔåæÑ¡ æããøä ÃÔÇÑ Åáì Ðáß Çáäææí Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáÔÈáäÌí Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÓÈØ Ýí ÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáÔÇÝÚí Ýí ÇáãØÇáÈ¡ æÇÈä ÍÌÑ Ýí ÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÃÈæ äÚíã Ýí ÇáÍáíÉ¡ æÇÈä ÇáÕÈøÇÛ Ýí ÇáÝÕæá¡ Åáì ãÇ Óæì åÄáÇÁ.

ÓÝíÇä ÇáËæÑí
ÓÝíÇä Èä ÓÚíÏ Èä ãÓÑæÞ ÇáËæÑí ÇáßæÝí¡ æÑÏ ÈÛÏÇÏ ÚÏøÉ ãÑøÇÊ¡ æÑæì Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãáÉ ÃÔíÇÁ¡ æÃæÕÇå ÇáÕÇÏÞ ÈÃõãæÑ ËãíäÉ ãÑøÊ Ýí ÇáæÕÇíÇ¡ æäÇÙÑ ÇáÕÇÏÞ Ýí ÇáÒåÏ ßãÇ ÓáÝ¡ æÇÑÊÍá Åáì ÇáÈÕÑÉ æÈåÇ ãÇÊ (161 åÜ)¡ ææáÇÏÊå Ýí äíÝ æÊÓÚíä¡ Þíá ÔåÏ æÞÚÉ ÒíÏ ÇáÔåíÏ æßÇä Ýí ÔÑØÉ åÔÇã Èä ÚÈÏ Çáãáß. ÌÇÁ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æäæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá ÇáãåãÉ¡ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑå ÇáÑÌÇáíæä ãä ÇáÔíÚÉ Ýí ÑÌÇáå (Úáíå ÇáÓáÇã).

ÓÝíÇä Èä ÚííäÉ

ÓÝíÇä Èä ÚííäÉ Èä ÃÈí ÚãÑÇä ÇáßæÝí Çáãßøí æáÏ ÈÇáßæÝÉ ÚÇã (107 åÜ) æãÇÊ ÈãßøÉ ÚÇã (198 åÜ)¡ æÏÎá ÇáßæÝÉ æåæ ÔÇÈ Úáì ÚåÏ ÃÈí ÍäíÝÉ. ÐßÑ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æäæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá¡ æãÇ ÓæÇåÇ¡ æÐßÑ Ðáß ÇáÑÌÇáíæä ãä ÇáÔíÚÉ ÃíÖÇð.

íÍíì Èä ÓÚíÏ ÇáÃäÕÇÑí

íÍíì Èä ÓÚíÏ Èä ÞíÓ ÇáÃäÕÇÑí ãä Èäí ÇáäÌøÇÑ ÊÇÈÚí¡ ßÇä ÞÇÖíÇð ááãäÕæÑ Ýí ÇáãÏíäÉ¡ Ëã ÞÇÖí ÇáÞÖÇÉ¡ ãÇÊ ÈÇáåÇÔãíøÉ ÚÇã (143 åÜ). ÇäÙÑ ÇáãÕÇÏÑ ÇáãÊÞÏøãÉ Ýí ÑæÇíÊå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) æãÇ ÚÏÇåÇ ßãÇ ÐßÑ Ðáß ÇáÑÌÇáíøæä ãä ÇáÔíÚÉ.

ÇÈä ÌÑíÍ

ÚÈÏ Çáãáß Èä ÚÈÏ ÇáÚÒíÒ Èä ÌÑíÍ Çáãßøí¡ ÓãÚ ÌãÚÇð ßËíÑÇð ãä ÇáÚáãÇÁ¡ æßÇä ãä ÚáãÇÁ ÇáÚÇãøÉ¡ ÇáÐíä íÑæä ÍáíÉ ÇáãÊÚÉ ßãÇ ÑÃì ÍáøíÊåÇ ÂÎÑæä ãäåã¡ æÌÇÁ Ýí ØÑíÞ ÇáÕÏæÞ Ýí ÈÇÈ ãÇ íõÞÈá ãä ÇáÏÚÇæì ÈÛíÑ ÈíøäÉ¡ æÌÇÁ Ýí ÇáßÇÝí Ýí ÈÇÈ ãÇ ÃÍáø Çááå ãä ÇáãÊÚÉ ÓÄÇá ÃÍÏåã ãä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Úä ÇáãÊÚÉ ÝÞÇá: "ÇáÞ ÚÈÏ Çáãáß Èä ÌÑíÍ ÝÇÓÃáå ÚäåÇ ÝÅäø ÚäÏå ãäåÇ ÚáãÇð"¡ ÝÃÊÇå ÝÃãáì Úáíå ÔíÆÇð ßËíÑÇð Úä ÇáãÊÚÉ æÍáøíÊåÇ. æÞÇá ÇÈä ÎáßÇä: ÚÈÏ Çáãáß ÃÍÏ ÇáÚáãÇÁ ÇáãÔåæÑíä¡ æßÇäÊ æáÇÏÊå ÓäÉ (80 åÜ) æÞÏã ÈÛÏÇÏ Úáì ÃÈí ÌÚÝÑ ÇáãäÕæÑ¡ æÊæÝì ÓäÉ (149 åÜ) æÞíá (150 åÜ)¡ æÞíá (151 åÜ). æÐßÑÊ ÇáãÕÇÏÑ ÇáÓÇÈÞÉ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã)¡ ßãÇ ÐßÑÊå ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ.

ÇáÞØøÇä

ÃÈæ ÓÚíÏ íÍíì Èä ÓÚíÏ ÇáÞØøÇä ÇáÈÕÑí¡ ßÇä ãä ÃÆãÉ ÇáÍÏíË Èá ÚõÏø ãÍÏøË ÒãÇäå¡ æÇÍÊÌø Èå ÃÕÍÇÈ ÇáÕÍÇÍ ÇáÓÊÉ æÛíÑåã¡ ÊæÝì ÚÇã (198 åÜ)¡ æÍßí Úä ÇÈä ÞÊíÈÉ ÚÏÇÏå Ýí ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ¡ æáßä ÇáÔíÚÉ áÇ ÊÚÑÝå ãä ÑÌÇáåÇ. ÐßÑå Ýí ÑÌÇá ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÛíÑåãÇ ãä ÇáÓäøÉ¡ æÇáÔíΡ æÇÈä ÏÇæÏ¡ æÇáäÌÇÔí¡ æÛíÑåã ãä ÇáÔíÚÉ.

ãÍãøÏ Èä ÅÓÍÇÞ

ãÍãøÏ Èä ÅÓÍÇÞ Èä íÓÇÑ ÕÇÍÈ ÇáãÛÇÒí æÇáÓíÑ¡ æãÏäíø Óßä ãßøÉ¡ ÃËäì Úáíå ÇÈä ÎáßÇä ßËíÑÇð¡ æßÇä Èíäå æÈíä ãÇáß ÚÏÇÁ¡ ÝßÇä ßáø ãäåãÇ íØÚä Ýí ÇáÂÎÑ¡ ÞÏã ÇáÍíÑÉ Úáì ÇáãäÕæÑ ÝßÊÈ áå ÇáãÛÇÒí. æÞÏã ÈÛÏÇÏ æÈåÇ ãÇÊ ÚÇã (151 åÜ) Úáì ÇáãÔåæÑ¡ ÐßÑ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÛíÑåãÇ ãä ÇáÓäøÉ¡ æÇáÔíÎ Ýí ÑÌÇáå¡ æÇáÚáÇøãÉ Ýí ÇáÎáÇÕÉ¡ æÇáßÔí Ýí ÑÌÇáå¡ æÛíÑåã ãä ÇáÔíÚÉ.

ÔÚÈÉ Èä ÇáÍÌøÇÌ

ÔÚÈÉ Èä ÇáÍÌøÇÌ ÇáÃÒÏí ßÇä ãä ÃÆãÉ ÇáÓäøÉ æÃÚáÇãåã æßÇä íÝÊí ÈÇáÎÑæÌ ãÚ ÅÈÑÇåíã Èä ÚÈÏ Çááå Èä ÇáÍÓä¡ æÞíá ßÇä ããøä ÎÑÌ ãä ÃÕÍÇÈ ÇáÍÏíË ãÚ ÅÈÑÇåíã Èä ÚÈÏ Çááå. æÚÏøå Ýí ÃÕÍÇÈ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãÇÚÉ ãä ÇáÓäøÉ ãäåã ÕÇÍÈ ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÝÕæá¡ æÇáÊÐßÑÉ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑÊå ßÊÈ ÇáÔíÚÉ Ýí ÑÌÇáå ÃíÖÇð.

ÃíæÈ ÇáÓÌÓÊÇäí

ÃíæÈ Èä ÃÈí ÊãíãÉ ÇáÓÌÓÊÇäí ÇáÈÕÑí¡ æÞíá ÇáÓÎÊíÇäí¡ æÇáÃæá ÃÔåÑ¡ ãæáì ÚãøÇÑ Èä íÇÓÑ æÚÏøæå Ýí ßÈÇÑ ÇáÝÞåÇÁ ÇáÊÇÈÚíä¡ ãÇÊ ÚÇã (131 åÜ) ÈÇáØÇÚæä ÈÇáÈÕÑÉ Úä (65 åÜ) ÓäÉ. ÚÏøå Ýí ÑÌÇá ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá¡ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑÊå ßÊÈ ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ Ýí ÃÕÍÇÈå ÃíÖÇð. æåÄáÇÁ ÈÚÖ ãä äÓÈæå Åáì ÊáãÐÉ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ãä ÃÚáÇã ÇáÓäøÉ æÝÞåÇÆåã ÇáÈÇÑÒíä¡ æÞÏ ÚÏøæÇ ÛíÑ åÄáÇÁ Ýíåã ÃíÖÇð¡ ÇäÙÑ Ýí Ðáß ÍáíÉ ÇáÃæáíÇÁ¡ Úáì Ãä ÛíÑ ÃÈí äÚíã ÃÔÇÑ Åáì ÛíÑ åÄáÇÁ ÈÞæáå æÛíÑåã¡ Ãæ ãÇ Óæì Ðáß ããøÇ íÄÏøí åÐÇ ÇáãÝÇÏ.
 
madjid a dit:
Assalamou 'alakoum wa Rahmatou Allai wa Barakatouhou;

Le fondateur du Madhab Djafarite imamite el 'imam Djaafer Essadik :as: est bien le PERE des MADHAHIB ahl es Souna entre autres, et partant du FIQH.

Ce digne arrière petit fils de Rassoulou Allah, :saws: , marquera son temps, et l'histoire, qui malheureusement tente de l'ignorer.

Mais ne dit-on pas que l'on reconnaît l'arbre à ses fruits ?
En conséquence, et même si l'histore enseignée chez Ahl es Souna, certains heureusement pas tous, tente de l'évincer et de l'GNORER, pour des raisons de madhab, donc POLITICHIENNES, je pense qu'i est grand temps de rendre à cet homme d'ALLAH, l'hommage qu'il mérite, et d'abord de le connaître, en signalant aux grincheux Wahab-sionisto-Salafis, que le descendant de Sayida Fatima Ezzahra,:as:, l'est aussi par sa mère de Abou Bekr,ra.
Qu'ils fassent attention donc à ne pas INSULTER le neveu de leur idole, et qu'ils cessent de dire que le "neveu" ait été le disciple de "Ibn Saba" le fantôme inventé par l'allié des NACIBIS, Seif et Kaab el Ahbar, recrutés par le Calife usurpateur Omar, pour enseigner aux musulmans le "nouvel Islam des chouyoukhs revu et corrigé à la sauce des rabbins islamisés".
En effet, Kaab al Ahbar, continuera son enseignement des "Isra'iliyates" dans le Masjed Errassoul durant tout le REGNE de Omar, puis de Othmane donc 23 ans, juste autant que le Prédicat de Rassulou Allah, :saws:, donc asez pour DESISLAMISER les esprits.
Heureusement que l'imam Ali, :as: sera appelé à l'IMAMA et au Califa, par les musulmans, et il expulsera Kaab et sa bande de la Mosquée de Rassoulou Allah, :saws: et il tentera de RETABLIR l'Islam de Rassoulou Allah, :saws: , ce qui provoquera les réacions des judéo-musulmans, Mou'awiya, Aicha, Talha, Zoubeyr, la suite nous la connaissons.....



ÑÌÇá ÕäÚåã ÇáÅãÇã ÇáÕÇÏÞ

áÞÏ ÊÎÑÌ ãä ÊÍÊ íÏ ÇáÅãÇã ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÚáãÇÁ Úáíåã ÇáÇÚÊãÇÏ æÇáãÚæá Ýí ÃãÑ ÇáÏíä ÝßÇäæÇ ÌåÇÈÐÉ ÇáÚáã æÃÝÐÇÐ Þáøó äÙíÑåã ÝÍãáæÇ ÇáÚáã ããÒæÌÇð ÈÇáÚãá æÇáÊÞæì æÎÏãæÇ Ïíäåã ÎÏãÉ ÌáíáÉ ÊÔåÏ ÈåÇ ÇáßÊÈ Åáì Çáíæã.

íÞæá åÔÇã Èä ÓÇáã ßäÇ ÚäÏ ÃÈí ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãÇÚÉ ãä ÃÕÍÇÈå ÝæÑÏ ÑÌá ãä Ãåá ÇáÔÇã ÝÇÓÊÃÐä ÈÇáÌáæÓ ÝÃÐä áå¡ ÝáãÇ ÏÎá Óøáã ÝÃãÑå ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÈÇáÌáæÓ Ëã ÞÇá áå: ãÇ ÍÇÌÊß ÃíåÇ ÇáÑÌá¿ ÞÇá: ÈáÛäí Ãäß ÚÇáã Èßá ãÇ ÊÓÃá Úäå ÝÕÑÊ Åáíß áÃäÇÙÑß¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ãÇÐÇ¿ ÞÇá: Ýí ÇáÞÑÂä¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) íÇ ÍãÑÇä Èä ÃÚíä Ïæäß ÇáÑÌá¡ ÝÞÇá ÇáÑÌá: ÅäãÇ ÃÑíÏß ÃäÊ áÇ ÍãÑÇä. ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã): Åä ÛáÈÊ ÍãÑÇä ÝÞÏ ÛáÈÊäí ÝÃÞÈá ÇáÔÇãí íÓÃá ÍãÑÇä ÍÊì ÖÌÑ æãáø æÍãÑÇä íÌíÈå¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ßíÝ ÑÃíÊ íÇ ÔÇãí¿ ÞÇá: ÑÃíÊå ÍÇÐÞÇð ãÇ ÓÃáÊå Úä ÔíÁ ÅáÇ ÃÌÇÈäí¡ Ëã ÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÚÑÈíÉ¡ ÝÇáÊÝÊ ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÝÞÇá: íÇ ÃÈÇä Èä ÊÛáÈ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑå ÍÊì ÛáÈå¡ ÝÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÝÞå ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå: íÇ ÒÑÇÑÉ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑ ÍÊì ÛáÈå¡ ÝÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáßáÇã ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): íÇ ãÄãä ÇáØÇÞ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑå ÝÛáÈå¡ Ëã ÞÇá: ÃõÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÇÓÊØÇÚÉ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): íÇ åÔÇã Èä ÓÇáã ßáãå Ýßáãå ÝÛáÈå¡ Ëã ÞÇá: ÃÑíÏ Ãä ÃÊßáã Ýí ÇáÅãÇãÉ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): áåÔÇã Èä ÇáÍßã ßáãå¡ ÝÛáÈå ÃíÖÇð ÝÍÇÑøó ÇáÑÌá æÓßÊ. æÇÎÐ ÇáÅãÇã íÖÍß ÝÞÇá ÇáÔÇãí áå: ßÃäß ÃõÑÏÊ Ãä ÊÎÈÑäí Ãä Ýí ÔíÚÊß ãËá åÄáÇÁ ÇáÑÌÇá¿ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): åæ Ðáß¡ äÚã ßÇä åÄáÇÁ ÇÈØÇá ÇáÚáã Ýì ãíÏÇä ÇáÚãá ßá æÇÍÏ ãäåã íãËá ÇáÔãæÎ ÇáÔíÚí Ýí ÈáÏÊå æÒãÇäå.

æãä ÃÕÍÇÈå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÃÈæ ÅÓÍÇÞ ÅÈÑÇåíã ÍÈíÈ ÇáÝÒÇÑí ÇáãÊæÝí ÚÇã (161 åÜ 777 ã)¡ æåæ Ãæá ãä Úãá ÇáÇÕØÑáÇÈ Ýí ÇáÅÓáÇã ¡ æÃæá ãä ÃáÝ Ýíå. æÇáÇÕØÑáÇÈ áÝÙÉ íæäÇäíÉ ãÃÎæÐÉ ãä ßáãÉ (ÇáÇÕØÑáÇÈæä)¡ æãÚäÇåÇ ãÑÂÉ ÇáäÌã (ÇÕØÑ: ÇáäÌã¡ áÇÈæä: ãÑÂÉ). æÞíá ÃäåÇ áÝÙÉ ÝÇÑÓíÉ ÃÕáåÇ (ÓÊÇÑÉ ÈÇÈ) Ãí ßÇÔÝ ÇáäÌã. æåÐÇ ÃÍãÏ Èä ÇáÍÓä Èä ÃÈí ÇáÍÓä ÇáÝáßí ÇáØæÓí¡ ÊÎÕÕ Ýí Úáã ÇáÝáß ÍÊì ÇÔÊåÑ Èå¡ ææÖÚ ßÊÇÈ (ÇáãäÇÑ) æßÊÇÈ (ÔÑÍ ÇáÊåÐíÈ Ýí ÇáÅãÇãÉ) æáå Ýí ÇáäÌæã æÇáÝáß ßÊÇÈ (ÑíÍÇä ÇáãÌÇáÓ æÊÍÝÉ ÇáãÄÇäÓ)¡ æÞÏ äÞá Úäå ÇáÓíÏ ÇÈä ØÇææÓ. æåÐÇ ãÍãÏ Èä ãÓÚæÏ ÇáÚíÇÔí ÇáÊãíãí¡ æÕÝå ÇÈä ÇáäÏíã ÈÞæáå: ãä ÝÞåÇÁ ÇáÔíÚÉ ÇáÅãÇãíÉ. ÃæÍÏ Ãåá ÏåÑå æÒãÇäå Ýí ÛÒÇÑÉ ÇáÚáã¡ áå ßÊÇÈ (ÇáäÌæã æÇáÝÃÑ)¡ æåÐÇ ÃÈæ Úáí ÇáÍÓä Èä ÝÖÇá ãä ÃÕÍÇÈ ÇáÅãÇã Úáí Èä ãæÓì ÇáÑÖÇ (Úáíå ÇáÓáÇã)¡ æáå ßÊÇÈ (ÇáäÌæã) æ (ßÊÇÈ ÇáØÈ).

ÊáÇãíÐå ãä ÃÚáÇã ÇáÓäÉ
ÃÎÐ Úäå ÚÏøÉ ãä ÃÚáÇã ÇáÓäøÉ æÃÆãÊåã¡ æãÇ ßÇä ÃÎÐåã Úäå ßãÇ íÃÎÐ ÇáÊáãíÐ Úä ÇáÃõÓÊÇС Èá áã íÃÎÐæÇ Úäå ÅáÇø æåã ãÊøÝÞæä Úáì ÅãÇãÊå æÌáÇáÊå æÓíÇÏÊå¡ ßãÇ íÞæá ÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáäææí Ýí ÊåÐíÈ ÇáÃÓãÇÁ æÇááÛÇÊ¡ Èá ÚÏøæÇ ÃÎÐåã Úäå ãäÞÈÉ ÔÑøÝæÇ ÈåÇ¡ æÝÖíáÉ ÇßÊÓÈæåÇ ßãÇ íÞæá ÇáÔÇÝÚí Ýí ãØÇáÈ ÇáÓÄá¡ æãäåã:

ÃÈæ ÍäíÝÉ

ÍäíÝÉ ÇáäÚãÇä Èä ËÇÈÊ Èä ÒæØí ãä ÇáãæÇáí æÃÕáå ãä ßÇÈá æáÏ ÈÇáßæÝÉ¡ æÈåÇ äÔà æÏÑÓ¡ æßÇäÊ áå ÝíåÇ ÍæÒÉ æÇäÊÞá Çáì ÈÛÏÇÏ æÈåÇ ãÇÊ ÚÇã 150¡ æÞÈÑå ÈåÇ ãÚÑæÝ¡ æåæ ÃÍÏ ÇáãÐÇåÈ ÇáÃÑÈÚÉ ÚäÏ Ãåá ÇáÓäøÉ¡ æÍÇáå ÃÔåÑ ãä Ãä íÐßÑ. æÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ãÚÑæÝ¡ æããøä ÐßÑ Ðáß ÇáÔÈáäÌí Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇÈä ÍÌÑ Ýí ÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÇÈä ÇáÕÈøÇÛ Ýí ÇáÝÕæá¡ Åáì ÛíÑ åÄáÇÁ¡ æÞÇá ÇáÂáæÓí Ýí ãÎÊÕÑ ÇáÊÍÝÉ ÇáÇËäí ÚÔÑíÉ (Õ8): æåÐÇ ÃÈæ ÍäíÝÉ æåæ Èíä Ãåá ÇáÓäøÉ ßÇä íÝÊÎÑ æíÞæá ÈÃÝÕÍ áÓÇä: "áæáÇ ÇáÓäÊÇä áåáß ÇáäÚãÇä" íÑíÏ ÇáÓäÊíä ÇááÊíä ÕÍÈ ÝíåÇ áÃÎÐ ÇáÚáã ãä ÇáÅãÇã ÌÚÝÑ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã).

ãÇáß Èä ÃäÓ
ÞÇá ÇÈä ÇáäÏíã Ýí ÇáÝåÑÓÊ: åæ ÇÈä ÃÈí ÚÇãÑ ãä ÍãíÑ æÚÏÇÏå Ýí Èäí Êíã Èä ãÑøÉ ãä ÞÑíÔ¡ æÍãá Èå ËáÇË Óäíä¡ æÞÇá: æÓÚì Èå Åáì ÌÚÝÑ Èä ÓáíãÇä ÇáÚÈøÇÓí æßÇä æÇáí ÇáãÏíäÉ ÝÞíá áå: Åäøå áÇ íÑì ÅíãÇä ÈíÚÊßã. ÝÏÚì Èå æÌÑøÏå æÖÑÈå ÃÓæÇØÇð æãÏøÏå ÝÇäÎáÚ ßÊÝå æÊæÝì ÚÇã (179 åÜ) Úä (84) ÓäÉ¡ æÐßÑ ãËáå ÇÈä ÎáßÇä. æÃÎÐå Úä ÃÈí ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ãÚáæã ãÔåæÑ¡ æããøä ÃÔÇÑ Åáì Ðáß Çáäææí Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáÔÈáäÌí Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÓÈØ Ýí ÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáÔÇÝÚí Ýí ÇáãØÇáÈ¡ æÇÈä ÍÌÑ Ýí ÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÃÈæ äÚíã Ýí ÇáÍáíÉ¡ æÇÈä ÇáÕÈøÇÛ Ýí ÇáÝÕæá¡ Åáì ãÇ Óæì åÄáÇÁ.

ÓÝíÇä ÇáËæÑí
ÓÝíÇä Èä ÓÚíÏ Èä ãÓÑæÞ ÇáËæÑí ÇáßæÝí¡ æÑÏ ÈÛÏÇÏ ÚÏøÉ ãÑøÇÊ¡ æÑæì Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãáÉ ÃÔíÇÁ¡ æÃæÕÇå ÇáÕÇÏÞ ÈÃõãæÑ ËãíäÉ ãÑøÊ Ýí ÇáæÕÇíÇ¡ æäÇÙÑ ÇáÕÇÏÞ Ýí ÇáÒåÏ ßãÇ ÓáÝ¡ æÇÑÊÍá Åáì ÇáÈÕÑÉ æÈåÇ ãÇÊ (161 åÜ)¡ ææáÇÏÊå Ýí äíÝ æÊÓÚíä¡ Þíá ÔåÏ æÞÚÉ ÒíÏ ÇáÔåíÏ æßÇä Ýí ÔÑØÉ åÔÇã Èä ÚÈÏ Çáãáß. ÌÇÁ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æäæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá ÇáãåãÉ¡ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑå ÇáÑÌÇáíæä ãä ÇáÔíÚÉ Ýí ÑÌÇáå (Úáíå ÇáÓáÇã).

ÓÝíÇä Èä ÚííäÉ

ÓÝíÇä Èä ÚííäÉ Èä ÃÈí ÚãÑÇä ÇáßæÝí Çáãßøí æáÏ ÈÇáßæÝÉ ÚÇã (107 åÜ) æãÇÊ ÈãßøÉ ÚÇã (198 åÜ)¡ æÏÎá ÇáßæÝÉ æåæ ÔÇÈ Úáì ÚåÏ ÃÈí ÍäíÝÉ. ÐßÑ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æäæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá¡ æãÇ ÓæÇåÇ¡ æÐßÑ Ðáß ÇáÑÌÇáíæä ãä ÇáÔíÚÉ ÃíÖÇð.

íÍíì Èä ÓÚíÏ ÇáÃäÕÇÑí

íÍíì Èä ÓÚíÏ Èä ÞíÓ ÇáÃäÕÇÑí ãä Èäí ÇáäÌøÇÑ ÊÇÈÚí¡ ßÇä ÞÇÖíÇð ááãäÕæÑ Ýí ÇáãÏíäÉ¡ Ëã ÞÇÖí ÇáÞÖÇÉ¡ ãÇÊ ÈÇáåÇÔãíøÉ ÚÇã (143 åÜ). ÇäÙÑ ÇáãÕÇÏÑ ÇáãÊÞÏøãÉ Ýí ÑæÇíÊå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) æãÇ ÚÏÇåÇ ßãÇ ÐßÑ Ðáß ÇáÑÌÇáíøæä ãä ÇáÔíÚÉ.

ÇÈä ÌÑíÍ

ÚÈÏ Çáãáß Èä ÚÈÏ ÇáÚÒíÒ Èä ÌÑíÍ Çáãßøí¡ ÓãÚ ÌãÚÇð ßËíÑÇð ãä ÇáÚáãÇÁ¡ æßÇä ãä ÚáãÇÁ ÇáÚÇãøÉ¡ ÇáÐíä íÑæä ÍáíÉ ÇáãÊÚÉ ßãÇ ÑÃì ÍáøíÊåÇ ÂÎÑæä ãäåã¡ æÌÇÁ Ýí ØÑíÞ ÇáÕÏæÞ Ýí ÈÇÈ ãÇ íõÞÈá ãä ÇáÏÚÇæì ÈÛíÑ ÈíøäÉ¡ æÌÇÁ Ýí ÇáßÇÝí Ýí ÈÇÈ ãÇ ÃÍáø Çááå ãä ÇáãÊÚÉ ÓÄÇá ÃÍÏåã ãä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Úä ÇáãÊÚÉ ÝÞÇá: "ÇáÞ ÚÈÏ Çáãáß Èä ÌÑíÍ ÝÇÓÃáå ÚäåÇ ÝÅäø ÚäÏå ãäåÇ ÚáãÇð"¡ ÝÃÊÇå ÝÃãáì Úáíå ÔíÆÇð ßËíÑÇð Úä ÇáãÊÚÉ æÍáøíÊåÇ. æÞÇá ÇÈä ÎáßÇä: ÚÈÏ Çáãáß ÃÍÏ ÇáÚáãÇÁ ÇáãÔåæÑíä¡ æßÇäÊ æáÇÏÊå ÓäÉ (80 åÜ) æÞÏã ÈÛÏÇÏ Úáì ÃÈí ÌÚÝÑ ÇáãäÕæÑ¡ æÊæÝì ÓäÉ (149 åÜ) æÞíá (150 åÜ)¡ æÞíá (151 åÜ). æÐßÑÊ ÇáãÕÇÏÑ ÇáÓÇÈÞÉ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã)¡ ßãÇ ÐßÑÊå ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ.

ÇáÞØøÇä

ÃÈæ ÓÚíÏ íÍíì Èä ÓÚíÏ ÇáÞØøÇä ÇáÈÕÑí¡ ßÇä ãä ÃÆãÉ ÇáÍÏíË Èá ÚõÏø ãÍÏøË ÒãÇäå¡ æÇÍÊÌø Èå ÃÕÍÇÈ ÇáÕÍÇÍ ÇáÓÊÉ æÛíÑåã¡ ÊæÝì ÚÇã (198 åÜ)¡ æÍßí Úä ÇÈä ÞÊíÈÉ ÚÏÇÏå Ýí ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ¡ æáßä ÇáÔíÚÉ áÇ ÊÚÑÝå ãä ÑÌÇáåÇ. ÐßÑå Ýí ÑÌÇá ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÛíÑåãÇ ãä ÇáÓäøÉ¡ æÇáÔíΡ æÇÈä ÏÇæÏ¡ æÇáäÌÇÔí¡ æÛíÑåã ãä ÇáÔíÚÉ.

ãÍãøÏ Èä ÅÓÍÇÞ

ãÍãøÏ Èä ÅÓÍÇÞ Èä íÓÇÑ ÕÇÍÈ ÇáãÛÇÒí æÇáÓíÑ¡ æãÏäíø Óßä ãßøÉ¡ ÃËäì Úáíå ÇÈä ÎáßÇä ßËíÑÇð¡ æßÇä Èíäå æÈíä ãÇáß ÚÏÇÁ¡ ÝßÇä ßáø ãäåãÇ íØÚä Ýí ÇáÂÎÑ¡ ÞÏã ÇáÍíÑÉ Úáì ÇáãäÕæÑ ÝßÊÈ áå ÇáãÛÇÒí. æÞÏã ÈÛÏÇÏ æÈåÇ ãÇÊ ÚÇã (151 åÜ) Úáì ÇáãÔåæÑ¡ ÐßÑ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÛíÑåãÇ ãä ÇáÓäøÉ¡ æÇáÔíÎ Ýí ÑÌÇáå¡ æÇáÚáÇøãÉ Ýí ÇáÎáÇÕÉ¡ æÇáßÔí Ýí ÑÌÇáå¡ æÛíÑåã ãä ÇáÔíÚÉ.

ÔÚÈÉ Èä ÇáÍÌøÇÌ

ÔÚÈÉ Èä ÇáÍÌøÇÌ ÇáÃÒÏí ßÇä ãä ÃÆãÉ ÇáÓäøÉ æÃÚáÇãåã æßÇä íÝÊí ÈÇáÎÑæÌ ãÚ ÅÈÑÇåíã Èä ÚÈÏ Çááå Èä ÇáÍÓä¡ æÞíá ßÇä ããøä ÎÑÌ ãä ÃÕÍÇÈ ÇáÍÏíË ãÚ ÅÈÑÇåíã Èä ÚÈÏ Çááå. æÚÏøå Ýí ÃÕÍÇÈ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãÇÚÉ ãä ÇáÓäøÉ ãäåã ÕÇÍÈ ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÝÕæá¡ æÇáÊÐßÑÉ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑÊå ßÊÈ ÇáÔíÚÉ Ýí ÑÌÇáå ÃíÖÇð.

ÃíæÈ ÇáÓÌÓÊÇäí

ÃíæÈ Èä ÃÈí ÊãíãÉ ÇáÓÌÓÊÇäí ÇáÈÕÑí¡ æÞíá ÇáÓÎÊíÇäí¡ æÇáÃæá ÃÔåÑ¡ ãæáì ÚãøÇÑ Èä íÇÓÑ æÚÏøæå Ýí ßÈÇÑ ÇáÝÞåÇÁ ÇáÊÇÈÚíä¡ ãÇÊ ÚÇã (131 åÜ) ÈÇáØÇÚæä ÈÇáÈÕÑÉ Úä (65 åÜ) ÓäÉ. ÚÏøå Ýí ÑÌÇá ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá¡ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑÊå ßÊÈ ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ Ýí ÃÕÍÇÈå ÃíÖÇð. æåÄáÇÁ ÈÚÖ ãä äÓÈæå Åáì ÊáãÐÉ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ãä ÃÚáÇã ÇáÓäøÉ æÝÞåÇÆåã ÇáÈÇÑÒíä¡ æÞÏ ÚÏøæÇ ÛíÑ åÄáÇÁ Ýíåã ÃíÖÇð¡ ÇäÙÑ Ýí Ðáß ÍáíÉ ÇáÃæáíÇÁ¡ Úáì Ãä ÛíÑ ÃÈí äÚíã ÃÔÇÑ Åáì ÛíÑ åÄáÇÁ ÈÞæáå æÛíÑåã¡ Ãæ ãÇ Óæì Ðáß ããøÇ íÄÏøí åÐÇ ÇáãÝÇÏ.

As salam aleykoum mon frere,

Pouvez-vous traduire votre texte de l'arabe au français S'il vous plait,je vous remercie d'avance,

Barak Allah ou fik mon frere,

As salam aleykoum wa ramatoulah i wa barakatouh
 
Le respect de la critique

Salam madjid,

Je pense aussi qu'il faut reagir et fair face au critique lancer injustement sur les disciples de l'école des AhlBayt (a.s). Mais faut-il encore le faire avec sagesse et adopter la conduite de nos exemples Mohammed (a.s) et c'est AhlBayt !!!!
Les mots utiliser peuvent et son prise comme une insulte a l'école sunnit "Calife usurpateur, nouvel Islam des chouyoukhs revu et corrigé à la sauce des rabbins islamisés, ". Faut-il encore le repeter tout les sunnits ne son pas Wahabit ou Salafit, d'ailleur il son minoritaire dans le sunnisme !!! Il son certe les plus visible et les plus activiste mais les autre ne doivent pas payer pour eux quand bien meme nous pensons que le Khalifa revenait de droit à Imam Ali (a.s).
Il existe des sunnits qui respecte l'école de AhlBayt qui la considère même comme une école parmis les autres, voir à ce sujet Cheikh Shaltut Mufti du Azhar du siècle dernier.

N'existe t'il pas un verset Coranique qui nous interdit d'insulter les dieux des autres !!!!

N'existe t'il pas dans Nahj Balagha une interdiction formel de Imam Ali d'insulter les compagnons de Mo'awiya et d'invoqué Allah pour eux !!!

Pourquoi vouloir toujour faire autrement que l'enseignement des Imams ? Alors que c'est ce que vous reprochez à certain compagnons du Prophète (a.s) ?

Donc svp veuillez suivre la voie tracer par nos Imams, ce qui évitera des polémique suplémentaire dans ce dossier Historique auquel nous faison face tous ensemble. Et évitez nous de repondre à un sunnit qui aurait lue votre poste, que vous avez eu tord d'insulté ou de manqué de respect à des gens que vous aimez et respecté, .......blablabli blablabla.

Allahou a3lam

Salam
 
madjid a dit:
Assalamou 'alakoum wa Rahmatou Allai wa Barakatouhou;

Le fondateur du Madhab Djafarite imamite el 'imam Djaafer Essadik :as: est bien le PERE des MADHAHIB ahl es Souna entre autres, et partant du FIQH.

Ce digne arrière petit fils de Rassoulou Allah, :saws: , marquera son temps, et l'histoire, qui malheureusement tente de l'ignorer.

Mais ne dit-on pas que l'on reconnaît l'arbre à ses fruits ?
En conséquence, et même si l'histore enseignée chez Ahl es Souna, certains heureusement pas tous, tente de l'évincer et de l'GNORER, pour des raisons de madhab, donc POLITICHIENNES, je pense qu'i est grand temps de rendre à cet homme d'ALLAH, l'hommage qu'il mérite, et d'abord de le connaître, en signalant aux grincheux Wahab-sionisto-Salafis, que le descendant de Sayida Fatima Ezzahra,:as:, l'est aussi par sa mère de Abou Bekr,ra.
Qu'ils fassent attention donc à ne pas INSULTER le neveu de leur idole, et qu'ils cessent de dire que le "neveu" ait été le disciple de "Ibn Saba" le fantôme inventé par l'allié des NACIBIS, Seif et Kaab el Ahbar, recrutés par le Calife usurpateur Omar, pour enseigner aux musulmans le "nouvel Islam des chouyoukhs revu et corrigé à la sauce des rabbins islamisés".
En effet, Kaab al Ahbar, continuera son enseignement des "Isra'iliyates" dans le Masjed Errassoul durant tout le REGNE de Omar, puis de Othmane donc 23 ans, juste autant que le Prédicat de Rassulou Allah, :saws:, donc asez pour DESISLAMISER les esprits.
Heureusement que l'imam Ali, :as: sera appelé à l'IMAMA et au Califa, par les musulmans, et il expulsera Kaab et sa bande de la Mosquée de Rassoulou Allah, :saws: et il tentera de RETABLIR l'Islam de Rassoulou Allah, :saws: , ce qui provoquera les réacions des judéo-musulmans, Mou'awiya, Aicha, Talha, Zoubeyr, la suite nous la connaissons.....



ÑÌÇá ÕäÚåã ÇáÅãÇã ÇáÕÇÏÞ

áÞÏ ÊÎÑÌ ãä ÊÍÊ íÏ ÇáÅãÇã ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÚáãÇÁ Úáíåã ÇáÇÚÊãÇÏ æÇáãÚæá Ýí ÃãÑ ÇáÏíä ÝßÇäæÇ ÌåÇÈÐÉ ÇáÚáã æÃÝÐÇÐ Þáøó äÙíÑåã ÝÍãáæÇ ÇáÚáã ããÒæÌÇð ÈÇáÚãá æÇáÊÞæì æÎÏãæÇ Ïíäåã ÎÏãÉ ÌáíáÉ ÊÔåÏ ÈåÇ ÇáßÊÈ Åáì Çáíæã.

íÞæá åÔÇã Èä ÓÇáã ßäÇ ÚäÏ ÃÈí ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãÇÚÉ ãä ÃÕÍÇÈå ÝæÑÏ ÑÌá ãä Ãåá ÇáÔÇã ÝÇÓÊÃÐä ÈÇáÌáæÓ ÝÃÐä áå¡ ÝáãÇ ÏÎá Óøáã ÝÃãÑå ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÈÇáÌáæÓ Ëã ÞÇá áå: ãÇ ÍÇÌÊß ÃíåÇ ÇáÑÌá¿ ÞÇá: ÈáÛäí Ãäß ÚÇáã Èßá ãÇ ÊÓÃá Úäå ÝÕÑÊ Åáíß áÃäÇÙÑß¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ãÇÐÇ¿ ÞÇá: Ýí ÇáÞÑÂä¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) íÇ ÍãÑÇä Èä ÃÚíä Ïæäß ÇáÑÌá¡ ÝÞÇá ÇáÑÌá: ÅäãÇ ÃÑíÏß ÃäÊ áÇ ÍãÑÇä. ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã): Åä ÛáÈÊ ÍãÑÇä ÝÞÏ ÛáÈÊäí ÝÃÞÈá ÇáÔÇãí íÓÃá ÍãÑÇä ÍÊì ÖÌÑ æãáø æÍãÑÇä íÌíÈå¡ ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ßíÝ ÑÃíÊ íÇ ÔÇãí¿ ÞÇá: ÑÃíÊå ÍÇÐÞÇð ãÇ ÓÃáÊå Úä ÔíÁ ÅáÇ ÃÌÇÈäí¡ Ëã ÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÚÑÈíÉ¡ ÝÇáÊÝÊ ÃÈæ ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÝÞÇá: íÇ ÃÈÇä Èä ÊÛáÈ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑå ÍÊì ÛáÈå¡ ÝÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÝÞå ÝÞÇá ÃÈæ ÚÈÏ Çááå: íÇ ÒÑÇÑÉ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑ ÍÊì ÛáÈå¡ ÝÞÇá ÇáÔÇãí: ÃÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáßáÇã ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): íÇ ãÄãä ÇáØÇÞ äÇÙÑå¡ ÝäÇÙÑå ÝÛáÈå¡ Ëã ÞÇá: ÃõÑíÏ Ãä ÃäÇÙÑß Ýí ÇáÇÓÊØÇÚÉ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): íÇ åÔÇã Èä ÓÇáã ßáãå Ýßáãå ÝÛáÈå¡ Ëã ÞÇá: ÃÑíÏ Ãä ÃÊßáã Ýí ÇáÅãÇãÉ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): áåÔÇã Èä ÇáÍßã ßáãå¡ ÝÛáÈå ÃíÖÇð ÝÍÇÑøó ÇáÑÌá æÓßÊ. æÇÎÐ ÇáÅãÇã íÖÍß ÝÞÇá ÇáÔÇãí áå: ßÃäß ÃõÑÏÊ Ãä ÊÎÈÑäí Ãä Ýí ÔíÚÊß ãËá åÄáÇÁ ÇáÑÌÇá¿ ÝÞÇá ÇáÅãÇã (Úáíå ÇáÓáÇã): åæ Ðáß¡ äÚã ßÇä åÄáÇÁ ÇÈØÇá ÇáÚáã Ýì ãíÏÇä ÇáÚãá ßá æÇÍÏ ãäåã íãËá ÇáÔãæÎ ÇáÔíÚí Ýí ÈáÏÊå æÒãÇäå.

æãä ÃÕÍÇÈå (Úáíå ÇáÓáÇã) ÃÈæ ÅÓÍÇÞ ÅÈÑÇåíã ÍÈíÈ ÇáÝÒÇÑí ÇáãÊæÝí ÚÇã (161 åÜ 777 ã)¡ æåæ Ãæá ãä Úãá ÇáÇÕØÑáÇÈ Ýí ÇáÅÓáÇã ¡ æÃæá ãä ÃáÝ Ýíå. æÇáÇÕØÑáÇÈ áÝÙÉ íæäÇäíÉ ãÃÎæÐÉ ãä ßáãÉ (ÇáÇÕØÑáÇÈæä)¡ æãÚäÇåÇ ãÑÂÉ ÇáäÌã (ÇÕØÑ: ÇáäÌã¡ áÇÈæä: ãÑÂÉ). æÞíá ÃäåÇ áÝÙÉ ÝÇÑÓíÉ ÃÕáåÇ (ÓÊÇÑÉ ÈÇÈ) Ãí ßÇÔÝ ÇáäÌã. æåÐÇ ÃÍãÏ Èä ÇáÍÓä Èä ÃÈí ÇáÍÓä ÇáÝáßí ÇáØæÓí¡ ÊÎÕÕ Ýí Úáã ÇáÝáß ÍÊì ÇÔÊåÑ Èå¡ ææÖÚ ßÊÇÈ (ÇáãäÇÑ) æßÊÇÈ (ÔÑÍ ÇáÊåÐíÈ Ýí ÇáÅãÇãÉ) æáå Ýí ÇáäÌæã æÇáÝáß ßÊÇÈ (ÑíÍÇä ÇáãÌÇáÓ æÊÍÝÉ ÇáãÄÇäÓ)¡ æÞÏ äÞá Úäå ÇáÓíÏ ÇÈä ØÇææÓ. æåÐÇ ãÍãÏ Èä ãÓÚæÏ ÇáÚíÇÔí ÇáÊãíãí¡ æÕÝå ÇÈä ÇáäÏíã ÈÞæáå: ãä ÝÞåÇÁ ÇáÔíÚÉ ÇáÅãÇãíÉ. ÃæÍÏ Ãåá ÏåÑå æÒãÇäå Ýí ÛÒÇÑÉ ÇáÚáã¡ áå ßÊÇÈ (ÇáäÌæã æÇáÝÃÑ)¡ æåÐÇ ÃÈæ Úáí ÇáÍÓä Èä ÝÖÇá ãä ÃÕÍÇÈ ÇáÅãÇã Úáí Èä ãæÓì ÇáÑÖÇ (Úáíå ÇáÓáÇã)¡ æáå ßÊÇÈ (ÇáäÌæã) æ (ßÊÇÈ ÇáØÈ).

ÊáÇãíÐå ãä ÃÚáÇã ÇáÓäÉ
ÃÎÐ Úäå ÚÏøÉ ãä ÃÚáÇã ÇáÓäøÉ æÃÆãÊåã¡ æãÇ ßÇä ÃÎÐåã Úäå ßãÇ íÃÎÐ ÇáÊáãíÐ Úä ÇáÃõÓÊÇС Èá áã íÃÎÐæÇ Úäå ÅáÇø æåã ãÊøÝÞæä Úáì ÅãÇãÊå æÌáÇáÊå æÓíÇÏÊå¡ ßãÇ íÞæá ÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáäææí Ýí ÊåÐíÈ ÇáÃÓãÇÁ æÇááÛÇÊ¡ Èá ÚÏøæÇ ÃÎÐåã Úäå ãäÞÈÉ ÔÑøÝæÇ ÈåÇ¡ æÝÖíáÉ ÇßÊÓÈæåÇ ßãÇ íÞæá ÇáÔÇÝÚí Ýí ãØÇáÈ ÇáÓÄá¡ æãäåã:

ÃÈæ ÍäíÝÉ

ÍäíÝÉ ÇáäÚãÇä Èä ËÇÈÊ Èä ÒæØí ãä ÇáãæÇáí æÃÕáå ãä ßÇÈá æáÏ ÈÇáßæÝÉ¡ æÈåÇ äÔà æÏÑÓ¡ æßÇäÊ áå ÝíåÇ ÍæÒÉ æÇäÊÞá Çáì ÈÛÏÇÏ æÈåÇ ãÇÊ ÚÇã 150¡ æÞÈÑå ÈåÇ ãÚÑæÝ¡ æåæ ÃÍÏ ÇáãÐÇåÈ ÇáÃÑÈÚÉ ÚäÏ Ãåá ÇáÓäøÉ¡ æÍÇáå ÃÔåÑ ãä Ãä íÐßÑ. æÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ãÚÑæÝ¡ æããøä ÐßÑ Ðáß ÇáÔÈáäÌí Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇÈä ÍÌÑ Ýí ÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÇÈä ÇáÕÈøÇÛ Ýí ÇáÝÕæá¡ Åáì ÛíÑ åÄáÇÁ¡ æÞÇá ÇáÂáæÓí Ýí ãÎÊÕÑ ÇáÊÍÝÉ ÇáÇËäí ÚÔÑíÉ (Õ8): æåÐÇ ÃÈæ ÍäíÝÉ æåæ Èíä Ãåá ÇáÓäøÉ ßÇä íÝÊÎÑ æíÞæá ÈÃÝÕÍ áÓÇä: "áæáÇ ÇáÓäÊÇä áåáß ÇáäÚãÇä" íÑíÏ ÇáÓäÊíä ÇááÊíä ÕÍÈ ÝíåÇ áÃÎÐ ÇáÚáã ãä ÇáÅãÇã ÌÚÝÑ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã).

ãÇáß Èä ÃäÓ
ÞÇá ÇÈä ÇáäÏíã Ýí ÇáÝåÑÓÊ: åæ ÇÈä ÃÈí ÚÇãÑ ãä ÍãíÑ æÚÏÇÏå Ýí Èäí Êíã Èä ãÑøÉ ãä ÞÑíÔ¡ æÍãá Èå ËáÇË Óäíä¡ æÞÇá: æÓÚì Èå Åáì ÌÚÝÑ Èä ÓáíãÇä ÇáÚÈøÇÓí æßÇä æÇáí ÇáãÏíäÉ ÝÞíá áå: Åäøå áÇ íÑì ÅíãÇä ÈíÚÊßã. ÝÏÚì Èå æÌÑøÏå æÖÑÈå ÃÓæÇØÇð æãÏøÏå ÝÇäÎáÚ ßÊÝå æÊæÝì ÚÇã (179 åÜ) Úä (84) ÓäÉ¡ æÐßÑ ãËáå ÇÈä ÎáßÇä. æÃÎÐå Úä ÃÈí ÚÈÏ Çááå (Úáíå ÇáÓáÇã) ãÚáæã ãÔåæÑ¡ æããøä ÃÔÇÑ Åáì Ðáß Çáäææí Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáÔÈáäÌí Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÓÈØ Ýí ÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáÔÇÝÚí Ýí ÇáãØÇáÈ¡ æÇÈä ÍÌÑ Ýí ÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÔíÎ ÓáíãÇä Ýí ÇáíäÇÈíÚ¡ æÃÈæ äÚíã Ýí ÇáÍáíÉ¡ æÇÈä ÇáÕÈøÇÛ Ýí ÇáÝÕæá¡ Åáì ãÇ Óæì åÄáÇÁ.

ÓÝíÇä ÇáËæÑí
ÓÝíÇä Èä ÓÚíÏ Èä ãÓÑæÞ ÇáËæÑí ÇáßæÝí¡ æÑÏ ÈÛÏÇÏ ÚÏøÉ ãÑøÇÊ¡ æÑæì Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãáÉ ÃÔíÇÁ¡ æÃæÕÇå ÇáÕÇÏÞ ÈÃõãæÑ ËãíäÉ ãÑøÊ Ýí ÇáæÕÇíÇ¡ æäÇÙÑ ÇáÕÇÏÞ Ýí ÇáÒåÏ ßãÇ ÓáÝ¡ æÇÑÊÍá Åáì ÇáÈÕÑÉ æÈåÇ ãÇÊ (161 åÜ)¡ ææáÇÏÊå Ýí äíÝ æÊÓÚíä¡ Þíá ÔåÏ æÞÚÉ ÒíÏ ÇáÔåíÏ æßÇä Ýí ÔÑØÉ åÔÇã Èä ÚÈÏ Çáãáß. ÌÇÁ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æäæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá ÇáãåãÉ¡ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑå ÇáÑÌÇáíæä ãä ÇáÔíÚÉ Ýí ÑÌÇáå (Úáíå ÇáÓáÇã).

ÓÝíÇä Èä ÚííäÉ

ÓÝíÇä Èä ÚííäÉ Èä ÃÈí ÚãÑÇä ÇáßæÝí Çáãßøí æáÏ ÈÇáßæÝÉ ÚÇã (107 åÜ) æãÇÊ ÈãßøÉ ÚÇã (198 åÜ)¡ æÏÎá ÇáßæÝÉ æåæ ÔÇÈ Úáì ÚåÏ ÃÈí ÍäíÝÉ. ÐßÑ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æäæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá¡ æãÇ ÓæÇåÇ¡ æÐßÑ Ðáß ÇáÑÌÇáíæä ãä ÇáÔíÚÉ ÃíÖÇð.

íÍíì Èä ÓÚíÏ ÇáÃäÕÇÑí

íÍíì Èä ÓÚíÏ Èä ÞíÓ ÇáÃäÕÇÑí ãä Èäí ÇáäÌøÇÑ ÊÇÈÚí¡ ßÇä ÞÇÖíÇð ááãäÕæÑ Ýí ÇáãÏíäÉ¡ Ëã ÞÇÖí ÇáÞÖÇÉ¡ ãÇÊ ÈÇáåÇÔãíøÉ ÚÇã (143 åÜ). ÇäÙÑ ÇáãÕÇÏÑ ÇáãÊÞÏøãÉ Ýí ÑæÇíÊå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) æãÇ ÚÏÇåÇ ßãÇ ÐßÑ Ðáß ÇáÑÌÇáíøæä ãä ÇáÔíÚÉ.

ÇÈä ÌÑíÍ

ÚÈÏ Çáãáß Èä ÚÈÏ ÇáÚÒíÒ Èä ÌÑíÍ Çáãßøí¡ ÓãÚ ÌãÚÇð ßËíÑÇð ãä ÇáÚáãÇÁ¡ æßÇä ãä ÚáãÇÁ ÇáÚÇãøÉ¡ ÇáÐíä íÑæä ÍáíÉ ÇáãÊÚÉ ßãÇ ÑÃì ÍáøíÊåÇ ÂÎÑæä ãäåã¡ æÌÇÁ Ýí ØÑíÞ ÇáÕÏæÞ Ýí ÈÇÈ ãÇ íõÞÈá ãä ÇáÏÚÇæì ÈÛíÑ ÈíøäÉ¡ æÌÇÁ Ýí ÇáßÇÝí Ýí ÈÇÈ ãÇ ÃÍáø Çááå ãä ÇáãÊÚÉ ÓÄÇá ÃÍÏåã ãä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Úä ÇáãÊÚÉ ÝÞÇá: "ÇáÞ ÚÈÏ Çáãáß Èä ÌÑíÍ ÝÇÓÃáå ÚäåÇ ÝÅäø ÚäÏå ãäåÇ ÚáãÇð"¡ ÝÃÊÇå ÝÃãáì Úáíå ÔíÆÇð ßËíÑÇð Úä ÇáãÊÚÉ æÍáøíÊåÇ. æÞÇá ÇÈä ÎáßÇä: ÚÈÏ Çáãáß ÃÍÏ ÇáÚáãÇÁ ÇáãÔåæÑíä¡ æßÇäÊ æáÇÏÊå ÓäÉ (80 åÜ) æÞÏã ÈÛÏÇÏ Úáì ÃÈí ÌÚÝÑ ÇáãäÕæÑ¡ æÊæÝì ÓäÉ (149 åÜ) æÞíá (150 åÜ)¡ æÞíá (151 åÜ). æÐßÑÊ ÇáãÕÇÏÑ ÇáÓÇÈÞÉ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã)¡ ßãÇ ÐßÑÊå ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ.

ÇáÞØøÇä

ÃÈæ ÓÚíÏ íÍíì Èä ÓÚíÏ ÇáÞØøÇä ÇáÈÕÑí¡ ßÇä ãä ÃÆãÉ ÇáÍÏíË Èá ÚõÏø ãÍÏøË ÒãÇäå¡ æÇÍÊÌø Èå ÃÕÍÇÈ ÇáÕÍÇÍ ÇáÓÊÉ æÛíÑåã¡ ÊæÝì ÚÇã (198 åÜ)¡ æÍßí Úä ÇÈä ÞÊíÈÉ ÚÏÇÏå Ýí ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ¡ æáßä ÇáÔíÚÉ áÇ ÊÚÑÝå ãä ÑÌÇáåÇ. ÐßÑå Ýí ÑÌÇá ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÛíÑåãÇ ãä ÇáÓäøÉ¡ æÇáÔíΡ æÇÈä ÏÇæÏ¡ æÇáäÌÇÔí¡ æÛíÑåã ãä ÇáÔíÚÉ.

ãÍãøÏ Èä ÅÓÍÇÞ

ãÍãøÏ Èä ÅÓÍÇÞ Èä íÓÇÑ ÕÇÍÈ ÇáãÛÇÒí æÇáÓíÑ¡ æãÏäíø Óßä ãßøÉ¡ ÃËäì Úáíå ÇÈä ÎáßÇä ßËíÑÇð¡ æßÇä Èíäå æÈíä ãÇáß ÚÏÇÁ¡ ÝßÇä ßáø ãäåãÇ íØÚä Ýí ÇáÂÎÑ¡ ÞÏã ÇáÍíÑÉ Úáì ÇáãäÕæÑ ÝßÊÈ áå ÇáãÛÇÒí. æÞÏã ÈÛÏÇÏ æÈåÇ ãÇÊ ÚÇã (151 åÜ) Úáì ÇáãÔåæÑ¡ ÐßÑ ÃÎÐå Úä ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÛíÑåãÇ ãä ÇáÓäøÉ¡ æÇáÔíÎ Ýí ÑÌÇáå¡ æÇáÚáÇøãÉ Ýí ÇáÎáÇÕÉ¡ æÇáßÔí Ýí ÑÌÇáå¡ æÛíÑåã ãä ÇáÔíÚÉ.

ÔÚÈÉ Èä ÇáÍÌøÇÌ

ÔÚÈÉ Èä ÇáÍÌøÇÌ ÇáÃÒÏí ßÇä ãä ÃÆãÉ ÇáÓäøÉ æÃÚáÇãåã æßÇä íÝÊí ÈÇáÎÑæÌ ãÚ ÅÈÑÇåíã Èä ÚÈÏ Çááå Èä ÇáÍÓä¡ æÞíá ßÇä ããøä ÎÑÌ ãä ÃÕÍÇÈ ÇáÍÏíË ãÚ ÅÈÑÇåíã Èä ÚÈÏ Çááå. æÚÏøå Ýí ÃÕÍÇÈ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ÌãÇÚÉ ãä ÇáÓäøÉ ãäåã ÕÇÍÈ ÇáÊåÐíÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáíäÇÈíÚ¡ æÇáÝÕæá¡ æÇáÊÐßÑÉ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑÊå ßÊÈ ÇáÔíÚÉ Ýí ÑÌÇáå ÃíÖÇð.

ÃíæÈ ÇáÓÌÓÊÇäí

ÃíæÈ Èä ÃÈí ÊãíãÉ ÇáÓÌÓÊÇäí ÇáÈÕÑí¡ æÞíá ÇáÓÎÊíÇäí¡ æÇáÃæá ÃÔåÑ¡ ãæáì ÚãøÇÑ Èä íÇÓÑ æÚÏøæå Ýí ßÈÇÑ ÇáÝÞåÇÁ ÇáÊÇÈÚíä¡ ãÇÊ ÚÇã (131 åÜ) ÈÇáØÇÚæä ÈÇáÈÕÑÉ Úä (65 åÜ) ÓäÉ. ÚÏøå Ýí ÑÌÇá ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) Ýí äæÑ ÇáÃÈÕÇÑ¡ æÇáÊÐßÑÉ¡ æÇáãØÇáÈ¡ æÇáÕæÇÚÞ¡ æÇáÍáíÉ¡ æÇáÝÕæá¡ æÛíÑåÇ¡ æÐßÑÊå ßÊÈ ÑÌÇá ÇáÔíÚÉ Ýí ÃÕÍÇÈå ÃíÖÇð. æåÄáÇÁ ÈÚÖ ãä äÓÈæå Åáì ÊáãÐÉ ÇáÕÇÏÞ (Úáíå ÇáÓáÇã) ãä ÃÚáÇã ÇáÓäøÉ æÝÞåÇÆåã ÇáÈÇÑÒíä¡ æÞÏ ÚÏøæÇ ÛíÑ åÄáÇÁ Ýíåã ÃíÖÇð¡ ÇäÙÑ Ýí Ðáß ÍáíÉ ÇáÃæáíÇÁ¡ Úáì Ãä ÛíÑ ÃÈí äÚíã ÃÔÇÑ Åáì ÛíÑ åÄáÇÁ ÈÞæáå æÛíÑåã¡ Ãæ ãÇ Óæì Ðáß ããøÇ íÄÏøí åÐÇ ÇáãÝÇÏ.

salam alaykoum

Pourriez - vous, lorsque vous mettez ainsi des references en langue arabe, en faire au moins la traduction afin que tous les intervenants puissent en profiter, et pas seulement les personnes arabophones ? Ceci est à mon sens une marque de respect pour nos frères et soeurs qui ne connaissent pas la langue arabe et qu'ils puissent eux aussi profiter de ce que vous nous apprenez...merci

En outre, je ne pense pas que vous puissiez par vos propos...

en signalant aux grincheux Wahab-sionisto-Salafis, que le descendant de Sayida Fatima Ezzahra,:as:, l'est aussi par sa mère de Abou Bekr,ra.

...aider à une meilleure communication entre chiites et sunnites, qui est le but de ce forum. Merci de modérer vos propos et de respecter nos freres musulmans quels qu'ils soient...notre but n'est pas ici de faire des procès à qui que ce soit mais de favoriser une meilleure entente entre chiites et sunnites.

Enfin, je vous rappelle une des regles de notre charte :

5 - Afin de garantir une meilleure lisibilité, le langage sms et les abréviations sont totalement interdits sur le forum. Par ailleurs, la couleur rouge est strictement réservée à l’usage des administrateurs et des modérateurs.

salam

imane
 
Salam 'alaykoom frère Majid.


Je pense que la traduction est un travail très difficile mais à défaut d'une traduction, serait-il possible d'avoir simplement une synthèse de vos textes?

Pour ce qui est du dialogue Shiite-Sunnite,je pense que la pédagogie
est un outil essentiel afin de dissiper les malentendus envers le shiisme : il ne faut pas oublier que la propagande anti-chiite est orchestrée à coup
de millions de dollars par les saoudiens et les amèricains.

Malheureusement, beaucoup de musulmans tombent dans ce travers: ils ne connaissent rien à la religion, le jour où ils s'y intéressent, ils vont à la mosquèe et on leur tient un discours anti-chiite, ils ne sont pour moi, que des victimes.

merci et ma'a salama.
 
Tarik a dit:
Salam madjid,

Je pense aussi qu'il faut reagir et fair face au critique lancer injustement sur les disciples de l'école des AhlBayt (a.s). Mais faut-il encore le faire avec sagesse et adopter la conduite de nos exemples Mohammed (a.s) et c'est AhlBayt !!!!
Les mots utiliser peuvent et son prise comme une insulte a l'école sunnit "Calife usurpateur, nouvel Islam des chouyoukhs revu et corrigé à la sauce des rabbins islamisés, ". Faut-il encore le repeter tout les sunnits ne son pas Wahabit ou Salafit, d'ailleur il son minoritaire dans le sunnisme !!! Il son certe les plus visible et les plus activiste mais les autre ne doivent pas payer pour eux quand bien meme nous pensons que le Khalifa revenait de droit à Imam Ali (a.s).
Il existe des sunnits qui respecte l'école de AhlBayt qui la considère même comme une école parmis les autres, voir à ce sujet Cheikh Shaltut Mufti du Azhar du siècle dernier.

N'existe t'il pas un verset Coranique qui nous interdit d'insulter les dieux des autres !!!!

N'existe t'il pas dans Nahj Balagha une interdiction formel de Imam Ali d'insulter les compagnons de Mo'awiya et d'invoqué Allah pour eux !!!

Pourquoi vouloir toujour faire autrement que l'enseignement des Imams ? Alors que c'est ce que vous reprochez à certain compagnons du Prophète (a.s) ?

Donc svp veuillez suivre la voie tracer par nos Imams, ce qui évitera des polémique suplémentaire dans ce dossier Historique auquel nous faison face tous ensemble. Et évitez nous de repondre à un sunnit qui aurait lue votre poste, que vous avez eu tord d'insulté ou de manqué de respect à des gens que vous aimez et respecté, .......blablabli blablabla.

Allahou a3lam

Salam

As salam aleykoum mon frere Tarik,

Barak Allah ou fik pour on intervention,masha Allah mon frere que Dieu te récompense pour ta sagesse et ton bon comportement et qu'Il nous guide tous dans le chemin droit...Amine...:happy:

Les salafistes ne representent qu'une petite minorité comme vous dites,il y'a beaucoup de sunnites qui sont tres bons et pieux,ce n'est pas une question de chi'ite ou sunnite mais une question de coeur,soit on a un coeur bon soit on a un coeur mauvais et "le prophète :saws: a dit,que si une partie du corps est noir alors tout le reste du corps est noir,et si elle (cette partie du corps) est pure tout le reste du coprs est pure,et cette partie du corps c'est le coeur"...


As salam aleykoum wa ramatoulah i wa barakatouh
 
As-salam' aleykom wa rahmatulah wa barakatuh,

Chers frères et soeurs, nous essayons tous de garder une certaine harmonie sur ce forum. Le frère Madjid utilise parfois un ton provocateur que nous lui connaissons bien et ceci doit être certainement pointé du doigt lorsque cela est le cas.

Hors, il me semble qu'ici, on ne peut l'accuser de généraliser tous les Sunnites. La citation de la soeur Khadija en est une preuve me semble-t-il. Le frère Madjid dénonce ici les gens du pouvoirs, conscients et souvent peu scrupuleux. Certes, nous ne devons pas les insulter mais les qualifier est une autre affaire.

Je me joins donc à votre désir à tous que la paix règne ici et que les excès soient dénoncés et modérés... cela est aussi mon rôle de modérateur. Dans ce cas précis, il ne me semble pas que le frère Madjid soit passible de quelques accusations que ce soit si ce n'est de dire, et je partage son avis, que certains parmis les Sunnites (et pas seulement) desservent la Vérité et propage une fausse Religion. Certains le font, pas tous et cela est précisé par Madjid :

En conséquence, et même si l'histore enseignée chez Ahl es Souna, certains heureusement pas tous, tente de l'évincer et de l'GNORER, pour des raisons de madhab, donc POLITICHIENNES...

Qu' Allah:swt: nous permette une meilleure compréhension...

Salam wa rahmatulah wa barakatuh.

Ps : Frère Madjid, concernant la couleur rouge, c'est une règle que nous tenons à faire respecter, barakallahou fik...
 
Assalamou 'alaikoum wa Rahmtou Allahi wa Barakatouhou;

Chose promise chose due.

Traduction, par Ithviriw, tous droits réservés.
Les hommes formés par l’imam Essadik​

Il a été formé par l’imam Assadik as, des savants de référence, sur lesquels on peut compter dans le domaine religieux. Ils ont été des génies sans pareil. Ils ont couplé leurs connaissances avec la pratique et la piété, et ils ont grandement servi la religion et les livres en témoignent encore à ce jour.
Hicham Bin Salam rapporte qu’alors qu’il était chez Abi Abdi Allah, as, avec un groupe de ses compagnons, il est arrivé un homme venant de Syrie. Il demanda l’autorisation de s’asseoir en notre compagnie, et nous l’y autorisâmes. Lorsqu’il se joignit à nous, il nous salua et Abi Abd Allah, as, lui demanda de s’asseoir et il lui dit ensuite : « Que veux-tu ? » Celui-ci répondit : J’ai appris que tu étais capable de répondre à toutes les questions qui te sont posées. Je suis donc venu me mesurer à toi. Abou Abd Allah, as, dit dans quel domaine ?

Le Coran, répondit l’homme.
Abou Abd Allah, as, dit O Himrane bnou A’yen, occupe toi de lui. Celui-ci répondit, mais c’est avec toi que je veux débattre, et non avec Himrane. Abou Abd Allah, as, répondit : Si tu vainc Himrane, c’est que tu m’as vaincu. Le Syrien fit face à Himrane, il le questionna jusqu’à ce qu’il en fut fatigué, pendant que Himrane continuait de lui répondre. Abou Abd Allah, as, dit alors qu’en penses-tu Syrien ? J’ai constaté qu’il était clairvoyant et je ne lui ai pas posé une seule question à laquelle il n’ait pas répondu.
Puis le Syrien, dit je souhaiterai te tester en langue arabe. Abou Abd Allah, as, se tourna et dit: "O Abane ibn Ta’alab, débat avec lui, ce dernier le vaincut.
Le Syrien dit ensuite, je voudrais te confronter dans le domaine de la jurisprudence, Abou Abd Allah, dit: O Zarara débat avec lui, il débattit jusqu’à ce qu’il l’eût vaincu.
Le Syrien dit, je souhaiterais polémiquer avec toi dans le domaine de la théologie, et l’imam as, désigna Ma’moun Attaq, qui débattit avec lui et le vaincut.
Le Syrien dit vouloir le confronter dans le domaine de la capacité de choix, (déterminisme et libre arbitre) et l’imam, as, désigna Hicham bin Salim, qui le vaincra.
Il dit ensuite, je voudrais débattre au sujet de l’imamat, il lui fut désigné Hicham bnou Alhakem qui le vaincra lui aussi. L’homme devint perplexe et il se tût.
L’imam se mit à rire, et le Syrien lui dit : « Voudrais-tu me faire comprendre que parmi tes partisans, il y a des hommes de cette trempe ? » L’imam, as, répondit, c’est bien cela. Oui, c’est hommes étaient les meilleurs dans leur domaine et chacun d’entre eux, représente la fleur des chiites, dans son pays et en son temps.

Parmi les compagnons de l’imam, as, Abou Ishaq Ibrahim Habib Alfazari décédé en 777- 161H, qui a été le premier à fabriquer l’astrolabe en Islam. Ce nom a pour étymologie l’observation de l’étoile (Aster, l’Etoile, Labo-un : la lunette, le miroir, vision). On dit que c’est un mot persan dont l’origine est (Staret bab) ou le découvreur de l’étoile. Il y a aussi Ahmed Bin Hassen bin Abi Al Hassen, l’astronome Toussi qui s’est spécialisé en astronomie jusqu’à en devenir réputé. Il écrivit le livre ( Al Manar = l’Observatoire) et le livre ( Charh Atahdhib fi el' imama), dans le domaine des étoiles et du Cosmos, il a un livre ( Le basilic des assemblées et le chef d’œuvre de la convivialité), Sayed Ibn Taous l’a cité comme référence.
On citera encore Mohamed bin Mass’oud Al’iyachi At Taymimi, qui a été décrit par Ibn Nadim comme étant l’un des érudits imâmites. Il s’est distingué de ses contemporains dans l’étendue de ses connaissances. Il a écrit le livre ( les étoiles) et ( le livre de la médecine).

Ses étudiants parmi les savants sounis.
Nombre de savants et imams sounis, ont étudié chez lui. Ils n’ont pas appris chez lui, comme le ferait un étudiant de son maître, mais ils ne l’ont pris pour professeur qu’après avoir reconnu en lui son imamat, sa supériorité et sa descendance, comme disait Cheikh Souleyman dans les sources, ou comme le reconnaît An Nawawi dans la formation des noms et des langues. En fait, ils ont considéré leur formation auprès de lui, comme une vertu dont ils se sont honorés, et une faveur dont ils ont été gratifiés comme le rappelle As Shafe’i dans Matalib Assou'al.
Parmi eux :
Abou Hanifa​
Hanifa An Nou’aman, bin Thabit bin Zouti, était du nombre de ceux qui lui furent loyaux et il était d’origine de Kabel et il était né à Koufa, où il grandit et étudia. Il y avait fondé un séminaire puis il se rendit à Bagdad, où il mourra en 150 H. Son tombeau y est connu et il est l’un des quatre imams chez les sounis dont la réputation n’est plus à faire. Ce qu’il a appris chez As Sadik, as, est connu et As Shablandji parlera de ce fait dans « Nour Al Absar, la lumière de la vue », Ibn Hadjar dans As Sawa’ik ( les foudres), Cheikh Souleymane dans Yanabi'a, Ibn Sabbagh, dans les « foussouls » et tant d’autres. Al Aloussi dans le « Moukhtassar Touhfat AlAthna 'acharya » p.8, écrit : « Voilà que Abou Hanifa, un souni, s’honore et clame sans ambiguïté : « N’étaient-ce les deux années, An Nou’amane serait perdu». Il voulait dire les deux années pendant lesquelles il accompagna et se nourrit des enseignements de l’imam Ja’afar As Sadik, as.

Malek bin Anas :​
Ibn Nadim dans le « Fihrist », il s’appelle Ibn Abi ‘Amir de Hamir et il est compté membre des bani Tayim des Quraychites. Il a été son disciple durant trois années. Il dit en outre : « Il a été ramené chez Ja’afar bin Souleymane l’Abbasside qui était alors le gouverneur de Médine. Ils l’informèrent qu’il refuse de vous prêter allégeance. Il le fit convoquer et il le dévêtit et il le fit bastonner puis il le fit écarteler jusqu’à le démembrer de son épaule, il mourut en 179H, à 84 ans. Ibn Halkane dit la même chose. Le savoir qu’il recueillit auprès de Ibn Abd Allah, as, est connu et reconnu. An Nawawi dans Tahdhib, rapporte cela, tout comme As Shablandji dans « nour al absar », Assabt dans « At Tadhkira », As Shafe’i dans « al Moutalib » Ibn Hadjar dans « as Sawa’ik » Cheikh Souleymane dans « A yanabi’a », Abou Na’im dans « alhilya », Ibn Sabbagh, dans « Al Foussoul », et d’autres que ces derniers.

Soufyane Athawri :
Soufyane bnou Sa’id bin Masrouk athawri al Koufi, il est allé à Bagdad nombre de fois, et il raconte sur Sadik, as, nombre de choses. As Sadik, as, lui confia nombre de choses précieuses qui prirent place dans le legs, et ainsi il rivalisa avec As Sadik, as, en matière d’ascèse, comme dit précédemment. Il a émigré ensuite à Bassora où il mourut en 161H. Il était né à Naïf, en 90H. On dit qu’il a été témoin de la bataille de Zayd As Shahid, et fait partie de la police de Hicham bin Abd el Malik. Il a été cité comme disciple de As Sadik, as, dans « At Tahdhib », dans « nour al absar », « Attadhkira », Al Moutalib, As Sawa’ik, Al yanabi’a, al Hilya, Al Foussoul almouhima et d’autres. Il a été cité par les biographes chiites, parmi les disciples de As Sadik, as.

Soufyane bin Ayina :​
Soufyane bin Ayina bin Abi Amrane Al Koufi Almequi, est né à Koufa en 107H et il est décédé à La Mecque en 198H. Il était à Koufa du temps de Abi Hanifa alors qu’il était jeune. Il a été cité comme disciple de As Sadik, as, dans At Tahdhib, Nour al Absar, Al Moutalib, As Sawa’ik, Al Yanabi’a, Al Hiliya, Al Foussoul, etc. Les biographes chiites disent la même chose.
Yahya bin Sa’id al Ansari :
Yahya bin Sa’id bin Kaïs, al ansari, fait partie des Bani Nejjar, et c’est un suivant des Compagnons du prophète, aswas. Il était Juge du temps d’El Mansour à Médine, puis il devint le Cadi des Juges, avant de mourir à Hachimya, en 143H. Voir les références citées dans les récits qui le concernent et qui ont été rapportées par As Sadik, as, ainsi qu’il a été rapporté et confirmé par les biographes chiites.

Ibn Jarih :
Abd al Malek Abd Al Aziz bin Jarih Al Maqui, a entendu un groupe important de savants, il était du nombre des savants du commun (Ahl souna), qui considéraient le problème de la licéité de la mout’a, à l’instar du point de vue des autres parmi eux. Il a suivi la version de Sadik, as, au chapitre de « ce qui est acceptable parmi les prétentions sans besoin de preuves ». Dans Al Kafi, au chapitre des « mout’a qu’Allah, a rendues licites », il est rapporté une question que l’un d’entre eux à posée à Sadik, as, au sujet de la « mout’a » ; celui-ci a répondu « Rencontre Abd Al Malik Bin Jarih, pose lui la question à ce sujet, il a à ce sujet une connaissance sur le sujet ». Le questeur alla voir Abd Al Malik bin Jarih, et lui posa la question, celui-ci lui donna une quantité importante d’informations au sujet de la mout’a et de sa licéité. Ibn Khalkan, rapporte : Abd Al Malik est l’un des savants les plus reconnus. Il est né en 80H., puis il est venu à Bagdad du temps de abi Ja’afar Al Mansour, et il est décédé en 149H, d’autres disent en 150H et même 151H. Les mêmes références que ci-dessus, rapportent qu’il a beaucoup appris de chez As Sadik, as, ce que confirment les biographes chiites.

Al Qatane :​
Abou Saïd Yahya bin Saïd Al Qatane al Basri, fait partie des imams du Hadith, au point qu’il fut considéré comme le traditionniste de sa génération. Il a été cité comme référence probante par les six auteurs des Sihah et d’autres. Il s’est éteint en 198H. Il a été rapporté par Ibn Qoteyba, qu’il a été décompté parmi les shiites ; mais les shiites ne le reconnaissent pas comme l’un des leurs. Il a été cité parmi les disciples de Sadik, as, dans At Tahdhib, Al Yanabi’a, et dans d’autres sources sounies, comme Achaykh, Ibn Dawoud, An Nadjachi et d’autres parmi les auteurs chiis.

Mohamed Bin Ishaq :​
Mohamed Bin Ishaq bin Yassar l’auteur des « Maghazi wa Essyer » est une Médinois qui a habité La Mecque. Ibn Khalkane a beaucoup compté sur son témoignage. Entre lui et Malik, il y avait de l’animosité. Chacun des deux critiquait l’autre. Al Mansour en fût intrigué, et il écrivit pour lui, « Al Maghazi ». Il vint à Bagdad, où il mourra en 151H selon la version la plus répandue. Il a été dit de lui, qu’il a pris beaucoup de Sadik, as. Cela dans At Tahdhib, Al Yanabi’a, et d’autres sources sounies, mais aussi par Achaykh, dans ses biographies, et dans Al‘alama fi Alkhulasa, et aussi par Alkachi dans ses biographies, ainsi que dans d’autres sources chiites.

Shou’aba bin Al Hadjadj :​
Shou’aba Bin Al Hadjadj Alazadi, faisait partie des imams Ahl es Souna et de leurs érudits. Il faisait des fatawis pour inciter à se joindre à la rébellion de Ibrahim bin Abd Allah bin Al Hassen, et il a même été rapporté qu’il fait partie des traditionnistes (narrateurs du hadith ) qui l’ont eux-mêmes rejoint. Il a été aussi décompté parmi les compagnons de Sadik, as, nombre de sounis, entre autres, les auteurs du Tahdhib, Assawa’ik, Alhilya, al Yanabi’a, Al Foussoul, At Tadhkira et d’autres, tout comme les sources chiis.

Ayoub Assajastani :​
Ayoub bin Abi Tamima Assajastani al Basri, dit aussi Asskhtyani, le premier étant le plus répandu, était le maître de Amar Bin Yassar et aussi son ennemi parmi les plus grands érudits au nombre des successeurs. Il est décédé en 131H de la peste à Bassora à l’âge de 65 ans. Il a été décompté au nombre des gens de Sadik, as, dans Nour Al Absar, At Tadhkira, Al Matalib, as Sawa’ik, Al Hilya, Al Foussoul, et d’autres. Il a été aussi cité par les auteurs chiites, comme un de ses compagnons. De ceux-là certains l’ont considéré comme disciple d’élèves de Sadik, as, parmi les érudits sounis, et leurs savants les plus célèbres, mais ils ont aussi nommés d’autres encore que ces derniers. Voir sur ce point « Hilyatou al ‘awliya ». D’autres que Abi Na’im ont fait référence à d’autres que ceux-la, selon lui et d’autres. Ou quelque chose de semblable qui conduit à la même conclusion.
 
salam alaykoum,

Frère madjid,

A cette époque je pense qu'il serait inutile de rappeler à nos frères de Ahlal Sunna wal Jama'a l'origine des écoles car j'ai des amis sunnites qui ne suivent aucune des écoles et le courant qui a le plus de succès c'est le mélange de toutes les doctrines sunnites (sauf celle du chiisme jafarite).

Que doit-on voir dans ce rassemblement des sunnites autour d'une seule doctrine, il faut savoir que le retour à la source (salafisme) fait de plus en plus d'adhérents ?

Quand je parle d'Ijtihad à mes amis sunnites, ils disent que les voies de l'ijtihad ne sont pas fermées comme certains peuvent l'affirmer avec les 4 écoles. Il y a des principes basiques comme chez vous les chiites qui sont applicables en tout temps mais nous également faisons l'effort d'interpréter et d'éditer des fatwas nouveaux en fonction du besoin.

Incompréhensible ?????? cette histoire ??????
 
salam,


(Réfléxion voix à haute :icon_cool ...)

Pour rétablir "le monotheisme integral" les salafs (dont ce revendique le wahabisme) préconise le retour à l'islam originel (celle du temps du prophète Mohammad:saws: )

Force est de constater que déjà à cette époque beaucoup portaient des "oeillères" puisqu'ils ont fait fi des enseignements du prophète concernant ahl al beyt.

Je me demandais si le mot "salaf" n'avait pas été usurpé injustement au vrai
"salafites" que sont les Chiites??:cool: je sais pas trop si vous suivez mon résonnement (tiré par le foulard je l'avoue :icon_wink )


Dieu vous garde...
 
cassiopee a dit:
salam,


(Réfléxion voix à haute :icon_cool ...)

Pour rétablir "le monotheisme integral" les salafs (dont ce revendique le wahabisme) préconise le retour à l'islam originel (celle du temps du prophète Mohammad:saws: )

Force est de constater que déjà à cette époque beaucoup portaient des "oeillères" puisqu'ils ont fait fi des enseignements du prophète concernant ahl al beyt.

Je me demandais si le mot "salaf" n'avait pas été usurpé injustement au vrai
"salafites" que sont les Chiites??:cool: je sais pas trop si vous suivez mon résonnement (tiré par le foulard je l'avoue :icon_wink )


Dieu vous garde...

As salam aleykoum,

Oui il y'a du vrai dans ce que vous dites masha Allah,comme par exemple,les sunnites qui disent,il faut s'accrocher au coran et à la sunnah du prophète :saws: et denigrent les chi'ites parceque pour eux les chi'ites ne suivent pas la sunnah du prophète :saws: alors que les chi'ites suivent la sunnah originel du prophète :saws: ,et non la sunnah des califes et des compagnons apres le prophete :saws: ,c'est le même raisonnement que vous il me semble,mais bon Allahu a'alam,Dieu tranchera entre nous au jour du jugement incha Allah ...

As salam aleykoum wa ramatoulah i wa barakatouh
 
Recommandations de l’Imâm Sâdeq (psl)

Salâm wa Rahmah,

Recommandations de l’Imâm Sâdeq (psl)


La tradition islamique est une source intarissable et un trésor inépuisable contenant des principes d’éducation destinés à perfectionner l’homme. C’est grâce à un œil avisé et spécialisé que l’on arrive à trouver des perles dans cet océan profond. Parmi les grands savants de l’islam, certains mettaient l’accent sur des hadiths particuliers, du fait de la richesse spirituelle qu’ils contiennent.

Comme exemple, nous citerons le nom de l’Ayatollah Sayyed Ali Qādi, le célèbre ‘ārif dont les élèves avec entre autres allāmé Sayyed Mohammad Hussein Tabātabāï, l’auteur du majestueux Tafsir du Coran intitulé « al-Mizan », sont devenus des références tant au niveau de la science qu’à celui de l’esprit pour les chercheurs de lumière et de vérité. Ce grand ‘ārif évoquait souvent le hadith qui est l’objet de notre article et recommandait à ses élèves de l’apprendre. Ce hadith est connu sous le nom de « Riwāyatu‘Unwān al-Basri ». Le texte original de ce hadith se trouve dans la version arabe de ar-Rachad.

Alors âgé de quatre-vingt quatorze ans, ‘Unwan al-Basri raconte : « J’ai fréquenté Mālik ibn Anas durant des années. Cependant lorsque Ja’far ibn Mohammad (psl) est arrivé à Médine, j’ai tenté d’apprendre chez lui, comme j’apprenais chez Mālik. Or il me dit un jour : « Je suis un homme très occupé et j’ai des invocations à faire à chaque moment du jour et de la nuit. Ne me distrais pas, continues de fréquenter Mālik et d’apprendre chez lui comme tu le faisais auparavant ».

Affligé par ces paroles, je suis sorti de chez lui en me disant : S’il avait auguré du bien en moi, il ne m’aurait pas empêché de le fréquenter et d’apprendre chez lui. J’entrai dans le mausolée du Prophète (pslf) et je le saluai. Le lendemain, j’entrai à l’intérieur de sa tombe, dans al-Rawda (une ancienne partie du mausolée du Prophète, datant de son époque) où je fis une prière de deux rak‘ah et je dis : « Ô Allâh, ô Allâh, je Te Supplie d’attendrir le cœur de Ja’far ibn Mohammad envers moi, ce qui m’aidera à me diriger sur Ta Voie droite ». Je rentrai triste et je n’allai plus chez Mālik à cause de l’amour pour Ja‘far ibn Mohammad qui me saisissait. Je ne sortis plus de chez moi que pour les prières obligatoires. Toutefois, je perdis patience. Le cœur oppressé, je mis mes chaussures et m’enveloppai de mon manteau. Après la prière de l’après-midi, je pris le chemin de la maison de Ja‘far, et arrivé devant la porte, je demandai la permission d’entrer. Son serviteur sortit et me demanda : « Que désires-tu ? ». Je dis : « Saluer le chérif » (descendant du prophète ; ici il s’agit de l’Imâm Sâdeq (psl)). Il me répliqua : « Il est en train de faire la prière ». Je m’assis en face de sa porte. Je patientai un peu, alors le serviteur ressortit en disant : « Entre, avec les bénédictions d’Allâh ! ». J’entrai et saluai l’Imâm (psl). Il me rendit mon Salam et me dit : « Assieds-toi ! Qu’Allâh te pardonne ! ». Je me suis assis. Il garda longtemps le silence, puis il leva la tête pour me demander mon kunya/surnom (afin de connaître le nom de mon enfant ; car il était coutumier à l’époque d’appeler les pères en tant que père de leur fils aîné). Je lui répondis : « Abū Abdallâh (le père d’Abdallâh) ». Il pria pour moi en ajoutant cette formule de politesse : « Qu’Allah t’assure ce surnom (« Qu’Allâh garde ton enfant » ou « que tu mérites ce surnom ») ».

Je me dis : pour cette visite, seule cette prière suffit déjà amplement. Puis il leva la tête et me demanda : « Que désires-tu ? ». Je dis : « J’ai demandé à Allâh d’attendrir votre cœur en ma faveur et de m’accorder de votre savoir. J’espère qu’Allâh le Sublime m’exaucera par vous, descendant du Prophète d’Allâh ». Il dit : « Ô Abû Abdallâh ! La science ne s’acquiert pas par l’apprentissage. Ce n’est qu’une lumière qui pénètre dans le cœur de celui dont Allâh le Sublime veut la guidance. Donc si tu veux la science, cherche d’abord en toi-même l’essence de la servitude envers Allâh, cherche la science en pratiquant la servitude, et invoque Allâh ; Il te fera comprendre ». Je dis : « Ô Chérif ». Il répliqua : « Dis : Ô Abû Abdallâh » ! Je dis : « Ô Abû Abdallâh ! En quoi consiste la servitude envers Allâh ? ». Il répondit : « En trois choses. Que l’esclave d’Allâh ne voie nulle propriété (pour lui-même) en ce qu’Allâh lui accorde, car les esclaves n’ont aucune propriété ; ils considèrent leur bien comme étant le bien d’Allâh et ils le mettent là où Allâh leur ordonne de le mettre. L’esclave ne prépare rien pour lui-même ; toute son occupation est d’accomplir ce qu’Allâh veut de lui et de ne pas faire ce qu’Allâh lui interdit. Si l’homme ne voit pas de propriété en ce qu’Allâh lui accorde, la dépense dans le chemin d’Allâh lui sera facile, si l’esclave confie sa propre vie au vrai Gérant, les calamités d’ici-bas lui seront supportables, et si l’homme observe tout ce qu’Allâh lui ordonne ou lui interdit, alors il n’abandonnera jamais cette occupation pour se consacrer aux vantardises et aux querelles avec les gens. Donc si Allâh honore quelqu’un par ces trois choses, ce monde matériel, le Satan et les gens ne seront plus pour lui d’une importance capitale et il ne cherchera plus ici-bas à amasser des biens par rivalité ou par ostentation. Il ne désirera pas non plus ce qui appartient aux gens, par orgueil ou par vanité et il ne laissera pas ses jours se perdre. Voici le premier degré de la piété : Allâh a dit :



تلك الدارالآخرة نجلعها للًّذين لا يريدون عُلُوّاً في الأرض و لا فساداً و العاقبة للمتّقين ( القصص 83)



« Cette dernière demeure, Nous la destinons à ceux qui ne cherchent ni à s’élever sur la terre ni à y semer la corruption, et l’heureuse fin est destinée aux pieux ».



Je dis : « Ô Abû Abdallah ! Conseille-moi ! ». Il me dit : « Je te recommande neuf choses : ce sont mes recommandations destinées à ceux qui cherchent le chemin qui les conduira à Allâh, et j’invoque Allâh afin qu’Il t’en facilite la pratique. Trois d’entre elles concernent l’ascèse spirituelle, trois autres la clémence et les trois dernières le savoir. Prend sérieusement garde à ne pas les négliger ». ‘Unwan dit : je préparai mon cœur pour bien saisir tout ce que l’Imâm allait me dire, puis l’Imâm dit : « Évite de manger sans appétit, car cela engendre la sottise et la stupidité, ne mange que lorsque tu a faim et lorsque tu manges ; mange de ce qui est halal (licite) et cite le nom d’Allâh tout en te rappelant ce hadith du Prophète Mohammad (pslf) :



ما ملأ آدميٌّ وعاءً شرّاً من بطنه، فإن كان و لا بدّ فثلثٌ لطعامه و ثلثٌ لشرابه و ثلثٌ لنفسه[1]



« L’homme n’a point rempli un récipient aussi détestable que son ventre. Toutefois, par nécessité, il faudra réserver un tiers du ventre pour le solide, un tiers pour l’eau et un tiers pour l’air ».



Pour les trois recommandations qui concernent la clémence : à celui qui te dit : « Si tu dis un, tu entendra dix », réponds : « Si tu dis dix, tu n’entendras même pas un ! ». A celui qui t’injurie, réponds comme suit : « Si tu dis la vérité, qu’Allâh me pardonne et si tu es un menteur, qu’Allâh te pardonne ». Celui qui te « gratifie » avec des insultes, gratifie-le avec la bienveillance et le respect. Quant au savoir : demande aux savants tout ce que tu ignores, évite de les indisposer par des questions embarrassantes ou faites pour les éprouver, évite d’agir selon ton propre avis dans les questions de la charia, use de prudence dans tout ce à quoi tu as accès, évite d’émettre un jugement comme si tu fuyais devant un lion et ne fais pas de ton cou un pont en émettant des fatwas dans les domaines religieux.

Maintenant lève-toi et pars. Dès lors que je viens de te donner ces conseils, ne gâche pas mon invocation, parce que je suis un homme soigneux envers moi-même et très précis en ce qui concerne mon temps ». .والسلام على من اتّبع الهدى







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[1] Mağlesi, Bihār ul-anwār, Vol. 1, p. 226.

Source:http://www.bostani.com/Recommand-Sadiq.htm#_ftn1

Paix et Clémence.
 
Imam As-Sadiq (as)

Imam As-Sadiq’s :as: Commandment for Abdullah bin Jundab



It is related that Imam As-Sadiq (peace be upon him) said:

O Abdullah, the Shaitan has arranged his traps in this deceitful world to target our disciples only, but the world to come is too great in their eyes to seek a substitute for it. Oh, for hearts that are stuffed with illumination. For them, this world is as same as a poisonous snake and an outlandish enemy. They found amiability with God and they found strange that with which the luxurious ones found amusement. They are surely my disciples. They uncover every seditious matter and relieve every misfortune.

O son of Jundab, tt is obligatory upon every Muslim, who claims of knowing us, to maintain judgment with his deeds everyday; if he notices that he has done a good deed, he should do it increasingly, and if he notices that he has committed an evildoing, he should seek God’s forgiving it so that he will not be disgraced on the Day of Resurrection. Blessed be the servant –of God- who does not envy the wrongdoers for their having the worldly pleasures. Blessed be the servant who sought the world to come painstakingly. Blessed be him who is not cheated by the false expectations. God’s mercy be upon those who were lanterns and lights. They advocated us through their deeds and all efforts. They are unlike him who divulges our secrets.

O son of Jundab, the true faithful believers are those who fear God and work hard so as the guidance they have been given will not be taken from them. If they remember God and His grace, they feel apprehensive and fearful. If God’s Verses are recited before them, they will increase their faith due to the power that He shows, and they depend upon their Lord.

O son of Jundab, in the old time, ignorance was erected and based. This is because they betook God’s religion playfully and jokingly to the degree that he whoever did something for God’s sake was intending someone else. Those are surely the unjust.

O son of Jundab, if our Shias –adherents- opt for righteousness, the angels will shake hands with them, they will get provisions from above –the heavens- and below –the earth-, and God will respond to all their supplications.

O son of Jundab, speak only good wording about the sinful people of your sect. You should supplicate to God importunately to guide them and accept their repentance. He whoever proposes us, follows us, shuns our enemies, says only what he knows, and says nothing about what he ignores or deems it problematic will be in Paradise.

O son of Jundab, decline is the result of him who depends upon his acts. He who commits sins and depends totally upon God’s mercy will not be saved. The safe are those who are in a situation between hope and fear, whose hearts are as if they are in a claw of a bird due to their eagerness for the reward and fear from the penalty.

O son of Jundab, he who is pleased that God will give him the women of Paradise in marriage and crown him with the light should please his faithful brother.

O son of Jundab, sleep little at night and speak little in day. The less thankful organs are the eye and the tongue. Mother of Solomon the prophet (peace be upon him) instructed him, saying: “O son, beware of sleeping. It make you needy on that day when people will be in importunate need for their deeds.”

O son of Jundab, the Shaitan has some traps with which he traps the others. Keep yourselves safe against his snares and traps.

(Abdullah bin Jundab related) I asked, “O son of the messenger of God, what are these traps and snares?” Imam As-Sadiq (peace be upon him) answered:

The trap of the Shaitan is withholding from doing charity to the friends, while his snare is sleeping away the settlement of the obligatory prayers. Certainly, no worship is preferred to walking for visiting and providing charity to the friends. Woe to those who are inadvertent against their prayers, sleep inattentively, and mock at God and His marks. They shall be weightless on the Day of Resurrection, and God will not speak to them nor will He look at them on the Day of Judgment nor will He purify them. They will face a painful torment.[1]

O son of Jundab, God will ease him who begins his day thinking only how to save himself from Hell and seeking few profits from his Lord. God will make Hell the lodge of him who cheats, debases, and aggresses his friend. Like salt dissolving in water, faith will dissolve in the hearts of those who envy a faithful believer.

O son of Jundab, he who makes efforts for settling his friend’s need is as same as that who roams between Safa and Marwa[2]. He who settels the need of his friend is regarded as same as those whose blood was shed in the battles of Badr and Uhud for God’s sake[3]. God did not punish a nation before they had disregarded the rights of the poor among them.

O son of Jundab, inform our Shias –adherents- not to be highly tranquil. Pursuance to our leadership is not obtained without piety, painstakingness, and consoling the brothers for God’s sake. He whoever oppresses people is not within our adherents.

O son of Jundab, the characters of our Shias are many: they are generosity, openhandedness with the friends, and offering fifty rak’as in day and night (seventeen rak’as of the obligatory prayers and thirty-three rak’as of the nafilas). Our Shias neither shout like dogs nor are they avaricious like crows. They never lodge next to our enemies and never beg him who hates us even if they starve. Our Shias never have the meat of eel and never pass their hands over their slipper during the ritual ablution. They keep up the offering of the Dhuhr –midday- Prayer and do not drink any intoxicant.

(Abdullah bin Jundab related) I asked, “God make me your sacrifice, where can I find such Shias?”

Imam As-Sadiq (peace be upon him) answered:

You will find them on the summits of mountains and in outskirts. Whenever you are in a city, you will know the faithful by asking about the one whom the people of the city do not neighbor nor does he neighbor them. That is the faithful believer. This is in the Holy Quran. God says: “A man came running from the farthest part of the city.”[4]

That was Habib the carpenter. He was the only faithful believer.

O son of Jundab, all sins are forgivable except mistreating the people of your sect. Every charity is acceptable except that which is done for showing off.

O son of Jundab, love (others) for God’s sake. Cling to the firmest handle. Stick on the guidance so that your deeds will be accepted. God says:

I am All-forgiving to the righteously striving believers who repent and follow the right guidance.[5]

Hence, nothing except faith will be accepted, no faith without deed, no deed without conviction, and no conviction without submission. The master of all these is guidance. The deeds of him who follows the right guidance will be accepted and ascended to the Divine Realm.

God guides to the right path whomever He wants.[6]

O son of Jundab, if you desire for neighboring the Glorified God and residing in the Elevated Paradise in His vicinity, you should demean the worldly pleasures, regard death permanently, and spare nothing for tomorrow. You should know that you will get the reward of whatever you precede –in charity- and get the punishment of whatever you delay.

O son of Jundab, he whoever deprives himself of enjoying his earnings is collecting for others. He whoever complies with his passions is complying with his enemy. For those who trust in Him, God will settle their worldly affairs as well as the affairs of the world to come and keep for them whatever they miss. He who does not choose steadfastness for facing every misfortune, thanks for every grace, and easiness for every complexity will surely be too short to continue. Be broad-minded whenever a misfortune inflicts you, whether in your son, wealth, or other matters. The fact of every misfortune is that God receives his loan and takes his gift back so as to test your tolerance and thanking. Trust in God in a way that you will not dare to disobey Him. Fear Him in a way that you do not despair of His mercy. Do not believe the saying and praise of the ignorant so that you will not be arrogant, tyrant, and esteem your deeds exaggeratedly. Adoration and modesty are the best of deeds. Do not waste your fortune and put up the others’ fortunes through what you are going to leave for them. Satisfy yourself with what God is giving you. Never look to what others have. Never expect (the good of) what you will not get. He who satisfies himself will surely attain self-sufficiency. He who is not pleased will never satiate. Take your share of the world to come. Never be arrogant when you are rich and intolerant when you are poor. Never be so crude that people desist from approaching you. Never be so humble that you will be disgraced by whoever knows you. Never quarrel with him who is higher than you. Never mock at him who is lower than you. Never dispute about a matter whose rightful owners are the opposite party. Never listen to the foolish. Never humiliate yourself before any person. Never depend upon anyone’s protection. Stop engaging yourself in a matter before you check it completely and realize its entrance and exit so as to avoid sorrow. Consider your mind as a kinsman whose opinion you seek. Consider your knowledge as the father that you follow. Consider your self as the enemy that you fight and the loan that you will defray. You are assigned as the doctor of yourself and shown the prescription of health, the malady, and the remedy. See how you will treat yourself. If you have done favor to someone, you should not violate it by mentioning it and showing the obligation on him. You should attach another favor to the previous. This will be more fitting for you and will make your reward in the world to come more fixed. Keep silent and you will be reckoned as indulgent whether you were knowledgeable or ignorant. Silence is an ornament before the scholars and a screen before the ignorant.

O son of Jundab, once, Jesus son of Mary (peace be upon them) asked his companions: “Supposing you pass by one of your friends and find that his dress was raised and a part of his genitals was shown. Will you screen him or reveal the genitals completely?” “We will surely screen him,” answered they. “No, you will reveal the genitals completely,” he replied. Hence, they realized that he had provided them a proverb. “O Spirit of God, How is that?” they asked. He (peace be upon him) explained, “As you notice your friend’s flaw, you do not cover him. I tell you truthfully that you will not get what you want unless you leave your desires. Likewise, you will not attain your hopes unless you become steadfast against matters that you hate. Beware of looking (at foreign women even one time), because it sets sexual appetite in the heart. This will sufficiently be sedition. Blessed are those whose sight is in their hearts not in their eyes. Do not go after people’s defects as if you are lords. You should inspect your defects like the slaves. People are either sick or healthy. Be kind to the sick and thank God for the health.”

O son of Jundab, regard him who ruptured relations with you, give him who deprived you (of his bestowals), treat kindly him who mistreated you, greet him who reviled at you, be just to him who disputed with you, and pardon him who wronged you in the same way you like others to pardon you. Take lessons from God’s pardoning you; do you not see that His sun is covering the pious and the licentious and His rain is falling on the virtuous and the wrongdoers?

O son of Jundab, do not give alms openly for the purpose of making people second you. If you do so, then you have taken your reward. You should not let your left hand know that your right hand has given alms. He to whom you are giving alms secretly will surely reward you openly before all people on the day on which it will not be harmful for you that people witness your almsgiving. Low you voice because your Lord, Who knows whatever you say secretly or openly, has already known your question before you ask it. When you fast, you should not backbite anybody. Do not oppress anyone while you are fasting. Do not be like those who fast for showing off; their faces are dusty, hair is disheveled, and mouths are dry just for making people know that they are fasting.

O son of Jundab, all the good and all the evil are in front of you. You will see the true good and the true evil after the world to come. God the Glorified put all the good in Paradise and all the evil in Hell, because they will persist.
It is an obligation upon him whom God has gifted guidance, honored with faith, granted intelligence, supplied with a brain with which the graces are recognized, and given knowledge and wisdom with which the worldly and religious affairs are managed, it is an obligation on him to deem obligatory upon himself to thank God, never show ingratitude, never forget, obey, and never challenge Him. This obligation is for the old graces that the Lord considered perfectly, the new ones that He gave after creation, the great rewards that He promised, and the favor of imposing only the possible and guaranteeing to help do it. He also called man to seek His help to perform the fewest of what He imposed upon him. Nevertheless, man is ignoring and unable to do what God ordered him to do. He dressed the garb of belittling the bond between the Lord and him, pursued his whims, went on complying with his lusts, and preferred the world to the world to come; yet, he hopes to be in the Highest Paradise. You should never expect to have the ranks of the doers of charity while you practice the deeds of the evildoers. When the Falling Event will come to pass, the Resurrection will arise, the Great Predominating Calamity comes, the All-omnipotent will maintain the scale for judgment and the creatures will be resurrected for the Day of Judgment, only then you will realize whose is the honor and exaltation and whose is sorrow and disappointment. Hence, work in this world so that you will win in the world to come.

O son of Jundab, in one of His revelations, God, the Majestic the Glorified, said: “I will accept only the prayers of him who humiliates himself before My greatness, abstains from the pleasures for My sake, spends his day with referring to Me, never tyrannizes My creatures, serves the hungry, attires the naked, treats the injured kindly, and finds a place for the strange. The light of such people will shine like sunlight. I will give him light in the gloom and composure in the situations of ignorance. I will protect them by My might and assign My angels as their guards. I will respond when they call on Me and give when they ask Me. They are the like of the Highest Paradise; its fruits are unparalleled and it never changes.”

O son of Jundab, Islam is naked; pudency is its dress, decorum is its adornment, good deed is its personality, and piety is its pillar. Everything should have a basis. The basis of Islam is the adoration to us—the Prophet’s family.

O son of Jundab, God, the Blessed the Exalted, has a wall of light that is framed with aquamarine and silk and decorated with fine green silk. This wall is fixed between our enemies and our followers. When the brains will boil, the hearts will reach the throats, and the livers will be fired due to the long period of the situation of the Resurrection, the disciples of God will be taken into that wall. They will be under God’s security and protection. They will have whatever they desire and whatever their eyes find sweet. The enemies of God will be muffled by the sweat and thrilled by fear. They will look at what God will arrange for them and say: “Why is it that we cannot see men whom we had considered as wicked?”[7] Then, God’s disciples will look and laugh at them. This is God’s sayings:

We mocked at them. Can our eyes not find them?[8]

On the Day of Judgment, the believers will laugh at the disbelievers, while reclining on couches and reviewing the bounties given to them.[9]

At that time, God will take everyone who supported any of our disciples, even by a single word, to Paradise without judgment.

[1] This sentence is excerpted from the Holy Quran, Sura of Aal Imran (3) Verse (77).

[2] Safa and Marwa are two places near the Kaaba –the Holy House of God- in Mecca. Roaming between Safa and Marwa is within the obligatory rites of the ritual Pilgrimage (hajj).

[3] Badr and Uhud are the two foremost battles of the Prophet (peace be upon him and his progeny).

[4] The Holy Quran, Sura of Yasin (36) Verses (20)

[5] The Holy Quran, Sura of Taha (20) Verse (82)

[6] The Holy Quran, Sura of Al-Baqara (2) Verse (213)

[7] This statement is excerpted from the Holy Quran, Sura of Ssad (38) Verse (62)

[8] The Holy Quran, Sura of Ssad (38) Verse (63)

[9] The Holy Quran, Sura of Ssad (83) Verses (34-5)
 

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