Assalamou 'alaykoum wa rahmatoullah
ALAWITE a dit:
selam aleykoum
frere aboumoussab que pensse tu des auteures qui sont cité dans ce livre et se reclament chiites defondaient la thése de la falcification
Cher frère, je penses qu'il existe des savants chiites qui défendent la thèse de la falsification du Coran tout comme il en existe du coté sunnite. ( voir le bas de la page suivante :
http://www.al-imane.com/forumv/showpost.php?p=4474&postcount=3 ). Ce qui compte, c'est que l'avis majoritaire suivis croie en la non falsification et proclame le Coran authentique.
Je profite de cette parenthèse ouverte pour citer ces quelques lignes du grand commentateur andalou et sunnite Abou l-Qâsim Mohammad ben Ahmad ben Mohammad ben 'Abd Allâh ben Djozayy al-Kalbî al-Gharnâtî al-Andalousî (693-741/1294-1340), tirées de son introduction à son tafsîr :
[j]
« Du vivant du Messager de Dieu, que Dieu le bénisse et lui donne la Paix, le Coran était épars sur des feuillets et dans les poitrines des hommes. Lorsque le Messager de Dieu, que Dieu le bénisse et lui donne la Paix, mourut, 'Alî fils d'Abou Tâlib, que Dieu soit satisfait de lui, resta enfermé dans sa maison et rassembla [le Coran] selon l'ordre de sa révélation. Si son recueil (mis-haf) était retrouvé, on y trouverait force science, mais il n'a pas été retrouvé.
Lorsque un groupe de Compagnons furent tués le jour d'al-Yam âma dans la guerre contre Mosaylima l'Imposteur, 'Omar fils d'al-Khattâb suggéra à Abou Bakr as-Siddîq, que Dieu soit satisfait d'eux, de rassembler le Coran, de peur qu'il ne disparaisse en même temps que ses récitants (qorrâ'). Il le rassembla donc en un recueil (fî sohof) dont les sourates n'étaient pas ordonnées, et ce recueil resta auprès d'Abou Bakr, puis après lui auprès de 'Omar, puis auprès de la fille de ce dernier, Hafsa, la mère des croyants.
Pendant ce temps, des corpus écrits à partir de ce que rapportaient les Compagnons s'étaient répandus sous tous les horizons et il y avait des divergences entre eux. Hodhayfa fils d'al-Yamân conseilla alors 'Othmân fils de 'Affân, que Dieu soit satisfait d'eux, et il réunit les gens sur un recueil unique, par peur qu'ils ne soient en dissension (fitna).
'Othmân confia cette mission à Zayd fils de Thâ bit, et il rassembla [le Coran] en s'adjoignant trois qorayshites : 'Abd Allâh fils de Zobayr fils d'al-'Awâmm, 'Abd ar-Rahmân fils d'al-Hârith fils de Hishâm et Sa'îd fils d'al-'Asî fils d'Omayya, leur disant: "Si vous divergez sur quelque chose, fixez-le selon le dialecte qorayshite". Ils prirent le corpus qui se trouvait auprès de Hafsa pour modèle de cette dernière collection.
Othmân, que Dieu soit satisfait de lui, veillait à la bonne marche de l'affaire et y participait. Lorsque le recueil fut achevé, 'Othmân, que Dieu soit satisfait de lui, en fit faire des copies qu'il fit envoyer aux diverses grandes villes, ordonnant de déchirer (tokhraqa) ou de brûler (tohraqa) [les deux versions ont été rapporté es] les autres [recueils].
L'ordre des sourates tel qu'on le connaît aujourd'hui est donc l'½uvre de 'Uthmân, de Zayd fils de Thâbit et de ceux qui rédigèrent avec lui le corpus. Certains ont dit qu'il était l'½uvre du Messager de Dieu, que Dieu le bénisse et lui donne la Paix, mais c'est improbable (da'îf) et réfuté par les traditions rapportées à ce propos. » (Kitâbo t-tas-hîl li-'oloumi t-tanzîl, al-moqaddimato l-oulâ, p.4)[/j]
en ce qui concerne les questions du frere metmati je ne suis pas convaincu de la version des freres et soeure chiites car pour la question des prenoms meme si en suppose qu'Ali (p) n'avait pas donnée ces prénoms a ses enfants en la memoire des trois califs et que comme le la these chiite que ces trois califes ont usurpé le droit de 'Ali (p) au califat comment ce pourrait il 'Ali donne a ses fils de meme prénoms que des personnes qui sont respensable du declin de la religion et qui ont usurpé le droit de la famille du prophéte pour la succéssion est ce que par coincidence l'imam Ali ou ses partisans ont il donnée un prénoms tel que mouawiyé ou mervan ou bien yézid ou abou sofian qui ces dernier sortirent de la voie droite par leures agissement que Dieu nous donne le disernement
Cher frère, libre à vous de croire ce que vous voulez. Il n’empêche pas moins que dans les sources sunnites et chiites, Abou Bakr et Omar on usurpés le pouvoir qui ne pouvait revenir qu’à Ali ibnou Abi Taleb et sur ce point, Metmati est tout à fait d’accord avec nous. L’histoire nous enseigne également que ces deux là ont outrageusement confisqué les bien de Fatimah et ont même voulu la brûler vive avec son mari et ses deux enfants et sur ce point, le frère Metmati est également d’accord avec nous.
Pour terminer, ce qui nous fait pencher pour la théorie qu’Ali ibnou Abi Taleb ne pouvait éprouver un amour particulier pour Abou Bakr et Omar est le fait que Fatimah Az-Zahra, elle-même, ne leur pardonnera jamais et nous savons que cela implique donc la colère du Prophète et de Dieu sur ces deux là. Savez vous selon vos Hadith qui est Fatimah Az-Zahra ?
Que Dieu vous garde cher frère.
