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L'évangile de Barnabé

Zein el Abidin

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Chers frères et soeurs,

Est-ce que l'un d'entre vous aurait un lien de téléchargement de l'évangile de Barnabé (ebook) svp ?? Ou un site d'où on peut télécharger plusieurs ebooks traitant de la religion ?

Chokran wa takabal ALLAH :azwj: a3malakom
 
Salamoun'alaykom

Chers frères et soeurs,

Est-ce que l'un d'entre vous aurait un lien de téléchargement de l'évangile de Barnabé (ebook) svp ?? Ou un site d'où on peut télécharger plusieurs ebooks traitant de la religion ?

Chokran wa takabal ALLAH :azwj: a3malakom

J'espère que ce lien vous sera utile ( voir la fin du lien)
 
Chokran al batoul mais je n'ai pas trouvé cet évangile à proprement dit.. Ce n'est pas grave je continue mes recherches et encore merci pour ton aide :D
 
Alf chokr akhouna youssef :) !!! Merci à tous pour votre aide wa Barak Allah fikom
Salam alykoum,
Je viens de parcourir l'evangile de barnabé et là...no comment!
J'en avais entendu parler avant où l'on disait que c'était le seul évangile où on trouve le nom de "MOHAMMED"cité.Mais là,Jesus(as) en parle dans tout l'évangile.Je comprends pourquoi on l'a interdit.Mais question;quand a-t'-il été trouvé,où et aujourd'hui où est-t'il?merci
salam laykoum
 
Salam alykoum,
Je viens de parcourir l'evangile de barnabé et là...no comment!
J'en avais entendu parler avant où l'on disait que c'était le seul évangile où on trouve le nom de "MOHAMMED"cité.Mais là,Jesus(as) en parle dans tout l'évangile.Je comprends pourquoi on l'a interdit.Mais question;quand a-t'-il été trouvé,où et aujourd'hui où est-t'il?merci
salam laykoum

Les débuts de l'affaire (XVIIe- XVIIIe siècles)

Il existait, dans le très haut Moyen Age, un siècle avant l'islam, un évangile de Barnabé ; ce nom figure sur plusieurs listes d'ouvrages condamnés (décret du Pseudo-Gélase, etc.). Mais seul le nom est connu ; ni le texte lui-même, ni aucun témoignage sur la doctrine qu'il enseignait ne sont parvenus jusqu'à nous.
Dix siècles plus tard, le nom réapparut et cette fois-là en liaison avec un texte précis, à forte saveur musulmane. Etait-ce celui que visait le décret du Pseudo-Gélase ? Etait-ce un tout autre ouvrage publié sous le même titre ? Les études devaient montrer que le livre actuel formait un ensemble parfaitement cohérent, ne pouvant pas avoir été rédigé avant notre Renaissance et qu'il avait été écrit en Occident. Il ne s'agissait donc pas du même texte et le « pseudo-Barnabé » n'avait aucune autorité d'évangile. Ses affirmations avaient la valeur des sources auxquelles elles avaient été empruntées.
Nous désignerons par le sigle EB l'évangile de Barnabé, par EBI le texte italien, par EBS le texte espagnol. La première version de l'EB qui avait laissé des traces est le texte espagnol. Un manuscrit (ms9653, f° 178) à la bibliothèque nationale de Madrid en parle. Cet ouvrage avait été signalé en 1977 par Louis Cardaillac, historien de l'Espagne et spécialiste des morisques. L'auteur du manuscrit, en effet, est un morisque, un de ces musulmans espagnols extérieurement convertis au christianisme après la reconquista mais gardant leur foi musulmane dans leurs cœurs. Ce texte cité signale que la venue future de Mohammad est annoncée dans l'Evangile de Barnabé, ce qui est exact.
Au début du XVIIIe siècle, la totalité de cet évangile en version italienne comme en version espagnole est vue et signalée pour la première fois. Un conseiller du roi de Prusse, P. Cramer, qui résidait à Amsterdam, avait fait l'acquisition du texte italien. En 1709, il le prêta à un érudit, humaniste unitarien, John Toland, qui fut un des premiers à en parler. Le manuscrit lui-même suivit un itinéraire qui le conduisit finalement à Vienne (Autriche) où il se trouve encore aujourd'hui à la bibliothèque nationale.
John Toland perçut immédiatement l'aspect musulman du texte de l'EBI. Il se demanda s'il ne se trouvait pas en face d'un évangile répandu en Arabie à l'époque de Mohammad. Mais avec sagesse, il jugea qu'un supplément d'enquête s'imposait avant qu'il ne soit possible de se prononcer. Il rassembla même une série de questions qu'il serait bon d'adresser aux chrétiens résidant en terre d'Islam pour faire la lumière sur plusieurs points importants. De fait, l'aspect d'érudition devait attendre le début du XX è siècle pour être vraiment abordé.
Quant à l'EBS, le texte espagnol, un orientaliste George Sale l'a eu sous les yeux. Dans l'introduction à sa célèbre traduction anglaise du Coran, publiée pour la première fois en 1734, il en parla. On apprît ainsi par lui que le prologue de l'EBS présentait le texte espagnol comme traduit à partir de l'italien. L'EBI toujours d'après ce prologue aurait été caché au Vatican ; le pape Sixte Quint (1585-1590) l'aurait conservé dans sa bibliothèque personnelle. Un religieux en visite chez lui l'aurait subtilisé et, après sa lecture, se serait converti à l'islam. Cette préface mélodramatique ajoute que le religieux en question, intrigué par un texte de saint Irénée dirigé contre saint Paul et qui alléguait l'autorité de l'Evangile selon Barnabé recherchait depuis quelques temps cet évangile. De telles allusions à l'œuvre de saint Irénée qui est à l'heure actuelle fort bien connue et ne contient rien de tel, montrent le caractère fantaisiste du récit. Le texte espagnol passa ensuite pour perdu jusqu'en 1976, date à laquelle sa présence a été signalée dans une bibliothèque de Sydney (Australie), la Fisher Library. L'exemplaire de Sydney est incomplet ; les chapitres 120 à 200 inclus manquent sur un total de deux cent vingt-deux . Une mention manuscrite sur cet exemplaire apprend que le texte avait été recopié sur celui qui avait appartenu à George Sale.



Est-il possible de dater plus précisément le texte ?

Bref, que l'évangile de Barnabé sous sa forme actuelle ait été rédigé d'après les évangiles canoniques et s'en inspire est évident. Il leur est donc postérieur. En outre, dans ses exposés de spiritualité cet évangile reproduit des thèmes qu'il serait invraisemblable de trouver avant une date tardive, mettons le milieu du Moyen Age, et en Occident. Ainsi la topographie des régions de l'enfer ou encore la division des péchés capitaux devenus péchés mortels, ou la description des phénomènes qui précéderont le Jugement dernier. Enfin, la critique des prêtres et des religieux se fait en des termes qui rappellent beaucoup plus l'anticléricalisme occidental médiéval que la vie au Proche-Orient à l'époque à l'époque de Jésus. Même la façon de parler des pharisiens remontant à l'époque d'Elie vise avant tout les religieux occidentaux de la fin du Moyen Age et de la Renaissance.
Un dernier argument nous conduit après l'an 1350. Jésus parle des temps messianiques de l'avenir et ajoute : « et l'année du jubilé qui maintenant revient tous les cent ans reviendra chaque année et en tout lieu à cause du Messie » (ch. 82).
Le jubilé était une institution juive périodique tombant tous les cinquante ans. Le jubilé tous les cent ans fut une exception dans l'église romaine lorsque fut décrétée en 1300 une année jubilaire qui aurait du se renouveler cent plus tard. Mais, dès 1350, la périodicité augmenta. Il y eut un jubilé en 1350 et ensuite tous les 25 ans. Que les années jubilaires au lieu de tomber tous les cent ans se soient multipliées, est un phénomène qui nous reporte après 1350.
L'étude des Ragg vit le jour en 1907. L'ensemble des orientalistes l'approuva. « Apocryphe incontesté », écrivit Louis Massignon dans la Revue du Monde Musulman ; « fumisterie » (Gaukelei), déclara Ignace Golziher dans ses études sur le Coran. Quant au P. Lagrange, il eut ces mots dans une recension : « c'est un curieux monument d'un étrange état d'âme ; il n'est pas aussi ennuyeux que d'autres apocryphes » (Revue Biblique, 1908, p.300.).
Du côté musulman, par contre, les arguments n'eurent aucun impact et, sauf dans quelques cas bien précis, l'engouement continua comme avant. Bien plus, le texte fut désormais entre les mains de ceux qui voulaient le consulter. Il venait d'être publié en traduction anglaise. Il fut aussitôt traduit en arabe (1908) au Caire, sous le patronage de la revue réformiste, le Manar. Ensuite, d'autres traductions furent mises en chantier, sans que jamais l'étude critique soit reproduite. Depuis lors, tous les travaux musulmans sur la christologie ou la vie de Jésus s'en inspirent. Même la simple existence de cet évangile sert à jeter la suspicion sur la fiabilité de nos évangiles : elle est mentionnée comme preuve de la véracité de ce que le Coran dit de Jésus.


Retour en Andalousie. Les faux documents de Grenade (fin du XVIe siècle)

Dans le cas des forgeries, il est toujours difficile de reconstituer ce qui s'est passé. Silence et dissimulation sont de mise. Dans le cas présent, l'on sait que des crypto musulmans, après la chute du royaume de Grenade, sont à l'origine de la « découverte » d'une série de faux documents autour de cette ville. Tout commença en 1588, lors de la destruction d'un ancien minaret qui gênait la construction d'une grande église. Un coffret de reliques fut trouvé, il se présentait comme remontant aux temps apostoliques et aux débuts de l'épiscopat en Espagne. Puis d'autres pièces furent mises au jour, notamment des plaques de plomb (appelées livres de plomb) couvertes de textes en castillan et en arabe, censés dater de l'époque des apôtres. Les autorités ecclésiastiques firent appel à des morisques pour les traduire ; mais certains se demandèrent si les auteurs des faux n'étaient pas justement ces traducteurs. Il existe plusieurs études sur ces faux. La plus accessible est encore en anglais : Thomas Kendrick, Saint James in Spain, London, 1960.
Or, parmi les livres de plomb, il s'en trouve un qui parle du « Véritable Evangile ». Ce livre intitulé : « Libro de la Historia de la Verdad del Evangelio » est édité dans le recueil Los libros Plumbeos del Sacromonte, edicion de Miguel José Hagerty, Madrid, 1980, pp. 119-130. Le texte raconte comment la Vierge Marie a confié à l'apôtre Jacques le Véritable Evangile pour qu'il l'emporte en Espagne et l'y cache. Ainsi, échappera-t-il aux altérations. Il est même donné diverses précisions, avec mention de Chypre, ce qui suggère l'idée de Barnabé. L'évangile de Barnabé lui-même enseigne que Jésus n'est pas le Messie et que Mohammad est le Messie annoncé. Cette idée est assez curieuse dans la bouche d'un musulman car le Coran dit formellement de Jésus : « son nom sera al-Masïh Isa, fils de Marie » (Coran 3,45). Mais les dernières études sur les morisques ont montré que parmi eux, pour exalter Mohammad, certains disaient que Jésus était le Messie des enfants d'Israël tandis que Mohammad était le Messie universel. Nous ne sommes plus bien loin de Barnabé.
Finalement, cette dernière attitude reviendrait à voir dans ce texte un faux évangile destiné à renforcer dans leur foi les crypto-musulmans. En réalité, la préparation de toute cette affaire prit du temps. L'expulsion des morisques en 1609 survint avant que tout ne soit au point. Désormais, l'évangile selon Barnabé ne présentait plus le même intérêt, pour les morisques revenus en terre musulmane et qui n'avaient plus à vivre en dissimulant leur foi.
Il fallut attendre le XIXe et surtout le XXe siècle pour que cet apocryphe retrouve son intérêt pour la propagande musulmane. Il ne l'avait d'ailleurs jamais vraiment perdu et en 1908, dans sa recension du livre des Ragg, le P. Lagrange le notait bien lorsqu'il présentait : « Un ouvrage qui connaît très bien les évangiles et même la Vulgate et qui se sert de la prédication de Jésus pour faire de la propagande en faveur de Mahomet » (Revue Biblique, 1908, p. 300).
Il reste une question : en quelle langue a été écrit le texte original de cet évangile. L'idée qu'il y aurait eu au point de départ un texte arabe est abandonnée car il n'y a vraiment aucune trace de tournure arabe dans le style. Quant à croire l'exemplaire espagnol traduit sur l'italien comme l'affirme l'EBS, les derniers chercheurs ne le pensent pas. Pour eux, l'espagnol est le texte premier mais l'histoire d'un original italien a été inventée pour justifier sa découverte au Vatican et lui donner plus d'autorité. Un fait est certain : la rédaction actuelle EBS ou EBI date au plus tôt du XVIe siècle. Elle n'a aucune autorité d'évangile. La traduction italienne porte des marques qui suggèrent que ce dernier travail a été fait en Turquie dans les milieux de morisques réfugiés (type de la reliure, notes en arabes écrites en graphie orientale).
Au fond, il semble bien que, pour beaucoup de musulmans, le fait que les chrétiens soient gênés par l'évangile selon Barnabé est la vraie raison de le prendre au sérieux. Ensuite, sa doctrine, sauf pour la question du Messie, est conforme au Coran (ce qui est normal car il s'en inspire).
Enfin le caractère de Messie accordé au Christ n'a guère d'importance dans le patrimoine musulman. C'est un titre d'honneur général qui ne comporte pas les implications historiques que nous lui connaissons dans l'histoire du judaïsme.
De plus, les traductions arabes ont évité de rendre messie par le mot normal al-masîh mais, en général, ont simplement transcrit en arabe les lettres du mot anglais ou italien.



http://biblio.domuni.org/articlesbible/barnabe/
 
Salâm.

Ce sont ici les propos mensongers rapportés par les Chrétiens pour dénigrer cet évangile bien plus authentique que les 4 évangiles canonisés et pour le rejeter car il contient des informations allant à l'encontre de leurs intérêts.

Il existe des études qui démontrent bien que le style utilisé dans cet évangile correspond parfaitement au langage du Prophète 'Issa (as) et à l'inspiration divine. Ce qui dérange les chrétiens, c'est la similitude avec les données coraniques, mais pour un musulman, c'est justement la preuve de son authenticité, puisque le Coran est la parole de Dieu, et que 'Issa (as) rapporte également la parole de Dieu.

Quand j'aurai plus d'informations je vous les transmettrai. Inchâ Allah.
 
Salâm.

Ce sont ici les propos mensongers rapportés par les Chrétiens pour dénigrer cet évangile bien plus authentique que les 4 évangiles canonisés et pour le rejeter car il contient des informations allant à l'encontre de leurs intérêts.

Il existe des études qui démontrent bien que le style utilisé dans cet évangile correspond parfaitement au langage du Prophète 'Issa (as) et à l'inspiration divine. Ce qui dérange les chrétiens, c'est la similitude avec les données coraniques, mais pour un musulman, c'est justement la preuve de son authenticité, puisque le Coran est la parole de Dieu, et que 'Issa (as) rapporte également la parole de Dieu.

Quand j'aurai plus d'informations je vous les transmettrai. Inchâ Allah.

Sans oublier qu'il devraient revoir l'histoire de leurs écrits, les nouveautés instaurés à l'époque par certains personnages comme ce fameux Concile de Nicae.. L'altération des écrits et j'en passe... :

http://www.aimer-jesus.com/alteration_manuscrits_bible.php

http://www.aimer-jesus.com/histoire_trinite.php
 
Assalam;

En me rendant sur un site Salafi où j'avais posté ce sujet en 2005, j'y ai trouvé une copie de mon texte que j'avais posté sous le pseudo ITHVIRIW.
Je vous en fait copie, et à la fin vous trouverez le lien vers le livre.
http://www.aimer-jesus.com/evangile_barnabe_texte.php
41H5RWWGM3L._SL110_.jpg

Assalamou 'alaikoum wa Rahmatou Allahi wa Barakatouhou;

Je mets cet article uniquement parce que trop souvent nous entendons dans les pays du Maghreb, et en particulier en Algérie, nos frères Algériens arabophones, nous tenir un discours réducteur, disant que les "Kabyles" se christianisent facilement, oubliant de dire que par cette attitude, nombre de nos jeunes "kabyles christianisés", disent l'avoir été en REACTION à un discours arabiste hérité du ba'athisme, mais en fait beaucoup plus ancré dans l'inconscient collectif, et qui remonte en fait aux méthodes utilisées par les conquérants "arabes Omeyades", qui ont utilisé l'argument " du Jihad pour Allah", en vue de conquérir des richesses "au passage" et nier la personalité des Amazighes, pour les "assimiler", et en faire non point des EGAUX, comme l'ordonne LE CORAN " Les Croyants sont FRERES", mais pour en faire des SUJETS exploitables et CORVEABLES à merci...

L'Islam, n'est donc pas responsable de ces errements des conquérants arabes, qui ont tout autant DEVIE de l'Islam de Mouhamad, aswaws, et de sa Tradition, et évidemment du CORAN, livré à l'interprétation du hasard et de la seule "intelligence et de la raison de ceux", dont c'est la tâche, mais qui demeurent encore de nos jours, soumis aux pesanteurs des " à priori" hérités des "premiers interprètes", post Mohamed, aswaws, et de leurs émules, qui ont ignoré les guides assignés par le Prophète, aswas, lui-même, tels le plus savant et le plus fidèle parmi ses Compagnons, celui qu'il a désigné du qualficatif, de " Assidik Ali, as, IMAM Al Mou'minin", qualificatif insidieusement attribué après leur mort à des Califes, qui n'en avaient ni les compétences, ni le besoin...

Lorsque l'on dévie, de la Souna, ou de la Parole, on obtient l'ostracisme des vrais chrétiens "musulmans" qui deviennent comme de nos jours, des "chrétiens sionistes" qui enfourchent les idéaux de la Guerre contre "Le MAL", c'est à dire, contre Elohim, Dieu de Jésus, Allah, au nom de leur "dieu du bien, Lucifer", c'est à dire, le "dieu" de la Globalisation, du Manichéisme, et de la domination du Monde, par les "illuminatti", et le Pouvoir de l'Argent :

" In God we Trust", ce God, n'est point le God des Prophètes, mais bien le "god des illuminatti", c'est à dire des EVANGELISTES, qui veulent nous instituer une "civilisation judéo-chrétienne", dominatrice, INTOLERANTE, et EXCLUSIVE, dont nos "kabyles évangélisés", ne sont que les pauvres victimes, impuissantes, tout comme les arabistes, des jouets, les "jihadistes takfiristes", des moyens de rameuter des fidèles "au dieu Dollar", parmi les victimes du TERRORISME de l'INTOLERANCE religieuse.

Durant ces jours de l'anniversaire de GHADIR KHUM, quand Rassoulou Allah, :saws:, annonça la clôture de la Révélation, le 18 Dhou El Hidja, de l'An 10 H, puis nous laissa comme Guide (Imam), et Son Successeur (Khalife), Amir Al Mou'minin, Ali, as, et comme Témoins sa descendance ( 'Itra), du nombre desquels seront désignés les imams, et donc l'amour pour ses Ahl el Beyt,:as:, comme un fondement cardinal pour affermir la foi de tout croyant, par ces simples mots, il m'est apparu nécessaire de faire un parallèle avec une autre HERESIE survenue contre les apôtres, la famille de Jésus, as, et enfin son Message qui ne laisse aucune place à la confusion du Messager, devenu par la grâce des mythes païens, le "fils", du Dieu Créateur devenu par la volonté des Empereurs omnipotents, "Le Père" créateur, et enfin le "Saint Esprit", pour signifier le Message ou "La Parole" et ses instruments...

C'est la même démarche qui a été suivie et a prévalu chez les "sounis", et en particulier chez les "nacibis": Dieu sera fait "homme", par un cheikh el Fitten Ibn Taymiya, sevré de culture chrétienne, du fait de sa trop grande proximité avec les chrétiens syriens qui ont contribué à le manipuler durant ses incessantes "polémiques", et l'ont manœuvré, pour en faire le chef de file des anthropomorphistes "musulmans".

" Je vous laisse deux poids lourds, Le Coran, et mes Ahl el Beyt, :as:, et tant que vous vous y attacherez, vous ne dévierez point.... O Croyants, je ne vous demande aucun salaire, sinon votre amour pour ma descendance, montrez moi, comment vous allez chosir mes successeurs en leur sein.... Ma descendance, et le Coran sont tels une corde tendue entre Ciel et Terre, accrochez vous à elle.... Ma descendance sont tels l'Arche de Noé, quiconque y embarque, ne déviera point, et quiconque s'en éloigne, s'éloigne de ma Voie.... !
O Croyants, ai-je diffusé le Message d'Allah ?
Les pélerins dirent Nous Témoignons,
O croyants, pour quiconque je suis le Seigneur ( le Guide), Ali ci-présent, est Son Guide et Seigneur !!!
O Allah, Sois témoin, que j'ai rempli Ma Mission et diffusé Ton Message
!"


C'est pour cela que le discours de GHADIR KHUM est peut être le plus important discours de Rassoulou Allah, aswaws, suivi de celui qui l'a précédé 8 jours plus tôt à Arafa et connu sous le nom de Discours de l'Adieu.

Malheureusement 86 jours plus tard, un groupe de Compagnons dissidents et rebelles, trahiront le Serment d'Allégeance à l'imam ALI, as, à Ghadir Khum, prêté pourtant sur injonction d'Allah, à Son Envoyé, Mouhamad,:saws:, et ils se saisiront du Pouvoir par la VIOLENCE à Sakfet Bani Sa'ad; mais pire, ils substitueront à la Souna de Mouhamad Rassoulou Allah, aswaws, leur propre "souna", c'est à dire la SOUNA des Califes et leurs partisans prendront le nom des "Ahl es Souna" et lorsque 30 ans plus tard, le talik Moua'wiya Ibn Abi Soufyane se saisira à son tour du Califa par la ruse et la guerre de clans contre les symbôles de l'Islam, et surtout contre la Tradition de Rassoulou Allah, aswaws, et qu'il créera une école pour forger des "hadiths" en mettant à la tête de cette école Abou Houreyra, et le rabbin juif converti Kaab Al Ahbar, et qu'il ordonnera une interprétation du Coran sur la base des "Isra'iliyate", enseignées par ka'ab Al Ahbar, la secte dissidente "Ahl es Souna" entrera dans l'HERESIE et prendra le nom de " Ahl es Souna wa EL DJAMA'A", qui deviendra Rite d'ETAT, alors que les musulmans croyants demeurés fidèles à Rassoulou Allah, aswaws, et donc à sa 'Itra, et autres Ahl El Beyt, as, conserveront le nom de"chi'at Ali, as",.

Les chiites prendront non point comme Guides les Rabbins, ou les Compagnons tardifs, comme Abou Houreyra, ou les taliks, comme Mou'awiya et les Omeyades, mais au contraire LE CORAN avec ses interprètes légitimes, les Ahl el Beyt, as nourris à la Source de la Révélation, et pour hadiths, EXCLUSIVEMENT ceux qui auront eu l'imprimatur des imams Ahl el Beyt, as dont la Science était reconnue par TOUS les musulmans, y compris par leurs ennemis les plus féroces, comme les NACIBIS, c'est à dire ceux qui voulaient se passer de la Descendance de Rassoulou Allah, aswaws, et leur préféraient les "musulmans et les Compagnons de la 25ième heure"....

C'est en fait, exactement ce qui est arrivé au Message de Sidna Issa, as, lorsque les juifs se sont emparés en compagnie de quelques apôtres dissidents, du Christianisme, et sous la pression des païens romains, tels Constantin, ils substitueront au Message Evangélique de Jésus, as, les "paroles forgées par les prêtres et évêques" réunis dans les Conciles, tels celui de Nicée, par les Empereurs comme Constantin, et apparaîtront alors les "Evangiles", réédités par ces "Témoins" qui n'ont pour la plupart pas ou très peu connu Jésus, as, et évidemment, les Evangiles laissés par les COMPAGNONS et les apôtres, seront mis au PILORI par le POUVOIR IMPERIAL, qui ne laissera subsister que ce qu'il considérera "non détrimental au Pouvoir des Césars", mais au contraire, un sérieux allié.

La similitude avec le PUTSH des Compagnons Conjurés de sakfet Bani Sa'ad, le Jour des funérailles de Rassoulou Allah, aswaws, auxquelles ils n'assisteront évidemment pas, car préoccupés EXCLUSIVEMENT par le Pouvoir Califal vain, éphémère et surtout TROMPEUR, va nous amener à faire un parrallèle avec cet
Evangile de BARNABE ( BAR = frère , NABE= nabi ou Prophète).

Le "bar" (frère) de Rassoulou Allah, :saws:, était en effet, selon la cérémonie du Ta'akhi, faite par Rassoulou Allah, :saws:, à son arrivée à Médine, l'imam Ali, :as:, alors que par exemple, le bar de Abou Bekr, était Omar...

Donc l'Evangile du "frère" (bar) de Jésus, as, (BAR NABE), sera considéré par l'Eglise impériale, "apocryphe" et il sera caché.

L'Eglise née de l'hybridation entre judaïsme, chiristianisme et paganisme, le cachera, le détruira, interdira sa diffusion, le brûlera, et continuera encore de nos jours, de tenter de discréditer son authenticité, en l'attribuant FAUSSEMENT et effrontément à des "musulmans", alors que cet Évangile est le plus ancien des Évangiles, les autres ayant TOUS été systématiquement RÉÉCRITS par l'Église, tout comme d'ailleurs depuis la "repentance de Jean XXIII aux juifs, lors de son voyage au Mur des lamentations", il fut décidé par l'Église de RÉÉCRIRE les catéchismes, mais pas uniquement, mais de RÉÉDITER les quatre Évangiles "canonisés par l'Église Vaticane", en EXPURGEANT le déicide commis présomptueusement par les juifs contre Sidna Issa, :as:",
le Coran évidemment attestant que "les juifs, ne l'ont point tué, ni crucifié, et qu'ils ont cru l'avoir tué (ce fut un sosie), et ..... qu'Allah, :azwj:, l'a élevé auprès de LUI"....


ANNISSA (les femmes) 4-[157] et à cause de leur parole: "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah"... Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude: ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué,

[158] mais Allah l'a élevé vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage.

[159] Il n'y aura personne, parmi les gens du Livre, qui n'aura pas foi en lui avant sa mort. Et au Jour de la Résurrection, il sera témoin contre eux.
Allez lire le texte complet de l'EVANGILE de BERNABE qui annonce la venue de Mouhamad, aswaws, comme étant le Sceau de la Prophétie, et surtout qui "viendra confirmer la prophétie de Jésus, as," contesté par le Sanhédrin et les "rabbins du Temple".
Mouhamad, awaws, viendra CONFIRMER les Ecritures, la Parole, et les chrétiens, c'est à dire les apôtres et les ouailles du Christ, as, ont donc pour mission d'embrasser l'ISLAM, c'est à dire la religion d'Allah, d'Adam, de Noe, d'Abraham, de Moise, du Christ, et enfin de Mouhamad, sur eux tous le salut et les Bénédictions d'Allah, Exalté Soit-IL.


Bonne lecture, et qu'Allah, nous GUIDE et nous ILLUMINE de Sa Science !
 

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