Salamoun'alaykom
Shirazia est un courant intellectuel et politique fondé par Sayed. Muhammad Shirazi au milieu des années soixante à Karbala. Il partageait le milieu chiite dans les zones saintes avec le parti Dawa et c'était comme le mouvement sadriste de notre temps.
Un jeune homme comme Muqtada al-Sadr, dont le nom est Muhammad Shirazi, hérite de son père, Sayed Mahdi et de son grand père Abdulhadi l'affrontement des Marja' mais il n'a jamais eu l'approbation des savants de Nadjaf. Sayed Mohsen al-Hakim a mis en garde contre le danger de ce mouvement appelé à l'époque "mouvement des Rissaliyyine" ou du "mouvement de la marji'iyyah" .
.. . Sayed Mohsen al-Hakim avait déclaré : " je ne suis pas d'accord avec ce Ali al-Mou'mine avait mentionné dans son livre (années de braises: سنوات الجمر ) que Sayed Mehdi Shirazi avait le prévilège d'instaurer le mouvement des Chirazia en Irak, que ce mouvement était dans son apogée, profitant de certaines discordes entre les villes de Najaf et Karbala. Cette discorde qui s'est transformées en affrontements lors des visites entre les cortèges des deux villes. Le Shirazi père a exploité le désir des habitants de la ville à l'indépendance de la puissance de l'autorité ( al marje'yah ) de Najafi et au fil du temps la hawza de Karbala s'est transformé en une hawza qui représente l'identité de ses habitants dont la plus part sont d'origine iranien. Le mouvement Al-Shirazi a été ainsi établi isolément de la hawza de Najaf, en tant qu'autorité alternative de Karbala mais qui n'avait aucun projet politique avant le milieu des années 1960.
La base intellectuelle du mouvement a été développée par Sayyed Muhammad après son émigration au Koweït, fuyant le harcèlement des Baathistes et l'arrestation de son frère Sayyed Hassan Al-Shirazi. Il a ensuite déménagé en Iran son pays natal. Par contre son frère Hassan Al-Shirazi s'est rendu à Damas. Là, il a prêché la pensée shirazite en Syrie et au Liban. Ce qui a entrainé son désaccord avec l'imam Moussa Al Sadr.
A suivre
Shirazia est un courant intellectuel et politique fondé par Sayed. Muhammad Shirazi au milieu des années soixante à Karbala. Il partageait le milieu chiite dans les zones saintes avec le parti Dawa et c'était comme le mouvement sadriste de notre temps.
Un jeune homme comme Muqtada al-Sadr, dont le nom est Muhammad Shirazi, hérite de son père, Sayed Mahdi et de son grand père Abdulhadi l'affrontement des Marja' mais il n'a jamais eu l'approbation des savants de Nadjaf. Sayed Mohsen al-Hakim a mis en garde contre le danger de ce mouvement appelé à l'époque "mouvement des Rissaliyyine" ou du "mouvement de la marji'iyyah" .
.. . Sayed Mohsen al-Hakim avait déclaré : " je ne suis pas d'accord avec ce Ali al-Mou'mine avait mentionné dans son livre (années de braises: سنوات الجمر ) que Sayed Mehdi Shirazi avait le prévilège d'instaurer le mouvement des Chirazia en Irak, que ce mouvement était dans son apogée, profitant de certaines discordes entre les villes de Najaf et Karbala. Cette discorde qui s'est transformées en affrontements lors des visites entre les cortèges des deux villes. Le Shirazi père a exploité le désir des habitants de la ville à l'indépendance de la puissance de l'autorité ( al marje'yah ) de Najafi et au fil du temps la hawza de Karbala s'est transformé en une hawza qui représente l'identité de ses habitants dont la plus part sont d'origine iranien. Le mouvement Al-Shirazi a été ainsi établi isolément de la hawza de Najaf, en tant qu'autorité alternative de Karbala mais qui n'avait aucun projet politique avant le milieu des années 1960.
La base intellectuelle du mouvement a été développée par Sayyed Muhammad après son émigration au Koweït, fuyant le harcèlement des Baathistes et l'arrestation de son frère Sayyed Hassan Al-Shirazi. Il a ensuite déménagé en Iran son pays natal. Par contre son frère Hassan Al-Shirazi s'est rendu à Damas. Là, il a prêché la pensée shirazite en Syrie et au Liban. Ce qui a entrainé son désaccord avec l'imam Moussa Al Sadr.
A suivre
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