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D'autres habitudes et repères

émbruon25

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Bonjour, bonsoir à tous

En matière de durée de la journée de travail, l'idée qui paraît animer les règlements du XIIIe siècle et qui se justifie par des considérations de bon sens, d'humanité et d'intérêt professionnel sainement entendu, est la suivante : il n'est ni juste, ni avantageux de surmener l'ouvrier ; la fixation de la journée de travail ne doit donc pas être abandonnée à l'arbitraire des patrons, mais doit au contraire être réglementée par les statuts de chaque corporation, conformément à l'équité et aux usages.

Cette idée admise, il restait à déterminer les limites de la journée de travail. La presque unanimité des statuts en fixe le commencement au lever du soleil ou à l'heure qui suit ce lever. Pour beaucoup de métiers, le signal précis de la reprise du travail était donné par le son de la corne annonçant la fin du guet de nuit. En revanche, le travail ne finissait pas à la même heure pour tous les métiers. Parfois, il ne se terminait qu'à la tombée de la nuit, c'est-à-dire à une heure variable selon les saisons. Parfois, au contraire, le signal de la cessation du travail était donné par la cloche de l'église voisine sonnant complies, ou par le premier crieur du soir comme pour les batteurs d'archal ou les faiseurs de clous. D'autres métiers quittaient l'ouvrage plus tôt encore, à vêpres sonnées : ainsi des boîtiers et des patenôtriers d'os et de corne.​

http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article1108


émbruon25
 
Dernière édition:
Le Pain Essene : Le pain ancien pour les temps modernes

Il y a 2 000 ans, en Palestine, la communauté Essènienne vivait en grande harmonie avec la nature. Elle nous a légué – par l’intermédiaire de manuscrits retrouvés en 1947 dans des grottes au bord de la Mer Morte – une recette de galettes de céréales germées.
C’est un exemple concret d’un savoir-faire ancestral émanant d’un art de vivre unificateur, cherchant à relier l’Homme à son environnement.
Inspiré de cette connaissance, le pain Essene Gaia est élaboré aujourd’hui pour apporter ses bienfaits aux temps modernes.

http://lemondedebblinou83.blogspot.com/2007/12/pain-de-bl-germ.html


 


Les théories des humeurs et des éléments












Préliminaires

Une bonne compréhension de la conception cosmologique, et le rapport entre le cosmos et la vie humaine est essentielle à toute étude de la psychologie et de la causalité au Moyen-âge. Nous commençons, alors, avec un exposé ébauché de la façon dont on comprenait le cosmos à l’époque qui nous intéresse. Il faut préciser que les assertions faites ici-bas, doivent être comprises comme faisant référence aux idées courantes à l’époque.














Les humeurs et la santé

Les humeurs du corps humain (le sang, la bile noire ou la mélancolie, la bile jaune ou la colère, et la flegme) ne sont que les correspondants microcosmiques des éléments du macrocosme. De même que l’univers n’est pas sain que lorsque les éléments sont en bon équilibre, le corps tombe malade là ou il y a un excès. Le corps est capable jusqu’à un certain point de se vider des superfluités, mais a parfois besoin de l’aide artificiel. On remédiait la maladie en restituant l’équilibre, par le moyen des purges de sang, et avec les vomitifs, par exemple.









 

Salut à toutes et tous


Quelle heure est-il ? , Quelle date sommes-nous ?

Pendant des centaines d'années --- depuis quelque décennies


Les sabliersLes bougies
Les lampes à huile





ptite reflexion

Jouissons-nous aujourd'hui d'une quelconque supériorité par rapport au gens qui nous ont précédé sur cette terre ??
(ce que l'école nous a gentiment inculquée sans nous demander notre avis)


Jouissons-nous en occident (ou dans une région occidentalisée) d'une quelconque supériorité par rapport au gens qui vivent dans d'autres région sur cette terre ?



Je vous souhaite la réussite ainsi qu'un bon repos à tous ceux qui passe ou ont passés des examens



fraternellement,
émbruon25

 
Bonjour

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Salut et heureuse journée de Paix et de Fraternité l'ami Embruon25,

:happy:..........Continuez dans cette voie !

Nous apprécions beaucoup la lecture de vos sujets.

A très bientôt avec toute mon amitié votre ami sam.
 
Justesse du juste:La balance et l'équité

Assalamu alaykum wa rahmatullah wa barakatuhu

Juste pour saluer votre réflexion cher frère , car elle m'est passé par l'esprit il y a belle lurette.

moi j'en était presque arriver à penser que Depuis la nuit des temps ( l'époque de notre Ancêtre et père ADAM :as:) jusqu'à la fin des temps il y aura un juste poids et une juste mesure en tout temps et en tout lieu pour tous les êtres humains.

Celà dit, à tous les avantages il y a des inconvénients équivalents et vice versa , donc, comme vous l'avez si bien souligné, les évolutionistes illuminés nous font gober leur pensée unique à l'école et nous suivons la mode des méfaits enjolivés par le diable; sinon pourquoi ne nous posons nous pas la question de savoir si; Pharaon n'arguerait il pas Devant Mc Cain ou Obama( Qu'à Dieu ne plaise !) que s'il avait vécu au temps de Walker BUSH au 21ème siècle avec tous les évolutions techniques et technologiques, il n'aurait pas asservi le peuple d'israel, puisqu'il auraît eu des engins et des robots pour ce faire ? c'est un argument décousue mais qui pourrait tenir si on ommet la justesse et l'équité des bienfaits et des méfaits ...en tout temps et en tous lieu peu importe les faveurs octroyés aux uns ou aux autres.

Maa salaam
 
salaam





BONJOUR A TOUT LE MONDE,




Bonjour frère mohalamine,

Je vous remercie pour votre salut et d’avoir intervenu.


Je souhaiterais vivement vous répondre et entretenir la discutions avec vous frère. Cependant, n’étant pas illustre en matière linguistique je vous sort gentiment mon petit drapeau blanc pour vous indiquer que je me trouve un peu démunis faces à vos riche allusions qui me dépassent un peu.
Si ca ne vous dérange pas de vous répéter, je vous demanderai de bien vouloir me préciser ce que vous entendez par : « [FONT=&amp]Justesse du juste:La balance et l'équité » ?[/FONT]
Aussi je n’ai pus saisir l’idée général de votre exemple ?
Je suis désolé ; En tout cas merci.




Je vous souhaite un très bon moment sur internet




Fraternellement,
[FONT=&amp]émbruon25[/FONT]​
 
La Mode du [FONT=&quot]XVII[/FONT]ème siècle


Au 17ème siècle la mode devient synonyme d'élégance

Bon nombre d'édits et d'ordonnances furent proclamés par le roi Henri IV pour restreindre les produits de luxes, comme le fameux édit de 1608 qui interdisait " de porter dorénavant aucun drap ni toile d'or ni d'argent, clinquant, pourfilures, broderies, passements, emboutissements, cordons, canetilles, velours, satin ou taffetas barrés, mêlés, couverts ou tracés d'or ou d'argent". Mais ses interdits visant l'ornementation excessive du costume eurent comme effet de renforcer la contrebande et une industrie étrangère.

Sous Louis XIII, des édits destinés à limiter les importations interdisent l'usage de dentelle et de colifichets en provenance de l'étranger, cela entraîne le développement de l'artisanat de la mode, ce qui était le but de ces édits, de préserver la production nationale. L'industrie de la soie devient ainsi française. L'art de la dentelle se développe à Senlis et les toiles fines sont fabriquées à Rouen.



 
salam

La Création , L'Homme dans son univers ont été façonné en toute Justice et Equité, Nul ne pourra réclamer des faveurs ou des avantages , arguant ainsi d'une dimunition ou d'une infériorité. Ce sont les Hommes qui sont inkustes avec eux mêmes qui ont crée les désordres et les déséquilibres qu'ils peuvent annihiler s'ils le veulent, à tout instant.

maa Salaam
 
Habitudes et repères de certains "Musulmans"

Ce post vient en appoint du thème "plus impériaux que les empereurs" de la rubrique Humour, il s'agit de ne pas faire d'humour caustique avec les paroles d'ALLAH:azwj:

Allah Exalté soit-Il dit dans les Surat :


Al ‘Imran (3:137-141):

fasirufilard.gif


137. Avant vous, certes, beaucoup d’événements(39) se sont passés. Or, parcourez la terre, et voyez ce qu’il est advenu de ceux qui traitaient (les prophètes) de menteurs. 138. Voilà un exposé pour les gens, un guide, et une exhortation pour les pieux.
139. Ne vous laissez pas battre, ne vous affligez pas alors que vous êtes les supérieurs, si vous êtes de vrais croyants.
140. Si une blessure vous atteint, pareille blessure atteint aussi l’ennemi. Ainsi faisons-Nous alterner les jours (bons et mauvais) parmi les gens, afin qu’Allah reconnaisse ceux qui ont cru, et qu’Il choisisse parmi vous des martyrs - et Allah n’aime pas les injustes,
141. et afin qu’Allah purifie ceux qui ont cru, et anéantisse les mécréants.

Surat al-An‘am (6:4-6) Il dit:

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4. Et il ne leur vient aucun des signes d’entre les signes de leur Seigneur, sans qu’ils ne s’en détournent.
5. Ils traitent de mensonge la vérité quand celle-ci leur vient. Mais ils vont avoir des nouvelles de ce dont ils se moquent.
6. N’ont-ils pas vu combien de générations, avant eux, Nous avons détruites, auxquelles Nous avions donné pouvoir sur terre, bien plus que ce que Nous vous avons donnés? Nous avions envoyé, sur eux, du ciel, la pluie en abondance, et Nous avions fait couler des rivières à leurs pieds. Puis Nous les avons détruites, pour leurs péchés; et Nous avons créé après eux, une nouvelle génération.

Surat al-A‘raf (7:96-102):
walawana.gif

96. Si les habitants des cités avaient cru et avaient été pieux, Nous leur aurions certainement accordé des bénédictions du ciel et de la terre. Mais ils ont démenti et Nous les avons donc saisis, pour ce qu’ils avaient acquis.
97. Les gens des cités sont-ils sûrs que Notre châtiment rigoureux ne les atteindra pas la nuit, pendant qu’ils sont endormis?
98. Les gens des cités sont-ils sûrs que Notre châtiment rigoureux ne les atteindra pas le jour, pendant qu’ils s’amusent?
99. Sont-ils à l’abri du stratagème d’Allah? Seuls les gens perdus se sentent à l’abri du stratagème d’Allah.
100. N’est-il pas prouvé à ceux qui reçoivent la terre en héritage des peuples précédents que, si Nous voulions, Nous les frapperions pour leurs péchés et scellerions leurs cœurs, et ils n’entendraient plus rien?
101. Voilà les cités dont Nous te racontons certaines de leurs nouvelles. [A ceux-là,] en vérité, leurs messagers leur avaient apporté les preuves, mais ils n’étaient pas prêts à accepter ce qu’auparavant ils avaient traité de mensonge. C’est ainsi qu’Allah scelle les cœurs des mécréants.
102. Et Nous n’avons trouvé chez la plupart d’entre eux aucun respect de l’engagement; mais Nous avons trouvé la plupart d’entre eux pervers.

Allah Exalté soit il dit dans la Surat al-Hajj (22:42-49):
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42. Et s’ils te traitent de menteur, [sache que] le peuple de Noé, les 'Aad, les Tamûd avant eux, ont aussi crié au mensonge (à l’égard de leurs messagers),
43. de même que le peuple d’Abraham, le peuple de Lot.
44. et les gens de Madyan. Et Moïse fut traité de menteur. Puis, J’ai donné un répit aux mécréants; ensuite Je les ai saisis. Et quelle fut Ma réprobation!
45. Que de cités, donc, avons-Nous fait périr, parce qu’elles commettaient des tyrannies. Elles sont réduites à des toits écroulés: Que de puits désertés! Que de palais édifiés (et désertés aussi)!
46. Que ne voyagent-ils sur la terre afin d’avoir des cœurs pour comprendre, et des oreilles pour entendre? Car ce ne sont pas les yeux qui s’aveuglent, mais, ce sont les cœurs dans les poitrines qui s’aveuglent.
47. Et ils te demandent de hâter [l’arrivée] du châtiment. Jamais Allah ne manquera à Sa promesse. Cependant, un jour auprès de ton Seigneur, équivaut à mille ans de ce que vous comptez.
48. A combien de cités n’ai-Je pas donné répit alors qu’elles commettaient des tyrannies? Ensuite, Je les ais saisies. Vers Moi est le devenir.
49. Dis: «Ô hommes! Je ne suis pour vous, en vérité, qu’un avertisseur explicite».

Surat ar-Rum (30:9-10):
awalam.gif



9. N’ont-ils pas parcouru la terre pour voir ce qu’il est advenu de ceux qui ont vécu avant eux? Ceux-là les surpassaient en puissance et avaient labouré et peuplé la terre bien plus qu’ils ne l’ont fait eux-mêmes. Leurs messagers leur vinrent avec des preuves évidentes. Ce n’est pas Allah qui leur fit du tort; mais ils se firent du tort à eux-mêmes.

Le verset 10 Conclue:
10. Puis, mauvaise fut la fin de ceux qui faisaient le mal, ayant traité de mensonges les versets d’Allah et les ayant raillés.

Le Sheikh Mohammad bin rashid al makhtum préfère plutôt que les terriens viennent en touristes à Dubaî voir ce qu'il a Construit et bâti en usant des Architectes, des ingénieurs, des géomètres, des maçons !!! si vous voyez ce que je veux dire par rapport à la définition de HENRY CORBIN que le frère SAM nous a fait parvenir sur la Franc-maçonnerie.

Etant en france lors de son exil forcé à noeuffle-le-chateau, L'imam khomeyni accorda une interview au journal le monde; à la question de savoir s'il autoriserait les juifs, les Zoroastriens, les Baha'is et les Francs-maçons de pratiquer librement leur culte respectif, la réponse a été pure et sèche sans ambiguité:

Non aux baha'is et aux Francs-Maçons, ils ne seront même pas tolérés; oui pour les autres cultes dans le respect de la loi islamique. La Charia que les francs-maçons tentent par tous les moyens LUMINEUX d'abroger.
 
L'habitude

L'habitude est une étrangère
Qui supplante en nous la raison :
C'est une ancienne ménagère
Qui s'installe dans la maison.

Elle est discrète, humble, fidèle,
Familière avec tous les coins ;
On ne s'occupe jamais d'elle,
Car elle a d'invisibles soins :

Elle conduit les pieds de l'homme,
Sait le chemin qu'il eût choisi,
Connaît son but sans qu'il le nomme,
Et lui dit tout bas : "Par ici."

Travaillant pour nous en silence,
D'un geste sûr, toujours pareil,
Elle a l'oeil de la vigilance,
Les lèvres douces du sommeil.

Mais imprudent qui s'abandonne
A son joug une fois porté !
Cette vieille au pas monotone
Endort la jeune liberté ;

Et tous ceux que sa force obscure
A gagnés insensiblement
Sont des hommes par la figure,
Des choses par le mouvement.

http://poesie.webnet.fr/poemes/France/sullypru/62.html

 
Repères psychologiques



Repères psychologiques

Une leçon junguienne


E – La fonction religieuse naturelle
L’étude des archétypes de l’inconscient collectif a conduit Jung à conclure que l’homme possède ce qu’il appelle une fonction religieuse naturelle.
L’équilibre psychique dépend tout autant de sa juste expression que de celle des instincts. Cette fonction religieuse influence l’homme aussi puissamment que l’instinct sexuel ou l’instinct d’agression. L’homme primitif est aussi soucieux de cette fonction, c’est-à-dire de la formation des symboles et de l’édification d’une religion, qu’il l’est du labourage, de la chasse, de la pêche et de l’accomplissement de ses autres besoins fondamentaux.
Malgré l’attitude moderne de dénigrement, homme et femme sont tout aussi naturellement religieux qu’ils le furent jadis. Cependant, une grande part de l’énergie qui s’écoulait autrefois dans le rituel d’observation religieuse, s’exprime aujourd’hui dans les croyances politiques ou dans la recherche de la connaissance...
 
Repères psychologiques

Une leçon junguienne


E – La fonction religieuse naturelle
L’étude des archétypes de l’inconscient collectif a conduit Jung à conclure que l’homme possède ce qu’il appelle une fonction religieuse naturelle.
L’équilibre psychique dépend tout autant de sa juste expression que de celle des instincts. Cette fonction religieuse influence l’homme aussi puissamment que l’instinct sexuel ou l’instinct d’agression. L’homme primitif est aussi soucieux de cette fonction, c’est-à-dire de la formation des symboles et de l’édification d’une religion, qu’il l’est du labourage, de la chasse, de la pêche et de l’accomplissement de ses autres besoins fondamentaux.
Malgré l’attitude moderne de dénigrement, homme et femme sont tout aussi naturellement religieux qu’ils le furent jadis. Cependant, une grande part de l’énergie qui s’écoulait autrefois dans le rituel d’observation religieuse, s’exprime aujourd’hui dans les croyances politiques ou dans la recherche de la connaissance...



786-92-110

Assalamou Alaykoum

Juste un détail "scientifique" sur la question de la fonction religieuse naturelle qui pourrait éventuellement corroborer le post du Frère émbruon25.

La zone du cerveau qui contrôle la foi religieuse

par sajed le 11 Mars 2009, 02:55
Des chercheurs déclarent, dans le journal américain Proceedings of the National Academy of Sciences du 9 mars, avoir localisé la zone du cerveau qui contrôle la foi religieuse. Selon leurs travaux relatés dans The Independant, la croyance en un pouvoir supérieur, céleste, est un atout de l'évolution qui aide les hommes à survivre.

La croyance en un dieu serait profondément ancrée dans le cerveau humain, qui serait programmé pour l'expérience de la religiosité. Pour le professeur Jordan Grafman, du National Institute of Neurological Disorders and Stroke à Bethesda, près de Washington, "la foi et le comportement religieux sont des traits de la vie humaine qu'on retrouve dans toutes les cultures et qui sont sans équivalent dans le règne animal". "Nos résultats démontrent que les constituants spécifiques de la croyance religieuse concernent des circuits du cerveau connus."

"L'AIRE DE LA FOI"

Les scientifiques qui cherchaient "l'aire de la foi", supposée contrôler la croyance religieuse, pensent qu'il n'y pas une mais plusieurs zones du cerveau qui forment les fondations biologiques de la foi. Le cerveau aurait évolué en devenant plus sensible à toute forme de croyance qui améliore les chances de survie. Ce qui pourrait expliquer pourquoi la croyance en un dieu et au surnaturel est si répandue à travers le monde.

La communauté scientifique, les philosophes et les théologiens sont divisés sur l'origine de la foi. Pour certains elle est d'origine biologique, pour d'autres culturelle. Des théoriciens de l'évolution prétendent que la sélection naturelle darwinienne a pu mettre l'accent sur les individus qui sont croyants et dont les chances de survie seraient supérieures à ceux qui ne croient pas. D'autres ont suggéré que la foi était juste la manifestation du phénonomène biologique intrinsèque qui fait du cerveau humain un organe si brillant et adaptable.

source : http://alhawrah.free.fr/viewtopic.php?f=9&p=51&sid=d932ba7872d36cc6d92ac72ae12b3dd9#p51

Fi amanilllah
 
786-92-110

Assalamou alaykoum WR WB !

Pour ceux qui ne l'on pas encore lu , un développement par ayatollah sayyed moussavi laari ; notamment :

Chapitre III

Dieu et la méthode expérimentale

Sans aucun doute, les conditions sociologiques, historiques, pédagogiques et les types d'occupation de l'homme influent le courant naturel de ses états psychologiques et ses sentiments.
Ces différentes conditions n'exercent pas de contraintes et d'obligations pour orienter l'homme, mais elles créent une ambiance propice jouant un rôle important dans la perspective des hommes. Elles se manifestent parfois inconsciemment comme des obstacles au libre arbitre et à la liberté.
En principe, les potentialités cérébrales se développent et se fortifient dans les disciplines respectives auxquelles elles sont employées, et s'atrophient et perdent les facultés non-employées, faisant apparaître à l'homme que toute connaissance ou spécialité autre que la sienne propre est secondaire et sans intérêt. Il jugera de ce point de vue en toute chose. Cloisonner sa pensée dans le cadre de la logique des sciences expérimentales, et ignorer les limites et capacités de ces dernières est le facteur le plus destructif et le plus fourvoyant de la pensée qui cherche Dieu.
Et puisque les spécialistes en sciences expérimentales emploient toute leur énergie intellectuelle dans la connaissance du monde sensible, leur esprit devient réfractaire aux questions supra-sensibles. Cette absence de familiarité et cette distance à l'égard des choses immatérielles, ainsi que leur confiance extraordinaire dans l'expérience, arrivent à un point tel que celle - ci leur sert de base pour leurs idées et leur conception du monde. Elle est le seul moyen et le seul instrument acceptable pour connaître et juger et résoudre toute question. Or la fonction des sciences expérimentales est de dégager les liens existant entre les différents phénomènes, d'établir une liaison entre eux - mêmes non entre Dieu et les phénomènes.
Dans la science expérimentale, on ne se propose nullement de débattre Dieu, et il ne faut pas s'attendre à pouvoir connaître les réalités supra - sensibles en comparant des phénomènes sensibles, ni à mettre Dieu en évidence dans les essais de laboratoires.Les sciences ne peuvent pas soumettre le problème de l'existence de Dieu à des savants travaillant en laboratoires, et par cette voie porter un jugement tranchant, en disant que si une chose n'a pas été observée, et ne se prête pas à l'expérience ni à la mise en équations mathématiques, elle est dénuée de toute réalité.
Aucune expérience ne peut être conduite pour pouvoir décider qu'une entité non-matérielle existe ou non. Car l'expérience ne peut démontrer que ce qu'elle peut aussi récuser. Les sciences et la métaphysique sont deux connaissances, et chacune jouit de son identité et d'une force spécifique égale à l'autre.
La loi métaphysique qui ne procède pas de l'expérience objective, ne peut pas être rejetée par elle.
Et des milliers d'expériences scientifiques ne seraient jamais à point de démontrer que toutes les choses sont matérielles.
Alors que toute la panoplie sophistiquée des moyens utilisés en laboratoires n'ont pas pu ouvrir la voie de l'univers vaste et ténébreux des éléments inconnus, ni jeter toute la lumière sur les faits se produisant dans les particules infinies; ils n'ont même pas encore pu accéder à la connaissance de la nature de la matière.
Bien que la méthode expérimentale soit très profitable dans le perfectionnement de la connaissance du système précis de la création, et qu'on puisse la considérer comme une base solide pour la foi en un créateur, grâce à l'observation de l'ordre régnant dans la nature et mis en évidence par l'expérience, et qui suppose l'existence d'une cause première sage et puissante, néanmoins, en générale, l'objectif et le souci des savants naturalistes n'est pas de parvenir au Créateur de l'existence. Pour eux les sciences se chargent toujours de la découverte des secrets de la création tangible; et ne se permettent pas d'outrepasser les limites étroites qu'elles s'imposent pour l'étude de leur objet, et se refusent d'avancer, par l'observation des rapports rigoureux existant entre les divers phénomènes de la nature à l'étape suivante de la connaissance.
La première étape est celle de la recension de tous les faits observables par les sens et l'expérience.
La seconde est celle de l'interprétation de ces faits, et des conclusions qu'ils imposent à la pensée.
D'une part, ils rassemblent les résultats des expériences, et d'autre part, ils réfléchissent sur les déductions à faire à partir des faits éprouvés, c'est - à dire des données scientifiques établies.
Car sans l'acceptation d'un créateur sage, il est impossible d'expliquer de façon satisfaisante l'ensemble des résultats des différentes sciences et des rapports et liens existant entre eux.
Mais en pratique, le travail et la méthode de la pensée scientifique se font sur la base de règles et de recherches indépendantes de l'idée de Dieu. Un esprit dans lequel Dieu est absent devient le point d'appui du travail, et le savant se ferme ainsi à toute préoccupation étrangère à sa méthode.
D'autre part, puisque la vie pratique des gens est inévitablement dépendante des sciences, et que le savoir expérimental embrasse tous les aspects de la vie matérielle, enserrant l'homme dans un cadre hermétique, au point que parmi ses outils et instruments, très rares sont ceux qui n'en portent pas la marque (de la science), de telles conditions entraînent forcèment une plus grande confiance des gens dans les sciences. Leur comportement s'en ressent, et un certain scepticisme se fait jour à l'endroit de l'existence.
Dès que la logique scientifique marque de son empreinte toutes les pensées, les hommes élaborent leur conception du monde au creuset de cette logique, au point d'être persuadés que toute question ne peut être approfondie que sur la base de la connaissance scientifique qui confère crédit et authenticité.
Finalement toute chose qui échappe à la perception sensible est considérée comme inconnaissable, et aucune voie n'est ouverte pour sa démonstration.
Paul Clarence Ebersold, le célèbre physicien écrit:
"Au début de mes études, j'étais fasciné par les méthodes scientifiques et j'étais persuadé qu'un jour la science découvrira tout, et révèlera les secrets de tous les phénomènes, et même qu'elle éclairera le principe vital, ses manifestations et la conscience humaine.
Mais au fur et à mesure que j'apprenais, et que j'examinais toutes les choses depuis l'atome jusqu'aux galaxies, je me suis rendu compte que beaucoup de choses demeurent inconnues. La science peut avec succès expliquer en détail la constitution de l'atome ou encore définir les propriétés des entités naturelles, mais elle ne sera pas capable de définir l'âme et l'intelligence humaine. Les savants ont conscience de ne pouvoir étudier et connaître que les qualités et les quantités des choses sans accèder aux causes premières et au pourquoi de leurs propriétés. l'intelligence humaine, les sciences ne peuvent pas nous dire d'où viennent les atomes, les galaxies, l'âme, ou encore l'homme aux aptitudes stupéfiantes.
Les sciences peuvent avancer la thèse qu'à l'origine de l'univers, il y eut une explosion de laquelle sont issus les atomes, les étoiles et les galaxies, mais elles ne sauraient nous dire d'où vient cette matière initiale, ni la force qui a causé l'explosion. Pour répondre à cette question tout homme doté d'un esprit normal reconnaît l'existence d'un créateur."13
Par conséquent, l'empiriste qui ignore la méthode de connaissance religieuse, se fera pour règle de n'admettre comme juste et nécessaire que ce qui est conforme à la logique et à la méthodologie des sciences. En revanche, il se donnera le droit de considérer comme dénué de valeur, tout ce qui contredira les conclusions de sa science. La méthode ici est celle même qui dicte d'avoir confiance dans les expériences, et de fait il rapportera toute sa démonstration au critère de l'expérience.
Dans ces conditions où son sens religieux est l'objet d'une indifférence, en particulier cet ensemble de questions religieuses pratiques concernants les ordres et les interdits, et dont il ne retrouve pas de façon concrète les fondements dans ses recherches scientifiques pour pouvoir les expliquer.
Il s'attache obstinèment à la méthode qu'il a choisie lui-même, et en raison du pli qu'il a pris de tout exprimer avec ses propres concepts et de tout mettre en formules, il suppose comme vides et dénuées de valeurs les prescriptions religieuses les plus simples, les plus générales et les plus franches.
Cette facon de penser est fondamentalement incorrecte et erronée. Et ces sciences perdent leur caractère dès qu'elles entrent dans notre vie pratique, bien qu'elles aient des formules compliquées et extraordinairement minutieuses dont la connaissance exige de l'homme qu'il s'engage dans des recherches profondes et difficultueuses. Leur terminologie auparavant restreintes aux savants, devient un lien commun. Quand il en va autrement, elles restent des sciences qui ne sortent pas des cercles spécialisés et industriels ainsi que des bibliothèques et autres centres de recherches.
Tout le monde peut se servir des moyens comme le téléphone et la radio. Il en va de même de tous les instruments scientifiques. Malgré toute leur complexité et leur minutie, de simples instructions donnés par le spécialiste, suffisent à rendre le public familier avec eux.
Le spécialiste et l'expert ne fournissent pas à leur client le savoir technique et mécanique, mais seulement le produit des efforts ardus des inventeurs dont ils résument le fonctionnement en quelques phrases.
Ce n'est pas parce que les prescriptions religieuses n'ont pas été exprimées en formules scientifiques et qu'elles sont simples et accessibles à tous, qu'il faudrait les considérer comme des choses sans importance et sans valeur, qui feraient partie, de nos préjugés et de notre imagination et de notre mentalité erronée et qu'il faudrait ignorer leur rôle déterminant et leur influence profonde dans notre propre vie. Un tel raisonnement serait malhonnête et scientifiquement illogique.
Les lois scientifiques ne sont connues que lorsqu'elles sont vulgarisées, et qu'elles sont tangibles pour tous dans la vie individuelle et sociale.
En outre, si les prescriptions religieuses étaient à la portée de notre connaissance, de notre goût, et de notre perspicacité, nous n'aurions pas eu besoin de rites et de prophètes. Nous aurions pu les concevoir nous - mêmes.
En principe, les hommes ne tiennent pas compte de leur incapacité par rapport à leur capacité.
Le scientisme de notre époque a fait que les hommes, après les progrès accomplis dans le domaine des sciences expérimentales, sont devenus orgueilleux à telle enseigne qu'ils s'imaginent avoir soumis et dominé le monde de la réalité; alors que nul homme, à nulle époque ne peut prétendre avoir conquis tous les secrets de l'univers, et levé tous les voiles recouvrants la nature.
Il faut voir les réalités dans une perspective plus large, et comprendre que notre savoir est une goutte insignifiante face à l'océan des secrets inconnus parce que chaque découverte scientifique met au grand jour une grande quantité d'inconnues.
Tout au long des siècles, l'homme a déployé des efforts inlassables, mettant en oeuvre. tous ses moyens pour une connaissance plus poussée et plus complète de l'univers matériel. Le résultat en est qu'il a percé le secret de quelques mystères de ce monde, ce qui n'est pas grand chose étant donné qu'une montagne d'inconnues le cernent de toutes parts.
La parole d'Einstein confirme le caractère insignifiant du bagage scientifique en comparaison avec l'infinité des secrets. Il dit:
"L'image que l'on se fait du monde à l'aide de la science, est une image à moitié incomplète et non une image réelle du monde; parce qu'à cause de la faiblesse des organes de perception de l'homme, l'accès à une telle réalité n'est pratiquement pas aisé.
Et se contenter d'une représentation insuffisante de l'univers physique n'est pas quelque chose de liée à l'univers, mais une chose qui dépend plus de nous mêmes."14
Par conséquent, it faut évaluer de façon plus réaliste le domaine scientifique de la connaissance par les sciences du sensible ainsi que leurs influences, et analyser dans une optique saine et loin de tout parti pris pouvant être un obstacle sur la voie de la concrétisation de la vérité.
Sans doute, les sciences expérimentales ne peuvent rendre compte que de l'aspect phénoménale des choses.
Seuls la matière et les phénomènes matériels entrent dans leur domaine d'études et de recherches, parce qu'ils se prêtent à l'examen analytique en laboratoires.
Aujourd'hui, la démarche scientifique est celle de l'observation et de l'expérience. Et comme l'objet de l'empirisme est l'examen du monde objectif et extérieur; pour s'assurer de la justesse ou de la fausseté d'une proposition, les savants la rapportent au monde extérieur et la soumettent à l'expérience et aux tests. Si elle est confirmée, elle est acceptée; sinon, elle est rejetée.
Donc, en tenant compte de la méthode et de l'objet des sciences expérimentales, il faut se demander si les réalités métaphysiques peuvent être mises à l'épreuve de l'expérience par des moyens de la perception sensible et de l'expérience, et aussi quelle recherche expérimentale a le droit de se mêler de foi et de croyance, et se demander où les sciences expérimentales établissent elles un lien avec Dieu.
Le savoir matériel est une lanterne qui peut éclairer une partie des inconnues, mais il ne peut pas percer toutes les obscurités.
Car la connaissance de tout système, dépend de la façon dont son ensemble est connu, de façon que cette connaissance soit globale.
Mais le fait que l'on cloître le savoir humain dans le cadre de la connaissance sensible, empêche de parvenir à une vision totale, et constitue un frein, une limitation de l'objet scientifique et une ignorance des profondeurs de l'être.
En principe, que nous croyons en Dieu ou non, c'est une question qui n'entre pas dans le sujet des sciences expérimentales, parce que si l'objet d'étude est matériel, elles ne sauraient porter un jugement acceptable, positif ou négatif, parce que les doctrines religieuses professent que Dieu n'est pas un corps matériel, qu'il n'est pas perceptible par les sens, et qu'il n'est limité ni par le temps ni par l'espace.
Il est un être dont l'essence ne dépend pas des contingences temporelles, ni des conditions spatiales. Son essence n'éprouve aucun besoin ni nécessité. Il connaît ce qui est manifeste dans le monde et ce qui y est caché.
Tout est uniformément apparent pour lui. Il est la perfection même au - dessus de laquelle n'existe aucune autre perfection. Il est au - dessus de tout ce que l'esprit humain peut concevoir. Et s'il nous est possible d'appréhender son essence, c'est à cause de l'insuffisance qui nous caractérise, ainsi que nos instruments et autres moyens de la connaissance.
Pour la même raison, si vous examiniez tous les livres des sciences expérimentales, il n'y sera pas fait mention du moindre cas d'expérience relative à l'existence de Dieu, ni de jugement sur lui.
Et si en outre, nous considérons les sens comme le seul moyen d'investigation de la réalité, il faut noter qu'en s'appuyant sur eux, on ne peut pas démontrer si rien n'existe hormis le monde sensible.
Une telle assertion n'est pas expérimentale puisqu'elle ne résulte d'aucun argument sensible.
Si nous supposons que les partisans des doctrines religieuses n'avaient aucun argument pour étayer leurs professions de foi, le point de vue niant l'existence d'un monde suprasensible est lui aussi un point de vue arbitraire, reposant sur l'imagination et l'illusion.
Une telle négation n'est pas digne de la science ni de la philosophie, et contredit même la logique de l'expérimentation.
Dans son ouvrage, Principes élémentaires de la philosophie, Georges Politzer écrit:
"La représentation de quelque chose échappant au temps et à l'espace, et préservé du changement et de la transformation est impossible;."
Il va de soi qu'une telle affirmation reflète un type de pensée qui ne sait pas ce qu'elle cherche, et dans quel but elle oeuvre. Sinon, elle se serait inquiétée de la façon de le chercher. Mais comme le pivot de son activité ne concerne que la nature et le monde sensible, elle perçoit naturellement comme impossible tout ce qui est loin de son domaine d'action et qui ne se prête pas à l'expérience des sens.
Le reconnaître comme possible, lui semble être en contradiction avec la méthode de pensée scientifique.
Alors que, en tenant compte de l'infinité des seules inconnues se rapportant à cette planète et à cette matière inerte palpable avec laquelle il est en rapport constant, le seul droit qu'on puisse reconnaître à un savant naturaliste - quand on sait que le monde matériel lui - même ne se réduit pas à la terre où il habite - est qu'il dise:
"Je me tais, et je ne nie pas"
Comment en effet pourrait-il se permettre de nier quelque chose qui exige la connaissance de tout l'ordre universel, alors qu'en comparaison, son savoir est quasiment nul.
Et quelle preuve avons-nous que l'existence se réduit au monde matériel? Quel savant négateur de la métaphysique a pu jusqu'ici étayer sa négation avec des arguments et de la logique, et fournir la preuve qu'au delà du monde sensible il n'y a que le néant pur?
* * *

Bien que la science ne rejette pas catégoriquement toutes les inconnues quand elle réalise que ses moyens sont insuffisants pour les appréhender, et bien qu'elle ne perde pas espoir de les ajouter au domaine du connu, les matérialistes refusent d'évoquer la question de l'existence de Dieu, même sous la forme d'un doute.
Avec leurs préjugés erronés et hâtifs, ils demeurent dans leur position de négation d'un créateur.
Ils ont donné leurs propres critères, mais refusent de s'en servir dans certains cas. Ils n'autorisent pas par exemple que l'on utilise le critère de la surface à propos du volume. Mais quand ils en viennent à l'évaluation du monde suprasensible, ils veulent soumettre Dieu, l'âme et l'inspiration céleste aux mêmes moyens et critères matériels; et quand ils se rendent compte de l'impossibilité de leur entreprise, ils décident carrément de les nier.
Cela étant, si quelqu'un se limitant à sa logique expérimentale veut admettre de l'existence cette part que lui permettent ses expériences sensible, et nie l'existence d'un monde extra - physique, il devra reconnaître qu'il s'agit là d'une voie qu'il s'est choisie lui - même, et non d'un résultat dicté par les enquêtes et les expérimentations scientifiques.
Ce pseudo - intellectualisme procède d'une sorte d'indiscipline mentale, et de rebellion contre les règles de la nature primordiale.
Les croyants ne considèrent pas comme Dieu, celui dont les savants démontreraient l'existence par des instruments naturels. Et les sciences de la matière sont encore impuissantes à remporter un tel succès.
"La logique démontre l'existence de Dieu, et ne peut la nier. Il se peut que comme par le passé, certains continuent de nier l'existence du Créateur, mais personne ne pourra étayer sa position par des arguments rationnels. Et s'il existe une preuve rationnelle pour nier ou douter de l'existence d'une chose il faut la nier ou en douter.
Pour ma part, jusqu'à ce jour, je n'ai rencontré personne, tout au long de mes recherches, qui ait eu une preuve correcte pour nier Dieu.
Par contre, j'ai vu un nombre incalculable d'arguments acceptables par la raison et démontrant l'existence de Dieu."16

sommaire du livre que l'on pourra lire en ligne sur : http://www.musavilari.org/display/text_book.php?file_name=../html/05/book/06/index.htm

Dieu et Ses Attributsv
Table des Matieres
Avant Propos

Première Partie LA CONNAISSANCE DE DIEU


Chapitre I


Le phénomène religieux et l'origine du sentiment religieux

Chapitre II

L'idée de Dieu profondèment ancrée en l'homme

Chapitre III

Dieu et la méthode expérimentale

Chapitre IV

Dieu n'est pas le seul "invisible"

Chapitre V

Le principe de la causalité

Chapitre VI

Primauté de la vie

Chapitre VII

Les manifestations de Dieu dans la nature

Chapitre VIII

Une solidarité mutuelle

Chapitre IX

Un phénomène médical digne d'éloge

Chapitre X

La finesse des oeuvres de la nature

Chapitre XI

Le principe premier est sans cause

Chapitre XII

L'être dépendant a besoin d'une cause

Chapitre XIII

La chaîne de causalité... à l'infini

Chapitre XIV

La réponse de la science à la pré-éternité du monde

Chapitre XV

Limites et incapacités de L'homme

Chapitre XVI

La mystification par la science

Chapitre XVII

Les raisons de la mécréance et de l'athéisme

Deuxième Partie LES ATTRIBUTS ET LES PARTICULARITES DU CREATEUR

Chapitre I

Comment le Coran fait connaître Dieu?

Chapitre II

Qui est digne d'adoration?

Chapitre III

L'invocation, expression de la gratitude des hommes

Chapitre IV

Des attributs exclusifs

Chapitre V

L'unité divine

Chapitre VI

La puissance infinie de Dieu

Chapitre VII

La connaissance infinie de Dieu

Troisième Partie LA VASTE JUSTICE DE DIEU

Chapitre I

Opinions sur la justice de Dieu

Chapitre II

Une analyse du malheur et des difficultés de la vie

Chapitre III

Les épreuves dures, une cause de réveil

Chapitre IV

Quelques aspects de l'inégalité

Quatrième Partie LIBRE ARBITE ET DÉTERMINISME

Chapitre I


Une vue générale du
problème


Chapitre II


Le Déterminisme


Chapitre III

Le Libre Arbitre

Chapitre IV

L'Ecole Médiane

Cinquième Partie LA PRÉDESTINATION ET LA FATALITE

Chapitre I


Vingtième lecon Les formes de la volonté de Dieu


Chapitre II



Une interprétation erronée de la prédestination



Wa Salaam
 
salâm,

3369870454_ef3137c4d1.jpg

Salâm salâm,

Cher frère Mohalamine,

Personnellement, je te félicite pleinement pour nous avoir transmis ses précieux liens.

A bientôt ton ami sam.
 
Repères hérméneutiques - Chemins Cathares

La Logique


La logique est une méthode dont le but est à la fois d’ordonner ses pensées de manière à découvrir la vérité quand on l’ignore et la démontrer aux autres quand on la connaît déjà. La logique est un discours dont la signification répond à des lois. Les lois de la pensée sont d’abord les lois du langage qui se manifestent par le lexique et la syntaxe. C’est ainsi que l’expérience est mise en forme et que le monde prend sens. Cependant, la logique reste relative à la langue dont elle épouse les caractères.


 
Au sujet de la monnaie


Salam



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