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La calamité du Jeudi

Adil

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Le jour le plus tragique du compagnon Ibn Abbas, quand le Messager de Dieu fut empêché d’écrire
un message qui préserverait la communauté de l’égarement

En l’an six cent trente-deux de l’hégire, alors que la vie du Messager de Dieu touchait à sa fin et que la maladie le rattrapait, la jeune communauté musulmane vivait des moments de plus en plus sombres et difficiles dévoilant ce qui ne présageait rien de bon pour l’Islam et sa communauté.

Il est historiquement établi dans toutes les références que plus la maladie du Prophète s’aggravait, plus certains compagnons se détachaient de leurs promesses d’obéissance envers Dieu et son Prophète obnubilés par la question de la succession et de la reprise du pouvoir.

Les références nous rapportent que les compagnons désobéirent au Prophète à plusieurs reprises, notamment lors de l’expédition vers la Syrie quand des musulmans furent injustement tués par les romains.

Le Prophète ordonna à tous ses compagnons, à l’exception d’Ali, de rejoindre au plus vite Osâmah à Jorf situé à cinq kilomètres de Médine. L’objectif du Prophète était d’organiser le départ au plus vite afin de surprendre l’ennemi.

Mais voilà, de nombreux compagnons refusèrent d’obéir à cet ordre du Messager de Dieu en disant :

« Il choisit un adolescent pour commander le chef des Muhâjirin ».

Osâmah fils de Zayd était en effet âgé de dix-huit ou dix-neuf ans, mais il avait été choisi par le Prophète pour sa fiabilité et sa loyauté sans faille, tout comme son père avant lui pour une autre expédition.

Cette réaction des compagnons mit le Prophète en colère et dit un jour après avoir présidé la prière :

« Ô vous les hommes ! Qu'est-ce que cela veut dire ? On dit que certains d'entre vous grognent contre le fait que j'aie nommé Osâmah pour le commandement de l'expédition vers la Syrie. Si vous me reprochez maintenant cette nomination, désormais vous me blâmerez aussi pour la nomination de son père, Zayd. Je voudrais que vous le traitiez bien, car il est l'un des meilleurs d'entre vous. Maudit soit celui qui s'abstient de rejoindre l'armée ».

Et il ordonna une nouvelle fois que tous les compagnons rejoignent Osâmah à Jorf et que l’armée se mette immédiatement en marche vers la Syrie.

Malheureusement, l’Histoire dans son unanimité nous enseigne que malgré cet ordre, les compagnons poursuivront leur désobéissance sans aucun égard pour le Prophète souffrant de sa maladie.

Certains savants sunnites répliqueront que les compagnons, dont Abu Bakr et Omar, craignaient que le Messager de Dieu ne quitte se monde en leur absence et que la seule idée que cela puisse arriver submergeait leur esprit de tristesse.

Mais le Coran ne dit-il pas :

« Que ceux, donc, qui s’opposent à son commandement prennent garde qu’une épreuve ne les atteigne, ou que ne les atteigne un châtiment douloureux. » (S24, V63) ?
Selon leur vision, les compagnons n’étaient-ils pas l’élite infaillible des musulmans dont la foi de certain était même supérieure à celle de toute l’humanité y compris le Prophète ?

Comment alors expliquer objectivement cette désobéissance ?

Quelques jours plus tard, alors que nous sommes le jeudi précédant son décès qui aura lieu le lundi suivant, profitant que beaucoup de compagnons et certaines de ses épouses étaient alors réunis dans sa chambre, le Messager de Dieu alité dit :

Approchez-vous que je vous écrive un Message qui vous préservera de l’égarement après moi.

Mais une nouvelle fois, certains compagnons s’opposèrent à cet ordre du Messager Dieu et Omar Ibn Khattab ira même jusqu’à dire : “ Le Messager de Dieu est terrassé par la maladie, il délire, vous avez le Coran, référons-nous à ce Livre de Dieu ”.

Choqués par cette attitude, des compagnons mais aussi les épouses du Prophète s’opposèrent immédiatement à Omar et à ceux qui le suivaient dans se désobéissance, en exigeant que l’on obéisse au Prophète en lui apportant de quoi écrire ce message qui empêcherait tous les musulmans de s’égarer après lui.

Il faut remarquer que rien dans ce que le Prophète se proposait de faire, ne s’apparentait ni de près, ni de lui à un quelconque délire consécutif à sa maladie, bien au contraire. Il se proposait d’écrire un message afin d’éviter que la communauté s’égare après lui.

Dieu dit dans le Coran : « Il ne prononce rien sous l’effet de la passion, ce n’est rien d’autre qu’une révélation inspirée » (S53, V3-4) et aussi « Ô les croyants ! Obéissez à Allah et Obéissez au Messager » (S4, V59) et encore « Que ceux, donc, qui s’opposent à son commandement prennent garde qu’une épreuve ne les atteigne, ou que ne les atteigne un châtiment douloureux. » (S24, V63)

Et pour terminer : « Ceux qui offensent Allah et Son Messager, Allah les maudit ici-bas, comme dans l’au-delà » (S33, V57)

L’Histoire rapporte que certains compagnons continueront d'outrepasser l’autorité absolue du Prophète jusqu'à sa mort et même bien après.

Certains comme Omar dirent, nous avons le Coran et il nous suffit, nous n’avons pas besoin de ce message quand bien même il nous empêchera de nous égarer après lui. Pour les savants sunnites, Omar est-il supérieur au Prophète pour décider de ne pas avoir besoin de ce message, lui qui ne connaissait même pas le verset du Tayammoun ?

Alors que les discussions s’envenimèrent entre les défenseurs du Messager et les autres, le Prophète affaiblit par la maladie et l’attitude irrespectueuse et désobéissante de certains compagnons, leur dit : “ Allez-vous en, sortez de chez moi ! ”.

Dieu dit dans le Coran : « Croyants! Ne couvez pas de votre voix celle du Prophète, et n'élevez pas le ton en lui parlant, comme vous le faites entre vous-même; vous risqueriez d'y perdre tout le bénéfice de vos œuvres à votre insu. » (S49, V2)

Ibn Abbas qui était présent ce jour-là, raconte que “ La plus grande calamité et le plus grand malheur se sont produits à cet instant, car le Prophète a été empêché d'écrire ce qu'il voulait. ” et il se mit à pleurer abondamment.

Omar a dit après avoir accusé le Prophète de délirer, le Coran nous suffit.

Certaines questions se posent comme :

Si l’intention d’Omar était bonne, pourquoi le Messager d’ALLAH n’a pas remercié Omar pour son attention en le jetant hors de sa maison ?

De quoi Omar avait-il si peur au point d’empêcher par tous les moyens le Prophète d’écrire un simple Message qui se proposait de garantir la guidance à toute la communauté après sa mort ?


Nos frères sunnites, attachés à la défense inconditionnelle et irrationnelle de leurs symboles pensent qu’Omar ne voulait faire que le bien afin de soulager le Prophète. Mais le mettre une nouvelle fois en colère et lui désobéir publiquement devant ses épouses est-il compatible avec cette thèse ?

--

Posons-nous une question. Qui oserait dire aujourd’hui en son âme et conscience que s’il avait vécu du temps du Prophète, il aurait suivi l’avis d’Omar en désobéissant à un ordre direct de son Prophète ?
Beaucoup pensent et en particulier les musulmans chiites attachés à l’obéissance inconditionnelle au Messager de Dieu, qu’Omar avait très peur de ce que le Prophète voulait transcrire noir sur blanc dans ce message qui avait pour objectif d’empêcher les musulmans de s’égarer après lui.

Quelques temps avant, le Prophète avait également fait une telle déclaration oralement à Ghadir Khum juste après le pèlerinage d’adieu, sur le chemin du retour vers Médine où il dit :

Ô gens, Il semble que le temps s’approche où je serai rappelé vers Dieu et je répondrai à cet appel.

Ô Peuple ! N’êtes-vous pas témoins qu’il n’y a pas de divinité autre que Dieu, que Muhammad est Son Serviteur et Son Messager, que le Paradis est vérité, que l’Enfer est vérité, que la mort est vérité, que la Résurrection est vérité, et que l’Heure arrivera avec certitude, et que Dieu ressuscitera les gens des tombes ?


L'assemblé répondit : Oui nous sommes témoins de ses vérités Ô Messager de Dieu.

Le prophète dit alors :

Ô gens, écoutez-moi bien, je laisse parmi vous deux Symboles précieux et lourds qui, si vous les respectez tous les deux, vous protégera de l’égarement après moi. Et chacun de ces deux surpasse l’autre par sa grandeur.

L'assemblée demanda, quels sont ces deux symboles précieux et lourd Ô Messager de Dieu ?

Le Prophète dit :

L’un d’eux est le Livre de Dieu et l’autre est ma descendance rapprochée, les gens de ma Demeure (Prophétique).
Prenez garde de la façon dont vous vous comporterez envers eux après moi car Dieu, le Miséricordieux, m’a informé que ces deux-là ne se sépareront pas l'une de l’autre jusqu’à ce qu’ils me rejoignent au ciel et au Bassin.


Il dit ensuite :

Je vous rappelle, au Nom de Dieu, les gens de la demeure Prophétique. Je vous rappelle, au Nom de Dieu, les gens de la demeure Prophétique. Une fois de plus, Je vous rappelle, au Nom de Dieu, les gens de la demeure Prophétique.

Voyez ! Je suis votre prédécesseur au ciel et au Bassin et je serai témoin contre vous.

Ainsi, prenez garde à la façon dont vous traiterez ces deux choses précieuses après moi.

Ne précédez pas ces deux-là car vous péririez, et ne restez pas loin d’elles car vous péririez.

Ô gens ! Ne savez-vous pas que j’ai plus d’autorité sur vous que vous-même ?


L'assemblée présente était en larme comprenant que la fin du Prophète était proche et répondit en cœur : Oui, ô Messager de Dieu.

Le Prophète dit alors :

Ô gens! N’ai-je pas plus de droit sur les croyants que ce qu’ils en ont sur eux-mêmes ?

L'assemblée répondit encore : Oui, Ô Messager de Dieu.

Puis le Prophète a dit :

Ô gens ! Certes, Allah est mon maître, et je suis le maître de tous les croyants.

Puis il saisit la main d’Ali (Ibn Abi Taleb), la leva et dit :

De qui je suis le maître, Ali est son maître. Ô mon Dieu, aime ceux qui l’aiment. Sois hostile envers ceux qui lui sont hostiles. Aide ceux qui lui portent secours et abandonne ceux qui l’abandonnent.
Fais de lui l’axe de la vérité. Ali, le fils d’Abou Talib, est mon frère, mon exécuteur testamentaire et mon successeur et le chef de tous les croyants près moi.

Sa position est envers moi la même que la position de Aaron envers Moïse, sauf qu’il n’y a plus de prophète après moi. Il est votre maître après Allah et Son messager.


Dans ce Hadith authentique et mutawatir, ce qui constitue une valeur optimale en matière de fiabilité qu’aucun Savant ancien ou contemporain n’osera jamais contester, et d’ailleurs rapporté par les plus grands narrateurs de Hadith sunnites et chiites, ce jour à Ghadir Khum le Prophète a présenté une voie pour protéger les musulmans de l’égarement après lui. Il dit : “ si vous les respectez tous les deux (les thaqalayn), vous protégera de l’égarement après moi. “, juste avant de présenter Ali Ibn Abi Taleb (qui fait partie des Ahl-ul-Bayt) comme son successeur et le chef de tous les croyants après lui. Ce hadith est rapporté par les plus grands les narrateurs principaux et les plus sûrs du sunnisme dont Sahih Muslim.

Dans le Hadith du jeudi précédent la mort du Prophète, ce dernier a simplement demandé de quoi écrire un Message qui vous préservera les musulmans de l’égarement après lui. Il dit : “ que je vous écrive un Message qui vous préservera de l’égarement après moi. ” Sahih Bukhari et Muslim

Exactement les mêmes termes sont utilisés.

A la lumière de ces informations incontestables et incontesté même dans le sunnisme, y compris par Albani, les musulmans chiites ont-ils tort de considérer que la crainte d’Omar Ibn Khattab était principalement que le Prophète confirme une nouvelle fois la légitimité d’Ali à sa succession ?

D’autant plus que les plus grandes références sunnites en matière d’Histoire confirment qu’Omar sera le premier à féliciter Ali et à lui prêter allégeance après le discours du Prophète à Ghadir Khum.

Cette thèse prend tout son sens lorsque l’on sait que tout juste après qu’ALLAH ait rappelé son bien aimé Prophète auprès de Lui, Omar et Abu Bakr seront parmi les premiers à s’éclipser discrètement et à se précipiter à Saqifah pour s’accaparer la reprise du commandement, pendant que les autres compagnons fidèles étaient occupés aux préparatifs des funérailles du Prophète.

Comment expliquer qu’Omar qui a assisté au discours de Ghadir Khum et qui fut le premier à prêter allégeance à Ali, fera tout d’abord tout pour ne pas quitter Médine en rejoignant l’expédition vers la Syrie, et ensuite fera tout pour empêcher le Prophète d’écrire ses dernières volontés, un message prévenant l’égarement de la communauté.

Aucun esprit rationnel, objectif, soumis à Dieu et à Son Prophète ne pourra plus défendre aucunement l’attitude d’Omar. Et celui, qui malgré tout voudra le faire, qu’il assume alors son choix le Jour du Jugement et qu’il espère l’intercession d’Omar plutôt que de celle du Prophète.

Rien dans l’Islam n’implique le devoir de mettre les compagnons au-dessus du Prophète, ni au même niveau. L’attestation de foi se compose d’une soumission à Dieu et à Son Prophète uniquement.

L’Histoire nous enseigne qu’à cause de la désobéissance de ces compagnons outrepassant les ordres et directives du Prophète, l’Islam sera affecté et fragilisé en permettant aux pires ennemis du Prophète d’accéder seulement quelques années plus tard au commandement, massacrant injustement de nombreux musulmans. A cause de leur désobéissance, il ne faudra même que quelques années pour que Muawiyah fils d’Abu Sofyan et son fils Yazid accèdent sournoisement au pouvoir par la trahison parsemant d’immenses injustices et de crimes la communauté, les conduisant même l’attaque de la Mecque avec la destruction de la Kaaba et ensuite celle de Médine tuant des milliers d’innocents, sans oublier le viol de milliers de musulmanes.

N’oublions pas non plus le sort des membres de la famille du Prophète, les Ahl-ul-Bayt en commençant par les petits enfants du Prophète al-Hassan et al-Husseïn, qui seront tous assassinés brutalement. Le Prophète n’avait-il pas dit à trois reprises dans un hadith authentique : “ Je vous rappelle, au Nom de Dieu, les gens de la demeure Prophétique. ” ?

Voilà les conséquences de la désobéissance d’Omar et de ses amis, qui considéraient leurs ambitions et leurs propres intérêts au-dessus de leur loyauté envers le Prophète.
Encore une fois, quel musulman peut-il en son âme et conscience continuer de justifier cette désobéissance sachant que le Jour du Jugement, nous devrons tous justifier de nos positions envers Dieu, son Prophète qui sera le seul à pouvoir intercéder en notre faveur mais aussi sa famille proche ?

Nous pourrions également parler d’un autre fait historique unanimement reconnu aussi bien chez les sunnites que chez les sunnites, où Omar menaça de brûler vive Fatimah az-Zahra avec ses enfants et son mari s’ils persistaient à refuser de venir prêter allégeance à son ami :


Selon le célèbre et fidèle compagnon Salman Farsi, le Saint Prophète a dit :

L’amour de Fatima nous est utile dans cent endroits différents, le plus facile d’entre eux étant la mort, la tombe, le Mizan (l’équilibre), Sirat (le pont) et l’interrogation. Ainsi, si ma fille Fatima est satisfaite avec quelqu’un d’entre vous, je suis également satisfait de lui, si je suis satisfait de quelqu’un, Allah est également satisfait de lui. Si ma fille, Fatima est contrariée avec quelqu’un d’entre vous, je suis également contrarié avec lui, si je suis contrarié avec lui, Allah l’est également. Que l’ennui soit sur celui qui opprime Fatima et son mari. Que l’ennui soit sur celui qui opprime Ali et Fatima et leurs partisans. ” ( Ahmad Ibn Hanbal dans son Musnad )

Le Messager de Dieu a-t-il accordé la même valeur à quelques compagnons que ce soit ?


Ainsi, chaque musulman doit absolument connaître l’importance d’aimer et de satisfaire dans ses positions dogmatiques les proches de la Famille du Prophète, ce qui implique naturellement de condamner les injustices commises envers eux, en particulier envers Ali, Fatimah, al-Hassan et al-Husseïn. Malheureusement, peu de gens comprendront cela avant qu’il ne soit trop tard, mais par cette vidéo, nous considérons que notre devoir de rappel est fait.

Dieu dit dans le Coran : « Dis : "Je ne vous demande aucun salaire pour cela, si ce n'est votre amour envers les Proches." » (S42, V23)

Que la prière soit sur Muhammad et la famille de Muhammad
 
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En l’an six cent trente-deux de l’hégire, alors que la vie du Messager de Dieu touchait à sa fin et que la maladie le rattrapait, la jeune communauté musulmane vivait des moments de plus en plus sombres et difficiles dévoilant ce qui ne présageait rien de bon pour l’Islam et sa communauté.

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Les références nous rapportent que les compagnons désobéirent au Prophète à plusieurs reprises, notamment lors de l’expédition vers la Syrie quand des musulmans furent injustement tués par les romains.

Le Prophète ordonna à tous ses compagnons, à l’exception d’Ali, de rejoindre au plus vite Osâmah à Jorf situé à cinq kilomètres de Médine. L’objectif du Prophète était d’organiser le départ au plus vite afin de surprendre l’ennemi.

Mais voilà, de nombreux compagnons refusèrent d’obéir à cet ordre du Messager de Dieu en disant :

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Osâmah fils de Zayd était en effet âgé de dix-huit ou dix-neuf ans, mais il avait été choisi par le Prophète pour sa fiabilité et sa loyauté sans faille, tout comme son père avant lui pour une autre expédition.

Cette réaction des compagnons mit le Prophète en colère et dit un jour après avoir présidé la prière :

« Ô vous les hommes ! Qu'est-ce que cela veut dire ? On dit que certains d'entre vous grognent contre le fait que j'aie nommé Osâmah pour le commandement de l'expédition vers la Syrie. Si vous me reprochez maintenant cette nomination, désormais vous me blâmerez aussi pour la nomination de son père, Zayd. Je voudrais que vous le traitiez bien, car il est l'un des meilleurs d'entre vous. Maudit soit celui qui s'abstient de rejoindre l'armée ».

 
Salamoun'alaykom
J'espère que vous vous portez bien ainsi que votre famille.
J'attend votre réponse si c'est bien ce genre de lien que vous souhaitez, ou bien vous préférez le scan de la page sur le livre en papier ?
 
Salamoun'alaykom
J'espère que vous vous portez bien ainsi que votre famille.
J'attend votre réponse si c'est bien ce genre de lien que vous souhaitez, ou bien vous préférez le scan de la page sur le livre en papier ?

Salamou 'alaykoum

Al hamdoulillah, nous allons bien. Et vous, de votre côté, tout va bien ?

Désolé, je pensais vous avoir répondu.

Non, c'est parfait, qu'ALLAH vous bénisse.

Ce site aussi est pas mal et en plus, il donne simultanément les textes en anglais et en arabe.


Il existe beaucoup d'outils intéressants aujourd'hui permettant d'effectuer facilement des recherches et où personne ne pourra jamais nous accuser d'inventer ou de falsifier des textes.

Je m'occupe de la maquette ce week-end incha ALLAH, j'ai réuni ce dont j'avais besoin.
 
Salamou 'alaykoum

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Désolé, je pensais vous avoir répondu.

Non, c'est parfait, qu'ALLAH vous bénisse.

Ce site aussi est pas mal et en plus, il donne simultanément les textes en anglais et en arabe.


Il existe beaucoup d'outils intéressants aujourd'hui permettant d'effectuer facilement des recherches et où personne ne pourra jamais nous accuser d'inventer ou de falsifier des textes.

Je m'occupe de la maquette ce week-end incha ALLAH, j'ai réuni ce dont j'avais besoin.
Salamoun'alaykom

Qu'Allah sw vous bénisse. Nous allons bien.

Si c'est ce genre de références que vous cherchez, le travail sera facile et rapide. Ce qui prend plus de temps et d'efforts de recherche ce sont les scan des textes sur papier. Surtout que les pages des livres sur le net ne sont pas les mêmes que ceux entre les mains.
 
Salamou 'alaykoum

Plus facile et plus crédible, car personne ne pourra nous accuser d'avoir inventé de faux scans vu que les sites de références sont sunnites.

Qu'ALLAH vous bénisse.
 

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