azedine
Well-known member
Salam alaykum,
Correspondant aux dates du Samedi 31 Mars au Jeudi 05 Avril 2007
Je reproduis içi un appel à l'unité de la part d'un trés grand savant: Sheikh Mohammad Al Hussein Al Kâshiful-Ghata. Il appelle à l'unité des musulmans et dénonce les manoeuvres de division auxquelles se livrent les puissances coloniales et leurs amis. Sheikh Al Kâshiful-Ghata diagnostique le mal qui ronge la nation et propose le remède.
Toute personne capable d'éprouver un sentiment quelconque ne peut que discerner et percevoir la nécessité de l'union et de la concorde ainsi que les méfaits de la division et des divergences. Cette perception est vécue et sentie par le musulman aussi profondément qu'il ressent son propre état physique, en cas de santé ou de maladie, de faim ou de soif, grâce aux efforts déployés par des réformateurs de génie au cours des siècles derniers. Ceux-ci interpellèrent la socièté musulmane, lui lancèrent le cri du maître habile et se penchèrent sur les musulmans comme le fit le médecin An-Nattaâsi qui diagnostiqua le mal et trouva exactement le remède. Il soulagea les esprits et incita les gens à l'utiliser pour stopper ce mal malicieux ainsi que d'autres maladies mortelles avant qu'elles n'envahissent et anéantissent ce corps vivant.
Lorsque les réformateurs lancèrent leur cri, la plupart des musulmans l'entendirent et comprirent que le mal dont ils souffraient était leur division et leurs querelles. Leur remède -qui concerne les uns tout autant que les autres- gisait dans l'accord et l'unité, leur entreaide mutuelle, le rejet des dissensions, le refus de la haine, de la rancoeur et de l'inimitié entre eux. Ce noble objectif reste toujours prioritaire pour des hommes dont Allah a éclairé les vues, affûté la détermination et attisé la flamme du dévouement à cette nation. Ils ne cessèrent d'appeler à cette unité sacré: "l'unité des fils de l'Unicité" et le rassemblement de tous les musulmans sous la bannière de : "Il n'y a de Dieu qu'Allah, Mohammad est le Messager d'Allah", sans distinction de races ou d'écoles.
Ils appellent encore à cette noble universalité, à ce lien ferme, à cette voie solide à laquelle Allah le Trés-Haut nous demanda de nous accrocher, à cette puissante corde qu'Allah -Gloire à Lui- nous demanda d'être attachés. Ils y appellent parce qu'en elle résident la vie et le salut de la nation musulmane. Sans elle, il n'y a que la perdition éternelle et la mort perpétuelle.
Ceux-là sont les apôtres de l'unité, les porteurs du flambeau de l'Unicité; ils sont les apôtres du vrai, les prophètes de la vérité, les messagers d'Allah envers Ses serviteurs actuels, ils rénovent les aspects de l'Islam qui furent écrasés et attisent le foyer enfoui que Mohammad(as) avait allumé.
Grâce aux efforts déployés par ces hommes (peu nombreux), les signes du bien apparurent, les débuts du succés se manifestèrent. Cette âmes pure surgit et coula dans les veines des musulmans, les uns et les autres se mirent à se rapprocher et les groupes se rejoignirent. Cette vérité apparut et cette idée se concrétisa, il y a quelques années, lorsque les musulmans se retrouvèrent au congrés islamique général de Jérusalem, dans une réunion rassemblant quelqu'unes des grandes personnalités de l'Islam, pour discuter des questions islamiques, pour entretenir entre eux les liens de confiance et de fraternité, malgré leurs différences doctrinales et nationales ou la distance qui séparait leurs pays. Cette réunion fut la première dans son genre mais aussi l'unique, elle concrétisa l'espoir des musulmans, elle fut leur consolation alors qu'elle dérangea les colonialistes qui la craignirent et firent de leur mieux pour enrayer ses conséquences.
Cependant, malgré toute l'activité de ces précurseurs et tous les sacrifices consentis pour semer cette graine, lui assurer les soins et l'attention nécessaires, afin qu'elle donne les fruits escomptés et qu'elle soit résistante et puissante, nous continuons à vivre, nous les musulmans, dans l'expectative, nous nous contentons de paroles, nous tournons autour des apparences et du factice, non autour des choses vraies et des substances; nous tournons autour de l'écorce sans savoir comment parvenir au fruit, contrairement à ce que firent nos ancêtres, sérieux et actifs, véridiques dans l'action avant de l'être dans la parole, dans la détermination avant les discussions, aptitudes colossales que d'autres ont héritées, nous dépassant alors que nous avions la priorité et que nous avions sur eux le privilège du sort; ils l'ont actuellement sur nous pen: ...suivant la loi (établie) par Dieu pour ceux (qui vécurent) antérieurement. Tu ne trouveras aucun changement dans la loi de Dieu:close: (Al Ahzab, verset 62)
(à suivre...)
Correspondant aux dates du Samedi 31 Mars au Jeudi 05 Avril 2007
Je reproduis içi un appel à l'unité de la part d'un trés grand savant: Sheikh Mohammad Al Hussein Al Kâshiful-Ghata. Il appelle à l'unité des musulmans et dénonce les manoeuvres de division auxquelles se livrent les puissances coloniales et leurs amis. Sheikh Al Kâshiful-Ghata diagnostique le mal qui ronge la nation et propose le remède.
:basmallah
Quelle voie pour l'unité des musulmans?
pen: Maintenez-vous tous fermement liés à Dieu et ne vous divisez pas" :close:
(Coran, Al-Imran, verset 103)
(Coran, Al-Imran, verset 103)
Toute personne capable d'éprouver un sentiment quelconque ne peut que discerner et percevoir la nécessité de l'union et de la concorde ainsi que les méfaits de la division et des divergences. Cette perception est vécue et sentie par le musulman aussi profondément qu'il ressent son propre état physique, en cas de santé ou de maladie, de faim ou de soif, grâce aux efforts déployés par des réformateurs de génie au cours des siècles derniers. Ceux-ci interpellèrent la socièté musulmane, lui lancèrent le cri du maître habile et se penchèrent sur les musulmans comme le fit le médecin An-Nattaâsi qui diagnostiqua le mal et trouva exactement le remède. Il soulagea les esprits et incita les gens à l'utiliser pour stopper ce mal malicieux ainsi que d'autres maladies mortelles avant qu'elles n'envahissent et anéantissent ce corps vivant.
Lorsque les réformateurs lancèrent leur cri, la plupart des musulmans l'entendirent et comprirent que le mal dont ils souffraient était leur division et leurs querelles. Leur remède -qui concerne les uns tout autant que les autres- gisait dans l'accord et l'unité, leur entreaide mutuelle, le rejet des dissensions, le refus de la haine, de la rancoeur et de l'inimitié entre eux. Ce noble objectif reste toujours prioritaire pour des hommes dont Allah a éclairé les vues, affûté la détermination et attisé la flamme du dévouement à cette nation. Ils ne cessèrent d'appeler à cette unité sacré: "l'unité des fils de l'Unicité" et le rassemblement de tous les musulmans sous la bannière de : "Il n'y a de Dieu qu'Allah, Mohammad est le Messager d'Allah", sans distinction de races ou d'écoles.
Ils appellent encore à cette noble universalité, à ce lien ferme, à cette voie solide à laquelle Allah le Trés-Haut nous demanda de nous accrocher, à cette puissante corde qu'Allah -Gloire à Lui- nous demanda d'être attachés. Ils y appellent parce qu'en elle résident la vie et le salut de la nation musulmane. Sans elle, il n'y a que la perdition éternelle et la mort perpétuelle.
Ceux-là sont les apôtres de l'unité, les porteurs du flambeau de l'Unicité; ils sont les apôtres du vrai, les prophètes de la vérité, les messagers d'Allah envers Ses serviteurs actuels, ils rénovent les aspects de l'Islam qui furent écrasés et attisent le foyer enfoui que Mohammad(as) avait allumé.
Grâce aux efforts déployés par ces hommes (peu nombreux), les signes du bien apparurent, les débuts du succés se manifestèrent. Cette âmes pure surgit et coula dans les veines des musulmans, les uns et les autres se mirent à se rapprocher et les groupes se rejoignirent. Cette vérité apparut et cette idée se concrétisa, il y a quelques années, lorsque les musulmans se retrouvèrent au congrés islamique général de Jérusalem, dans une réunion rassemblant quelqu'unes des grandes personnalités de l'Islam, pour discuter des questions islamiques, pour entretenir entre eux les liens de confiance et de fraternité, malgré leurs différences doctrinales et nationales ou la distance qui séparait leurs pays. Cette réunion fut la première dans son genre mais aussi l'unique, elle concrétisa l'espoir des musulmans, elle fut leur consolation alors qu'elle dérangea les colonialistes qui la craignirent et firent de leur mieux pour enrayer ses conséquences.
Cependant, malgré toute l'activité de ces précurseurs et tous les sacrifices consentis pour semer cette graine, lui assurer les soins et l'attention nécessaires, afin qu'elle donne les fruits escomptés et qu'elle soit résistante et puissante, nous continuons à vivre, nous les musulmans, dans l'expectative, nous nous contentons de paroles, nous tournons autour des apparences et du factice, non autour des choses vraies et des substances; nous tournons autour de l'écorce sans savoir comment parvenir au fruit, contrairement à ce que firent nos ancêtres, sérieux et actifs, véridiques dans l'action avant de l'être dans la parole, dans la détermination avant les discussions, aptitudes colossales que d'autres ont héritées, nous dépassant alors que nous avions la priorité et que nous avions sur eux le privilège du sort; ils l'ont actuellement sur nous pen: ...suivant la loi (établie) par Dieu pour ceux (qui vécurent) antérieurement. Tu ne trouveras aucun changement dans la loi de Dieu:close: (Al Ahzab, verset 62)
(à suivre...)