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Salafisme, wahabisme, sous le couvert du TAWHID

Kumayl

New member
Salam,


Non, vous ne revez pas...

En effet, nos Savants Wahhabites n'arretent pas de nous étonner tous les jours. Leur Dernier Scoop est une Fatwa, concernant l'Acces de la Femme à L'internet.. Cette Fatwa est emise par deux de leurs Savants Actuels tres réputés et respectés chez eux: Shaykh Al-Khamiss et Al-Ghamidi.

Le texte original se trouve sur : http://www.alqabas.com.kw/research_details.php?id=7589


فتوى جديدة: لا انترنت للمرأة إلا مع محرم!

الرياض ـ ايلاف:
أصدر الشيخان السعوديان عثمان الخميس وسعد الغامدي فتوى تحرم الانترنت على المرأة «بسبب خبث طويتها». واضافت الفتوى «لا يجوز للمرأة فتح الانترنت الا بحضور محرم مدرك لعهر المرأة ومكرها»!



En résumé:

Les Deux Shaykh Saoudiens Othman Al-Khamiss et Sa'ad Al-Ghamidi ont emis une Fatwa Interdisant à la femme l'acces à l'Internet "à cause de son Vice" !! et la Fatwa precise que: " Il n'est pas permis à la femme, à cause de son Vice et Malice ( naturels car presents en elle) d'acceder à l'internet sauf en Presence de son Mahram ( Mari, Pere, etc..)!!

Decidement!!

On pense à chaque fois avoir tt vu chez les Wahhabites, mais apparament...!!

A Suivre..
 
Kumayl a dit:
Salam,


Non, vous ne revez pas...

En effet, nos Savants Wahhabites n'arretent pas de nous étonner tous les jours. Leur Dernier Scoop est une Fatwa, concernant l'Acces de la Femme à L'internet.. Cette Fatwa est emise par deux de leurs Savants Actuels tres réputés et respectés chez eux: Shaykh Al-Khamiss et Al-Ghamidi.

Le texte original se trouve sur : http://www.alqabas.com.kw/research_details.php?id=7589


فتوى جديدة: لا انترنت للمرأة إلا مع محرم!

الرياض ـ ايلاف:
أصدر الشيخان السعوديان عثمان الخميس وسعد الغامدي فتوى تحرم الانترنت على المرأة «بسبب خبث طويتها». واضافت الفتوى «لا يجوز للمرأة فتح الانترنت الا بحضور محرم مدرك لعهر المرأة ومكرها»!



En résumé:

Les Deux Shaykh Saoudiens Othman Al-Khamiss et Sa'ad Al-Ghamidi ont emis une Fatwa Interdisant à la femme l'acces à l'Internet "à cause de son Vice" !! et la Fatwa precise que: " Il n'est pas permis à la femme, à cause de son Vice et Malice ( naturels car presents en elle) d'acceder à l'internet sauf en Presence de son Mahram ( Mari, Pere, etc..)!!

Decidement!!

On pense à chaque fois avoir tt vu chez les Wahhabites, mais apparament...!!

A Suivre..

Mdr... :icon_lol:

"...Il n'est pas permis à la femme (d'aller sur Internet), à cause de son Vice et Malice...", "...le mari peut frapper sa femme si elle obéit pas...", "... (mais) attention de ne pas casser ces os ...", "Et moi je dis personnellement que je ne vois pas d’interdiction pour que l’allaitement (de l'adulte) soit fait d’une manière directe par le Téton !!"...

Les néo-salafistes, dignes représentants, promus au Paradis, de la religion authentique ont une bien belle opinion rehaussée de la femme !!! :icon_roll
 
Salam,


aboumoussab a dit:
Mdr... :icon_lol:

"...Il n'est pas permis à la femme (d'aller sur Internet), à cause de son Vice et Malice...", "...le mari peut frapper sa femme si elle obéit pas...", "... (mais) attention de ne pas casser ces os ...", "Et moi je dis personnellement que je ne vois pas d?interdiction pour que l?allaitement (de l'adulte) soit fait d?une manière directe par le Téton !!"...

Les néo-salafistes, dignes représentants, promus au Paradis, de la religion authentique ont une bien belle opinion rehaussée de la femme !!! :icon_roll

Lol :)

Attends un Peu, tu n'as pas encore tt vu !!

J'en ai d'autres du mm Type! Je pense qu'il va falloir qu'on crée un Thread Consacré aux Prouesses des Savants Wahhabites comme: Albani, Ibn Outhaymin, Al-Khamiss...On verra les réponses de ces Savants, tjs à propos de la femme:


1) Un Intervenant a posé la question suivante à Albani: "J'ai vu une femme, de chez nous, avec une Barbe similaire à celle d'un Homme... A t-elle le droit de s'epiler? car ceci l'empechera de trouver un Mari... ....

Vous verrez la Réponse de Albani, Un Regal!

2) Aussi, leur autre Savant Ibn Outhaymin, nous dira si: La femme; a le droit de s'epiler le Corps ( les bras, les jambes), surtout lorsque ses Poils deviennent trop longs.. !!

Je sens que l'On va bien rigoler :)...

A suivre incha Allah!
 
Salam,

Kumayl a dit:
Salam,

Lol :)

Attends un Peu, tu n'as pas encore tt vu !!

J'en ai d'autres du mm Type! Je pense qu'il va falloir qu'on crée un Thread Consacré aux Prouesses des Savants Wahhabites comme: Albani, Ibn Outhaymin, Al-Khamiss...On verra les réponses de ces Savants, tjs à propos de la femme:


1) Un Intervenant a posé la question suivante à Albani: "J'ai vu une femme, de chez nous, avec une Barbe similaire à celle d'un Homme... A t-elle le droit de s'epiler? car ceci l'empechera de trouver un Mari... ....

Vous verrez la Réponse de Albani, Un Regal!

2) Aussi, leur autre Savant Ibn Outhaymin, nous dira si: La femme; a le droit de s'epiler le Corps ( les bras, les jambes), surtout lorsque ses Poils deviennent trop longs.. !!

Je sens que l'On va bien rigoler :)...

A suivre incha Allah!

LOLLLL
 
Preux et Prouesses Neo-Salafites: La Science Dans Ts ses Etats!

Salam,


Je vous ( Tt le monde: Chiites, Sunnites...) Invite à contribuer à ce thread en y Collectant les Prouesses ( de tt genre, fatwa, Idée...) Scientifiques de nos Amis Wahhabites Pseudo-Salafites.

J'invite déja le frere Aboumoussab à vider son Sac, qui est rempli, depuis déja un Moment, des Prouesses de Ibn Baz et Cie :)

A suivre...
 
Assalamou 'alaykoum

Kumayl a dit:
Salam,


Je vous ( Tt le monde: Chiites, Sunnites...) Invite à contribuer à ce thread en y Collectant les Prouesses ( de tt genre, fatwa, Idée...) Scientifiques de nos Amis Wahhabites Pseudo-Salafites.

J'invite déja le frere Aboumoussab à vider son Sac, qui est rempli, depuis déja un Moment, des Prouesses de Ibn Baz et Cie :)

A suivre...

Tu me connais! lol

Mais franchement, rien n'égalera jamais la fameuse fatwa de notre cher ben baz : « La terre est plate, celui qui déclare qu ‘elle est sphérique est un athée méritant une punition. ».

Si quelqu'un pouvait me retrouver la version intégrale arabe, je lui en serais gré. :)
 
Salam,


Apparament, il n'est pas certain que la Fatwa emise plus haut , pourtant raportée par le site du journal Independant Al_Qabas ( Kuwait), a été emise par les deux shaykhs wahhabites en question!

Ceci est tres etonnant, vu que cette fatwa a été reprise et anlaysée sur plusieurs sites (pourtant serieux) et a fait bcp de bruit sur le web:

Exemple: Cet Article Intitulé:Une Femme Ecrit un Livre sur l'Internet apres Son Interdiction à la Femme: أمرأة تؤلف كتابا عن الإنترنت بعد تحريمه علىالمرأة

Ecrit en Mars 2005 sur:

http://www.elaph.com/elaphweb/ElaphLiterature/2005/3/46066.htm

ou; cet article qui détaille cette fawta et le bruit qu'elle a fait:

http://65.75.174.110/~tharaorg/English/arabic/index.php?option=content&task=view&id=2

Et pleins d'autres!

Alors, Par mesure d'honneteté, vu que je suis à l'origine de cette information que j'ai lu sur le site du journal Independant Al_Qabas ( Kuwait), je dois aussi vous dire que des Reserves doivent emises quant à l'origine de cette fawta.

Allahou A'lam!
 
Kumayl a dit:
Salam,


Non, vous ne revez pas...

En effet, nos Savants Wahhabites n'arretent pas de nous étonner tous les jours. Leur Dernier Scoop est une Fatwa, concernant l'Acces de la Femme à L'internet.. Cette Fatwa est emise par deux de leurs Savants Actuels tres réputés et respectés chez eux: Shaykh Al-Khamiss et Al-Ghamidi.

Le texte original se trouve sur : http://www.alqabas.com.kw/research_details.php?id=7589


فتوى جديدة: لا انترنت للمرأة إلا مع محرم!

الرياض ـ ايلاف:
أصدر الشيخان السعوديان عثمان الخميس وسعد الغامدي فتوى تحرم الانترنت على المرأة «بسبب خبث طويتها». واضافت الفتوى «لا يجوز للمرأة فتح الانترنت الا بحضور محرم مدرك لعهر المرأة ومكرها»!



En résumé:

Les Deux Shaykh Saoudiens Othman Al-Khamiss et Sa'ad Al-Ghamidi ont emis une Fatwa Interdisant à la femme l'acces à l'Internet "à cause de son Vice" !! et la Fatwa precise que: " Il n'est pas permis à la femme, à cause de son Vice et Malice ( naturels car presents en elle) d'acceder à l'internet sauf en Presence de son Mahram ( Mari, Pere, etc..)!!

Decidement!!

On pense à chaque fois avoir tt vu chez les Wahhabites, mais apparament...!!

A Suivre..

J'ai la preuve qui abroge ce que vous avancez:

voulez vous la lire?

si oui.

elle est ici : http://almanhaj.net/fatwaa/article.php?ID=222
 
Grace au Nom de Dieu le Tout-Misericordieux,Tres-Misericordieux et que la Priere soit sur notre Prophete et sa Famille Purifiee.

cher frere ,
Salamoun alaycoum wa rahmatoullahi wa barakatouh!


Tout d'abord ,Soyez le bienvenue parmi nous!

Notre frere a deja repondu a cela:

Kumayl a dit:
Salam,


Apparament, il n'est pas certain que la Fatwa emise plus haut , pourtant raportée par le site du journal Independant Al_Qabas ( Kuwait), a été emise par les deux shaykhs wahhabites en question!

Ceci est tres etonnant, vu que cette fatwa a été reprise et anlaysée sur plusieurs sites (pourtant serieux) et a fait bcp de bruit sur le web:

Exemple: Cet Article Intitulé:Une Femme Ecrit un Livre sur l'Internet apres Son Interdiction à la Femme: أمرأة تؤلف كتابا عن الإنترنت بعد تحريمه علىالمرأة

Ecrit en Mars 2005 sur:

http://www.elaph.com/elaphweb/ElaphLiterature/2005/3/46066.htm

ou; cet article qui détaille cette fawta et le bruit qu'elle a fait:

http://65.75.174.110/~tharaorg/English/arabic/index.php?option=content&task=view&id=2

Et pleins d'autres!

Alors, Par mesure d'honneteté, vu que je suis à l'origine de cette information que j'ai lu sur le site du journal Independant Al_Qabas ( Kuwait), je dois aussi vous dire que des Reserves doivent emises quant à l'origine de cette fawta.
Allahou A'lam!
Que Dieu vous garde!
Votre frere abdoreza!
 
yahosein a dit:
J'ai la preuve qui abroge ce que vous avancez:

voulez vous la lire?

si oui.

elle est ici : http://almanhaj.net/fatwaa/article.php?ID=222

Voila, c'est bien la preuve que vs etes un gd habitué du web, et un gd Hypochrite.

Vs avez mm pas pris le temps de lire ce que j'ai déja ecrit plus haut pour dire, par honneteté, que cette fatwa n'est pas, apparament de source sure!

Mais en revanche, vs vs precipitez pour venir "Abroger" ce que j'avance?

Pire, je n'ai rien avancé de ma Personne.

Vous voyez, vs vs etes demasqués tres rapidement.

ET le masque Tomba.
 
Kumayl a dit:
Voila, c'est bien la preuve que vs etes un gd habitué du web, et un gd Hypochrite.

Vs avez mm pas eu le temps de lire que j'ai déja ecrit plus haut un post pour dire, par honneteté, que cette fatwa n'est pas, apparament de source sure!

Vous voyez, vs vs etes demasqués tres rapidement.

ET le masque Tomba.

Il me semble qu'on est sur ce forum pour discuter et échanger des idées en utilisant la logique et non en s'accusant entre nous.

je vous ai déja dis que je connais parfaitement le sunnisme. Cependant, je n'ai connu le shiisme qu'après l'invasion de l'irak. c'est à dire après avoir vu des gens qui font le pélérinage à karbala.

Wassalam.
 
Une décennie de Terrorisme pagano-Wahaby, et sa conséquence: l'Evangélisation

Allahuma Sallai 'ala Seyidina Muhammad wa Aali Muhammad;
Les Kabyles avaient été islamisés superficiellement tout comme tous les peuples des montagnes, en général, les berbères imazighens, mais ils ont très fortement adhéré à l'Unicité d'Allah, et au Message du Coran, mais pourtant ils n'en retinrent que la morale et l'habit, puisque l'habit traditionnel de la femme kabyle, se caractérise par le foulard (thachemiat), et la robe qui cache toutes les parties prohibées à la vue des non autorisés.
Puis avec la défaite des mourabitines, dans l'Ouest Maghrébin, ces derniers vont émigrer vers l'Est, c'est à dire, l'actuelle Algérie, et nombre d'entre eux, vont s'installer en Oranie, et beaucoup trouveront refuge dns les montagnes de Kabylie, vers la fin du XVI siècle.
Ils y seront accueillis trés fraternellement par les Kabyles, qui leur offriront leurs filles pour épouses et des terrains, en contre partie d'une demande pour occuper des postes d'enseignement, de cadhis, de cheikhs de villages.
Comme nombre d'entre ces émigrants venant en majorité du Sud Marocain, beaucoup affirmant venant de Sakiet el Hamra, actuel Sahara occidental, sont en fait des descendants des familles Ahl El Beyt, as, et en particulier de Idriss, le fondateur du Maroc moderne, ces derniers se revendiqueront de la descendance de fatima Ezzahra, as, et à ce titre, ils bénéficieront auprès des Kabyles, de l'aura des Chorafas et de la "Itrat Errassoul, :saws: !

Ils appelleront les Kabyles autochtones, Ekhwali (Nos ONCLES), et ces derniers les appelleront SIDHI ou LALLA, pour leurs filles.
Ils fonderont des écoles coraniques avec internats, (thimaamrin), et ils prodigueront un enseignement pluridisciplinaire, jusqu'à la pénétration de la Kabylie, par les Français après 1870.
Vers 1887, le sinistre cardinal Lavigerie, fondateur des "pères blancs", fera INTERDIRE l'enseignement profane dans ces écoles, et la France laïque ouvrira une école par région, histoire de se former des "auxiliares indigènes", et seuls les Pères blancs, seront autorisés à ouvrir des écoles permettant un enseignement de cycle moyen, pour former une élite moyenne, si possible christianisée, ou au minimum, sensibilisée au Message de Jésus, as !
L'école laïque, ne se développera qu'après la première guerre mondiale, quand la France, souhaitera recevoir une "émigration" pour la reconstruction, mais pour toute la Kabylie, il n' y avait que deux "collèges" de cycle court, jusqu'au BEPC, à Tizi Ouzou, et à Béjaïa, qui en fait accueilleront les fils des colons, et quelques enfants de "caïds", ou de notables, alors que les "Pères blancs" eux ouvriront quelques 6 écoles ou collèges judicieusement répartis, dont les plus célèbres étaient à Beni Yenni, Ouadhias, Azzaga, et trois autres en petite Kabylie dont la région d’Ighil Ali, , tous avec internats et catéchisme OBLIGATOIRE et à trés fort coefficient !
En face, les "thimamrin" seront systématiquement surveillées et les maîtres régulièrement emprisonnés, et bien sûr sans débouchés pour leurs étudiants, qui devront suivre un double enseignement, l'un officiel pour la "croûte", et l'autre pour Allah, financé par la famille ou les "habous" et les biens "wakfs", dits de main morte.

Cependant cet équilibre sera rompu avec la révolution de Novembre, 1954, et tous les anciens élèves des "thimamrins" (zaouiya), deviendront des Commissaires politiques du mouvement national, ou les chefs de la Révolution.

A la fin de la guerre, malheureusement, ces derniers seront les premiers persécutés par le nouveau régime marxisant de Ben Bella, d'abord, puis de Boumediene, ensuite au nom de "l'arabisme baathiste", et enfin de "l'arabisme baathiste" de Chadli, qui lui jouera les "berbéristes athées", contre les "kabyles islamisants".
Puis enfin vint la décennie noire et rouge du sang des civils Algériens, et le nouveau "Pouvoir pustchiste d'Alger", qui a décidé de combattre l'Islam, au nom de la laïcité française et du retour de l'Algérie, dans le giron français, suscitera la création de partis tels le RCD, proche de l'Eglise, tout en se disant "laïque" et berbériste, pour combattre à la fois, la langue arabe, au nom de l'amazighité latinisée, et de la francophonie, cheval de Troie de la réoccupation coloniale.

Ces manoeuvres, machiavéliques, auront pour conséquence de faire perdre leurs repères aux jeunes Kabyles, auxquels les journaux dits "indépendants" (feuilles de propagande du sinistre DRS, comme Le MATIN où s'élaboraient les revendications des crimes du GIA cf. dernier livre de SAS, un ex pseudo journaliste repenti, ), enseigneront la HAINE de la langue arabe, de l'Islam (isme), glissement rapide, mais dans le même temps, le Pouvoir machiavélique, diffusera le rite Wahaby, pour pousser les jeunes à la confrontation, et au terrorisme, pour justifier son état de siège, contre le Peuple !
La Kabylie, jadis terre de résistances, verra la formation des premières "milices" sensées, "terroriser les terroristes, entendez le Peuple".
Mais évidemment les DAF, "généraux caïds maffieux", ne seront pas capables de maîtriser les masses, ils ont mal lu, "Le Prince, de Machiavel", en effet, et la Kabylie, échappera aux manoeuvriers, et se défiera des "politicards francophiles", et des "apparatchics reconvertis dans les appareils nazillons et ethnicises, tels que le RCD", et la rue produira ses propres chefaillons, tandis que la jeunesse, dont les parents sont à 80% émigrés, en France ou dans d'autres contrés de l'Algérie, la Kabylie, étant pauvre et terre d'émigration, organisera des "émeutes", dont le contrôle échappera aux "officiers du DRS", et aux "journalistes émeutiers", et la société se divisera et perdra ses repères.
La Kabylie, fournira les plus forts contingents de candidats à l'émigration, sans retour, et ses enfants trés éloignés du Wahabisme et du néo salafisme, car la société a été islamisée par les descendants des Ahlu El Beyt,as, ne se retrouvera jamais, dans les idéologies "salafo-wahaby", mais comme ces idéologies sont diffusées par les prêches et les enseignants et les manuels scolaires, ils provoqueront un rejet tel que les kabyles, assimileront l'Islam à l'arabe et au Wahabismo-Salafisme, et la nature frondeuse des kabyles, les amèneront à se défier des porte parole de la "vérité unique et indiscutable", et de la "vénération des Compagnons", et du "Hadith"...
Une partie, donc de ces jeunes, se tournera vers la non croyance, tandis qu'une autre partie sombrera par "rejet de l'arabe au motif véhiculé par la Presse francophone et surtout FRANCOPHILE", que c'est la langue "arabe qui a servi de véhicule pour le terrorisme islamiste", et que ce serait la langue arabe qui aurait empêché la promotion des langues amazighes.... oubliant très vite que JAMAIS la langue arabe, n'a constitué un quelconque frein au parler des langues amazighes, qui sont d'ailleurs les témoins vivants de l'ancien arabe coranique et précoranqiue,et qui malheureusement est en train d'être assassinée et dépouillée de ses origines par une pléiade de "linguistes idéologues" de langues "O".....
Mais le revers de la médaille dans tout cet engrenage, c'est que cette perte de mémoire s'accompagne, d'une perte de foi, et d'une dés islamisation rampante, en milieu surtout francophile, et les jeunes désoeuvrés et victimes de l'échec scolaire organisé avec les grèves récurrentes du RCD, pour toutes sortes de motifs aussi spécieux que futiles, conduiront immanquablement au chômage massif, et endémique.
Aussi les jeunes, n'auront pour autre distraction que la télévision, les chaînes aussi bien radio que télévisuelles, catholiques seront plus faciles à capter que la radio ou la télévision nationale, et auront de surcroît l'intelligence de diffuser H24, et en langue KABYLE, non polluée par les "imazighistes" (berbéristes), alors que la radio et la télévision nationale, ne seront intelligibles que pour 5% de la population Kabyle qui auraient pu recevoir des cours de ce BARBARSIME amazighe..... Alors que d'un côté la propagande du Vatican pénètre en direct les foyers, dans un langage clair et compréhensible par la vieille Kabyle, de l’autre côté, les médias nationaux, ne parlent que de "terrorisme islamique", et dans un langage supposé être amazighe, mais incompréhensible, pendant que la PUA, presse bouffonne et terroriste, assène que l'Islam est "intégriste, terroriste", et synonyme de "l'Algérie qui recule opposée à l'Algérie qui avance, celle de la laïcité athée, évidemment.

Le résultat le voici !!

Allahuma Sallai 'ala Seyidina Muhammad wa Aali Muhammad;

Voyez comment la Kabylie, livrée un temps aux "miliciens", s'est transformée, en "région OUVERTE" , à la christianisation !
Cette même Kabylie qui avait pourtant RESISTE à la pénétration française et à la christianisation FORCEE des pères blancs du SINISTRE LAVIGERIE !!!

Où sont donc, les Kabyles musulmans, ces fières moudjahiddines ?

http://www.newpressphoto.com/ar/report3/index.htm

7.jpg


1.jpg

زواج الجزائريين المسيحيين

منذ مدة والعديد من الجزائريين يتنصّرون، تيزي وزو تبقى في مقدمة المناطق التي تشهد تزايد الظاهرة، بواضية بالقبائل الكبرى، أين بنيت كنائس هناك. العديد من الرهبان يكونون قد مروا من هناك للقيام بخطب، كان أخرهم الراهب فليب مارتينز.


15 :مجموع الصور
2001 / 04 / 21 تاريخ الروبورتاج
صور: نيو براس




Voyez comment la Kabylie, livrée un temps aux "miliciens", s'est transformée, en "région OUVERTE" , à la christianisation !
Cette même Kabylie qui avait pourtant RESISTE à la pénétration française et à la christianisation FORCEE des pères blancs du SINISTRE LAVIGERIE !!!

Où sont donc, les Kabyles musulmans, ces fières moudjahiddines ?

http://www.newpressphoto.com/ar/report3/index.htm

7.jpg


1.jpg

زواج الجزائريين المسيحيين

منذ مدة والعديد من الجزائريين يتنصّرون، تيزي وزو تبقى في مقدمة المناطق التي تشهد تزايد الظاهرة، بواضية بالقبائل الكبرى، أين بنيت كنائس هناك. العديد من الرهبان يكونون قد مروا من هناك للقيام بخطب، كان أخرهم الراهب فليب مارتينز.


15 :مجموع الصور
2001 / 04 / 21 تاريخ الروبورتاج
صور: نيو براس
 
Fitna Of The Salafi Conspirators Against Islam

salam alikoum mes freres et soeurs

qui pourrait traduire ce texte en anglais tres intéressant:
How British imperialist the enemy of Islam made Saudi Arabia of Wahhabi Muslims - Salafis against the House of Prophet Muhammed s.a.w. who are the roots of Islam and his followers Shia of Ali ibn Abi Talib Nineteenth-Century ArabiaSaudi Arabia Table of Contents
The modern history of Arabia is often broken into three periods that follow the fortunes of the Al Saud. The first begins with the alliance between Muhammad ibn Saud and Muhammad ibn Abd al Wahhab and ends with the capture of Abd Allah. The second period extends from this point to the rise of the second Abd al Aziz ibn Saud, the founder of the modern state; the third consists of the establishment and present history of the Kingdom of Saudi Arabia.
In the Egyptians' attempt to establish control over the peninsula, Muhammad Ali removed members of the Al Saud from the area. Following orders from the Ottoman sultan, he sent Abd Allah to Istanbul--where he was publicly beheaded--and forced other members of the family to leave the country. A few prominent members of the Al Saud found their way to Egypt.
The Egyptians turned next to the material monument of the Al Saud rule, the city of Ad Diriyah. They razed its walls and buildings and destroyed its palm groves so that the area could not support any agricultural settlement for some time. The Egyptians then sent troops to strategic parts of the peninsula to tighten their grip on it. They garrisoned Al Qatif, a port on the Persian Gulf that supplied some of the important centers in eastern Arabia and maintained various forces along the Red Sea coast in the west.
In the Hijaz, Muhammad Ali restored the authority of the Sharifs, who had ruled the area from Mecca since the tenth century. However, Turki ibn Abd Allah, the uncle of the next-to- last ruler (Saud), upset Egyptian efforts to exercise authority in the area. Turki had fought at Ad Diriyah, but managed to escape the Egyptians when the town fell in 1818. He hid for two years among loyal forces to the south, and after a few unsuccessful attempts, recaptured Ad Diriyah in 1821. From the ruins of Ad Diriyah, Turki proceeded to Riyadh, another Najdi city. This eventually became the new Al Saud base. Forces under Turki's control reclaimed the rest of Najd in 1824.
Turki's relatively swift retaking of Najd showed the extent to which the Al Saud-Wahhabi authority had been established in the area over the previous fifty years. The successes of the Wahhabi forces had done much to promote tribal loyalty to the Al Saud. But the Wahhabi principles of the Al Saud rule were equally compelling. After Muhammad ibn al Wahhab's death in 1792, the leader of Al Saud assumed the title of imam. Thus, Al Saud leaders were recognized not just as shaykhs or leaders, but as Wahhabi imams, political and religious figures whose rule had an element of religious authority.
Turki and his successors ruled from Riyadh over a wide area. They controlled the region to the north and south of Najd and exerted considerable influence along the western coast of the Persian Gulf. This was no state but a large sphere of influence that the Al Saud held together with a combination of treaties and delegated authority. In the Shammar Mountains to the north, for instance, the Al Saud supported the rule of Abd Allah ibn Rashid with whom Turki maintained a close alliance. Later, Turki's son Faisal cemented this alliance by marrying his son, Talal, to Abd Allah's daughter, Nurah. Although this family-to-family connection worked well, the Al Saud preferred to rely in the east on appointed leaders to rule on their behalf. In other areas, they were content to establish treaties under the terms of which tribes agreed to defend the family's interests or to refrain from attacking the Al Saud when the opportunity arose.
Within their sphere of influence, the Al Saud could levy troops for military campaigns from the towns and tribes under their control. Although these campaigns were mostly police actions against recalcitrant tribes, the rulers described them as holy wars (jihad), which they conducted according to religious principles. The tribute that the Al Saud demanded from those under their control was also based on Islamic principles. Towns, for instance, paid taxes at a rate established by Muslim law, and the troops that accompanied the Al Saud on raiding expeditions returned one-fifth of their booty to the Al Saud treasury according to sharia (Muslim Law) requirements.
The collection of tribute was another indication of the extensive influence the Al Saud derived because of their Wahhabi connections. Wahhabi religious ideas had spread through the central part of the Arabian Peninsula; as a result, the Al Saud influenced decisions even in areas not under their control, such as succession battles and questions of tribute. Their influence in the Hijaz, however, remained restricted. Not only were the Egyptians and Ottomans careful that the region not slip away again, but Wahhabi ideas had not found a receptive audience in western Arabia. Accordingly, the family was unable to gain a foothold in the Hijaz during the nineteenth century.
The Al Saud maintained authority in Arabia by controlling several factors. First, they could resist, or at least accommodate, Egyptian interference. After 1824 when the Egyptians could no longer maintain outright military control over Arabia, they turned to political intrigues. Turki, for instance, was assassinated in 1834 by a member of the Al Saud who had recently returned from Cairo. When Turki's son, Faisal, succeeded his father, the Egyptians supported a rival member of the family, Khalid ibn Saud, and with Egyptian assistance Khalid controlled Najd for the next four years.
Muhammad Ali and the Egyptians were severely weakened after the British and French defeated their fleet off the coast of Greece in 1827. This prevented the Egyptians from exerting much influence in Arabia, but it left the Al Saud with the problem of the Ottomans, whose ultimate authority Turki eventually acknowledged. The challenge to the sultan had helped end the first Al Saud empire in 1818, so later rulers chose to accommodate the Ottomans as much as they could. The Al Saud eventually became of considerable financial importance to the Ottomans because they collected tribute from the rich trading state of Oman and forwarded much of this to the Sharifs in Mecca, who relayed it to the sultan. In return the Ottomans recognized the Al Saud authority and left them alone for the most part.
The Ottomans, however, sometimes tried to expand their influence by supporting renegade members of the Al Saud. When Faisal's two sons, Abd Allah and Saud, vied to take over the empire from their father, Abd Allah enlisted the aid of the Ottoman governor in Iraq, who used the opportunity to take Al Qatif and Al Hufuf in eastern Arabia. The Ottomans were eventually driven out, but until the time of Abd al Aziz they continued to look for a relationship with the Al Saud that they could exploit.
One of the reasons the Ottomans were unsuccessful was the growing British interest in Arabia. The British government in India considered the Persian Gulf to be its western flank and so became increasingly involved with the piracy of the Arab tribes on the eastern coast. The British were also anxious about potentially hostile Ottoman influence in an area so close to India and the Suez Canal. As a result, the British came into increasing contact with the Al Saud. As Wahhabi leaders, the Al Saud could exert some control over the tribes on the gulf coast, and they were simultaneously involved with the Ottomans. During this period, the Al Saud leaders began to play off the Ottomans and British against each other.
Whereas the Al Saud were largely successful in handling the two great powers in the Persian Gulf, they did not do so well in managing their family affairs. The killing of Turki in 1834 touched off a long period of fighting. Turki's son, Faisal, held power until he was expelled from Riyadh by Khalid and his Egyptian supporters. Then, Abd Allah ibn Thunayan (from yet another branch of the Al Saud) seized Riyadh. He could maintain power only briefly, however, because Faisal, who had been taken to Cairo and then escaped, retook the city in 1845.
Faisal ruled until 1865, lending some stability to Arabia. Upon his death, however, fighting started again, and his three sons, Abd Allah, Abd ar Rahman, and Saud--as well as some of Saud's sons--each held Riyadh on separate occasions. The political structure of Arabia was such that each leader had to win the support of various tribes and towns to conduct a campaign. In this way, alliances were constantly formed and reformed, and the more often this occurred, the more unstable the situation became.
This instability accelerated the decline of the Al Saud after the death of Faisal. While the Al Saud was bickering, however, the family of Muhammad ibn Rashid, who controlled the area around the Shammar Mountains, had been gaining strength and expanding its influence in northern Najd. In 1890 Muhammad ibn Rashid, the grandson of the leader with whom Turki had first made an alliance, was in a position to enhance his own power. He removed the sons of Saud ibn Faisal from Riyadh and returned it to the nominal control of their uncle, Abd ar Rahman. Muhammad put effective control of the city, however, into the hands of his own garrison commander, Salim ibn Subhan. When Abd ar Rahman attempted to exert real authority, he was driven out of Riyadh. Thus, the Al Saud, along with the young Abd al Aziz, were obliged to take refuge with the amir of Kuwait.
 
salam aleykoum,

Je suis dans la disponibilite de traduire ce texte incha Allah pour demain soir apres mes sessions d'examens incha Allah.

Allah Hafiz
 
Salam aleykoum,

La situation est identique au Maroc ou l'evangelisation a lieu dans les universites

Allah Mousta3ane
 
Houssein_Nadim a dit:
Salam aleykoum,

La situation est identique au Maroc ou l'evangelisation a lieu dans les universites

Allah Mousta3ane

Salamou Alaykoum Warahmatou ALLAH Wabarakatou


Et tout cela sous les yeux des gouvernements.


je suis en colère.:icon_evil


ALLAHOU Almoustaane



Wassalam





.
 
Salam,
J'ai fait une traduction du texte. C'est une traduction personelle, so je ne guarantie rien:)

L’histoire moderne de l’Arabie est souvent découpée en 3 périodes reliées à la famille Al Saud.
La première période commence avec l’alliance entre Muhammad ibn Saud et Muhammad ibn Abd al Wahhab et se termine avec la capture de Abd Allah.
La deuxième période va de la capture de Abd Allah à l’émergence du second Abd al Aziz ibn Saud, le fondateur de l’état actuel.
La troisième période consiste en l’établissement et l’histoire présente du royaume d’Arabie Saoudite.

Dans la tentative égyptienne de s’emparer du contrôle de la péninsule arabique, Muhammad Ali retira les membres de la famille Al Saud de la péninsule. Suivant les ordres du sultan Ottoman, il envoya Abd Allah a Istanbul – ou il fut publiquement décapite – et força les autres membres de la famille a quitter le pays. Quelques membres importants de la famille allèrent en Egypte.
Les Egyptiens se sont ensuite pris aux aspects matériels des Al Saud, la ville de Ad Diriyah. Ils rasèrent ses murs et ses immeubles et détruirent les palmiers afin qu’aucune activité agriculturale ne puisse être entreprises dans la région pendant une certaine période. Les égyptiens envoyèrent ensuite des troupes dans la péninsule afin de mieux renforcer leur présence, notamment a Al Qatif, un port sur le golf persique qui desserve quelques uns des centres les plus importants dans l’est de l’Arabie, et maintenerent aussi des forces le long des cotes de la mer Rouge a l’Ouest.

Dans le Hijaz, Mohammad Ali restaura l’autorité des Sharif, qui avaient gouvernes la région a partir de la Mecque depuis le 10ieme siècle. Cependant, Turki ibn Abd Allah, contraria les efforts égyptiens de contrôler la région. Il combattu a Ad Diriyah et parvint a s’échapper des Egyptiens quand la ville tomba en 1818. Il se cacha pendant 2 ans parmi des forces loyales a lui dans le sud, et après plusieurs tentatives, repris le contrôle de Ad Diriyah en 1821. De Ad Diriyah, il s’en alla jusqu à Riyad, une autre ville Najdi qui devint la nouvelle base des Al Saud. Les forces de Turki reprirent le contrôle du reste de Najd en 1824.

La reprise de Najd par Turki montre la force avec laquelle l’autorité des Wahhab-Al Saud avait était établie dans la région les 50 dernières années. Le succès des wahhabites avait joue un rôle primordial pour promouvoir la loyauté tribale au Saud. Apres le décès de Muhammad ibn al Wahhab en 1792, le leaders des Al Saud assuma le titre de Imam. Ainsi, les dirigeants Al Saud étaient reconnus non seulement en tant que cheikh ou dirigeants, mais aussi en tant que imam Wahhabite, figures religieuses et politiques qui disposaient d’une autorité religieuse.

L’influence de Turki et de ses successeurs s’étendait de Riyad à un vaste espace. Ils contrôlaient la région du Nord au sud de Najd et exerçaient une influence considérable le long de la cote ouest du golf persique. Ceci n’était pas un état mais une large sphère d’influence que les Al Saud contrôlaient avec une combinaison de traités et de délégation de pouvoir. Dans les montagnes de Shammar dans le nord par exemple, les Al Saud supportaient Abd Allah ibn Rachid avec qui Turki avait maintenu une forte alliance. Plus tard, le fils de Turki, Faisal, consolida cette alliance en mariant son fils, Talal, à la fille de Abd Allah, Nurah. Bien que cette alliance familiale marcha bien, les Al Saud prefererent nommés des dirigeants a l’est pour gouverner en leur nom. Dans d’autres régions, ils devaient se contenter de passer des traités dans lesquels les tribues acceptèrent de defendre les intérêts des Saud.

A l’intérieur de leur sphère d’influence, les Saud pouvaient lever des troupes pour des compagnes militaires à partir des villes et des tribues sous leur contrôle. Bien que ses campagnes militaires étaient plustot diriges contre les tribues qui ne voulaient pas accepter le pouvoir des Saud, ces guerres étaient décrites comme des guerres saintes ou jihad, qui étaient menés selon des principes religieux. Les tribus que les Al Saud demandaient, étaient basés sur des principes islamiques. Par exemple, les villes devaient payer des taxes a un taux établit selon la loi musulmane, et les troupes qui accompagnés les Al Saud dans les expéditions devaient retourner 1/5 de leur butin aux Al Saud selon la sharia.

La collecte des tribus étaient une autre indication des pratiques que les Al Saud prenaient de l’influence wahhabite. Les idées religieuses wahhabites s’étaient étendues le long de la partie centrale de la péninsule arabique. Comme conséquence, l’influence des Saud se faisaient même dans les régions qui n’étaient pas sous leur contrôle, comme dans les batailles de succession ou dans les tribus payés. Leur influence dans le Hijaz, cependant, restait restreinte. Non seulement les Egyptiens et les Ottomans faisaient attention a ce que la région ne leur échappe pas, mais aussi les concepts wahhabites n’avaient pas trouve audience dans l’ouest arabique. En conséquence, la famille al Saud était incapable d’avoir une emprise dans le Hijaz au 19ieme siècle.

Les Al Saud maintenaient une autorité en Arabie en contrôlant plusieurs facteurs. Premièrement, ils pouvaient résister à l’interférence égyptienne. Apres 1824, lorsque les Egyptiens ne pouvaient plus maintenir une présence militaire en Arabie, ils commencèrent les intrigues politiques. Turki, par exemple, fut assassine en 1834 par un membre de la famille Al Saud qui revenait du Caire en Egypte. Quand le fils de Turki, Faisal, succéda a son père, les Egyptiens supportèrent un membre rival de la famille, Khalid ibn Saud, et avec l’aide égyptienne, Khalid contrôla Najd pendant les 4 années qui suivirent.

Muhammad Ali et les Egyptiens étaient très affaiblis après que les Français et les Anglais éliminèrent leur flotte sur les cotes grecs en 1827. Ceci empêcha les égyptiens d’exercer une plus grande influence en Arabie, mais ne résolu pas le problème Ottoman pour les Saud. Les Saud devinrent une force d’importance financière pour les Ottomans parce qu’ils récoltaient des tribus du riche état d’Oman dont ils envoyaient la grande partie aux Sharifs à la Mecque, qui ensuite envoyait tout ça au Sultan Ottoman. En change, les Ottoman reconnurent l’autorité des Al Saud et les laissèrent en paix pour la plus part.
Les Ottomans, cependant, essayèrent parfois d’étendre leur influence en supportant des membres renegade aux Al Saud. Quand les 2 garçons de Faical, Abd Allah et Saud, luttèrent pour s’emparer de l’empire de leur père, Abd Allah demanda l’aide du gouverneur Ottoman en Irak, qui profita de l’opportunité pour prendre les villes de Al Qatif et Al Hufuf dans l’est arabique. Les Ottomans furent éventuellement repoussés, mais jusqu'à la période de Abd al Aziz, ils continuèrent à chercher une entente avec les Saud qu’ils puissent exploiter.

L’une des raisons pour lesquelles les Ottomans n’étaient pas victorieux était l’intérêt grandissant des Britanniques pour l’Arabie. Le gouvernement Britannique en Inde considérait le golf persique comme étant son flanc ouest et ainsi devint actif dans la piraterie des tribues arabes des cotes Est. Les britanniques étaient aussi anxieux quant à l’influence hostile ottomane sur une région aussi proche de l’Inde et du canal de Suez. Ainsi, les Britanniques entrèrent en contact avec les Al Saud. En tant que leader wahhabite, les Al Saud pouvaient exercer une influence sur les tribues des cotes du golf et étaient simultanément impliqués avec les Ottomans. Durant cette période, les dirigeants Al Saud commencèrent à semer la zizanie entre les Ottomans et les britanniques.

Alors que les Saud avaient largement réussi à manipuler les 2 grandes puissances dans le golf persique, ils n’avaient pas fait aussi bien dans la gérance des affaires internes de la famille. Le meurtre de Turki en 1834 fit débuter une longue période de combat. Faisal, le fils de Turki, conserva le pouvoir jusqu à ce qu’il fut expulse de Riyad par Khalid et ses supporteurs égyptiens. Ensuite, Abd Allah ibn Thunayan (une autre branche des Al Saud) s’empara de Riyad. Il ne prit le pouvoir que brièvement parce que Faical, qui avait était emmené au Caire, réussit a s’échapper et a reprendre Riyad en 1845.

Faical gouverna jusqu’en 1865, donnant un peu de stabilité à l’Arabie. Apres sa mort, cependant, les combats reprirent, et ses 3 enfants, Abd Allah – Abd ar Rahman – et Saud, ainsi que quelques uns des enfants de Saud, prirent chacun le contrôle de Riyad a des occasions distinctes. La structure politique de l’Arabie était ainsi faite que chaque leader devait gagner le support de différentes tribues et villes pour mener une campagne. De cette façon, des alliances étaient souvent formées et reformées, et le plus souvent il y en avait, le plus instable était la situation.

L’instabilité accéléra le déclin des Al Saud après la mort de Faical. Pendant que les Saud se chamaillaient, la famille de Mohammad ibn Rashid, qui controllait la région autour des montagnes de Shammar, gagna de la force et étendit son influence au nord de Najd. En 1890, Muhammad ibn Rashid, le petit fils du leader avec qui Turki avait fait alliance, était en position d’augmenter son propre pouvoir. Il enleva les fils de Saud ibn Faical de Riyad et rendit la ville à leur oncle Abd ar Rahman. Muhammad donna cependant le control de la ville aux mains de son propre comandant de garnison, Salim ibn Subhan. Quand Abd ar Rahman essaya d’exercer son autorité, il fut conduit en dehors de Riyad. Ainsi, les Al Saud accompagne du jeune Abd al Aziz, furent oblige de prendre refuge chez l’émir du Koweit.
 
Assalamou 'alaykoum

Que Dieu vous bénisse cher frère. Un grand merci pour la traduction. :)
 

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