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L'imposture de pharaon !!!!!!!!

Salamo'aleikom,

J'aimerai bien savoir ce que vous en dites ?

Paix sur vous.
 
Salam a’likom wa rahmatolahi wa barakatouh

:) MachALLAH, ça prouve la Grande Miséricorde de Dieu...

Que Dieu vous protège
 
attention

salam alaykom

faites attention mes soeurs a ces interpretations,n'oubliez pas le hadith du prophete(saw),je vous laisse le livre de dieu et ma famille...,alors regardez les interpretations des imams(as) et du prophete(saw),et faites attentions a ces interpretations.
 
salamo'aleikom,

Oui, mais cela n'empèche pas de voir ce que disent les autres savants dans différents sujets.
Et puis je trouve que la plus part de ces analyses et ces explications du Coran sont en parfaite cohérence avec ceux de l'école des gens de la maison.....
Et puis ALLAH est plus savant....

Salamo'aleikom.
 
As salam aleykoum,
En ce qui concerne Pharaon,je voudrais savoir c'est lequel qui est decrit dans le Coran à l'epoque se Moïse :as: ,c'est Ramses II ou un autre ??
Y-a-t il des preuves ??

Barak Allah ou fikoum,
As salam aleykoum wa ramatoulah i wa Barakatouh !!!
 
salam alaykoum

Il n'est pas evident de trouver des preuves historiques concernant Moise :as: et le pharaon à cette époque de l'exode , malgré tout , je vous donne ces données, si j'en trouve d'autres, je les mettrais inchallah...
bonne lecture

khadija

[FONT=Arial,Helvetica]LE CORAN et L'HISTOIRE[/FONT]

[FONT=Arial,Helvetica]I- L'exode de Moïse ou le défi de l'information historique dans le Coran[/FONT]


[FONT=Arial,Helvetica]A- Sauvetage du corps noyé de Pharaon de l'Exode (EXCLUSIVITE CORANIQUE !!):[/FONT]

[FONT=Arial,Helvetica]...."Nous fîmes passer la mer aux fils d'Israël et pharaon et ses troupes les poursuivirent par (esprit de) rébellion et d'hostilité jusqu'à ce qu'enfin, sur le point d'être englouti (Pharaon) dise je crois qu'il n'existe nul Dieu si ce n'est Celui en qui ont cru les fils d'Israël, je suis parmi ceux qui Lui sont soumis".[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] Mais ce qui a échappé à la Bible (on y trouve l'équivalent du récit) ainsi qu'aux connaissances modernes -avant les travaux du professeur Bucaille - c'est que le corps du Pharaon a été repêché des eaux et momifié, ce à quoi le Coran fait allusion dans le verset 92 de la dixième sourate "..Maintenant (tu crois)! Alors que tu as désobéi auparavant et que tu fus parmi les semeurs de scandale! Aujourd'hui, Nous te sauvons, en ton corps (cadavre), afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi".[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] Voilà près d'un siècle, en 1898, fut découvert par Loret Thèbes dans la vallée des Rois, le corps momifié du Pharaon Mineptah, fils de Ramsès II, dont tout permit de penser que c'est le Pharaon de l'exode. C'est ce qu'ont affirmé les éminents égyptologues français et anglais. Il fut transporté au Caire. Les autorités égyptiennes ont permis au professeur Bucaille, avec des collaborateurs égyptiens et français, de procéder à des examens sur cette momie et sur celle de Ramsès II, son père...On lui donne la parole (livre Moïse et l'Exode p.41) :[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] "Les investigations médicales montrèrent que Ramsès II était à l'âge de 85 ou 90 ans atteint d'une affection pouvant être invalidante au point de l'empêcher de participer à toute opération militaire : dans un tel état, il n'aurait pu participer à l'Exode.[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] Mineptah, successeur de Ramsès II, était, lui, mort de multiples lésions dont l'examen en 1974, lors des investigations pratiquées en Egypte, fournit des données qui furent deux ans plus tard soumises à la Société Française de Médecine Légale et à l'Académie de Médecine.[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] On décela ainsi des concordances avec des détails des récits des Livres Saints sur les derniers moments du Pharaon de l'Exode. Ces observations corroboraient de manière parfaite les déductions des égyptologues du 19ème siècle quant à l'identité du pharaon de la Sortie d'Egypte."[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] Maurice Bucaille a publié, une enquête historique pluridisciplinaire sur les Hébreux en Egypte, sous le titre "Moïse et Pharaon, les hébreux en Egypte : quelles concordances des Livres saints avec l'Histoire". Cet ouvrage fut couronné par l'Académie Française et par l'Académie de Médecine.[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] Une étude médico-légale a «permis d'établir l'existence d'une cause de mort très rapide par plaie crano-cérébrale ayant laissé une lacune de dimensions importantes au niveau de la voûte du crâne, conjointement avec d'autres lésions traumatiques. Toutefois ces constatations s'avéraient compatibles avec les récits des Ecritures mentionnant que le Pharaon mourut lors du retour du flot»...[/FONT]
[FONT=Arial,Helvetica] Malheureusement, cette concordance entre l'histoire et le Coran, entre autres, sur le sauvetage du corps de Pharaon, dérange et on la passe sous silence au lieu de tirer les conclusions qui s'imposent !! Maurice, était sincère avec soi même, et il l'a fait :[/FONT] [FONT=Arial,Helvetica] Maurice Bucaille conclut «Mais j'aimerais surtout attirer l'attention sur le point précis suivant : est-ce une attitude raisonnable de soutenir que le Coran fut composé de main humaine...»[/FONT]

http://islam.free.fr/histoire.htm
 
salam alaykoum

D'autres sources toujours sur le même thème ....

khadija

MOISE

Toute l'histoire de Moïse est admirable de couleur locale. Il est manifeste que le narrateur est parfaitement au courant des usages égyptiens de cette époque. Ce qu'il nous montre de la cour du Pharaon, en particulier, est en parfaite harmonie avec ce que nous savons de Ramsès et de Menephtah.

Remarquons tout d'abord combien la puissance des deux Pharaons de la Bible, celui de l'oppression et celui de l'Exode, les deux qui ont eu affaire à Moïse, est totale, absolue, comme fut celle de Ramsès et de Menephtah. Nous n'en sommes plus au temps où les Hyksos ne régnaient que sur la Haute-Egypte et n'exerçaient qu'une autorité contestée. Avec la XIXe dynastie, le Pharaon, de race égyptienne, reconnu par tous, domine sur le pays tout entier. Aussi est-il facile de comprendre son orgueil et son esprit d'intolérance. Il lui semble que rien ne doit lui résister et qu'il n'y a aucune limite à son empire. Ce n'est plus le monarque ami des étrangers, mais bien plutôt leur ennemi implacable ou leur tyran, cherchant à leur nuire quand il ne peut plus les exploiter à son gré. L'ordre de jeter à l'eau tous les enfants mâles des Hébreux n'a rien de surprenant de la part d'un souverain aussi puissant et aussi ambitieux que Ramsès, et dans un pays où la vie humaine ne comptait pas pour beaucoup. Ramsès, d'ailleurs, a laissé dans l'histoire le souvenir d'un despote aussi cruel qu'intelligent.
L'épisode aussi touchant du sauvetage du jeune enfant Moïse est aussi essentiellement égyptien d'allure. La mère de Moïse met son enfant dans « un berceau de jonc enduit de bitume » (11, 3). Ce berceau de jonc était un petit coffre en papyrus. On se servait beaucoup en Egypte de papyrus pour la construction de barques, petites ou grandes. M. Maspéro décrit dans le « Journal Asiatique » (février 1880, p. 136) la construction d'une barque de papyrus. On se servait aussi du papyrus pour faire des nattes, des corbeilles, des sandales. Quant au bitume, il était abondant dans cette région et était fréquemment employé pour assurer l'imperméabilité des objets usuels.
Selon la tradition, la fille du Pharaon qui sauva Moïse et l'adopta s'appelait Thermonthis, nom qui se rapproche de celui d'une des femmes de Ramsès: « Tmermuth ». Rien de plus naturel, pour une fille de Pharaon, que cette visite au fleuve en vue du bain et aussi, peut-être, des ablutions sacrées, tandis que plusieurs jeunes filles accompagnent la princesse. Parmi ces jeunes filles, il en est une qui est désignée sous le nom de « servante » ; c'est la servante favorite, la confidente de la princesse, celle qui est constamment attachée à sa personne. Il faut se souvenir qu'en Egypte, dans la classe aristocratique, la femme jouissait d'une liberté beaucoup plus grande que dans d'autres pays. On s'explique aisément que la fille du Pharaon ait pu adopter l'enfant, le confier à sa mère puis. le prendre auprès d'elle et le traiter comme son propre fils.

Le séjour de Moïse à la cour du Pharaon fut d'une grande importance pour son oeuvre future. Puisque Moïse fut pour la princesse « comme un fils », nous pouvons nous représenter qu'il connut tout le luxe, toute la gloire de cette société remarquable par sa richesse et aussi par sa culture. Il avait vu de près les « trésors de l'Egypte » (Hébreux, XI, 26) ; mais surtout il avait vu de près la science de l'Egypte; or cette science était bien plus considérable, bien plus variée, bien plus sûre qu'on ne l'a pensé jusqu'en ces dernières années. Il a fallu attendre le XXe siècle pour bien comprendre l'étendue des connaissances mathématiques, physiques et même astronomiques des Egyptiens. On savait combien leur art était admirable; mais on savait peu combien les. Egyptiens étaient développés en matière scientifique. On le sait bien mieux, surtout depuis que la grande Pyramide de Chéops et d'autres monuments mystérieux ont révélé une partie de leur secret. Voici ce qu'écrit l'abbé Th. Moreux dans son livre si intéressant sur la « Science mystérieuse des Pharaons » : « La Grande Pyramide n'est donc pas un tombeau. Alors dans quel but l'a-t-on élevée ? Les prêtres égyptiens, les merveilleux savants de l'antiquité, ont-ils voulu fixer en un monument impérissable les données précises qu'ils avaient accumulées sur la science des astres, et les notions scientifiques de leur époque ? Pourquoi non ? Mais alors nous nous glorifions de découvertes connues depuis six mille ans! » Autre question : « Comment les savants de ces temps lointains étaient-ils parvenus à connaître la forme de la terre, à mesurer notre planète, à la peser ; quels moyens avaient-ils à leur disposition pour scruter les profondeurs du ciel, pour avoir une idée exacte de la distance du soleil à la terre ? Car, nous le verrons, toutes ces données paraissent résulter des mensurations de la Grande Pyramide. » (p. 10 et 12).

Etienne, parlant devant le sanhédrin, disait de Moïse « qu'il fut instruit dans toute la sagesse des Egyptiens » (Actes VII, 21). Nous comprenons maintenant toute la portée de ces paroles qui sont, à elles seules, la réfutation d'une théorie chère à la critique d'il y a quelques années. Longtemps les critiques ont prétendu que, si Moïse avait existé, il n'avait pas pu écrire le Pentateuque, car, disait-on, Moïse était un ignorant, un demi-sauvage, ne connaissant même pas l'art de l'écriture. Mais les travaux les plus récents de l'archéologie nous montrent combien cette sagesse et cette science des Egyptiens, connue de Moïse, était étendue et précise. Moïse était donc un grand savant qui, de plus, était sous l'influence directe et constante de l'Esprit de Vérité.

Sans doute la Grande Pyramide a été construite longtemps avant Moïse, mais l'Egypte de Moïse n'était pas encore entrée en décadence. Elle était encore dans toute la gloire de sa force et de son prestige, de ses lettres et de son art, avec des rois tels que Ramsès et Menephtah. Les monuments de cette époque font encore notre admiration, bien que nous n'en voyions que les ruines. Nul n'ignore l'étonnante découverte qui a été faite en 1922 de la tombe du Pharaon Tout-Ank-Amon dans la vallée des Rois. Cette tombe a révélé des peintures, des sculptures, des bijoux, des broderies, des meubles d'une beauté d'exécution que les artistes modernes admirent sans réserve. Or Tout-Ank-Amon vivait à peine un siècle avant Moïse. Le luxe de sa tombe est d'autant plus remarquable que ce Pharaon mourut jeune et que l'Egypte, à ce moment de son histoire, commençait à donner des signes d'affaiblissement politique. Déjà avec Aménophis IV, (Akhounaton), le beau-père de Tout-Ank-Amon, la Palestine et la Syrie avaient cherché à secouer le joug de l'Egypte. L'Asie commençait à se réveiller de son long sommeil. Un souffle d'indépendance passait sur le monde. Malgré ces circonstances défavorables, la tombe du jeune roi est une merveille. Que dut être celle de souverains victorieux et aguerris tels que Thotmès III, ou Séti I, ou Ramsès II ? Voici ce qu'écrit M. G. Elliot Smith dans son livre sur Tout-Ank-Amon (1) : « Cette tombe nous donne une nouvelle révélation de la richesse et du luxe de la civilisation égyptienne, au cours de sa période la plus éclatante.
La valeur de l'or et des objets précieux trouvés dans cette tombe dépasse de beaucoup tout ce qu'on a découvert jusqu'à présent dans l'antiquité. De même la collection de meubles est unique ; cette manifestation inattendue de l'habilité artistique et technique des anciens Egyptiens dépasse de beaucoup tout ce que nous avions vu jusqu'alors (1). »
Il nous est facile de nous représenter la vie du jeune Hébreu, au milieu de ce faste, de ces richesses, de ces beautés, traité comme un fils du roi, jouant sans doute et étudiant avec le fils du roi avec Menephtah, celui-là même qui deviendra le Pharaon de l'Exode, mais conservant toujours dans son coeur le culte du vrai Dieu et l'amour profond pour son peuple opprimé. Comment ne pas s'incliner ici devant les dispensations divines qui tendent toujours à préparer les serviteurs fidèles à l'accomplissement de leur grande tâche ?
La mission confiée par Dieu à Moïse était extrêmement délicate et ne pouvait être menée à bonne fin qu'avec le secours du Tout-Puissant. Si l'on veut éliminer le surnaturel de ces récits, ils deviennent invraisemblables. C'est l'Eternel qui est le vrai héros de cette grandiose épopée.
Il fallait, tout d'abord, vaincre les résistances du Pharaon. Le Pharaon de l'Exode est, de l'avis de plusieurs égyptologues, le fils de Ramsès II, Menephtah (2). Ce que nous savons de lui nous le montre orgueilleux et ambitieux et bâtisseur passionné comme son père. Il avait à coeur de continuer plusieurs monuments que Ramsès n'avait pu achever ou d'en entreprendre de nouveaux. Il lui fallait donc de très nombreux ouvriers qu'il trouvait facilement chez ce peuple hébreu qui ne cessait de croître en nombre. Il pouvait craindre aussi, comme Ramsès, que ce peuple, une fois sorti d'Egypte, ne se joignît à d'autres peuples ennemis et n'envahît le pays pour le dominer. Nous possédons un chant composé par l'un des courtisans de Menephtah qui nous montre combien ce roi était redouté et adulé et qui nous fait comprendre sa résistance arrogante aux injonctions de Moïse. Voici quelques extraits de ce chant : « Au roi, santé, vie, force !... Tu es comme l'image de ton père le Soleil, qui se lève dans les cieux... Tes paroles sont la loi de toute la terre... Ton oeil est plus brillant que les étoiles du firmament... Tout ce qui est fait en secret, ton oeil le voit (3). »
On comprend qu'un roi habitué à entendre un pareil langage, un roi essentiellement idolâtre et despote, ait tenu le propos que lui attribue le texte sacré, lorsque Moïse et Aaron viennent lui dire: « Ainsi a parlé l'Eternel, Dieu d'Israël: Laisse aller mon peuple. » Pharaon répondit avec mépris et colère : « Qui est l'Eternel, que j'obéisse à sa voix en laissant aller Israël ? Je ne connais pas l'Eternel aussi ne laisserai-je point aller Israël. » (Exode, V, 2).
La lutte entre Moïse, représentant de Jéhovah, et Menephtah, imbu de sa puissance et de ses droits, devient de plus en plus poignante. C'est l'histoire des dix plaies d'Egypte qui révèle avec tant de force la' patience mais aussi la justice de Dieu et montre combien l'homme a tort de résister à sa volonté sainte.
http://www.regard.eu.org/Livres.2/Le.cri.des.pierres/11.html
 
As salam aleykoum ma soeur fi dine,
Masha Allah,je vous remercie profondement pour cette recherche,j'ai appris beaucoup de choses Hamdoulilah,encore une fois on voit que la science a decouverte des choses qui sont depuis 1400 ans dans le coran et plus encore dans la thora et l'évangile Masha Allah ...
Barak Allah ou fik ma soeur,
As salam aleykoum
 

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