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Qu'est-ce qu'un mariage licite ?

émbruon25

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Assalamoun Alaykoum, Bonjour.

Part ce nouveau poste je souhaite donner suite au poste de la sœur Florence concernant le MT mais tout en lui donnant une autre direction et ramener la question du MT au mariage tout court.
En ce qui me concerne, je suis “ de tendance chiite” (voir rubrique nouveau arrivant).
Pour ce qui est du MT, Je l’accepte comme faisant partie d’un Tout et en tant que célibataire, je lui reconnait une grande utilité (sans forcement pouvoir en bénéficier pour les déductions incontrôlées…).
J'ai lu quasi l'entièreté de la discution. Je suis au courant qu’un certains nombre de verset en font allusion et que L’Emir des Croyant alayhi salam y a touche un mot. A cote de cela, je me demande si j’ai bien compris ceci;
Il semblerai que la véritable condition qui différentie une relation licite d’une relation illicite, quelque soit le type de rapport ou le lien entre le couple soit la prononciation d’une formule.
Par quelle miracle cette formule transforme cette relation illicite en une relation licite ?
Il est possible que j’eus loupe une discution ou la question fut déjà poser car je ne me connecte pas souvent, merci.


Au plaisir d'y réfléchir ensemble,

plusieurs cerveaux valent peut-être mieux qu'un.


[FONT=&quot]é[/FONT]mbruon25

 
Wa alaykoum salam

En effet, la relation devient licite par la prononciation d'une formule. Il faut bien quelque chose pour liciter la relation ...
Ceci dit, il y a quelques conditions avant cela.

Il faut par exemple, le consentement du père.
 
Salam alaykom mes frères et sœurs,

C'est une très bonne question que tu pose là et j'espère que quelqu'un pourra répondre. Il existe beaucoup de secret dans notre religion que Dieu peut nous faire découvrir par sa miséricorde si on est pieux.
Ta question est comme celle ci : pourquoi dans les ablutions nous devons passé notre main mouillé sur notre tête et pas la lavé?

J'espère que L'Imam as viendra vite pour qu'on puisse enfin connaitre notre religion.
 
Assalam 'alaykum

Par quelle miracle cette formule transforme cette relation illicite en une relation licite ?

C'est comme pour égorger un mouton: pour que celui-ci soit licite à la consommation il faut que le musulman prononce la formule de la "Basmallah" ("Bismilahi ar-Rahmani-r-Rahim": Au Nom de Dieu Le Misèricordieux Le Trés Misèricordieux)

Wa Allahou A'lam.
 
Assalamoun Alaykoum, Bonjour.

Il semblerai que la véritable condition qui différentie une relation licite d’une relation illicite, quelque soit le type de rapport ou le lien entre le couple soit la prononciation d’une formule.
Par quelle miracle cette formule transforme cette relation illicite en une relation licite ?
Il est possible que j’eus loupe une discution ou la question fut déjà poser car je ne me connecte pas souvent, merci.


Au plaisir d'y réfléchir ensemble,

plusieurs cerveaux valent peut-être mieux qu'un.​




[FONT=&quot]é[/FONT]mbruon25

Salam,

J'ai aimé ta phrase "par quel miracle", et bien par le témoignage des Anges, la relation devient licite vis à vis d'Allah!!!

Vis à vis des hommes, il faut souvent deux témoins. Mais le jour de notre mort, ce ne sont pas les témoins qui viendront confirmer, mais les Anges.
 


Bonjour wa Salamoun alaykoum


Qu’Allah hâte Son apparition, alayhi salam.

Ben au fait oui, on peu généraliser la question, c’est la même chose concernant le Besmellah pour le sacrifice d’une bête.
“ Il faut bien quelque chose pour liciter la relation ... “ Moi, j’ai appris qu’a la base c’est licite qu’est toute chose sauf… donc c’est l’inverse au fait. Donc au fait ma question devrait plutôt être poser dans l’autre sens. Ne pas formuler la phrase transformerait l’acte licite en acte illicite. Ah ben cette toute petite rectification me fait déjà voir la chose sous un autre angle.

Je comprend que laver est une chose et faire l’ablution une autre, c’est un acte cultuel. Mais dans le cas d’une relation entre un couple (civilise) ou de la nutrition, c’est exactement le même acte en lui-même précédé ou non de la formulation. C’est surtout cela qui me travail.

Ça me fait plaisir que vous appréciez ma phrase. C’était juste une façon d’exprimer ma question mais de toute manière, oui, je suppose que ça relève du miracle, si c’était une question de logique, la réponse serais répandu, je crois.
Les anges! Ahh oui, les anges, c’est vrai que je ne pense pas souvent aux anges !
Vous dites, ma sœur, par leur témoignage ? C'est intéressant. Le fait de prononcer la formule fait que des anges viennent nous observer ? Et ça serait donc cette observation de notre acte par Eux qui correspondrais au caractère licite de l’acte. (Ne m’en voulez pas si je parais parler comme un enfant.)



A bientôt, passez une bonne journée.


émbruon25

 
Salam 'alaykoum,

Je pense qu'il y a aussi l'intention, le fait de prononcer la phrase avec l'intention de s'engager, cela aussi rend le mariage licite.

Que Dieu vous garde !
 
Bonjour wa Salamoun alaykoum



Qu’Allah hâte Son apparition, alayhi salam.


Ça me fait plaisir que vous appréciez ma phrase. C’était juste une façon d’exprimer ma question mais de toute manière, oui, je suppose que ça relève du miracle, si c’était une question de logique, la réponse serais répandu, je crois.
Les anges! Ahh oui, les anges, c’est vrai que je ne pense pas souvent aux anges !
Vous dites, ma sœur, par leur témoignage ? C'est intéressant. Le fait de prononcer la formule fait que des anges viennent nous observer ? Et ça serait donc cette observation de notre acte par Eux qui correspondrais au caractère licite de l’acte. (Ne m’en voulez pas si je parais parler comme un enfant.)



A bientôt, passez une bonne journée.



émbruon25

Salam,

sauf si c'est mal traduit, je pense que nous ne sommes jamais seul.

Sourate 13, verset 11

Il (l'homme) a par devant lui et derrière lui des Anges qui se relaient et qui veillent sur lui par ordre d'Allah. En vérité, Allah ne modifie point l'état d'un peuple, tant que les (individus qui le composent) ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes. Et lorsqu'Allah veut infliger du mal à un peuple, nul ne peut le repousser : ils n'ont en dehors de lui aucun protecteur. (S13, v11).

Il existe d'autres versets qui montre le rôle des Anges vis à vis de nous, mais celui-ci montre bien que nous n'avons pas besoin de formuler quoi que se soit pour être "observé".
 

Bonjour et salam alaykoum

[FONT=&quot]Merci pour votre précision, que Dieu vous garde également sœur Mahdia .[/FONT]

[FONT=&quot]Au fait, je suis au courant, comme la plupart si pas tout les musulman sans doute, que chaque personne a continuellement deux anges a ses cot[/FONT] és [FONT=&quot] qui son deux scribes et que ceci relève du monde de l’invisible. Mais parliez-vous d’eux lorsque, plus haut, vous parliez d’anges qui témoignent rendant la relation licite ? Car dans le cas ou nous sommes continuellement observes, cela implique que le miracle en question est autre, donc nous somme au point de départ.[/FONT]
[FONT=&quot]En reflechissant, je me rends compte que ma question peux etre ramener plus simplement a chercher a connaitre la signification de licite. Mais quand meme, ce qui me perturbe c’est de savoir qu’est ce qui fait que je sois en relation licite ou non, pour etre en paix avec soi-meme.[/FONT]

A bientot, passez une bonne soiree.

émbruon25



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Bonjour et salam alaykoum


[FONT=&quot]Merci pour votre précision, que Dieu vous garde également sœur Mahdia .[/FONT]​



[FONT=&quot]Au fait, je suis au courant, comme la plupart si pas tout les musulman sans doute, que chaque personne a continuellement deux anges a ses cot[/FONT] és [FONT=&quot]qui son deux scribes et que ceci relève du monde de l’invisible. Mais parliez-vous d’eux lorsque, plus haut, vous parliez d’anges qui témoignent rendant la relation licite ? Car dans le cas ou nous sommes continuellement observes, cela implique que le miracle en question est autre, donc nous somme au point de départ.[/FONT]​


[FONT=&quot]En reflechissant, je me rends compte que ma question peux etre ramener plus simplement a chercher a connaitre la signification de licite. Mais quand meme, ce qui me perturbe c’est de savoir qu’est ce qui fait que je sois en relation licite ou non, pour etre en paix avec soi-meme.[/FONT]​




A bientot, passez une bonne soiree.








émbruon25

Salam alaykoum,

oui, je pensais à eux.

Mahdia a aussi donner une réponse interessante, mais nous savons aussi que nous serons jugés sur nos intentions (venant du coeur).
Donc le fait de dire qu'on s'engage, reflète-t-il obligatoirement notre intention ?
 

Assalamou 'alaykoum, Bonjour


Vous dite par la sœur Florence et soeur Mahdia, qu'en réalité ce n'est pas véritablement la formulation de la fameuse phase qui rend licite la relation alors, mais ce qui se trouve dans notre intention au moment de la prononcer ?

Dans ce cas, une personne qui souhaite avoir une relation avec une autre personne désirée. Quelle dois être son intention exactement. Quel est alors la différence entre une intention liée a un acte licite et une intention liée a un acte illicite, ayant toujours présent a l'esprit que par exemple, se tenir par la main ou autre ne présente aucune différence dans l'apparence et que le but en soi est ce acte ou ce rapprochement en lui-même ?

Portez-vous bien,

émbruon25
 

Assalamou 'alaykoum, Bonjour


Vous dite par la sœur Florence et soeur Mahdia, qu'en réalité ce n'est pas véritablement la formulation de la fameuse phase qui rend licite la relation alors, mais ce qui se trouve dans notre intention au moment de la prononcer ?

Dans ce cas, une personne qui souhaite avoir une relation avec une autre personne désirée. Quelle dois être son intention exactement. Quel est alors la différence entre une intention liée a un acte licite et une intention liée a un acte illicite, ayant toujours présent a l'esprit que par exemple, se tenir par la main ou autre ne présente aucune différence dans l'apparence et que le but en soi est ce acte ou ce rapprochement en lui-même ?

Portez-vous bien,

émbruon25

Salam,

L'intention sera jugée le jour du Jugement. Mais la formulation est adressé à Dieu donc en formulant tu respectes Ton créateur en faisant la promesse à Dieu l'Unique de prendre soin d'une de Ses servantes ou d'un de Ses serviteurs.
C'est pour cela d'ailleurs que la formulation rends l'illicite en licite, je pense.

Cela devient licite pour les autres croyants. Mais si l'intention est mauvaise, car Dieu connait les coeurs. Il protégera la sincérité du conjoint (e) croyant(e). Le Bien ne triomphe-t-il pas du mal ?
 

Assalamou 'alaykoum, Bonjour


Vous dite par la sœur Florence et soeur Mahdia, qu'en réalité ce n'est pas véritablement la formulation de la fameuse phase qui rend licite la relation alors, mais ce qui se trouve dans notre intention au moment de la prononcer ?

Dans ce cas, une personne qui souhaite avoir une relation avec une autre personne désirée. Quelle dois être son intention exactement. Quel est alors la différence entre une intention liée a un acte licite et une intention liée a un acte illicite, ayant toujours présent a l'esprit que par exemple, se tenir par la main ou autre ne présente aucune différence dans l'apparence et que le but en soi est ce acte ou ce rapprochement en lui-même ?

Portez-vous bien,

émbruon25

Salâm wa Rahmah,

Oui,parmi les conditions de validité d'un acte quelconque il y'a entre autres l'intention mais sans oublier qu'en tant que croyants nous vouons l'acte en question à Dieu et par là on le sanctifie tout autant que notre existence si également elle est consacrée pour Lui (selon Sa Volonté c'ead en accord avec la sharî'ah).

Fi amanillah wa Hefdheh.
 

Bonjour, Asalamou'alaykoum


[FONT=&quot]Donc si je comprends bien votre avis, en prononçant la formule sacre, simultanément, tout en communicant a la personne que je me lie a elle, je communique a Dieu l’intention de prendre soin d’elle intention et ce dans la sincérité. De cette manière, je n,’ai plus besoin d’attendre le jour du jugement, je sais directement que je suis dans le licite ?[/FONT]
[FONT=&quot]Au fait, il y aurait trois ingrédients si je peux m’exprimer ainsi et pas seulement un,[/FONT]
[FONT=&quot]-La prononciation d’une formule [/FONT]
[FONT=&quot]-L’intention [/FONT]
[FONT=&quot]-la sincérité de l’intention[/FONT]
[FONT=&quot]A cela, frère Hassan.m, vous rajouter un quatrième : vouer la relation a Dieu ?[/FONT]

Salam, Passer une belle journée

émbruon25
 

Bonjour, Asalamou'alaykoum


[FONT=&quot]Donc si je comprends bien votre avis, en prononçant la formule sacre, simultanément, tout en communicant a la personne que je me lie a elle, je communique a Dieu l’intention de prendre soin d’elle intention et ce dans la sincérité. De cette manière, je n,’ai plus besoin d’attendre le jour du jugement, je sais directement que je suis dans le licite ?[/FONT]
[FONT=&quot]Au fait, il y aurait trois ingrédients si je peux m’exprimer ainsi et pas seulement un,[/FONT]
[FONT=&quot]-La prononciation d’une formule [/FONT]
[FONT=&quot]-L’intention [/FONT]
[FONT=&quot]-la sincérité de l’intention[/FONT]
[FONT=&quot]A cela, frère Hassan.m, vous rajouter un quatrième : vouer la relation a Dieu ?[/FONT]

Salam, Passer une belle journée

émbruon25

Salam,

Là, tu fais une conclusion de tous les avis.

Ce qui légitime le mariage est la formulation en épousant un(e) croyant(e).

J'ai dit que si par mégarde, une personne du couple abusait de la sincérité de l'autre, Dieu protégerai la personne sincère.
Car le mensonge envoie l'âme en Enfer donc la personne qui ment sur son intention ne peut être considéré comme croyante.

Le menteur étant souvent hypocrite, nous ne pouvons le savoir mais personne ne peut mentir à Dieu.
 
Droits de la femme en islam : off-topic ( hors-sujet)

786-92-110

Excusez moi, mais je ne vois pas mieux que ce post pour mettre en exergue le point de vu de sayyed fadhlullah au sujet des droits de la femme musulmane moderne :

Non à la violence faite aux femmes



Communiqué légal de son Eminence, l’Autorité religieuse, l’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah, à l’occasion de la Journée Mondiale Contre la Violence faite aux femmes.




Fadlallah a appelé dans un communiqué légal à faire face à toutes les formes de violence faites aux femmes.


Fadlallah : La femme a le droit de se défendre contre la violence exercée par l’homme !



Son Eminence, l’Autorité religieuse, l’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah, a publié un communiqué légal à l’occasion de la Journée Mondiale Contre la Violence faite aux femmes. Voici le texte de ce communiqué :
Malgré tous les progrès réalisés dans le domaine de la perception humaine de la femme et tous les honneurs avec lesquels elle est traitée en comparaison avec sa situation telle qu’elle se présentait dans la plupart des sociétés orientales et occidentales, et malgré la montée de la femme à l’échelle sociale et politique grâce à laquelle elle occupe maintenant les plus hauts postes dans les gouvernements et ailleurs, et elle participe aux mouvements de lutte côte à côte avec l’homme qui se voit parfois devancé par elle, malgré tout cela, la femme subit toujours la violence qu’on exerce contre elle. Il s’agit d’une violence qui prend diverses formes, qui ne se réduisent pas à un domaine à l’exclusion des autres domaines, et qui, ne prenant pas un caractère oriental, englobent la totalité du monde, même si la forme et l’envergure de cette violence diffèrent d’un endroit à l’autre.
La femme, qu’elle soit sœur, fille ou épouse, est toujours soumise à la tutelle de l’homme, qu’il soit frère, père, ou époux. Cette violence revêt des formes multiples.
Il y a la violence physique avec laquelle la femme est frappée, ce qui représente un comportement humain parmi les plus ignobles, car il témoigne de l’absence, chez l’homme, de la logique lui permettant d’échanger avec l’autre sous les signes de l’engagement et de la persuasion. Frapper la femme ne prouve pas que l’homme est fort, mais plutôt qu’il est faible, car « C’est le faible qui a besoin d’avoir recours à la violence ». La violence physique atteint ses plus hauts et durs niveaux lorsque la femme se trouve la victime du viol qui peut finir par sa mort.
Il y a la violence sociale inclue dans le cadre de ce qu’on appelle « les crimes d’honneur ». La société tribale ou familiale s’y contente de simples soupçons pour condamner la femme à l’exil ou à la mise à mort, alors que la société ne dispose du droit de faire usage de la peine de mort qu’en passant par la justice et ses mécanismes tels qu’ils sont fixés par la loi droite. Il y a aussi la violence sociale qui, par le biais de la mentalité familiale ou tribale, contraint la femme à se marier d’un homme qu’elle ne désire pas.
Il y a aussi la violence psychique avec laquelle l’homme menace la femme de la divorcer, ou lorsqu’il l’abandonne suspendue au mariage sans la traiter en tant qu’épouse, ou même lorsqu’il utilise le divorce comme moyen de pression et de chantage la privant ainsi du sentiment de stabilité dans son mariage, ce qui a un impact très destructeur de sa personnalité et de son équilibre.
Il y a la violence relative aux conditions de vie avec laquelle le mari ou le père renoncent à leurs responsabilités matérielles à l’égard de l’épouse et de la famille. Le mari frustre ainsi la femme de ses droits de vivre dans la dignité. Il peut la soumettre à des pressions afin de lui concéder sa dot qui est, au vue de l’islam, un don symbolisant l’amour humain et la compassion loin de tout esprit commercial.
Il y a aussi la violence dans le domaine de l’éducation, avec laquelle la femme se voit frustrée de son droit à la scolarisation et à la promotion dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la spécialisation scientifique nécessaires pour l’amélioration de son niveau intellectuelle et culturel et pour lui ouvrir des espace de progrès pour elle et pour les autres dans tous les domaines de la vie. Une telle situation la livre à la spirale de l’ignorance avant de se voir porter la responsabilité de ses erreurs résultant de son manque d’expérience consécutif à la violence qu’on exerce à son égard.
Il y a aussi la violence pratique dans la distribution inéquitables des salaires entre l’homme et la femme en dépit de l’égalité dans le droit au travail qui implique l’égalité de ses conséquences, sachant que la société toute entière peut utiliser ce genre de violence en adoptant des lois de travail qui ne prennent pas en considération les charges de la maternité et de l’éducation des enfants, sans parler de l’exploitation des fonctionnaires femmes par des patrons et des directeurs qui les soumettent à leurs pressions dans plus d’un domaine.
Face à tout cela, nous mettons l’accent sur les questions suivantes :
Premièrement : La douceur est une méthode centrale en Islam. Elle y est prioritaire par rapport à la violence qui ne doit être utilisée que dans des situations exceptionnelles qu’impliquent les exigences de l’éducation ou de la lutte visant à contrer l’agression. Le Prophète, Muhammad (P), a dit à ce propos : « Jamais la douceur n’a été posée sur une chose sans l’avoir rendue plus belle ; jamais la violence n’a été posée sur une chose sans l’avoir rendue plus laide ». Cette méthode englobe toutes les relations humaines sans distinction entre homme ou femme ou entre grand et petit.
Deuxièmement : La prédominance de l’homme par rapport à la femme ne signifie pas qu’il lui est supérieur ou qu’il est souverain par rapport à elle. Elle signifie que l’homme est responsable de gérer les affaires de la famille sans despotisme mais dans un esprit de partenariat où l’homme et la femme se partagent toutes les affaires communes entre eux en tant que deux époux.
Troisièmement : Le fait, pour la femme, de remplir les tâches domestiques à partir de son sentiment humain, de son affectivité et de son esprit de sacrifice, tâches que l’Islam ne lui impose pas même pour ce qui est des soins à apporter aux enfants, dans la mesure où il respecte son travail dans ce domaine au point qu’il le considère comme un travail salarié, doit inciter l’homme à apprécier les sacrifices de la femme en lui apportant ses soins à lui et à sa famille. Cela ne doit donc pas inciter l’homme à l’arbitraire et à la violence dans la gestion de sa relation avec la femme.
Quatrièmement : L’Islam a institué une règle immuable pour fonder la relation de l’homme et de la femme dans la vie conjugale et dans la famille en général. Cette règle est celle du « bon usage ». Le Noble Coran dit à ce propos : ((Comportez-vous envers elles selon le bon usage)) (Coran IV, 19). Il dit aussi au sujet du divorce : ((Ou s’est la reprise conformément au bon usage, ou un renvoi avec bonté)) (Coran II, 229). Cette règle constitue une règle légale qui peut donner lieu à des qualifications légales qui annulent le mariage dès qu’il entre en tension avec le bon usage.
Cinquièmement : L’Islam considère la femme -dans le cadre du mariage- en tant qu’être juridique indépendant par rapport à l’homme du point de vue financier. L’époux n’a pas le droit de s’emparer de ses biens personnels ni d’intervenir dans son commerce ou dans ses intérêts qui ne le concernent pas en tant qu’époux, ou qui ne concernent pas la famille dont la gestion relève de ses responsabilités.
Sixièmement : L’Islam n’autorise l’homme d’exercer aucune forme de violence contre la femme. Il n’a pas le droit d’attenter à ses droits légaux qu’il doit respecter conformément au contrat de mariage, ni de la chasser de la maison, ni de l’insulter, de l’injurier ou de lui adresser des paroles dures. Cela constitue un péché pour lequel l’homme sera châtié par Dieu et poursuivi par la loi islamique.
Septièmement : Si l’homme exerce la violence physique contre la femme et que celle-ci se voit incapable de se défendre par un moyen autre que de lui rendre la pareille, cela lui est licite en tant que juste défense. Si l’homme exerce la violence juridique contre la femme en la frustrant de certains de ses droits conjugaux comme les dépenses ou la vie sexuelle, il est en son pouvoir de renoncer à ses obligations envers lui qui sont fixées par le contrat de mariage.
Huitièmement : L’Islam affirme que nul n’a de l’autorité sur la femme du moment qu’elle est pubère, adulte et autonome pour ce qui est de la gestion de ses propres affaires. Nul n’a le droit de lui imposer un mari qu’elle ne désire pas. Tout contrat de mariage doit être consenti par la femme. Sinon il est illégal et sans effets.
Neuvièmement : Comme nous tenons à protéger la famille, les lois qui régissent le travail de la femme doivent prendre en considération la compatibilité de son travail, quant il est voulu est choisi par elle, et de ses charges en rapport avec la famille, toute extorsion pouvant conduire à la dissolution de la famille, ce qui signifie que la société exerce une violence double à l’encontre de sa structure sociale et à son système de valeur.
Dixièmement : L’Islam insiste sur la place que la femme prend à côté de l’homme pour ce qui est de l’appartenance humaine, de la raison et de la responsabilité et ses conséquences. Il a fondé la vie conjugale sur l’amour et la compassion, ce qui donne à la famille une dimension humaine où ses membres se trouvent en interaction loin des considérations juridiques figées et sèches du point de vue spirituel et affectif. Cela donne une richesse spirituelle, de l’équilibre psychique, et de la hauteur culturelle et intellectuelle à l’humanité toute entière : Ses hommes et ses femmes, ses individus et ses sociétés.



Le Bureau d’Information de son Eminence,
l’Autorité religieuse,
l’Ayatollah Muhammad Hussein Fadlallah.
Beyrouth,
Le 17-11-1428 H / 27-11-2007 Ap. J. C.

source : http://francais.bayynat.org.lb/nouvelle/bayan27112007.htm
 
[FONT=&quot]

Oui oui bien sure, moi je parle de vos avis car, je n’essaye pas d’accepter le cote juridique, c’est chose faite, hmd, mais j’essaye de comprendre dans la mesure du possible. [/FONT]

[FONT=&quot]Si vous permettez, je voudrai que l’on mette les mal-intentionnés de cotes, et considérer ici le cas d’une personne honnête et sincère. C’est par rapport a ce cas que je pose mes questions. Une personne honnête sincère pourrais accomplir un acte illicite en étant dans l’ignorance, en ayant mal compris les textes. D’ailleur la discussion a laquelle j’ai voulu donner suite ici montre bien que tout le monde n’a pas compris la même chose. Par rapport a cela, j’ai poser ma question a savoir que mis a part la formulation de la phrase qui est une certitude pour tout le monde car juridique, comment savoir si je suis ou non dans le licite ? [/FONT]

[FONT=&quot]Alors, je résume ce que j’ai pus avoir comme avis jusqu’ici pour reformuler la question.[/FONT]


[FONT=&quot]Votre article frère mohalamine me suscite a l’esprit cette question. Quelque soi les règles et principes que mentionnent le noble Coran et les Paroles des Infaillibles. Ils ne garantissent en rien qu’une personne, se considérant comme les respectant, les respectent vraiment. Il en va de sa propre volonté, ( c’est d’ailleur ce qui fait le contexte de l’histoire, enfin soit.) De quelle manière alors est-il possible pour un croyant ou une croyante de connaitre un futur conjoint. S’assurer qu’il n’est pas du genre a avoir telle ou telle attitudes. En d’autre mot pour faire un pas qui ne sois pas regrettable ?[/FONT][FONT=&quot]


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Oui oui bien sure, moi je parle de vos avis car, je n’essaye pas d’accepter le cote juridique, c’est chose faite, hmd, mais j’essaye de comprendre dans la mesure du possible. [/FONT]

[FONT=&quot]Si vous permettez, je voudrai que l’on mette les mal-intentionnés de cotes, et considérer ici le cas d’une personne honnête et sincère. C’est par rapport a ce cas que je pose mes questions. Une personne honnête sincère pourrais accomplir un acte illicite en étant dans l’ignorance, en ayant mal compris les textes. D’ailleur la discussion a laquelle j’ai voulu donner suite ici montre bien que tout le monde n’a pas compris la même chose. Par rapport a cela, j’ai poser ma question a savoir que mis a part la formulation de la phrase qui est une certitude pour tout le monde car juridique, comment savoir si je suis ou non dans le licite ? [/FONT]

[FONT=&quot]Alors, je résume ce que j’ai pus avoir comme avis jusqu’ici pour reformuler la question.[/FONT]


[FONT=&quot]Votre article frère mohalamine me suscite a l’esprit cette question. Quelque soi les règles et principes que mentionnent le noble Coran et les Paroles des Infaillibles. Ils ne garantissent en rien qu’une personne, se considérant comme les respectant, les respectent vraiment. Il en va de sa propre volonté, ( c’est d’ailleur ce qui fait le contexte de l’histoire, enfin soit.) De quelle manière alors est-il possible pour un croyant ou une croyante de connaitre un futur conjoint. S’assurer qu’il n’est pas du genre a avoir telle ou telle attitudes. En d’autre mot pour faire un pas qui ne sois pas regrettable ?[/FONT][FONT=&quot]


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Salam aleykoum,

Le Coran précise qui nous pouvons épouser ou non.

Là, tu parles je pense de savoir comment connaitre les qualités ou défauts du conjoints qui nous seraient compatibles.
Sans la connaître, ce n'est pas évident. Nous pouvons être dans le licite mais avoir des personnalités incompatibles, mais c'est un autre problème, c'est un travail sur soi : les qualités peuvent s'améliorer et les défauts s'amoindrir.

Je laisse répondre les soeurs et frères qui sont réticents pour le mariage temporaire.
peux-t-on se lier pour la vie sans connaitre son conjoint ? si oui, quels peuvent être les risques et comment les résoudre si des attitudes ne nous plaisent pas ?
 

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