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Telecharger, ecouter, et lire le saint coran

Sajjad

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Récitations du Livre, téléchargeables...

Assalamo 'alaykom,


Quelques fichiers (lectures du Saint Livre) sont disponibles en téléchargement sur la partie portail du site.

D'autres suivront.

N'hésitez pas à proposer les votres.


Que DIEU vous garde.

Assalamo 'alaykom.
 
Salâm al-Fajr!

Merci pour ce lien.

A propos, qui est votre récitateur préféré?

Y en a tellement..!

Pour ne pas être original, je dirais AbdulBâçit Abdulçamad; la beauté et l'étendue de sa voix me fait oublier qu'il s'agit d'un "humain", pour devenir tout entier un muqri' .

http://quran.islamway.com/abdulbasetmu/055.ram

Je me permets de répondre au pluriel à votre question:

et Abdul Fattah She'esha', pour la chaleur de sa voix ( toute humaine du coup!) :

http://quran.islamway.com/shashaey/055.ram

Dieu vous garde

Salâm!
 
Salam Canaan,

Ecoutez les récitations de Mashary Rashid, vous oublierez la voix celeste de Abdulbacet et celle humaine de Abdul Fattah she'esha'.:p

C'est dommage qu'on n'a pas pu entendre la récitation de Davoud as...
 
Salâm al-Fajr!

Ecoutez les récitations de Mashary Rashid, vous oublierez la voix celeste de Abdulbacet et celle humaine de Abdul Fattah she'esha'.

Merci pour le nom, je connaissais pas du tout. C'est vrai qu'il a une très belle voix, très "chaleureuse" et avec de très belles "trémulations" (je sais pas si c'est le bon terme..)..
Mais désolé, impossible d'oublier la "transcendance" de AbdulBâçit... ;)

http://quran.islamway.com/abdulbasetmu/089.ram

Dieu vous garde okhti

Salâm
 
ah et j'oubliais...

C'est dommage qu'on n'a pas pu entendre la récitation de Davoud as...

Soyons réalistes, exigeons l'impossible ( comme disait le Che... désolé de citer un communiste ici lol):

On rapporte que l’Imâm Ja’far al-Sâdiq tomba évanoui pendant la prière. Comme on lui en demandait la raison, il dit : « Je ne cessais de répéter le même verset jusqu’à ce que j’arrive à l’entendre de la part de Celui qui parle par ce verset ».

Salâm!
 
Salam ,

Mais désolé, impossible d'oublier la "transcendance" de AbdulBâçit...

Les goûts et les couleurs...

On rapporte que l’Imâm Ja’far al-Sâdiq tomba évanoui pendant la prière. Comme on lui en demandait la raison, il dit : « Je ne cessais de répéter le même verset jusqu’à ce que j’arrive à l’entendre de la part de Celui qui parle par ce verset ».

C'est tellement frustrant :icon_neut
Celà nous arrivera aussi un jour?

Nour o Mehr
 
la Parole et le Livre de Dieu

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Salâm salâm,

Très chers Membre,

Je vous communique ci-dessous,

l'indication concernant la Parole de Dieu et le Livre de Dieu

La différence entre la Parole de Dieu et le Livre de Dieu est analogue à la différence entre le simple et le composé. D’autre part, on dit habituellement que la Parole (Kalâm, le Verbe) appartient au monde de l’Impératif, tandis que le Livre appartient au monde créaturel. Lorsque la Parole prend un état déterminé, elle devient Livre, de même que l’Impératif, lorsqu’il est déterminé, devient acte… « Son Impératif, lorsqu’il veut une chose, est de lui dire : Sois et elle est ».

Ainsi la différence entre la Parole et le Livre correspond, en un certain sens, à la différence entre l’Impératif et l’Acte. L’Acte est dans le temps et est récurrent. L’impératif est exempt de changement et de renouvellement. La Parole n’est susceptible ni d’abrogation ni de substitution, à la différence du Livre. « Dieu efface et pose ce qu’il veut. Près de Lui est l’Archétype (la mère) du Livre (Omm al-Kitâb) ». Lorsque nous considérons la Parole (Kalâm) comme lié au sujet parlant ( motakallim ) par lequel elle existe, elle est Parole.

Lorsque nous la considérons indépendamment de lui, et comme subsistant par soi-même en face de lui (comme objectivée), alors elle est Livre. Et comme la Parole appartient au monde de l’Impératif, elle est autre que le Livre qui appartient au monde de la création. » Tout cela est en relation étroite avec l’idée de l’herméneutique spirituelle, c’est-à-dire avec la mise en œuvre du ta’wîl, le retour du zâhir au batîn.

La Parole de Dieu (Kalâm Allâh) n'est pas telle que le professent les ash'arites, lesquels font de la parole un attribut résident dans l'âme (sifat nafsîya), consistant en idées et significations qui subsisteraient par l'Essence divine. Il n'en peut être ainsi, parce qu'il est impossible que l'Être divin soit un substrat pour quelque chose d'autre. La Parole de Dieu ne désigne pas non plus <comme l'ont pensé les mo'tazilites> la création de sons et de lettres ayant une signification, parce qu'alors il s'ensuivrait que toute parole fût Parole de Dieu. En outre, son impératif et son dire (qawl) précèdent tout existant, comme il le déclare:

Son impératif, lorsqu'Il veut une chose, consiste à lui dire : Sois, et elle est.

Ou mieux dit :

la Parole de Dieu [ le Verbe divin] désigne la production de Paroles parfaites [Verbes parfaits, Kalimât tâmmât] et l'émission de « Signes immuables qui sont l'archétype du Livre (Omm al-Kitâb) et d'autres qui sont métaphoriques » sous le revêtement des mots et des expressions allusives. Il le dit encore :

Le Christ, 'Isâ ibn Maryam, était son Envoyé et sa Parole qu'il projeta en Maryam et un Esprit de lui.

Et dans un hadith il est déclaré :

Je prends refuge auprès de toutes les Paroles Parfaites de Dieu contre le mal de ce qui est créaturel

Donc, la Parole qui descend d’auprès de Dieu est Parole sous un aspect, et elle est Livre sous un autre aspect. La Parole, du fait qu’elle appartienne au monde de l’Impératif (‘âlam al-Amr) est autre que le Livre, puisque celui-ci appartient au monde créaturel (‘âlam al-khalq).

Le sujet parlant, c’est celui par qui subsiste la Parole, de la même manière que l’existant subsiste par son existentiateur. L’écrivain (kâtib), c’est celui qui fait exister la Parole, je veux dire le Livre. Parole et Livre comportent des qualifications et des demeures différentes. Quiconque profère une parole [un discours] est aussi, en un certain sens, quelqu’un qui écrit, et quelqu’un qui écrit profère un discours en un certain sens. Nous en avons l’exemple dans ce qui en témoigne en nous.

Lorsque l’homme profère une parole, c’est que celle-ci a émané de son âme sur la tablette de son cœur [son imagination et sa représentation], et que les différents organes servant d’issues aux lettres ont donné forme et figure à ces lettres en les prononçant. Son âme est donc ce qui a fait exister la Parole. Il est écrivain, en tant qu’avec le calame de sa puissance il produit les lettres sur la tablette de son cœur, dans les gradations de sa voix et le cours de son souffle, tandis que sa personne physique est ce par quoi subsiste la Parole, et que, sous ce rapport, il est sujet parlant. Comprends ce qui précède par analogie avec le cas de cet homme.

Enfin, la Parole est sous un aspect Qorân [conjonction] et sous un autre aspect elle est forqân [disjonction, discrimination] <elle est Qorân sous l’aspect de l’unité et de la coalescence, elle est forqân sous l’aspect de la multiplicité et de la différenciation>.

Parce qu’elle appartient au monde de l’Impératif, la Parole a les cœurs pour demeure :

Elle est dans les cœurs des croyants, et ne la perçoivent que ceux qui ont reçu la connaissance

Et :

Ne la comprennent que ceux qui savent

Quant au Livre, parce qu’il appartient au monde créaturel, il a pour demeures les Tables écrites qui ont une dimension et que tout un chacun peut percevoir, comme Dieu le dit dans ce verset :

Nous avons écrit pour lui [Moïse] sur les Tables une exhortation en chaque chose

La Parole,

nul ne la touche sauf les purs

Elle est un

Qorân Auguste

Et que :

Nul ne touche hormis les purs, c’est une révélation du Seigneur des mondes

Cette révélation du Seigneur des mondes [cette descente, tanzîl], c’est précisément le Livre.

MOLLA SADRA SHIRAZI

LE LIVRE DES PENETRATIONS METAPHYSIQUES

Page 148 à 150 et page 210

Bien à vous, votre ami sam le pacifique.
 
salâm salâm,

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Salâm salâm,

Très chers Membres,

A l'attention de tous ceux et de toutes celles qui pensent,

Qu’il aurait été intéressant de définir le "kufr" selon le "Qasd" (comme Allah l'a défini avec exactitude).

Abou-el Mehdi

Je vous présente ci-dessous un texte qui ne donne, certes, pas la définition du « KUFR », mais quelque chose qui mérite toute notre attention.

Les malâmiyya, les « hommes du blâme », tirent leur nom du deuxième verset de la sourate 75 qui mentionne « l’âme qui se blâme » (al-nafs al-lawwâma). Ce nom s’applique à eux parce qu’ils ne cessent de se blâmer de leurs imperfections et ne jugent aucun de leurs actes suffisamment exempt d’impureté pour être agréé par Dieu, mais surtout parce qu’ils occultent leur perfection spirituelle en se confondant dans la masse des croyants et s’exposent ainsi, comme le vulgaire, au blâme des fuqahâ.

Or ces malâmiyya, qui représente donc la forme la plus parfaite de sainteté, Ibn ‘Arabî les désigne à diverses reprises comme les kâfirûn et leur applique de manière systématique les attributs qui, dans le Coran, sont ceux des « mécréants ». Tel est en particulier le cas dans le chapitre 5 des Futûhât mais aussi dans le chapitre 73 et dans le Kitâb al-tajjalliyât. « Ils sont sourds, muets, aveugles et dépourvus d’intelligence. Ils sont sourds, muets, aveugles et perdu sans retour », écrit-il dans ce dernier ouvrage. Reprenant les termes qui, dans la sourate Al-Baqara notamment (Cor. 2 :5-7 ; 170-171), décrivent ces « mécréants », et prenant en considération le sens originel de la racine KFR — « cacher » —, il écrit : « Ce sont ceux qui cachent ce qui leur est apparu dans la contemplation des secrets de l’union » Il commente ensuite les versets selon lesquels « que tu les avertisses ou non, ils ne croiront pas ! Dieu a mis un sceau sur leurs cœurs et sur leurs ouïes et il y a un voile sur leurs regards » : Dieu, dit-il, a « scellé leurs cœurs » afin qu’il n’y ait place en eux que pour Lui, Il les a rendus « sourds » afin qu’ils n’entendent en toute parole que Sa parole et c’est Sa lumière qui a « aveuglé » leurs regards. Le kâfir, étymologiquement, c’est aussi le « semeur ». D’où cette interprétation, qui complète la précédente : « Les kâfirûn ce sont ceux qui, tels les malâmiyya, cachent leur station spirituelle. Ce sont les semeurs qui cachent la semence dans la terre.

L’étonnante transmutation — blasphématoire, est-il besoin de le dire, aux yeux des adversaires d’Ibn Arabî — par laquelle le kâfir devient le saint par excellence a son fondement doctrinal et le grand Shaykh s’en explique a plusieurs reprises. Il rappelle tout d’abord que Dieu, Lui-même Se décrit, dans le Coran et le hadith, par des attributs qui appartiennent aux créatures imparfaites que nous sommes : Il « s’enorgueillit », Il « oublie », Il « ruse », Il « trompe ». Cela prouve bien que des qualifications apparemment négatives peuvent avoir aussi un sens positif et qu’il n’y a donc rien de surprenant à ce que Dieu « cache Ses saints sous les traits de Ses ennemis ».

Dans sa réponse à la question 54 de Tirmidhî, Ibn ‘Arabî, complétant l’énumération des types de walâya qui figure au début du chapitre 73 des Futûhât, distingue ainsi diverses catégories dont les noms désignent de manière obvie les « ennemis de Dieu ».

Les hâsidûn, les « envieux », sont ceux qui envient les qualités divines et s’efforcent de les acquérir.

Les sâhirûn, les « magiciens », sont ceux qui ont reçu de Dieu la « science des lettres », laquelle est toute entière contenue dans la formule initiale de la première sourate du Coran, la basmala, qui est pour eux ce que le kun ! est pour Dieu.

Les zâlimûn, les « injustes », sont, en accord avec un verset (Cor. 35 :32) où Dieu mentionne, parmi ceux qu’Il appelle « nos serviteurs », « ceux qui sont injustes envers eux-mêmes », les êtres qui ont choisi de lutter contre le nafs (l’égo) et pour la vaincre lui refusent la satisfaction de ses droits légitimes en s’astreignant aux pratiques les plus rigoureuses.

Les « menteurs » s’attribuent les actes prescrits par la Loi sacrée mais savent que Dieu est le seul Agent : ils « mentent » pour se conformer aux usages du commun des croyants, qu’un langage véridique scandaliserait ou entraînerait dans la désobéissance, et masquent par conséquent leur degré spirituel.

Les « égarés » sont ceux qui errent, saisi de vertige dans la Majesté divine : chaque fois qu’ils voudraient s’arrêter et trouver le repos, Dieu leur octroie une science nouvelle à Son sujet qui les anéantit.

« Ceux qui égarent » sont ceux qui enseignent à leurs disciples l’impossibilité d’épuiser la connaissance de Dieu et les conduisent vers le perpétuel éblouissement des dâllûn.

« Ceux qui sont oublieux de leurs prières » sont les saints dont les prières rituelles ne sont plus les leurs, bien qu’extérieurement ils les accomplissent, parce que Dieu est « leur ouïe, leur regard, leur langue » et qu’en vérité c’est Lui qui prie : leurs actes ne leur appartienne plus……etc

MICHEL
CHODKIEWICZ

UN OCEAN
SANS RIVAGE

Page 71 à 75


Poursuivons :

Sont encore à méditer ici tout particulièrement ces quelques vers d’un poème du Ive Imâm, ‘Alî Zayn al-‘Âbidîn :

« De ma Connaissance je cache les joyaux — De peur qu’un ignorant, voyant la vérité, ne nous écrase… — Ô Seigneur ! si je divulguais une perle de ma gnose — On me dirait : Tu es donc un adorateur des idoles ? — Et il y aurai des musulmans pour trouver licite que l’on versât de mon sang ! — Ils trouvent abominable ce qu’on leur présente de plus beau »

Aussi bien est-ce tout cela qui motive la prescription impérieuse de la taqîyeh, cette « discipline de l’arcane ». L’Imâm Ja’far va jusqu’à dire : « Celui qui est sans taqîyeh (celui qui n’observe pas la discrétion, par inconscience ou par refus de l’ésotérique), celui-là est sans religion. » Le grand théologien shî’ite Ibn Bâbûyeh rapporte : « Il n’est pas permis d’abolir la taqîyeh jusqu’à ce que paraisse l’Imâm annonciateur de la résurrection, par lequel la religion sera manifestée intégralement, de sorte que de l’Orient à l’Occident elle se présentera alors à la façon d’une même religion, ainsi qu’il en fut au temps d’Adam. »

EN ISLAM IRANIEN TOME I
Page 116

Même Jésus formule la discipline de l’arcane :

« Ne donnez pas ce qui est saint au chien, et ne jetez pas vos perles devant les porcs, de peur qu’ils ne les piétinent avec leurs pieds et que, se retournant, ils ne vous écrasent »

MATTHIEU
CHAPITRE 7 VERSET 6

Pourquoi la perle ?

Et bien parce que même dans la boue, elle garde sa pureté, comme le parfait au milieu des impurs. Faite de matière elle capte la lumière.

Outre le silence Jésus utilise la parabole, et la parabole se veut ésotérique :

Entende qui a des oreilles ! A vous il est donné de connaître les mystères des cieux, tandis qu’à ces gens-là cela n’est pas donné. Car celui à qui l’on aura donné aura du surplus, mais à celui qui n’a pas on enlèvera même ce qu’il a. C’est pour cela que je leur parle en parabole : parce qu’ils croient s’en voir et entende sans entendre ni comprendre.

MATTHIEU
CHAPITRE 13 VERSET 11-17

Je souhaite conclure avec une célèbre maxime de l’Imâm ‘Ali - Béni soit-il mille fois – qui a dit :

« Je suis celui qui est appelé Elie dans l’Evangile »

Je vous remercie de toute votre précieuse attention.

Bien à vous, votre ami sam.
 
Paix sur vous mes frères et soeurs,

Merci cher frère Sam pour ces messages très intéressants. Je ne connaissais pas cette façon de voir le mot KUFR.

Merci à vous.
 
salâm salâm,

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Salâm salâm,

Très cher frère Abu_Salih,

Je vous en prie,

Notre devoir est de vous servir,

Bien à vous, votre frère sam le pacifique.
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ecoute ou lecture du Coran en français

Assalamou3alaikoum à tous !

Sachant que la recitation du Coran ne doit se faire qu'en arabe, j'aimerai savoir se qu'il en est de sa lecture et de son écoute.

J'ai lu, que chaque mot du Coran lu nous faisait gagner des hassanates. Qu'en est il si nous le lisons en français, ou l'écoutons en francais ?

Merci
 
WS WR WB

La recitation du Coran en arabe n est pas obligatoire mais fortement conseillee.
Il es surtout important de comprendre ce qu on lit ,c est pourquoi je dirais meme plus qu il est preferable de lire la traduction (a condition qu elle soit fidele) plutot que de lire le texte coranique en arabe sans le comprendre.

Ceci n est que mon avis personnel,un avis eclaire serait le bienvenu

Salames et douas

Assalamou3alaikoum à tous !

Sachant que la recitation du Coran ne doit se faire qu'en arabe, j'aimerai savoir se qu'il en est de sa lecture et de son écoute.

J'ai lu, que chaque mot du Coran lu nous faisait gagner des hassanates. Qu'en est il si nous le lisons en français, ou l'écoutons en francais ?

Merci
 
salam à tous,

L'idéal c'est quand même d'apprendre l'arabe pour pouvoir lire le Coran correctement et le comprendre (au moins en partie),
c'est un effort que des millions d'enfants de peuples non arabes ont (en Afrique sub-saharienne, en Asie, etc..), alors pourquoi pas nous ?
 
Cours écrit + audio arabe, Venez télécharger InsaAllah

Salam Aleikum Wa Rahmut Allah Wa Barakatuhu,

Allahumma Salli 3ala Mohammed Wa Âli Mohammed Wa 3ajel Farajuhum Ya Karim,

Salam Aleikum Wa Rahmut Allah Wa Barakatuhu,

Voilà, je vous propose les 3 premiers cours audio + écrit d'arabe, en vue d'arriver à l'apprentissage de la lecture du Saint-Coran en arabe InsaAllah !

Il faut télécharger ici : http://dl.free.fr/tDv54GEaR

Ensuite, ca marche de la manière suivante : cliquer sur le fichier format pdf, efin de visualiser le contenu à apprendre, puis cliquer sur le fichier mp3 audio, qui vous dicte ce qu'il faut apprendre InsaAllah !

InsaAllah que ca vous sera bénéfique.

InsaAllah posterai-je par la suite les leçons suivantes...

Si vous avez des remarques je suis preneur, certains trouveront que l'apprentissage fait trop français, ce qui est vrai, mais l'accent reste arabe. C'est juste pour simplifier la compréhension que je complique pas...

Ceux qui le veulent je suis disponible par skype si vous avez un micro où même par téléphone. Les coordonnées = par messagerie privée !

Ceux qui veulent travailler le Tajwid (les Madda (prolongations) Kalkala, irfa...) je peux mettre des cours sur les règles !
 
Cherche lecture (très) rapide du Saint Coran

Assalamu 'alaykum wa rahmatullah wa barakatu

Je cherche une lecture (très) rapide du Saint-Coran pour faire une révision des 3 derniers hizb : à télécharger.

Il faudrait donc toutes les sourates, en tout cas depuis la sourate 60 si possible.

Quelqu'un aurait-il des propositions ?

Jazakallahu khayran !
 
Assalamu 'alaykum wa rahmatullah wa barakatu

Je cherche une lecture (très) rapide du Saint-Coran pour faire une révision des 3 derniers hizb : à télécharger.

Il faudrait donc toutes les sourates, en tout cas depuis la sourate 60 si possible.

Quelqu'un aurait-il des propositions ?

Jazakallahu khayran !

Alaykoum salam

voici une proposition http://tanzil.info/

j'espere que cela correspondra a ce que tu cherches

Salam
 

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