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Génocide d'un peuple; histoire d'un parjure

ithviriw

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Assalam, اللهم صل على محمد وعلى آله و السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
Une vidéo en francarabe, algérien, qui résume, mieux que tout texte écrit et que l'on ne prendra pas le temps, malheureusement de lire, pour comprendre les conditions qui ont amené les Algériens, à se soulever pour briser le joug colonial et se débarrasser de ceux qui au nom de la "civilisation" et des "lumières", en ont fait des ignorants, et des indigènes, bons uniquement pour cirer les bottes des colons.
Entre 1830 et 1870, les Français ont exterminé plus de 7 millions d'Algériens.
(Le Mirroir , Ahmed Khodja, conseiller du dernier Dey D Alger). Aussi rapporte par
Histoire d'un parjure. de Habart Michel 1960)
“pas de fusion possible avec les Arabes!”

octobre 26, 2006 L’Afrique française du maréchal Clauzel, vers 1840 (cité dans Histoire d’un parjure / Michel Habart):
Les avantages de l’Algérie seraient immenses si, comme en Amérique, les races indigènes avaient disparu, et si nous pouvions jouir de notre conquête en sécurité, condition première de toute colonisation. Ce but atteint, il sera bon de voir ce que font les Anglais de leurs colonies… Colonisons, colonisons! A nous la Mitidja! A nous la plaine! Toutes ces terres sont de première qualité. A nous seuls! Car pas de fusion possible avec les Arabes!
Histoire d’un parjure (titre qui fait allusion aux proclamations en arabe, garantissant aux algériens le respect de leur indépendance et de leur religion, distribuées par les Français en 1830) a été publié par les éditions de Minuit en 1960. Il n’a pas été réédité depuis à ma connaissance. Voici comment Morvan Lebesque le présentait dans le Canard Enchaîné au moment de sa publication:
Au moment où la guerre d’Algérie rue, mord et bave, cabrée dans ses derniers soubresauts – du moins, nous l’espérons, et prenons garde ! car c’est alors, chacun le sait, que la bête est la plus dangereuse !- il paraît un petit livre qui remonte à ses origines. Il s’intitule “Histoire d’un Parjure” et son auteur, M. Michel Habart, y a recueilli des textes qui rempliraient plusieurs colonnes de l’Anti-France. Sujet? La Conquête. Et qu’y trouve-t-on? Exactement tout ce que nous ignorions, malgré nos livres d’école, non : à cause d’eux.
Allons, direz-vous : encore un livre partisan – Les Editions de Minuit, n’est-ce pas? – basé sur des témoignages d’extrême- gauche. Vous n’y êtes pas du tout. Ses témoins, M. Habart ne les a pas choisis parmi les « traîtres » d’aujourd’hui ou d’hier : ni Jean-Paul Sartre, ni Lamartine. Il est allé les chercher tout bonnement à la Bibliothèque Nationale, et ils s’appellent Louis-Philippe, Bourmont, Clauzel, Bugeaud, Saint-Arnaud, Thiers. Massacreurs d’Arabes et fusilleurs d’ouvriers, la caution est-elle assez bonne? Si oui, lisez ce qui va suivre.
Après le saut les extraits que j’en fis à Oran, en 1982, où mon ami El Hadi Didi me l’avait prêté avant de me l’offrir à notre retour ainsi que quelques autres extraits du compte-rendu de Morvan Lebesque dont l’intégralité a été mise en ligne ICI, où je l’ai trouvé <mise à jour, 6.06.2010>le lien est rompu – on trouve encore le compte-rendu de ML sur le site du Soir d’Algérie</mise à jour>.

Histoire d’un parjure / Michel Habart.- Minuit, 1960:
Proclamations en arabe en 1830 garantissant l’indépendance et le respect de la religion. Ont facilité la conquête.
Enfants chantaient en sabir à Alger :
El Inglès vanir, fazir boum-boum
maccache chapar Alger
El Francès vanir, fazir Turlu-Turlututu
chapar Alger.
Ordonnance royale de 1834 fait de l’Algérie une possession française.
5000 maisons à Alger, 3000 confisquées, 900 démolies.
Décret du 8 sept. 1830 : séquestration des biens habous (fondations religieuses) et de ceux de l’Etat algérien = majorité des propriétés urbaines + une bonne partie de la Mitidja et des plaines côtières.
Loi de 1840 : expropriation forcée.
Loi de 1863 et 1887 : individualisation des propriétés collectives -> spéculation des colons.
-> [1960] Européens : 90% des plaines d’Alger, d’Oran et de Bône, 95% des plantations de vignes et d’agrumes.
Alger : avant 1830 : 132 mosquées, 1865 : 12 mosquées laissées au culte musulman. Oran : il ne reste qu’une mosquée.
Profanation des cimetières, ossements envoyés à Marseille pour fabriquer du noir animal.
Décrets du 7 sept. et du 9 déc. 1830 : affectaient les revenus de toutes les fondations charitables et culturelles aux domaines français.
“De ces revenus dépendaient l’entretien des monuments historiques, celui des mosquées et de leurs imams, celui des écoles, collèges, universités et de leurs professeurs, celui des conduits et fontaines d’eau potable d’Alger, l’assistance sociale aux pensionnés de guerre, aux malades, vieillards, orphelins et indignets des cités.”
22 octobre 1830 : soumet la justice musulmane au contrôle de la justice française.


En 1832: 10.000.000 d'Algériens
En 1872, il ne reste plus que 2.100.000 Algériens...



1832 (Hamdan Khodja) : 10 000 000 habitants, 1872 (1er recensement complet de l’Algérie française) : 2 100 000 musulmans.
1954 : 8 500 000 musulmans.
[p.77]
Alger : 1730 : 100 000 habitants.
1827 : 70 000 h.
1833 : 12 000 h.
Constantine : 45 000 -> 12 000
Bône : 4 000 -> 2 000
Oran : [20 000] 10 000 -> 2 000
Mostaghanem 15 000 -> 1 000 env.
La population des villes s’est singulièrement modifiée. Trouver des émigrations si minimes est une des plus douces récompense que nous ayons recueillies de la justice du régime auquel nous avons soumis les indigènes. Mais les vides ont été comblés par les Européens, dont les flots sont destinés à se répandre pour éclairer cette vaste partie du monde. (Le Moniteur algérien du 14 janvier 1833)
refoulement dans le désert.
Pourquoi les Arabes dépérissent ? Tant que rien n’a été changé à la constitution des Arabes, ils ont pu, par les produits de la terre, subvenir à leurs besoins… Ce peuple étant devenu un peuple de khamès sans terre et sans silos, les hommes, femmes et enfants sont allés mourir de faim autour des centres de colonisation. Ils sont morts sans se plaindre. (Comte Le Hon, rapporteur de la commission d’enquête en 1869).
[Le sénatus-consulte de N. III] cherchait d’abord à désagréger les tribus, et à mobiliser la propriété, les premières tribus à délimiter étant choisies parmi les plus rapprochées de nos centres… Une fois que la terre sera sortie des principes du communisme, il suffira de la mettre en état de produire… (Le Hon)
Rendement :
territoires d’origine : 15 pour 1,
territoires de refoulement : 5 pour 1.
1872 : 2 moutons / h.
1920 : 1 mouton / 2 h.
1870 : 6 quintaux orge+blé / h.
1950 : 2 ” ” ” ” ” / h.
Européens : 2/3 de la production végétale totale du pays.
1 000 000 de chômeurs, 1 000 000 de paysans sans terre.
Revenu moyen :
16 000 francs pour le musulman,
450 000 fr. pour l’européen.
 
Les avantages de l’Algérie seraient immenses si, comme en Amérique, les races indigènes avaient disparu, et si nous pouvions jouir de notre conquête en sécurité, condition première de toute colonisation. Ce but atteint, il sera bon de voir ce que font les Anglais de leurs colonies… Colonisons, colonisons! A nous la Mitidja! A nous la plaine! Toutes ces terres sont de première qualité. A nous seuls! Car pas de fusion possible avec les Arabes! (L’Afrique française du maréchal Clauzel, vers 1840).
Innombrables déclarations, plus ou moins directes, sur la nécessité du génocide.
Surprise en 1830 :
Le pays nous paraît riche, cultivé, couvert de bestiaux, de maisons et de jardins soignés. (rapport Valazé).
Il est difficile de se figurer les milliers de maisons de campagne qui couvrent ce beau pays. C’est un coup d’oeil qu’on ne retrouve nulle part ailleurs, sauf dans les environs de Marseille, beaucoup moins étendus, agréables et fertiles. (Montagne).
Stérilité des zones soumises :
l’état négligé d’un pays qu’on a voulu nous présenter comme en plein rapport. Evidemment nous avons bien éclairci un peu la campagne…(Le Moniteur).
En 1830 tous les Algériens savaient lire, écrire et compter
et la plupart des vainqueurs avaient moins d’instruction que les vaincus(commission de 1833).
Avant 1830 : + de 100 écoles primaires à Alger,
86 Constantine,
50 Tlemcen.
6/7 collèges secondaires à Alger et Constantine,
10 zaouia (universités) en Algérie,
1 école dans chaque village ou groupe de hameaux.
1840 : 2 ou 3 instits pour toute la province d’Algérie (Mgr Dupuch), 1860 : 13 écoles franco-arabes.
Ce qu’il faut, c’est donner des livres à ce peuple curieux et intelligent. Ils savent tous lire. Et ils ont cette finesse et cette aptitude à comprendre qui les rend si supérieurs à nos paysans de France. (Tocqueville).
A la commission d’enquête qui lui demande ce qui manque le plus aux Maures d’Algérie, Boudaba répondra : “Des journaux”. Suivant le général Pélissier, avant notre arrivée
Alger était peut-être la ville du monde où la police était la mieux faite… Avec nous, les vols, naguères presqu’inconnus, se multiplient dans des proportions effrayantes.
Certes l’Algérie était alors un ensemble oriental et médiéval de démocratie communaliste, de nomadisme féodal et de théocratie maraboutique, que maintenait et défendait, contre un monde hostile et tout proche, un Etat encadré par une oligarchie militaire (oligarchie incorporée au pays, les coulouglis, les Maures, et même les Juifs en étaient souvent les vrais maîtres). Elle ne correspondait pas à tous les aspects de notre conception de la nation ; mais nombreuses étaient alors les nations dont la structure n’était guère plus cohérente. Bien peu, en tous cas, possédaient cette ferveur nationale, dont, depuis cent trente ans, le peuple algérien nous donne un témoignage unique au monde. (p.144).

_____________
LA GUERRE DE 130 ANS / Morvan Lebesque (janvier 1960, in Le Canard Enchaîné):
Au moment où la guerre d’Algérie rue, mord et bave, cabrée dans ses derniers soubresauts – du moins, nous l’espérons, et prenons garde ! car c’est alors, chacun le sait, que la bête est la plus dangereuse !- il paraît un petit livre qui remonte à ses origines. Il s’intitule « Histoire d’un Parjure » et son auteur, M. Michel Habart, y a recueilli des textes qui rempliraient plusieurs colonnes de l’Anti-France. Sujet ? La Conquête. Et qu’y trouve-t-on ? Exactement tout ce que nous ignorions, malgré nos livres d’école, non : à cause d’eux.
Allons, direz-vous : encore un livre partisan – Les Editions de Minuit, n’est-ce pas ? – basé sur des témoignages d’extrême- gauche. Vous n’y êtes pas du tout. Ses témoins, M.Habart ne les a pas choisis parmi les « traîtres » d’aujourd’hui ou d’hier : ni Jean-Paul Sartre, ni Lamartine. Il est allé les chercher tout bonnement à la Bibliothèque Nationale, et ils s’appellent Louis-Philippe, Bourmont, Clauzel, Bugeaud, Saint-Arnaud, Thiers. Massacreurs d’Arabes et fusilleurs d’ouvriers, la caution est-elle assez bonne ? Si oui, lisez ce qui va suivre.
Elles nous racontent d’abord l’histoire d’un parjure : les troupes françaises n’entrèrent à Alger qu’en jurant « sur le sang » que les Arabes garderaient leur indépendance ( « Vous régnerez dans votre pays, maîtres indépendants de votre patrie »). Ensuite, l’histoire d’un crime. Ce crime ou, pour l’appeler de son nom, ce génocide, commença dès la prise d’Alger. On vit les « pacificateurs » – car le mot pacification avait déjà trouvé son plein emploi !- piller, enfumer, assassiner, vendre en vrac, après le sac d’une ville, des bracelets auxquels adhéraient encore les mains coupées.
Dès 1840, de nombreux prêtres se plaignent des confessions « atroces » qu’il reçoivent.
Alors, l’Armée s’agite. Tout le mal vient de Paris qui ne la comprend pas, des « libéraux », des « traîtres » (déjà, mai oui !). Mais patience : il faut « algériser la France ! » s’écrie Emile de Girardin, et Bugeaud : « Ne nous y trompons pas Les vrais Bédouins sont à Paris ! ».
Pendant dix-huit ans, la France sera gouvernée par un homme qui ne fut peut-être pas plus mauvais qu’un autre. Il s’appelait Napoléon 3, et il avait compris, lui, que l’Algérie était « un boulet aux chevilles». Du coup, cet homme qui se proclamait lui-même « providentiel» et dont un de ses ministres disait : « Il n’entre jamais dans les arguments qu’on lui oppose », chercha la solution. Il la trouva – il en trouva même plusieurs- je cite : « gouvernement du pays par le pays », « assimilation», « Algérie Arabe », « Royaume Musulman », « Ministère de l’Algérie ou Cantonnement », allant ainsi d’un extrême à l’autre et de l’Algérie Française au « territoire multi-communautaire ». Aucune de ces solutions, on le sait, n’aboutit. C’est que cet homme, sans doute, commandait sans être obéi.
Non, certes, lecteurs d’Alger ! il ne faut pas oublier certains assassinats inutiles et odieux commis par ceux d’en face. Mais sincèrement, cette situation coupable, la guerre, n’est-ce pas nous qui l’avons installée dans ce pays, n’en sommes-nous pas, au premier degré, responsables ?
Je l’ai écrit maintes fois : je ne crois pas au péché originel, et le petit Européen de Bab-El-Oued n’a pas à payer pour les massacres de Bugeaud. Ce n’est pas là une raison pour oublier ce que fut cette guerre de cent-trente années.
).
http://www.youtube.com/watch?v=lA022MP5TWE&feature=related

[youtube]http://www.youtube.com/v/lA022MP5TWE[/youtube]
 
Assalam;

La politique, aussi bien du régime d'Alger, que de la France, donc de cette alliance contre nature, me fait penser à ces caricatures.

hadj_dhina-franceAlgerie.jpg


hadj_adjalat-islahat.jpg


Tandis que les relations entre leurs deux "dix plome Ah Si SI SI OUI OUI OUI MISSIOU" peut être vue comme suit:
hadj_dhina-opinion.jpg

Pendant que l'Hedd 'aide" en matière sécuritaire, est ainsi caractérisée
hadj_dhina-airport.jpg

Tout cela pour la dem au cratère
hadj_dhina-liberte.jpg
 
Assalamou 'alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakâtouhou;

28/03/2012 Rachad TV Thafsouth ennagh, Abdel Madjid Ait Saadi

Le printemps algérien et la "fin" de la 1ière guerre d'Algérie...
[video=youtube;fHPVL5Juwh8]http://www.youtube.com/watch?v=fHPVL5Juwh8[/video]


 
Assalamou 'alaikoum;

Un essai de restitution de l'histoire de l'Algérie.

La suite de cette série sur la libération de l'Algérie, et les guerres d'extermination qui ont coûté près de 10 millions de morts, durant la colonisation française, de l'Algérie

[video=youtube;lA022MP5TWE]http://www.youtube.com/watch?v=lA022MP5TWE&amp;feature=player_detailpage[/video]
 
Assalam frère Ithviriw


Merci pour tes posts concernant l' Algérie mon pays de naissance,je les ai presque tous lu
et ton niveau est impressionnant , tu es la fierté des Amazigh.

Je fais parti du mouvement de Mourad Dhina depuis sa création !
J'aimerais parlé du F.I.S. est-il vrai que c'etait un mouvement chiite au départ et qu'il a été infiltré par les Salafistes(revenu d' Afghanistan) afin de le détourner de son but principal et commencer les Massacres pour que l' Armé apparaisse comme le Sauveur(ORDO AB CHAO).

Ma source sur le chiisme du F.I.S est seyed kamal al haydari; je retrouve la vidéo et je te la poste.


Frère ithviriw qu' ALLAH le très haut te bénisse et te renforce!!!

J'en profite pour te souhaiter un Mois de Ramadan plein de piété !!!
 
Salam a3laykoum frère ithviriw

Une petite vidéo sur les horreurs commises par les Salafiste revenu d'Afghanistan au service du Pouvoir Militaire ( qu'ALLAH LES MAUDISSENT TOUS)



[video=youtube;SIjFLVfnz0o]http://www.youtube.com/watch?v=SIjFLVfnz0o&list=PL38E69FA08E73916D&index=1&feature=plpp_video[/video]
 
Asalam 3alaykoum Frères et soeurs


Une petite vidéo de 2 min en Arabe d'un Algérien (un de mes amis)qui appelle sur la chaîne Kawthar afin de témoigner qu'il ya des millions de gens qui pourrait devenir chiite si le message serait bien transmis et pas pollué par ces maudit Wahabites.

[video=youtube;koNBzv1RMgQ]http://www.youtube.com/watch?v=koNBzv1RMgQ&feature=BFa&list=PL52EE654D9B1E9370[/video]


Fi amanillah
 
Assalam;

Le printemps franco-algérien : Émission du mercredi 19 décembre 2012​

[video]http://www.france5.fr/c-dans-l-air/videos/37852[/video]

Reportages - Le printemps franco-algérien ; Émission du mercredi 19 décembre 2012
[video]http://www.france5.fr/c-dans-l-air/videos/37850[/video]
 
Dernière édition:
Asalam 3alaykoum Frères et soeurs
Assalam frère Ithviriw


Merci pour tes posts concernant l' Algérie mon pays de naissance,je les ai presque tous lu
et ton niveau est impressionnant , tu es la fierté des Amazigh.

Je fais parti du mouvement de Mourad Dhina depuis sa création !
J'aimerais parlé du F.I.S. est-il vrai que c'etait un mouvement chiite au départ et qu'il a été infiltré par les Salafistes(revenu d' Afghanistan) afin de le détourner de son but principal et commencer les Massacres pour que l' Armé apparaisse comme le Sauveur(ORDO AB CHAO).

Ma source sur le chiisme du F.I.S est seyed kamal al haydari; je retrouve la vidéo et je te la poste.


Frère ithviriw qu' ALLAH le très haut te bénisse et te renforce!!!

J'en profite pour te souhaiter un Mois de Ramadan plein de piété !!!

Une petite vidéo de 2 min en Arabe d'un Algérien (un de mes amis)qui appelle sur la chaîne Kawthar afin de témoigner qu'il ya des millions de gens qui pourrait devenir chiite si le message serait bien transmis et pas pollué par ces maudit Wahabites.

[video=youtube;koNBzv1RMgQ]http://www.youtube.com/watch?v=koNBzv1RMgQ&feature=BFa&list=PL52EE654D9B1E9370[/video]


Fi amanillah
Assalamou 'alaikoum;
Akhi hax, je te remercie pour cette vidéo, et je viens de découvrir que tu m'as posé une question, à laquelle je n'ai pas répondu, car je ne l'avais pas lue avant ce jour.

1. Le FIS, n'a jamais été un mouvement chiite à l'origine, mais par contre, il y avait des gens qui avaient un penchant pour l'imam Al Khomeyni, qar, et la Révolution islamique d'Iran, et cela aussi bien pendant la lutte contre le Shah, que durant la Révolution, puis son succès.
La télévision algérienne a retransmis en quasi direct, l'arrivée de l'imam en Iran, et elle a couvert une partie de la mise en place du Majliss et des organes de la Révolution, tout en étant neutre sur la question de la guerre déclenchée par Sadam, contre la République islamique d'Iran, accords, négociés à Alger, 'j'ai eu le privilège d'être membre des "bons offices" au sein de la délégation algérienne, qui avait aidé à la réalisation de cet accord, et donc, présent à la signature de l'Accord d'Alger, au Club des Pins", en marge du sommet de l'OPEP en 1975, et signé entre le Shah Mohamed Reza Pahlavi, et Sadam Husseïn, sous les auspices de l'Algérie, (Houari Boumedienne et son ministre des Affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika).
Cette phase nous a marqué, car c'était SADAM qui avait violé l'accord d'Alger, après la chute du Shah, à l'instigation des USA.

2.- Il y avait donc, un sentiment de proximité avec la Révolution iranienne, et le désir de combattre l'arrogance du Shah, mais cela ne signifiait pas que les Algériens, étaient proches du chiisme, dont ils ne connaissaient rien, sinon, durant la Révolution iranienne, quand les médias, allaient à l'instigation des irakiens et des séoudiens, alors très mal vus en Algérie, entamer leur propagande anti shiite, pour les présenter comme des "non musulmans"... mais les débuts furent sans succès, jusqu'aux années FIS, justement, qui virent des prédicateurs formés en Arabie saoudite, en cachette, avec des bourses offertes en France par l'Arabie et surtout cheikh Jaber AL Jazairi, (200 par an) pour former des prédicateurs, revenir et constituer le corps des GIA (groupes islamiques de l'armée)... et leurs massacres... plus les retours d'Afghanistan, dont certains (avec la complicité de l'armée et des services secrets, qui faisaient mine de les combattre) allaient préparer les FAUX maquis du FIS... pour permettre à l'armée avec la complicité séoudienne, voyage du général Nezzar, chef d'état major, puis ministre de la défense, et membre du HCE, de solliciter l'aide financière et spirituelle des SEOUDIENS... qui interviendront avec leurs FATAWIS, officiellement pour soutenir le FIS, salafisé et Wahabisé, de prendre le contrôle du FIS, que l'on extraira de la gangue malékite, pour le livrer aux salafis, avec des distributions dans les rues et dans les mosquées des pamphlets et des livres à 10 pour 10 DA, faisant la promotion du WAHABISME et du salafisme, avec épuration par les GIA, de tous les prédicateurs et autres imams, égorgés, car suspects de "sounisme malékite" ou pire de vues tolérantes vis-à-vis du chiisme "kafir", Cheikh Mohamed said, en perdra la vie, pour avoir simplement été admirateur de la révolution iranienne.

3. Mourad Dhina, est bien intellectuel tolérant, mais en aucun cas, il ne peut avoir jamais eu de sympathies quelconques vis-à-vis des chiites, et c'est bien cela qui explique sa place au sein de la direction du FIS, contrairement à un Cheikh Hachani, rahimahou Allah, qui était plus ouvert, à ce sujet, et ne voyait pas dans le chiisme, un quelconque danger, certaines régions d'Alger, dont la Kabylie, pré-décennie noire, ayant été très proche du chiisme, par tradition importée par les mrabtines et les ashraf, qui ont islamisé la région, et surtout, leurs zaouias.

Aujourd'hui, la situation est absolument différente, la Kabylie s'est SALAFISEE plus que tout le reste de l'Algérie... du fait d'une action en profondeur de la part des services secrets et de l'école... ''wahabisée"
 
A3laykoum salam Seyed

Merci pour ces infos très précieuses et qui confirme l'avis des chercheurs sérieux sur le F.I.S il à bien été infiltré par les cercles wahhabites , mais à son origine c’était un mouvement exprimant le dégout d'un peuple de la corruption de ses élites du parti unique et de son modèle socialiste puis capitaliste avec la période chedli;

La révolution Islamique Algérienne aurait pu voir le jour si elle aurait eut comme guide et conseil une caste de Savant religieux qui ont la confiance des masses ; mais a cause de l'anarchie ambiante de la période post colonisation les wahhabites en ont profité pour infiltrer notre société et semer les graines de la haine et du terrorisme.

Sinon quand vous parlé des Mrabtin , cela me rappelle un village a coté de Adrar qui s' Appelle Zaglou Mrabtin;
connu pour ses zaouïas l'Islam pratiqué dans le Touat m'a rappelé beaucoup le chiisme( rassemblement de la prière dhor et asr, qunut ; chanson et commémoration des saints Imams etc..).
Je ne sait plus qui disait "le vrai soufi est un chiite et le vrai chiite est un soufi".

Pour ce qui est de Rachad je me suis écarté de ce mouvement depuis quelques mois à cause des prises de positions de Larbi Zitout contre le pouvoir Syrien ;
leur erreur d'appreciation aurait pu être excusable au sujet de Libye mais la ça devient une habitude d'etre du coté de l'Otan;
J'ai pourtant cru en ce mouvement car je respecte la personne de Mourad Dhina et son Histoire notamment son emprisonnement par le pouvoir Sarkozy pour satisfaire la clique des generaux janvièriste ;
En fait j'ai peur que Rachad ne soit qu' une sous Marque Des Ikhwan, style ennahda en Tunisie
Au plaisir de vous relire tres chèr seyed
Fi amanillah
Assalamou 'alaikoum;
Akhi hax, je te remercie pour cette vidéo, et je viens de découvrir que tu m'as posé une question, à laquelle je n'ai pas répondu, car je ne l'avais pas lue avant ce jour.

1. Le FIS, n'a jamais été un mouvement chiite à l'origine, mais par contre, il y avait des gens qui avaient un penchant pour l'imam Al Khomeyni, qar, et la Révolution islamique d'Iran, et cela aussi bien pendant la lutte contre le Shah, que durant la Révolution, puis son succès.
La télévision algérienne a retransmis en quasi direct, l'arrivée de l'imam en Iran, et elle a couvert une partie de la mise en place du Majliss et des organes de la Révolution, tout en étant neutre sur la question de la guerre déclenchée par Sadam, contre la République islamique d'Iran, accords, négociés à Alger, 'j'ai eu le privilège d'être membre des "bons offices" au sein de la délégation algérienne, qui avait aidé à la réalisation de cet accord, et donc, présent à la signature de l'Accord d'Alger, au Club des Pins", en marge du sommet de l'OPEP en 1975, et signé entre le Shah Mohamed Reza Pahlavi, et Sadam Husseïn, sous les auspices de l'Algérie, (Houari Boumedienne et son ministre des Affaires étrangères, Abdelaziz Bouteflika).
Cette phase nous a marqué, car c'était SADAM qui avait violé l'accord d'Alger, après la chute du Shah, à l'instigation des USA.

2.- Il y avait donc, un sentiment de proximité avec la Révolution iranienne, et le désir de combattre l'arrogance du Shah, mais cela ne signifiait pas que les Algériens, étaient proches du chiisme, dont ils ne connaissaient rien, sinon, durant la Révolution iranienne, quand les médias, allaient à l'instigation des irakiens et des séoudiens, alors très mal vus en Algérie, entamer leur propagande anti shiite, pour les présenter comme des "non musulmans"... mais les débuts furent sans succès, jusqu'aux années FIS, justement, qui virent des prédicateurs formés en Arabie saoudite, en cachette, avec des bourses offertes en France par l'Arabie et surtout cheikh Jaber AL Jazairi, (200 par an) pour former des prédicateurs, revenir et constituer le corps des GIA (groupes islamiques de l'armée)... et leurs massacres... plus les retours d'Afghanistan, dont certains (avec la complicité de l'armée et des services secrets, qui faisaient mine de les combattre) allaient préparer les FAUX maquis du FIS... pour permettre à l'armée avec la complicité séoudienne, voyage du général Nezzar, chef d'état major, puis ministre de la défense, et membre du HCE, de solliciter l'aide financière et spirituelle des SEOUDIENS... qui interviendront avec leurs FATAWIS, officiellement pour soutenir le FIS, salafisé et Wahabisé, de prendre le contrôle du FIS, que l'on extraira de la gangue malékite, pour le livrer aux salafis, avec des distributions dans les rues et dans les mosquées des pamphlets et des livres à 10 pour 10 DA, faisant la promotion du WAHABISME et du salafisme, avec épuration par les GIA, de tous les prédicateurs et autres imams, égorgés, car suspects de "sounisme malékite" ou pire de vues tolérantes vis-à-vis du chiisme "kafir", Cheikh Mohamed said, en perdra la vie, pour avoir simplement été admirateur de la révolution iranienne.

3. Mourad Dhina, est bien intellectuel tolérant, mais en aucun cas, il ne peut avoir jamais eu de sympathies quelconques vis-à-vis des chiites, et c'est bien cela qui explique sa place au sein de la direction du FIS, contrairement à un Cheikh Hachani, rahimahou Allah, qui était plus ouvert, à ce sujet, et ne voyait pas dans le chiisme, un quelconque danger, certaines régions d'Alger, dont la Kabylie, pré-décennie noire, ayant été très proche du chiisme, par tradition importée par les mrabtines et les ashraf, qui ont islamisé la région, et surtout, leurs zaouias.

Aujourd'hui, la situation est absolument différente, la Kabylie s'est SALAFISEE plus que tout le reste de l'Algérie... du fait d'une action en profondeur de la part des services secrets et de l'école... ''wahabisée"
 
Dernière édition:
Assalamou 'alaïkoum, wa Rahmatou Allahi wa Barakâtouhou;


Qui sont les sauvages incivilisés ?

Algérie Documentaire EXCLUSIF de René Vautier.flv
[video=youtube;3oMjJugShDM]http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=3oMjJugShDM[/video]​
 
CE JOUR DANS L’HISTOIRE *LES ENFUMADES DU DAHRA *LE 18 JUIN 1845
.INSTITUT NATIONAL DES LANGUES ET CIVILISATIONS ORIENTALES, LANGUES O’
Ecole Doctorale Langues, Littérature et Sociétés du Monde
Laboratoire : CERMOM- CARMA
THESE
Pour obtenir le grade de
DOCTEUR DE L’INSTITUT NATIONAL DES LANGUES ET CIVILISATIONS ORIENTALES
Discipline : Histoire
Présentée et soutenue publiquement par Lydia AIT SAADI
Le 20 janvier 2010
La nation algérienne à travers les manuels scolaires
d’histoire algériens 1962 à 2008
Vol. 1 : Nation, Histoire et manuel scolaire.

--------
Mention excellent avec les très vives félicitations du Jury
------------------------------------------

EXTRAITS

Les années difficiles 1840-1847 : ''7 millions de morts''

Dès la nomination du général Bugeaud, comme commandant en chef des troupes françaises, en Algérie, et l’accroissement des forces d’occupation qui passeront de 63.000 hommes en 1840, à 108.000 hommes en 1848, celui-ci mettra en œuvre la politique de la « terre brûlée », et du génocide des révolutionnaires et des civils.
« Cette période dure de la résistance algérienne se distinguera par des pertes innombrables en vies humaines, du fait que le nombre d’Algériens qui était alors de 10 millions va chuter à 3 millions d’habitants en raison des tueries, des famines et des incendies, . » même si cette perte de populations peut trouver ses origines dans « les crimes, l’expulsion vers l’étranger et la saisie de 500.000
hectares de terres
».
[...]
« Tentatives d’éradication de la personnalité nationale et du patrimoine de la nation : Le colonialisme a tenté d’effacer la personnalité algérienne et de souiller son patrimoine en : - Combattant la culture arabe, en gelant l’utilisation de la langue arabe préservée par les mosquées. - Falsifiant l’histoire nationale remplacée par l’histoire de France.- Tentant d’éloigner l’Algérie du monde arabe avec l’octroi de la nationalité française aux algériens.
[...]
Après la chute d’Oran en novembre 1830. Ordre du général Bugeaud aux troupes :
« "Votre mission n’est pas de courir après les arabes, ceci ne sert à rien, votre mission est de les empêcher de semer, de moissonner, ou de paître… la guerre que nous menons n’est pas celle du canon, mais elle doit empêcher les arabes d’accéder aux productions de leurs terres […] Allez donc, couper le blé et l’orge. »
Cl.4 : Témoignage d’un officier :
« Nous brûlons les douars et tous les villages et refuges, […] nous réprimons, nous brûlons les maisons et les arbres ».


A propos de la guerre d'Algérie, 1954-1962, le général Aussarès, (auteur d'un livre où il reconnaît froidement ses crimes), enregistrant les confessions d’un homme pendu et subissant la torture par la gégène, ce qui suffit comme explication des « confessions », et du choix laissé aux Algériens, pour faire ou non, partie des supplétifs de l'armée française. En effet, une fois que quelqu'un a « craché le morceau », il devient suspect, et très souvent, il est obligé malgré lui, de se « protéger » en intégrant les forces de ses ennemis, pour éviter que ses « frères d'hier », ne le considèrent comme traître et l'exécutent éventuellement, pour les avoir dénoncés. Nombre des supplétifs, ne sont en fait que des victimes compromises intentionnellement, et à leur corps défendant, par l'action sournoise et machiavélique de la guerre psychologique française.

Cette constante dans la politique de « pacification » pour les Français, mais « d'éradication des indigènes ou des Algériens », pour les observateurs neutres qui ne jugent que les faits têtus au-delà des déclarations d'intention, j'ai préféré diluer cet épisode peu glorieux de la guerre dans les divers articles où il est question de la résistance du peuple algérien.

En effet, s'il y a eu recours à la torture, pour extirper des informations, sur les moudjahidines, ou bien pour éloigner la population des révolutionnaires, c'est justement la preuve que ces derniers ont non seulement l'appui de leur peuple, mais mieux, qu'ils sont représentatifs de la nation, et que ceux qui pratiquent la torture ne peuvent être qu'étrangers à cette nation. Le général Massu, ( Massu, interview au journal Le Monde, du 22 juin 2000, sur la torture. « Non la torture n'est pas nécessaire durant la guerre, on peut s'en passer; quand je me rappelle de l'Algérie, ceci me fait beaucoup de peine, car ceci se passait dans le climat général qui entourait ces situations, il nous était possible de nous comporter différemment. » ) lui-même, reconnaît trop tard, certes, que la torture était non seulement appliquée malgré les dénégations de la France « officielle », mais surtout qu'elle n'était pas nécessaire, et pire, que pour certains comme Bigeard (rapporté page 195, par la revue El Djeich, octobre 2000, N°447. « Quand je suis arrivé à Alger, en 1955, je me
rappelle l'avoir vu alors qu'il interrogeait quelqu'un en utilisant l'électricité, quand je lui ai posé la question sur ce qu'il
faisait, il m'a répondu '' C'est ce que nous faisions en Indochine, et je ne vois pas pourquoi je m'arrêterai maintenant.») , elle l'a été depuis l'Indochine et elle est entrée dans l'arsenal militaire français.

Après avoir un temps, nié la torture, il accuse son adjoint Bigeard, qu'il a vu la pratiquer.
-----
1 -Olivier Le Cour Grandmaison, Coloniser, Exterminer. Sur la guerre et l’Etat colonial, Casbah Editions, 2005, 365 p.
2.- Lavigerie Cardinal, OEuvres pastorales, 3e vol. Imp. Jourdan (1884-1890).
3.- Augustin Bernard : L’Algérie. De l’Histoire des colonies françaises, T. II, Ed. Plon, Paris, 1930, 540 p.
4.- Michel Habart, Histoire d’un parjure, disponible en PDF.

Voici enfin disponible cet ouvrage exceptionnel et rare, indispensable à la compréhension de la réalité historique de la colonisation de l’Algérie par les troupes maçonniques révolutionnaires et sanguinaires françaises. Après avoir massacré le peuple français en envoyant l’armée régulière contre de pauvres paysans et hommes d’église désarmés, massacrant femmes et enfants ; la république maçonnique a décidé d’exporter son idéologie satanique de l’autre côté de la Méditerranée, avec son nouveau lot de massacres et de barbarie : 8 millions de morts en 40 ans selon Michel Habart.
Le livre est disponible en PDF en cliquant sur l’image de droite (lien free). Un autre lien est disponible ici sur un autre site de téléchargement (1fichiers.com) : ici

SINON

.« Histoire d’un parjure » disponible en PDF
Au moment où la guerre d’Algérie rue, mord et bave, cabrée dans ses derniers soubresauts – du moins, nous l’espérons, et prenons garde ! Car c’est alors, chacun le sait, que la bête est la plus dangereuse ! – il paraît un petit livre qui remonte à ses origines. Il s’intitule Histoire d’un parjure et son auteur, M. Michel Habart, y a recueilli des textes qui rempliraient plusieurs colonnes de l’Anti-France. Sujet ? La Conquête. Et qu’y trouve-t-on ? Exactement tout ce que nous ignorions, malgré nos livres d’école, non : à cause d’eux. Allons, direz-vous : encore un livre partisan – Les Editions de Minuit, n’est-ce pas ? — basé sur des témoignages d’extrême gauche. Vous n’y êtes pas du tout. Ses témoins, M. Habart ne les a pas choisis parmi les « traîtres » d’aujourd’hui ou d’hier : ni Jean- Paul Sartre, ni Lamartine. Il est allé les chercher tout bonnement à la Bibliothèque nationale, et ils s’appellent Louis-Philippe, Bourmont, Clauzel, Bugeaud, Saint-Arnaud, Thiers. Massacreurs d’Arabes et fusilleurs d’ouvriers, la caution est-elle assez bonne ? Si oui, lisez ce qui va suivre. Un des mensonges ultras les plus en vogue dans cette guerre fut que lorsque les troupes françaises débarquèrent en Algérie, elles trouvèrent un pays anarchique, dépeuplé et misérable. Or écoutez ce qu’en dirent à l’époque les conquérants eux-mêmes. « Rien de comparable en Europe à la région de Blida » (colonel Saladin) ; « La Kabylie est superbe, un des pays les plus riches que j’aie jamais vus » (Saint-Arnaud). Pays couvert d’arbres fruitiers de toutes espèces, jardins cultivés jusqu’à la mer, grande variété de légumes grâce à un système d’irrigation très bien entretenu par les Maures » (Gentry de Bussy). Dépeuplée, l’Algérie ? En 1844, à la Chambre, le député Joly évalue le nombre des Algériens à plus de sept millions, chiffre probablement inférieur à la réalité (il y avait, à la même époque, huit millions d’habitants au Maroc). Sept millions, vous avez bien lu, à peine trois de moins qu’aujourd’hui. Il est vrai que, quelques années plus tard, de Bussy, le premier « ultra », avouera : « Depuis l’occupation, le pays n’offre plus que sécheresse et nudité. »
Que s’est-il passé ? Ces pages, je le répète : écrites par les conquérants, nous l’apprennent. Elles nous racontent d’abord l’histoire d’un parjure : les troupes françaises n’entrèrent à Alger qu’en jurant « sur le sang » que les Arabes garderaient leur indépendance (« Vous régnerez dans votre pays, maîtres indépendants de votre patrie »). Ensuite, l’histoire d’un crime. Ce crime ou, pour l’appeler de son nom, ce génocide, commença dès la prise d’Alger. On vit les « pacificateurs » — car le mot pacification avait déjà trouvé son plein emploi ! — piller, enfumer, assassiner, vendre en vrac, après le sac d’une ville, des bracelets auxquels adhéraient encore les mains coupées. On vit… Mais écoutez-les plutôt : « On a compté 78 têtes au bout des baïonnettes à l’entrée du camp » (« Le Moniteur »).​
« Dans deux mois les tribus Hadjoutes auront cessé d’exister » (Clauzel). « Mes hommes ont trouvé leur distraction dans les razzias » (Changarnier). « Nous avons brûlé, pillé, ravagé les tribus entre Blida et Cherchell » (Canrobert). « Je brûlerai vos villages et maisons » (Bugeaud). Dans son journal l’Afrique française, le maréchal Clauzel avoue les raisons de ce carnage : « Il nous faut Tlemcen et Constantine comme il fallait Calais à la France…
Les avantages de l’Algérie seraient immenses si, comme en Amérique, les races indigènes avaient disparu… Colonisons. Colonisons ! A nous la Mitidja ! A nous la plaine ! Toutes ces terres sont de première qualité ! A nous seuls ! » Et Bugeaud, enfin, le définit : « C’est la guerre continue, jusqu’à extermination… » Cependant, tout ne va pas si bien dans le meilleur des massacres, et tandis que l’Europe ricane de ces « pauvres Français » engagés dans une guerre sans fin (« Laissons-les faire ! Ils vont au désastre », dit Wellington et Lord Ellenborough : (« Il n’y a pas de plus mauvaise affaire que l’Algérie »), la métropole, soudain, se mêle d’avoir une conscience et de protester. Dès 1840, de nombreux prêtres se plaignent des confessions « atroces » qu’ils reçoivent. « La torture débarquant à Alger avec l’armée française n’aura pas été un des moins curieux épisodes de notre époque » (Barchou-Pohen). « On parle beaucoup des excès des soldats, mais vous les jetez dans des combats féroces. Comment voulez- vous qu’ils ne soient pas cruels ? » (Passy). On évoque les supplices : la crapaudine, le clou au rouge, le silo, la barre, ancêtres de la « corvée de bois ». On vitupère « les monstruosités judiciaires des tribunaux d’Alger »… Alors, l’Armée s’agite. Tout le mal vient de Paris qui ne la comprend pas, des « libéraux », des « traîtres » (déjà, mais oui !). Mais patience : il faut « algériser la France ! » s’écrie Emile de Girardin, et Bugeaud : « Ne nous y trompons pas ! Les vrais Bédouins sont à Paris ! » Parole sublime qu’un membre de la Congrégation, le comte de Brue, paraphrase en ces termes : « Devant la démoralisation, devant la perte du sentiment national du faible citadin, l’Armée, ce noble sanctuaire, a seul conservé honneur et loyauté. Que les clameurs de ces légistes se taisent et que ces rhéteurs verbeux qui cherchent à égarer la nation reculent devant le bruit de nos armes. » Ils reculeront, en effet. Pendant dix-huit ans, la France sera gouvernée par un homme qui ne fut peut-être pas plus mauvais qu’un autre. Il s’appelait Napoléon 3, et il avait compris, lui, que l’Algérie était « un boulet aux chevilles ». (…) En 1872, il parut que l’Algérie était – enfin ! — pacifiée. Mais le 1er novembre 1954… La leçon de ce livre ? Non, certes, lecteurs d’Alger ! il ne faut pas oublier certains assassinats inutiles et odieux commis par ceux d’en face. Mais sincèrement, cette situation coupable, la guerre, n’est-ce pas nous qui l’avons installée dans ce pays, n’en sommes-nous pas, au premier degré, responsables ? Je l’ai écrit maintes fois : je ne crois pas au péché originel, et le petit Européen de Bab-El-Oued n’a pas à payer pour les massacres de Bugeaud. Ce n’est pas là une raison pour oublier ce que fut cette guerre de cent-trente années. Et maintenant, de la façon la plus directe, la plus humaine et la plus loyale possible, qu’on en finisse, vite, vite, avec ce cauchemar !
Morvan Lebesque (In Le Canard enchaîné, janvier 1960).
 
CE JOUR DANS L’HISTOIRE *LES ENFUMADES DU DAHRA *LE 18 JUIN 1845
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Ecole Doctorale Langues, Littérature et Sociétés du Monde
Laboratoire : CERMOM- CARMA
THESE
Pour obtenir le grade de
DOCTEUR DE L’INSTITUT NATIONAL DES LANGUES ET CIVILISATIONS ORIENTALES
Discipline : Histoire
Présentée et soutenue publiquement par Lydia AIT SAADI
Le 20 janvier 2010
La nation algérienne à travers les manuels scolaires
d’histoire algériens 1962 à 2008
Vol. 1 : Nation, Histoire et manuel scolaire.

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Mention excellent avec les très vives félicitations du Jury
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EXTRAITS

Les années difficiles 1840-1847 : ''7 millions de morts''

Dès la nomination du général Bugeaud, comme commandant en chef des troupes françaises, en Algérie, et l’accroissement des forces d’occupation qui passeront de 63.000 hommes en 1840, à 108.000 hommes en 1848, celui-ci mettra en œuvre la politique de la « terre brûlée », et du génocide des révolutionnaires et des civils.
« Cette période dure de la résistance algérienne se distinguera par des pertes innombrables en vies humaines, du fait que le nombre d’Algériens qui était alors de 10 millions va chuter à 3 millions d’habitants en raison des tueries, des famines et des incendies, . » même si cette perte de populations peut trouver ses origines dans « les crimes, l’expulsion vers l’étranger et la saisie de 500.000
hectares de terres
».
[...]
« Tentatives d’éradication de la personnalité nationale et du patrimoine de la nation : Le colonialisme a tenté d’effacer la personnalité algérienne et de souiller son patrimoine en : - Combattant la culture arabe, en gelant l’utilisation de la langue arabe préservée par les mosquées. - Falsifiant l’histoire nationale remplacée par l’histoire de France.- Tentant d’éloigner l’Algérie du monde arabe avec l’octroi de la nationalité française aux algériens.
[...]
Après la chute d’Oran en novembre 1830. Ordre du général Bugeaud aux troupes :
« "Votre mission n’est pas de courir après les arabes, ceci ne sert à rien, votre mission est de les empêcher de semer, de moissonner, ou de paître… la guerre que nous menons n’est pas celle du canon, mais elle doit empêcher les arabes d’accéder aux productions de leurs terres […] Allez donc, couper le blé et l’orge. »
Cl.4 : Témoignage d’un officier :
« Nous brûlons les douars et tous les villages et refuges, […] nous réprimons, nous brûlons les maisons et les arbres ».


A propos de la guerre d'Algérie, 1954-1962, le général Aussarès, (auteur d'un livre où il reconnaît froidement ses crimes), enregistrant les confessions d’un homme pendu et subissant la torture par la gégène, ce qui suffit comme explication des « confessions », et du choix laissé aux Algériens, pour faire ou non, partie des supplétifs de l'armée française. En effet, une fois que quelqu'un a « craché le morceau », il devient suspect, et très souvent, il est obligé malgré lui, de se « protéger » en intégrant les forces de ses ennemis, pour éviter que ses « frères d'hier », ne le considèrent comme traître et l'exécutent éventuellement, pour les avoir dénoncés. Nombre des supplétifs, ne sont en fait que des victimes compromises intentionnellement, et à leur corps défendant, par l'action sournoise et machiavélique de la guerre psychologique française.

Cette constante dans la politique de « pacification » pour les Français, mais « d'éradication des indigènes ou des Algériens », pour les observateurs neutres qui ne jugent que les faits têtus au-delà des déclarations d'intention, j'ai préféré diluer cet épisode peu glorieux de la guerre dans les divers articles où il est question de la résistance du peuple algérien.

En effet, s'il y a eu recours à la torture, pour extirper des informations, sur les moudjahidines, ou bien pour éloigner la population des révolutionnaires, c'est justement la preuve que ces derniers ont non seulement l'appui de leur peuple, mais mieux, qu'ils sont représentatifs de la nation, et que ceux qui pratiquent la torture ne peuvent être qu'étrangers à cette nation. Le général Massu, ( Massu, interview au journal Le Monde, du 22 juin 2000, sur la torture. « Non la torture n'est pas nécessaire durant la guerre, on peut s'en passer; quand je me rappelle de l'Algérie, ceci me fait beaucoup de peine, car ceci se passait dans le climat général qui entourait ces situations, il nous était possible de nous comporter différemment. » ) lui-même, reconnaît trop tard, certes, que la torture était non seulement appliquée malgré les dénégations de la France « officielle », mais surtout qu'elle n'était pas nécessaire, et pire, que pour certains comme Bigeard (rapporté page 195, par la revue El Djeich, octobre 2000, N°447. « Quand je suis arrivé à Alger, en 1955, je me
rappelle l'avoir vu alors qu'il interrogeait quelqu'un en utilisant l'électricité, quand je lui ai posé la question sur ce qu'il
faisait, il m'a répondu '' C'est ce que nous faisions en Indochine, et je ne vois pas pourquoi je m'arrêterai maintenant.») , elle l'a été depuis l'Indochine et elle est entrée dans l'arsenal militaire français.

Après avoir un temps, nié la torture, il accuse son adjoint Bigeard, qu'il a vu la pratiquer.
-----
1 -Olivier Le Cour Grandmaison, Coloniser, Exterminer. Sur la guerre et l’Etat colonial, Casbah Editions, 2005, 365 p.
2.- Lavigerie Cardinal, OEuvres pastorales, 3e vol. Imp. Jourdan (1884-1890).
3.- Augustin Bernard : L’Algérie. De l’Histoire des colonies françaises, T. II, Ed. Plon, Paris, 1930, 540 p.
4.- Michel Habart, Histoire d’un parjure, disponible en PDF.

Voici enfin disponible cet ouvrage exceptionnel et rare, indispensable à la compréhension de la réalité historique de la colonisation de l’Algérie par les troupes maçonniques révolutionnaires et sanguinaires françaises. Après avoir massacré le peuple français en envoyant l’armée régulière contre de pauvres paysans et hommes d’église désarmés, massacrant femmes et enfants ; la république maçonnique a décidé d’exporter son idéologie satanique de l’autre côté de la Méditerranée, avec son nouveau lot de massacres et de barbarie : 8 millions de morts en 40 ans selon Michel Habart.
Le livre est disponible en PDF en cliquant sur l’image de droite (lien free). Un autre lien est disponible ici sur un autre site de téléchargement (1fichiers.com) : ici

SINON

.« Histoire d’un parjure » disponible en PDF
Au moment où la guerre d’Algérie rue, mord et bave, cabrée dans ses derniers soubresauts – du moins, nous l’espérons, et prenons garde ! Car c’est alors, chacun le sait, que la bête est la plus dangereuse ! – il paraît un petit livre qui remonte à ses origines. Il s’intitule Histoire d’un parjure et son auteur, M. Michel Habart, y a recueilli des textes qui rempliraient plusieurs colonnes de l’Anti-France. Sujet ? La Conquête. Et qu’y trouve-t-on ? Exactement tout ce que nous ignorions, malgré nos livres d’école, non : à cause d’eux. Allons, direz-vous : encore un livre partisan – Les Editions de Minuit, n’est-ce pas ? — basé sur des témoignages d’extrême gauche. Vous n’y êtes pas du tout. Ses témoins, M. Habart ne les a pas choisis parmi les « traîtres » d’aujourd’hui ou d’hier : ni Jean- Paul Sartre, ni Lamartine. Il est allé les chercher tout bonnement à la Bibliothèque nationale, et ils s’appellent Louis-Philippe, Bourmont, Clauzel, Bugeaud, Saint-Arnaud, Thiers. Massacreurs d’Arabes et fusilleurs d’ouvriers, la caution est-elle assez bonne ? Si oui, lisez ce qui va suivre. Un des mensonges ultras les plus en vogue dans cette guerre fut que lorsque les troupes françaises débarquèrent en Algérie, elles trouvèrent un pays anarchique, dépeuplé et misérable. Or écoutez ce qu’en dirent à l’époque les conquérants eux-mêmes. « Rien de comparable en Europe à la région de Blida » (colonel Saladin) ; « La Kabylie est superbe, un des pays les plus riches que j’aie jamais vus » (Saint-Arnaud). Pays couvert d’arbres fruitiers de toutes espèces, jardins cultivés jusqu’à la mer, grande variété de légumes grâce à un système d’irrigation très bien entretenu par les Maures » (Gentry de Bussy). Dépeuplée, l’Algérie ? En 1844, à la Chambre, le député Joly évalue le nombre des Algériens à plus de sept millions, chiffre probablement inférieur à la réalité (il y avait, à la même époque, huit millions d’habitants au Maroc). Sept millions, vous avez bien lu, à peine trois de moins qu’aujourd’hui. Il est vrai que, quelques années plus tard, de Bussy, le premier « ultra », avouera : « Depuis l’occupation, le pays n’offre plus que sécheresse et nudité. »
Que s’est-il passé ? Ces pages, je le répète : écrites par les conquérants, nous l’apprennent. Elles nous racontent d’abord l’histoire d’un parjure : les troupes françaises n’entrèrent à Alger qu’en jurant « sur le sang » que les Arabes garderaient leur indépendance (« Vous régnerez dans votre pays, maîtres indépendants de votre patrie »). Ensuite, l’histoire d’un crime. Ce crime ou, pour l’appeler de son nom, ce génocide, commença dès la prise d’Alger. On vit les « pacificateurs » — car le mot pacification avait déjà trouvé son plein emploi ! — piller, enfumer, assassiner, vendre en vrac, après le sac d’une ville, des bracelets auxquels adhéraient encore les mains coupées. On vit… Mais écoutez-les plutôt : « On a compté 78 têtes au bout des baïonnettes à l’entrée du camp » (« Le Moniteur »).​
« Dans deux mois les tribus Hadjoutes auront cessé d’exister » (Clauzel). « Mes hommes ont trouvé leur distraction dans les razzias » (Changarnier). « Nous avons brûlé, pillé, ravagé les tribus entre Blida et Cherchell » (Canrobert). « Je brûlerai vos villages et maisons » (Bugeaud). Dans son journal l’Afrique française, le maréchal Clauzel avoue les raisons de ce carnage : « Il nous faut Tlemcen et Constantine comme il fallait Calais à la France…
Les avantages de l’Algérie seraient immenses si, comme en Amérique, les races indigènes avaient disparu… Colonisons. Colonisons ! A nous la Mitidja ! A nous la plaine ! Toutes ces terres sont de première qualité ! A nous seuls ! » Et Bugeaud, enfin, le définit : « C’est la guerre continue, jusqu’à extermination… » Cependant, tout ne va pas si bien dans le meilleur des massacres, et tandis que l’Europe ricane de ces « pauvres Français » engagés dans une guerre sans fin (« Laissons-les faire ! Ils vont au désastre », dit Wellington et Lord Ellenborough : (« Il n’y a pas de plus mauvaise affaire que l’Algérie »), la métropole, soudain, se mêle d’avoir une conscience et de protester. Dès 1840, de nombreux prêtres se plaignent des confessions « atroces » qu’ils reçoivent. « La torture débarquant à Alger avec l’armée française n’aura pas été un des moins curieux épisodes de notre époque » (Barchou-Pohen). « On parle beaucoup des excès des soldats, mais vous les jetez dans des combats féroces. Comment voulez- vous qu’ils ne soient pas cruels ? » (Passy). On évoque les supplices : la crapaudine, le clou au rouge, le silo, la barre, ancêtres de la « corvée de bois ». On vitupère « les monstruosités judiciaires des tribunaux d’Alger »… Alors, l’Armée s’agite. Tout le mal vient de Paris qui ne la comprend pas, des « libéraux », des « traîtres » (déjà, mais oui !). Mais patience : il faut « algériser la France ! » s’écrie Emile de Girardin, et Bugeaud : « Ne nous y trompons pas ! Les vrais Bédouins sont à Paris ! » Parole sublime qu’un membre de la Congrégation, le comte de Brue, paraphrase en ces termes : « Devant la démoralisation, devant la perte du sentiment national du faible citadin, l’Armée, ce noble sanctuaire, a seul conservé honneur et loyauté. Que les clameurs de ces légistes se taisent et que ces rhéteurs verbeux qui cherchent à égarer la nation reculent devant le bruit de nos armes. » Ils reculeront, en effet. Pendant dix-huit ans, la France sera gouvernée par un homme qui ne fut peut-être pas plus mauvais qu’un autre. Il s’appelait Napoléon 3, et il avait compris, lui, que l’Algérie était « un boulet aux chevilles ». (…) En 1872, il parut que l’Algérie était – enfin ! — pacifiée. Mais le 1er novembre 1954… La leçon de ce livre ? Non, certes, lecteurs d’Alger ! il ne faut pas oublier certains assassinats inutiles et odieux commis par ceux d’en face. Mais sincèrement, cette situation coupable, la guerre, n’est-ce pas nous qui l’avons installée dans ce pays, n’en sommes-nous pas, au premier degré, responsables ? Je l’ai écrit maintes fois : je ne crois pas au péché originel, et le petit Européen de Bab-El-Oued n’a pas à payer pour les massacres de Bugeaud. Ce n’est pas là une raison pour oublier ce que fut cette guerre de cent-trente années. Et maintenant, de la façon la plus directe, la plus humaine et la plus loyale possible, qu’on en finisse, vite, vite, avec ce cauchemar !
Morvan Lebesque (In Le Canard enchaîné, janvier 1960).


Mach'allah très belle prestation de Lydia ait saadi qu'Allah la bénisse elles et ses ancêtres ,Vive l’Algérie Algerienne.

Il n'y a pas que le football qui intéresse les Algériens comme veulent nous le montrer les médias mainstream en affichant des algériens beuglant one two three viva l'Algerie, pendant ce temps d'autres travaille au rétablissement de la vérité historique,
a savoir que le pouvoir colonial français par son extrême cruauté a profondément transformé l'ADN de ce peuple béni, qu'Allah fasse des Algériens les fer de lance de la révolution mondiale du Mahdi :as:, comme ils ont été les précurseur du mouvement anti-impérial avec entre autres les soulèvement de Sétif et kherrata 08/05/1945 qui annoncent la défaite de l'Armée coloniale à dien bien phu 05/1954 en Indochine).
L'Impérialisme n'est pas mort il a juste changé de visages alors continuons le combat !



fi amanillah
 
Mach'allah très belle prestation de Lydia ait saadi qu'Allah la bénisse elles et ses ancêtres ,Vive l’Algérie Algerienne.
Il n'y a pas que le football qui intéresse les Algériens comme veulent nous le montrer les médias mainstream en affichant des algériens beuglant one two three viva l'Algerie, pendant ce temps d'autres travaille au rétablissement de la vérité historique,
a savoir que le pouvoir colonial français par son extrême cruauté a profondément transformé l'ADN de ce peuple béni, qu'Allah fasse des Algériens les fer de lance de la révolution mondiale du Mahdi :as:, comme ils ont été les précurseur du mouvement anti-impérial avec entre autres les soulèvement de Sétif et kherrata 08/05/1945 qui annoncent la défaite de l'Armée coloniale à dien bien phu 05/1954 en Indochine).
L'Impérialisme n'est pas mort il a juste changé de visages alors continuons le combat !
fi amanillah

Salam, c'est vrai, c'est un excellent article et cela m'amène à réflechir sur notre époque
En France, l'Islam progresse à fond, rien que les Algeriens, 3 millions sont né en France et millions ont migrés
On a actuellement 5 millions d'Algeriens sur le sol français, on ajoute les marocains et autres maghrébins
ça fait un bon 7 millions, les blacks eux, supposant que les musulmans parmi eux sont 3 millions
On a en France un bon 10 millions de musulmans sans compter les autres français convertis
Le monotéisme d'abraham par l'ouverture Mohammedienne à l'universalité, la France est en passe de devenir musulmane
Des fois j'écoute la radio et ils parlent de ça et ils sont en panique, certains chrétiens sont en panique
d'autres sont plus ouverts à la discussion, mais la conclusion c'est que l'éducation chrétienne n'existent presque plus en france
et est détroné par l'islam et il y'a tout les courants du monde en france, c'est le pays ou la lumière apparait en ce moment
 
Assalamou 'alaikoum;

Un essai de restitution de l'histoire de l'Algérie.

La suite de cette série sur la libération de l'Algérie, et les guerres d'extermination qui ont coûté près de 10 millions de morts, durant la colonisation française, de l'Algérie

[video=youtube;lA022MP5TWE]http://www.youtube.com/watch?v=lA022MP5TWE&amp;feature=player_detailpage[/video]
Assalamou 'alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakâtouhou;

28/03/2012 Rachad TV Thafsouth ennagh, Abdel Madjid Ait Saadi

Le printemps algérien et la "fin" de la 1ière guerre d'Algérie...
[video=youtube;fHPVL5Juwh8]http://www.youtube.com/watch?v=fHPVL5Juwh8[/video]


Un peuple ne meurt que si ceux qui le constituent oublient leur histoire, et d'où ils viennent...

L’histoire est un flambeau qui éclaire l'avenir....

Dr. Sayed as-Sharif, Abdelmadjid AIT SAADI, ithviriw pour vous servir, descendant de la 'Itra el moutahara, de la dynastie des Sa'diyines, qui ont régné sur le Maghreb, qu'ils ont libéré des Portugais....
 
Un peuple ne meurt que si ceux qui le constituent oublient leur histoire, et d'où ils viennent...

L’histoire est un flambeau qui éclaire l'avenir....

Dr. Sayed as-Sharif, Abdelmadjid AIT SAADI, ithviriw pour vous servir, descendant de la 'Itra el moutahara, de la dynastie des Sa'diyines, qui ont régné sur le Maghreb, qu'ils ont libéré des Portugais....


Salam cher seyed merci pour ce partage , votre absence de ce forum pendant un temps m'a rendu triste mes messages en témoigne, qu'Allah vous prête la santé et longue vie au moins jusqu’à la parousie de l'Imam :as: que vous puissiez transmettre notre histoire a cette jeunesse parfois tellement écervelé (mondial de foot) et l’éclairer vers le sentier qui mènent vers la libération de l'humanité et l'instauration du paradis terrestre .
Je vous demande aussi par votre proximité avec le sceau de messagers :saws: de demander l'intercession du Mahdi :as: pour moi et ma mère qu'ils nous sorte de la situation dans laquelle ont se trouve avec la permisssion d'Allah l'Unique sans associé.Mon prénom est hakim
 

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