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Que penser de Ahmadinejad ?

Que penser vous du début de la réélection de Ahmadinejad ?

  • Tout ou presque tout est correct

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  • Beaucoup de choses incorrectes, c'est très dommage

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Salam Hassan

J'espère que tu vas bien.

Avez-vous lu les livres et articles de l’ayatollah Montazari pour affirmer qu’il n’aurait pas critiqué la wilayat al-Faqih à cette époque ? En fait, savez vous qu’il en a été en quelque sorte le théoricien ? Ses critiques, savez vous sur quoi elles se portent ou simplement avez-vous entendu des rumeurs à son encontre ?

Layâlî, je dois vous répondre que si ,oui ! l’Ayatollah Montazari a critiqué le gouvernement et le pouvoir de la wilayat al-Faqih en public et ce, du vivant de l’Imam Khomeyni (q.s) car son approche n’était pas identique.

Est-ce que tu pourrais me donner son avis là-dessus sur la wilaya al-faqih, s'il te plaît ? Merci.

Wa salam
 
Salâm wa Rahmah cher ‘Azedine,


Je vais bien walillâh al-Hamd, et toi frèro comment tu vas ?

Tu sais, je voudrai bien te répondre avec grand plaisir mais j’ai juste donné l’exemple de l’Ayatollah al-Udhmah Montazéri tout simplement parce qu’il a été évoqué et diabolisé par beaucoup injustement.

Je suis tombé un peu par hasard y’a longtemps de cela sur quelques critiques de grands savants et intellectuels religieux de renoms (qui en valent la peine d’être lu et étudier pour ceux que ça intéresse) sans pour autant approfondir la question mais pas celui du Marjé’ Montazéri.

Si tu veux je chercherai pour toi les écrits de Montazéri et je te dirai quoi par MP.


Paix et Miséricorde.
 
786-92-110

Tout cela nous amène de gré ou de force à une sorte de dialogue de sourds. conteste t -on les résultats des élections du 12 juin 2009 en Iran à cause de la marja'iyyat de Sayyed Ali Hussein Khamenei ? auquel cas il faut être clair là dessus et mettre de côté la soit disante FRAUDE ELECTORALE. Sur shiachat.com il y a eu un débat sur la question un an plutôt , d'après ce que j'ai lu des intervenants, c'est une vaine polémique des détracteurs de LA PERSONNE MEME du WALI AMR en l'occurence Sayyed Ali khamenei, bon on pourra conjecturer à n'en plus finir que ses détracteurs ne changeront pas d'avis de sitôt, de même que sa Marja'iyyat ne sera pas remise aussi en question à cause des avis et opinions de Montazeri ou de Sanei et Rafsanjani.

A l'instar de la Soeur Layùali, Un Sheikh iranien que j'ai beacoup apprecié pour son savoir a fait une grimace qui m'est resté en travers de la gorge à propos de la marjaeyya de Sayyed Mohammad Hussein Fadhlullah ! ( comme à mon habitude, je suis toujours attiré par ce qui est "mauvais" donc je suivrai Fadhlullah insha Allah :cool:) Ces querelles bizantines ont quoi à y voir avec les élections en Iran qu'on qualifie de fraduleuses ??? ces tours de passe-passe ne sont ils pas une hypocrisie manifeste ??? S'il faut contester la Wilayat ou la marja'iyyat de l'ayatollah sayyed Ali Hussein khamenei, ils ont d'autres voies juridiques. Et si Le frère Hassan estime que Khomeyni s'est interrompu sur le tafsir de la sourate Al fatiha à cause des pressions de certains marja's pourquoi Montazeri ne suivrait il pas cette voie de la retenue ??? à savoir dire ce qu'il a à dire quitte à le coucher sur du papier sous forme de mémoire ou dans le cas extrême, UNE FATWA AUTORITAIRE et laisser ses muqallids et le rese du monde chiite apprécier son avis !!! a -t - il le droit d'imposer ses points de vues ??? La critique saine, positive et constructive porte toujours ses fruits, peu importe le temps que cela prendra, Montazeri est il si pressé qu'il veut voir aboutir ses idées de son vivant ???

Peut être que je ne comprends pas grands chose à ces histoires inextricables et trop complexes à démeler, mais là c'est vraiment un dialogue de sourds, de la transparence d'une élection qualifiée de frauduleuse à la marjai'yyat de Khamenei en passant par la Wilayat al faqih !!! j'avoue que je suis complètement perdu dans ce TOPO ! AHMADINEJAD à quoi à y voir avec tout ça ??? est il aussi un Mujtahid, un Ayatollah que sais-je encore ???

je pense qu'il faut bien circonscrire les thèmes et à ce titre il faudrait peut être suivre l'iniative de la soeur LAYALI qui avait suggéré un Thread spécial pour le débat chiite/chiite. Il y a quelques siècles on ne connaissait que les Sheikhs ( Al saduq) les Mullahs (sadra) et des Aqas ( mahdi puya). Les Ayatollahs et les Marjas sont le fruit de l'évolution et il faut bien s'y faire et s'y résoudre au consensus des Jurisconsultes réputés ( IJMA ). bien sur je ne suis pas un DEMOCRATE adepte de la loi de la Majorité !!! mais le comble c'est que Rafsanjani ressort de l'ornière à la manière de Roger Rabbit ou de Mickey Mouse dans un trou de lièvre ou à rat, d'abord il sort le bout de son nez pour voir la tendance à l'extéreur, ensuite il annonce son allégence complète à la Wilayat Al Faqih de ...sayyed Khamenei !!! ( sur www.presstv.ir)

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Rafsandjani réitère sa totale fidélité au leader de la révolution islamique

« Hashemi Rafsandjani a présenté ses points de vue lors de notre réunion avec lui, et a assuré qu’il entretenait toujours une relation intime avec le commandant de la révolution islamique voire qu’ils ne se sont jamais séparés. Il a également confirmé qu’il est entièrement dévoué au guide suprême de la révolution islamique, et qu’il travaillait sur la publication d’une lettre comprenant les récentes directives du commandant de la révolution islamique. "

Rafsanjani n'a t-il pas usé ses culottes sur les bancs de la Hawza de Qom jusqu'à acquerrir le titre honorable de AYATOLLAH???

Par ailleurs oublie-t-il que Khomeyni n'était pas considéré comme plus savant que sayyed Al khoeiy au moment d'accéder au titre de marji' al taqlid et de Waliy al Amr ??? ce que Khomeyni a peut être démenti avec la suite des événements mais pas au moment de son accession à cette dignité !!!


Je ne finirai pas sans marquer mon outrage de voir certains comme le frère Hassan se définir comme Muqallid de Sayyed Ali khamenei et qui mettent un point d'honneur à souligner que Montazeri est un ayatollah al UDHMA sans en faire de même pour leur soit disant MUJTAHID AL ALAM !!!. ( bien sûr je devrais m'abstenir de citer certains noms sous peine d'émeutes lol !)

Chaque muqallid considèrant son marja comme étant Al UDHMA où voulons nous en venir avec de pareils dénigrements de la notoriété et de la dignité du guide Suprême AYATOLLAH AL UDHMA SAYYED ALI KHAMENEI qui est un Marja connu et reconnu par ses pairs d'aujourdhui ???

lisez plutôt:
pourtant étant moi même moqallid de Seyyed Khamané'i.

ce n'est qu'un seyyed !!! flanqué de beaux attributs joyeux ( comme sa piété... mais il n'est pas un Grand Savant !!!-à Dieu ne plaise-)

Par là, il (comme beaucoup d'autres d'ailleurs) gâche l'image de Seyyed Khamané'i , un grand modèle du monde muslman et une référence dans le monde chiite

(sic) on dirait un hommage à titre posthume!!!

Selon un ouvrage intitulé "15 tests pour connaitre les autres", on n'a pas besoin de chercher 12 à 14 H pour lire entre entre les lignes...

j’ai juste donné l’exemple de l’Ayatollah al-Udhmah Montazéri tout simplement parce qu’il a été évoqué et diabolisé par beaucoup injustement.

"Ayatollah Makarem réclame une solution durable après les troubles"

manzarpour20090625202535125.jpg

Grand Ayatollah Nasser Makarem-Shirazi a appelé à une reconciliation nationale et déclare que les soultions recherchées pour résoudre le conflit post-electoral ne doivent pas être superficiels.
http://www.presstv.ir/detail.aspx?id=99043&sectionid=351020101

Preuve que Ayatollah Al UDHMA Nasser Makarem SHIRAZI connait ce qui couve sous ce conflit larvé !

Ma Foi, faites vous aussi votre opinion quant à savoir si l'Ayatollah Al UDHMA sayyed Ali Hussein khamenei et l'Ayatollah al UDHMA Sayyed Mohammed Hussein Fadhlullah, Voir l'Ayatollah Al UDHMA Sayyed ALI Al Sistani ne sont pas Villipendés par les adeptes d'autres "AL UDHMA".

Et pour ma part de petite question sur cette controverse de marja et de wilayat al faqih , pourquoi le titre de Ayatollah est "confisqué" entre le "Arabo-persans" ? ( les indo pakistanais étant de même sensibilité sociale que les perses !) dans les HAWZA ? depuis 50 ans il n'y a pas un seul "étranger" ???

Vont ils rafler seuls tous les contrats du MAHDI (atf) entre Najaf et Qom ??? pourquoi celà n'interesse pas les gens qui s'acharnent sur Khamenei qui lui est plus universaliste ???

Ma'a Salaam

P.S : Laa iqra fi dîne ; mon opinion n'a rien de très personnel, je critique les opinions et les idées , pas les personnes. mais je mets un point d'honneur à rester toujours entier ! ( sans quoi je m'égarerai facilement en suivant ces opinions sans critique) pour moi montazeri et Sanei sont, restent et demeurent de grands Mujtahids et marja's, et l'on est libre de les suivre ou pas. mais qu'on ne viennent pas nous chanter la marseillaise de leurs Avis et opinions propres comme seules sources de références.

Last but not least, nous sommes trop nombreux les "muslmans pieux" derrière les pseudo à nous agiter sur les forums internet! je l'ai vu et remarqué alors je le dis ici à haute voix ! la Fausse fatwa de Ayatollah Tabrizi interdisant de suivre Fadhlullah me suffit comme preuve que les Wahhabo-Sionistes tapis dans l'hombre sont capables de l'impossible !
 
Paix sur vous mes frères et soeurs,

Tout à fait d'accord avec toi mon frère mohalamine, certains critiquent Khamenei mais revenons à Khomeini qui pourrait et j'irais même plus loin qui pourrait oser critiquer Khomeini, Sayid Khoi a dit : Fondez dans Khomeini comme il a fondu dans l'islam!

Donc revenons à Khomeini, qui a t'il choisi pour être le Guide après lui?

Vous le savez bien :)

Khomenei ne connaissait pas la science ou les qualités de Khamenei? Si il connaisait très bien et c'est pour ça qu'il a chosi Khamenei.
 
Le Gouvernement Islamique:WILAYAT AL FAQIH

786-92-110

Assalamou Alaykoum !

WILAYAT AL FAQIH


Titre de l'ouvrage: Le gouvernement islamique
Auteur: Imam Khomeyni
Éditeur: Institut pour l'édition et la publication des oeuvres de
L' Imam Khomeyni (que le salut soit sur lui)
Édition: Services des affaires internationales
Année: Première 1996
Adresse:
Rue chahid Dr. Bahonar
3, Rue Yasser
Téhéran - I.R. IRAN
Téléphone: 2283138
FAX: 2287773
P.O.BOX: 19575/614
Price: 3500 Rials

PREFACE DE L’EDITEUR



Au Nom de Dieu, Le Clément, Le Miséricordieux.

Louange à Dieu. Il n’y a de Puissance qu’en Lui, le Grand, le
Très-Haut. Que la paix soit sur le Messager de Dieu, Mohammad, sceau des prophètes, et sur les hommes purifiés.

Le livre velàyat-e faqih dont le présent ouvrage est la traduction française) contient le texte original révisé ainsi que des notes explicatives et plusieurs index (qui n’ont pas été traduits) ; il est proposé à la lecture des chercheurs et des érudits ainsi que de tous ceux qui désirent connaître la
pensée de l’imam Khomeyni.
Le texte original est composé de treize discours prononcés par l’imam entre le 22 janvier et le 09 février 1969, alors qu’il était en exil à Nadjaf (Irak). Ces discours firent, à l’époque, l’objet de publications ou de reproductions sous des formes diverses : parfois dans leur intégralité, parfois sous la forme de plusieurs leçons. En automne 1970, après avoir été revus et approuvés par l’imam, ils furent préparés pour l’impression. Tout d’abord édités par des amis de l’imam à Beyrouth, ils furent, de là, introduits clandestinement en Iran ; dans le même temps, ils furent envoyés dans certains pays européens, aux U.S.A, au Pakistan et en Afghanistan, afin de servir aux musulmans révolutionnaires de ces pays. En 1977, ils furent publiés en Iran sous le titre de Lettre de l’imam Moussavi Kàchef al Qata ‘ auquel était ajoutée la mention Le grand jihad.

Le livre Le gouvernement islamique, comme les autres ouvrages de l’imam, figurait, au temps du Chah, parmi les publications interdites, et nombreux sont ceux qui furent emprisonnés ou soumis à la torture pour avoir imprimé ou diffusé ce livre, ou même simplement pour avoir été trouvés en possession de cet ouvrage. Cependant, en dépit de toutes les pressions exercées par la Savak (1) et le régime du Chah, l’idée d’un ouvernement islamique, dont les bases juridico-religieuses étaient décrites dans ce livre, se répandit rapidement et trouva de nombreux partisans parmi les musulmans révolutionnaires dans les centres d’études religieuses, dans les universités ou en d’autres lieux, et l’idée de former un gouvernement islamique basé sur "l’autorité du faqih" apparut comme un des principaux idéaux soutendant le soulèvement du 15 Khordad (2) et le mouvement de l’imam Khomeyni.

ar rapport aux autres questions relatives à la loi religieuse (fiq), les faqih ont, en général, accordé une attention moindre au problème de l’autorité du faqih (velayat-e faqih) ; certains d’entre eux ne lui ont ainsi accordé qu’une place fort restreinte, et même si d’autres ont traité ce thème plus en détail, ce sujet n’a pourtant jamais fait l’objet d’une étude ordonnée et exhaustive dans les écrits des anciens faqih. On doit en rechercher les raisons dans les conditions politiques et sociales qui régissaient l’histoire des pays islamiques, la domination de
gouvernements tyranniques et l’impossibilité d’exposer de tels propos, car les circonstances ne se prêtaient pas encore au gouvernement du faqih.

Pourtant, en dépit des différences d’opinion existant entre les faqih chiites au sujet de l’étendue des pouvoirs et des fonctions du faqih durant la période de l’occultation*, on peut dire, en résumé, que tous les faqih sont unanimes pour reconnaître l’existence d’une autorité du faqih. Récemment, l’avis des
différents faqih en ce qui concerne l’autorité et l’étendue des pouvoirs du faqih durant la période de l’occultation a été regroupé dans plusieurs ouvrages.

D’après les sources en notre possession, feu l’ayatollah Molla Ahmad Naràqi, un uléma de l’époque Qadjar (3), s’est penché plus amplement et plus exhaustivement sur ce sujet dans son livre ‘avà’ed al ayàm. Tout d’abord, en s’appuyant sur de nombreux riwàyat, il a démontré clairement que, durant la période de l’occultation, le faqih possède l’autorité (wilàyat)
dans deux cas :

1- dans tous les domaines où le Prophète et les Imams possédaient le pouvoir et l’autorité (wilàyat), sauf dans les cas exclus par la loi religieuse ;

2- dans tous les domaines qui se rapportent à la religion et à la vie en ce monde des serviteurs de Dieu (des hommes) et qui doivent être accomplis.

Il a ensuite porté une attention particulière aux attributions relatives au principe de l'autorité du faqih et les a commentées en détail, notamment en ce qui concerne l'application des châtiments divins ; la préservation des biens des orphelins, des aliénés mentaux et des absents ; la gestion des biens des Imams (4) ; etc.

Même s’il ressort des écrits précurseurs de feu Naràqi que celui-ci considérait le gouvernement comme faisant partie des prérogatives du faqih qui détient l’autorité, il n’a cependant pas insisté longuement sur ce point et ne l’a pas traité en détail.

Après lui, l’imam Khomeyni fut le seul faqih qui ne se contenta pas de discuter cette question, comme le firent les autres faqih à des degrés divers. Pour la première fois, d’une façon claire, détaillée et précise, il étudia l’autorité du faqih dans le cadre du gouvernement et apporta les preuves de ses dires.

Comme nous l’avons déjà précisé, la question de wilàyat-e faqih (l’autorité du faqih) fut d’abord enseignée oralement au cours d’une série de treize conférences prononcées à Nadjaf et le présent livre est la présentation écrite, corrigée (et traduite) de ces cours. Le sujet de wilàyat-e faqih fit l’objet d’une seconde réécriture, pratiquement sous la même forme, pour constituer le second volume d’une série de cinq livres intitulée Ketàb al bey-e (5).

Dans son livre, Le gouvernement islamique, l’imam Khomeyni étudie avec une grande attention les fondements de l’autorité (wilàyat) qui représentent la base et l’assise de tous les devoirs et il se penche en particulier sur le principe de wilàyat dans le cadre du gouvernement et sur les aspects politiques de l’autorité du faqih. A ce sujet, outre le fait d’éclaircir -par une démarche argumentative qui appartient aux méthodes éprouvées des faqih - les raisons politiques et sociales expliquant que le problème le plus important de l’islam fut délaissé, en définissant des moyens précis et pratiques, il se consacre aussi à l’élaboration d’un programme s’adressant aux faqih et visant à la mise en place du principe de wilàyat-e faqih dans le gouvernement.

Dans ce livre, l’imam Khomeyni fait d’abord allusion aux stratagèmes que les ennemis ont mis sur pied afin de détruire l’islam. Par un discours argumenté, il répond à des propos suspicieux tels que : "à l’époque de la civilisation et de l’industrialisation, l’islam n’est pas capable de diriger la "société" ou "les principes juridiques de l’islam sont impuissants à résoudre les problèmes sociaux". Dans ce domaine, il évoque le fait que les propos persuasifs des ennemis, destinés à créer un terrain favorable à la séparation de la religion et de la politique, ont eu des effets jusque dans les centres d’enseignement religieux, si bien qu’une personne voulant faire un discours ayant trait au gouvernement islamique devra le faire en dissimulant ses propos.

L’imam Khomeyni, évoquant les faiblesses internes et la perte
d’identité face à la civilisation apportée par les colonialistes, invite les centres religieux, leurs jeunes étudiants et les intellectuels de l’islam à accomplir leurs devoirs politiques et sociaux avec la plus grande rigueur et à ne pas se laisser abuser par ces plans et ces stratagèmes, car l’islam n’est pas opposé au
développement matériel et parce que les difficultés sociales requièrent des solutions morales ou relevant du domaine de la foi ; et l’islam est une religion complète qui est capable de résoudre toutes les difficultés, à condition que les penseurs et les ulémas réagissent et déploient des efforts en ce sens.

L’imam Khomeyni, en énonçant cette vérité historique évidente selon laquelle le Prophète avait désigné un khalife*, pose cette question : le fait de choisir un khalife avait-il pour seul but d’exprimer les lois ? Ceci ne nécessite pas la présence d’un khalife. Le khalife est là pour gouverner, pour appliquer les règlements et les lois. Il est important que nous soyons persuadés de la nécessité d’instaurer un gouvernement islamique : c’est dans ce cas seulement que le khalifat prend tout son sens.

Dans ce livre, l’imam Khomeyni explicite les raisons pour lesquelles il est indispensable d’instaurer un gouvernement islamique, à savoir :

1- Le fait que le Prophète ait instauré un gouvernement ;
2- La permanence de l’application des lois divines qui a un caractère obligatoire et qui ne se limite pas à lépoque du Prophète mais qui est valable en tout temps ;
3- La substance et la qualité des lois divines qui sont telles que leur application exige l’existence d’un gouvernement islamique (c’est le cas, par exemple, des lois financières, de la défense du territoire, des décrets juridiques et pénaux...)


L’imam Khomeyni, après avoir donné des arguments prouvant la
nécessité du gouvernement islamique, fait allusion aux antécédents historiques des déviations qui débutèrent lors de la période ‘umeyyade et se poursuivirent à l’époque abbasside. Il explique que leur façon de gouverner était anti-islamique, qu’elle ressemblait au système impérial d’Iran et de Rome ou au système pharaonique d’Egypte et qu’elle se perpétua dans les époques
ultérieures en conservant ce même défaut anti-islamique. L’imam insiste sur le fait que la logique et la religion nous commandent, l’un et l’autre, de nous soulever pour modifier cette situation. Ainsi, une révolution politique est indispensable. Il est nécessaire de s’opposer aux gouvernements du tâghut*, de préparer un terrain favorable au gouvernement islamique et de mettre en application les lois de l’islam. De plus, il est primordial que s’unisse la communauté islamique, divisée sous l’effet d’actions diverses, intérieures ou étrangères. Il faut également sauver les peuples opprimés et déshérités. C’est là un des devoirs divins des musulmans et particulièrement des ulémas et cela rend nécessaire une révolution politique. Puis, après avoir cité un riwàyat de Fazl ibn Chàzàn (6) concernant la philosophie qui caractérise le gouvernement islamique, l’imam se penche sur la nécessité, d’après les textes et les riwàyat, d’instaurer un gouvernement islamique.

Une partie importante de ce présent livre est consacrée à l’exposé des différences existant entre le gouvernement islamique et les autres formes de gouvernement, et il est fait mention du fait que le gouvernement islamique est une forme particulière de gouvernement constitutionnel, c’est-à-dire qu’il est
constitutionnel à l’intérieur des limites fixées par les lois islamiques. Ainsi, selon l’imam Khomeyni, la fonction du pouvoir législatif et de l’assemblée législative est d’établir des programmes d’action pour les différents ministères et d’instaurer un gouvernement dans le cadre des lois islamiques et non de légiférer, comme c’est le cas dans les autres types de gouvernement.

Dans la suite de son discours relatif au principe de wilàyat-e faqih, l’imam évoque les conditions que doit remplir le "dépositaire" et qui découlent directement de la nature du gouvernement islamique et il déclare :

"outre les conditions générales telles que la raison et l’aptitude, le dépositaire doit répondre à deux conditions essentielles : la connaissance de la Loi et la probité".


Le principe de wilàyat-e faqih durant la période de l’occultation
constitue le sujet suivant débattu dans le présent livre. L’imam Khomeyni, s’appuyant sur l’exposé précédant, déclare :

"Maintenant que nous sommes dans la période de l’occultation, quel est notre devoir étant donné que nous devons appliquer les lois de l’islam et que, d’autre part, une personne a été désignée par Dieu le Très-Haut pour cette tâche". Après avoir étudié cette
question, il en arrive à la conclusion que "les qualités requises pour assumer cette charge (du gouvernement) durant la période s’étendant du début de l’islam à l’absence du Maître du Temps* restent valides. Ces qualités, qui consistent en la connaissance de la Loi et en la probité, bien des faqih de notre époque les possèdent. S’ils s’unissent, ils pourront établir le gouvernement de la justice universelle dans le monde". Il déclare ensuite que
le sujet de wilàyat-e faqih est une "question de convention logique", que tous les pouvoirs que possédaient le Prophète et les Imams en ce qui concerne l’administration de la société restent valables pour les faqih possédant les caractéristiques requises, que cette autorité "ne trouve de réalité concrète que
par la désignation", et qu’elle ne constitue ni un privilège ni une position, étant l’instrument qui permet d’accomplir le devoir qu’est l’application des lois.

L’imam se penche ensuite sur les buts élevés du gouvernement
islamique et sur les caractéristiques que doit posséder le gouvernant, et citant à l’appui de ses dires des Traditions et des arguments, il apporte les preuves justifiant l'autorité que détient le faqih en tant que responsable du gouvernement ; ce sujet représente un passage important du présent ouvrage.
La dernière partie du livre est consacrée à la nécessité d’élaborer le plan d’action d’un long combat dans le but d’atteindre cet objectif divin. L’imam Khomeyni y évoque les problèmes de la prédication et de l’enseignement ainsi que leur importance et leur caractère indispensable et déclare que les personnes doivent se mettre au service de ces deux actes importants. Dans ce domaine, on doit agir comme pour ‘Achoura (7). On
doit se comporter de façon telle que la question du gouvernement islamique provoque un grand mouvement qui soulève les populations, et s’il ne faut pas espérer atteindre rapidement ce but, il faut déployer de grands efforts dans le cadre d’un long combat.

Pour terminer, le présent livre fait état de la nécessité de se livrer à l’enseignement et à la prédication, de réformer les centres d’enseignement religieux, d’anéantir les effets négatifs du colonialisme sur la pensée et la morale, de dénoncer les faux-dévots, d’assainir les centres religieux, d’éliminer les religieux courtisans et d’agir en vue de renverser les gouvernements tyranniques. ***

Nous désirons attirer l’attention des lecteurs sur le fait que l’imam
Khomeyni, grâce à l’aide de Dieu, à l’éveil et à l’union du peuple, a mené à terme son soulèvement divin, le 22 février 1979, en renversant le régime impérial d’Iran et en instaurant un gouvernement islamique et que, par la volonté unanime de la nation iranienne et selon les principes de la constitution du régime islamique, il assuma les fonctions de guide de la
révolution ainsi que la responsabilité et la direction de la société islamique.

Ainsi, comprendre précisémment la pensée de l’imam au sujet de la question de wilàyat-e faqih (l’autorité du faqih), dont les principes sont exposés dans ce livre, ne sera possible qu’en portant une attention suffisante à la conduite de l’imam durant la période où il assuma la responsabilité de la société, aux
opinions qu’il exprima au sujet des principes de l’autorité du faqih, des limites des pouvoirs et des fonctions du wilayat qui apparaissent dans ses discours, ses messages et ses lettres (8).
"O Dieu, libère les pays musulmans de l’emprise des oppresseurs ! Détruis ceux qui ont trahi l’islam et les pays islamiques ! Réveille les chefs des gouvernements islamiques du profond sommeil dans lequel ils sont plongés afin qu’ils déploient tous leurs efforts pour le bien des nations, qu’ils abandonnent leurs querelles et qu’ils cessent d’assouvir leurs intérêts personnels ! Accorde Ton aide à notre jeunesse et aux étudiants des centre religieux et des universités afin qu’ils se soulèvent dans la voie des objectifs saints de l’islam et, qu’unis, ils déploient des efforts communs pour détruire l’emprise du colonialisme et de ses ignobles agents et défendre les pays islamiques. Accorde aux faqih et aux intellectuels la faculté d’être assidus dans leur tâche de guider et d’éveiller la pensée de la société et de transmettre les buts saints de l’islam aux musulmans et surtout à la jeunesse, et aide-les dans leur combat pour l’instauration d’un gouvernement islamique. Car Tu es Celui Qui accorde le succès. Il n’y a de puissance qu’en Dieu, le Grand, le Très-Haut (9)".

Institut pour l’Ordonnancement et la Publication des Oeuvres de l’mam Khomeyni

http://noorislam1.free.fr/Bibliotheque/gouvernement_ islamique.pdf

***Le Copier/coller de l'inversion sioniste inspiré de "la loi du double sens" illuminatis ne saurait berner que les supplétifs de JASON à la toison d'or, en l'occurrence "Cheveux d'argent" l'artiste - architecte et politicien (à la noix- c'est de moi) de la Station MIR ! franchement cet individu là, il rêve en technicolor ! mais il risque se reveiller par un affreux cauchemar...

I have given you two textual sources as evidence. 'Islamic Government' (Hukumat e Islami) and 'Kawther' if you can provide textual evidence of either the presidency claim or the french interviews that would be great. Oh btw Ayatollah Montazeri wrote a book about Wilayat ul Faqi, which is 8 volumes and in the last 3 volumes he fully describes the concept of Wilayat ul Faqee down to the very last detail. Shaheed Mutahhari wrote about the Wilayat ul Faqee too which mirrored the thoughts of Imam Khomeini's Hukumat e Islami. There you have more textual evidence. More to that these two individuals were in Iran throughout the exile of Imam Khomeini and were propogating the message of Imam Khomeini to the people as mentioned in my quotes from Elwiya. Now the question here would arise is this would Shaheed Mutahhari and Ayatollah Montazeri write such texts reflecting the same thoughts of Imam Khomeini on Wilayat ul Faqi had there been no evidence of it at all from before?

Ayatollah Montazeri a commis un ouvrage sur la WILAYAT AL FAQIH déclinés en 8 volumes où il décrit les concepts de la Wilayat Al faqih jusqu'à ses derniers détails dans les 3 derniers volumes. Shahid Mutahhari a aussi écrit sur la WILAYAT AL FAQIH où il réflète la pensée de l'imam Khomeyni.

un post de'avril 2007 du Forum AIMISLAM.COM

The issue really was that Abul Hassan Bani-Sader and the 'mullah party' (Islamic Republican Party headed by Ayatollah Beheshti and Sheikh Rafsanjani) and Khomeini were at odds in the visions on what Iran should become; but, this in my opinion, was not the biggest problem. The biggest problem was lack of trust and communication. Bani-Sader was seen as a secular Islam that did not take guidance from the Hawza, and there were many many arguments particularly between him and Beheshti.

Bani sadr et Rafsanjani dirigeaient Le Parti de la République Islamique ou "parti des Mollahs" ( bon à savoir !)

http://www.aimislam.com/forums/index.php?s=&showtopic=3222&view=findpost&p=17167
 
Critères d'éligibilité du Waliy al AMR

786-92-110

SAYYID RIZVI'S REPLY ( Réponse de Sayyid Muhammad Rizvi, hujjatul-Islam wal mouslimine )

The question of who is an a'lam among the mujtahidin is a very complex question. In order to understand this fully, let me start with the basics
on issue of taqlid.

FIRST: In following the shari'a laws, a Shi'a is required to do one of the three things:

1. either he should become a mujtahid (became an expert in Islamic jurisprudence) and follow the conclusion of his own research;
2. or he should do taqlيd of a mujtahid (i.e., follow an expert jurist);
3. or he should do ihtiyat.

(Ihtiyat means precaution, and here it means studying the various opinions of mujtahids and then following the most difficult one: for example, if
one mujtahid says 'smoking is makruh' and the other says 'smoking is haram,' then in ihtiyat, you will consider it as haram.)

SECOND: In taqlid, the majority of mujtahidin are of the opinion -as wمjib or ihtiyمt-e wمjib- that one should follow 'the most learned' of all
the mujtahidin (a'lam). This is support by common sense-now that you want follow a mujtahid, then why not follow the most learned of them?

THIRD: The method of identifying a mujtahid or an a'lam is as follows:

1. Personal knowledge for one who is knowledgeable enough in Islamic jurisprudence to distinguish who is a mujtahid or an a'lam.

2. Testimony of two just scholars who confirm the ijtihمd or a'lamiyyat of a certain person.

3. Shiyم': popularity in the Shi'a community about ijtihمd and a'lamiyyat of a person which creates conviction in your mind.

* * *

NOW WE COME TO YOUR QUESTION:

It is not easy to distinguish the a'lam among the present mujtahidins. This is mainly because of two reasons: Firstly, the present generation of mujtahidin was over-shadowed for a long time by some very prominent mujtahids of this century like Ayatullah al-Khu'i and Ayatullah al-Khumayni (may Allمh shower His mercy and blessings upon them). Allمh gave indeed a long life to Ayatullah al-Khu'i that he was able to train three generations mujtahidin in the last decades of his life! The present marمji' did not get the chance to prove their a'lamiyyat. Secondly, the
Shi'a world is blessed at this moment with so many mujtahidin that it is not easy to say that so and so is 'the most learned' of all. Although
having so many mujtahidin creates confusion in distinguishing the a'lam, it is also a blessing for which we should thank Almighty Allمh!

Those who have gained recognition by the majority of the learned scholars of Shi'a fiqh as suitable for marja'iyya are:

1. Ayatullah Sayyid 'Ali Sistani (Iraq);
2. Ayatullah Wahid Khurasani (Iran);
3. Ayatullah Sayyid 'Ali Khamane'i (Iran);
4. Ayatullah Shaykh Fazil Lankarani (Iran);
5. Ayatullah Shaykh Jawad Tabrizi (Iran);
6. Ayatullah Shaykh Nasir Makarim Shirazi (Iran).


Since taqlid is a personal matter, I would advise that you refer to two 'ulamم' in your area whom you trust and make your decision accordingly.

* * *

THE ISSUE OF WILAYAT-E FAQIH AND MARJA'IYYA:

Before the Islamic Revolution of Iran, the marja' (the Grand Mujtahid) was the leader of the Shi'a community but did not have the means to bring about any change or transformation in the society. The Islamic Revolution is based on the concept that the supreme leader should be a mujtahid. In that sense, it is not a new concept; it is just providing the means for exercising complete leadership for the mujtahid in a Shi'a community.

This has, however, created some confusion among the Shi'as about the issue of taqlid: do you follow the supreme leader of the Islamic Republic of Iran or can you still do taqlid of other marمji'?

The confusion arises because of the historical events of the Islamic Revolution. This Revolution was led by the late Ayatullah al-Imam Sayyid Ruhullah al-Khumayni. He was already recognized as a marja' and an a'lam by many Shi'as; it is important to remember that his a'lamiyyat or marja'iyya did not depend on the Revolution. Therefore, it was quite natural to select him as the supreme leader of the Islamic Republic of Iran. In this manner, the marja'-e taqlid also became the supreme leader known in the Iranian consititution as 'wali-e faqih'.

The question which must be asked is the following: it is necessary for the wali-e faqih to be also a marja-e taqlid? In other words, it is necessary for the institution of the wali-e faqih and the marja'iyya to be one and the same? The best answer is given by the constitution of the IR of Iran and the late Ayatullah al-Khumayni himself.

Soon after the Revolution, when the first constitution of the Islamic Republic was approved by the Iranian people, it said that the office of the wali-e faqih should be occupied by a marja'-e taqlid accepted by the majority of the people. It said,

"Whenever one of the fuqahم' [i.e., mujtahidin] possessing the qualifications specified in Article 5 of the Constitution is recognized and accepted as marja' and leader by a decisive majority of the people...he is to assume [the office of] wilayat-e amr and all the
functions arising therefrom." (See article 107 of the first Constitution.)

This actually reflected the reality of times when people saw that Imam al-Khumayni, a marja-e taqlid, was the wali-e faqih also. However, after few years while Ayatullah al-Khumayni was still alive, the constitution of Iran was amended. While the deliberations were going on, the Speaker of the Assembly for the Amendment of the Constitution, Shaykh 'Ali Mishkini, wrote a letter to Imam al-Khumayni asking him about the question of "marja'iyya and wali-e faqih". Ayatullah al-Khumayni wrote:

"From the beginning I was of the view that marja'iyya is not a necessary condition [for wali-e faqih=leadership]. A just mujtahid who is recommended by the Assembly of Experts can assume the leadership of the Islamic society...I mentioned this point while experts were preparing the constitution, my friends were insisting on the marja'iyya as the necessary condition [for wali-e faqih]. Hence, I agreed with their proposal. At that time I was sure this condition could not be fulfilled in the future." (Sahifa-e Nur, vol. 21, 129)

Accordingly, the Constitution was changed and the condition of "marji'iyya" was taken out from the qualifications of the wali-e faqih who was to assume the supreme leadership of the Islamic Republic of Iran. (See Article 107 and 109 which clearly state that ijtihمd is a sufficient qualification for the leader, he does not necessarily have to be a marja'-e taqlid.)

In the light of the above change in the Constitution of the Islamic Republic of Iran, supported by the views of the late Founder of the Islamic Revolution, we can conclude that the office of Wali-e faqih and the Marja'iyya does not have to be one and the same: it could be or it could not be, it depends on the person who assumes that position.

In the final analysis, I would say that one may do taqlid of any of the marمji'-e taqlid in all matters; but since they are silent or have no opinion on political issues and on issues related to the Islamic Movement world-wide, one should follow the Wali-e faqih of Iran who is best suited to guide on such issues.

Was-salaam.

Sayyid M. Rizvi


From: 'Aalim Network QR
http://al-islam.org/organizations/aalimnetwork/msg00464.html
Traduction Automatique :

La question de qui est un a'lam parmi le mujtahidin est une question très complexe. Afin de comprendre ceci entièrement, laissez-moi commencer par les fondations sur la question du taqlid.

D'ABORD : En suivant les lois de shari'a, un Shi'a est exigé pour faire une des trois choses :

1. l'un ou l'autre il devrait devenir un mujtahid (est devenu un expert en matière de jurisprudence islamique) et suivre la conclusion de sa propre recherche ;
2. ou il devrait faire le taqlيd d'un mujtahid (c.-à-d., suivez un juriste expert) ;
3. ou il devrait faire l'ihtiyat.

(Ihtiyat veut dire la précaution, et ici elle signifie étudier les divers avis des mujtahids et puis après les plus difficiles : par exemple, si
un mujtahid indique le « tabagisme est makruh » et l'autre indique que le « tabagisme est haram, » puis dans l'ihtiyat, vous le considérera comme haram.)

EN SECOND LIEU : Dans le taqlid, la majorité de mujtahidin sont de l'opinion - comme wمjib ou ihtiyمt-ewمjib- qu'on devrait suivre « le plus instruit » de tous
le mujtahidin (a'lam). C'est appui par le sens-maintenant commun que vous voulez suivez un mujtahid, puis pourquoi ne pas suivre le plus instruit de elles ?

TROISIÈME : La méthode d'identifier un mujtahid ou un a'lam est comme suit :

1. La connaissance personnelle pour une qui est assez bien informé dans la jurisprudence islamique pour distinguer qui est un mujtahid ou un a'lam.

2. Témoignage de deux juste disciples qui confirment l'ijtihمd ou l'a'lamiyyat d'une certaine personne.

3. popularité de Shiyم': dans la communauté de Shi'a au sujet de l'ijtihمd et de l'a'lamiyyat d'une personne qui crée la conviction dans votre esprit.

MAINTENANT NOUS VENONS À VOTRE QUESTION :

Il n'est pas facile de distinguer l'a'lam parmi les mujtahidins actuels. C'est principalement pour deux raisons : Premièrement, la génération actuelle du mujtahidin a été éclipsée pendant longtemps par quelques mujtahids très en avant de ce siècle comme Ayatullah Al-Khu'i et d'Ayatullah Al-Khumayni (Que la miséricorde d'Allaمh , sa pitié et ses bénédictions soient sur eux). Allمh a donné en effet une longue durée à Ayatullah Al-Khu'i qu'il pouvait former le mujtahidin de trois générations pendant les dernières décennies de sa vie ! Les marمji actuel n'a pas obtenu la chance de prouver leur a'lamiyyat.
Deuxièmement, Le monde des Shi'as est béni à ce moment avec tellement beaucoup de mujtahidin qu'il n'est pas facile de dire que celui ci ou celui là est « le plus instruit » de tous. Bien que
ayant tellement de mujtahidin, cela crée la confusion en distinguant l'a'lam, il est également une bénédiction dont nous devrions remercier Allمh tout-puissant !

Ceux qui ont gagné l'identification à la majorité des disciples instruits du fiqh des Shi'as comme appropriés au marja'iyya sont :

1. Ayatullah Sayyid 'Ali Sistani (Irak) ;
2. Ayatullah Wahid Khurasani (Iran) ;
3. Ayatullah Sayyid 'Ali Khamane'i (Iran) ;
4. Ayatullah Shaykh Fazil Lankarani (Iran) ;
5. Ayatullah Shaykh Jawad Tabrizi (Iran) ;
6. Ayatullah Shaykh Nasir Makarim Shirazi (Iran).

Puisque le taqlid est une question personnelle, je conseillerais que vous vous référez à deux « ulamم » dans votre secteur que vous faites confiance et prenez votre décision en conséquence.

* * *

L'ISSUE DE WILAYAT-E FAQIH ET DE LA MARJA'IYYA :

Avant la révolution islamique de l'Iran, le marja (le Mujtahid grand) était le chef de la communauté de Shi'a mais n'a pas eu les moyens de provoquer n'importe quel changement ou transformation de la société. La révolution islamique est basée sur le concept que le chef suprême devrait être un mujtahid. Dans ce sens, ce n'est pas un nouveau concept ; il fournit juste les moyens pour exercer la conduite complète pour le mujtahid dans une communauté de Shi'a.

Ceci a cependant créé une certaine confusion parmi les Shi'as au sujet de la question du taqlid : vous suivez le chef suprême de la République islamique de l'Iran ou pouvez vous néanmoins faire le taqlid de l'autre marمji'?

La confusion surgit en raison des événements historiques de la révolution islamique. Cette révolution a été menée par Al-Khumayni en retard d'Ayatullah Al-Imam Sayyid Ruhullah. Il a été déjà identifié comme marja et a'lam par des beaucoup Shi'as ; il est important de se rappeler que son a'lamiyyat ou marja'iyya n'a pas dépendu de la révolution. Par conséquent, il était tout à fait normal de le choisir en tant que chef suprême de la République islamique de l'Iran. De cette manière, le taqlid du marja'- e est également allé bien au chef suprême connu dans le consititution iranien en tant que « faqih de wali-e ».

La question qui doit être posée est la suivante : il est que le faqih de wali-e soit également un taqlid de Marja-e ? En d'autres termes, il est nécessaire pour l'établissement du faqih de wali-e et du marja'iyya pour être un et identique ? La meilleure réponse est donnée par la constitution de l'IR de l'Iran et d'Al-Khumayni en retard d'Ayatullah lui-même.

Peu après la révolution, quand la première constitution de la République islamique a été approuvée par les personnes iraniennes, elle a indiqué que le bureau du faqih de wali-e devrait être occupé par un taqlid du marja'- e admis à la majorité des personnes. Elle a indiqué,

« Toutes les fois qu'un fuqahم [c.-à-d., mujtahidin] possédant les qualifications spécifiques en article 5 de la constitution est identifié et accepté comme marja et chef à une majorité décisive des personnes… il doit assumer [la fonction de] de wilayat-e Amr et toutes les fonctions surgissant de là. » (Voir l'article 107 de la première constitution.)

Ceci a reflété réellement la réalité des périodes quand les gens ont vu en l'Imam Al-Khumayni , un Marja-e taqlid , était le wali-e faqih également. Cependant, après peu d'années tandis qu'Al-Ayatullah Khumayni était encore vivant, la constitution de l'Iran a été modifiée. Tandis que les discussions continuaient, l'orateur de l'Assemblée pour la modification de la constitution, Shaykh 'Ali Mishkini, a écrit une lettre à Al-Khumayni d'Imam l'interrogeant au sujet de la question du « marja'iyya et du wali-e faqih ». Ayatullah Al-Khumayni a écrit :

« Dès le début j'étais d'avis que la marja'iyya ne soit pas une condition nécessaire [pour le wali-e faqih=leadership ]. Un mujtahid juste qui est recommandé par l'Assemblée des experts peut supposer que la conduite de la société islamique… j'a mentionné ce point tandis que les experts préparaient la constitution, mes amis insistaient sur le marja'iyya comme condition nécessaire [pour le wali-e faqih ]. Par conséquent, j'étais d'accord avec leur proposition. À ce moment-là j'étais sûr que cette condition ne pourrait pas être remplie à l'avenir. » (Sahifa-e Nur, vol. 21, 129)

En conséquence, la constitution a été changée et l'état du « marji'iyya » a été sorti des qualifications du faqih de wali-e qui était d'assumer la conduite suprême de la République islamique de l'Iran. (Voir l'article 107 et 109 qui déclarent clairement que l'ijtihمd est une qualification suffisante pour le chef, il ne doit pas nécessairement être un marja'- e taqlid .)


À la lumière du changement ci-dessus de la constitution de la République islamique de l'Iran, soutenue par les vues du défunt fondateur de la révolution islamique, nous pouvons conclure que le bureau du faqih de Wali-e et du Marja'iyya ne doit pas être un et identique : il pourrait être ou il ne pourrait pas être, il dépend de la personne qui prend cette position.

Dans l'analyse finale, je dirais qu'on peut faire le taqlid de l'un des de marمji'-e taqlid dans tous les sujets ; mais puisqu'ils sont silencieux ou n'ont aucune opinion sur des problèmes politiques et sur des questions liées au mouvement islamique dans le monde entier, on devrait suivre le Wali-e faqih de l'Iran qui est plus approprié pour guider sur de telles questions.

Was-Salaâm.

Sayyid M. Rizvi



On comprend ainsi l'insistance de certains "amis" de l'Imam khomeyni qui n'avaient pas pu lui forcer la main auparavant chercher à obtenir gain de cause aujourd'hui qu'il est absent ainsi que son ami "Arif" Ayatollah Al UDHMA Sheikh bahjaat - http://bahjat.org/ - ( rahimahullah à tous ). PAR TOUS LES MOYENS NECESSAIRES OU NON ! quitte à pactiser avec le diable sioniste même s'il faut contredire le consensus de certains savants renommés :icon_sad:


QUE DIEU NOUS PROTEGE DES MALHEURS DE LA FITNA.

Ma'a Salaam

Pourvu qu'on ne revienne pas nous parler de Khamenei et du DARSI KHARIJ ;)
 

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